II- OBJECTIFS
a- Objectif général
Suivre l'évolution de quelques paramètres
fonctionnels chez les footballeurs de première division pendant une
saison sportive.
b- Objectifs
spécifiques :
1- Déterminer la
capacité de travail (PWC170) chez les footballeurs de 1ere division
2- Déterminer la consommation
maximale d'oxygène (VO2max).
GENERALITES
III- GENERALITES
1. DEFINITION :
Le « football » est un mot d'origine
anglaise. Il signifie étymologiquement en français.
Foot = Pieds
Ball = Ballon
En un mot le ballon qu'on joue avec les pieds.
2. HISTORIQUE
Le mot « football » un ancêtre du
jeu moderne est apparu en Angleterre au XIIème siècle
suscitant rapidement un engouement remarquable a tel point qu'il a
été interdit de nombreuses reprises par des décret royaux.
C'était un jeu violent dans lequel le meurtre était
à priori le seul moyen d'empêcher que le ballon soit
transporté à l'autre bout du village. L'histoire dit que le Roi
Henry VIII y jouait fort adroitement
Déjà, il y a 4 000 ans, au Japon et
en Chine, des groupes d'hommes jouaient autour d'une boule en cuir.
Les grecs et les romains, eux aussi pratiquaient des
jeux de ballon où les pieds et les mains étaient
autorisés. Puis au moyen âge se pratiquait la soule : 1/3 de
foot, 1/3 de rugby et 1/3 de catch.
Mais, c'est réellement à la fin du
XIXème siècle, en Angleterre qu'un nouveau
sport est crée : le FOOT BALL.
Contrairement à certaines croyances, c'est la classe
haute anglaise qui pratiquait le foot des origines. Les règles du jeu
ont d'ailleurs été arrêtées par les étudiants
d'écoles et d'universités prestigieuses. Ce n'est qu'à la
fin XIXème siècle que les classes
ouvrières s'y sont misent.
En 1848 au Trinity collège de Cambridge, un accord
entre les représentants des écoles fondatrices pour
définir les règles du football, avec en particulier, le
dribbling.
Un an plus tard (1849), l'usage des mains est
interdit : ce nouveau football s'appelle
le « dribbling Game ».
En fait le jeu se réduisait à une
succession peu variée de progression individuelle d'où le nom
qu'on lui attribuait : « dribbling Game ».
La première réunion de la
fédération anglaise de football a en lieu le 26 octobre 1863
à Londres dans la Freemason 's Tavern, les 12 représentants de
clubs et de collèges anglais se réunissèrent pour chercher
à harmoniser les nombreux jeux de football pratiqués en
Angleterre et édifier les règles du « jeu le plus
simple ».
Ils créèrent la football association (F.A) qui
va aboutir à la promulgation de quatorze (14) règles
(inspirées de celles de Cambridge en 1848) différents du football
actuel : il n'est rien dit du nombre de joueurs, ni de la
durée de la partie, ni d'un quelconque arbitre et fautes, les barres
transversales n'étaient pas mentionnées pour marquer, il
suffisait de faire passer la balle entre les deux (2) poteaux distants de
8yards
(7,32m).
Le 08 décembre 1863 le football et le rugby se séparèrent
La dite réunion ne s'est pas vraiment achevé sur
un consensus entre les 12 participants. L'un des clubs a quitté la table
des négociations, mécontent de l'exclusion du
« hacking » (coup de pieds sous le genou) des règles
originales.
Cependant c'est en 1874 que le protège tibias fut
autorisé par les règles,
A l'origine il s'agissait de versions raccourcies de
protections utilisées en cricket.
En 1871 soit 8ans âpres la fondation de la
fédération anglaise celle-ci comprenait déjà 50
clubs dont le plus ancien au monde le Sheffield football club fondée en
1855.
