Centre Universitaire de Khenchela
Institut S.E.T.I Projet de fin d'étude pour
l'obtention du diplôme de licence en mathématique et
informatique Option informatique des réseaux
Encadrés par:
Mouadh Boutrid Djbaili Adel
Introduction Générale
Introduction
Générale
Aujourd'hui, les entreprises évoluent dans un
environnement de plus en plus concurrentiel, variable et complexe. La
mondialisation, la fragmentation et la diversification croissante des
marchés, la complexité des politiques commerciales
représentent tant de menaces que d'opportunités pour les
entreprises.
Par ailleurs, le développement d'une entreprise en
matière de technologies de l'information exige des nouveaux moyens et
supports pour échanger et diffuser l'information dans le but de
réduire les contraintes de temps, d'espace et du coût, et
faciliter la gestion de l'entreprise.
Le travail que nous présentons ici a été
réalisé au sein de L'office de promotion et de gestion
immobilière (OPGI) Khenchela.
OPGI de Khenchela géré plus de 13000 logement en
terme de loyer, de produit de cession, cette important masse d'information
englobe tout information comme locataire et leur caractéristique (nom,
prénom, date naissance.....) logement et leur caractéristique
(F3,F4, superficie , localité ....), ainsi que la partie
comptabilité .
La récolte, le stockage et la diffusion de l'information
est devenue une industrie à part entière. Et l'OPGI, doit
consacrer une partie de son effort à récolter, traiter, stocker
et diffuser l'information issue de son propre fonctionnement dans le cadre de
ce qu'on appelle système d'information..
Pour cet objectif on va donner une solution pour
réaliser un système d'information consacré à la
gestion du patrimoine immobilier et pour comprendre cette nouvelle logique,
impose donc de bien cerner un concept primordial dans cette nouvelle
ère. Il s'agit de `i'information" qu'on va essayer de traiter dans le
1èr chapitre, avant de consacrer un 2ème chapitre pour
le choix de la méthode « UML », et un détail de la
conception dans le 3eme chapitre avec une implémentation détail
dans le 4eme chapitre.
Chapitre1
I- Définition de l'information :
I-1- Information et données :
Les données sont des faits qui n'ont pas encore
été traités et dont on ne peut, à ce stade, tirer
aucun enseignement. Par exemple, une simple opération de paiement ne
nous dit pas si le paiement a été effectué en temps voulu
et ne nous éclaire pas sur la situation du prêt.
Traitemen
Informations
(sorties)
Données
(entrées)
Les informations sont des données traitées ou
transformées qui aident quelqu'un à prendre une décision
ou à tirer des conclusions. La comparaison entre les paiements
effectués et le calendrier des versements nous renseigne sur la
situation du prêt et sa chronologie - informations qui peuvent être
utilisées pour prendre une décision concernant le suivi ou le
provisionnement du prêt en question. Une institution peut être
noyée sous les données, sans pour autant avoir beaucoup
d'informations.
Une information et quelque chose de beaucoup plus qu'une
donnée brute. C'est une donnée qui a un sens, et ce sens vient
d'un certain modèle d'interprétation. Une même
donnée peut avoir plusieurs sens selon le modèle
d'interprétation qui lui est associé.
Ainsi, la donnée `12101995' peut être aussi
interprété - par un anglo-saxon- comme la date du 10
décembre 1995 (et non pas 12 octobre 1995). On peut être qu'une
information est une donnée qui a besoin d'être
interprétée.
Information = Donnée + Modèle
d'interprétation
La notion de modèle d'interprétation peut aller
très loin, et une information n'est pas toujours facile à
appréhender si on ne connaît pas le contexte sémantique
auquel réfère le modèle d'interprétation.
I- - Information et communication:
|
Activités socio-économiques, les séances,
qu'elles soient de la matière, de la vie, de l'homme ou de la
société (et de l'information), sont productrices et utilisatrices
de connaissance scientifique et technique. Le système de la recherche
s'apparente fort à un système économique. On peut ainsi le
construire à partir du schéma économique classique :
Production 4 distribution 4 consommation.
Analogie des phénomènes mais non des concepts,
aussi parlerons-nous plutôt de construction que de production de
connaissance distingueront ainsi bien culturel et biens matériels.
Construction donc de connaissance scientifique et techniques qui de
|
viendront une fois enregistrées sous forme
écrites ou orales, imprimés ou numérises des informations
scientifiques et techniques pour la même raison, pour décrire deux
autres phrases de ce qu'on appelle le cycle de l'information (fig. ) nous
utiliserons les mots communication au lieu de distribution et usage au lieu de
consommation. Les trois processus, constructions et usage se succèdent
et s'alimentent mutuellement.
Construction Usage
Fig01. Le cycle de l'information
Communicati
Cette mondialisation permet de s'affranchir de celles
habituelles mais simplicités des masses médias qui limitent la
communication à une relation bilatéral : informateur /
informé
Ou de celle, pire, de la théorie de l'information qui
linéarité cette relation et croit l'améliorer en y
insérant les messages. On retrouve cette modélisation dans la
célèbre chaîne documentaire. Canal, code, bruit,
rétroaction sont venus la raffiner mais non la transformer en un
modèle de communication sociale.
Entée Support physique Sortie
De l'émetteur
Emetteur
Message code
Canal
Déeco
Feed-back
Récepteur
La communication est donc le processus intermédiaire qui
permet l'échange d'informations entre les individus.
I- - Information et connaissance:
Toujours en essayant de définir l'information, un autre
groupe d'auteurs introduit une nouvelle dimension, qui est celle de
l'assimilation de l'information à la connaissance.
Par rapport au monde de la connaissance ou des idées,
l'information serait pour Jacques Arsac "la forme qui porte la
connaissance" et donc le porteur de la pensée. On aurait donc d'une part
un contenu, la connaissance, d'autre part une forme, qui serait chargée
d'exprimer ce contenu, l'information. Ainsi, toute connaissance nous arriverait
sous forme d'information.
C'est dans une même logique d'assimilation que
l'UNESCO considère l'information comme "un
élément de connaissance, susceptible d'être
représenté afin d'être conservé, traité,
communiqué". On en trouve une définition plus complète
dans le dictionnaire des termes officiels : "Elément de connaissance,
susceptible d'être représenté, à l'aide de
conventions, pour être conservé, traité ou
communiqué".
Enfin, l'universitaire Anne Mayère,
spécialisée dans l'économie de l'information,
reprend la définition de Mc Kay : "l'information est ce
qui forme ou qui transforme une représentation", et elle y ajoute :
"dans la relation qui lie un système à son environnement".
Dès lors, on sépare l'information de la
connaissance qu'elle peut éventuellement
apporter, et on déduit que : L'INFORMATION EST LE
SUPPORT DE LA CONNAISSANCE.
II- Essai de définition :
La notion d'information se déploie à travers de
nombreux champs d'application : le droit, la presse, la physique, la biologie,
l'informatique, la communication.Mais paradoxalement peu d'écrits (y
compris ceux opérant dans le champ même des "Sciences de
l'information") prennent la peine de définir au préalable ce
qu'est l'information. On parle alors de "traitement de l'information", de
"systèmes d'information", etc. sans même avoir défini
à l'avance le coeur du sujet. Il y a donc pour le moins
ambiguïté.
Lorsque l'on trouve des définitions explicites
celles-ci sont rarement concordantes. Elles élargissent ou au contraire
restreint considérablement la sphère d'application du concept.
En cherchant une définition de l'information, on trouve
que la majorité des ouvrages
traitant ce concept le font sans en donner une définition
précise, au contraire il l'utilise pour définir d'autres notions.
Le document, par exemple, est défini comme un
"objet informationnel visible et touchable et doué d'une
double indépendance par rapport au temps".
La communication est elle-même décrite comme "le
transport d'une entité mesurable appelée arbitrairement
information". Par conséquent "il est possible maintenant de dire que la
communication est un acte et que l'information est son produit".
Etymologiquement, le terme information dérivé du
latin informare, signifie : Renseigner Donner une forme, Avertir, Instruire.
Le développement de ces notions nous donne :
· Renseigner : apprendre, faits,
données, matière, service de renseignement,
éclairé.
· Donner une forme :
synthétiser, élaborer, traiter, dégrossir, rendre
accessible, compréhensible, intelligible, assimilable, utilisable,
opérationnel, valeur ajoutée, mettre aux normes,
modéliser, forme vivante, en mouvement, flux...
· Avertir : contredire, infirmer des
idées reçues, prévoir, voir plus loin, parer un danger,
avenir, horizon, réflexe, logique du réflexe, gérer,
préparer, catalyser et réagir...
· Instruire : former, sensibiliser,
armer, culture, connaissance,
ordonner, renforcer, affiner, entraîner,
réfléchir...
Pour le sociologue et théoricien de la communication
Daniel Bougnoux est information ce qui apporte une variation
par rapport à un thème (à une forme), ou une
réponse sur le fond d'une alternative". Edgar Morin (sociologue et
philosophe) la définit en disant :"L'information est ce qui, pour un
observateur ou récepteur placé dans une situation où il y
a au moins deux occurrences possibles, dénoue une incertitude ou
résout une alternative, c'est-à-dire substitue du connu à
l'inconnu, du certain à de l'incertain" .
Une autre raison de la difficulté de définir ce
concept réside dans son utilisation par plusieurs domaines qui essayent
de la définir.
III- Un Concept des Domaines :
III-1- Droit :
Dans la sphère juridique, "l'information" est une
construction. "Ouvrir une information", c'est préparer la constitution
d'un dossier, entamer un long travail de quête de renseignements, de
témoignages, c'est extraire un fait de la masse des
événements. D'après une étude menée par
Gilbert Varetdans des listes bibliographiques parfois
très anciennes, ce sens est encore "très vivant, voire toujours
prépondérant" dans la langue espagnole, où il
désigne un type de publication particulier, "dossiers reproduisant in
extenso des pièces ou documents classés dans un ordre
raisonné, et qui viennent à l'appui d'une argumentation
auprès d'un tribunal."
On notera que le terme "document" possède lui aussi une
origine juridique puisqu'il signifie au départ "écrit qui sert de
preuve".
|
Dans le langage de tous les jours, le concept "d'information"
est naturellement assimilé à l'information de presse. Pourtant
les professionnels de l'information cherchent à se distinguer de cette
compréhension trop courante. L'analogie entre l'information" en milieu
professionnel et l'information au sens journalistique du terme mérite
cependant d'être quelque peu précisée.
|
|
D'une certaine manière la pratique du journaliste peut
apparaître comme archétypique en ce qui concerne la production
d'informations. Le journaliste a précisément pour tâche
d'extraire des événements qui constituent la
réalité quotidienne une cohérence qui, mise en forme et
commentée, fournit "l'information".
Il est d'ailleurs à noter que, à ses origines, la
presse moderne se concevait quasi
exclusivement comme un organe de formation de l'opinion,
alors qu'à partir des années 1860-80, industrialisation aidant,
elle se présente avant tout comme un vecteur "d'information", pour un
large public, déconnecté des intérêts
particuliers.
Au passage se forme ainsi la fiction d'une information
neutre, objective, dont le journaliste serait le garant, indépendamment
de ses opinions ou de celle de son public, dont la distinction est toujours
renouvelée, dans les écoles de journalisme et parfois dans la
mise en page des publications, entre le "fait" et le commentaire.
Cette distinction a aussi son pendant sur le plan national. Il
est fréquent d'opposer la presse d'information anglo-saxonne à la
presse d'opinion française. Il peut sembler paradoxal que toute une
frange des métiers du traitement de l'information ne se reconnaisse pas
dans la figure du journaliste, alors qu'à bien des égards il peut
prétendre constituer un modèle dans la production de
l'information.
En effet, il est de l'essence de son métier de traduire
en information des événements, d'extraire des faits de la
réalité courante et de les porter à la connaissance
d'autrui. Il est donc de ce point de vue un fournisseur essentiel de cette
matière première qu'est l'information. Cependant cette
information doit faire l'objet d'une formalisation adaptée. C'est le
rôle du journal par rapport à la dépêche.
Lorsque le professionnel de l'information se situe dans une
perspective de collecte, d'harmonisation, d'agencement, de description, de
commentaire d'une matière première, il est effectivement en aval
des métiers du journalisme proprement dit.
En revanche, il peut être amené lui-même
à collecter les faits et les mettre en forme, comme dans le cas de
l'activité de veille, et/ou à formaliser des informations. Dans
les deux cas, les techniques qu'il emploie sont en grande partie similaires
à celles employées par le journaliste (par exemple les techniques
de recoupement de la veille, et les techniques rédactionnelles dans le
domaine de la diffusion de l'information). En fait, la grande différence
entre les deux acteurs est que la sphère du journalisme est parfaitement
identifiée, depuis longtemps à travers un produit qui est le
média "presse", alors que les produits issus du traitement de
l'information sont multiples (journaux d'entreprise, revues de presse,
dossiers, synthèses, banques de données, rapports
d'étonnement, produits de la veille stratégiques, etc.) et
échappent souvent encore à une pure logique de marché.
III- - Physique :
|
Les théories propres à la transmission et
à la mesure des signaux dans le cadre de la cybernétique ont
introduit le concept de science de l'information et en ont fait un champ
d'investigation particulier. Là encore, le concept est loin d'être
stabilisé, puisque cette théorie du signal est aussi bien connue
sous le nom de théorie de l'information que sous celui de théorie
de la communication, avec d'ailleurs les mêmes
|
|
effets sémantiques pervers qui font que l'on entretient
facilement une confusion sur le fond et la forme.
Cette ouverture scientifique a attiré de nombreux
esprits qui se sont efforcés d'élaborer une théorie
scientifique de l'information, voire d'appliquer la théorie de
l'information à la science. Léon Brillouin est parmi ceux-ci. On
lui doit une première grande synthèse dans ces domaines.
