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Gestion du patrimoine immobilier OPGI de Khenchela

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par Mouadh Boutrid
Centre Universitaire de Khenchela - Licence en mathématique et informatique 2010
  

Disponible en mode multipage

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Centre Universitaire de Khenchela

Institut S.E.T.I
Projet de fin d'étude pour l'obtention du diplôme de
licence en mathématique et informatique
Option informatique des réseaux

Encadrés par:

Mouadh Boutrid Djbaili Adel

Introduction Générale

Introduction Générale

Aujourd'hui, les entreprises évoluent dans un environnement de plus en plus concurrentiel, variable et complexe. La mondialisation, la fragmentation et la diversification croissante des marchés, la complexité des politiques commerciales représentent tant de menaces que d'opportunités pour les entreprises.

Par ailleurs, le développement d'une entreprise en matière de technologies de l'information exige des nouveaux moyens et supports pour échanger et diffuser l'information dans le but de réduire les contraintes de temps, d'espace et du coût, et faciliter la gestion de l'entreprise.

Le travail que nous présentons ici a été réalisé au sein de L'office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) Khenchela.

OPGI de Khenchela géré plus de 13000 logement en terme de loyer, de produit de cession, cette important masse d'information englobe tout information comme locataire et leur caractéristique (nom, prénom, date naissance.....) logement et leur caractéristique (F3,F4, superficie , localité ....), ainsi que la partie comptabilité .

La récolte, le stockage et la diffusion de l'information est devenue une industrie à part entière. Et l'OPGI, doit consacrer une partie de son effort à récolter, traiter, stocker et diffuser l'information issue de son propre fonctionnement dans le cadre de ce qu'on appelle système d'information..

Pour cet objectif on va donner une solution pour réaliser un système d'information consacré à la gestion du patrimoine immobilier et pour comprendre cette nouvelle logique, impose donc de bien cerner un concept primordial dans cette nouvelle ère. Il s'agit de `i'information" qu'on va essayer de traiter dans le 1èr chapitre, avant de consacrer un 2ème chapitre pour le choix de la méthode « UML », et un détail de la conception dans le 3eme chapitre avec une implémentation détail dans le 4eme chapitre.

Chapitre1

I- Définition de l'information :

I-1- Information et données :

Les données sont des faits qui n'ont pas encore été traités et dont on ne peut, à ce stade, tirer aucun enseignement. Par exemple, une simple opération de paiement ne nous dit pas si le paiement a été effectué en temps voulu et ne nous éclaire pas sur la situation du prêt.

Traitemen

Informations

(sorties)

Données

(entrées)

Les informations sont des données traitées ou transformées qui aident quelqu'un à prendre une décision ou à tirer des conclusions. La comparaison entre les paiements effectués et le calendrier des versements nous renseigne sur la situation du prêt et sa chronologie - informations qui peuvent être utilisées pour prendre une décision concernant le suivi ou le provisionnement du prêt en question. Une institution peut être noyée sous les données, sans pour autant avoir beaucoup d'informations.

Une information et quelque chose de beaucoup plus qu'une donnée brute. C'est une donnée qui a un sens, et ce sens vient d'un certain modèle d'interprétation. Une même donnée peut avoir plusieurs sens selon le modèle d'interprétation qui lui est associé.

Ainsi, la donnée `12101995' peut être aussi interprété - par un anglo-saxon- comme la date du 10 décembre 1995 (et non pas 12 octobre 1995). On peut être qu'une information est une donnée qui a besoin d'être interprétée.

Information = Donnée + Modèle d'interprétation

La notion de modèle d'interprétation peut aller très loin, et une information n'est pas toujours facile à appréhender si on ne connaît pas le contexte sémantique auquel réfère le modèle d'interprétation.

I- - Information et communication:

 

Activités socio-économiques, les séances, qu'elles soient de la matière, de la vie, de l'homme ou de la société (et de l'information), sont productrices et utilisatrices de connaissance scientifique et technique. Le système de la recherche s'apparente fort à un système économique. On peut ainsi le construire à partir du schéma économique classique : Production 4 distribution 4 consommation.

Analogie des phénomènes mais non des concepts, aussi parlerons-nous plutôt de
construction que de production de connaissance distingueront ainsi bien culturel et
biens matériels. Construction donc de connaissance scientifique et techniques qui de

viendront une fois enregistrées sous forme écrites ou orales, imprimés ou numérises des informations scientifiques et techniques pour la même raison, pour décrire deux autres phrases de ce qu'on appelle le cycle de l'information (fig. ) nous utiliserons les mots communication au lieu de distribution et usage au lieu de consommation. Les trois processus, constructions et usage se succèdent et s'alimentent mutuellement.

Construction Usage

Fig01. Le cycle de l'information

Communicati

Cette mondialisation permet de s'affranchir de celles habituelles mais simplicités des masses médias qui limitent la communication à une relation bilatéral : informateur / informé

Ou de celle, pire, de la théorie de l'information qui linéarité cette relation et croit l'améliorer en y insérant les messages. On retrouve cette modélisation dans la célèbre chaîne documentaire. Canal, code, bruit, rétroaction sont venus la raffiner mais non la transformer en un modèle de communication sociale.

Entée Support physique Sortie

De l'émetteur

Emetteur

Message code

Canal

Déeco

Feed-back

Récepteur

La communication est donc le processus intermédiaire qui permet l'échange d'informations entre les individus.

I- - Information et connaissance:

Toujours en essayant de définir l'information, un autre groupe d'auteurs introduit une nouvelle dimension, qui est celle de l'assimilation de l'information à la connaissance.

Par rapport au monde de la connaissance ou des idées, l'information serait pour Jacques Arsac "la forme qui porte la connaissance" et donc le porteur de la pensée. On aurait donc d'une part un contenu, la connaissance, d'autre part une forme, qui serait chargée d'exprimer ce contenu, l'information. Ainsi, toute connaissance nous arriverait sous forme d'information.

C'est dans une même logique d'assimilation que l'UNESCO considère l'information comme "un élément de connaissance, susceptible d'être représenté afin d'être conservé, traité, communiqué". On en trouve une définition plus complète dans le dictionnaire des termes officiels : "Elément de connaissance, susceptible d'être représenté, à l'aide de conventions, pour être conservé, traité ou communiqué".

Enfin, l'universitaire Anne Mayère, spécialisée dans l'économie de l'information, reprend la définition de Mc Kay : "l'information est ce qui forme ou qui transforme une représentation", et elle y ajoute : "dans la relation qui lie un système à son environnement".

Dès lors, on sépare l'information de la connaissance qu'elle peut éventuellement

apporter, et on déduit que : L'INFORMATION EST LE SUPPORT DE LA CONNAISSANCE.

II- Essai de définition :

La notion d'information se déploie à travers de nombreux champs d'application : le droit, la presse, la physique, la biologie, l'informatique, la communication.Mais paradoxalement peu d'écrits (y compris ceux opérant dans le champ même des "Sciences de l'information") prennent la peine de définir au préalable ce qu'est l'information. On parle alors de "traitement de l'information", de "systèmes d'information", etc. sans même avoir défini à l'avance le coeur du sujet. Il y a donc pour le moins ambiguïté.

Lorsque l'on trouve des définitions explicites celles-ci sont rarement concordantes. Elles élargissent ou au contraire restreint considérablement la sphère d'application du concept.

En cherchant une définition de l'information, on trouve que la majorité des ouvrages

traitant ce concept le font sans en donner une définition précise, au contraire il l'utilise pour définir d'autres notions. Le document, par exemple, est défini comme un

"objet informationnel visible et touchable et doué d'une double indépendance par rapport au temps".

La communication est elle-même décrite comme "le transport d'une entité mesurable appelée arbitrairement information". Par conséquent "il est possible maintenant de dire que la communication est un acte et que l'information est son produit".

Etymologiquement, le terme information dérivé du latin informare, signifie : Renseigner Donner une forme, Avertir, Instruire.

Le développement de ces notions nous donne :

· Renseigner : apprendre, faits, données, matière, service de renseignement, éclairé.

· Donner une forme : synthétiser, élaborer, traiter, dégrossir, rendre accessible, compréhensible, intelligible, assimilable, utilisable, opérationnel, valeur ajoutée, mettre aux normes, modéliser, forme vivante, en mouvement, flux...

· Avertir : contredire, infirmer des idées reçues, prévoir, voir plus loin, parer un danger, avenir, horizon, réflexe, logique du réflexe, gérer, préparer, catalyser et réagir...

· Instruire : former, sensibiliser, armer, culture, connaissance,

ordonner, renforcer, affiner, entraîner, réfléchir...

Pour le sociologue et théoricien de la communication Daniel Bougnoux est information ce qui apporte une variation par rapport à un thème (à une forme), ou une réponse sur le fond d'une alternative". Edgar Morin (sociologue et philosophe) la définit en disant :"L'information est ce qui, pour un observateur ou récepteur placé dans une situation où il y a au moins deux occurrences possibles, dénoue une incertitude ou résout une alternative, c'est-à-dire substitue du connu à l'inconnu, du certain à de l'incertain" .

Une autre raison de la difficulté de définir ce concept réside dans son utilisation par plusieurs domaines qui essayent de la définir.

III- Un Concept des Domaines :

III-1- Droit :

Dans la sphère juridique, "l'information" est une construction. "Ouvrir une information", c'est préparer la constitution d'un dossier, entamer un long travail de quête de renseignements, de témoignages, c'est extraire un fait de la masse des événements. D'après une étude menée par Gilbert Varetdans des listes bibliographiques parfois très anciennes, ce sens est encore "très vivant, voire toujours prépondérant" dans la langue espagnole, où il désigne un type de publication particulier, "dossiers reproduisant in extenso des pièces ou documents classés dans un ordre raisonné, et qui viennent à l'appui d'une argumentation auprès d'un tribunal."

On notera que le terme "document" possède lui aussi une origine juridique puisqu'il signifie au départ "écrit qui sert de preuve".

 

Dans le langage de tous les jours, le concept "d'information" est naturellement assimilé à l'information de presse. Pourtant les professionnels de l'information cherchent à se distinguer de cette compréhension trop courante. L'analogie entre l'information" en milieu professionnel et l'information au sens journalistique du terme mérite cependant d'être quelque peu précisée.

 

D'une certaine manière la pratique du journaliste peut apparaître comme archétypique en ce qui concerne la production d'informations. Le journaliste a précisément pour tâche d'extraire des événements qui constituent la réalité quotidienne une cohérence qui, mise en forme et commentée, fournit "l'information".

Il est d'ailleurs à noter que, à ses origines, la presse moderne se concevait quasi

exclusivement comme un organe de formation de l'opinion, alors qu'à partir des années 1860-80, industrialisation aidant, elle se présente avant tout comme un vecteur "d'information", pour un large public, déconnecté des intérêts particuliers.

Au passage se forme ainsi la fiction d'une information neutre, objective, dont le journaliste serait le garant, indépendamment de ses opinions ou de celle de son public, dont la distinction est toujours renouvelée, dans les écoles de journalisme et parfois dans la mise en page des publications, entre le "fait" et le commentaire.

Cette distinction a aussi son pendant sur le plan national. Il est fréquent d'opposer la presse d'information anglo-saxonne à la presse d'opinion française. Il peut sembler paradoxal que toute une frange des métiers du traitement de l'information ne se reconnaisse pas dans la figure du journaliste, alors qu'à bien des égards il peut prétendre constituer un modèle dans la production de l'information.

En effet, il est de l'essence de son métier de traduire en information des événements, d'extraire des faits de la réalité courante et de les porter à la connaissance d'autrui. Il est donc de ce point de vue un fournisseur essentiel de cette matière première qu'est l'information. Cependant cette information doit faire l'objet d'une formalisation adaptée. C'est le rôle du journal par rapport à la dépêche.

Lorsque le professionnel de l'information se situe dans une perspective de collecte, d'harmonisation, d'agencement, de description, de commentaire d'une matière première, il est effectivement en aval des métiers du journalisme proprement dit.

En revanche, il peut être amené lui-même à collecter les faits et les mettre en forme, comme dans le cas de l'activité de veille, et/ou à formaliser des informations. Dans les deux cas, les techniques qu'il emploie sont en grande partie similaires à celles employées par le journaliste (par exemple les techniques de recoupement de la veille, et les techniques rédactionnelles dans le domaine de la diffusion de l'information). En fait, la grande différence entre les deux acteurs est que la sphère du journalisme est parfaitement identifiée, depuis longtemps à travers un produit qui est le média "presse", alors que les produits issus du traitement de l'information sont multiples (journaux d'entreprise, revues de presse, dossiers, synthèses, banques de données, rapports d'étonnement, produits de la veille stratégiques, etc.) et échappent souvent encore à une pure logique de marché.

III- - Physique :

 

Les théories propres à la transmission et à la mesure des signaux dans le cadre de la cybernétique ont introduit le concept de science de l'information et en ont fait un champ d'investigation particulier. Là encore, le concept est loin d'être stabilisé, puisque cette théorie du signal est aussi bien connue sous le nom de théorie de l'information que sous celui de théorie de la communication, avec d'ailleurs les mêmes

 

effets sémantiques pervers qui font que l'on entretient facilement une confusion sur le fond et la forme.

