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Dynamique des parametres fonctionnels chez les footballeurs de deux clubs de première division au cours de la saison sportive 2007-2008 dans le district de Bamako

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par Lassine CAMARA
FMPOS Mali - Doctorat 2009
  

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II- OBJECTIFS

 

a- Objectif général

Suivre l'évolution de quelques paramètres fonctionnels chez les footballeurs de première division pendant une saison sportive.

b- Objectifs spécifiques :

 

1-     Déterminer la capacité de travail (PWC170) chez les footballeurs de 1ere division

2-     Déterminer la consommation maximale d'oxygène (VO2max).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

GENERALITES

 

 

 

 

 

 

 

III- GENERALITES

1. DEFINITION :

Le « football » est un mot d'origine anglaise. Il signifie étymologiquement en français.

 Foot = Pieds

Ball = Ballon

En un mot le ballon  qu'on joue avec les pieds.

2. HISTORIQUE

Le mot « football » un ancêtre du jeu moderne est apparu en Angleterre au XIIème siècle suscitant rapidement un engouement remarquable a tel point qu'il a été interdit de nombreuses reprises par des décret royaux. C'était un jeu violent  dans lequel le meurtre était à priori le seul moyen d'empêcher que le ballon soit transporté à l'autre bout du village. L'histoire dit que le Roi Henry VIII y jouait fort adroitement

Déjà, il y a 4 000 ans,  au Japon et en Chine, des groupes d'hommes jouaient autour d'une boule en cuir.

Les grecs  et les romains, eux aussi pratiquaient des jeux de ballon où les pieds et les mains étaient autorisés. Puis au moyen âge se pratiquait la soule : 1/3 de foot, 1/3 de rugby et 1/3 de catch.

Mais, c'est réellement à la fin du XIXème siècle, en Angleterre  qu'un nouveau  sport est crée : le FOOT BALL.

Contrairement à certaines croyances, c'est la classe haute anglaise qui pratiquait le foot des origines. Les règles du jeu ont d'ailleurs été arrêtées par les étudiants d'écoles et d'universités prestigieuses. Ce n'est qu'à la fin XIXème siècle que les  classes ouvrières  s'y  sont misent.

En 1848 au Trinity collège de Cambridge, un accord entre les représentants des écoles fondatrices pour définir les règles du football, avec en particulier, le dribbling.

Un an plus tard  (1849), l'usage des mains est interdit : ce nouveau football s'appelle le  « dribbling Game ».

En fait  le jeu se réduisait à une succession peu variée de progression individuelle d'où le nom qu'on lui attribuait : «  dribbling Game ».

La première réunion de la fédération anglaise de football a en lieu le 26 octobre 1863 à Londres dans la Freemason 's Tavern, les 12 représentants de clubs et de collèges anglais se réunissèrent pour chercher à harmoniser les nombreux jeux de football pratiqués en Angleterre et édifier les règles du « jeu le plus simple ».

Ils créèrent la football association (F.A) qui va aboutir à la promulgation de quatorze (14) règles (inspirées de celles de Cambridge en 1848) différents du football actuel : il n'est rien dit  du nombre de joueurs, ni de la durée de la partie, ni d'un quelconque arbitre et fautes, les barres transversales n'étaient pas mentionnées pour marquer, il suffisait de faire passer la balle entre les deux (2) poteaux distants de 8yards (7,32m).                                                     Le 08 décembre 1863 le football et le rugby se séparèrent

La dite réunion ne s'est pas vraiment achevé sur un consensus entre les 12 participants. L'un des clubs a quitté la table des négociations, mécontent de  l'exclusion du « hacking » (coup de pieds sous le genou) des règles originales.

Cependant c'est en 1874 que le protège tibias fut autorisé par les règles,

A l'origine il s'agissait de versions raccourcies de protections utilisées en cricket.

