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Styles de coping et niveau de stress scolaire chez des élèves de troisième et terminale à  Abidjan


par Yaba Florence ELOYE
Centre Ivoirien d'Etudes et de Recherche en Psychologie Appliquée - Université FHB Cocody - Master 2  2017
  

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CHAPITRE III- REVUE DE TRAVAUX

Notre recherche vise à comparer le niveau de stress scolaire des élèves de troisième et terminale, en fonction de leurs styles de coping. Cela nous oriente vers la recension des travaux scientifiques qui s'intéressent au stress à l'école, notamment au collège et au lycée ; ainsi qu'aux travaux sur les réponses générales de coping utilisées par les adolescents. Cette revue des travaux portant sur nos variables à l'étude, nous permettra de formuler avec précision nos hypothèses de recherche.

Il est important de signaler que peu de travaux ont traité le stress scolaire chez les élèves du secondaire. En outre, les contributions des études menées sur le coping chez les jeunes sont plus clairsemées que celles portant sur les adultes (Bradette, Royer, Marcotte, Potvin&Fortin,1999; Dumont &Plancherel, 2001). L'intérêt des chercheurs s'est davantage centré sur les jeunes qui vivent des difficultés d'adaptation, notamment des problèmes de détresse, d'idéations suicidaires ou d'addiction, avec une moindre attention consacrée aux jeunes biens portants en situation scolaire. Pour notre part, les travaux retenus dans notre revue ont été sélectionnés en regard de la population étudiée, soit des adolescents bien portants ducycle secondaire.

1- Le stress scolaire au collège et au lycée

Dans l'exploration des recherches sur le stress scolaire, notre attention s'est particulièrement portée sur l'étude transversale d'Esparbès-Pistre, Bergonnier-Dupuy et Cazenave-Tapie (2015), qui avait pour objectif d'analyser le stress scolaire au collège etau lycée selon la classe et le sexe, dans la perspective d'améliorer les conditions de travail des élèves du secondaire et leur bien-être scolaire. La population de l'étude était composée de 1130 adolescents âgés de 11 à 20 ans, dans une proportion de 704 filles (62,4 %) et 426 garçons (37,6 %), scolarisés dans des collèges et deslycées de la région Île-de-France et de la région Midi-Pyrénées (714 collégiens et448 lycéens). L'étude a évalué le stress scolaire perçu par les collégiens etles lycéensselon la classe (de la 6èmeà la terminale) et le sexe (fille ou garçon) en répondant aux questions suivantes : existe-t-il des différences de degré de stress selonles classes de la 6èmeà la terminale? Les classes dites de transition (6èmeet 2nde) sont-elles plusstressantes que celles dites d'évaluation (3ème, 1èreet terminale)?Existe-t-il des variations d'intensité du stress scolaire(faible, moyen ou fort) selon les niveaux scolaires? Les filles sont-elles plus stresséesque les garçons dans les différents niveaux scolaires? La mesure du stress scolaire a été effectuée avec l'Échelle toulousaine de stress, selon laquellele stress scolaire comprend quatre dimensions : les manifestations psychologiques, physiques, psychophysiologiques et les troubles de la temporalité.Le stress scolaire perçu se traduit par un score compris entre 14 et 70.

Les résultats de cette recherche montrent qu'un élève sur deux, se dit stressé, voire très stressé, par la situation scolaire.La moyenne de stress scolaire perçu pour la population des 1130 élèves est de35,36. Les scores par classe vont de 14 à 66. On trouve donc dans chaque classedes élèves n'ayant aucun stress et des élèves très fortement stressés. Sur les1130 élèves, 45 % ont un degré de stress au-dessus de la moyenne et 55 % ont un niveau de stress en dessous de la moyenne. Par ailleurs, le degréde stress scolaire augmente graduellement du collège au lycée.Les classes dites de transition et d'orientation (6ème et 2nde) et celles dites d'évaluation etdiplômantes (3ème et terminale) sont importantes. En effet, si le degré de stress scolaire progresse de la classe desixième à la classe de terminale, ce n'est cependant qu'à partir de la classe de la 3ème, jusqu'à la terminale que ledegré de stress passe au-dessus de la moyenne.Cette augmentation du degré de stress scolaire peut s'expliquer selon les chercheurs, d'abord au regard des attentes institutionnelles, toujours plus importantes de la 6ème à la terminale.La 3ème est une classe de passagedu collège au lycée. C'est aussi une classe d'orientation, de choix et de décision.La 2nde est une classe d'orientation et la première année de lycée, enfin la 1èreet la terminale sont deux classes d'évaluation et diplômantes. Ainsi, les difficultés croissantes des contrôles, la présenced'examens, mais également les injonctions familiales, sociales et socioéconomiques, sans oublier les changements pubertairesqui ont unimpact important sur le développementcognitif et la régulation des émotions, constituent autant d'éléments d'explication.