Cette ouverture scientifique a attiré de nombreux esprits qui se sont efforcés d'élaborer une théorie scientifique de l'information, voire d'appliquer la théorie de l'information à la science. Léon Brillouin est parmi ceux-ci. On lui doit une première grande synthèse dans ces domaines.

Contrairement à certains disciples qui agissent dans le champ des sciences humaines, il prend soin de définir le champ de validité de sa conception en restreignant le concept d'information à une seule dimension. Il en donne une définition unique qui écarte a priori ce qu'il appelle la "valeur humaine de l'information", c'est-à-dire le sens, le contenu qu'elle véhicule, et qui n'est compréhensible, évaluable que par les individus qui la reçoivent. Comme la subjectivité de l'appréciation rend particulièrement difficile la mesure de l'information, il est nécessaire, pour établir une définition applicable au plan scientifique, d'écarter cette "valeur humaine" de l'information. Pour traiter l'information sur le plan quantitatif, pour pouvoir la mesurer, il faut ignorer l'intérêt que présente l'information, sa valeur d'usage, pour reprendre un concept de l'économie politique.

Après avoir circonscrit le concept d'information dans son application scientifique, il peut recevoir une première définition. L'information est reliée à la réduction de l'incertitude. Plus un système peut connaître d'états différents, plus grande est l'incertitude, plus la quantité d'information devra être grande pour la réduire. L'information se présente alors comme une "fonction du rapport des réponses possibles après et avant qu'on l'ait reçue"6. Si l'on obtient une information, le nombre des réponses possibles diminue et lorsque l'information est complète il est possible qu'une seule réponse soit pertinente. On peut déjà entrevoir l'usage lapidaire qui peut être fait de cette conception dans le domaine de la gestion de l'entreprise quand, rompant avec la stricte délimitation de Brillouin, certains auteurs étendent les concepts sans précaution.

Dans ce cas l'information réduit le degré d'incertitude et conduit à une prise de décision ou réponse plus rationnelle, moins arbitraire. Plus le degré d'incertitude initial est grand, plus la masse d'information nécessaire pour définir la solution sera importante.

Brillouin fait ensuite remarquer, à la suite de Léo Szilard et de Claude Shannon, que l'information a un lien remarquable avec la notion employée dans la thermodynamique que l'on nomme entropie. Il n'entre pas dans notre propos d'aller plus avant dans ce domaine. Il y a cependant un aspect de cette théorie qui revêt une importance particulière, sinon capitale. En mettant en relation l'entropie d'un système et l'information, Brillouin montre que toute information se traduit par un accroissement de l'entropie. Dans les cas limites, la précision la plus grande mobiliserait une énergie infinie. Dans une telle conception, l'observateur n'est pas neutre dans le système et il faut que le coût en entropie d'une observation soit négligeable en regard de l'entropie du système pour pouvoir l'ignorer.

Quant à l'information, elle a un prix, un coût, une valeur croissante, consommatrice des ressources internes. Plus elle est précise, plus le coût croît. En d'autres termes, le coût de production marginal est croissant. Ce qui se constate dans le physique des particules au niveau de la microphysique, nous le retrouvons au niveau de la société et de l'entreprise, sur le plan économique, qu'il soit macro ou micro économique.

III-3- Informatique :

La notion d'information revêt une importance toute particulière dans le domaine de l'informatique. En effet, c'est sur la racine de ce terme que Philipe Dreyfus inventa en 1962 le mot-valise "informatique", contraction de information et automatique, pour trouver une traduction française à ce que les anglo-saxons appellent "computer science", science du calcul. C'est bien le reflet de cette conception que l'on trouve dans les définitions de dictionnaires, qu'il s'agisse du Petit Larousse : "Science du traitement automatique et rationnel de l'information", ou du Petit Robert :"ensemble des techniques de la collecte, du tri, de la mise en mémoire, de la transmission et de l'utilisation des informations traitées automatiquement à l'aide de programmes mis en oeuvre sur ordinateurs." Il est certain que l'irruption de l'informatique et sa considérable expansion dans la société contemporaine a rendu la situation encore plus complexe pour appréhender la notion d'information. D'une part car elle s'inscrit dans la tradition de la cybernétique, et reprend l'assimilation du signal à de l'information, et d'autre part parce qu'elle est justement dans son objet d'être une machine à traiter de l'information.

Mais, du fait même qu'elle est une machine, elle ne sort pas du cadre traditionnel du machinisme, défini dès le 19° siècle, et visant à éliminer l'activité de l'homme (manuelle ou intellectuelle) de la production. Et ce traitement automatique, même s'il donne l'illusion contraire, laisse lui aussi de côté la compréhension des contenus, car il les enserre dans le cadre strict des règles de la logique formelle, ce qui n'est d'ailleurs pas un moindre progrès et conduit à des applications spectaculaires. Mais, comme le montre l'évolution de la science moderne, des mathématiques à la biologie en passant par la physique, cette logique est insuffisante pour rendre compte complètement du mouvement complexe de la nature et de la société

D'après toutes ces définitions, on peut déduire une définition -englobant- de l'information en disant que :

 

plans, d'objets, de projets, d'effets de toute sorte, dans tous les domaines, par un individu, par des groupes d'individus ou par un ou plusieurs organismes agissant ou rétroagissant ainsi sur leur environnement immédiat, proche ou lointain, et dont le but est de déclencher éventuellement des processus dialectiques plus ou moins amples alimentant l'échange, base naturelle et indispensable de l'animation de la vie sociale.

Ainsi, toute information peut être soit formalisée ou informelle :

+ L'information formalisée

Il s'agit d'une information par destination, son but est précisément d'informer, et son
degré de formalisation varie d'une source à l'autre. D'une manière générale, les
sources formalisées sont le fait d'un travail d'enrichissement, de valorisation, de

 

synthèse de l'information : études de marché, revues de presse, enquêtes journalistiques, rapports annuels...

Par conséquent, plus une information est formalisée, plus sa gestation fut longue : c'est pourquoi sa fraîcheur est moindre, mais au contraire elle est plus aisément exploitable et opérationnelle. De même, plus une information est formalisée, plus son coût est élevé.

+ L'information informelle :

Les sources informelles ne sont, quant à elles, pas destinées à priori informé, mais leur intérêt est pourtant considérable. En effet, représentant les trois quarts des données utiles à l'entreprise, les sources informelles offrent un avantage indéniable, n'était pas formalisées, elles sont souvent plus récentes et leur intérêt s'en trouve accru1. De plus, certaines sources informelles ont un caractère unique, voire exclusif, car non publiques elles sont l'apanage du plus petit nombre. De ce fait, une information informelle faible et à fort potentiel peut apporter à ses détenteurs un avantage concurrentiel déterminant si elle est vérifiée et utilisée dans les plus brefs délais.

En interne comme en externe, les sources d'informations informelles englobent :

· Les contacts spontanés avec les collaborateurs, les clients, les prospects, voire les concurrents ou la presse professionnelle spécialisée. Le phénomène du ``Bouche à oreille" qui véhicule aussi bien des informations vitale que fantaisistes mais dont la vitesse de propagation nécessite une vigilance accrue.

· Les échanges avec tous les acteurs de l'environnement juridique, politique, économique, syndical ou médiatique.

· Les circuits de communication informels mais non négligeable : associations, clubs, salons, rencontres interprofessionnels...

· La typologie de l'information la plus utilisée est basée sur la nature de l'information et est sous-entendue par la dichotomie ``formalisé/informel".

IV- L'évaluation de l'information :

La typologie classique de l'information n'est plus adaptée aujourd'hui pour répondre aux besoins des décideurs, lesquels doivent prendre des décisions rapides et sûres pour faire face aux changements constants et brusques de l'environnement. , au risque d'être péremptoire, la seule vision possible de l'information consiste à prendre en compte l'utilité et la valeur des données recherchées ainsi que leur adéquation aux besoins de l'entreprise.

 

IV- 1- Les nouveaux critères d'évaluation d'une information :

La recherche de données de valeur directement exploitables, en totale adéquation avec les besoins mains aussi les moyens financiers, techniques et humains de l'entreprise, afin d'optimiser le processus de prise de décision et de catalyser l'action, rend périmée toute classification de l'information par nature.

Les critères d'efficacité, d'utilité et de valeur doivent donc prévaloir dans toute tentative, action ou politique de gestion de l'information.

Cependant, même si cette approche est absolue, il demeure intéressantes de séparer encore les sources formalisées des sources informelles, car elles offrent des avantages et présentent des inconvénients très différents et complémentaires.

 

Dés lors, on trouve les neuf (9) critères suivants :

1-Facilité d'accès à l'information

Plus une information présente un temps d'accès réduit et est accessible, plus vos concurrents peuvent s'en emparer, sauf si elle est interne à l'entreprise. De même, plus l'information est accessible, plus votre réaction doit être rapide afin qu'elle ne perde pas son actualité et son intérêt.

2-Coût d'acquisition

Le coût d'acquisition est variable selon le degré de formalisation des informations. Ainsi, une information brute représente un coût d'investissement limité au regard d'une information enrichie, valorisée et travaillée.

Même si le coût d'acquisition d'une information est déterminant, il n'est pas suffisant, et ce pour deux raisons fondamentales :

- Toute information acquise entraîne des coûts induits qu'il fut apprécier a priori et non pas une fois l'acquisition faite (coût de stockage, de traitement, d'exploitation, de valorisation...).

- Aussi coûteuse qu'elle soit, une information doit correspondre aux besoins de l'entreprise, de même qu'à ses moyens financiers, techniques et humains.

En effet, à quoi bon acquérir une base de données sophistiquée si vos besoins réels sont moindres et que personne n'est à même de l'exploiter.

3-Critère d'actualité

La pertinence et la valeur d'une information sont de toute évidence liées à sa ``fraîcheur", à son actualité ou sa récence.

Une entreprise qui, faute de moyens ou d'éléments d'évaluation, se nourrit d'informations tombera malade à court terme.

4-La fiabilité

Comme tout organisme vivant, l'entreprise se doit d'éviter « d'ingurgiter » des denrées douteuses.

Pour ce faire, avant de valider une information dont l'utilisation irréfléchie pourrait menacer l'entreprise, encore faut-il évaluer sa fiabilité !

Dans ce but, la connaissance de source de son mode de compilation, tout comme de sa récence, sont des précautions utiles.

5-La valeur ajoutée

L'intérêt d'une information est proportionnel à ses apports ; or toute information comporte des éléments que vous connaissez déjà ! Ce qui prime, c'est la nouveauté de certains éléments qu'elle véhicule.

En outre, une donnée enrichie, non brute, sera directement exploitable et le temps de réponse précédent l'action s'en trouvera réduit.

Au contraire, une information à faible valeur ajoutée nécessite un travail de formalisation, d'enrichissement plus ou moins long ; de ce fait votre réaction sera moins prompte et vous risquez d'être dépassé par l'évolution constante de votre environnement.

6-L'exploitation et l'adéquation aux besoins

Encore une fois, plus une information est formalisée, moins elle nécessite un traitement, une valorisation, pour être directement opérationnelle. De plus, le critère d'exploitabilité est indissociable du critère mesurant l'adéquation de l'information recherchée aux besoins de l'entreprise.

7-Les coûts induits

L'acquisition d'une information est la 1ère étape d'une longue chaîne menant à la prise de décision. Ainsi, toute donnée doit être stockée, enrichie, valorisée, mise en forme, épurée, gérée, avant d'être utilisée.

8-L'unicité et l'exclusivité

Lorsqu'un décideur détient de manière exclusive une information fort potentiel, l'entreprise dispose d'un avantage stratégique concurrentiel déterminant, à condition bien sûr d'exploiter cette manne de façon rapide et efficace.

Cependant, afin d'apprécier l'unicité d'une information ou d'une source,

il faut la comparer à d'autres sources qui pourraient s'y substituer.

Les surprises peuvent être grandes, car il est souvent possible de remplacer une source qu'on croyait unique par une autre offrant des caractéristiques équivalentes voire supérieures.

9-La durée de vie

L'information est une denrée périssable, plus l'on tarde à l'utiliser, plus elle et obsolète, encombrante et coûteuse pour l'entreprise.

Cependant, la durée de vie d'une information dépend également de sa nature ; ainsi un tuyau boursier est aussi éphémère qu'un papillon, alors qu'un dossier étoffé résultant d'un long travail de formalisation, telle une étude de marché, offre une durée de vie de plusieurs semaines, voire de plusieurs mois sil est assorti de prévention à terme.

Chacun de ces critères présente des liens de corrélation forts avec les autres ; cependant le critère majeur et omniprésent est lié à la notion de coût. Ces coûts, s'ils sont bien appréciés, gérés et contrôlés représentent un investissement et non une dépense. De plus, ils préfigurent l'apport futur et la rentabilité d'une véritable politique de gestion stratégique de l'information.

IV - - La grille d'analyse de la valeur de l'information :

Que l'information soit formalisée ou non, les critères d'évaluation développés précédemment nous permettent de scanner l'information avec précision. C'est ce que nous avons fait ci-dessous en tenant compte de la dichotomie ``formalisé/informel", afin que la grille d'analyse ainsi développée soit un outil efficace.

