_
Introduction générale
Si on remonte dans le temps à la recherche des situations
comparables à nos difficultés actuelles, le premier
événement qui nous arrête, est la crise de 19291(*).Une crise qualifié par
les historiens comme les économistes, comme étant une crise
majeure du capitalisme. Son ampleur elle a profondément modifié
sans précédent l'ordre économique, politique et social de
différents pays. En fameux `'Jeudi noir `' le 24 octobre commença
le fait économique le plus mémorable des États-Unis.
Wall Street la bourse de New York s'effondre, en quelques heures 12 millions de
titres sont vendues, les cours boursière sont à la baisse, pour
cette raison `'les spéculateurs `' cherche à se
débarrasser au plus vite de toutes leurs actions 2(*) ce qui a provoquée une
chute grave des cours boursière de 30%. Est le `'krach'' se confirmera
le mardi 24 `'the black Thursday'' est le commencement de ce qui sera la plus
grave crise économique de l'histoire. Sur le plan théorique une
crise boursière se transmit a une crise économique comme
suite ; la crise boursière d'éclanche des pertes d'avoirs
considérables pour les banques engagées dans la
spéculation. Ces pertes alimentent un sentiment de défiance d'un
grand nombre de leurs clients qui se précipitent pour effectuer le
retrait de leurs dépôts (Run). Touchées dans leurs
ressources, les banques diminuent alors leurs activités de prêts
et de création, c'est l'ensemble d'une économie nationale qui se
trouve affectée et qui entre en crise2(*) .
Quatre-vingt ans plus tard, la question d'une crise se posa de
nouveau, est ce que c'est 1929 qui va recommencer ?3(*) Certes oui. En été
2007 date de déclanchement de la crise de prêt a risque `'
subprime `'4(*) aux
États-Unis, cette crise s'apparente initialement à une crise
banale comme celle que l'histoire économique connues maintes fois dans
le passée. Mais avec la faillite de plusieurs banques commerciales
américaines et européennes, les signaux d'une crise commence
à apparue, plusieurs auteurs qualifier l'actuel crise de grande crise
systémique.5(*) Le
monde est désormais la proie d'une `'drôle de crise `' ou un
processus de fissuration qui a commencé au sein de l'immobilier
américain, se poursuit s'étant internationalise6(*), elle a débuté
initialement modeste, par un « rêve
américain » d'une maison entourées de son jardinet pour
chaque famille. Ce rêve est terminé par une grande
dépression.
Dans un contexte économique mondialise, caractérise
par une intégration rapides et des interconnexions étroites et
complexes entre les différents institutions financiers de marché
international, et de dépendance entre économies des États,
la crise s'est propagée a l'ensemble de l'économie mondiale, dans
la crise économique et financière de 2008, comme dans la grande
dépression des années tarentes.
Une question de comparaison entre les deux crises (l'actuel avec
celle de la déceins 1929-1939), reste toujours une des thématique
demandé dans la littérature économique, puisque permet de
faire réveiller les idées économiques. Une lecture de
l'histoire sous une forme de comparaison permet d'en tirée des
leçons, des leçons qui seront indispensable pour gérer
l'actuel crise et pour quoi non d'éviter ceux de future. Comme notre
travail s'intitule `' Étude Comparative Entre La Crise
Économiques De 1929 Et La Crise Économiques Et Financière
De 2008'' c'est une appelle à la crise de 1929 pour permettre
résoudre notre crise des `subprimes'.
Ce débat est subdivise en cinq grandes chapitre ;
dans un premier lieu je vais essayer de présenter le contexte
général des deux crises, la crise de 1929 avec son contexte de
l'après première guerre mondiale (1920-1929) qui a
profondément bouleversé la situation économiques de monde
capitaliste. Ces transformations entraineront de nombreux désordres
7(*) et
prospérité. Et la crise de 2008 avec son contexte (2000-2006)
marques par un ensemble d'innovation financière et technologique qui ont
déclenchait en 2000 la `' bulle internet et en 2006 la crise
immobilière, et situation économique de croissance fragile.
Le deuxième chapitre, faisait l'objet d'une analyse des
causes derrière les deux crises, généralement une bulle,
boursière en 1929 et immobilière en 2008, s'est situé
à l'origine des deux.
En troisième chapitre je vais efforcer à
éclairer les conséquences résultant des deux crises sur le
plan financier, économique et social.
Dans ce cadre mon débat s'articulera autour la
réponse aux questions suivant :
- Quelle contexte macroéconomique à priori les deux
crises ?
- Quelles sont les causes derrière les deux
crises ?
- Quelles conséquences résultantes des deux
crises ?
- Quelle comparaison possible entre les deux crises ?