Contrairement à certains disciples qui agissent dans
le champ des sciences humaines, il prend soin de définir le champ de
validité de sa conception en restreignant le concept d'information
à une seule dimension. Il en donne une définition unique qui
écarte a priori ce qu'il appelle la "valeur humaine de l'information",
c'est-à-dire le sens, le contenu qu'elle véhicule, et qui n'est
compréhensible, évaluable que par les individus qui la
reçoivent. Comme la subjectivité de l'appréciation rend
particulièrement difficile la mesure de l'information, il est
nécessaire, pour établir une définition applicable au plan
scientifique, d'écarter cette "valeur humaine" de l'information. Pour
traiter l'information sur le plan quantitatif, pour pouvoir la mesurer, il faut
ignorer l'intérêt que présente l'information, sa valeur
d'usage, pour reprendre un concept de l'économie politique.
Après avoir circonscrit le concept d'information dans
son application scientifique, il peut recevoir une première
définition. L'information est reliée à la réduction
de l'incertitude. Plus un système peut connaître d'états
différents, plus grande est l'incertitude, plus la quantité
d'information devra être grande pour la réduire. L'information se
présente alors comme une "fonction du rapport des réponses
possibles après et avant qu'on l'ait reçue"6. Si l'on obtient une
information, le nombre des réponses possibles diminue et lorsque
l'information est complète il est possible qu'une seule réponse
soit pertinente. On peut déjà entrevoir l'usage lapidaire qui
peut être fait de cette conception dans le domaine de la gestion de
l'entreprise quand, rompant avec la stricte délimitation de Brillouin,
certains auteurs étendent les concepts sans précaution.
Dans ce cas l'information réduit le degré
d'incertitude et conduit à une prise de décision ou
réponse plus rationnelle, moins arbitraire. Plus le degré
d'incertitude initial est grand, plus la masse d'information nécessaire
pour définir la solution sera importante.
Brillouin fait ensuite remarquer, à la suite de
Léo Szilard et de Claude Shannon, que l'information a un lien
remarquable avec la notion employée dans la thermodynamique que l'on
nomme entropie. Il n'entre pas dans notre propos d'aller plus avant dans ce
domaine. Il y a cependant un aspect de cette théorie qui revêt une
importance particulière, sinon capitale. En mettant en relation
l'entropie d'un système et l'information, Brillouin montre que toute
information se traduit par un accroissement de l'entropie. Dans les cas
limites, la précision la plus grande mobiliserait une énergie
infinie. Dans une telle conception, l'observateur n'est pas neutre dans le
système et il faut que le coût en entropie d'une observation soit
négligeable en regard de l'entropie du système pour pouvoir
l'ignorer.
Quant à l'information, elle a un prix, un coût,
une valeur croissante, consommatrice des ressources internes. Plus elle est
précise, plus le coût croît. En d'autres termes, le
coût de production marginal est croissant. Ce qui se constate dans le
physique des particules au niveau de la microphysique, nous le retrouvons au
niveau de la société et de l'entreprise, sur le plan
économique, qu'il soit macro ou micro économique.
III-3- Informatique :
La notion d'information revêt une importance toute
particulière dans le domaine de l'informatique. En effet, c'est sur la
racine de ce terme que Philipe Dreyfus inventa en 1962 le mot-valise
"informatique", contraction de information et automatique, pour trouver une
traduction française à ce que les anglo-saxons appellent
"computer science", science du calcul. C'est bien le reflet de cette conception
que l'on trouve dans les définitions de dictionnaires, qu'il s'agisse du
Petit Larousse : "Science du traitement automatique et rationnel de
l'information", ou du Petit Robert :"ensemble des techniques de la collecte, du
tri, de la mise en mémoire, de la transmission et de l'utilisation des
informations traitées automatiquement à l'aide de programmes mis
en oeuvre sur ordinateurs." Il est certain que l'irruption de l'informatique et
sa considérable expansion dans la société contemporaine a
rendu la situation encore plus complexe pour appréhender la notion
d'information. D'une part car elle s'inscrit dans la tradition de la
cybernétique, et reprend l'assimilation du signal à de
l'information, et d'autre part parce qu'elle est justement dans son objet
d'être une machine à traiter de l'information.
Mais, du fait même qu'elle est une machine, elle ne
sort pas du cadre traditionnel du machinisme, défini dès le
19° siècle, et visant à éliminer l'activité de
l'homme (manuelle ou intellectuelle) de la production. Et ce traitement
automatique, même s'il donne l'illusion contraire, laisse lui aussi de
côté la compréhension des contenus, car il les enserre dans
le cadre strict des règles de la logique formelle, ce qui n'est
d'ailleurs pas un moindre progrès et conduit à des applications
spectaculaires. Mais, comme le montre l'évolution de la science moderne,
des mathématiques à la biologie en passant par la physique, cette
logique est insuffisante pour rendre compte complètement du mouvement
complexe de la nature et de la société
D'après toutes ces définitions, on peut
déduire une définition -englobant- de l'information en disant que
:
|
plans, d'objets, de projets, d'effets de toute sorte, dans
tous les domaines, par un individu, par des groupes
d'individus ou par un ou plusieurs organismes agissant ou rétroagissant
ainsi sur leur environnement immédiat, proche ou lointain, et
dont le but est de déclencher éventuellement des
processus dialectiques plus ou moins amples alimentant l'échange, base
naturelle et indispensable de l'animation de la vie sociale.
Ainsi, toute information peut être soit formalisée
ou informelle :
+ L'information formalisée
Il s'agit d'une information par destination, son but est
précisément d'informer, et son degré de formalisation
varie d'une source à l'autre. D'une manière
générale, les sources formalisées sont le fait d'un
travail d'enrichissement, de valorisation, de
|
|
synthèse de l'information : études de
marché, revues de presse, enquêtes journalistiques, rapports
annuels...
Par conséquent, plus une information est
formalisée, plus sa gestation fut longue : c'est pourquoi sa
fraîcheur est moindre, mais au contraire elle est plus aisément
exploitable et opérationnelle. De même, plus une information est
formalisée, plus son coût est élevé.
+ L'information informelle :
Les sources informelles ne sont, quant à elles, pas
destinées à priori informé, mais leur intérêt
est pourtant considérable. En effet, représentant les trois
quarts des données utiles à l'entreprise, les sources informelles
offrent un avantage indéniable, n'était pas formalisées,
elles sont souvent plus récentes et leur intérêt s'en
trouve accru1. De plus, certaines sources informelles ont un caractère
unique, voire exclusif, car non publiques elles sont l'apanage du plus petit
nombre. De ce fait, une information informelle faible et à fort
potentiel peut apporter à ses détenteurs un avantage
concurrentiel déterminant si elle est vérifiée et
utilisée dans les plus brefs délais.
En interne comme en externe, les sources d'informations
informelles englobent :
· Les contacts spontanés avec les collaborateurs,
les clients, les prospects, voire les concurrents ou la presse professionnelle
spécialisée. Le phénomène du ``Bouche à
oreille" qui véhicule aussi bien des informations vitale que
fantaisistes mais dont la vitesse de propagation nécessite une vigilance
accrue.
· Les échanges avec tous les acteurs de
l'environnement juridique, politique, économique, syndical ou
médiatique.
· Les circuits de communication informels mais non
négligeable : associations, clubs, salons, rencontres
interprofessionnels...
· La typologie de l'information la plus utilisée est
basée sur la nature de l'information et est sous-entendue par la
dichotomie ``formalisé/informel".
IV- L'évaluation de l'information :
La typologie classique de l'information n'est plus
adaptée aujourd'hui pour répondre aux besoins des
décideurs, lesquels doivent prendre des décisions rapides et
sûres pour faire face aux changements constants et brusques de
l'environnement. , au risque d'être péremptoire, la seule vision
possible de l'information consiste à prendre en compte l'utilité
et la valeur des données recherchées ainsi que leur
adéquation aux besoins de l'entreprise.
|
IV- 1- Les nouveaux critères
d'évaluation d'une information :
La recherche de données de valeur directement
exploitables, en totale adéquation avec les besoins mains aussi les
moyens financiers, techniques et humains de l'entreprise, afin d'optimiser le
processus de prise de décision et de catalyser l'action, rend
périmée toute classification de l'information par nature.
Les critères d'efficacité, d'utilité et de
valeur doivent donc prévaloir dans toute tentative, action ou politique
de gestion de l'information.
Cependant, même si cette approche est absolue, il demeure
intéressantes de séparer encore les sources formalisées
des sources informelles, car elles offrent des avantages et présentent
des inconvénients très différents et
complémentaires.
|
|
Dés lors, on trouve les neuf (9) critères
suivants :
1-Facilité d'accès à
l'information
Plus une information présente un temps d'accès
réduit et est accessible, plus vos concurrents peuvent s'en emparer,
sauf si elle est interne à l'entreprise. De même, plus
l'information est accessible, plus votre réaction doit être rapide
afin qu'elle ne perde pas son actualité et son intérêt.
2-Coût d'acquisition
Le coût d'acquisition est variable selon le
degré de formalisation des informations. Ainsi, une information brute
représente un coût d'investissement limité au regard d'une
information enrichie, valorisée et travaillée.
Même si le coût d'acquisition d'une information est
déterminant, il n'est pas suffisant, et ce pour deux raisons
fondamentales :
- Toute information acquise entraîne des coûts
induits qu'il fut apprécier a priori et non pas une fois l'acquisition
faite (coût de stockage, de traitement, d'exploitation, de
valorisation...).
- Aussi coûteuse qu'elle soit, une information doit
correspondre aux besoins de l'entreprise, de même qu'à ses moyens
financiers, techniques et humains.
En effet, à quoi bon acquérir une base de
données sophistiquée si vos besoins réels sont moindres et
que personne n'est à même de l'exploiter.
3-Critère d'actualité
La pertinence et la valeur d'une information sont de toute
évidence liées à sa ``fraîcheur", à son
actualité ou sa récence.
Une entreprise qui, faute de moyens ou d'éléments
d'évaluation, se nourrit d'informations tombera malade à court
terme.
4-La fiabilité
Comme tout organisme vivant, l'entreprise se doit
d'éviter « d'ingurgiter » des denrées douteuses.
Pour ce faire, avant de valider une information dont
l'utilisation irréfléchie pourrait menacer l'entreprise, encore
faut-il évaluer sa fiabilité !
Dans ce but, la connaissance de source de son mode de
compilation, tout comme de sa récence, sont des précautions
utiles.
5-La valeur ajoutée
L'intérêt d'une information est proportionnel
à ses apports ; or toute information comporte des éléments
que vous connaissez déjà ! Ce qui prime, c'est la
nouveauté de certains éléments qu'elle véhicule.
En outre, une donnée enrichie, non brute, sera
directement exploitable et le temps de réponse précédent
l'action s'en trouvera réduit.
Au contraire, une information à faible valeur
ajoutée nécessite un travail de formalisation, d'enrichissement
plus ou moins long ; de ce fait votre réaction sera moins prompte et
vous risquez d'être dépassé par l'évolution
constante de votre environnement.
6-L'exploitation et l'adéquation aux besoins
Encore une fois, plus une information est formalisée,
moins elle nécessite un traitement, une valorisation, pour être
directement opérationnelle. De plus, le critère
d'exploitabilité est indissociable du critère mesurant
l'adéquation de l'information recherchée aux besoins de
l'entreprise.
7-Les coûts induits
L'acquisition d'une information est la 1ère
étape d'une longue chaîne menant à la prise de
décision. Ainsi, toute donnée doit être stockée,
enrichie, valorisée, mise en forme, épurée,
gérée, avant d'être utilisée.
8-L'unicité et l'exclusivité
Lorsqu'un décideur détient de manière
exclusive une information fort potentiel, l'entreprise dispose d'un avantage
stratégique concurrentiel déterminant, à condition bien
sûr d'exploiter cette manne de façon rapide et efficace.
Cependant, afin d'apprécier l'unicité d'une
information ou d'une source,
il faut la comparer à d'autres sources qui pourraient s'y
substituer.
Les surprises peuvent être grandes, car il est souvent
possible de remplacer une source qu'on croyait unique par une autre offrant des
caractéristiques équivalentes voire supérieures.
9-La durée de vie
L'information est une denrée périssable, plus
l'on tarde à l'utiliser, plus elle et obsolète, encombrante et
coûteuse pour l'entreprise.
Cependant, la durée de vie d'une information
dépend également de sa nature ; ainsi un tuyau boursier est aussi
éphémère qu'un papillon, alors qu'un dossier
étoffé résultant d'un long travail de formalisation, telle
une étude de marché, offre une durée de vie de plusieurs
semaines, voire de plusieurs mois sil est assorti de prévention à
terme.
Chacun de ces critères présente des liens de
corrélation forts avec les autres ; cependant le critère majeur
et omniprésent est lié à la notion de coût. Ces
coûts, s'ils sont bien appréciés, gérés et
contrôlés représentent un investissement et non une
dépense. De plus, ils préfigurent l'apport futur et la
rentabilité d'une véritable politique de gestion
stratégique de l'information.
IV - - La grille d'analyse de la valeur de l'information
:
Que l'information soit formalisée ou non, les
critères d'évaluation développés
précédemment nous permettent de scanner l'information avec
précision. C'est ce que nous avons fait ci-dessous en tenant compte de
la dichotomie ``formalisé/informel", afin que la grille d'analyse ainsi
développée soit un outil efficace.