CRITERES

INFORMATION FORMALISEE

INFORMATION INFORMELLE

Facilité d'accès

Très faible a moyenne

Forte a très forte

Coûts d'acquisition

Moyens a très forts

Très faibles a faibles

Actualité

Très faible a moyenne

Moyenne a très forte

Fiabilité

Forte a très forte

Faible a moyenne

Valeur ajoutée

Forte a très forte

Très faible a moyenne

Exploitabilité/adéquation

Moyenne a très forte

Très faible a moyenne

Coûts induits

Très faibles a moyens

Moyens a très forts

Unicité

Moyenne a très forte

Faible a moyenne

Durée de vie

Moyenne a très forte

Très faible a moyenne

 

Grille d'analyse de la valeur de l'information

V- Les couts de l'information :

Le contrôle des coûts de l'information n'est possible que si l'on précise la notion de coûts liés a sa gestion : ainsi nous faut-il définir ces coûts et nous pencher sur leur structure. C'est pourquoi, nous vous proposons la définition suivante :

V- - Définition des couts de l'information :

Un coût représente une somme de charges nécessaires a l'élaboration d'un produit ou au fonctionnement d'une activité, en l'occurrence la gestion de l'information.

Un coût se définit par :

coût complet (traditionnel, économique) -coût partiel (direct, variable) coût d'activité, de structure, marginal...

SON NIVEAU

SON OBJET / SA DELIMITATION

SON MOMENT DE CALCUL

SON CONTENU

(Activité, fonction, produit)

Coût constaté (réel, historique)

Coût préétabli (prévisionnel, standard)

(Coût d'approvisionnement, de production, de distribution, d'administration, de revient)

De plus, lorsque l'on considère l'entreprise en tant qu'organise générateur et consommateur d'informations, mais également en tant que système de gestion de l'information a part entière, il importe de distinguer les coûts variables des coûts fixes de cette gestion.

Coûte de
valorisation

Coûte de
stockage

Coûte de synthqse

Coûte de
gestion

Coûte
d'exploitation

Coûte de
l'information

Coûte
d'acquisition

V 2- Les couts fixes liés à la gestion et l'information :

Ils sont inhérents à la structure même du système de gestion de l'information existant dans l'entreprise et ce, que le dit système fonctionne à pleine capacité ou non. Le but premier étant de créer un troisième flux d'informations catalyseur sans pour autant se doter d'une « usine à gaz » ; la mesure des coûts fixes de l'information dépend donc de la capacité d'absorption et de traitement de l'information offerte par l'entreprise.

Ces coûts fixes représentent ainsi un indicateur important quant au respect des besoins et moyens de l'entreprise en matière de gestion de l'information ; autrement dit, leur volume doit demeurer « raisonnable » !

V - - Les couts variables de l'information :

Pour leur part, ces coûts variables dépendent logiquement du volume d'informations traité, ainsi que de la nature de ces informations, car, comme nous le savons selon le degré de formalisation d'une donnée, les coûts induits différent sensiblement.

V- - La structure des couts de l'information :

S'inscrivant dans le cadre des coûts variables liés à l'activité du système de gestion de l'information, la structure des coûts de l'information doit être étudiée afin, à terme, de pouvoir contrôler ces coûts.

Or, au regard de l'analyse systémique des flux d'information, les données franchissent six étapes, et à chacune de ces étapes correspondent des charges ou coûts: Dès lors, en suivant ces étapes de la vie d'une information- depuis l'acquisition de celle-ci jusqu'à sa synthèse qui la rend utilisable et consommable- nous allons pouvoir reconstituer le coût global d'une information : Contrôler les coûts, c'est suivre leur parcours.

V- - - Les couts d'acquisition :

Par définition, ces coûts représentent là ? la partie visible de l'iceberg", car à l'achat, une donnée peut sembler peu onéreuse, alors que les coûts induits nécessaires pour la rendre exploitable, sont pour leur part importants. Au contraire, l'inverse est vrai, et si certains rechignent à acquérir des informations a pris fort, ils n'ont peut-être pas mesuré les coûts induits inhérents, lesquels peuvent s'avérer modestes, si toute fous l'information est immédiatement exploitable. Autrement dit, juger la valeur d'une information à son simple coût d'acquisition est restrictif et dangereux.

V - - - Les couts de valorisation :

Ils dépendent directement du degré de formalisation de l'information acquise ou recueilli. Encore un fois, moins une information est formalisée, plus ses coûts de valorisation sont importants, et vis versa.

Exemple 1 : Une étude documentaire offre des données brutes et essentiellement quantitatives nécessitant un travail de valorisation conséquent, et ce afin de pouvoir aboutir à la réalisation d'une véritable étude de marché, offrant pour sa part des informations élaborée et directement exploitable pour les décideurs.

Exemple 2 : Un fichier brut inutile en état, peut servir de base à une opération d'identification, de prospects par fonction, puis à une compagne de qualification de ces mêmes prospects.

Dès lors, les coûts de valorisation représentent les taxes téléphoniques, la formation des téléacteurs, les coûts horaires de saisie des données recueillies, les coûts d'immobilisation du parc informatique, etc.

V - - - Les couts de gestion :

Ces coûts sont polymorphes, très variables et correspondent à une charge incontournable lorsque l'entreprise détient une source, ou encore un outil de gestion de l'information évolué, lequel sans entretien, périrait.

A titre d'exemple, le fonctionnement d'une base de données nécessite non seulement des mises à jour régulières, mais également des enrichissements périodiques permettant de suivre l'évolution des besoins de l'entreprise. C'est pourquoi une base de données doit-elle être évolutive et se prêter à l'introduction de nouveaux critères de segmentation, de tri, d'historisation, d'analyse, et l'incorporation de nouveaux outils statistiques.

Les coûts inhérents à la gestion d'une base de données sont donc conséquents, aussi bien en terme de moyens techniques qu'humains.

V - - - les couts de stockage :

Prenons l'exemple classique des archives comptables ou même marketing d'une société de plus de cinq (5) ans. Il est clair que l'historique de l'entreprise est primordial et sert d'élément de prise de décision. Il faut donc conserver ces données vitales, tant économiques que culturelles de manière formalisée, afin de pouvoir les consulter en temps réel dès que le besoin s'en fait sentir. Et prenons, comme exemple les archives comptables ou même marketing d'une société.

Dès lors, la technique la plus moderne et la plus adaptée, sera celle de la Gestion Electronique de Documents (G.E.D) qui sera traité d'une manière détaillé dans la partie qui suit.Cette gestion indispensable représente un coût important, et ce coût croît avec l'âge, la taille et la structure de l'entreprise.

Encore une fois, ce coût de stockage constitue une charge inévitable, car une entreprise privée de son `histoire' devient aveugle et amnésique de surcroît.

V -4-5- Les couts de synthèse :

La synthèse de données correspond au stade ultime de formalisation de l'information, et la rend directement opérationnelle, utilisable par les décideurs. Il en va ainsi, entre autres, toutes les données quantitatives ou financières organisées sous forme de tableau de bord, des schémas synoptiques résumant un processus de production, ou encore d'un écran sommant le potentiel d'une base de données en fonction de ses principaux critères de segmentation.

Par conséquent, la synthèse de l'information représente une charge variable primordiale afin de rendre un ensemble de données lisibles intelligibles et encore exploitables.

V -4-6- Les couts d'exploitation :

Une information ayant franchi les étapes d'acquisition, de valorisation, de gestion, de stockage et de synthèse ressemblerait à une « voiture sans roues » si l'on la rendait pas exploitable.

Ce serait en quelque sorte un investissement effectué en pure perte. L'exploitation d'une source d'information ou encore d'un ensemble de données, mobilise des moyens techniques (informatique...) ou humains, représente à ce titre une charge ou un coût supplémentaire.

Ainsi l'édition d'un fichier issu de votre base de données constitue u coût d'exploitation classique.

V -5- Pourquoi contrôler les couts de l'information ?

Dans le cadre d'une politique « d'information management », l'information constitue le 3ème flux catalyseur des flux physiques et financiers et, de ce fait, devient à part entière une source de profits, d'économies et productivité indispensable.

Or de toute évidence, afin de créer, développer, gérer et optimiser ce flux d'informations, il faut en maîtriser les coûts car :

L'information

· coûte cher

· catalyse la prise de décision

· doit être exploitable

· doit être sélectionnée

· doit être accessible en temps réel'

De plus, le flux d'informations généré et maîtrisé est double au sens où :

o tout comme un flux commercial et physique, son exploitation est source de matière consommable par l'entreprise.

o tout comme un flux financier, il est source de profits.

Données consommables

Consommées par l'entreprise

Source de: gains de productivité
gains de parts de marché

Gains financiers

La double nature des flux d'information
Flux financier induit

Politique
d'information
management

Produits
financiers

Capital de
l'entreprise

Dès lors, la gestion de l'information est un investissement et non pas une dépense.

 

Et avant même d'évaluer la rentabilité d'une politique efficace de gestion d'information, il est aisé d'évoquer deux éléments capitaux, lesquels rendent une telle politique vitale et indispensable pour toute entreprise moderne.

V -5-1- Le couts de la -non information est supérieur au couts de l'information :

A ce titre, les exemples sont nombreux - sans qu'il soit nécessaire de les démontrer avec force détails- et tout aussi édifiants. Pensez seulement que ceux qui suivent vous adviennent pour avoir négligé votre gestion de l'information.

Exemple1 : Quel que soit votre métier, eu égard à une conjonction en permanence évolution, les besoins de vos clients ou marchés-cibles sont extrêmement variables. Ainsi, vous faut-il aller au-devant de la demande, identifier ses tendances, prévoir ses humeurs, rechercher les motivations, donc étudier pour comprendre, ne pas être dépassé et agir en conséquence. En quelque sorte, il est vital de << tendre l'oreille » et << d'ouvrir les yeux ».

Aussi la survie de votre entreprise est-elle liée à l'efficacité de votre synthèse de veille concurrentielle, commerciale, technologique et même juridique.

Faire profit de ces << évidences », c'est accepter que vos concurrents sortent un produit bien plus adapté que les vôtres à la demande ; un produit ayant demandé des investissements lourds et une gestation longue, de sorte que malgré votre aptitude à réagir promptement aux sollicitations du marché, vous ne puissiez-vous adapter et répondre à temps de sorte qu'il vous faudrait changer votre outil de production, vos méthodes de travail...

La précaution indispensable afin de prévoir ce type de catastrophe malheureusement courante de nos jours : une politique de veille dynamique nécessitant des investissements en rapport avec l'importance stratégique que revêt l'information concurrentielle.

Quoique vous en disiez, son coût sent toujours inférieur à celui du déclin de votre entreprise !!

Exemple 2 : L'un de vos commerciaux est en contact avec un nouveau prospect pour une affaire jugée importante. Il se déplace à plusieurs reprises pour rencontrer ce prospect et y investit du temps, de l'énergie et bien sûr se montre pas avare en frais, croyant que la fin justifie les moyens. A terme, il apprend, alors qu'il pensait être sur le point de conclure le contrat, que le client n'est pas solvable.

Vous en conviendrez, ce genre de déconvenue est fréquent, mais encore une fois les moyens de les prévoir sont nombreux et peu coûteux !!!

Ainsi existe-t-il de très efficaces serveurs télématiques à même de vous renseigner sur la solvabilité d'une entreprise, de même que le greffe du Tribunal de Commerce, qu'un appel à la banque ou l'un des fournisseurs de ce prospect eût été salvateur.

Pensez à l'argent ainsi gaspillé en salaires, charges sociales et frais, outre que le manque à gagner inhérent à l'indisponibilité de votre commercial vis-à-vis de prospects plus sûrs, ou de clients déjà acquis qui ne demandent qu'à être fidélisés pour consommer plus et générer plus de bénéfices.

V- 5- - Le cout de la -non utilisation d'une information est supérieur à son couts d'acquisition :

En effet, nombreuses sont les études menées à grands frais sans que les conclusions soient suivies d'actions ; sans compter les informations formalisées présentant des coûts de gestion, de stockage et d'exploitation élevés et qui soit ne sont pas utilisées soit le sont trop tardivement, alors que toute information est périssable.

Prenons encore l'exemple d'un simple fichier loué à 10 francs l'adresse, lequel ne sera utilisé qu'au bout de 6 mois suite à un report de l'opération initialement prévue.

Or, au bout de 6 mois, environ 30% des adresses sont périmées, vous perdrez ainsi les fais de routage, le coût unitaire de votre message (colis ou mailing) et les frais d'affranchissement rapportés à ces 30% d'adresses obsolètes.

De même 30% de votre opération sera hors cible, donc susceptible de vous attirer l'inimitié de ces nouveaux destinataires.

Sur quelques milliers d'adresses, le coût de la non-utilisation de ce fichier durant 6 mois sera à n'en pas douter supérieur à celui de son acquisition. Ce à quoi vous pouvez rajouter le manque à gagner sur les 30% de la cible initiale qui s'avère non couverte.

V-5-3- Une triple approche :

Par conséquent, toute une politique de gestion stratégique de l'information est tributaire d'une approche des coûts de l'information pour que son retour sur investissement soit quantifiable !

Pour se faire, une triple approche est nécessaire :

- Prévisionnelle ;

- En temps réel ;

- Historique

· Prévisionnelle : le préalable à toute acquisition de ses coûts de gestion et d'exploitation, ainsi la mesure de sa rentabilité à venir est-elle possible.

· En temps réel : à chaque instant vous devez, grâce à ce système de gestion de l'information, être à même de contrôler l'évolution des coûts inhérents à la gestion d'une information ou d'une source.