Chapitre 1 : contexte macroéconomique des
deux crises
Section 1 : contexte de la crise de 1929
Pour essayer de comprendre les causes de la grande
dépression des années trente, il faut commencer par analyser la
situation politique, et surtout économique, des années vingt,
caractérisé par une prospérité relative8(*), mais aussi, par de nombreux
désordres, le déroulement depuis le Krach Boursier9(*) jusqu'à la crise
économique mondiale, montrera les mécanismes a l'oeuvre, les
difficultés pour trouver de nouvelle politique confirmeront la
caractère profond de cette crise, dont on pourra alors essayer de
trouver les origines10(*).
Nous allons alors essayer de comprendre en quoi la prospérité des
années vingt, révèle de quelque chose de très
fragile. Pour comprendre tous ces implications un retour en arrière est
indispensable11(*) dans
notre étude.
La décennie qui précède le
déclanchement visible de la grande dépression est parcourue, dans
les représentations mentales des contemporains, comme dans
mémoire collective d'aujourd'hui, par des référents
quelque peu contradictoire. Elle est tout à la fois la décennie
d'espoir d'un avenir meilleur après la terrible épreuve
collective de la Grande Guerre. Elle est en même temps, une
période d'agitation sociale, voire révolutionnaire, entre 1919 et
1923.
Ce qui ressort le plus clairement d'ambiance de l'époque
est le terme
« prospérité » généralisé
à partir de l'expérience Amérique de l'époque.
La problématique de cette section se résumé
ainsi :
- Quelle est la nature de la prospérité des
années vingt ?
- Par quels phénomènes mondiaux ou nationaux
est-elle engendrée ?
- Quelle est l'impact des désordres des années
vingt dans le déclanchement de la crise ?
Paragraphe1 : les années vingt : une
prospérité fragile
1.1 : La Guerre de 1914 et les transformations de
l'ordre économique mondial
La guerre de 1914 apparait nettement comme une rupture dans
l'histoire, certainement, le monde après 1918 ne sera plus jamais celui
d'avant 1914 et cela est particulièrement marqués dans le domaine
économique12(*).
Le monde capitaliste dans lequel à éclaté
la crise de 1929 n'était certainement pas un monde stable et
prospère13(*). Au
contraire était pleine de guerre, une guerre qui avait laissé aux
humains comme aux économies bien de cicatrice. Après la
Première Guerre, beaucoup des transformations irréversibles
apparaissent dans multiples domaine, et ce sont les transformations
économiques de l'époque qui nous intéresse de plus.
La domination de la Grande Bretagne sur l'économie
mondiale et plus généralement de l'Europe est remise en cause.
L'Europe est épuise par la Guerre qui s'est traduite pour elle par de
nombreuse perte en vie humaine et ou outillage.
Vers le début du 20éme siècle,
l'Europe est en déclin14(*) et les États-Unis deviennent la
première puissance économique du monde, Wall Street15(*)
replace la bourse de Londres comme première place financière
mondiale et l'Amérique devient créancière de l'Europe.
Si les États-Unis sont demeurées neutres entre
1914 et 1917, ils ne sont pas restés inactifs sur le plan
économique. Les pays belligérants d'Europe sont dans une
situation inconfortable. Il leur faut tout à la fois assurer une
consommation militaire en hausse extraordinaire et continuer les habituelles
fonctions de production, de répartition et de consommation à
l'égard des populations civiles16(*).
Puisque les circuits commerciaux traditionnels sont
perturbés par la guerre sous-marine menée par les Allemands et
par le bloc décidé par les alliés17(*). Il faut acheter des biens
à l'étranger de l'Europe, de l'Amérique. C'est les
États-Unis les principaux bénéficiers de la situation
créée par la guerre
C'est vrais ; la France et le Royaume-Uni (économie
dominante avant la guerre), sont étaient des pays vainqueurs
militairement, mais tous les deux sont sorties de cette guerre
épuisé. Leur industrie, qui en faisait les premières
puissances au XIXème siècle était devenue retardataire. De
plus, ils étaient endettés auprès de la nouvelle grande
puissance impérialiste : les États-Unis.
Les États-Unis, eux étaient les vrais vainqueurs
même si qu'il n'a rentré qu'à la fin de la guerre en mois
d'avril 1917.
Les interventions de l'État pour faire face aux besoins de
la guerre été très importantes, l'État a eu fait
assurée une véritable domination sur l'économie, la notion
de État- gendarme17(*) et remise en cause et replacer par la notion de
l'État-providence18(*). La paix se traduit par un très net
désengagement de l'État.
Le financement de la guerre à nécessité le
recours à l'inflation19(*) et a l'abandon de l'étalon-or, le retour
à cet ordre ancien (qui était au moins autant un
étalon-sterling) se révélera impossible dans l'entre-deux
-guerres. De nouveaux modes d'organisation de système de
monétaire nationaux et internationaux seront nécessaires et leur
mise en place sera difficile.
Enfin avec la révolution russe de 1917, le capitalisme va
connaitre un concurrent qui servira de model à une partie des classes
ouvrières européennes et leur redonnera l'espoir après les
échecs de l'internationale socialiste pour empêcher la guerre
fratricide.