CRITERES
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INFORMATION FORMALISEE
|
INFORMATION INFORMELLE
|
Facilité d'accès
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Très faible a moyenne
|
Forte a très forte
|
Coûts d'acquisition
|
Moyens a très forts
|
Très faibles a faibles
|
Actualité
|
Très faible a moyenne
|
Moyenne a très forte
|
Fiabilité
|
Forte a très forte
|
Faible a moyenne
|
Valeur ajoutée
|
Forte a très forte
|
Très faible a moyenne
|
Exploitabilité/adéquation
|
Moyenne a très forte
|
Très faible a moyenne
|
Coûts induits
|
Très faibles a moyens
|
Moyens a très forts
|
Unicité
|
Moyenne a très forte
|
Faible a moyenne
|
Durée de vie
|
Moyenne a très forte
|
Très faible a moyenne
|
|
Grille d'analyse de la valeur de
l'information
V- Les couts de l'information :
Le contrôle des coûts de l'information n'est
possible que si l'on précise la notion de coûts liés a sa
gestion : ainsi nous faut-il définir ces coûts et nous pencher sur
leur structure. C'est pourquoi, nous vous proposons la définition
suivante :
V- - Définition des couts de l'information :
Un coût représente une somme de charges
nécessaires a l'élaboration d'un produit ou au fonctionnement
d'une activité, en l'occurrence la gestion de l'information.
Un coût se définit par :
coût complet (traditionnel, économique)
-coût partiel (direct, variable) coût
d'activité, de structure, marginal...
SON NIVEAU
SON OBJET / SA DELIMITATION
SON MOMENT DE CALCUL
SON CONTENU
(Activité, fonction, produit)
Coût constaté (réel,
historique)
Coût préétabli (prévisionnel,
standard)
(Coût d'approvisionnement, de production, de
distribution, d'administration, de revient)
De plus, lorsque l'on considère l'entreprise en tant
qu'organise générateur et consommateur d'informations, mais
également en tant que système de gestion de l'information a part
entière, il importe de distinguer les coûts variables des
coûts fixes de cette gestion.
Coûte de valorisation
Coûte de stockage
Coûte de synthqse
Coûte de gestion
Coûte d'exploitation
Coûte de l'information
Coûte d'acquisition
V 2- Les couts fixes liés à la gestion
et l'information :
Ils sont inhérents à la structure même du
système de gestion de l'information existant dans l'entreprise et ce,
que le dit système fonctionne à pleine capacité ou non. Le
but premier étant de créer un troisième flux
d'informations catalyseur sans pour autant se doter d'une « usine à
gaz » ; la mesure des coûts fixes de l'information dépend
donc de la capacité d'absorption et de traitement de l'information
offerte par l'entreprise.
Ces coûts fixes représentent ainsi un indicateur
important quant au respect des besoins et moyens de l'entreprise en
matière de gestion de l'information ; autrement dit, leur volume doit
demeurer « raisonnable » !
V - - Les couts variables de l'information :
Pour leur part, ces coûts variables dépendent
logiquement du volume d'informations traité, ainsi que de la nature de
ces informations, car, comme nous le savons selon le degré de
formalisation d'une donnée, les coûts induits différent
sensiblement.
V- - La structure des couts de l'information :
S'inscrivant dans le cadre des coûts variables
liés à l'activité du système de gestion de
l'information, la structure des coûts de l'information doit être
étudiée afin, à terme, de pouvoir contrôler ces
coûts.
Or, au regard de l'analyse systémique des flux
d'information, les données franchissent six étapes, et à
chacune de ces étapes correspondent des charges ou coûts:
Dès lors, en suivant ces étapes de la vie d'une information-
depuis l'acquisition de celle-ci jusqu'à sa synthèse qui la rend
utilisable et consommable- nous allons pouvoir reconstituer le coût
global d'une information : Contrôler les coûts, c'est suivre leur
parcours.
V- - - Les couts d'acquisition :
Par définition, ces coûts représentent
là ? la partie visible de l'iceberg", car à l'achat, une
donnée peut sembler peu onéreuse, alors que les coûts
induits nécessaires pour la rendre exploitable, sont pour leur part
importants. Au contraire, l'inverse est vrai, et si certains rechignent
à acquérir des informations a pris fort, ils n'ont
peut-être pas mesuré les coûts induits inhérents,
lesquels peuvent s'avérer modestes, si toute fous l'information est
immédiatement exploitable. Autrement dit, juger la valeur d'une
information à son simple coût d'acquisition est restrictif et
dangereux.
V - - - Les couts de valorisation :
Ils dépendent directement du degré de
formalisation de l'information acquise ou recueilli. Encore un fois, moins une
information est formalisée, plus ses coûts de valorisation sont
importants, et vis versa.
Exemple 1 : Une étude documentaire
offre des données brutes et essentiellement quantitatives
nécessitant un travail de valorisation conséquent, et ce afin de
pouvoir aboutir à la réalisation d'une véritable
étude de marché, offrant pour sa part des informations
élaborée et directement exploitable pour les décideurs.
Exemple 2 : Un fichier brut inutile en
état, peut servir de base à une opération
d'identification, de prospects par fonction, puis à une compagne de
qualification de ces mêmes prospects.
Dès lors, les coûts de valorisation
représentent les taxes téléphoniques, la formation des
téléacteurs, les coûts horaires de saisie des
données recueillies, les coûts d'immobilisation du parc
informatique, etc.
V - - - Les couts de gestion :
Ces coûts sont polymorphes, très variables et
correspondent à une charge incontournable lorsque l'entreprise
détient une source, ou encore un outil de gestion de l'information
évolué, lequel sans entretien, périrait.
A titre d'exemple, le fonctionnement d'une base de
données nécessite non seulement des mises à jour
régulières, mais également des enrichissements
périodiques permettant de suivre l'évolution des besoins de
l'entreprise. C'est pourquoi une base de données doit-elle être
évolutive et se prêter à l'introduction de nouveaux
critères de segmentation, de tri, d'historisation, d'analyse, et
l'incorporation de nouveaux outils statistiques.
Les coûts inhérents à la gestion d'une base
de données sont donc conséquents, aussi bien en terme de moyens
techniques qu'humains.
V - - - les couts de stockage :
Prenons l'exemple classique des archives comptables ou
même marketing d'une société de plus de cinq (5) ans. Il
est clair que l'historique de l'entreprise est primordial et sert
d'élément de prise de décision. Il faut donc conserver ces
données vitales, tant économiques que culturelles de
manière formalisée, afin de pouvoir les consulter en temps
réel dès que le besoin s'en fait sentir. Et prenons, comme
exemple les archives comptables ou même marketing d'une
société.
Dès lors, la technique la plus moderne et la plus
adaptée, sera celle de la Gestion Electronique de Documents
(G.E.D) qui sera traité d'une manière
détaillé dans la partie qui suit.Cette gestion indispensable
représente un coût important, et ce coût croît avec
l'âge, la taille et la structure de l'entreprise.
Encore une fois, ce coût de stockage constitue une charge
inévitable, car une entreprise privée de son `histoire' devient
aveugle et amnésique de surcroît.
V -4-5- Les couts de synthèse :
La synthèse de données correspond au stade
ultime de formalisation de l'information, et la rend directement
opérationnelle, utilisable par les décideurs. Il en va ainsi,
entre autres, toutes les données quantitatives ou financières
organisées sous forme de tableau de bord, des schémas synoptiques
résumant un processus de production, ou encore d'un écran sommant
le potentiel d'une base de données en fonction de ses principaux
critères de segmentation.
Par conséquent, la synthèse de l'information
représente une charge variable primordiale afin de rendre un ensemble de
données lisibles intelligibles et encore exploitables.
V -4-6- Les couts d'exploitation :
Une information ayant franchi les étapes
d'acquisition, de valorisation, de gestion, de stockage et de synthèse
ressemblerait à une « voiture sans roues » si l'on la rendait
pas exploitable.
Ce serait en quelque sorte un investissement effectué
en pure perte. L'exploitation d'une source d'information ou encore d'un
ensemble de données, mobilise des moyens techniques (informatique...) ou
humains, représente à ce titre une charge ou un coût
supplémentaire.
Ainsi l'édition d'un fichier issu de votre base de
données constitue u coût d'exploitation classique.
V -5- Pourquoi contrôler les couts de l'information
?
Dans le cadre d'une politique « d'information management
», l'information constitue le 3ème flux catalyseur des
flux physiques et financiers et, de ce fait, devient à part
entière une source de profits, d'économies et productivité
indispensable.
Or de toute évidence, afin de créer,
développer, gérer et optimiser ce flux d'informations, il faut en
maîtriser les coûts car :
L'information
· coûte cher
· catalyse la prise de décision
· doit être exploitable
· doit être sélectionnée
· doit être accessible en temps réel'
De plus, le flux d'informations généré et
maîtrisé est double au sens où :
o tout comme un flux commercial et physique, son exploitation
est source de matière consommable par l'entreprise.
o tout comme un flux financier, il est source de profits.
Données consommables
Consommées par l'entreprise
Source de: gains de productivité gains de parts de
marché
Gains financiers
La double nature des flux d'information Flux financier
induit
Politique d'information management
Produits financiers
Capital de l'entreprise
Dès lors, la gestion de l'information est un
investissement et non pas une dépense.
|
|
Et avant même d'évaluer la rentabilité
d'une politique efficace de gestion d'information, il est aisé
d'évoquer deux éléments capitaux, lesquels rendent une
telle politique vitale et indispensable pour toute entreprise moderne.
V -5-1- Le couts de la -non information est
supérieur au couts de l'information :
A ce titre, les exemples sont nombreux - sans qu'il soit
nécessaire de les démontrer avec force détails- et tout
aussi édifiants. Pensez seulement que ceux qui suivent vous adviennent
pour avoir négligé votre gestion de l'information.
Exemple1 : Quel que soit votre
métier, eu égard à une conjonction en permanence
évolution, les besoins de vos clients ou marchés-cibles sont
extrêmement variables. Ainsi, vous faut-il aller au-devant de la demande,
identifier ses tendances, prévoir ses humeurs, rechercher les
motivations, donc étudier pour comprendre, ne pas être
dépassé et agir en conséquence. En quelque sorte, il est
vital de << tendre l'oreille » et << d'ouvrir les yeux
».
Aussi la survie de votre entreprise est-elle liée
à l'efficacité de votre synthèse de veille
concurrentielle, commerciale, technologique et même juridique.
Faire profit de ces << évidences », c'est
accepter que vos concurrents sortent un produit bien plus adapté que les
vôtres à la demande ; un produit ayant demandé des
investissements lourds et une gestation longue, de sorte que malgré
votre aptitude à réagir promptement aux sollicitations du
marché, vous ne puissiez-vous adapter et répondre à temps
de sorte qu'il vous faudrait changer votre outil de production, vos
méthodes de travail...
La précaution indispensable afin de prévoir ce
type de catastrophe malheureusement courante de nos jours : une politique de
veille dynamique nécessitant des investissements en rapport avec
l'importance stratégique que revêt l'information
concurrentielle.
Quoique vous en disiez, son coût sent toujours
inférieur à celui du déclin de votre entreprise !!
Exemple 2 : L'un de vos commerciaux est en
contact avec un nouveau prospect pour une affaire jugée importante. Il
se déplace à plusieurs reprises pour rencontrer ce prospect et y
investit du temps, de l'énergie et bien sûr se montre pas avare en
frais, croyant que la fin justifie les moyens. A terme, il apprend, alors qu'il
pensait être sur le point de conclure le contrat, que le client n'est pas
solvable.
Vous en conviendrez, ce genre de déconvenue est
fréquent, mais encore une fois les moyens de les prévoir sont
nombreux et peu coûteux !!!
Ainsi existe-t-il de très efficaces serveurs
télématiques à même de vous renseigner sur la
solvabilité d'une entreprise, de même que le greffe du Tribunal de
Commerce, qu'un appel à la banque ou l'un des fournisseurs de ce
prospect eût été salvateur.
Pensez à l'argent ainsi gaspillé en salaires,
charges sociales et frais, outre que le manque à gagner inhérent
à l'indisponibilité de votre commercial vis-à-vis de
prospects plus sûrs, ou de clients déjà acquis qui ne
demandent qu'à être fidélisés pour consommer plus et
générer plus de bénéfices.
V- 5- - Le cout de la -non utilisation d'une
information est supérieur à son couts d'acquisition
:
En effet, nombreuses sont les études menées
à grands frais sans que les conclusions soient suivies d'actions ; sans
compter les informations formalisées présentant des coûts
de gestion, de stockage et d'exploitation élevés et qui soit ne
sont pas utilisées soit le sont trop tardivement, alors que toute
information est périssable.
Prenons encore l'exemple d'un simple fichier loué
à 10 francs l'adresse, lequel ne sera utilisé qu'au bout de 6
mois suite à un report de l'opération initialement
prévue.
Or, au bout de 6 mois, environ 30% des adresses sont
périmées, vous perdrez ainsi les fais de routage, le coût
unitaire de votre message (colis ou mailing) et les frais d'affranchissement
rapportés à ces 30% d'adresses obsolètes.
De même 30% de votre opération sera hors cible,
donc susceptible de vous attirer l'inimitié de ces nouveaux
destinataires.
Sur quelques milliers d'adresses, le coût de la
non-utilisation de ce fichier durant 6 mois sera à n'en pas douter
supérieur à celui de son acquisition. Ce à quoi vous
pouvez rajouter le manque à gagner sur les 30% de la cible initiale qui
s'avère non couverte.
V-5-3- Une triple approche :
Par conséquent, toute une politique de gestion
stratégique de l'information est tributaire d'une approche des
coûts de l'information pour que son retour sur investissement soit
quantifiable !
Pour se faire, une triple approche est nécessaire :
- Prévisionnelle ;
- En temps réel ;
- Historique
· Prévisionnelle : le
préalable à toute acquisition de ses coûts de gestion et
d'exploitation, ainsi la mesure de sa rentabilité à venir
est-elle possible.
· En temps réel : à
chaque instant vous devez, grâce à ce système de gestion de
l'information, être à même de contrôler
l'évolution des coûts inhérents à la gestion d'une
information ou d'une source.