En effet, tant que son rapport se justifie économiquement, la mesure en temps réel de son coût de revient permet de décider de poursuivre cet investissement et dans le cas contraire d'y mettre fin. Dans le cadre du contrôle des couts de l'information, les mesures en temps réel sont donc primordiales pour prendre une décision de type STOP/GO.

· Historique : A quoi bon gérer l'information nécessaire au fonctionnement de votre entreprise si vos outils de gestion de l'information ne vous permettent pas le calcul de son retour sur investissement.

 

La mesure des coûts historiques, et donc réels, est ainsi une condition essentiel au contrôle des coûts de l'information.

 

V-5-4- Les buts du contrôle des couts de l'information :

Les buts du contrôle des outils de l'information à la lumière des éléments évoqués ci-dessous peuvent-ils se résumer dans le schéma suivant :

Connaitre les
couts de

Evaluer
certaines

Etablir des
previsions

Calculer Les
Ecarts

Pour avoir des bases de décision
rationnelles

Pour identifier les maillons les
plus faibles dans la gestion de

Pour définir et valider des
objectifs

Pour mener a bien

Chapitre2

Dans cette partie nous présentons et décrivons les différents outils de conception (langage, méthode, Logiciel) que nous avons utilisé dans la conception de notre application, suivie d'une analyse détaillée des fonctionnalités du travail demandé ainsi que les différents besoins opérationnels.

- Choix des outils de conceptions

I. modélisation objet Introduction a UML :

La modélisation objet consiste à créer une représentation informatique des éléments du monde réel, sans se préoccuper de l'implémentation, ce qui signifie indépendamment d'un langage de programmation. Il s'agit donc de déterminer les objets présents et d'isoler leurs données et les fonctions qui les utilisent. Pour cela des méthodes de conception et de développement orientées objet ont été mises au point. Entre 1970 et 1990, de nombreux analystes ont mis au point des approches orientées objets, si bien qu'en 1994 il existait plus de 50 méthodes objet.

Toutefois seules 3 méthodes ont véritablement émergées :

· La méthode OMT de Rumbaugh

· La méthode BOOCH'93 de Booch

· La méthode OOSE de Jacobson

A partir de 1994, Rumbaugh et Booch (rejoints en 1995 par Jacobson) ont unis leurs efforts pour mettre au point la méthode UML (Unified Modeling Language), qui permet de définir une notation standard en incorporant les avantages de chacunes des méthodes précédentes (ainsi que celles d'autres analystes).

Les concepts objet :

L'approche objet est une idée qui a désormais fait ses preuves. Simula a été le premier langage de programmation à implémenter le concept de classes en 1967 ! En 1976, Smalltalk implémente les concepts d'encapsulation, d'agrégation, et d'héritage (les principaux concepts de l'approche objet). D'autre part, de nombreux langages orientés objets ont été mis au point (Object Pascal, C++, Java, etc.).

Objet :

Un objet est une abstraction d'un élément du monde réel. Il possède des informations, par exemple nom, prénom, adresse, etc., et se comporte suivant un ensemble d'opérations qui lui sont applicables.

De plus, un ensemble d'attributs caractérisent l'état d'un objet, et l'on dispose d'un ensemble d'opérations (les méthodes) qui permettent d'agir sur le comportement de notre objet.

Un objet est l'instance d'une classe, et une classe, est un type de données abstrait, caractérisé par des propriétés (ses attributs et ses méthodes) communes à des objets, qui permet de créer des objets possédant ces propriétés.

Tout objet présente les trois (03) caractéristiques suivantes : un état, un comportement et une identité

Objet = identité + état (attributs) + comportement (méthodes)

Messages :

Le deuxième concept important en approche objet est le message. Il est important de ne pas confondre le message, sa signification dans l'approche objet et puis son implémentation, généralement sous forme de déclenchement d'opération. Notez que je n'écris pas déclenchement de méthode car, au travers du polymorphisme que nous verrons un peu plus tard, on ne sait pas très bien quelle est la méthode déclenchée (et c'est très bien !).

2.3. Classe :

C'est un types d'éléments qui partagent les mêmes propriétés (attributs, méthodes, relations, sémantique).

Si les propriétés définies par la classe sont immuables et ne dépendent pas des éléments, on parle d'attributs ou de variables de classe et de méthodes de classes, inversement si leur contenu dépend de l'élément on parle d'attribut ou de variable d'instances et de méthodes.

Les propriétés d'une classe ont une visibilité, c'est-à-dire que l'accès aux propriétés d'une classe par une autre est contrôlé.

Nom de classe

Attributs

Méthodes

Fig01. Représentation graphique des classes.

2.4. Association :

Une association est une relation entre deux classes (association binaire) ou plus (association n-aire), qui décrit les connexions structurelles entre leurs instances.

Une association indique donc qu'il peut y avoir des liens entre des instances des classes associées.

Un lien

Ali : Personne

Entreprise : ENSEM

Un lien

 

Ahmed: Personne

 

Une association

 

ENSEM

Personne

 
 
 

Fig02. Les liens entre l'Entreprise et les Personnes sont
tous des instances entre la classe Entreprise et la classe

. Agrégation :

L'agrégation est la forme particulière d'association entre deux classes indiquant que des instances d'une classe, sont contenues (ou agrégées) dans une instance d'une autre classe.

Dans l'agrégation les deux objets en relation sont distingués : l'un est un composant de l'autre.

Au niveau logique, on considère que le composé est responsable de la gestion de ses composants (c'est le composé qui crée, modifie, ou détruit ses composants).

Agrégat Composant

Fig03. Représentation graphique de l'agrégation

2.6. Généralisation et spécialisation :

 

Une classe peut ~tre la généralisation d'une ou plusieurs autres classes. Ces classes sont alors des spécialisations de cette classe.

La generalisation Reunir des objets possedant des caracteristiques communes dans une nouvelle classe plus generale appelee super-classe.

La specialisation séparer des objets suivant des caractéristiques plus spécifiques dans une nouvelle classe plus spécifique appelée sous-classe

Fig04. Hiérarchies de classes

2.7. Héritage :

L'héritage est un principe de la programmation orientée objet, permettant entre autres la reutilisabilite et l'adaptabilite des objets. Elle se nomme ainsi car le principe est en quelque sorte le mrme que celui d'un arbre genealogique. Ce principe est base sur des classes dont les « filles » heritent des caracteristiques de leur(s) « mère(s)».

2.8. Encapsulation :

L'encapsulation est un mecanisme consistant à rassembler les donnees et les methodes au sein d'une structure en cachant l'implementation de l'objet, c'est-à-dire en empêchant l'accès aux donnees par un autre moyen que les services proposes. L'encapsulation permet donc de garantir l'integrite des donnees contenues dans l'objet.

2.9. Polymorphisme :

Le polymorphisme designe un concept de la theorie des types, selon lequel un nom
d'objet peut désigner des instances de classes différentes issues d'une mrme

arborescence.

La possibilite de redefinir une methode dans des classes heritant d'une classe de base s'appelle la specialisation. Il est alors possible d'appeler la methode d'un objet sans se soucier de son type intrinsèque : il s'agit du polymorphisme d'heritage.

Ceci permet de faire abstraction des details des classes specialisees d'une famille d'objet, en les masquant par une interface commune (qui est la classe de base)

3. La notation UML : 3.1. Historique :

Les premières methodes d'analyse (années 70): Decoupe cartesienne (fonctionnelle et hierarchique) d'un système.

L'approche systemique (années 80) : Modelisation des donnees + modelisation des traitements (Merise ...).

L'emergence des methodes objet (1990-1995) : Prise de conscience de l'importance d'une methode specifiquement objet :

- comment structurer un système sans centrer l'analyse uniquement sur les donnees ou uniquement sur les traitements (mais sur les deux) ?

- Plus de 50 methodes objet sont apparues durant cette periode (Booch, ClasseRelation, Fusion, HOOD, OMT, OOA, OOD, OOM, OOSE...) !

- Aucun methode ne s'est reellement imposee. Les premiers consensus (1995)

- OMT (James Rumbaugh) : vues statiques, dynamiques et fonctionnelles d'un système

* issue du centre de R&D de General Electric.

* Notation graphique riche et lisible.

- OOD (Grady Booch) : vues logiques et physiques du système

* Definie pour le DOD, afin de rationaliser de developpement d'applications ADA, puis C++.

 

* Ne couvre pas la phase d'analyse dans ses 1ères versions (preconise SADT).

* Introduit le concept de package (element d'organisation des modèles). - OOSE (Ivar Jacobson) : couvre tout le cycle de developpement

* Issue d'un centre de developpement d'Ericsson, en Suède.

* La méthodologie repose sur l'analyse des besoins des utilisateurs.

L'unification et la normalisation des méthodes (1995-1997) : en octobre 1994, G. Booch (père fondateur de la méthode Booch) et J. Rumbaugh (principal auteur de la méthode OMT) ont décidé de travailler ensemble pour unifier leurs méthodes au sein de la société Rational Software. Un an après, I . Jacobson (auteur de la méthode OOSE et des cas d'utilisation) a rejoint Rational Software pour travailler sur

l'unification.

Les travaux sur ce langage ont continué avec son adoption par de grands acteurs industriels comme HP, Microsoft, Oracle ou Unisys. Ce travail a abouti en 1997 à UML 1.0. Le langage a été soumis par Rational Software et ses partenaires à l'OMG comme réponse à un appel d'offres sur la standardisation des langages de modélisation.

Fig05. L'évolution de la norme UML

L'appel d'offres de l'OMG a recueilli un avis favorable, puisque 6 réponses concurrentes sont parvenues à l'OMG. IBM et Object Time (méthode ROOM pour les systèmes temps réel réactifs) ont décidé de rejoindre l'équipe UML ; leur proposition était en fait une extension d'UML 1.0. Certains autres auteurs qui ont répondu à l'appel d'offres ont abandonné leur proposition pour rejoindre à leur tour UML. En novembre 1997, UML a été adapté par l'OMG.

. Définition :

UML (Langage de Modélisation Unifié) est une notation utilisée en tant qu'outil de modélisation des applications construites avec des langages objets.

Dans ce contexte et devant le foisonnement de nouvelles méthodes de conception « orientée objet », l'Object Management Group (OMG) a eu comme objectif de définir une notation standard utilisable dans les développements informatiques basés sur l'objet. C'est ainsi qu'est apparu UML (Unified Modified Language « langage de modélisation objet unifié »), qui est issu de la fusion des méthodes suivantes :

OMT (Object Modelling Technique) conçue par James Rumbaugh. OOSE (Object Oriented Software Engineering) conçue par Grady Booch. OOD (Object Oriented Design) conçue par Ivar Jacobson.

3.3. Objectif :

UML est un langage qui permet de représenter des modèles, mais il ne définit pas le processus d'élaboration des modèles.

UML est avant tout un support de communication performant, qui facilite la représentation et la compréhension de solutions objet.

UML est une représentation graphique, qui s'intéresse à un aspect précis du modèle ; c'est une perspective du modèle.

UML n'introduit pas d'éléments de modélisation propres à une activité (analyse, conception...) ; le langage reste le même à tous les niveaux d'abstraction.

3.4. Les principes symboles utilisés :

Les principes symboles utilisés dans notre étude, et précisément dans les diagrammes d'UML sont regroupés dans le tableau ci-dessous :

Symbole

Description

 
 

Acteur

 
 

: Nom l1 l'REjW

Objet

Connexion

&1N11'YtiliNIIIRn

 

Association

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Agrégation

 

Début

 

Fin

 

Etat

 
 
 
 

[Condition]

Les conditions

 

1 ° Yd

 
 
 
 
 
 
 

Etat

Evénement [condition]

Etat

 
 
 

Les diagrammes d'UML :

UML permet de définir et de visualiser un modèle, à l'aide de diagrammes. . Définition d'un diagramme UML :

Un diagramme UML est une représentation graphique, qui s'intéresse à un aspect précis du modèle. C'est une perspective du modèle, pas "le modèle".

Chaque type de diagramme UML possède une structure (les types des éléments de modélisation qui le composent sont prédéfinis).

Un type de diagramme UML véhicule une sémantique précise (un type de diagramme offre toujours la même vue d'un système).

Par extension et abus de langage, un diagramme UML est aussi un modèle (un diagramme modélise un aspect du modèle global).

. Caractéristiques des diagrammes UML :

Les diagrammes UML supportent l'abstraction. Leur niveau de détail caractérise le niveau d'abstraction du modèle.

La structure des diagrammes UML et la notation graphique des éléments de modélisation est normalisée (document "UML notation guide").

. Les différents types de diagrammes UML : Il existe 2 types de vues du système qui comportent chacune leurs propres diagrammes :

a- les vues statiques :

*diagrammes de cas d'utilisation *diagrammes d'objets

*diagrammes de classes

* diagrammes de composants * diagrammes de déploiement

b- les vues dynamiques :

* diagrammes de collaboration * diagrammes de séquence

* diagrammes d'états-transitions * diagrammes d'activités

. Les diagrammes de cas d'utilisation :

les use cases permettent de structurer les besoins des utilisateurs et les objectifs correspondants d'un système. Ils centrent l'expression des exigences du système sur ses utilisateurs : ils partent du principe que les objectifs du système sont tous motivés.