1.2 : les relatives prospérités des
années vingt
Tous les secteurs de l'économie américaine
profitent de la demande Européenne, de la situation ruinée
créée par la guerre. L'agriculture est le secteur
économique qui profite le plus de la demande des pays
belligérants.il faut du pain pour nourrir les civiles et les
combattants, or les agricultures (43% de la population active française
de 1914) sont mobilise. Les surfaces emblaves aux États-Unis passent de
45,8 millions d'acres en 1910 à 63,3 mallions d'acres en 1915 puis 62,3
millions d'acres en 192020(*) , soit
une augmentation de 36 ,02% sur période de 10 ans.
En effet, pour la plupart des pays industriels, cette
période est une période de prospérités. Une fois
passés la crise de 1921 les grandes économies capitalistes, dans
des conditions différentes et à des degrés divers (la
Grande-Bretagne faisant dans une large mesure exception à la
règle), connaissent une période d'expansion. Cependant cette
croissance ne sera pas sans fragilité.
Certes, la décennie qui précède la crise
apportée l'illusion d'une prospérité retrouvé
-surtout an Amérique-. Mais fut de courte duré.les années
1920 furent une bonne époque, la population et l'emploi était
élevées, les prix ont était relativement stable. Le
capitalisme américain se trouvait sans aucun doute dans une phase dite
active.
Entre 1922 et 1929 la croissance économique est
importante, la production industrielle et le revenue national ont cru de
prés de moitié.
Evolution du PIB des Etats-Unis entre 1920 et
1929
Année
|
PIB nominal (en milliards de Dollars)
|
PIB nominal/tête (en milliers
de Dollars)
|
1920
|
88,4
|
830
|
1921
|
73,6
|
678
|
1922
|
73,4
|
667
|
1923
|
85,4
|
763
|
1924
|
87,0
|
762
|
1925
|
90,6
|
782
|
1926
|
97,0
|
826
|
1927
|
95,0
|
803
|
1928
|
97,4
|
808
|
1929
|
103,6
|
851
|
Sources :
http://www.digitalhistory.uh.edu/database/article
http://research.stlouisfed.org/fred2/data/INDPRO
http://www.federalreserve.gov/releases/htm.
Comme l'indique le tableau ci-dessus, durant la période du
boom, nous pouvons constater que le PIB nominal a augmenté de 15
milliards de Dollars, soit une augmentation de 17%. Le PIB par tête a
quant à lui augmenté de 2,53%.
Si on replace cette croissance dans le long terme, elle n'est pas
exceptionnelle, mais elle diffère cependant de celle de début du
siècle. En effet elle repose avant sur des gains de productivité
qui s'accélèrent dans la période et surtout dans
l'industrie (+22% de 1920 à 1922, +10% de 1923 à 1925 et +3% de
1925 à 192921(*) ).
Entre 1925 et 1929, le nombre d'établissement industriel
s'était accrue de 183900 à 206700, la valeur de leur production
industrielle s'était élevée de 60,8 Milliards de
dollars22(*). L'indice de
la production industriel indiqué par la Banque Fédérale
des États-Unis, et dont la moyenne n'avait été que de 67
en 1921, s'était élevés à 110 vers juillet 1928 et
avait était 126 en juin 192123(*) .
Tableau l'indice de la production industriel de l USA en
1920-1929
En 1926, 4301000 automobile était fabriquée. Trois
ans plus tard en 1929 la production industriel s'était accrue de plus
d'un million et avait était 535800024(*) .
Cette croissance de la productivité est explicable de
plusieurs manières. Les industriels ont compris d''une forte demande
solvable s'exprimait dorénavant sur certain produit. Ils mettent en
oeuvre les conditions de travail propres à faire face,
résumées à l'époque par ce que l'on nomme le
« système américain de fabrication » (Pierre
Malandrin)25(*). De plus
cette énorme croissance en productivité et aussi une
conséquence directe des progrès réalisé dans la
concentration des entreprises. En 1929, 200 entreprises contrôle environ
la moitié de la richesse commerciale du pays, un quart du commerce de
détails est dorénavant par les grandes entreprises à
succursales multiples (Andrée Kaspiet et Denise Artrand). Ce
développement industriel s'accompagne d'une expansion très
importante dans le secteur des bâtiments en liaison avec une urbanisation
grandissante du pays, urbanisation qui se caractérise par le
développement de banlieues de plus en plus éloignées des
centres, le progrès de transport (surtout de l'automobile) rendant les
trajets plus faciles. Ce développement du bâtiment entraine aussi
l'essor de la production de biens durables (développement de
l'équipement ménagère). On voit donc se développer
de nouvelle pratique de consommation de masse26(*), dont les principaux bénéficiaires sont
les classes moyennes en plein expansion. Les effets de l'organisation
scientifique du travail (OST) et du travail à la chaine sont ici
particulièrement visibles. Pour les consommateurs américains, les
conséquences les plus spectaculaires de ces gains de productivité
se retrouvent dans la chute des prix de certains produits. En 1927, la forde
`T' ne vaut que 300 dollars, ce qui met a la porte non pas des ménages
populaire, mais des catégories Lower-Middle, surtout par
recours au crédit. Ainsi on estime que 60% des automobiles sont
achetés de cette façon.