En effet, tant que son rapport se justifie
économiquement, la mesure en temps réel de son coût de
revient permet de décider de poursuivre cet investissement et dans le
cas contraire d'y mettre fin. Dans le cadre du contrôle des couts de
l'information, les mesures en temps réel sont donc primordiales pour
prendre une décision de type STOP/GO.
· Historique : A quoi bon gérer
l'information nécessaire au fonctionnement de votre entreprise si vos
outils de gestion de l'information ne vous permettent pas le calcul de son
retour sur investissement.
|
La mesure des coûts historiques, et donc réels, est
ainsi une condition essentiel au contrôle des coûts de
l'information.
|
|
V-5-4- Les buts du contrôle des couts de
l'information :
Les buts du contrôle des outils de l'information à
la lumière des éléments évoqués ci-dessous
peuvent-ils se résumer dans le schéma suivant :
Connaitre les couts de
Evaluer certaines
Etablir des previsions
Calculer Les Ecarts
Pour avoir des bases de décision rationnelles
Pour identifier les maillons les plus faibles dans la
gestion de
Pour définir et valider des objectifs
Pour mener a bien
Chapitre2
Dans cette partie nous présentons et décrivons
les différents outils de conception (langage, méthode, Logiciel)
que nous avons utilisé dans la conception de notre application, suivie
d'une analyse détaillée des fonctionnalités du travail
demandé ainsi que les différents besoins opérationnels.
- Choix des outils de conceptions
I. modélisation objet Introduction a UML :
La modélisation objet consiste à créer
une représentation informatique des éléments du monde
réel, sans se préoccuper de l'implémentation, ce qui
signifie indépendamment d'un langage de programmation. Il s'agit donc de
déterminer les objets présents et d'isoler leurs données
et les fonctions qui les utilisent. Pour cela des méthodes de conception
et de développement orientées objet ont été mises
au point. Entre 1970 et 1990, de nombreux analystes ont mis au point des
approches orientées objets, si bien qu'en 1994 il existait plus de 50
méthodes objet.
Toutefois seules 3 méthodes ont véritablement
émergées :
· La méthode OMT de Rumbaugh
· La méthode BOOCH'93 de Booch
· La méthode OOSE de Jacobson
A partir de 1994, Rumbaugh et Booch (rejoints en 1995 par
Jacobson) ont unis leurs efforts pour mettre au point la méthode UML
(Unified Modeling Language), qui permet de définir une notation standard
en incorporant les avantages de chacunes des méthodes
précédentes (ainsi que celles d'autres analystes).
Les concepts objet :
L'approche objet est une idée qui a désormais
fait ses preuves. Simula a été le premier langage de
programmation à implémenter le concept de classes en 1967 ! En
1976, Smalltalk implémente les concepts d'encapsulation,
d'agrégation, et d'héritage (les principaux concepts de
l'approche objet). D'autre part, de nombreux langages orientés objets
ont été mis au point (Object Pascal, C++, Java, etc.).
Objet :
Un objet est une abstraction d'un élément du
monde réel. Il possède des informations, par exemple nom,
prénom, adresse, etc., et se comporte suivant un ensemble
d'opérations qui lui sont applicables.
De plus, un ensemble d'attributs caractérisent
l'état d'un objet, et l'on dispose d'un ensemble d'opérations
(les méthodes) qui permettent d'agir sur le comportement de notre
objet.
Un objet est l'instance d'une classe, et une classe, est un
type de données abstrait, caractérisé par des
propriétés (ses attributs et ses méthodes) communes
à des objets, qui permet de créer des objets possédant ces
propriétés.
Tout objet présente les trois (03) caractéristiques
suivantes : un état, un comportement et une identité
Objet = identité + état (attributs) +
comportement (méthodes)
Messages :
Le deuxième concept important en approche objet est le
message. Il est important de ne pas confondre le message, sa signification dans
l'approche objet et puis son implémentation, généralement
sous forme de déclenchement d'opération. Notez que je
n'écris pas déclenchement de méthode car, au travers du
polymorphisme que nous verrons un peu plus tard, on ne sait pas très
bien quelle est la méthode déclenchée (et c'est
très bien !).
2.3. Classe :
C'est un types d'éléments qui partagent les
mêmes propriétés (attributs, méthodes, relations,
sémantique).
Si les propriétés définies par la classe
sont immuables et ne dépendent pas des éléments, on parle
d'attributs ou de variables de classe et de méthodes de classes,
inversement si leur contenu dépend de l'élément on parle
d'attribut ou de variable d'instances et de méthodes.
Les propriétés d'une classe ont une
visibilité, c'est-à-dire que l'accès aux
propriétés d'une classe par une autre est
contrôlé.
Nom de classe
Attributs
Méthodes
Fig01. Représentation graphique des
classes.
2.4. Association :
Une association est une relation entre deux classes (association
binaire) ou plus (association n-aire), qui décrit les connexions
structurelles entre leurs instances.
Une association indique donc qu'il peut y avoir des liens entre
des instances des classes associées.
Entreprise : ENSEM
Un lien
|
|
Ahmed: Personne
|
|
Une association
|
|
ENSEM
|
Personne
|
|
|
|
Fig02. Les liens entre l'Entreprise et les Personnes
sont tous des instances entre la classe Entreprise et la classe
. Agrégation :
L'agrégation est la forme particulière
d'association entre deux classes indiquant que des instances d'une classe, sont
contenues (ou agrégées) dans une instance d'une autre classe.
Dans l'agrégation les deux objets en relation sont
distingués : l'un est un composant de l'autre.
Au niveau logique, on considère que le composé est
responsable de la gestion de ses composants (c'est le composé qui
crée, modifie, ou détruit ses composants).
Agrégat Composant
Fig03. Représentation graphique de
l'agrégation
2.6. Généralisation et
spécialisation :
|
Une classe peut ~tre la généralisation d'une ou
plusieurs autres classes. Ces classes sont alors des spécialisations de
cette classe.
|
La generalisation Reunir des objets possedant des
caracteristiques communes dans une nouvelle classe plus generale appelee
super-classe.
La specialisation séparer des objets suivant des
caractéristiques plus spécifiques dans une nouvelle classe plus
spécifique appelée sous-classe
Fig04. Hiérarchies de classes
2.7. Héritage :
L'héritage est un principe de la programmation
orientée objet, permettant entre autres la reutilisabilite et
l'adaptabilite des objets. Elle se nomme ainsi car le principe est en quelque
sorte le mrme que celui d'un arbre genealogique. Ce principe est base sur des
classes dont les « filles » heritent des caracteristiques de leur(s)
« mère(s)».
2.8. Encapsulation :
L'encapsulation est un mecanisme consistant à
rassembler les donnees et les methodes au sein d'une structure en cachant
l'implementation de l'objet, c'est-à-dire en empêchant
l'accès aux donnees par un autre moyen que les services proposes.
L'encapsulation permet donc de garantir l'integrite des donnees contenues dans
l'objet.
2.9. Polymorphisme :
Le polymorphisme designe un concept de la theorie des types,
selon lequel un nom d'objet peut désigner des instances de classes
différentes issues d'une mrme
arborescence.
La possibilite de redefinir une methode dans des classes
heritant d'une classe de base s'appelle la specialisation. Il est alors
possible d'appeler la methode d'un objet sans se soucier de son type
intrinsèque : il s'agit du polymorphisme d'heritage.
Ceci permet de faire abstraction des details des classes
specialisees d'une famille d'objet, en les masquant par une interface commune
(qui est la classe de base)
3. La notation UML : 3.1. Historique
:
Les premières methodes d'analyse
(années 70): Decoupe cartesienne (fonctionnelle et
hierarchique) d'un système.
L'approche systemique (années 80)
: Modelisation des donnees + modelisation des traitements (Merise
...).
L'emergence des methodes objet (1990-1995)
: Prise de conscience de l'importance d'une methode
specifiquement objet :
- comment structurer un système sans centrer l'analyse
uniquement sur les donnees ou uniquement sur les traitements (mais sur les
deux) ?
- Plus de 50 methodes objet sont apparues durant cette periode
(Booch, ClasseRelation, Fusion, HOOD, OMT, OOA, OOD, OOM, OOSE...) !
- Aucun methode ne s'est reellement imposee. Les premiers
consensus (1995)
- OMT (James Rumbaugh) : vues statiques,
dynamiques et fonctionnelles d'un système
* issue du centre de R&D de General Electric.
* Notation graphique riche et lisible.
- OOD (Grady Booch) : vues logiques et
physiques du système
* Definie pour le DOD, afin de rationaliser de developpement
d'applications ADA, puis C++.
|
* Ne couvre pas la phase d'analyse dans ses 1ères
versions (preconise SADT).
* Introduit le concept de package (element d'organisation des
modèles). - OOSE (Ivar Jacobson) : couvre tout le cycle
de developpement
* Issue d'un centre de developpement d'Ericsson, en
Suède.
|
* La méthodologie repose sur l'analyse des besoins des
utilisateurs.
L'unification et la normalisation des
méthodes (1995-1997) : en octobre 1994, G.
Booch (père fondateur de la méthode Booch) et J. Rumbaugh
(principal auteur de la méthode OMT) ont décidé de
travailler ensemble pour unifier leurs méthodes au sein de la
société Rational Software. Un an après, I . Jacobson
(auteur de la méthode OOSE et des cas d'utilisation) a rejoint Rational
Software pour travailler sur
l'unification.
Les travaux sur ce langage ont continué avec son
adoption par de grands acteurs industriels comme HP, Microsoft, Oracle ou
Unisys. Ce travail a abouti en 1997 à UML 1.0. Le langage a
été soumis par Rational Software et ses partenaires à
l'OMG comme réponse à un appel d'offres sur la standardisation
des langages de modélisation.
Fig05. L'évolution de la norme UML
L'appel d'offres de l'OMG a recueilli un avis favorable,
puisque 6 réponses concurrentes sont parvenues à l'OMG. IBM et
Object Time (méthode ROOM pour les systèmes temps réel
réactifs) ont décidé de rejoindre l'équipe UML ;
leur proposition était en fait une extension d'UML 1.0. Certains autres
auteurs qui ont répondu à l'appel d'offres ont abandonné
leur proposition pour rejoindre à leur tour UML. En novembre 1997, UML a
été adapté par l'OMG.
. Définition :
UML (Langage de Modélisation Unifié) est une
notation utilisée en tant qu'outil de modélisation des
applications construites avec des langages objets.
Dans ce contexte et devant le foisonnement de nouvelles
méthodes de conception « orientée objet », l'Object
Management Group (OMG) a eu comme objectif de définir une notation
standard utilisable dans les développements informatiques basés
sur l'objet. C'est ainsi qu'est apparu UML (Unified Modified Language «
langage de modélisation objet unifié »), qui est issu de la
fusion des méthodes suivantes :
OMT (Object Modelling Technique) conçue par James
Rumbaugh. OOSE (Object Oriented Software Engineering) conçue par Grady
Booch. OOD (Object Oriented Design) conçue par Ivar Jacobson.
3.3. Objectif :
UML est un langage qui permet de
représenter des modèles, mais il ne définit pas le
processus d'élaboration des modèles.
UML est avant tout un support de communication
performant, qui facilite la représentation et la compréhension de
solutions objet.
UML est une représentation graphique, qui
s'intéresse à un aspect précis du modèle ; c'est
une perspective du modèle.
UML n'introduit pas d'éléments de
modélisation propres à une activité (analyse,
conception...) ; le langage reste le même à tous les niveaux
d'abstraction.
3.4. Les principes symboles utilisés
:
Les principes symboles utilisés dans notre étude,
et précisément dans les diagrammes d'UML sont regroupés
dans le tableau ci-dessous :
Symbole
|
Description
|
|
|
Acteur
|
|
|
: Nom l1 l'REjW
|
Objet
|
Connexion
|
&1N11'YtiliNIIIRn
|
|
Association
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Agrégation
|
|
Début
|
|
Fin
|
|
Etat
|
|
|
|
|
[Condition]
|
Les conditions
|
|
1 ° Yd
|
|
|
|
|
|
|
|
Etat
|
Evénement [condition]
|
Etat
|
|
|
|
Les diagrammes d'UML :
UML permet de définir et de visualiser un modèle,
à l'aide de diagrammes. . Définition d'un diagramme
UML :
Un diagramme UML est une représentation graphique, qui
s'intéresse à un aspect précis du modèle. C'est une
perspective du modèle, pas "le modèle".
Chaque type de diagramme UML possède une structure (les
types des éléments de modélisation qui le composent sont
prédéfinis).
Un type de diagramme UML véhicule une sémantique
précise (un type de diagramme offre toujours la même vue d'un
système).
Par extension et abus de langage, un diagramme UML est aussi un
modèle (un diagramme modélise un aspect du modèle
global).
. Caractéristiques des diagrammes UML
:
Les diagrammes UML supportent l'abstraction. Leur niveau de
détail caractérise le niveau d'abstraction du modèle.
La structure des diagrammes UML et la notation graphique des
éléments de modélisation est normalisée (document
"UML notation guide").
. Les différents types de diagrammes UML
: Il existe 2 types de vues du système qui comportent
chacune leurs propres diagrammes :
a- les vues statiques :
*diagrammes de cas d'utilisation *diagrammes d'objets
*diagrammes de classes
* diagrammes de composants * diagrammes de déploiement
b- les vues dynamiques :
* diagrammes de collaboration * diagrammes de séquence
* diagrammes d'états-transitions * diagrammes
d'activités
. Les diagrammes de cas d'utilisation
:
les use cases permettent de structurer les besoins des
utilisateurs et les objectifs correspondants d'un système. Ils centrent
l'expression des exigences du système sur ses utilisateurs : ils partent
du principe que les objectifs du système sont tous motivés.