En 1871 soit 8ans âpres la fondation de la fédération anglaise celle-ci comprenait déjà 50 clubs dont le plus ancien au monde le Sheffield football club fondée en 1855.

Le premier match international de l'histoire du football opposait l'Ecosse et l'Angleterre en 1872.En effets lors des premières rencontres internationales, on a utilisé un ruban pour délimiter la hauteur des cages avant d'instituer la transversale en 1875.

A l'époque les ballons n'étaient pas vraiment sphériques. La coutume voulait que l'on gonfle une vessie de porc qu'on l'attache aux deux extrémités et qu'on l'enveloppe de cuir, ce qui lui donnait une forme ovoïdale. C'est la découverte du caoutchouc dans les années 1860 qui a permis «d'arrondir un peu les angles», certes les ballons du football d'antan prenaient du poids dans des conditions humide mais ils étaient plus légers que ceux d'aujourd'hui.

En 1889, la balle devait peser entre 340 et 425 grammes , mais cette fourchette est passée en 1937 à 396-453g

A propos des gardiens de buts et les arbitres avant 1912, les gardiens de but pouvaient se servir de leur main dans toute leur moitié de terrain à l'intérieur comme à l'extérieur de la surface de réparation 

Les fautes et les arbitres n'avaient aucune place dans les règles originales.

Il faut dire, par défaut les joueurs ne commettaient aucune faute intentionnelle,

En fait, en cette époque, l'art du débat était presque aussi important que la technique de balle au pied puisque les joueurs pouvaient contester les décisions auprès des capitaines puis des juges.

En 1891, les arbitres débarquent enfin sur le terrain.

Ce sont les feux tricolores de la rue londonienne de Kensington High Street qui ont inspiré l'utilisation des cartons jaunes et rouges.

Ken Aston, arbitre anglais devenu chef des arbitres à la FIFA , se promenait dans les centres villes et réfléchissait à un moyen d'illustrer les avertissements et les exclusions. Le feux est alors passé du vert au jaune puis du jaune au rouge, lui donnant l'idée des cartons.

Cependant avec l'essor que connut le football, attirant déjà un nombre étonnamment élevé de spectateurs, se présenta le problème que d'autres pays ne devaient rencontrer que bien plus tard : le professionnalisme.

Les premières mentions à cet égard datent déjà de 1879.

En 1885, déjà la Football Association  (F.A) se vit contrainte de légaliser officiellement le professionnalisme suite à la rémunération de deux (2) joueurs écossais : John Love et Fergus Suter. Cela se produisit exactement quatre (4) ans avant la fondation des premières associations nationales de football en dehors de la Grande Bretagne  : celle des Pays-Bas et de Danemark.

Après les Pays-Bas et le Danemark (1889), on vit la fondation des premières associations nationales de football suivantes : Nouvelle-Zélande (1891), Argentine (1893), le Chili, Suisse et la Belgique (1895), Italie (1898), Allemagne et Uruguay (1900), Hongrie (1901), Norvège (1902), Suède (1904), Espagne (1905), Paraguay (1906) et Finlande (1907).

Au moment où la Fédération Internationale de Football (FIFA) fut fondée à Paris en 1904, sept (7) pays y déléguèrent leurs représentants en tant que fondateurs : France, Belgique, Danemark, Pays-Bas, Espagne (représentée par le Madrid FC), Suède et Suisse.

Par la suite la communauté internationale de football se mit à croître constamment, tout en connaissant nombres obstacles et de revirement momentanés.

En 1912, déjà 21 associations nationales étaient affiliées a la FIFA en 1925 il y en avait 36 en 1930 année de la première coupe du monde 41.

Aujourd'hui, le football est le sport numéro 1 au monde : La FIFA compte plus de pays membre que l'ONU (204 pays membres et 200 millions de pratiquants dans le monde), et la coupe du monde est l'événement qui attire le plus grands nombres de télé spectateurs avec les Jeux Olympique (J.O).