Enfin, cette consommation de masse rencontre des limites. En
effet, la hausse du salaire réel ne suit qu'imparfaitement la hausse de
production, aussi entre 1920 et 1929 les profits, intérêts et
rentes augmentent de 45% tandis que les salaires n'augmentent que de 13%.
1.3 : une prospérité financée
a crédit
Même si, les énormes réalisations en terme de
productivité, de croissance et de prospérité, reste une
prospérité construite sur du sable. Ainsi apparait une des
premières fragilités de la prospérité qui apparait
à l'époque, la spéculation, qui se développe aux
États-Unis a partir de 1926.
La période de prospérité après la
crise de 1921, se traduit par une hausse des profits des entreprises et il
était donc logique que les cours de la bourse de New York augmentent.
Cependant cette hausse résulterait d'un mouvement spéculatif est
montrée à l'évidence des achats a la marge.
La seconde fragilité de la période de la
prospérité tient dans le fait que, malgré les
résultats brillant de la période -que nous venons de voir -, le
chômage occupe sans cesse un niveau non négligeable. La chute de
la production27(*)
s'accompagne d'un montée du chômage, les statistiques le
concernant sont variables, il n'y a pas à l'époque de recensement
officiel28(*). Au moment
de la crise de reconversion de 1921, 5 millions d'américains sont
concernés par le chômage. En 1924, ils sont encore 2,5 millions,
la prospérité n'amène en aucun cas le plein
empois29(*). Cette
situation se traduit par la montée d'une agitation sociale sporadique,
inorganisée mais parfois violente et que l'on retrouve dans les autres
pays.
Les crédits à la consommation aux États-Unis
durant les années vingt. En soi, il s'agit d'une invention prodigieuse
des banques rompt avec les pratiques quelque peu malthusien du XIXème
siècle et qui est promise un bel avenir. Pour l'heur cette innovation,
qui permet aux ménages américains de financer leurs achats. Avec
la montée du chômage, les ménages américains sont
dans une situation de l'incapacité de rembourser leurs emprunts, mettant
en danger les sociétés de prêts ou des banques.
Le dernier point de fragilité de la
prospérité concerne les farmers. Pour beaucoup d'entre eux, la
crise commence dès le début des années vingt. Plusieurs
phénomènes cumulés frappent l'agriculture
américaine, dont certains sont, encore une fois une conséquence
directe de la Première Guerre mondiale. Confiants dans la hausse
continue de la demande mondiale en produits agricoles durant la Première
Guerre mondiale, les agricultures américaines se sont endettées
pendant la guerre pour devenir plus productifs. Ils connaissent alors une
première mécanisation qui leur permet, avec le recours aux
engrais chimiques, d'augmenter leurs rendements, et donc leurs revenus, dans
une logique de hausse des cours mondiaux, tout en couvrant les remboursements
de leurs emprunts. Mais cette logique ne fonctionne plus à partir de
1919.
Ce processus commence bien avant le Krach Boursier et pose la
singulière question d'une agriculture américaine en crise au
plein coeur de la prospérité.30(*)
Paragraphe 2 : les désordres économique
internationaux des années vingt
La situation économique international est avant tout
marquée par des problèmes monétaires et financiers
hérités de la guerre, mais aussi par une certaines
fragilité dans les échanges internationaux.
1.1. La difficile remise en place d'un ordre
monétaire
La guerre avait entraine la suspension, que l'on jugeait
temporaire, de la convertibilité or des monnaie, elle avait entraine une
forte création monétaire et une inflation importante dans la
plupart des pays. Cependant les marches des changes n'avaient pas tire toutes
les conséquences de ces évolutions, en particulier parce que les
crédits américains avaient permis de soutenir les parités
des monnaies des pays allies.
Aussi en France la circulation monétaire était
passée de 10 a 34 milliards de francs et l'indice des prix de 100 a 325,
mais le cours du dollar était reste très prés de la
parité or (5,45 contre 5,18).31(*)
En outre, la situation économique des pays de
l'Europe central était très fragile. Leurs économie
était totalement désorganises, conséquent des lourdes
charges de financement de la guerre -aussi de la préparation a la
deuxième guerre-. Avec une seul possibilité de financée
ces charges, par le biais de financement par la création
monétaire, et du contexte économique de ces pays, cette
alternative ne pouvait donnait lieu qu'a l'inflation, résultant un
effondrement des monnaies.
De plus, le principal objectif recherche par cette politique
monétaire est la réalisation d'un équilibre dans la
balance commercial. On va donc voir deux stratégie s'opposer : d'un
cote la plus grande partie des pays d'Europe central vont faire de
l'inflation32(*) ; a
l'oppose, les États-Unis et plus encore la Grande-Bretagne vont
pratiquer des politiques, dites déflationnistes.