Le premier match international de l'histoire du football
opposait l'Ecosse et l'Angleterre en 1872.En effets lors des premières
rencontres internationales, on a utilisé un ruban pour délimiter
la hauteur des cages avant d'instituer la transversale en 1875.
A l'époque les ballons n'étaient pas vraiment
sphériques. La coutume voulait que l'on gonfle une vessie de porc qu'on
l'attache aux deux extrémités et qu'on l'enveloppe de cuir, ce
qui lui donnait une forme ovoïdale. C'est la découverte du
caoutchouc dans les années 1860 qui a permis «d'arrondir un
peu les angles», certes les ballons du football d'antan prenaient du poids
dans des conditions humide mais ils étaient plus légers que ceux
d'aujourd'hui.
En 1889, la balle devait peser entre 340 et 425 grammes , mais
cette fourchette est passée en 1937 à 396-453g
A propos des gardiens de buts et les arbitres avant 1912, les
gardiens de but pouvaient se servir de leur main dans toute leur moitié
de terrain à l'intérieur comme à l'extérieur de la
surface de réparation
Les fautes et les arbitres n'avaient aucune place dans les
règles originales.
Il faut dire, par défaut les joueurs ne commettaient
aucune faute intentionnelle,
En fait, en cette époque, l'art du débat
était presque aussi important que la technique de balle au pied puisque
les joueurs pouvaient contester les décisions auprès des
capitaines puis des juges.
En 1891, les arbitres débarquent enfin sur le terrain.
Ce sont les feux tricolores de la rue londonienne de
Kensington High Street qui ont inspiré l'utilisation des cartons jaunes
et rouges.
Ken Aston, arbitre anglais devenu chef des arbitres à
la FIFA , se promenait dans les centres villes et réfléchissait
à un moyen d'illustrer les avertissements et les exclusions. Le feux est
alors passé du vert au jaune puis du jaune au rouge, lui donnant
l'idée des cartons.
Cependant avec l'essor que connut le football, attirant
déjà un nombre étonnamment élevé de
spectateurs, se présenta le problème que d'autres pays ne
devaient rencontrer que bien plus tard : le professionnalisme.
Les premières mentions à cet égard datent
déjà de 1879.
En 1885, déjà la Football Association
(F.A) se vit contrainte de légaliser officiellement le
professionnalisme suite à la rémunération de deux (2)
joueurs écossais : John Love et Fergus Suter. Cela se produisit
exactement quatre (4) ans avant la fondation des premières associations
nationales de football en dehors de la Grande Bretagne : celle des
Pays-Bas et de Danemark.
Après les Pays-Bas et le Danemark (1889), on vit la
fondation des premières associations nationales de football
suivantes : Nouvelle-Zélande (1891), Argentine (1893), le Chili,
Suisse et la Belgique (1895), Italie (1898), Allemagne et Uruguay (1900),
Hongrie (1901), Norvège (1902), Suède (1904), Espagne (1905),
Paraguay (1906) et Finlande (1907).
Au moment où la Fédération Internationale
de Football (FIFA) fut fondée à Paris en 1904, sept (7) pays y
déléguèrent leurs représentants en tant que
fondateurs : France, Belgique, Danemark, Pays-Bas, Espagne
(représentée par le Madrid FC), Suède et Suisse.
Par la suite la communauté internationale de football
se mit à croître constamment, tout en connaissant nombres
obstacles et de revirement momentanés.
En 1912, déjà 21 associations nationales
étaient affiliées a la FIFA en 1925 il y en avait 36 en 1930
année de la première coupe du monde 41.
Aujourd'hui, le football est le sport numéro 1 au
monde : La FIFA compte plus de pays membre que l'ONU (204 pays membres et
200 millions de pratiquants dans le monde), et la coupe du monde est
l'événement qui attire le plus grands nombres de
télé spectateurs avec les Jeux Olympique (J.O).