. Eléments de modélisation des cas d'utilisation

a- L'acteur : la première étape de modélisation consiste à définir le périmètre

du système, à définir le contour de l'organisation et à le modéliser.

 

Toute entité qui est en dehors de cette organisation et qui interagit avec elle est appelé acteur selon UML.

 
 
 

b- Le cas d'utilisation : le cas d'utilisation (ou use case) correspond à un objectif du système, motivé par un besoin d'un ou plusieurs acteurs.

L'ensemble des use cases décrit les objectifs (le but) du système.

c- La relation: elle exprime l'interaction existant entre un acteur et un cas d'utilisation.

: Client

Fig06. Exemple de diagramme de cas d'utilisation

Connexion

. Les diagrammes de classes :

le diagramme de classes exprime la structure statique du système en termes de classes et de relations entre ces classes.

L'intér~t du diagramme de classe est de modéliser les entités du systèm d'information.

Le diagramme de classe permet de représenter l'ensemble des informations finalisées qui sont gérées par le domaine. Ces informations sont structurées,

c'est-à-dire qu'elles ont regroupées dans des classes. Le diagramme met en évidence d'éventuelles relations entre ces classes.

Le diagramme de classes comporte 6 concepts : (classe, attribut, identifiant, relation, opération, généralisation / spécialisation)

Nom : String

Date _naissance : entier
Age : String

Personne

Appartement

N-Immeuble: Entier Etage : Entier

Nb-Pièces : Entier

Fig07. Exemple de diagramme de classe

3.8. Les diagrammes d'objet : le diagramme d'objets permet de mettre en évidence des liens entre les objets. Les objets, instances de classes, sont reliés par des liens, instances d'associations.

A l'exception de la multiplicité, qui est explicitement indiquée, le diagramm d'objets utilise les mrmes concepts que le diagramme de classes. Ils sont essentiellement utilisés pour comprendre ou illustrer des parties complexes d'un diagramme de classes.

Salarié : Martin

Salarié : Dupont

Salarié : Durand

Fig08. Exemple de diagramme d'objet

3.9. Les diagrammes de déploiement : les diagrammes de déploiement montrent la disposition physique des différents matériels (les noeuds) qui entrent dans la composition d'un système et la répartition des instances de composants, processus et objets qui « vivent » sur ces matériels.

Les diagrammes de déploiement sont donc très utiles pour modéliser l'architecture physique d'un système.

3.10. Les diagrammes de collaboration : le diagramme de collaboration permet de mettre en évidence les interactions entre les différents objets du système.

Dans le cadre de l'analyse, il sera utilisé

- pour préciser le contexte dans lequel chaque objet évolue

- pour mettre en évidence les dépendances entre les différents objets impliqués dans l'exécution d'un processus ou d'un cas d'utilisation.

Un diagramme de collaboration fait apparaître les interactions entre des objets et les messages qu'ils échangent.

: Ascenseur

: Cabine

: Cabine

: Cabine

1 : Monter

3 : Fermer

2 : Allumer

Fig09. Exemple de diagramme de collaboration

. Les diagrammes de séquence : le diagramme de séquence est une variante du diagramme de collaboration.

Par opposition aux diagrammes de collaboration, les diagrammes de séquence possèdent intrinsèquement une dimension temporelle mais ne représente pas explicitement les liens entre les objets.

Le diagramme de séquence permet de visualiser les messages par une lecture de haut en bas. L'axe vertical représente le temps, l'axe horizontal les objets qui collaborent. Une ligne verticale en pointillé est attachée à chaque objet et représente sa durée de vie.

Appelant

Ligne téléphonique

Appelé

Décroche

Tonalité

Numérotation

Indication de sonnerie Sonnerie

Décroche

Fig10. Exemple de diagramme de séquence

Allo

. Les diagrammes d'états-transitions:

ils ont pour rôle de représenter les traitements (opérations) qui vont gérer le domaine étudié. Ils définissent l'enchaînement des états de classe et font donc apparaître l'ordonnancement des travaux.

Le diagramme d'états-transition est associé à une classe pour laquelle on gère différents

états : il permet de représenter tous les états possibles ainsi que les événements qui provoquent les changements d'état.

Caractéristiques et règles de construction :

a-Etat : un état correspond à une situation durable dans laquelle se trouvent les objets d'une classe.

On lui associe les règles de gestion et les activités particulières.

b- Evénements et transitions : un objet passe d'un état à un autre suite à un événement, certain événement pouvant ne pas provoquer de changement d'état. Une transition est une relation entre 2 états. Elle est orientée ce qui signifie que l'état 2 est possible si certains événements sont vérifiés .Sa représentation symbolique est une flèche sur laquelle est annoté l'événement qui concourt au changement d'état.

Fig11. Exemple de diagramme d'états-transitions

[Après acquisition]

Disponible

[Après emprunt]

Non disponible

[Ouvrage abîmé ou non restitué]

. Les diagrammes d'activités: UML permet de représenter graphiquement le comportement d'une méthode ou le déroulement d'un cas d'utilisation, à l'aide de diagrammes d'activités (une variante des diagrammes d'états-transitions).

Une activité représente une exécution d'un mécanisme, un déroulement d'étapes séquentielles.

Le passage d'une activité vers une autre est matérialisé par une transition.

Les transitions sont déclenchées par la fin d'une activité et provoquent le début immédiat d'une autre (elles sont automatiques).

En théorie, tous les mécanismes dynamiques pourraient être décrits par un diagramme d'activités, mais seuls les mécanismes complexes ou intéressants méritent d'être représentés.

Préparation de la commande

Attente de livraison suivie de la commande

Mise en stock de la marchandise

Fig12. Exemple de diagramme d'activités

. Les diagrammes de composants: les diagrammes de composants permettent de décrire l'architecture physique et statique d'une application en termes de modules : fichiers sources, librairies, exécutables, etc. IO11P RQI4-It11lI11P B4-114-n11oeDvI4-11pK VqD4-11d4-111P odèles de la vue logique avec l'environnement de développement.

Les dépendances entre composants permettent notamment d'identifier les contraintes de compilation et de mettre en évidence la réutilisation de composants.

Les composants peuvent être organisés en paquetages, qui définissent des soussystèmes. Les sous-systèmes organisent la vue des composants (de réalisation) d'un système. Ils permettent de gérer la complexité, par encapsulation des détails d'implémentation.

Le processus unifiés :

Un processus de développement définit une séquence d'étapes, en partie ordonnée, qui concoure à l'obtention d'un système logiciel ou à l'évolution d'un système existant, pour produire des logiciels de qualité, qui répondent aux besoins des utilisateurs dans des temps et des coûts prévisibles.

Architecture, Pattern, Savoir-faire, sont des aspects qui voient leur importance
dans le processus de développement bien établie. Cependant, les modèles de
conception (design patterns) ne font que commencer à être intégrés dans les outils,

et d'une manière rarement normative. Il en est de mrme pour la prise en compte des architectures logicielles.

L'explicitation de ces informations sous forme de méta-modèles standard constitue un préliminaire à leur opérationnalité et à la généralisation de leur utilisation.

II. Présentation de processus 2TUP

1. Introduction :

La complexité croissante des systèmes informatiques a conduit les concepteurs à s'intéresser aux méthodes. Chaque méthode se définit par une notation et un processus spécifique.

UML a ouvert le terrain en fusionnant la notation. Il reste cependant à définir le processus pour réellement capitaliser des règles dans le domaine du développement logiciel.

Le groupe UML travaillé à unifier non pas les processus, mais plus exactement les meilleures pratiques de développement objet.

Ces processus se distinguera par le générique « Unified Process ». Le processus unifié

 

Le processus unifié est un processus de développement logiciel : il regroupe les activités à mener pour transformer les besoins d'un utilisateur en système logiciel. Caractéristiques essentielles du processus unifié :

- Le processus unifié est à base de composants,

- Le processus unifié utilise le langage UML (ensemble d'outils et de diagramme),

- Le processus unifié est piloté par les cas d'utilisation, - Centré sur l'architecture,

- Itératif et incrémental.

Le processus adopté dans notre travail: 2TUP

Le processus 2TUP :

2TUP signifie (2Track Unifie Process).c'est un processus UP qui répond aux caractéristiques que nous venons de citer.

Le processus 2TUP apporte une réponse aux contrainte de changements continuel imposées aux systèmes d'information de l'entreprise.

En ce sens, il renforce le contrôle sur les capacités d'évolution et de correction de tels système (2track) signifie littéralement que le processus suit deus chemins.il s'agit des chemins (Fonctionnels) et (D'architecture technique) qui correspondent au système informatique.

Contraintes Fonctionnelles

Fig13. Le systime d'information soumis a deux Nature de contraintes

Système d'information
d'entreprise

Contraintes
Techniques

Le processus unifié utilise le langage UML pour la création des plans d'élaboration et de construction du système logiciel. En fait, UML fait partie intégrante de processus unifié : l'un et l'autre ont été développé concret il est :

· Itératif et incrémentale.

· Centré sur l'architecture.

· Conduit par les cas d'utilisation et piloté par les risques. La gestion d'un tel processus est organisée suivant 4 phases :

· Pré étude.

· Elaboration.

· Construction.

· Transition.

Les activités de développement sont défini par :


· La capture des besoins.

· L'analyse.

· La conception.

· L'implémentation.

· Le test.

Contraintes
Fonctionnelles

Capture des besois
Fonctionnels

Fig14. Le processus de développement en Y

Analyse

Conception prèliminaire

Conception dètaillèe

Codage et testes

Recette

Conception gènirique

Capture des besois
Techniques

Contraintes
Techniques

L'axiome fondateur du 2TUP consiste à constater que toute évolution imposé au système d'information peut se décomposé et se traiter parallèlement, suivant un axe fonctionnel et un axe technique.

L'étude de ces évolutions pourra être menée indépendamment, suivant les deux branches du 2TUP.

A l'issue des évolutions du modèle fonctionnel et de l'architecture technique, la réalisation du système consiste à fusionner les résultats des deux branches ; cette fusion conduit à l'obtention d'un processus de développement en forme de Y, comme illustré par la figure.

la branche gauche (fonctionnelle):

La branche fonctionnelle correspond à la tâche traditionnelle de modélisation du domaine, du problème à résoudre et des besoins des utilisateurs. On distingue deux phases :

a. Capture des besoins fonctionnels : Qui produisent le modèle des besoins focalisés sur le métier des utilisateurs.

Elle qualifie, au plus tôt le risque de produire un système inadapté aux utilisateurs :

Le niveau contexte a pour objet de définir la frontière fonctionnelle entre le système et son environnement.

Le niveau « cas d'utilisation » définit ensuite les activités attendues des différents utilisateurs par rapport au système.

b. L'analyse :

Qui consiste à étudier précisément la spécification fonctionnelle de manière à obtenir une idée de ce que va réaliser le système en terme de métier, ouvre le système pour établir la structure des objets utilisés. Le modèle d'analyse du domaine définit la structure et le comportement des objets connus dans le métier des utilisateurs du système.

Le modèle d'analyse de l'application y rajoute, suivant le mrme processus les objets qui sont connus des utilisateurs, dans le cadre de la mise en application de leur besoins.

La branche droite (architecture technique):

En effet, on a longtemps considéré que l'aspect technique se déduisait d'une manière ou d'une autre des aspects fonctionnels. ce qui a changé et que :

· Il faut faire des choix en matière de technique.

· ,Il n'y a plus nécessairement une base de données centrale unique mais des bases de données réparties qui communique entre elles.

· Il faut donc créer de toutes pièces un modèle de ces composants et de leur interaction.

a. La capture des besoins techniques :

Qui recense toutes les contraintes sur les choix de dimensionnant et la conception du système. Les outils et les matériels sélectionnés ainsi que la prise en compte des contraintes d'intégrations avec l'existant (pré requis d'architecture technique).

b.

La conception générique :

Qui définit ensuite les composants nécessaires à la construction de l'architecture technique. Cette conception est complètement indépendante des aspects fonctionnels. Elle a pour objectif de d'uniformiser et de réutiliser les mrme mécanismes pour tout un système.

L'objectif de la branche technique est

> Rassembler les besoins technique (sécurité, intégration à l'existant, ..) dans un dossier.

> Elaborer une architecture logiciell e et applicative qui réponde aux contraintes
présentées dans le dossier technique.

>

Identifier les besoins en Framework technique afin de pallier aux manques de la technologie.

> Propose des règles de développement afin d'industrialiser l'implémentation (gestion d'exception, règles de nom mage, règles de codage,..).

la branche du milieu:

ü La conception préliminaire :

Qui représente une étape délicate, car elle intègre le modèle d'analyse fonctionnelle dans l'architecture technique de manière à tracer la cartographe des composants du système à développer.

ü La conception détaillée : Qui étudie ensuite comment réaliser chaque composant.

ü L'étape de codage : Qui produit ses composants et test au fur et à mesure les unités de code

réalisées.

ü L'étape de recette : 3Qui consiste enfin à valider les fonctionnalités du système développé.

Conclusion (processus 2TUP ) : n peut dire que le processus 2TUP

> S'articule autour de l'architecture

> Propose un cycle de développement en Y

> Détaillé dans « UML en action »

> Cible des projets de toute taille

Ces points forts :

> Itératif ;

> Fait une large pla ce à la technologie et à la gestion de risque ;

> Dé finir les profils des intervenants, les livrable, les plannings, les prototypes ;
Ces points faibles :

Plutôt superficiel sur les phases situées en amont et en aval développement : capture des besoins, support, maintenance, gestion changement... Ne propose pas de documents types.