Cette situation de contradiction des politique
économique au niveau mondial, ce traduit par une difficile remise en
place d'un Golde Exchange Standard, et donc a la recherche de nouvelles
règles monétaires internationales.
1.2. des marchés internationaux fragiles
Dans le domaine commercial, si les années vingt se
traduisent par une reprise des échanges perturbe par la Première
Guerre, la croissance de ceux-ci en volume reste moins rapide que celle du
volume de la production. Cette moindre croissance est liée à une
tendance à la montée des pratiques protectionniste. Cette
situation s'explique de plus les modifications que la guerre a
entrainées dans les positions des différents pays.
Les pays européens sont dans une situation moins
confortable due à la concurrence acharnes des pays neuf, donc ils ont du
mal à retrouver les marchés d'exportation industriels qu'ils ont
perdus avec la guerre. De plus les pays neuf suit des politique d'inspiration
protectionniste pour protéger leurs industrie naissant, par
l'application d'une politique de substitution des importations.
D'autre part, cette période est marquée par une
tendance à la dégradation des termes de l'échange des
producteurs de matière première.
Cette fragilité des marchés internationaux
apparait très nettement dans le domaine agricole ou l'on assiste
à une tendance à la surproduction mondiale et à la baisse
des cours.
Section 2 : contexte macroéconomique de la
crise économique et financière de 2008
Avant d'aborder la discussion sur la question des causes de la
crise économique et financière de 2008, est nécessaire de
mettre la crise au sein de son contexte économique et financière,
avant leur vrais déclanchement.
Comme j'ai déjà précédé la
section précédente, je vais présenter au niveau de cette
section la période de prospérité et l'ensemble des
innovations financière qui ayant caractérisé la
période de 2000 à 2008. Dans ce cadre je vais essayée
d'amené une discussion qui s'articule autour la réponse à
cette question :
- Quelle était la situation économique et
financière des États-Unis et de monde avant le
déclanchement visible de la crise ?
Paragraphe 1 : situation économique
Avant le déclanchement de la crise, la situation
économique des États-Unis était pareille en quelque sorte
de celle d'avant la crise de 1929, une situation de prospérité
qui ne manque pas le caractère de fragilité.
1.1. Prospérité américaine :
croissance fragile
Années
|
Taux d'inflation
|
Taux de croissance
|
2000
|
2,2
|
-
|
2001
|
3,4
|
6,0
|
2002
|
2,8
|
2,6
|
2003
|
1,6
|
3,0
|
2004
|
2,3
|
6,0
|
2005
|
2,5
|
5,9
|
2006
|
3,2
|
2,5
|
2007
|
2,5
|
-1,6
|
1.1.1 Croissance
économique
Dans le début du 21eme siècle au cours de
l'année 2000, la Réserve Fédéral (Fed) à
mené une politique expansionniste33(*), caractérisé essentiellement par des
taux d'intérêts très bas, pour la seul raison de permettre
une nouvelle croissance pour les États-Unis.
L'économie américain est celle d'un
gérant qui dépense en taille et en poids, par rapport aux
tous les autres pays du globe
Source :
http://www.indexmundi.com
Le PIB américain, 12400 milliard de dollars en 2005,
représente autant que celui des sept autres économies
réunis au sein du G834(*). Entre 1997 et 2001, le PIB américain a
augmente de 23%, aucune autre économie du G8 n'a fait mieux. Le PNB
américain a augmente de 32% entre 2000 et 2008, tandis, le budget de
l'État fédéral a connait durant la même
période une augmentation de presque 40%35(*).
1.1.2 Les facteurs de croissance
La réussite économique des États-Unis, est
explique dans une grande partie par la réunion des cinq atouts :
- Un développement scientifique a la pointe.
- Une articulation entre concurrence au sein des firmes et
initiation à l'innovation.
- Des marches financier très développés, qui
ont assuré jusqu'à la crise économique e 2008, le
financement des entreprises et le contrôle de leur management.
- Une marche de travail ayant une très grande
capacité à employé la main d'oeuvre disponible.
- Une politique macroéconomique active favorise la reprise
da la croissance.
1.1.3 Fragilité de la croissance
C'est vrais la décennie 2000 et de croissance et de
prospérité, marquant dans la sphère économique.
Mais c'est une décennie dite aussi de fragilité.
La guerre froide à impacter l'économie
américaine et produit des déséquilibres qui ne seront pas
résorber depuis la fin du conflit mais ce sont accentues36(*).
Cette fragilité est manifeste sur plusieurs domaines de la
vie économique, principalement :
- Déclin du commerce : aggravation des
déficits de la balance commerciale de la plupart des pays.
- Déficit budgétaire.
- Endettement des ménages.