 Ces quelques  datent montrent comment les règles des jeux qui forment le paysage juridique du football actuel ont été instaurées sur un laps de temps assez long :

-         1873 : entrée en vigueur du corner

-         1875 : le but doit mesurer 8 yards (7,32m) de large et 8 pieds (2.44m) de haut

-         1886 : présence d'un arbitre prévue

-         1891 : des filets aux buts et penalty

-         1896 : le match dure 90 minutes

-         1899 : spécification du nombre de joueurs (onze dont un gardien)

-         1899 : entrée en vigueur du penalty

-         1902 : apparut ion de surface de réparation

-         1913 : le gardien ne peut toucher le ballon que dans sa surface de réparation

-         1925 : modification fondamentale de la règle du hors-jeu : un joueur est hors-jeu si il n'y a pas deux joueurs plus rapprochés que lui de la ligne de but.

-         1927 : autorisation de marquer directement sur corner.

-         1937 : dernières modifications des lignes du terrain, avec l'apparution de l'arc de cercle à 10 yards du point de penalty.

-         1967 : le gardien n a plus le droit de faire rebondir le ballon et de le reprendre plusieurs fois à la main avant de dégager. 

-         1992 : le gardien ne peut plus reprendre le ballon à la main sur une passe au pied d'un partenaire.

-         1997 : le gardien ne peut plus reprendre le ballon à la main  sur une remise en touche d'un partenaire

-         2000 : le gardien de but a 6 secondes pour remettre en jeu le ballon.

3. LES REGLES : Les règles du jeu de football sont au nombre de 17 à savoir :

Loi 1 : Terrain de jeu

Loi 2 : Ballon

Loi 3 : Nombre de joueurs

Loi 4 : Equipement des joueurs

Loi 5 : Arbitre

Loi 6 : Arbitres assistants

Loi 7 : Durée du match

Loi 8 : Coup d'envoi et reprise du jeu

Loi 9 : Ballon en jeu et hors du jeu

Loi 10 : But marqué

Loi 11 : Hors-jeu

Loi 12 : Fautes et comportement antisportif

Loi 13 : Coups francs

Loi 14 : Coup de pied de réparation (penalty)

Loi 15 : Rentrée de touche

Loi 16 : Coup de pied de but

Loi 17 : Coup de pied de coin (corner)

 

 

 

 

 

 4. BASE PHYSIOLOGIQUE

 

A-   Source d'énergie

 

L'entraînement favorise les apports en énergie et son utilisation avec un rendement optimal pour amener l'exercice physique à un niveau supérieur.

De ce fait la contraction du muscle exige de l'A.T.P (Adénosine Triphosphate) source universelle de l'énergie.

Du fait que cet A.T.P ne peut être ni fourni par voie sanguine ni par les tissus, il doit être résynthétisé.

L'A.T.P est généré par l'oxydation des combustibles métaboliques selon trois filières dans deux (2) cadres ou processus différents à savoir : le processus anaérobie, le processus aérobie.

 

B-   Processus anaérobie

 

C'est une réaction qui se déroule sans utilisation d'oxygène dans le cytoplasme des cellules.

Un entraînement dit «  anaérobie », représente des exercices répétés, relativement intenses (type sprint plus ou moins long !), réalisés dans le but de préparer l'organisme a mieux toléré un effort proche du maximum.

 

1.)  Le processus anaérobie alactique

 

Cette voie métabolique intervient surtout dans la période initiale de l'activité musculaire, car elle permet de fournir l'énergie beaucoup plus rapidement que le fait la glycolyse mais elle est très limitée.

 

 

a.)  La filière de réserve

 

L'organisme trouve sa première source énergétique dans l'A.T.P présent dans le muscle qui lui donne deux (2) à trois (3) secondes d'énergie.

A aucun moment, l'organisme n'emmagasine plus de 85g d'A.T.P.