Conclusion :

UML (Unified Modeling Language) est aujourd'hui le langage de modélisation d'applications informatiques le plus important du marché. Il est supporté par la quasi-totalité des outils de développement, lesquels permettent l'édition de modèles UML et offrent des capacités telles que la génération de code, de test et de documentation, le suivi d'exigences ou encore le Reverse Engineering.

UML compte déjà une dizaine d'années d'existence. I l'échelle d'un courant

méthodologique, c'est encore une durée relativement courte puisque l'on estime qu'un cycle de développement d'une méthode de cette envergure s'étale sur une période de vingt à trente ans, ce qui a été le cas par exemple pour Merise.

Mais l'accélération du renouvellement des technologies conjuguée avec la pression économique et concurrentielle qui s'exerce sur les entreprises, obligent les acteurs du monde informatique à produire des solutions de plus en plus rapidement dans un contexte d'amélioration continue de la qualité et de la performance des systèmes d'information.

Notons aussi qu'Internet a été un vecteur favorisant le développement de très nombreuses applications dont une grande partie utilise des solutions à base de langage de programmation objet comme Java, C++ ou C#.

UML a apporté tout naturellement le support méthodologique qui manquait à tous les concepteurs et développeurs qui voulaient formaliser l'analyse et la conception technique de leur logiciel.

UML s'est donc imposée en tant que langage graphique de modélisation puisque non seulement ce langage répond à un véritable besoin mais en outre il est devenu un standard de fait puisqu'il s'appuie sur une norme très structurante.

Chapitre3

Introduction

Ce travail a été réalisé dans le cadre d'un stage au niveau OPGI Khenchela.

Il porte sur une application de gestion du Patrimoine immobilier visant

l'informatisation de ce service et l'ensemble de ces transactions d'information.

Il s'agit d'une application standard, utilisable par n'importe quelle entreprise

privée ou publique, petite, moyenne ou grande.

On a choisit le service du patrimoine pour les raisons de la quantité très importante d'informations qu'il gère, et donc les grands problèmes de stockage, de recherche, d'actualisation et de diffusion d'information s'il rencontre.

Section ? : Présentation de l'OPGI

L'Office est chargé dans le cadre de la mise en oeuvre de la politique sociale de l'Etat, de promouvoir le service public en matière de logement social. En outre, il est chargé à ce titre :

De la promotion immobilière sous toutes ses formes (promotionnel, LSP).De la gestion immobilière (administrateur de biens).

Des actions de prestations de services en vue d'assurer l'entretien et la maintenance des biens immobiliers.

L'Office de Promotion et de Gestion Immobilière de KHENCHELA est administré par un Conseil d'Administration et dirigé par un Directeur Général.

a. Le patrimoine de l'Office

Le patrimoine de l'Office de la Wilaya de KHENCHELA arrété au 01/12/2007 se présente comme suit :

 
 
 

Désignation

En location

En cession

Cédé

En cours

Total

Logements 11 198 1 294

Locaux 277 58

TOTAL 11 475 1 352

1 120

2

1 122

13 612

337

13 949

b. Statuts juridiques L'Office

Statuts juridiques L'Office de Promotion et de Gestion Immobilière de la wilaya de KHENCHELA (O.P.G.I de KHENCHELA) a été créé à l'instar des autres offices répartis à travers le territoire national par le décret 76/93 du 23/10/1976 fixant les conditions de création des OPGI.

Sa nature ]uridique a été transformée par le décret exécutif n°91/147 du 21 mai 1991 portant modification de la nature ]uridique des statuts des OPGI.

Conformément à l'article 1 du décret exécutif ci-dessus, l'OPGI est un établissement public à caractère industriel et commercial, il est réputé commerçant dans ses rapports avec les tiers et est soumis aux règles de droit commercial.

c. Les missions de l'Office

Conformément à l'article 4 du décret exécutif n° 91/147 du 12/05/1991, l'OPGI est investi des missions suivantes :

· Promouvoir le service public en matière de logement notamment pour les catégories sociales les plus démunies

· A titre accessoire, il est chargé de :

· De la promotion immobilière

· De la maîtrise d'ouvrage déléguée de l'Etat ou pour le compte de tout autre opérateur

· De la promotion foncière

· Des actions de prestation de services en vue d'assurer l'entretien, la maintenance, la restauration et la réhabilitation des biens immobiliers

· De toute action visant l'accomplissement de ses missions

En outre, il est habilité à gérer les biens immobiliers qui lui sont confiés suivant une convention déterminant les conditions et modalités de prise charge de cette mission L'administration des biens immobiliers suivant les dispositions du décret exécutif n°97-154 du 10 mai 1997

d. L'organigramme de l'OPGI de KHENCHELA

Direction Générale

Directeur Général

Cellule des
Affaires
Juridiques et
Contentieuses

 

Cellule de
l'Audit
Interne

 

Cellule de
la SécuritéInterne

Directeur Général Adjoint

Département
des Finances et
de la
Comptabilité

Département de
la Gestion et
Maintenance du
Patrimoine

Service des
Finances

Service des
Investissements

Service de la
Cession

Service de la
Maintenance et
de la
Conservation
du Patrimoine

Service de la
Comptabilité

Service de
Recouvrement

Service de
l'Exploitation du
Patrimoine

Service des
Ressources
Humaines

Service des
Moyens
Généraux

Service
Informatique

Département
des Ressources
Humaines et
Moyens
Généraux

Service des
Etudes et de la
Programmation

Service des
Prix et Marchés

Service de la
Conduite des
Opérations

Département de
Maîtrise
d'Ouvrages

Service de la
Promotion
Immobilière et
Foncière

Service
Commercial

Département de
Développement
de la Promotion
Immobilière et
Foncière

Fig01. Organigramme de O.P.G.I Khenchela

e. Département de la Gestion et Maintenance du Patrimoine Ce département est chargé de :

*Assurer la gestion du patrimoine en exploitation, de la cession et du fichier immobilier et de son entretien

*De concevoir et d'engager les actions de préservation du patrimoine et de son maintien en état d'habitabilité.

*D'étudier et arréter les méthodes et procédés techniques en matière de préservation du patrimoine.

*Promouvoir les relations avec les usagers du patrimoine et le mouvement associatif dans le cadre des actions liées à la préservation des biens.

*Promouvoir les actions liées à la mise en place des organes de la copropriété. Ce Département comprend quatre services :

· e Service Exploitation du Patrimoine

· Le Service Cession

· Le Service de la Maintenance et de Préservation du Patrimoine

Département de la
Gestion et Maintenance
du Patrimoine

Service de

Service de la Cession

Service de la

l'Exploitation du

 

Maintenance et de la

Patrimoine

 

Conservation du

 
 

Pt

 

La formalisation des contrats et de conventions de location de logements et de locaux à usage autre que l'habitation et du suivi des dossiers des locataires

Assurer l'ensemble des opérations de vente du patrimoine de l'Office dans le cadre de la législation et la réglementation en vigueur

ro

Assurer l'hygiène, la

surveillance et le maintien en état d'habitabilité du parc immobilier de l'Office

Suivi du transfert des biens de l'Etat et des mouvements du patrimoine des locataires

Etablir les échéanciers de paiement et versement des mensualités

Programmer, organiser,

contrôler et suivre l'ensemble des travaux d'entretien

La mise en oeuvre des règles et procédures de ventes prévues pour les locaux à usage autre que

l'habitation

Assurer la transmission aux structures internes concernées les éléments nécessaires pour l'établissement des quittances de paiement des mensualités de cession et des charges

Prendre en charge les grosses opérations de réparation et réhabilitation du patrimoine

La tenue à jour du fichier central des dossiers des locataires

Assurer le suivi du transfert des opérations liées à la cession

 
 

Représenter l'Office au niveau des commissions de Daïra dans la cadre de la cession des biens immobiliers

 
 

j. Département des Finances et de la Comptabiité

Ce département est chargé de :

Assurer l'ensemble des opérations financières et comptables de l'Office.

Définir les moyens budgétaires nécessaires à l'accomplissement des missions de l'Office, d'en suivre l'exécution et d'en assurer le contrôle.

Assurer la tenue et la mise à jour de la comptabilité de l'Office.

Consolider l'ensemble des écritures comptables.

Ce Département comprend :

· Le Service Comptabilité

· Le Service Finances

· Le Service Investissement

· Le Service Recouvrement

Le Service Comptabilité comporte :

Service 1 :L'Etablissement du budget prévisionnel et du contrôle de son exécution. Service 2 :La tenue de la comptabilité selon les règles en vigueur et de sa mise à jour.

Service 3 :L'élaboration de tout document financier et comptable relatif à l'activité de l'Office.

Service 4 :L'animation et le contrôle des opérations liés aux investissements planifiés et suivre leur endettement vis-à-vis des organismes de crédits concernés.

Service 5 :D'établir les inventaires et calculer leurs amortissements.

Service 6 : Assurer, animer et contrôler l'ensemble des opérations liées aux recouvrement des créances de l'Office (loyers, produits de cession et produits divers..).

Service 7 :De procéder au contrôle des différentes régies et caisses de recouvrement

et le versement des recettes effectuées dans les comptes de l'Office.

Service 8 :Etablir les inventaires et calculer leur amortissement.

 

Service 9 :Contrôler les opérations de recouvrements des recettes et le règlement des dépenses.

 

Service 1

Service 2

Département
des Finances et
de la
Comptabilité

Service de la

Service des

Service des

Service de

Comptabilité

Finances

Investissements

Recouvrement

 

Assurer le suivi

régulier des situations de trésorerie et des mouvements

financiers.

 

Etablir les états de rapprochements des comptes.

Service 3

Service 4

Service 5

Assurer le suivi et l'exécution des opérations fiscales liées à l'activité de l'Office

Contrôler les

opérations liées à la gestion financière des comptes.

D'élaborer, de suivre le programme des investissements

annuels ou pluri-

annuels

 

D'engager toutes les procédures de mise en oeuvre du programme d'investissements

Du recouvrement des loyers et des produits de cession.

De contrôler et de suivre les états de recouvrement

provenant des unités et régies

 

De mettre en oeuvre toutes les procédures réglementaires pour assurer le

recouvrement des loyers et produits de cession

D'établir

mensuellement un écart général du recouvrement et le soumettre à la

Direction générale.

 

De proposer toutes mesures visant à l'amélioration du taux de recouvrement.

Service 6

Service 7

Service 8

Service 9

g. Problématique : Gestion du patrimoine immobilier OPGI Khenchela.

L'office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) est un établissement public doté de la personnalité morale et de l'autonomie financière.

Les offices de promotion et de gestion immobilière sont en outre, habilités à gérer les biens immobiliers qui leur sont confiés.

En matière de gestion immobilière, les offices de promotion et de gestion immobilière sont chargés:

· de la location et /ou de la cession des logements et locaux à usage professionnel, commercial et artisanal;

· du recouvrement des loyers et des charges locatives ainsi que des produits de la cession des biens immobiliers qu'ils gèrent;

· de la préservation des immeubles et de leurs dépendances en vue de leur maintien en état permanent d'habitabilité;

· de l'établissement et de la tenue à jour de l'inventaire des immeubles constituant le parc immobilier dont ils assurent la gestion ainsi que le contrôle du statut juridique des occupants des logements et locaux compris dans ces immeubles;

· de l'organisation et de la coordination de toutes les actions destinées à permettre une utilisation optimale des ensembles immobiliers qu'ils gèrent;

· d'assurer selon les conditions particulières la gestion de tous les biens qui leur ont été ou qui leur seront rattachés dans le cadre de l'unicité des règles de gestion du patrimoine immobilier;

· toute autre action entrant dans le cadre de la gestion immobilière.

L'OPGI désire gérer sa gestion de patrimoine immobilier. Elle voudrait en effet connaître l'implantation de chaque logement (nom de la commune et du quartier) ainsi que les personnes qui les occupent (les signataires uniquement).

Le loyer dépend d'un logement, mais en fonction de son type (maison, studio, T1, T2...)

Pour chaque logement, on veut disposer également de l'adresse, de la superficie ainsi que du loyer.

Section II : PHASE D 'ANALYSE ET DE CONCEPTION II. Présentation de processus 2TUP:

1. Etude préliminaire :

A. Quand intervient cette étude :

Etude préliminaire est la première étape de notre processus de développement elle survient à la suite d'une décision de démarrage de projet, et consiste à effectuer un premier repérage des besoins fonctionnels et opérationnel, en utilisant principalement le texte ou des diagrammes simple.

Elle prépare les étapes plus formelles de capture des besoins fonctionnelles et de capture des besoins techniques.

B. Objectifs principaux :

Etablir un recueil initial de besoins fonctionnels et opérationnels (cahier de charge).

De modéliser le contexte du système considère comme une boite noire en:

-identifiant les entités externes au système qui interagissent directement avec lui (acteur).

-Répertoriant les interactions (émission /réception de messages) entre ces acteurs et le système (message).