1.2. Boom des matières premières
A partir de l'année 2000 les prix des matières
premières ont connu, une forte augmentation après une
période relativement des prix bas. Le prix du baril de pétrole
brut passe de 20 dollars en janvier 2002 à 134 en juillet 2008. En 2008,
le prix da la plupart des matières premiers, notamment le pétrole
et les produits agricoles connaissent une forte augmentation.
Cette hausse est directement une conséquence des
injections massives de liquidité dans le système bancaire par la
Reserve fédérale, car une partie une partie importante de cette
liquidité est investie, comme spéculation, sur le marché
des matières premières, ce qui a donnée comme
résultat une montée des cours.
Généralement, la hausse des cours des
matières premières est liée directement à la monte
des prix des barils pétrolier.
Paragraphe 2 : la situation financière
Comme la situation économique, la situation
financière mondiale, et surtout celle des États-Unis souffre d'un
caractère de fragilité, une fragilité due aux processus
d'innovations financières qui a commence dés la conférence
de Bretton Woods.
La première caractéristique du système
financière contemporain est l'apparition de nouvelle institution
financière « périphériques », pour
remplir certains fonctions, du système financière
« traditionnel » et un relative
désintérêt de la réglementation bancaire et
financière à l'égard des nouvelles institutions
financière (Shadow financiel Systeme, Structured Investissmen
Véhicules et les fonds de gestion alternative tel que les Hudge Funds et
les fonds de Private Equity, etc.).
La seconde caractéristique du système financier
contemporain et l'interpénétration étroite entre les
banques et les marchés.
Ces deux caractéristiques expliquent la
spécificité, l'ampleur et la complexité de la crise
financière de 2007-2009.
Au niveau de cette paragraphe je vais essayer de
présenter, d'une part les principales mutations derrière le
déclanchement de la crise des prêt hypothécaires
Américaine, d'autre part je vais discutée la politique
monétaire expansionniste mise par la Reserve Fédérale
(Fed) durant la décennie 2000.
1.1. Les principales mutations derrière le
déclanchement de la crise des subprimes
Au cours de la dernière décennie, le système
financier mondial est en particulier celui des États-Unis a
été caractérisé par les processus de la
désintermédiation, la déréglementation et la
libéralisation financière ainsi que la titrisation, ces ensembles
caractéristiques ont profondément modifié la situation
financière.
Désormais, le système bancaire n'est plus le seul
à offrir du crédit et de la liquidité , à cote de
la liquidité traditionnelle, que l'on mesure par les agrégats
monétaires ou de crédit, se développe un nouveau mode de
financement de la titrisation, ou la majeur partie de l'intermédiation
financière est effectuée sur les marches, par le biais de
transaction sur titres, les positions et les titres étant valorises en
valeur de marche sur les livres des intermédiaires financiers37(*).
En effet, ce développement des marchés des capitaux
internationales a été accompagne par une politique
monétaire très expansive38(*) de la Reserve fédérale qui a encourage
l'endettement des ménages, par l'application d'une politique de
crédit facile avec des taux bas.
En réalité, l'éclatement des prêts
hypothécaires est très fortement lié au
développement de leur titrisation par les institutions
financière, essentiellement, privées. La part des crédits
hypothécaires vendus pour être titrée les banques
d'investissements passée de 30% en 2002 à 55% en 2005. Alors que
les deux agences (Fannie Mae et Freddie Mac) titraient et assurent des
crédits hypothécaires a des emprunteurs de premier ordre, les
banques d'investissement ont titre des crédits plus risque (subprimes),
en dehors de la garantie des agences. Il y a donc eu un changement radical de
modèle du crédit, que l'on peut constater avec le modèle
standard du crédit bancaire39(*).
1.2. La politique monétaire expansionniste mise
par la Reserve Fédérale
Une crise financière importante peut se déclencher
lorsqu'une bulle spéculatif se dégonfle sur un ou plusieurs
marchés. Les bulles récentes sont étroitement liées
avec la politique monétaire pratique par la Fed. Suite à
l'éclatement de la bulle spéculatif sur les valeurs
internet40(*), pour
contrer ses effets dépressifs sur l'économie ainsi que ceux
liés a l'attaque du 11 septembre, la Fed - diriges par Alan Greenspan-,
à baisser rapidement sont taux directeur et a maintenue en suite pendant
une période prolongée celui-ci à 0,75%41(*).
Dans la première moitie de la décennie 2000-2009,
les États-Unis connaissent un environnement macroéconomique
très favorable, caractérisé essentiellement par une
inflation faible, et un taux de croissance en constante évolution. On
peut noter aussi (comme j'ai déjà évoqué), la
politique expansionniste mise en oeuvre par la Fed, avec des taux
d'intérêt bas. Cette politique à entrainer par
conséquence une certaine abondance des crédits, suite a la forte
injection de la monnaie par les autorités monétaires des
États-Unis.