. Eléments de modélisation des cas
d'utilisation
a- L'acteur : la première
étape de modélisation consiste à définir le
périmètre
du système, à définir le contour de
l'organisation et à le modéliser.
|
Toute entité qui est en dehors de cette organisation et
qui interagit avec elle est appelé acteur selon UML.
|
|
|
|
b- Le cas d'utilisation : le cas
d'utilisation (ou use case) correspond à un objectif du système,
motivé par un besoin d'un ou plusieurs acteurs.
L'ensemble des use cases décrit les objectifs (le but) du
système.
c- La relation: elle exprime
l'interaction existant entre un acteur et un cas d'utilisation.
: Client
Fig06. Exemple de diagramme de cas
d'utilisation
Connexion
. Les diagrammes de classes :
le diagramme de classes exprime la structure statique du
système en termes de classes et de relations entre ces classes.
L'intér~t du diagramme de classe est de modéliser
les entités du systèm d'information.
Le diagramme de classe permet de représenter l'ensemble
des informations finalisées qui sont gérées par le
domaine. Ces informations sont structurées,
c'est-à-dire qu'elles ont regroupées dans des
classes. Le diagramme met en évidence d'éventuelles relations
entre ces classes.
Le diagramme de classes comporte 6 concepts : (classe,
attribut, identifiant, relation, opération, généralisation
/ spécialisation)
Nom : String
Date _naissance : entier Age : String
Personne
Appartement
N-Immeuble: Entier Etage : Entier
Nb-Pièces : Entier
Fig07. Exemple de diagramme de classe
3.8. Les diagrammes d'objet : le
diagramme d'objets permet de mettre en évidence des liens entre les
objets. Les objets, instances de classes, sont reliés par des liens,
instances d'associations.
A l'exception de la multiplicité, qui est explicitement
indiquée, le diagramm d'objets utilise les mrmes concepts que le
diagramme de classes. Ils sont essentiellement utilisés pour comprendre
ou illustrer des parties complexes d'un diagramme de classes.
Salarié : Martin
Salarié : Dupont
Salarié : Durand
Fig08. Exemple de diagramme d'objet
3.9. Les diagrammes de déploiement :
les diagrammes de déploiement montrent la disposition
physique des différents matériels (les noeuds) qui entrent dans
la composition d'un système et la répartition des instances de
composants, processus et objets qui « vivent » sur ces
matériels.
Les diagrammes de déploiement sont donc très utiles
pour modéliser l'architecture physique d'un système.
3.10. Les diagrammes de collaboration :
le diagramme de collaboration permet de mettre en évidence les
interactions entre les différents objets du système.
Dans le cadre de l'analyse, il sera utilisé
- pour préciser le contexte dans lequel chaque objet
évolue
- pour mettre en évidence les dépendances entre les
différents objets impliqués dans l'exécution d'un
processus ou d'un cas d'utilisation.
Un diagramme de collaboration fait apparaître les
interactions entre des objets et les messages qu'ils échangent.
: Ascenseur
: Cabine
: Cabine
: Cabine
1 : Monter
3 : Fermer
2 : Allumer
Fig09. Exemple de diagramme de collaboration
. Les diagrammes de séquence :
le diagramme de séquence est une variante du diagramme de
collaboration.
Par opposition aux diagrammes de collaboration, les diagrammes
de séquence possèdent intrinsèquement une dimension
temporelle mais ne représente pas explicitement les liens entre les
objets.
Le diagramme de séquence permet de visualiser les
messages par une lecture de haut en bas. L'axe vertical représente le
temps, l'axe horizontal les objets qui collaborent. Une ligne verticale en
pointillé est attachée à chaque objet et représente
sa durée de vie.
Appelant
Ligne téléphonique
Appelé
Décroche
Tonalité
Numérotation
Indication de sonnerie Sonnerie
Décroche
Fig10. Exemple de diagramme de
séquence
Allo
. Les diagrammes
d'états-transitions:
ils ont pour rôle de représenter les traitements
(opérations) qui vont gérer le domaine étudié. Ils
définissent l'enchaînement des états de classe et font donc
apparaître l'ordonnancement des travaux.
Le diagramme d'états-transition est associé
à une classe pour laquelle on gère différents
états : il permet de représenter tous les
états possibles ainsi que les événements qui provoquent
les changements d'état.
Caractéristiques et règles de
construction :
a-Etat : un état correspond
à une situation durable dans laquelle se trouvent les objets d'une
classe.
On lui associe les règles de gestion et les
activités particulières.
b- Evénements et transitions :
un objet passe d'un état à un autre suite à
un événement, certain événement
pouvant ne pas provoquer de changement d'état. Une
transition est une relation entre 2 états. Elle est
orientée ce qui signifie que l'état 2 est possible si certains
événements sont vérifiés .Sa
représentation symbolique est une flèche sur laquelle est
annoté l'événement qui concourt au
changement d'état.
Fig11. Exemple de diagramme
d'états-transitions
[Après acquisition]
Disponible
[Après emprunt]
Non disponible
[Ouvrage abîmé ou non
restitué]
. Les diagrammes d'activités:
UML permet de représenter graphiquement le comportement d'une
méthode ou le déroulement d'un cas d'utilisation, à l'aide
de diagrammes d'activités (une variante des diagrammes
d'états-transitions).
Une activité représente une exécution d'un
mécanisme, un déroulement d'étapes
séquentielles.
Le passage d'une activité vers une autre est
matérialisé par une transition.
Les transitions sont déclenchées par la fin d'une
activité et provoquent le début immédiat d'une autre
(elles sont automatiques).
En théorie, tous les mécanismes dynamiques
pourraient être décrits par un diagramme d'activités, mais
seuls les mécanismes complexes ou intéressants méritent
d'être représentés.
Préparation de la commande
Attente de livraison suivie de la commande
Mise en stock de la marchandise
Fig12. Exemple de diagramme
d'activités
. Les diagrammes de composants: les
diagrammes de composants permettent de décrire l'architecture physique
et statique d'une application en termes de modules : fichiers sources,
librairies, exécutables, etc. IO11P RQI4-It11lI11P B4-114-n11oeDvI4-11pK
VqD4-11d4-111P odèles de la vue logique avec l'environnement de
développement.
Les dépendances entre composants permettent notamment
d'identifier les contraintes de compilation et de mettre en évidence la
réutilisation de composants.
Les composants peuvent être organisés en
paquetages, qui définissent des soussystèmes. Les
sous-systèmes organisent la vue des composants (de réalisation)
d'un système. Ils permettent de gérer la complexité, par
encapsulation des détails d'implémentation.
Le processus unifiés :
Un processus de développement définit une
séquence d'étapes, en partie ordonnée, qui concoure
à l'obtention d'un système logiciel ou à
l'évolution d'un système existant, pour produire des logiciels de
qualité, qui répondent aux besoins des utilisateurs dans des
temps et des coûts prévisibles.
Architecture, Pattern, Savoir-faire, sont des aspects qui
voient leur importance dans le processus de développement bien
établie. Cependant, les modèles de conception (design
patterns) ne font que commencer à être intégrés dans
les outils,
et d'une manière rarement normative. Il en est de mrme
pour la prise en compte des architectures logicielles.
L'explicitation de ces informations sous forme de
méta-modèles standard constitue un préliminaire à
leur opérationnalité et à la généralisation
de leur utilisation.
II. Présentation de processus 2TUP
1. Introduction :
La complexité croissante des systèmes
informatiques a conduit les concepteurs à s'intéresser aux
méthodes. Chaque méthode se définit par une notation et un
processus spécifique.
UML a ouvert le terrain en fusionnant la notation. Il reste
cependant à définir le processus pour réellement
capitaliser des règles dans le domaine du développement
logiciel.
Le groupe UML travaillé à unifier non pas les
processus, mais plus exactement les meilleures pratiques de
développement objet.
Ces processus se distinguera par le générique
« Unified Process ». Le processus
unifié
|
Le processus unifié est un processus de
développement logiciel : il regroupe les activités à mener
pour transformer les besoins d'un utilisateur en système logiciel.
Caractéristiques essentielles du processus unifié :
- Le processus unifié est à base de composants,
- Le processus unifié utilise le langage UML (ensemble
d'outils et de diagramme),
|
- Le processus unifié est piloté par les cas
d'utilisation, - Centré sur l'architecture,
- Itératif et incrémental.
Le processus adopté dans notre travail:
2TUP
Le processus 2TUP :
2TUP signifie (2Track Unifie Process).c'est un processus UP qui
répond aux caractéristiques que nous venons de citer.
Le processus 2TUP apporte une réponse aux contrainte de
changements continuel imposées aux systèmes d'information de
l'entreprise.
En ce sens, il renforce le contrôle sur les
capacités d'évolution et de correction de tels système
(2track) signifie littéralement que le processus suit deus
chemins.il s'agit des chemins
(Fonctionnels) et (D'architecture technique) qui correspondent au
système informatique.
Contraintes Fonctionnelles
Fig13. Le systime d'information soumis a deux Nature de
contraintes
Système d'information d'entreprise
Contraintes Techniques
Le processus unifié utilise le langage UML pour la
création des plans d'élaboration et de construction du
système logiciel. En fait, UML fait partie intégrante de
processus unifié : l'un et l'autre ont été
développé concret il est :
· Itératif et incrémentale.
· Centré sur l'architecture.
· Conduit par les cas d'utilisation et piloté par
les risques. La gestion d'un tel processus est
organisée suivant 4 phases :
· Pré étude.
· Elaboration.
· Construction.
· Transition.
Les activités de développement sont défini
par :
· La capture des besoins.
· L'analyse.
· La conception.
· L'implémentation.
· Le test.
Contraintes Fonctionnelles
Capture des besois Fonctionnels
Fig14. Le processus de développement en
Y
Analyse
Conception prèliminaire
Conception dètaillèe
Codage et testes
Recette
Conception gènirique
Capture des besois Techniques
Contraintes Techniques
L'axiome fondateur du 2TUP consiste à constater que
toute évolution imposé au système d'information peut se
décomposé et se traiter parallèlement, suivant un axe
fonctionnel et un axe technique.
L'étude de ces évolutions pourra être
menée indépendamment, suivant les deux branches du 2TUP.
A l'issue des évolutions du modèle fonctionnel
et de l'architecture technique, la réalisation du système
consiste à fusionner les résultats des deux branches ; cette
fusion conduit à l'obtention d'un processus de développement en
forme de Y, comme illustré par la figure.
la branche gauche (fonctionnelle):
La branche fonctionnelle correspond à la tâche
traditionnelle de modélisation du domaine, du problème à
résoudre et des besoins des utilisateurs. On distingue deux phases :
a. Capture des besoins fonctionnels
: Qui produisent le modèle des besoins
focalisés sur le métier des utilisateurs.
Elle qualifie, au plus tôt le risque de produire un
système inadapté aux utilisateurs :
Le niveau contexte a pour objet de définir la
frontière fonctionnelle entre le système et son environnement.
Le niveau « cas d'utilisation » définit ensuite
les activités attendues des différents utilisateurs par rapport
au système.
b. L'analyse :
Qui consiste à étudier précisément
la spécification fonctionnelle de manière à obtenir une
idée de ce que va réaliser le système en terme de
métier, ouvre le système pour établir la structure des
objets utilisés. Le modèle d'analyse du domaine définit la
structure et le comportement des objets connus dans le métier des
utilisateurs du système.
Le modèle d'analyse de l'application y rajoute, suivant
le mrme processus les objets qui sont connus des utilisateurs, dans le cadre de
la mise en application de leur besoins.
La branche droite (architecture
technique):
En effet, on a longtemps considéré que l'aspect
technique se déduisait d'une manière ou d'une autre des aspects
fonctionnels. ce qui a changé et que :
· Il faut faire des choix en matière de
technique.
· ,Il n'y a plus nécessairement une base de
données centrale unique mais des bases de données
réparties qui communique entre elles.
· Il faut donc créer de toutes pièces un
modèle de ces composants et de leur interaction.
a. La capture des besoins techniques
:
Qui recense toutes les contraintes sur les choix de
dimensionnant et la conception du système. Les outils et les
matériels sélectionnés ainsi que la prise en compte des
contraintes d'intégrations avec l'existant (pré requis
d'architecture technique).
b.
La conception générique
:
Qui définit ensuite les composants nécessaires
à la construction de l'architecture technique. Cette conception est
complètement indépendante des aspects fonctionnels. Elle a pour
objectif de d'uniformiser et de réutiliser les mrme mécanismes
pour tout un système.
L'objectif de la branche technique est
> Rassembler les besoins technique (sécurité,
intégration à l'existant, ..) dans un dossier.
> Elaborer une architecture logiciell e et applicative qui
réponde aux contraintes présentées dans le dossier
technique.
>
Identifier les besoins en Framework technique afin de pallier
aux manques de la technologie.
> Propose des règles de développement afin
d'industrialiser l'implémentation (gestion d'exception, règles de
nom mage, règles de codage,..).
la branche du milieu:
ü La conception préliminaire
:
Qui représente une étape délicate, car
elle intègre le modèle d'analyse fonctionnelle dans
l'architecture technique de manière à tracer la cartographe des
composants du système à développer.
ü La conception détaillée :
Qui étudie ensuite comment réaliser chaque
composant.
ü L'étape de codage : Qui
produit ses composants et test au fur et à mesure les unités de
code
réalisées.
ü L'étape de recette :
3Qui consiste enfin à valider les
fonctionnalités du système développé.
Conclusion (processus 2TUP ) :
n peut dire que le processus 2TUP
> S'articule autour de l'architecture
> Propose un cycle de développement en Y
> Détaillé dans « UML en action »
> Cible des projets de toute taille
Ces points forts :
> Itératif ;
> Fait une large pla ce à la technologie et à
la gestion de risque ;
> Dé finir les profils des intervenants, les livrable,
les plannings, les prototypes ; Ces points faibles
:
Plutôt superficiel sur les phases situées en
amont et en aval développement : capture des besoins, support,
maintenance, gestion changement... Ne propose pas de documents types.