Branche
fonctionnelle

Fig0 . 6BXDNEQ ST1l10tXST18r0l1 KDRTESDIA lT 8UFTAAXA E7 8 3

Capture des besoins
Fonctionnels

Etude préliminaire

Capture des besoins
Techniques

Branche
technique

-Représentant l'ensemble des interactions sur un modèle de contexte dynamique, éventuellement complète par un modèle de contexte statique.

Fig03. Diagramme de contexte dynamique de syst~me.

1.1. Identification des acteurs :

Qu'est ce qu'un acteur ?

Un acteur représente l'abstraction d'un rôle joué par des entités externes (utilisateurs, dispositif matériel ou autre système) qui interagissent directement avec le système étudies.

Dans notre système Il existe deux (02) acteurs :

> Exploiteur

> Caissier

> Locataire

Acteur

 

Rôle

Exploiteur


·


·

M.A.J des locataires Consultation des divers

Caissier


·

Encaissement

Locataire


·


·

Consultation Paiement

1.2 Modéliser le contexte : Diagramme de contexte dynamique:

Tout les messages échangent entre système et acteurs identifies peuvent être représenté de façon synthétique sur un diagramme, que l'on peut qualifier de diagramme de contexte dynamique

CAISSIER

Encaissement

Ajouter un locataire

Modifier un locataire

Supprimer un locata

Déposé Dossier
Logement

EXPLOITEUR

Consulter des divers

Locataire

Paiement

mensuellement

Relance de paiement

Fig04. Diagramme de cas d'utilisation

Identifier les cas d'utilisations :

Qu'est qu'un cas d'utilisation ?

Un cas d'utilisation représente un ensemble de séquence d'actions réalisées par le

système et produise un résultat observable intéressant pour un acteur particulier.

Un cas d'utilisation modélise un service rendu par le Système .Il permet de décrire ce que le futur système devra faire sans spécifier comment a le fera.

Le tableau suivant montre les liens entre les cas d'utilisation identifiés, les acteurs principaux et secondaires et les messages provenant du contexte.

1 Diagramme de cas d'utilisation

Description des cas d'utilisation

Cas d'utilisateur

acteur

description

Ajouter un locataire

Exploiteur

Ajouter un locataire est associe le dans un

logement

Modifier un locataire

Exploiteur

Modifier les information d'un locataire

Supprimer un locataire

Exploiteur

Supprimer d' locataire

Consulter des divers

Exploiteur Caissier

Consulter des locataires d'un logement est les logements

Consulter les versements des locataires et date de versement de chaque locataire

Encaissement

Caissier

Saisie les versements des locataires

Paiement mensuellement

Locataire

Verser des cotisations mensuelles

Relance de paiement

Exploiteur

Relance un paiement en cas d'erreur ou d'une coupure.

Déposé Dossier Logement

Locataire

Déposé un dossier pour
bénéficier du logement.

3. Analyse de système

La phase d'analyse est la première étape dans la vie d'un logiciel. Elle a pour objectif de décrire de manière précise, concis, correct et compréhensible la réalité étudiée. L'analyse d'une application objet doit faire apparaitre les caractéristiques métiers des objets suivant deux types d'analyse

· Une analyse statique : représentant la description structurelle des objets,

· Une analyse dynamique : décrivant le cycle de vie l'objet au cours de l'application (les étapes par lesquelles passe l'objet ainsi que les évènements qui lui sont envoyés).

3.1Analyse statique

 

Les cas d'utilisation représentent une vue fonctionnelle des systèmes. Si cette vue est conservée lors du passage vers la définition de l'architecture, la forme du système sera le reflet de la fonction et, de se fait le système sera difficilement extensible.

 

Afin d'échapper a ce problème il convient de négocier la transition vers les objets, or le modèle objet permet de passer de cette vue fonctionnelle vers une vue objet du modèle. Le diagramme objet exprime de manière générale la structure statique de système en termes de classes et de relations entre ces classes. Une classe permet de décrire un ensemble d'objets (attributs + comportement), tendis qu'une relation ou association permet de faire apparaitre des liens entre ces objets.

A. Identification des classes d'objets :

Notre étude nous à permis de recenser les classes d'objets suivants :

Cité

Locataire

Commune

Logement

Date location

Versement

B. Affichage du modèle objet : Agrégation :

Une agrégation est un type particulier d'association. Elle traduit une étroite dépendance entre les classes, c'est une association non symétrique dans laquelle une des extrémités joue un rôle prédominant par rapport à l'autre extrémité.

L'étude des classes d'objet de notre système suggère qu'il existe l'agrégation suivant : Agrégation entre les classes «Commune"« Cité ", et «Cité"« Logement " :

Commune

Fig05. Agrégation « Commune - Cité >>

*

Cité

Cité

*

Logement

Fig06. Agrégation «Cité - Logement >>

*

*

 
 
 

1

Cité

Locataire

1 1

Versemen t

Fig07. Diagramme de classe

Logement

Commune

1

Data-Locat

C. Diagramme de classe :

Représentation de quelques classes

Classe

propriétés

Type /taille

Méthodes

Locataire

IDLocataire Nom

Prénom

Date-nes

Tel

Nom Père

Prénom mere Nom mere

NBR Enf

AN25

A25 A25 Date N10 A25 A25 A25 N2

Enregister_loc () Modifier_loc () Recherché_loc () Supprimer_loc ()

Logement

Mat_Log Bloc

Surface

Type_Log IDCité

AN25

AN5

N4

AN6

AN25

Recherch_Logs ()

Cité

IDCité

Nom_Cité NBR_Log Adresse

IDCommune

AN25
AN25

N5

AN50
AN25

Recherch_Cités ()

commune

IDcommune

Nom de commune Daira

wilaya

AN25 AN25 AN25 AN25

Recherch_commune ()

versement

IDLocataire Mat_Log

Date-vers

somme

AN25 AN25 Date

N

Encaisement (IDL : AN25 Somme :N)

Date location

IDLocataire MatLog

Date-occup

AN25 AN25 Date

 
 

3 2 Analyse dynamique :

Nous avons jusqu'à présent étude la statique (la structure) du système à modéliser à travers le diagramme de classe. Nous allons maintenant passer à l'étude de la dynamique (le comportement) du système.

 

La modélisation dynamique se base sur plusieurs modèles ayant pour objectif d'une
part de décrire les interactions entre les objets, et d'une part d'étudier l'évolution

 

Exploiteur

Fig08. Diagramme de séquence du scénario « Ajout d'un locataire ~.

Demander formulaire

Sélection logement

Saisir les info d'un locataire

Afficher formulaire

Liste de logement

Validation

Valider

SystZme

interne des objets. Relativement à notre système, et vue que le nombre important des interactions entre les objets, ainsi que les variations de comportement auteur des cas d'utilisation qui ne sont pas importantes, ce qui ramène l'utilisation des diagrammes de séquences plus pertinent dans notre système. Pour ceci nous allons basés dans l'étude dynamique sur diagrammes de séquences, avec la représentation par les diagrammes d'états-transitions les variations de comportement des d'utilisation possibles.

Diagramme de séquence :

Dans les diagrammes de séquences un objet est représenté par un rectangle et une barre verticale appelée de vie de l'objet.

Les objets communiquent en échangent des messages représentés par flèches horizontales, orientées de l'émetteur des messages vers le destinataire. L'ordre d'envoi des messages est montré par la position sur l'axe vertical.

Diagramme de séquence du scénario « Ajout d'un locataire ».

Rechercher locataire

Afficher locataire

Supprimer

Valider

Validation

Fig10. Diagramme de séquence du scénario « supprimer d'un locataire ~

Exploiteur

syst~me

Diagramme de séquence du scénario « modifier d'un locataire ».

Rechercher d'un location

Afficher location

Modifier

 

Valider

 
 
 

Exploiteur

syst~me

Fig09. Diagramme de séquence du scénario « modifier d'un locataire ~.

Diagramme de séquence du scénario « supprimer d'un locataire ».

Recherche logement Afficher réponse

Versement

Afficher formulaire de versement

Saisir les informations

Valider

Validation

Fig12. Diagramme

de séquence du scénario «encaissement ~

Syst~me

Caissier

Diagramme de séquence du scénario « rechercher d'un locataire ».

Fig11. Diagramme de séquence du scénario « rechercher d'un locataire ~

systeme

Demander formulaire de rechercher

Afficher formulaire Saisir inf pour rechercher

 

Résultat de rechercher

 

Exploiteur

Diagramme de séquence du scénario «encaissement » :

Chapitre4

Nous avons développé notre programme avec NetBeans, cet éditeur est conçu pour fournir des produits de développement logiciel solide comme le roc (EDI Nettes, Plateforme NetBeans) qui répondent aux besoins des développeurs, utilisateurs et les métiers qui reposent sur NetBeans comme base pour leurs produits

I. Introduction :

La nécessité de faciliter et d'automatiser le processus de développement de logiciel a permis la création de divers Environnements de Développements Intégrés (EDI ou IDE) en anglais « Integrated Development Environment. »

Dans le domaine de la programmation avec Java, il y a plus de 50 IDE's disponibles, par exemple : Eclipse, NetBeans, DrJava, JIPE, BlueJ, Gel, Borland JBuilder, Oracle JDeveloper, IntelliJIDEA, JCreator

Eclipse et NetBeans sont très utilisés dans les domaines : Professionnels et éducatifs. Toutes les entreprises de logiciel, les universités, les écoles d'ingénieurs, les laboratoires de recherche informatique utilisent toujours Eclipse et/ou NetBeans.

Nous avons travaillé dans la vie universitaire et professionnelle avec Eclipse et NetBeans.

II. Le NetBeans

Est conçu pour fournir des produits de développement logiciel solide comme le roc (EDI Nettes, Plateforme NetBeans) qui répondent aux besoins des développeurs, utilisateurs et les métiers qui repose sur NetBeans comme base pour leurs produits. NetBeans est également une communauté vibrante où des personnes de n'importe quel pays que vous pouvez imaginer, ont la possibilité de poser des questions, donner des conseils, contribuer et finalement partager le succès de nos produits. Vous trouverez des étudiants sur nos listes de distribution, des développeurs de sociétés, et des personnes désirant approfondir leurs connaissances.

Historique

En 1997, NetBeans naît de Xelfi, un projet d'étudiants dirigé par la Faculté de mathématiques et de physique de l'Université Charles de Prague. Plus tard, une société se forme autour du projet et édite des versions commerciales de l'EDI NetBeans, jusqu'à ce qu'il soit acheté par Sun en 1999. Sun place le projet sous double licence CDDL et GPL v2 en juin de l'année suivante.

Multilingue

La version actuelle, Netbeans 6.9.1 (sortie le 5 Août 2010), est disponible en 23 langues, la plupart étant réalisées par la communauté d'utilisateurs.

3 Environnement

Netbeans est un IDE qui supporte une large variété de langages de programmation et d'outils de collaboration.

3.1 Environnement de base

L'environnement de base comprend les fonctions générales suivantes :

- configuration et gestion de l'interface graphique des utilisateurs,

- support de différents langages de programmation,

- traitement du code source (édition, navigation, formatage, inspection..),

- fonctions d'import/export depuis et vers d'autres IDE, tels qu'Eclipse ou JBuilder, - accès et gestion de bases de données, serveurs Web, ressources - partagées,

- gestion de tâches (à faire, suivi ...),

- documentation intégrée.

3.2 Principaux langages supportés

L'éditeur intégré propose des fonctions de complétion, de contrôles syntaxiques et sémantiques, d'avertissements et de conseils, de reprise de codes (« refactoring » : renommage, changement des méthodes, gestion des classes, ...), de sauvegarde et reprise.

Il supporte les principaux langages suivants :

- Java (Java SE 4, Java ME 5, Java FX 6, Java EE 7), Javadoc ;

- Ruby et Ruby on Rails 8: Ruby 1.9, Ruby on Rails 3, JRuby 1.4 ;

- Groovy et Grails 9 ;

- PHP (dont les environnements Zend et Symfony) 10 ;

- JavaScript 11 ;

- C, C++, Fortran12.

Netbeans ne requiert pas l'utilisation d'un compilateur particulier. A noter le support des bibliothèques Qt. Les plates-formes supportées sont Microsoft Windows, Linux, Mac OS, Solaris 10 et OpenSolaris ;

- Python ; - HTML, XHTML, RHTML ; - XML ; - DTD ; - CSS ; - JSP, JSF ; - ERB Gestion de projets

Netbeans supporte les principaux systèmes de gestion de versions cvs : CVS, Subversion, Mercurial, ClearCase. Il intègre par ailleurs des outils collaboratifs (Projet Kenai Team Server). Il inter agit avec les logiciels de gestion de bugs: Jira, BugZilla.

3.4 Débogage et optimisation

Netbeans comprend un profileur Java (analyse des performances CPU, de la génération de charge, analyse de l'utilisation mémoire, ...). Il intègre par ailleurs des outils de débogue Java. Il peut aussi inter agir avec des débogueurs PHP (Zend, Xdebug).

3.5 Bases de données

NetBeans comprend un explorateur de bases de données qui supporte toutes les bases relationnelles pour lesquelles un connecteur JDBC existe (selon les versions des gestionnaires de bases de données): JavaDB (Derby) MySQL, PostgreSQL, Oracle, Microsoft SQL, PointBase, jTDS, IBM Redistributable DB2, ... L'explorateur comprend un éditeur de requêtes, un gestionnaire intégré de bases de données MySQL.