Evolution de la masse monétaire
1920-1929
Date
|
M2
|
Date
|
M3
|
01/12/00
|
4920,9
|
25/12/00
|
7147,9
|
O1/12/01
|
5430,3
|
24/12/01
|
8045,0
|
01/12/02
|
5774,1
|
23/12/02
|
8574,7
|
01/12/03
|
6062,0
|
22/12/03
|
8876,9
|
01/12/04
|
6411,7
|
27/12/04
|
9458,7
|
01/12/05
|
6669,4
|
26/12/05
|
10193,4
|
01/12/06
|
7021,0
|
13/12/06
|
10336,3
|
01/12/07
|
7081,3
|
-
|
-
|
Source :
http://www.federalreserve.gov/releases
http://www.forecasts.org/data
Comme le montre clairement le tableau, durant cette
période dite de `bon marche', nous pouvons noter une augmentation
remarquable de la masse monétaire, pour ces deux composantes M2 et M3,
M2 à passe de 4920,9 en 2000 à 7081,3 en 2007, soit une
augmentation de 43,89%, alors la période d'avant déclanchement de
la crise est une période d'expansion de la masse monétaire. Cette
expansion monétaire, est visualise clairement sur les taux
d'intérêt, qui ont été durant la même
décennie relativement bas, d'une moyenne de 1,3% entre 2001 et 2004, ce
qui provoque l'émergence d'une nouvelle formes de crédit
appelés « subprimes »42(*).
Evolution du taux d'intérêt
Evolution des
emprunts
Hypothécaire aux
Etats-Unis entre 2000 et
2007
Date
|
Taux d'intérêt
|
Mai 2000
|
6,5%
|
Décembre 2001
|
1,75%
|
Novembre 2002
|
1,25%
|
Juin 2003
|
1,00%
|
Juin 2004
|
1,25%
|
Décembre 2005
|
4,25%
|
Juin 2006
|
5,25%
|
Août 2007
|
5,25%
|
Années
|
Emprunts (en milliards USD)
|
2000
|
383,3
|
2001
|
507,1
|
2002
|
704,5
|
2003
|
870,1
|
2004
|
927,2
|
2005
|
1033,4
|
2006
|
977,4
|
2007
|
658,9
|
Source :
http://www.federalreserve.gov/data
Source : FED, «Statistical release»,
10 décembre 2010.
Ces deux tableaux montrent la corrélation positive
existant entre le niveau des taux d'intérêt avec celui des
emprunts hypothécaires. En effet, durant la période de 2001-2004
les taux d'intérêt ont été tres faibles (d'une
moyenne de 1,3%), par conséquent l'activité des crédits
« subprimes » aux États-Unis, a progresse d'environ
170% (passant de 383,3 milliards USD à 1033,4 milliards entre 2000 et
2005).
Pour conclure ce paragraphe, La crise trouve sa
source au début des années 2002 - 2005 aux
États-Unis lorsque, pour lutter contre la
récession générée par l'éclatement de la
crise internet, les taux d'intérêt américains ont
été ramenés à des niveaux très bas,
générant une abondance de liquidité et des primes de
risque très faibles. Au même moment, l'administration
américaine donne un nouvel élan à une politique
déjà active favorisant l'accès à la
propriété immobilière de tous les américains.
Ceci est traduite par une montée des prix dans le secteur
immobilier et par conséquent l'éclatement d'une bulle
appelé `'bulle immobilière `'.
Chapitre 2 : les causes des deux crises
Section : les causes de la crise de 1929
Si bien la crise boursière43(*) d'octobre 1929, apparait comme le début de la
grande crise de l'entre-deux-guerres. A partir de ce krach se déclenche
une crise économique et financière qui allait entrainer une
spirale déflationniste sans précédent, touchant tous les
pays (U .R.S.S exceptée).44(*) Les causes immédiates du déclanchement
de cette crise ne peuvent être établies avec certitude, mais cette
crise trouve comme causes une réunion des causes théorique et
autre réel.
Sur la plan théorique cette crise n'est rien que le
résultat direct d'une fausse lecture théorique des
autorités monétaire des États-Unis, cette fausse lecture
est traduite par la mise en place de deux politiques contradictoire, d'une part
une politique expansionniste, durant la décennie 1920-1929 qui
précède la crise. D'autre part une politique restrictive mise par
la Reserve fédérale. (Explication monétariste)
Sur le plan d'économie réel cette crise trouve
comme causes, une sous consommation dans un contexte de production de masse
(explication keynésienne). De plus le poids des relations
économique international explique une grande partie de cette crise.
Au niveau de cette section je vais essayer de répondre ces
trois questions clés, pour permettre la clarification de la vision sur
les causes de cette crise :
Quel était la responsabilité de l'autorité
monétaire américaine dans le déclanchement de la
crise ?
Quel rôle de la sous-consommation des ménages des
États-Unis dans l'explosion de la crise ?
Quel impact des interconnexions des relations internationales
dans la le commencement et la transmission da la crise ?