Il faut par ailleurs souligner qu'en plus de montrer la relation entre le niveau de stress et les classes du secondaire, l'étude a mis en évidence une différence liée au genre : quelle que soit la classe, les filles présentent un degré moyen de stresssupérieur à celui des garçons. Aussi, les chercheurs ont préconisé des analyses approfondies tenant compte des différences degenre, et aussi des liens entre les représentations parentales de l'école, la perception del'école par les élèves et le stress scolaire.

C'est dans cette perspective que s'inscrivent les travaux d'Ehoussou (2015), qui visaient l'étude de la relation entre la pression perçue de l'examen et le stress scolaire, chez des élèves ivoiriens de sexes différents, en fin de cycle. L'échantillon était constitué de 206 élèves dont 103 élèves de la classe de troisième et 103 autres élèves de la classe de terminale, âgés de 13 à 21 ans. Ils ont été soumis à des questionnaires de type Likert, pour déterminer leur pression perçue de l'examen et leur stress scolaire. Les résultats obtenus ont confirmé la variabilité du stress selon le genre, avec des effectifs de filles au stress élevé supérieurs aux effectifs masculins. Toutefois, l'hypothèse selon laquelle le stress scolaire chez des élèves en fin de cycle de l'enseignement secondaire serait lié à la pression perçue de l'examen,a été infirmée. De plus, il s'est avéré que le sexe n'avait pas d'influence significative sur la pression perçue de l'examen. L'effet conjoint de la pression perçue de l'examen et du sexe sur le stress scolaire des élèves de 3ème et Terminale,n'a également pas été confirmé.

Succinctement, il ressort des travaux examinés que le stress scolaire des élèves du secondaire a tendance à croitre du milieu à la fin du cycle secondaire. Par ailleurs, la dimension genre influence le stress scolaire, puisque des différences ont été observées dans les niveaux de stress scolaire selon le sexe. Étant entendu que le stress est une forme de stimulation à l'action, observer les réactions d'adaptation des élèves aurait permis de mieux comprendre les différences de niveaux du stress scolaire. Mais les résultats des travaux évoqués ne révèlent rien sur l'adaptation des adolescents, notamment sur les styles de coping qu'ils utilisent pour faire face aux difficultés auxquelles ils se retrouvent confrontés. Il importe de considérer maintenant les recherches effectuées sur les réponses de copingdes adolescents en situation scolaire.

2- Les réponses générales de coping des adolescents bien portants en situation scolaire

Quelques chercheurs se sont penchés sur l'étude du coping dans des populations générales d'adolescents en situation scolaire et ont permis de mettre en lumière certaines différences. Les stratégies de coping utilisées par les adolescents varient en fonction du type d'événement stressant, du sexe ou de l'âge. D'autres travaux montrent aussi clairement des liens entre les styles de coping utilisés par les adolescents et certaines psychopathologies, toutefois dans notre revue, nous nous en tiendrons aux études scientifiques relatives à des populations d'adolescents bien portants.

Ainsi, Stark, Spirito, Williams et Guevremont(1989) ont mené une recherche portant sur l'étude du coping de 704 adolescents de 14 à 17 ans issus d'écoles secondaires. Le coping a été mesuré à la fois de façon générale, et à partir d'un problème vécu au cours du dernier mois, problème qui devait être identifié par chaque adolescent(e). Leurs résultats indiquent que le choix des stratégies utilisées ainsi que l'efficacité des stratégies telle que perçue par les adolescents, varient en fonction du problème rencontré. Plus exactement, lorsqueles adolescents sont confrontés à un problème impliquant leur soupirant (e), ils utilisent un plus grand répertoire de stratégies à une fréquence plus élevée que lorsque le problème concerne l'école ou un parent.

Dans une perspective similaire, plusieurs études furent menées par Seiffge-Krenke (1993) auprès de 1028 adolescents de nationalités différentes (allemande, finlandaise et israélienne), dont l'âge est compris entre 12 et 19 ans. Il ressort de ses analyses que les adolescents s'adaptent bien à leurs difficultés et utilisent surtout un coping « fonctionnel» dans les huit sphères de problèmes étudiées. Le style « coping actif » domine, suivi du « coping interne » dans toutes les sphères de problèmes. Le coping « dysfonctionnel » n'est utilisé que rarement.

Une étude australienne faite par Frydenberg et Lewis (1993) chez des adolescents démontre que le style le plus fréquemment utilisé est productif, suivi par le style non productif et, finalement, le style référence aux autres. Plus précisément, ces chercheurs notent que les stratégies les plus utilisées sont : se détendre, se divertir, travailler à résoudre le problème et faire de l'activité physique. Celles qui sont les moins utilisées sont : rechercher de l'aide spirituelle, rechercher de l'aide professionnelle et entreprendre des actions sociales. L'étude québécoise de Pépin-Filion, Pronovost et Leclerc (1999) confirme les résultats de l'étude de Frydenberg et Lewis (1993).