Conclusion :
UML (Unified Modeling Language) est aujourd'hui le langage de
modélisation d'applications informatiques le plus important du
marché. Il est supporté par la quasi-totalité des outils
de développement, lesquels permettent l'édition de modèles
UML et offrent des capacités telles que la génération de
code, de test et de documentation, le suivi d'exigences ou encore le Reverse
Engineering.
UML compte déjà une dizaine d'années
d'existence. I l'échelle d'un courant
méthodologique, c'est encore une durée
relativement courte puisque l'on estime qu'un cycle de développement
d'une méthode de cette envergure s'étale sur une période
de vingt à trente ans, ce qui a été le cas par exemple
pour Merise.
Mais l'accélération du renouvellement des
technologies conjuguée avec la pression économique et
concurrentielle qui s'exerce sur les entreprises, obligent les acteurs du monde
informatique à produire des solutions de plus en plus rapidement dans un
contexte d'amélioration continue de la qualité et de la
performance des systèmes d'information.
Notons aussi qu'Internet a été un vecteur
favorisant le développement de très nombreuses applications dont
une grande partie utilise des solutions à base de langage de
programmation objet comme Java, C++ ou C#.
UML a apporté tout naturellement le support
méthodologique qui manquait à tous les concepteurs et
développeurs qui voulaient formaliser l'analyse et la conception
technique de leur logiciel.
UML s'est donc imposée en tant que langage graphique de
modélisation puisque non seulement ce langage répond à un
véritable besoin mais en outre il est devenu un standard de fait
puisqu'il s'appuie sur une norme très structurante.
Chapitre3
Introduction
Ce travail a été réalisé dans le
cadre d'un stage au niveau OPGI Khenchela.
Il porte sur une application de gestion du Patrimoine immobilier
visant
l'informatisation de ce service et l'ensemble de ces transactions
d'information.
Il s'agit d'une application standard, utilisable par n'importe
quelle entreprise
privée ou publique, petite, moyenne ou grande.
On a choisit le service du patrimoine pour les raisons de la
quantité très importante d'informations qu'il gère, et
donc les grands problèmes de stockage, de recherche, d'actualisation et
de diffusion d'information s'il rencontre.
Section ? : Présentation de l'OPGI
L'Office est chargé dans le cadre de la mise en oeuvre
de la politique sociale de l'Etat, de promouvoir le service public en
matière de logement social. En outre, il est chargé à ce
titre :
De la promotion immobilière sous toutes ses formes
(promotionnel, LSP).De la gestion immobilière (administrateur de
biens).
Des actions de prestations de services en vue d'assurer
l'entretien et la maintenance des biens immobiliers.
L'Office de Promotion et de Gestion Immobilière de
KHENCHELA est administré par un Conseil d'Administration et
dirigé par un Directeur Général.
a. Le patrimoine de l'Office
Le patrimoine de l'Office de la Wilaya de KHENCHELA
arrété au 01/12/2007 se présente comme suit :
|
|
|
Désignation
|
En location
|
En cession
Cédé
|
En cours
|
Total
|
Logements 11 198 1 294
Locaux 277 58
TOTAL 11 475 1 352
|
1 120
2
1 122
|
13 612
337
13 949
|
b. Statuts juridiques L'Office
Statuts juridiques L'Office de Promotion et de Gestion
Immobilière de la wilaya de KHENCHELA (O.P.G.I de KHENCHELA) a
été créé à l'instar des autres offices
répartis à travers le territoire national par le décret
76/93 du 23/10/1976 fixant les conditions de création des OPGI.
Sa nature ]uridique a été transformée par
le décret exécutif n°91/147 du 21 mai 1991 portant
modification de la nature ]uridique des statuts des OPGI.
Conformément à l'article 1 du décret
exécutif ci-dessus, l'OPGI est un établissement public à
caractère industriel et commercial, il est réputé
commerçant dans ses rapports avec les tiers et est soumis aux
règles de droit commercial.
c. Les missions de l'Office
Conformément à l'article 4 du décret
exécutif n° 91/147 du 12/05/1991, l'OPGI est investi des missions
suivantes :
· Promouvoir le service public en matière de
logement notamment pour les catégories sociales les plus
démunies
· A titre accessoire, il est chargé de :
· De la promotion immobilière
· De la maîtrise d'ouvrage
déléguée de l'Etat ou pour le compte de tout autre
opérateur
· De la promotion foncière
· Des actions de prestation de services en vue d'assurer
l'entretien, la maintenance, la restauration et la réhabilitation des
biens immobiliers
· De toute action visant l'accomplissement de ses
missions
En outre, il est habilité à gérer les biens
immobiliers qui lui sont confiés suivant une convention
déterminant les conditions et modalités de prise charge de cette
mission L'administration des biens immobiliers suivant les dispositions du
décret exécutif n°97-154 du 10 mai 1997
d. L'organigramme de l'OPGI de
KHENCHELA
Direction Générale
Directeur Général
Cellule des Affaires Juridiques et Contentieuses
|
|
Cellule de l'Audit Interne
|
|
Cellule de la SécuritéInterne
Directeur Général Adjoint
Département des Finances et de
la Comptabilité
Département de la Gestion et Maintenance
du Patrimoine
Service des Finances
Service des Investissements
Service de la Cession
Service de la Maintenance et de la Conservation du
Patrimoine
Service de la Comptabilité
Service de Recouvrement
Service de l'Exploitation du Patrimoine
Service des Ressources Humaines
Service des Moyens Généraux
Service Informatique
Département des Ressources Humaines
et Moyens Généraux
Service des Etudes et de la Programmation
Service des Prix et Marchés
Service de la Conduite des Opérations
Département de Maîtrise d'Ouvrages
Service de la Promotion Immobilière
et Foncière
Service Commercial
Département de Développement de la
Promotion Immobilière et Foncière
Fig01. Organigramme de O.P.G.I Khenchela
e. Département de la Gestion et Maintenance
du Patrimoine Ce département est chargé de :
*Assurer la gestion du patrimoine en exploitation, de la cession
et du fichier immobilier et de son entretien
*De concevoir et d'engager les actions de préservation du
patrimoine et de son maintien en état d'habitabilité.
*D'étudier et arréter les méthodes et
procédés techniques en matière de préservation du
patrimoine.
*Promouvoir les relations avec les usagers du patrimoine et le
mouvement associatif dans le cadre des actions liées à la
préservation des biens.
*Promouvoir les actions liées à la mise en place
des organes de la copropriété. Ce Département comprend
quatre services :
· e Service Exploitation du Patrimoine
· Le Service Cession
· Le Service de la Maintenance et de Préservation du
Patrimoine
Département de la Gestion et Maintenance du
Patrimoine
Service de
Service de la Cession
|
Service de la
|
l'Exploitation du
|
|
Maintenance et de la
|
Patrimoine
|
|
Conservation du
|
|
|
Pt
|
|
La formalisation des contrats et de conventions de location
de logements et de locaux à usage autre que l'habitation et du suivi des
dossiers des locataires
|
Assurer l'ensemble des opérations de vente du patrimoine
de l'Office dans le cadre de la législation et la réglementation
en vigueur
|
ro
Assurer l'hygiène, la
surveillance et le maintien en état d'habitabilité
du parc immobilier de l'Office
|
Suivi du transfert des biens de l'Etat et des mouvements du
patrimoine des locataires
|
Etablir les échéanciers de paiement et
versement des mensualités
|
Programmer, organiser,
contrôler et suivre l'ensemble des travaux d'entretien
|
La mise en oeuvre des règles et procédures de
ventes prévues pour les locaux à usage autre que
l'habitation
|
Assurer la transmission aux structures internes
concernées les éléments nécessaires pour
l'établissement des quittances de paiement des mensualités de
cession et des charges
|
Prendre en charge les grosses opérations de
réparation et réhabilitation du patrimoine
|
La tenue à jour du fichier central des dossiers des
locataires
|
Assurer le suivi du transfert des opérations liées
à la cession
|
|
|
Représenter l'Office au niveau des commissions de
Daïra dans la cadre de la cession des biens immobiliers
|
|
|
j. Département des Finances et de la
Comptabiité
Ce département est chargé de :
Assurer l'ensemble des opérations financières et
comptables de l'Office.
Définir les moyens budgétaires nécessaires
à l'accomplissement des missions de l'Office, d'en suivre
l'exécution et d'en assurer le contrôle.
Assurer la tenue et la mise à jour de la
comptabilité de l'Office.
Consolider l'ensemble des écritures comptables.
Ce Département comprend :
· Le Service Comptabilité
· Le Service Finances
· Le Service Investissement
· Le Service Recouvrement
Le Service Comptabilité comporte :
Service 1 :L'Etablissement du budget
prévisionnel et du contrôle de son exécution.
Service 2 :La tenue de la comptabilité selon les
règles en vigueur et de sa mise à jour.
Service 3 :L'élaboration de tout
document financier et comptable relatif à l'activité de
l'Office.
Service 4 :L'animation et le contrôle des
opérations liés aux investissements planifiés et suivre
leur endettement vis-à-vis des organismes de crédits
concernés.
Service 5 :D'établir les inventaires et
calculer leurs amortissements.
Service 6 : Assurer, animer et
contrôler l'ensemble des opérations liées aux recouvrement
des créances de l'Office (loyers, produits de cession et produits
divers..).
Service 7 :De procéder au
contrôle des différentes régies et caisses de
recouvrement
et le versement des recettes effectuées dans les comptes
de l'Office.
Service 8 :Etablir les inventaires et calculer
leur amortissement.
|
Service 9 :Contrôler les
opérations de recouvrements des recettes et le règlement des
dépenses.
|
|
Service 1
Service 2
Département des Finances et de
la Comptabilité
Service de la
|
Service des
|
Service des
|
Service de
|
Comptabilité
|
Finances
|
Investissements
|
Recouvrement
|
|
Assurer le suivi
régulier des situations de trésorerie et des
mouvements
financiers.
|
|
Etablir les états de rapprochements des comptes.
Service 3
Service 4
Service 5
Assurer le suivi et l'exécution des opérations
fiscales liées à l'activité de l'Office
Contrôler les
opérations liées à la gestion
financière des comptes.
|
D'élaborer, de suivre le programme des
investissements
annuels ou pluri-
annuels
|
|
D'engager toutes les procédures de mise en oeuvre du
programme d'investissements
Du recouvrement des loyers et des produits de cession.
De contrôler et de suivre les états de
recouvrement
provenant des unités et régies
|
|
De mettre en oeuvre toutes les procédures
réglementaires pour assurer le
recouvrement des loyers et produits de cession
D'établir
mensuellement un écart général du
recouvrement et le soumettre à la
Direction générale.
|
|
De proposer toutes mesures visant à l'amélioration
du taux de recouvrement.
Service 6
Service 7
Service 8
Service 9
g. Problématique : Gestion du patrimoine
immobilier OPGI Khenchela.
L'office de promotion et de gestion immobilière (OPGI)
est un établissement public doté de la personnalité morale
et de l'autonomie financière.
Les offices de promotion et de gestion immobilière sont
en outre, habilités à gérer les biens immobiliers qui leur
sont confiés.
En matière de gestion immobilière, les offices de
promotion et de gestion immobilière sont chargés:
· de la location et /ou de la cession des logements et
locaux à usage professionnel, commercial et artisanal;
· du recouvrement des loyers et des charges locatives ainsi
que des produits de la cession des biens immobiliers qu'ils gèrent;
· de la préservation des immeubles et de leurs
dépendances en vue de leur maintien en état permanent
d'habitabilité;
· de l'établissement et de la tenue à jour de
l'inventaire des immeubles constituant le parc immobilier dont ils assurent la
gestion ainsi que le contrôle du statut juridique des occupants des
logements et locaux compris dans ces immeubles;
· de l'organisation et de la coordination de toutes les
actions destinées à permettre une utilisation optimale des
ensembles immobiliers qu'ils gèrent;
· d'assurer selon les conditions particulières la
gestion de tous les biens qui leur ont été ou qui leur seront
rattachés dans le cadre de l'unicité des règles de gestion
du patrimoine immobilier;
· toute autre action entrant dans le cadre de la gestion
immobilière.
L'OPGI désire gérer sa gestion de patrimoine
immobilier. Elle voudrait en effet connaître l'implantation de chaque
logement (nom de la commune et du quartier) ainsi que les personnes qui les
occupent (les signataires uniquement).
Le loyer dépend d'un logement, mais en fonction de son
type (maison, studio, T1, T2...)
Pour chaque logement, on veut disposer également de
l'adresse, de la superficie ainsi que du loyer.
Section II : PHASE D 'ANALYSE ET DE CONCEPTION II.
Présentation de processus 2TUP:
1. Etude préliminaire :
A. Quand intervient cette étude
:
Etude préliminaire est la première étape
de notre processus de développement elle survient à la suite
d'une décision de démarrage de projet, et consiste à
effectuer un premier repérage des besoins fonctionnels et
opérationnel, en utilisant principalement le texte ou des diagrammes
simple.
Elle prépare les étapes plus formelles de capture
des besoins fonctionnelles et de capture des besoins techniques.
B. Objectifs principaux :
Etablir un recueil initial de besoins fonctionnels et
opérationnels (cahier de charge).
De modéliser le contexte du système
considère comme une boite noire en:
-identifiant les entités externes au système qui
interagissent directement avec lui (acteur).
-Répertoriant les interactions (émission
/réception de messages) entre ces acteurs et le système
(message).
