Par ce paragraphe les
résultats sont représentés sous forme de
littérature parce que c'est une forme parmi d'autre pour la
représentation des résultats voilà ce qui suit :
DISTRIBUTION DES FEMMES ENCEINTES SEON LEUR
CONSIDERATION OU NON QUE LA CPN EST POUR DES FEMMES AYANT ETUDIE
Sur 50 femmes enceintes, 48 femmes enceintes soit 96,0% ont
répondu non et 2 soit 4,0% ont répondues oui.
12. CONSIDERATION DE LA CPN PAR RAPPORT AU NOMBRE
D'ACCOUCHEMENTS
De même pour ce paragraphe les résultats sont
représentés sous forme de littérature voilà ce qui
suit :
DISTRIBUTION DES FEMMES
ENCEINTES SELON LEURS CONSIDERATION DE LA CPN PAR RAPPORT AU NOMBRE
D'ACCOUCHEMENTS
Sur un effectif de 50 femmes enceintes, 49 femmes enceintes
soit 98% ont répondu que la CPN concernent toutes les femmes enceintes
et une femme enceinte soit 2% sait que la CPN ne concerne que les celles qui
ont déjà mis au monde plus d'une fois.
DISCUSSION DE RESULTATS
Cette étude descriptive prospective de perception des
femmes enceintes sur l'importance de la consultation prénatale au centre
de santé Shungu Mémorial de la zone de santé de Kamina,
nous a permis conformément à nos objectifs de vérifier la
compréhension de la femme enceinte sur la consultation prénatale
et l'efficacité de l'éducation sanitaire sur celle-ci.
Apres analyse du résultat du tableau I, relatif à
la distribution des femmes enceintes selon leur tranched'âge
(année), nous remarquons une prédominance de la tranche
d'âge situé entre 15 à 20 ans avec 17 cas soit 34% suivi de
l'age situé entre 21 à 26 ans avec 30 % et celle de 27-32 ans
avec 26%.
Cette situation peut être due à l'activité
sexuelle élevée à cette période de la vie, comme
l'ont décrit Dieye et ses collaborateurs(5)
Concernant la figure I relative à la distribution des
femmes enceintes selon leur profession, après analyse, nous constations
ce qui suit :
Les sans-emploi occupent la première place avec 31 cas
soit 62% suivi des employées avec 19 cas soit 38% cette situation
s'explique par le fait que les sans-emploi disposent de tout le temps, elles
n'ont aucun empêchement qui puissent entrainer un obstacle
d'absentéismes aux consultations prénatales, alors que les
employées occupent par leurs services sont parfois obligées de
s'absenter à cause des exigences du service comme décrit par Mbow
EM (1).
En lisant le tableau II relatif à la distribution des
femmes enceintes selon leurs études faites, les résultats
montrent que le niveau secondaire a présenté 36 cas sur 50 soit
72%, cette situation se justifie par le niveau de compréhension bas
observé chez les femmes du niveau d'étude inferieur d'une part
et de la préoccupation de l femme universitaire d'autre part, ce qui
complète la figure 1 également(1).
La lecture des résultats au tableau III en rapport avec
la distribution des femmes en ceintes selon leur parité, signale que la
fréquence entre multipares et primipares est lamême (50 % contre
50%) ceci signifie que la parité n'influence pas la fréquence
aux CPN, toutes les catégories son motivées de la même
manière contrairement à ce qui est décrit par(2,9).
L'analyse du tableau IV relatif à la distribution des
femmes enceinte selon leur connaissance sur la définition de la CPN, le
résultat montre qu'à 98% des femmes connaissent bien la
définition de la consultationprénatale.
Nous nous rendons compte que les femmes ont une connaissance
parfaite sur les CPN néanmoins certainesparticularités font que
la femme ignore ses devoirs vis-à-vis de celle-ci.
Le tableau V sur la distribution des femmes enceintes selon leur
perception sur l'importance de la consultation prénatale.
19 cas soit 38% disent que l'importance de la CPN est celle de
connaitre l'âge de la grossesse, suivi de 17 cas soit 34% qui parlent de
la surveillance de la femme en parcourant la recherche de (2), nous rendons
compte que certaines femmes ne connaissent pas l'importance de la CPN alors
qu'un nombre réduit seulement parle de la surveillance de la grossesse
soit 14 femmes (28%).
L'analyse du tableau VI concerne la distribution des femmes en
ceintes selon leur connaissance sur le temps dudébutde la CPN ;
nous constatons que les femmes commencent les CPN au 1er trimestre
à 56% contre 34% au deuxième trimestre, ce qui appuie les
résultats de la recherche du ministère de la santé du
Sénégal(3).
Ainsi le retard de la 1er CPN et les coutumes
constituent les facteurs limitant de la surveillance correcte de la
grossesse(5).
Si nous lisons le résultats du tableau VII qui parle de
la distribution des femmes enceintes selon leur perception sur le nombre de
fois qu'une femme enceinte va à la CPN, nous nous rendons
également compte que 23 femmes soit 58% parle de 3 fois très
grave 12 soit 24% parlent de 2 fois, ce qui est contraire au résultat
de la proposition du ministère de la santé du
Sénégal et le ministère de la santé et du planning
familial de Madagascar(3,17).
La figure 2 montre que la distribution de résultat des
femmes enceintes selon leur connaissance sur les signes de danger pendant la
grossesse montre 26 femmes soit 52% ont répondues oui contre 24 soit 48%
de non ceci se justifie par l'ignorance des risque courus par la femme pendant
la grossesse voilà ce qui fait que 48% de femme ignorent les risques de
la grossesse ce qui accompagne le résultats de la recherche de Soltani
Ms(8).
Le tableau IX relatif à la répartition des femmes
enceinte selon le signede danger retenu en mémoire et cité lors
de l'interview.
Nous trouvons qu'il y a une méconnaissance totale. 24
femmes soit 48% voilà ce qui amene la femme à garder une moindre
considération aux CPN, alors qu'un nombre
d'élémentsétaient répertoriés comme
étant à l'origine de complications obstétricales telque
décrit par Prual. A. (14).
Les résultats signalaient dans la littérature qui
parle sur la question de considération de la CPN comme progrès
aux femmes ayant étudié ou non, nous montrent que 48 soit 96% de
femmes parlent qu'il ne s'agit pas seulement des femmes instruite
(lettrées) qui ont besoins des CPN non alors dans notre étude
nous avons trouvé 2 femmesseulement disant que les CPN sont faites pour
des lettrées, ceci justifie que ce n'est pas la non scolarisation qui
peut empêcher la femme à aller aux consultations
prénatales.
La littérature de la question relative à la
considération de la CPN par rapport au nombre d'accouchements montre ce
qui suit 49 femmes soit 98% n'évoquent pas la question de parité
pour aller aux CPN, bref le profil social influence sur le retard de la
1er consultation prénatale par l'intermédiaire de 4
éléments telque décrit par Dieye El(10).
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