Ces quelques datent montrent comment les
règles des jeux qui forment le paysage juridique du football actuel ont
été instaurées sur un laps de temps assez long :
- 1873 :
entrée en vigueur du corner
- 1875 :
le but doit mesurer 8 yards (7,32m) de large et 8 pieds (2.44m) de haut
- 1886 :
présence d'un arbitre prévue
- 1891 :
des filets aux buts et penalty
- 1896 :
le match dure 90 minutes
- 1899 :
spécification du nombre de joueurs (onze dont un gardien)
- 1899 :
entrée en vigueur du penalty
- 1902 :
apparut ion de surface de réparation
- 1913 :
le gardien ne peut toucher le ballon que dans sa surface de réparation
- 1925 :
modification fondamentale de la règle du hors-jeu : un joueur est
hors-jeu si il n'y a pas deux joueurs plus rapprochés que lui de la
ligne de but.
- 1927 :
autorisation de marquer directement sur corner.
- 1937 :
dernières modifications des lignes du terrain, avec l'apparution de
l'arc de cercle à 10 yards du point de penalty.
- 1967 :
le gardien n a plus le droit de faire rebondir le ballon et de le reprendre
plusieurs fois à la main avant de dégager.
- 1992 :
le gardien ne peut plus reprendre le ballon à la main sur une passe au
pied d'un partenaire.
- 1997 :
le gardien ne peut plus reprendre le ballon à la main sur une
remise en touche d'un partenaire
- 2000 :
le gardien de but a 6 secondes pour remettre en jeu le ballon.
3. LES REGLES : Les règles
du jeu de football sont au nombre de 17 à savoir :
Loi 1 : Terrain de jeu
Loi 2 : Ballon
Loi 3 : Nombre de joueurs
Loi 4 : Equipement des joueurs
Loi 5 : Arbitre
Loi 6 : Arbitres assistants
Loi 7 : Durée du match
Loi 8 : Coup d'envoi et reprise du jeu
Loi 9 : Ballon en jeu et hors du jeu
Loi 10 : But marqué
Loi 11 : Hors-jeu
Loi 12 : Fautes et comportement antisportif
Loi 13 : Coups francs
Loi 14 : Coup de pied de réparation (penalty)
Loi 15 : Rentrée de touche
Loi 16 : Coup de pied de but
Loi 17 : Coup de pied de coin (corner)
4. BASE PHYSIOLOGIQUE
A- Source d'énergie
L'entraînement favorise les apports en énergie et
son utilisation avec un rendement optimal pour amener l'exercice physique
à un niveau supérieur.
De ce fait la contraction du muscle exige de l'A.T.P
(Adénosine Triphosphate) source universelle de l'énergie.
Du fait que cet A.T.P ne peut être ni fourni par voie
sanguine ni par les tissus, il doit être
résynthétisé.
L'A.T.P est généré par l'oxydation des
combustibles métaboliques selon trois filières dans deux (2)
cadres ou processus différents à savoir : le processus
anaérobie, le processus aérobie.
B- Processus anaérobie
C'est une réaction qui se déroule sans
utilisation d'oxygène dans le cytoplasme des cellules.
Un entraînement dit « anaérobie
», représente des exercices répétés,
relativement intenses (type sprint plus ou moins long !),
réalisés dans le but de préparer l'organisme a mieux
toléré un effort proche du maximum.
1.) Le processus anaérobie
alactique
Cette voie métabolique intervient surtout dans la
période initiale de l'activité musculaire, car elle permet de
fournir l'énergie beaucoup plus rapidement que le fait la glycolyse mais
elle est très limitée.
a.) La filière de
réserve
L'organisme trouve sa première source
énergétique dans l'A.T.P présent dans le muscle qui lui
donne deux (2) à trois (3) secondes d'énergie.
A aucun moment, l'organisme n'emmagasine plus de 85g d'A.T.P.