Branche fonctionnelle
Fig0 . 6BXDNEQ ST1l10tXST18r0l1 KDRTESDIA lT
8UFTAAXA E7 8 3
Capture des besoins Fonctionnels
Etude préliminaire
Capture des besoins Techniques
Branche technique
-Représentant l'ensemble des interactions sur un
modèle de contexte dynamique, éventuellement complète par
un modèle de contexte statique.
Fig03. Diagramme de contexte dynamique de
syst~me.
1.1. Identification des acteurs :
Qu'est ce qu'un acteur ?
Un acteur représente l'abstraction d'un rôle
joué par des entités externes (utilisateurs, dispositif
matériel ou autre système) qui interagissent directement avec le
système étudies.
Dans notre système Il existe deux (02) acteurs :
> Exploiteur
> Caissier
> Locataire
Acteur
|
|
Rôle
|
Exploiteur
|
·
·
|
M.A.J des locataires Consultation des divers
|
Caissier
|
·
|
Encaissement
|
Locataire
|
·
·
|
Consultation Paiement
|
1.2 Modéliser le contexte : Diagramme de contexte
dynamique:
Tout les messages échangent entre système et
acteurs identifies peuvent être représenté de façon
synthétique sur un diagramme, que l'on peut qualifier de diagramme de
contexte dynamique
CAISSIER
Encaissement
Ajouter un locataire
Modifier un locataire
Supprimer un locata
Déposé
Dossier Logement
EXPLOITEUR
Consulter des divers
Locataire
Paiement
mensuellement
Relance de paiement
Fig04. Diagramme de cas d'utilisation
Identifier les cas d'utilisations :
Qu'est qu'un cas d'utilisation ?
Un cas d'utilisation représente un ensemble de
séquence d'actions réalisées par le
système et produise un résultat observable
intéressant pour un acteur particulier.
Un cas d'utilisation modélise un service rendu par le
Système .Il permet de décrire ce que le futur système
devra faire sans spécifier comment a le fera.
Le tableau suivant montre les liens entre les cas d'utilisation
identifiés, les acteurs principaux et secondaires et les messages
provenant du contexte.
1 Diagramme de cas d'utilisation
Description des cas d'utilisation
Cas d'utilisateur
|
acteur
|
description
|
Ajouter un locataire
|
Exploiteur
|
Ajouter un locataire est associe le dans un
logement
|
Modifier un locataire
|
Exploiteur
|
Modifier les information d'un locataire
|
Supprimer un locataire
|
Exploiteur
|
Supprimer d' locataire
|
Consulter des divers
|
Exploiteur Caissier
|
Consulter des locataires d'un logement est les logements
Consulter les versements des locataires et date de versement de
chaque locataire
|
Encaissement
|
Caissier
|
Saisie les versements des locataires
|
Paiement mensuellement
|
Locataire
|
Verser des cotisations mensuelles
|
Relance de paiement
|
Exploiteur
|
Relance un paiement en cas d'erreur ou d'une coupure.
|
Déposé Dossier Logement
|
Locataire
|
Déposé un dossier
pour bénéficier du logement.
|
3. Analyse de système
La phase d'analyse est la première étape dans la
vie d'un logiciel. Elle a pour objectif de décrire de manière
précise, concis, correct et compréhensible la
réalité étudiée. L'analyse d'une application objet
doit faire apparaitre les caractéristiques métiers des objets
suivant deux types d'analyse
· Une analyse statique : représentant la description
structurelle des objets,
· Une analyse dynamique : décrivant le cycle de
vie l'objet au cours de l'application (les étapes par lesquelles passe
l'objet ainsi que les évènements qui lui sont envoyés).
3.1Analyse statique
|
Les cas d'utilisation représentent une vue
fonctionnelle des systèmes. Si cette vue est conservée lors du
passage vers la définition de l'architecture, la forme du système
sera le reflet de la fonction et, de se fait le système sera
difficilement extensible.
|
|
Afin d'échapper a ce problème il convient de
négocier la transition vers les objets, or le modèle objet permet
de passer de cette vue fonctionnelle vers une vue objet du modèle. Le
diagramme objet exprime de manière générale la structure
statique de système en termes de classes et de relations entre ces
classes. Une classe permet de décrire un ensemble d'objets (attributs +
comportement), tendis qu'une relation ou association permet de faire apparaitre
des liens entre ces objets.
A. Identification des classes d'objets :
Notre étude nous à permis de recenser les classes
d'objets suivants :
Cité
Locataire
Commune
Logement
Date location
Versement
B. Affichage du modèle objet : Agrégation
:
Une agrégation est un type particulier d'association.
Elle traduit une étroite dépendance entre les classes, c'est une
association non symétrique dans laquelle une des
extrémités joue un rôle prédominant par rapport
à l'autre extrémité.
L'étude des classes d'objet de notre système
suggère qu'il existe l'agrégation suivant : Agrégation
entre les classes «Commune"« Cité ", et
«Cité"« Logement " :
Commune
Fig05. Agrégation « Commune - Cité
>>
*
Cité
Cité
*
Logement
Fig06. Agrégation «Cité - Logement
>>
1
Cité
Locataire
1 1
Versemen t
Fig07. Diagramme de classe
Logement
Commune
1
Data-Locat
C. Diagramme de classe :
Représentation de quelques
classes
Classe
|
propriétés
|
Type /taille
|
Méthodes
|
Locataire
|
IDLocataire Nom
Prénom
Date-nes
Tel
Nom Père
Prénom mere Nom mere
NBR Enf
|
AN25
A25 A25 Date N10 A25 A25 A25 N2
|
Enregister_loc () Modifier_loc () Recherché_loc
() Supprimer_loc ()
|
Logement
|
Mat_Log Bloc
Surface
Type_Log IDCité
|
AN25
AN5
N4
AN6
AN25
|
Recherch_Logs ()
|
Cité
|
IDCité
Nom_Cité NBR_Log Adresse
IDCommune
|
AN25 AN25
N5
AN50 AN25
|
Recherch_Cités ()
|
commune
|
IDcommune
Nom de commune Daira
wilaya
|
AN25 AN25 AN25 AN25
|
Recherch_commune ()
|
versement
|
IDLocataire Mat_Log
Date-vers
somme
|
AN25 AN25 Date
N
|
Encaisement (IDL : AN25 Somme
:N)
|
Date location
|
IDLocataire MatLog
Date-occup
|
AN25 AN25 Date
|
|
|
3 2 Analyse dynamique :
Nous avons jusqu'à présent étude la
statique (la structure) du système à modéliser à
travers le diagramme de classe. Nous allons maintenant passer à
l'étude de la dynamique (le comportement) du système.
|
La modélisation dynamique se base sur plusieurs
modèles ayant pour objectif d'une part de décrire les
interactions entre les objets, et d'une part d'étudier
l'évolution
|
|
Exploiteur
Fig08. Diagramme de séquence du
scénario « Ajout d'un locataire ~.
Demander formulaire
Sélection logement
Saisir les info d'un locataire
Afficher formulaire
Liste de logement
Validation
Valider
SystZme
interne des objets. Relativement à notre
système, et vue que le nombre important des interactions entre les
objets, ainsi que les variations de comportement auteur des cas d'utilisation
qui ne sont pas importantes, ce qui ramène l'utilisation des diagrammes
de séquences plus pertinent dans notre système. Pour ceci nous
allons basés dans l'étude dynamique sur diagrammes de
séquences, avec la représentation par les diagrammes
d'états-transitions les variations de comportement des d'utilisation
possibles.
Diagramme de séquence :
Dans les diagrammes de séquences un objet est
représenté par un rectangle et une barre verticale appelée
de vie de l'objet.
Les objets communiquent en échangent des messages
représentés par flèches horizontales, orientées de
l'émetteur des messages vers le destinataire. L'ordre d'envoi des
messages est montré par la position sur l'axe vertical.
Diagramme de séquence du scénario
« Ajout d'un locataire ».
Rechercher locataire
Afficher locataire
Supprimer
Valider
Validation
Fig10. Diagramme de séquence du
scénario « supprimer d'un locataire ~
Exploiteur
syst~me
Diagramme de séquence du scénario
« modifier d'un locataire ».
Rechercher d'un location
Afficher location
Modifier
Exploiteur
syst~me
Fig09. Diagramme de séquence du
scénario « modifier d'un locataire ~.
Diagramme de séquence du scénario
« supprimer d'un locataire ».
Recherche logement Afficher réponse
Versement
Afficher formulaire de versement
Saisir les informations
Valider
Validation
Fig12. Diagramme
de séquence du scénario
«encaissement ~
Syst~me
Caissier
Diagramme de séquence du scénario
« rechercher d'un locataire ».
Fig11. Diagramme de séquence du
scénario « rechercher d'un locataire ~
systeme
Demander formulaire de rechercher
Afficher formulaire Saisir inf pour
rechercher
Exploiteur
Diagramme de séquence du scénario
«encaissement » :
Chapitre4
Nous avons développé notre programme avec
NetBeans, cet éditeur est conçu pour fournir des produits de
développement logiciel solide comme le roc (EDI Nettes, Plateforme
NetBeans) qui répondent aux besoins des développeurs,
utilisateurs et les métiers qui reposent sur NetBeans comme base pour
leurs produits
I. Introduction :
La nécessité de faciliter et d'automatiser le
processus de développement de logiciel a permis la création de
divers Environnements de Développements Intégrés (EDI ou
IDE) en anglais « Integrated Development Environment. »
Dans le domaine de la programmation avec Java, il y a plus de
50 IDE's disponibles, par exemple : Eclipse, NetBeans, DrJava, JIPE, BlueJ,
Gel, Borland JBuilder, Oracle JDeveloper, IntelliJIDEA, JCreator
Eclipse et NetBeans sont très utilisés
dans les domaines : Professionnels et éducatifs. Toutes les entreprises
de logiciel, les universités, les écoles d'ingénieurs, les
laboratoires de recherche informatique utilisent toujours Eclipse et/ou
NetBeans.
Nous avons travaillé dans la vie universitaire et
professionnelle avec Eclipse et NetBeans.
II. Le NetBeans
Est conçu pour fournir des produits de
développement logiciel solide comme le roc (EDI Nettes, Plateforme
NetBeans) qui répondent aux besoins des développeurs,
utilisateurs et les métiers qui repose sur NetBeans comme base pour
leurs produits. NetBeans est également une communauté vibrante
où des personnes de n'importe quel pays que vous pouvez imaginer, ont la
possibilité de poser des questions, donner des conseils, contribuer et
finalement partager le succès de nos produits. Vous trouverez des
étudiants sur nos listes de distribution, des développeurs de
sociétés, et des personnes désirant approfondir leurs
connaissances.
Historique
En 1997, NetBeans naît de Xelfi, un projet
d'étudiants dirigé par la Faculté de mathématiques
et de physique de l'Université Charles de Prague. Plus tard, une
société se forme autour du projet et édite des versions
commerciales de l'EDI NetBeans, jusqu'à ce qu'il soit acheté par
Sun en 1999. Sun place le projet sous double licence CDDL et GPL v2 en juin de
l'année suivante.
Multilingue
La version actuelle, Netbeans 6.9.1 (sortie le 5 Août
2010), est disponible en 23 langues, la plupart étant
réalisées par la communauté d'utilisateurs.
3 Environnement
Netbeans est un IDE qui supporte une large variété
de langages de programmation et d'outils de collaboration.
3.1 Environnement de base
L'environnement de base comprend les fonctions
générales suivantes :
- configuration et gestion de l'interface graphique des
utilisateurs,
- support de différents langages de programmation,
- traitement du code source (édition, navigation,
formatage, inspection..),
- fonctions d'import/export depuis et vers d'autres IDE, tels
qu'Eclipse ou JBuilder, - accès et gestion de bases de données,
serveurs Web, ressources - partagées,
- gestion de tâches (à faire, suivi ...),
- documentation intégrée.
3.2 Principaux langages supportés
L'éditeur intégré propose des fonctions
de complétion, de contrôles syntaxiques et sémantiques,
d'avertissements et de conseils, de reprise de codes (« refactoring »
: renommage, changement des méthodes, gestion des classes, ...), de
sauvegarde et reprise.
Il supporte les principaux langages suivants :
- Java (Java SE 4, Java ME 5, Java FX 6, Java EE 7), Javadoc ;
- Ruby et Ruby on Rails 8: Ruby 1.9, Ruby on Rails 3, JRuby 1.4
;
- Groovy et Grails 9 ;
- PHP (dont les environnements Zend et Symfony) 10 ;
- JavaScript 11 ;
- C, C++, Fortran12.
Netbeans ne requiert pas l'utilisation d'un compilateur
particulier. A noter le support des bibliothèques Qt. Les plates-formes
supportées sont Microsoft Windows, Linux, Mac OS, Solaris 10 et
OpenSolaris ;
- Python ; - HTML, XHTML, RHTML ; - XML ; - DTD ; - CSS ; - JSP,
JSF ; - ERB Gestion de projets
Netbeans supporte les principaux systèmes de gestion
de versions cvs : CVS, Subversion, Mercurial, ClearCase. Il intègre par
ailleurs des outils collaboratifs (Projet Kenai Team Server). Il inter agit
avec les logiciels de gestion de bugs: Jira, BugZilla.
3.4 Débogage et optimisation
Netbeans comprend un profileur Java (analyse des performances
CPU, de la génération de charge, analyse de l'utilisation
mémoire, ...). Il intègre par ailleurs des outils de
débogue Java. Il peut aussi inter agir avec des débogueurs PHP
(Zend, Xdebug).
3.5 Bases de données
NetBeans comprend un explorateur de bases de données
qui supporte toutes les bases relationnelles pour lesquelles un connecteur JDBC
existe (selon les versions des gestionnaires de bases de données):
JavaDB (Derby) MySQL, PostgreSQL, Oracle, Microsoft SQL, PointBase, jTDS, IBM
Redistributable DB2, ... L'explorateur comprend un éditeur de
requêtes, un gestionnaire intégré de bases de
données MySQL.