Cette énergie ne fait pas appel à l'oxygène, elle est anaérobie et ne laisse aucun déchet, en plus elle possède le plus fort pouvoir explosif mais, éphémère.

 

                                 b.)La filière créatine phosphate (C.P)

 

L'organisme puise après l'épuisement de la réserve, dans la créatine phosphate (C.P) disponible dans les cellules musculaires pour obtenir une énergie durable jusqu'à approximativement la 10ème ou 15ème seconde (en fonction notamment du degré d'entraînement du sujet).

La concentration de C.P est environ de 3 à 5 fois celle de l'A.T.P. C'est pourquoi la C.P est considéré comme le recevoir de phosphate à haute énergie.

La réphosphorylation de l'A.D.P par la C.P selon la réaction suivante catalysée par la créatine phosphokinase (C.P.K) va générer l'A.T.P

 

                                    C.P + A.D.P            C.P.K                A.TP + C 

 

Ces réserves d'énergie sont faibles mais immédiatement disponible permettant de réaliser un exercice intense bref (100m) et/ou d'assurer la transition avec les autres voies métaboliques (16)

La résynthèse des phosphagènes, l'exercice finit atteint 70% en 30 secondes, elle est terminée dans un délai de 3 à 5 minutes (9).

 

2.)  Processus anaérobie lactique ou  La glycolyse anaérobie lactique: glycogène et l'acide lactique

La dégradation du glucose pour fournir de l'A.T.P s'appelle « glycolyse » (schéma 1) le délai de sa mise en route est bref mais non instantané : le taux de phospho-créatine doit diminuer suffisamment pour que la glycolyse anaérobie soit opérationnelle (16)

L'ensemble des réactions de glycolyse anaérobie est pleinement efficace entre la 30ème et la 120ème seconde, est optimal pendant 60 secondes pour disparaître vers la 180ème seconde.

Le mécanisme de la glycolyse n'est possible qu'en présence du Coenzyme NAD (cofacteur majeur des réactions d'oxydation et de réduction).

Les glucides sont les seuls aliments capables de fournir l'énergie nécessaire à la formation de l'A.T.P en anaérobie, elle représente 5 % de la quantité totale d'énergie produite par les dégradations aérobiques totales de la molécule de glucose.

                    

                a.) Le glycogène : est le polysaccharide synthétisé à partir du glucose lors de la glycogenèse et emmagasiné dans les tissus animaux. Il est le seul nutriment qui peut être catabolisé en anaérobiose pour synthétiser l'A.T.P ; ce substrat est de toute évidence hautement prioritaire dans le « moulin métabolique »au cours d'un exercice rigoureux.

Le glycogène augmente la teneur en potassium et donc la conduction nerveuse et la contractilité musculaire. La filière du glycogène est disponible après quelques secondes (5s), le plus souvent vers la 20ème seconde, avant que le système d'économie du glycogène n'intervienne pour progressivement l'épargner au profit des acides gras libres.

D'autre part le catabolisme du glycogène fournit des substrats indispensables à l'utilisation aérobie des glucoses et des lipides.

Ce fait est à l'origine de la formule « les lipides brûlent au feu des glucides » qui valide la proposition suivant laquelle le glycogène doit être épargné pour permettre un effort de longue durée. Une intensité de départ trop importante d'un exercice, nuit donc à sa longévité.

Au-delà d'un effort de 50 %  du VO2max pour un sujet non entraîné et 60 à 70 % pour un sujet entraîné la participation de la filière anaérobique lactique devient plus importante et croit avec l'intensité de l'effort au-delà du VO2max. Le seuil anaérobique peut être au-delà de 90 % du VO2max pour de très grands sportifs en endurance.

Pendant l'exercice physique, les hydrates de carbone mis en réserve sous forme de glycogène musculaire servent de source d'énergie au muscle même qui les renferme. Le glycogène stocké dans un muscle n'est utilisable que par ce muscle, il ne peut être transféré d'un muscle à l'autre.