Les travaux de Plancherel,Bolognini et Nunez (1993), auprès d'un échantillon d'adolescents suisses-français démontrent que les adolescents utilisent surtout des stratégies «productives» comme se relaxer,s'engager et s'investir auprès d'ami(e)s proches. Par ailleurs, des stratégies comme la recherched'aide professionnelle et la diversion étaient rarement mentionnées.

En 1994, Frydenberg et Lewis ont encore mesuré le coping chez des étudiants australiens âgés entre 16 et 18 ans à travers trois champs de problèmes distincts (l'accomplissement, les relations et les problèmes sociaux). D'après leurs résultats, les stratégies utilisées par les étudiants forment un style dominant de coping généralement adopté pour affronter les problèmes provenant des trois champs, avec des variations dans le choix de certaines stratégies selon la nature du problème rencontré.Par exemple, les stratégies de résolution de problème, de rechercher du soutien social, de s'accuser et de garder pour soi sont utilisées davantage pour les champs «accomplissement» et «relations» que pour le champ «problèmes sociaux », alors que la pensée magique est utilisée dans la même mesure pour les trois champs de problèmes.

Frydenberg et Lewis (1996) ont également observé en milieu scolaire, que les adolescents masculins qui utilisent un style de coping productif (par exemple, des stratégies comme « travailler fort pour réussir », « résolution de problème » et « soutien social ») sont avantagés dans leurs résultats scolaires et ont tendance à performer mieux que ne pourrait le prédire un test d'intelligence. Des stratégies comme « ne rien faire », « ignorer le problème »et « réduction des tensions »sont négativement reliées à la réussite académique des adolescents. De plus, l'acceptation, le fait de se centrer sur le positif, de s'adonner à des activités physiques seraient liés à un plus grand bien-être (Frydenberg & Lewis, 2002).

Les résultats de Parsons, Frydenberg et Poole (1996) lors d'une étude auprès d'un échantillon de garçons adolescents surdoués appuient ces résultats; les stratégies les plus utilisées visent la résolution de problème (travailler fort et travailler à résoudre le problème), la pensée positive (se centrer sur le positif) et le divertissement (se détendre, se divertir et faire de l'activité physique).

Morin et Pronovost (1997), à partir de leur recherche, indiquent que les adolescents provenant d'une population d'étudiants québécois de niveau secondaire choisissent des modes de réponse issus d'un style de coping « productif» pour affronter leurs difficultés. Les étudiants québécois emploient surtout des stratégies comme chercher àse détendre et se divertir, travailler fort pour réussir et la résolution de problème.

Il est à noter par ailleurs que la provenance des participants est un facteur à même d'entrainer une variance dans les résultats. À titre d'exemple, Frydenberg et Lewis (1993) comparent les différentes stratégies d'adaptation utilisées par trois groupes d'adolescents: les australiens anglais, les australiens européens et les australiens asiatiques. Les australiens anglais ont tendance à utiliser davantage de stratégies visant la réduction de tension et s'inquiètent moins que les autres groupes. En revanche, les australiens européens utilisent davantage de support spirituel que les deux autres groupes d'adolescents.Pour finir,les australiens asiatiques seraient plus enclins que les autres à faire face aux situations stressantes en travaillant fort et en recherchant de l'aide professionnelle.

Dans une autre étude dont les résultats ont été publiés en 2003, Frydenberg et ses collaborateurs ont mis de l'avant qu'il existe des différences au niveau des stratégies de coping utilisées par des adolescents de différentes origines ethniques. Leur étude portait sur de jeunes Australiens, Colombiens, Allemands et Palestiniens (cité dans Bergevin, 2012). Ils ont notamment observé que les Colombiens et Palestiniens avaient davantage tendance à rechercher le support spirituel que les Australiens et les Allemands. Puisque les facteurs culturels, religieux ou ethniques amènent des différences à la fois pour les garçons et pour les filles, il se peut que lorsque ces aspects ne sont pas pris en compte, des différences entre les diverses études soient observées en ce qui concerne le genre (Plourde, 2015).

Des recherches démontrent aussi quelques différences quant aux styles de coping utilisés selon l'âge des participants. Il semblerait qu'il y ait une proportion significative de stratégies non productives avant l'âge de 15 ansavec une augmentation dans l'utilisation de stratégies de coping tous styles confondus, entre 14 et 16 ans (Frydenberg,2004). Seiffge-Krenke, Aunola et Nurmi (2009) ont de leur côté révélé une augmentationdu niveau de stress perçu entre le début de l'adolescence jusqu'à l'âge d'environ 15 ans, pour ensuite commencer à descendre. Cela pourrait expliquer l'accroissement des stratégies d'adaptation utilisées vers l'âge de 15 ans, même si Ebata et Moos (1991, 1994) l'expliquent par une maturation qui rend possible l'usage de stratégies cognitives plus complexes.