Cette énergie ne fait pas appel à
l'oxygène, elle est anaérobie et ne laisse aucun déchet,
en plus elle possède le plus fort pouvoir explosif mais,
éphémère.
b.)La filière créatine phosphate (C.P)
L'organisme puise après l'épuisement de la
réserve, dans la créatine phosphate (C.P) disponible dans les
cellules musculaires pour obtenir une énergie durable jusqu'à
approximativement la 10ème ou 15ème seconde
(en fonction notamment du degré d'entraînement du sujet).
La concentration de C.P est environ de 3 à 5 fois celle
de l'A.T.P. C'est pourquoi la C.P est considéré comme le recevoir
de phosphate à haute énergie.
La réphosphorylation de l'A.D.P par la C.P selon la
réaction suivante catalysée par la créatine phosphokinase
(C.P.K) va générer l'A.T.P
C.P
+ A.D.P
C.P.K
A.TP + C
Ces réserves d'énergie sont faibles mais
immédiatement disponible permettant de réaliser un exercice
intense bref (100m) et/ou d'assurer la transition avec les autres voies
métaboliques (16)
La résynthèse des phosphagènes,
l'exercice finit atteint 70% en 30 secondes, elle est terminée dans un
délai de 3 à 5 minutes (9).
2.) Processus anaérobie lactique
ou La glycolyse anaérobie lactique: glycogène et
l'acide lactique
La dégradation du glucose pour fournir de l'A.T.P
s'appelle « glycolyse » (schéma 1) le délai
de sa mise en route est bref mais non instantané : le taux de
phospho-créatine doit diminuer suffisamment pour que la glycolyse
anaérobie soit opérationnelle (16)
L'ensemble des réactions de glycolyse anaérobie
est pleinement efficace entre la 30ème et la
120ème seconde, est optimal pendant 60 secondes pour
disparaître vers la 180ème seconde.
Le mécanisme de la glycolyse n'est possible qu'en
présence du Coenzyme NAD (cofacteur majeur des réactions
d'oxydation et de réduction).
Les glucides sont les seuls aliments capables de fournir
l'énergie nécessaire à la formation de l'A.T.P en
anaérobie, elle représente 5 % de la quantité totale
d'énergie produite par les dégradations aérobiques totales
de la molécule de glucose.
a.) Le glycogène : est le polysaccharide
synthétisé à partir du glucose lors de la
glycogenèse et emmagasiné dans les tissus animaux. Il est le seul
nutriment qui peut être catabolisé en anaérobiose pour
synthétiser l'A.T.P ; ce substrat est de toute évidence
hautement prioritaire dans le « moulin
métabolique »au cours d'un exercice rigoureux.
Le glycogène augmente la teneur en potassium et donc la
conduction nerveuse et la contractilité musculaire. La filière du
glycogène est disponible après quelques secondes (5s), le plus
souvent vers la 20ème seconde, avant que le système
d'économie du glycogène n'intervienne pour progressivement
l'épargner au profit des acides gras libres.
D'autre part le catabolisme du glycogène fournit des
substrats indispensables à l'utilisation aérobie des glucoses et
des lipides.
Ce fait est à l'origine de la formule « les
lipides brûlent au feu des glucides » qui valide la proposition
suivant laquelle le glycogène doit être épargné pour
permettre un effort de longue durée. Une intensité de
départ trop importante d'un exercice, nuit donc à sa
longévité.
Au-delà d'un effort de 50 % du VO2max
pour un sujet non entraîné et 60 à 70 % pour un sujet
entraîné la participation de la filière anaérobique
lactique devient plus importante et croit avec l'intensité de l'effort
au-delà du VO2max. Le seuil anaérobique peut
être au-delà de 90 % du VO2max pour de très
grands sportifs en endurance.
Pendant l'exercice physique, les hydrates de carbone mis en
réserve sous forme de glycogène musculaire servent de source
d'énergie au muscle même qui les renferme. Le glycogène
stocké dans un muscle n'est utilisable que par ce muscle, il ne peut
être transféré d'un muscle à l'autre.