Dans le foie, le glycogène est reconverti en glucose, puis transporté dans le sang pour satisfaire les éventuels besoins des muscles sollicités. Le mot « glycogénolyse » réfère à ce processus de conversion méthode de fourniture rapide de glucose aux muscles impliqués dans toute forme de travail. C'est l'augmentation du calcium cytoplasmique pendant la contraction musculaire qui est l'origine de la glycogénolyse

Lorsque les réserves de glycogène sont épuisées à la suite d'une restriction alimentaire ou d'un exercice physique, la synthèse du glucose à partir des composantes structurales des autres nutriments, et particulièrement les protéines, tend à augmenter. Ce processus constitue la « néoglucogenèse ».

L'insuffisance musculaire en glycogène n'a pas d'influence sur l'intensité de l'exercice mais sur la durée. Il y a cependant nécessairement une réduction de la puissance maximale en cas d'insuffisance extrême de glycogène musculaire. C'est aux intensités de travail les plus élevées qu'on a observé le plus haut taux d'épuisements de glycogène ; cependant à 30 % du VO2max il reste une bonne quantité de glycogène, même après trois heures d'exercices.

Les hormones, spécialement l'insuline jouent un rôle important dans la régulation des réserves hépatiques et musculaires de glycogènes en contrôlant le niveau de sucre sanguin en circulation

L'insuffisance de glycogène hépatique peut entraîner des signes d'hypoglycémie alors même  que le stock de glycogène musculaire n'est pas épuisé (en général dans des exercices de longue durée d'intensité modérée). 60% du glucose hépatique est destiné aux besoins du SNC dont le métabolisme ne consomme que du glucose pur.

Ainsi une personne faisant une grève de la faim, doit ingérer un minimum de glucose journalier sous peine de sombrer rapidement dans le coma. La participation du glycogène musculaire au maintient de la glycémie se fait d'une manière indirecte par le cycle de Cori : glycogène musculaire            acide lactique qui passe du muscle dans le sang et parvient au foie ou il peut donner du glucose.

                    b.)  L'acide lactique : a une concentration plasmatique de10mg / 100ml de sang au repos la plus forte et la plus rapide concentration d'acide lactique est enregistrée après un exercice soutenu de 60 à 180 secondes.

Le taux de lactates sanguins augmente avec l'intensité du travail musculaire. Ainsi pour des sportifs qualifiés, le gain de lactate  maximal se produit pour un effort supérieur à 80% du VO2max.

Au cours d'un exercice intense, la glycolyse cesse de fonctionner lorsque 60 à 70g d'acides lactique sont accumulés dans l'organisme le lactate produit par le muscle n'est que partiellement libéré dans le sang, ce qui réduit l'acidose. Les réactions aérobies fournissent l'énergie nécessaire à l'effort et l'acide lactique produit est soit oxydé, soit reconverti en glucose, probablement au niveau du foie et peut être des reins.

En apparence, la majeure partie de l'acide lactique est oxydée pour en libérer l'énergie.

En fait, on sait très bien que le coeur, le foie, les reins, et les muscles squelettiques utilisent l'acide lactique plasmatique comme substrat énergétique aussi bien pendant l'exercice que pendant la récupération. L'acide lactique se dégrade en acide pyruvique, produit final de la glycolyse qui entre ensuite dans le cycle de Krebs, en présence d'oxygène O2 (glycolyse aérobie). Sans oxygène O2 (glycolyse anaérobie), l'acide pyruvique est reconvertir en l'acide lactique sans autre synthèse d'ATP (néoglucogenèse). Le cycle de CORI (l'acide lactique redevient l'acide pyruvique) n'est pas seulement un refuse pour l'acide lactique mais aussi un moyen d'augmenter le glucose sanguin et le glycogène musculaire.

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"Enrichissons-nous de nos différences mutuelles "   Paul Valery