3.6 Outils de construction
d'applications
Applications sur serveurs (applications Web et JAVA
EE) NetBeans supporte une importante variété
d'environnements pour l'exécution d'applications web et Java EE : Java
Server Pages (JSP), Java Server
Faces(JFS),Enterprise JavaBeans (EJB 2.1, EJB 3, EJB 3.1),
Apache Struts, Spring Web MVC, Hibernate ... Il supporte les standards Java EE
6, Java EE 5, J2EE 1.4, Java Persistence API (JPA 2.0 ), Java Servlet API.
Il permet le déploiement d'applications Java et
d'Applets via Java Web Start (JNLP). Netbeans intègre les fonctions de
Hudson (Maven et projets Java SE pour Ant) et de Maven (créer,
exécuter, tester et déboguer des projets Maven Apache).
3.6.2 Applications sur poste de travail
Il supporte le développement d'applications postes de
travail (Java SE), en lien avec JDK 1.1, 1.2, 1.3, 1.4, JDK 5.0 et JDK 6. Il
permet l'utilisation des tests JUnit 3 et 4. NetBeans propose un environnement
graphique exploitant Swing, désigné comme Java Swing GUI Builder
(ancien projet Matisse). Cet environnement comporte des palettes d'outils de
composition d'interfaces (composantes Swing et AWT et composantes
spécifiques développées pour les projets). Il est
utilisé au travers d'une interface graphique simple (choisir et
positionner) qui permet de dessiner des interfaces pour les utilisateurs et de
les visualiser à la volée. Le construction d'interface graphique
est conforme à JSR 296 (Swing Application Framework), et JSR 295
(technologie Beans Binding).
NetBeans supporte par ailleurs Java FX.
3.6.3 Applications Java sur mobiles ou
embarquées
Netbeans supporte le développement d'applications Java
pour mobiles (Java ME) et systèmes embarqués.
4 Web Services
NetBeans propose différents outils pour l'exploitation
de web services. Il supporte JAX-WS services, JAX-RS RESTful Web Services,
standards JAX-RPC Web Service, SOAP et RESTful Web Services, JBI Java Business
Intégration, Java Architecture for XML Binding API (JAXB), Mobile Java
ME Web services . Il permet l'utilisation des web services Google Maps,
StrikeIron, Yahoo News Search. Il supporte par ailleurs l'intégration de
services fournis par quelques acteurs clés (Google, Facebook, Yahoo, You
Tube, ...).
7 Plateforme NetBeans
7 Plateforme
NetBeans est aussi une plateforme générique
pour le développement d'applications pour stations de travail
(bibliothèque Swing (Java)).Elle fournit des ressources pour
développer les éléments structurants de ces applications:
gestion des menus, des fenêtres, configuration, gestion des fichiers,
gestion des mises à jour... Des présentations
détaillées sont fournies par le centre de documentation de
NetBeans.
L'IDE NetBeans comprend toutes les ressources utiles mais il
est aussi possible d'installer la plateforme séparément.
3.7.2 OSGi
La plateforme NetBeans se conforme au Framework
d'OSGiNetBeans IDE 6.9 permet de créer des paquetagesOSGi pour des
applications Java et pour des applications développées depuis
NetBeans.
3.7.3 Plugins
L'IDE NetBeans s'enrichit au travers d'une logique de
plugins.
4 Présentation de
l'application
III. Implémentation L'accueil
|
Simple à mettre en oeuvre, si vous avez cliqué sur
le bouton exploiteur La fenêtre suivante est apparue
|
|
Login Exploiteur
Saisir Le nom d'utilisateur et Le mot de passe, un message
d'erreur est apparue si vous avez tapé un Nom ou un mot de passe
faux.
Le Message d'erreur
|
A l'inverse vous pouvez entrer comme un agent d'exploitation
Vous avez un menu général
|
|
Fenêtre spécial pour
l'exploiteur
?
Locataire: pour ajouter un nouveau ou Modifier ou supprimer
Si vous avez cliqué sur ajouter Locataire une autre
fenêtre est apparue
A la fin de remplir tous les champs cliqué sur le bouton
ajouter, une nouvelle fenêtre doit lancer pour continu l'ajout d'un
locataire.
Une liste contient Les communes de wilaya doit lancer,
sélectionner une commune
Une nouvelle liste contient Les cité de la commune
Sélectionne un numéro de logement
A la fin si vous êtes correct appuyer sur le bouton
ajouter
|
Un message de confirmation qui vous informe qu'un nouveau
locataire est bien insérer
|
|
Fenêtre spécial pour le
caissier
La photo Est la meilleure expression
La fenêtre ci-dessous si vous entrer un Matricule
Incorrect
Et sa si Vous entrer un autre correct :
· Des informations sur Le Logement de Locataire
· Un Bouton qui va calculer Loyer
Si vous avez cliqué sur le bouton Versement Le champ
suivant est apparue
|
A partir de cette fenêtre le programme va calculer le
montant à payé en déterminons le nombre de mois à
payé et la période.
|
|
Une fois le paiement est constaté la validation de
l'opération donne une nouvelle date du mois prochaine impayé.
Conclusion
Conclusion générale
Nous venons par ce stage pratique effectué à
l'OPGI KHENCHELA de boucler notre formation.
Ce stage qui nous a permis de rédiger notre
mémoire a été décisif et d'une importance capitale
dans notre étude puisqu'il constitue un pont entre le monde
professionnel et celui de la formation. Il nous a paru très utile
puisqu'une expérience en matière de réalisation de projet
a été acquise.
Nous avons modélisé avec un langage de
modélisation UML et programmé avec le langage JAVA qui nous ont
paru tellement intéressants car ils offrent une panoplie d'avantages. Ce
fut pour nous une occasion de confronter nos connaissances aux diverses
réalités du terrain.
L'objectif de ce projet était de modéliser le
système d'information nécessaire pour gérer le patrimoine
immobilière de l'OPGI de Khenchela, ce projet était
bénéfique pour nous dans plusieurs sens. Il nous a permis :
· De nous perfectionner en améliorant nos
connaissances en programmation et en conception.
· De bien comprendre et mettre en oeuvre le
déroulement d'un cycle de vie d'un logiciel.
· De découvrir le monde de l'entreprise
(fonctionnement).
A l'heure des bilans, nous nous réjouissons quand
même du chemin parcouru et de l'effort collectif et individuel qui vient
d'être fourni.
Et nous pensons que sur cette base logicielle que nous venons
de produire se fondera une robuste application qui prendra en compte tous les
aspects de la reforme LMD. Reforme qui est à notre image un instrument
privilégié pour éviter les divorces réels entre les
diplômes et leur détenteur.
Bibliographie
Livres :
· Programmer en Java De Claude
Delannoy 5eme Edition, ISBN : 978- - -
-
· Programmation Java pour les enfants, les parents
et les grandsparents De Yakov Fain, ISBN: 0-
- -
· Développons en Java De Jean
Michel DOUDOUX
· Les Cahiers du Programmeur java De
Emmanuel Puybaret 3eme édition,
ISBN: 2212114788
· Introduction à Java De
Patrick Niemeyer -- ISBN: 9782841772346
· Les Cahiers du Programmeur UML2 De
Pascal Rogues 4eme édition - ISBN- :
· UML 2 par la pratique De Pascal
Rogues 5eme édition ISBN : - -
-
· 1 ÇÇÌ
ÉÛá
íM~11p D ETIM11ITIEMTã
Web graphie :
·
www.opgi.dz/opgi_khenchela/
·
www.opgibouira.dz
·
www.mhu.gov.dz
·
http://java.developpez.com/cours/
Sommaire
Introduction générale
Chapitre 1
I- Définition de l'information .
I-1- Information et données .
I-2- Information et communication
I- - Information et connaissance
II- Essai de définition
III- Un Concept des Domaines . .
III-1- Droit
III-2- Physique . 9
III-3- Informatique
IV- L'évaluation de l'information
IV- 1- Les nouveaux criteres d'évaluation d'une
information.
1-Facilité d'accès à l'information .
2-Coût d'acquisition .
3-Critère d'actualité
4-La fiabilité
5-La valeur ajoutée
6-L'exploitation et l'adéquation aux besoins ...
7-Les coûts induits
8-L'unicité et l'exclusivité
9-La durée de vie ..
IV -2- La grille d'analyse de la valeur de l'information
V- Les couts de l'information .
V-1- Définition des couts de l'information
V 2- Les couts fixes liés à la gestion et
l'information ..
V -3- Les couts variables de l'information
V-4- La structure des couts de l'information ..
V-4-1- Les couts d'acquisition ..
V -4-2- Les couts de valorisation
V -4-3- Les couts de gestion .
V -4-4- les couts de stockage
V -4-5- Les couts de synthèse
V -4-6- Les couts d'exploitation
V -5- Pourquoi contrôler les couts de l'information ? .
9 V -5-1- Le couts de la -non information est supérieur au couts de
l'information ..
V- 5-2- Le cout de la -non utilisation d'une information est
supérieur à son
couts d'acquisition
V-5-3- Une triple approche
V-5-4- Les buts du contrôle des couts de l'information .
Chapitre 2
I. Modélisation objet ..
. Introduction
«.....................................................................
2. Les concepts objet
«.............................................................«
2.1. Objet
«.....................................................................«
2.2. Messages
«................................................................ 2.3.
Classe
«....................................................................«
2.4. Association
«..............................................................« 2.5.
Agrégation
«.............................................................«
2.6. Généralisation et spécialisation
«..........................................«
2.7. Héritage
«.................................................................
2.8. Encapsulation
«...........................................................« 2.9.
Polymorphisme
«.........................................................«
3. La notation UML
«...............................................................«
3.1. Historique
«................................................................ 3.2.
Définition
«................................................................ 3.3.
Objectif
«..................................................................«
3.4. Les principes symboles utilisés
«...........................................
. . Les diagrammes d'UML
.................................................«
. . .
Définition d'un diagramme UML
...................................«
3.5.2. Caractéristiques des diagrammes UML
«..............................« 3.5.3. Les différents types
de diagrammes UML «...........................«
a- les vues statiques
«..................................................«
b- les vues dynamiques
«..............................................«
3.6. Les diagrammes de cas d'utilisation
«......................................«
3.6.1. Eléments de modélisation des cas
d'utilisation.......................
3.7. Les diagrammes de classes
«..............................................« . . Les diagrammes
d'objet .................................................«
.~.
Les diagrammes de déploiement
«.........................................« 3.10. Les diagrammes de
collaboration «....................................... .11. Les diagrammes
de séquence «............................................
3.12. Les diagrammes d'états-transitions:
3.12.1. Caractéristiques et règles de construction
«...........................
. . Les diagrammes
d'activités..............................................
.
4. Les diagrammes de
composants.........................................«
4. Le processus unifiés
«...........................................................« II.
Présentation de processus
2TUP..................................................«
1. Introduction
«....................................................................«
2. Le processus
unifié.............................................................«
3. Le processus 2TUP
«............................................................ ~
3.1. la branche gauche (fonctionnelle)
«.........................................«
a. Capture des besoins fonctionnels
«..........................................
b. L'analyse
..................................................................
. .
La branche droite (architecture technique)
«................................« a. La capture des besoins
techniques «.........................................«
b. La conception générique
«..................................................«
. .
la branche du
milieu.......................................................«
. Conclusion
«....................................................................«
Chapitre 3
Introduction......................................................................................«
Section : Présentation de
l'OPGI...................................................«
a. Le patrimoine de
l'Office......................................................
b. Statuts juridiques
L'Office.....................................................
c. Les missions de
l'Office......................................................
d. L'organigramme de l'OPGI, de
KHENCHELA...............................«
e. Département de la Gestion et Maintenance du
Patrimoine.....................«
f. Département des Finances et de la
Comptabilité..............................«
g. Problématique : Gestion du patrimoine immobilier OPGI
Khenchela.............« Section II : PHASE D 'ANALYSE ET DE
CONCEPTION.............................«
II. Présentation de processus 2TUP
«................................................«
1. Étude préliminaire
«.............................................................«
A. Quand intervient cette étude
«................................................«
B. Objectifs principaux
«.........................................................« 1.1.
Identification des acteurs
«...................................................« 1.2
Modéliser le contexte
«......................................................«
2. Identifier les cas d'utilisations
«.................................................« 2.1. Diagramme de
cas d'utilisation............................................. . . Description
des cas d'utilisation.............................................
3. Analyse de
système............................................................«
3.1Analyse
statique...............................................................«
A. Identification des classes d'objets
............................................
B. Affichage du modèle objet
«...................................................«
C. Diagramme de classe
«.........................................................« 3.2
Analyse dynamique
«......................................................... ~ Diagramme
de séquence
«............................................................«
Chapitre 4
Introduction
«.......................................................................«
I. Le
NetBeans.....................................................................«
1
Historique.......................................................................«
2
Multilingue......................................................................«
3
Environnement..................................................................«
3.1 Environnement de
base.......................................................« 3.2
Principaux langages
supportés.................................................«
3.3 Gestion de
projets............................................................« 3.4
Débogage et
optimisation...................................................«
3.5 Bases de
données............................................................«
3.6 Outils de construction
d'applications..........................................«
3.6.1 Applications sur serveurs (applications Web et JAVA
EE) «...............«
3.6.2 Applications sur poste de
travail...........................................
3.6.3 Applications Java sur mobiles ou
embarquées..............................
. . Web
Services..............................................................«
3.7 Plateforme
NetBeans.......................................................... 3.7.1
Plateforme..................................................................
3.7.2
OSGi......................................................................
3.7.3
Plugins.....................................................................«
. Présentation de
l'application......................................................
III.
Implémentation..................................................................« Conclusion
Générale...............................................................« Bibliographie........................................................................«
|