En résumé, les travaux recensés montrent que les adolescents utilisent un répertoire varié de stratégies leur permettant de s'adapter à leurs difficultés plutôt que de privilégier une seule stratégie. La nature des stresseurs et des évènements de vie, l'âge et le sexe, influence l'utilisation des stratégies de coping. Par ailleurs, les résultats des recherches indiquent une utilisation plus grande du style productif et du style de coping référence aux autres, chez les adolescents en bonne santé, pour faire face à leurs difficultés en général. Frydenberg (1997) souligne toutefois l'importance de préciser qu'il n'existe pas de bonnes ou de mauvaises stratégies de coping en soi, tout dépend des particularités de la situation problématique.

Au total, la revue des travaux révèle que le stress scolaire est déterminé par des facteurs tels que les classes du secondaire, le sexe, l'âge, la perception de l'école et des tâches scolaires par les élèves. En ce qui concerne les styles de coping utilisés par les adolescents, il ressort que leur ajustement face aux difficultés, est le plus souvent orienté vers le style productif et le style référence aux autres. Ces deux styles de coping sont associés au bien-être ou à une meilleure adaptation; ils apparaissent donc plus propices que le style de coping non productif à réduire le stress scolaire ou l'empêcher de s'intensifier.

En effet, le coping productifà travers des stratégies comme « travailler fort pour réussir », « se centrer sur le positif » ou « se détendre,se divertir », canalise les efforts de l'adolescent vers la mise en oeuvre de comportements visant à résoudre les problèmes. L'élève qui a tendance à utiliser ce type de stratégies focalise son attention sur la résolution des problèmes etse montre assez actif en vue d'accroitre ses performances et sa satisfaction au travail;il est productif et sait aussi s'investir dans des loisirs et réduire ainsi le stressscolaire par des loisirs. Un tel élève devrait donc logiquement présenter un stress scolaire à un niveau moindre.

Le coping référence aux autres, démontre quant à lui, des tentatives chez l'élève pour rechercher du soutien dans l'entourage, ou imiter d'autres modèles de réactions face aux problèmes. Demander de l'aide à des personnes qualifiées par exemple, est une stratégie qui peut contribuer à baisser l'intensité du stress scolairesi l'élève obtient le soutien ou l'information recherché(e). Toutefois, entre un élève au coping référence aux autres et un élève au coping productif, le niveau de stress scolaire devrait être plus bas chez l'élève au coping productif, dans la mesure où ce dernier présente une meilleure maitrise dans son comportement d'adaptation, compte sur ses propres capacités à gérer ses difficultés et la tension émotionnelle.Il est plus capable d'envisager des solutions variées pour composer avec les problèmes quotidiens et donc de mieux évacuer le stress scolaire.

Enfin,le style non productif dénote des stratégies passives telles que « ne rien faire » ou « s'accuser, se blâmer », qui ne traitent ni le problème, ni les émotions négatives. Aussi,les efforts d'un élève qui penche pour un tel style de coping ne s'avèrent pas efficaces à trouver des solutions aux problèmes. Face au stress scolaire, l'élève ne fait rien, passe son temps à se plaindre sans chercher sérieusement à résoudre ses difficultés. Le niveau de stress scolaire de cet élève devrait donc être plus élevé, comparé à un autre élève au style productif ou référence aux autres. D'où les hypothèses ci-après.

3- Les hypothèses de la recherche

Hypothèse Générale

H : Il y a une relation entre le style de coping des élèves de 3ème et terminale d'Abidjan et leur niveau de stress scolaire.

Hypothèses opérationnelles

H.1 :Les élèves de 3èmeet terminale au style de coping non productif expriment un niveau de stress scolaire supérieur à celui de leurs pairs au style de coping productif.

H.2 :Les élèves de 3èmeet terminale au style de coping non productif expriment un niveau de stress scolaire supérieur à celui de leurs pairs au style référence aux autres.

H.3 : Les élèves de 3èmeet terminale au style de coping référence aux autres expriment un niveau de stress scolaire supérieur à celui de leurs pairs au style de coping productif.

La vérification de ces hypothèses reposera sur une démarche méthodologique portant sur la caractérisation des variables à l'étude, les instruments de recueil des informations et le traitement des données collectées. Cette démarche est exposée au chapitre suivant.

DEUXIÈME PARTIE :

CONSIDÉRATIONS MÉTHODOLOGIQUES

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"Nous voulons explorer la bonté contrée énorme où tout se tait"   Appolinaire