3.6 Outils de construction d'applications

Applications sur serveurs (applications Web et JAVA EE) NetBeans supporte une importante variété d'environnements pour l'exécution d'applications web et Java EE : Java Server Pages (JSP), Java Server

Faces(JFS),Enterprise JavaBeans (EJB 2.1, EJB 3, EJB 3.1), Apache Struts, Spring Web MVC, Hibernate ... Il supporte les standards Java EE 6, Java EE 5, J2EE 1.4, Java Persistence API (JPA 2.0 ), Java Servlet API.

Il permet le déploiement d'applications Java et d'Applets via Java Web Start (JNLP). Netbeans intègre les fonctions de Hudson (Maven et projets Java SE pour Ant) et de Maven (créer, exécuter, tester et déboguer des projets Maven Apache).

3.6.2 Applications sur poste de travail

Il supporte le développement d'applications postes de travail (Java SE), en lien avec JDK 1.1, 1.2, 1.3, 1.4, JDK 5.0 et JDK 6. Il permet l'utilisation des tests JUnit 3 et 4. NetBeans propose un environnement graphique exploitant Swing, désigné comme Java Swing GUI Builder (ancien projet Matisse). Cet environnement comporte des palettes d'outils de composition d'interfaces (composantes Swing et AWT et composantes spécifiques développées pour les projets). Il est utilisé au travers d'une interface graphique simple (choisir et positionner) qui permet de dessiner des interfaces pour les utilisateurs et de les visualiser à la volée. Le construction d'interface graphique est conforme à JSR 296 (Swing Application Framework), et JSR 295 (technologie Beans Binding).

NetBeans supporte par ailleurs Java FX.

3.6.3 Applications Java sur mobiles ou embarquées

Netbeans supporte le développement d'applications Java pour mobiles (Java ME) et systèmes embarqués.

4 Web Services

NetBeans propose différents outils pour l'exploitation de web services. Il supporte JAX-WS services, JAX-RS RESTful Web Services, standards JAX-RPC Web Service, SOAP et RESTful Web Services, JBI Java Business Intégration, Java Architecture for XML Binding API (JAXB), Mobile Java ME Web services . Il permet l'utilisation des web services Google Maps, StrikeIron, Yahoo News Search. Il supporte par ailleurs l'intégration de services fournis par quelques acteurs clés (Google, Facebook, Yahoo, You Tube, ...).

7 Plateforme NetBeans

7 Plateforme

NetBeans est aussi une plateforme générique pour le développement d'applications pour stations de travail (bibliothèque Swing (Java)).Elle fournit des ressources pour développer les éléments structurants de ces applications: gestion des menus, des fenêtres, configuration, gestion des fichiers, gestion des mises à jour... Des présentations détaillées sont fournies par le centre de documentation de NetBeans.

L'IDE NetBeans comprend toutes les ressources utiles mais il est aussi possible d'installer la plateforme séparément.

3.7.2 OSGi

La plateforme NetBeans se conforme au Framework d'OSGiNetBeans IDE 6.9 permet de créer des paquetagesOSGi pour des applications Java et pour des applications développées depuis NetBeans.

3.7.3 Plugins

L'IDE NetBeans s'enrichit au travers d'une logique de plugins.

4 Présentation de l'application

III. Implémentation L'accueil

 

Simple à mettre en oeuvre, si vous avez cliqué sur le bouton exploiteur La fenêtre suivante est apparue

 

Login Exploiteur

Saisir Le nom d'utilisateur et Le mot de passe, un message d'erreur est apparue si vous avez tapé un Nom ou un mot de passe faux.

Le Message d'erreur

 

A l'inverse vous pouvez entrer comme un agent d'exploitation Vous avez un menu général

 

Fenêtre spécial pour l'exploiteur

?

Locataire: pour ajouter un nouveau ou Modifier ou supprimer

Si vous avez cliqué sur ajouter Locataire une autre fenêtre est apparue

A la fin de remplir tous les champs cliqué sur le bouton ajouter, une nouvelle fenêtre doit lancer pour continu l'ajout d'un locataire.

Une liste contient Les communes de wilaya doit lancer, sélectionner une commune

Une nouvelle liste contient Les cité de la commune

Sélectionne un numéro de logement

A la fin si vous êtes correct appuyer sur le bouton ajouter

 

Un message de confirmation qui vous informe qu'un nouveau locataire est bien insérer

 

Fenêtre spécial pour le caissier

La photo Est la meilleure expression

La fenêtre ci-dessous si vous entrer un Matricule Incorrect

Et sa si Vous entrer un autre correct :

· Des informations sur Le Logement de Locataire

· Un Bouton qui va calculer Loyer

Si vous avez cliqué sur le bouton Versement Le champ suivant est apparue

 

A partir de cette fenêtre le programme va calculer le montant à payé en déterminons le nombre de mois à payé et la période.

 

Une fois le paiement est constaté la validation de l'opération donne une nouvelle date du mois prochaine impayé.

Conclusion

Conclusion générale

Nous venons par ce stage pratique effectué à l'OPGI KHENCHELA de boucler notre formation.

Ce stage qui nous a permis de rédiger notre mémoire a été décisif et d'une importance capitale dans notre étude puisqu'il constitue un pont entre le monde professionnel et celui de la formation. Il nous a paru très utile puisqu'une expérience en matière de réalisation de projet a été acquise.

Nous avons modélisé avec un langage de modélisation UML et programmé avec le langage JAVA qui nous ont paru tellement intéressants car ils offrent une panoplie d'avantages. Ce fut pour nous une occasion de confronter nos connaissances aux diverses réalités du terrain.

L'objectif de ce projet était de modéliser le système d'information nécessaire pour gérer le patrimoine immobilière de l'OPGI de Khenchela, ce projet était bénéfique pour nous dans plusieurs sens. Il nous a permis :

· De nous perfectionner en améliorant nos connaissances en programmation et en conception.

· De bien comprendre et mettre en oeuvre le déroulement d'un cycle de vie d'un logiciel.

· De découvrir le monde de l'entreprise (fonctionnement).

A l'heure des bilans, nous nous réjouissons quand même du chemin parcouru et de l'effort collectif et individuel qui vient d'être fourni.

Et nous pensons que sur cette base logicielle que nous venons de produire se fondera une robuste application qui prendra en compte tous les aspects de la reforme LMD. Reforme qui est à notre image un instrument privilégié pour éviter les divorces réels entre les diplômes et leur détenteur.

Bibliographie

Livres :

· Programmer en Java De Claude Delannoy 5eme Edition, ISBN : 978- - - -

· Programmation Java pour les enfants, les parents et les grandsparents De Yakov Fain, ISBN: 0- - -

· Développons en Java De Jean Michel DOUDOUX

· Les Cahiers du Programmeur java De Emmanuel Puybaret 3eme édition, ISBN: 2212114788

· Introduction à Java De Patrick Niemeyer -- ISBN: 9782841772346

· Les Cahiers du Programmeur UML2 De Pascal Rogues 4eme édition - ISBN- :

· UML 2 par la pratique De Pascal Rogues 5eme édition ISBN : - - -

· 1 ÇÇÌ ÉÛá

íM~11p D ETIM11ITIEMTã

Web graphie :

· www.opgi.dz/opgi_khenchela/

· www.opgibouira.dz

· www.mhu.gov.dz

· http://java.developpez.com/cours/

Sommaire

Introduction générale

Chapitre 1

I- Définition de l'information .

I-1- Information et données .

I-2- Information et communication

I- - Information et connaissance

II- Essai de définition

III- Un Concept des Domaines . .

III-1- Droit

III-2- Physique . 9

III-3- Informatique

IV- L'évaluation de l'information

IV- 1- Les nouveaux criteres d'évaluation d'une information.

1-Facilité d'accès à l'information .

2-Coût d'acquisition .

3-Critère d'actualité

4-La fiabilité

5-La valeur ajoutée

6-L'exploitation et l'adéquation aux besoins ...

7-Les coûts induits

8-L'unicité et l'exclusivité

9-La durée de vie ..

IV -2- La grille d'analyse de la valeur de l'information

V- Les couts de l'information .

V-1- Définition des couts de l'information

V 2- Les couts fixes liés à la gestion et l'information ..

V -3- Les couts variables de l'information

V-4- La structure des couts de l'information ..

V-4-1- Les couts d'acquisition ..

V -4-2- Les couts de valorisation

V -4-3- Les couts de gestion .

V -4-4- les couts de stockage

V -4-5- Les couts de synthèse

V -4-6- Les couts d'exploitation

V -5- Pourquoi contrôler les couts de l'information ? . 9
V -5-1- Le couts de la -non information est supérieur au couts de l'information ..

V- 5-2- Le cout de la -non utilisation d'une information est supérieur à son

couts d'acquisition

V-5-3- Une triple approche

V-5-4- Les buts du contrôle des couts de l'information .

Chapitre 2

I. Modélisation objet ..

. Introduction «.....................................................................

2. Les concepts objet «.............................................................«

2.1. Objet «.....................................................................« 2.2. Messages «................................................................ 2.3. Classe «....................................................................« 2.4. Association «..............................................................« 2.5. Agrégation «.............................................................«

2.6. Généralisation et spécialisation «..........................................«

2.7. Héritage «.................................................................

2.8. Encapsulation «...........................................................«
2.9. Polymorphisme «.........................................................«

3. La notation UML «...............................................................« 3.1. Historique «................................................................ 3.2. Définition «................................................................ 3.3. Objectif «..................................................................«

3.4. Les principes symboles utilisés «...........................................

. . Les diagrammes d'UML .................................................«

. . .

Définition d'un diagramme UML ...................................«

3.5.2. Caractéristiques des diagrammes UML «..............................« 3.5.3. Les différents types de diagrammes UML «...........................«

a- les vues statiques «..................................................«

b- les vues dynamiques «..............................................«

3.6. Les diagrammes de cas d'utilisation «......................................«

3.6.1. Eléments de modélisation des cas d'utilisation.......................

3.7. Les diagrammes de classes «..............................................« . . Les diagrammes d'objet .................................................«

.~.

Les diagrammes de déploiement «.........................................« 3.10. Les diagrammes de collaboration «....................................... .11. Les diagrammes de séquence «............................................

3.12. Les diagrammes d'états-transitions:

3.12.1. Caractéristiques et règles de construction «...........................

. . Les diagrammes d'activités..............................................

.

4. Les diagrammes de composants.........................................«

4. Le processus unifiés «...........................................................« II. Présentation de processus 2TUP..................................................«

1. Introduction «....................................................................«

2. Le processus unifié.............................................................«

3. Le processus 2TUP «............................................................ ~

3.1. la branche gauche (fonctionnelle) «.........................................«

a. Capture des besoins fonctionnels «..........................................

b. L'analyse ..................................................................

. .

La branche droite (architecture technique) «................................« a. La capture des besoins techniques «.........................................«

b. La conception générique «..................................................«

. .

la branche du milieu.......................................................«

. Conclusion «....................................................................«

Chapitre 3

Introduction......................................................................................«

Section : Présentation de l'OPGI...................................................«

a. Le patrimoine de l'Office......................................................

b. Statuts juridiques L'Office.....................................................

c. Les missions de l'Office......................................................

d. L'organigramme de l'OPGI, de KHENCHELA...............................«

e. Département de la Gestion et Maintenance du Patrimoine.....................«

f. Département des Finances et de la Comptabilité..............................«

g. Problématique : Gestion du patrimoine immobilier OPGI Khenchela.............« Section II : PHASE D 'ANALYSE ET DE CONCEPTION.............................«

II. Présentation de processus 2TUP «................................................«

1. Étude préliminaire «.............................................................«

A. Quand intervient cette étude «................................................«

B. Objectifs principaux «.........................................................« 1.1. Identification des acteurs «...................................................« 1.2 Modéliser le contexte «......................................................«

2. Identifier les cas d'utilisations «.................................................« 2.1. Diagramme de cas d'utilisation............................................. . . Description des cas d'utilisation.............................................

3. Analyse de système............................................................« 3.1Analyse statique...............................................................«

A. Identification des classes d'objets ............................................

B. Affichage du modèle objet «...................................................«

C. Diagramme de classe «.........................................................« 3.2 Analyse dynamique «......................................................... ~
Diagramme de séquence «............................................................«

Chapitre 4

Introduction «.......................................................................«

I. Le NetBeans.....................................................................«

1 Historique.......................................................................«

2 Multilingue......................................................................«

3 Environnement..................................................................«

3.1 Environnement de base.......................................................« 3.2 Principaux langages supportés.................................................«

3.3 Gestion de projets............................................................« 3.4 Débogage et optimisation...................................................«

3.5 Bases de données............................................................«

3.6 Outils de construction d'applications..........................................«

3.6.1 Applications sur serveurs (applications Web et JAVA EE) «...............«

3.6.2 Applications sur poste de travail...........................................

3.6.3 Applications Java sur mobiles ou embarquées..............................

. . Web Services..............................................................« 3.7 Plateforme NetBeans.......................................................... 3.7.1 Plateforme.................................................................. 3.7.2 OSGi...................................................................... 3.7.3 Plugins.....................................................................«

. Présentation de l'application......................................................

III. Implémentation..................................................................«
Conclusion Générale...............................................................«
Bibliographie........................................................................«






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"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années"   Corneille