Dans le foie, le glycogène est reconverti en glucose,
puis transporté dans le sang pour satisfaire les éventuels
besoins des muscles sollicités. Le mot
« glycogénolyse » réfère à ce
processus de conversion méthode de fourniture rapide de glucose aux
muscles impliqués dans toute forme de travail. C'est l'augmentation du
calcium cytoplasmique pendant la contraction musculaire qui est l'origine de la
glycogénolyse
Lorsque les réserves de glycogène sont
épuisées à la suite d'une restriction alimentaire ou d'un
exercice physique, la synthèse du glucose à partir des
composantes structurales des autres nutriments, et particulièrement les
protéines, tend à augmenter. Ce processus constitue la
« néoglucogenèse ».
L'insuffisance musculaire en glycogène n'a pas
d'influence sur l'intensité de l'exercice mais sur la durée. Il y
a cependant nécessairement une réduction de la puissance maximale
en cas d'insuffisance extrême de glycogène musculaire. C'est aux
intensités de travail les plus élevées qu'on a
observé le plus haut taux d'épuisements de
glycogène ; cependant à 30 % du VO2max il reste
une bonne quantité de glycogène, même après trois
heures d'exercices.
Les hormones, spécialement l'insuline jouent un
rôle important dans la régulation des réserves
hépatiques et musculaires de glycogènes en contrôlant le
niveau de sucre sanguin en circulation
L'insuffisance de glycogène hépatique peut
entraîner des signes d'hypoglycémie alors même que le
stock de glycogène musculaire n'est pas épuisé (en
général dans des exercices de longue durée
d'intensité modérée). 60% du glucose hépatique est
destiné aux besoins du SNC dont le métabolisme ne consomme que du
glucose pur.
Ainsi une personne faisant une grève de la faim, doit
ingérer un minimum de glucose journalier sous peine de sombrer
rapidement dans le coma. La participation du glycogène musculaire au
maintient de la glycémie se fait d'une manière indirecte par le
cycle de Cori : glycogène
musculaire
acide lactique qui passe du muscle dans le sang et parvient au foie ou il peut
donner du glucose.
b.) L'acide lactique : a une concentration
plasmatique de10mg / 100ml de sang au repos la plus forte et la plus
rapide concentration d'acide lactique est enregistrée après un
exercice soutenu de 60 à 180 secondes.
Le taux de lactates sanguins augmente avec l'intensité
du travail musculaire. Ainsi pour des sportifs qualifiés, le gain de
lactate maximal se produit pour un effort supérieur à 80%
du VO2max.
Au cours d'un exercice intense, la glycolyse cesse de
fonctionner lorsque 60 à 70g d'acides lactique sont accumulés
dans l'organisme le lactate produit par le muscle n'est que partiellement
libéré dans le sang, ce qui réduit l'acidose. Les
réactions aérobies fournissent l'énergie nécessaire
à l'effort et l'acide lactique produit est soit oxydé, soit
reconverti en glucose, probablement au niveau du foie et peut être des
reins.
En apparence, la majeure partie de l'acide lactique est
oxydée pour en libérer l'énergie.
En fait, on sait très bien que le coeur, le foie, les
reins, et les muscles squelettiques utilisent l'acide lactique plasmatique
comme substrat énergétique aussi bien pendant l'exercice que
pendant la récupération. L'acide lactique se dégrade en
acide pyruvique, produit final de la glycolyse qui entre ensuite dans le cycle
de Krebs, en présence d'oxygène O2 (glycolyse
aérobie). Sans oxygène O2 (glycolyse
anaérobie), l'acide pyruvique est reconvertir en l'acide lactique sans
autre synthèse d'ATP (néoglucogenèse). Le cycle de CORI
(l'acide lactique redevient l'acide pyruvique) n'est pas seulement un refuse
pour l'acide lactique mais aussi un moyen d'augmenter le glucose sanguin et le
glycogène musculaire.
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