Paragraphe 1 : les politiques monétaires
inadaptés
Les politiques monétaires inadaptés, question de ce
paragraphe, s'articule autour de deux politiques tout a fait contradictoire,
une politique monétaire expansionniste entre 1920 et 1929, et une autre
restrictive dans la fin de la même période.
1.1 : Les politiques monétaires
expansionnistes entre 1920 et 1929 :
Marray Rothbard, Fiedrick Hayek et plusieurs autre
économiste de l'école autrichienne ont critique la politique
monétaire expansionniste de la Fed durant les années 1929, avant
la crise de 1929. La Fed à échouer dans sa gestion de la crise de
1929, il a injecte dans l'économie une grande masse monétaire qui
a conduit a une très mauvaise répartition des ressources, ce qui
a développée une bulle spéculative boursière et
fait naissance a des mal investissement.
Comme j'ai déjà expose dans la première
chapitre, que la crise économique de 1929 est née dans un
contexte de prospérité et de croissance économique dans
les États-Unis, il est évident que la décennie de la
prospérité s'est révélée tout à fait
favorable au développement de toute une série
d'intermédiaires financiers, dont les investissements Trust sont les
plus connus.45(*)
La Fed a injecte plus de 500 millions de dollars, et ce
n'était qu'un début ; en 18 mois le débit des banques
vers les comptes de particuliers passa de 53,6 a 82 milliards de
dollars46(*).
En effet, a partir du moment où les autorités
monétaires (Reserve Fédérale), ont prennes la
décision d'augmentation de la masse monétaire, et par
conséquent une politique de crédit facile, avec des taux
d'intérêts bas. Et dans ce contexte les entreprises ont lance des
investissements qui vise l'amélioration de leurs appareil productif, ce
qui a entrainer un essor dans la production industrielle.
De même ordre d'idée, Ivring Fisher pense que c'est
frénésie nourrie par les taux d'intérêts faibles, et
l'irresponsabilité des banquiers, qui ont prêté sans
retenue aux spéculateurs, c'est-a-dire, le fait que les banques
finançaient non plus l'économie réel ; mais
plutôt la spéculation, qui se trouve être a l'origine du
cirse47(*) .
Grosso modo, la crise de 1929 est consécutif a une bulle
spéculative ; résultat de la politique monétaire
expansionniste, dont la genèse remonte a 1927. La bulle a amplifier par
le nouveau système d'achat a crédit d'action, depuis 1926 est
permis a Wall Street. Les investisseurs peuvent ainsi acheter des titres avec
une couverture de seulement de 10%.
1.2 : La politique monétaire
restrictive
Avec une acharne critique des économistes, les
monétaristes en particulier, la Fed à réviser sa politique
expansionniste de la période précédente, qui a
échouer dans son bilan déjà souligne, de plus elle
entrainer une spirale spéculative et inflationniste encouragée
par la politique des crédits facile a taux d'intérêts bas.
Ainsi, petit à petit, l'économie réel gène par la
spéculation : au lieu d'acheter une voiture, on va acheter des
actions. Il faut donc élever les taux d'intérêts, pour
éviter une surchauffe spéculative. Diminuer les taux
d'intérêts en période spéculative, c'est comme
arroser un feu avec l'essence48(*).
Pour résorber la spirale spéculative la Fed
à augmenter massivement les taux d'intérêts, cette hausse
des taux d'intérêts cassent une spéculation qui plafonne.
Pour rembourser leurs dettes, les spéculateurs doivent vendre les
actions qu'ils ont achètes, ce qui entraine une chute de valeur de cette
action, et les obliges à vendre d'autant plus, entrainant ainsi une
spirale inverse ; alors c'était le début de la crise
boursière « krach boursier ». la réalisation
de l'équilibre monétaire prévus par la Fed ne peut
être réalisé que par le canal du taux
d'intérêt, qui est , d'une part mène l'économie
américain a « un Krach boursier » et par
conséquent le monde entier dans une crise, d'autre part a entrainer le
monde réel de l'économie a un cercle vicieux d'inflation.
« En réalité, c'est la diminution de la
masse monétaire qui a joue un rôle fondamentale. Cette diminution,
la plus forte jamais enregistrée aux États-Unis, a
été provoque en premier lieu par les répercussions des
faillites bancaire et par les efforts attenants du public pour convertir les
dépôts en monnaie. Mais ces facteurs n'eurent une portée
sur la masse monétaire que par ce que la Fédérale Reserve
Système n'avait pas réussi à fournir suffisamment de
monnaie forte pour concilier les changements de demande. Si comme le lui
conseillaient de nombreux membres, il avait été en mesure de le
faire, les faillites bancaires pas été susceptibles de
réduire la masse monétaire de façon appréciable. De
plus, il est probable que des mesures de la sorte avaient empêché
des faillites bancaires de se développer au rythme ou elles l'on
fait49(*).
Pour conclure ce paragraphe, après 1931 les preuves
existant d'une politique monétaire restrictive de la part de FRB. Les
taux d `intérêts sont fortement orientes vers a la hausse. Le
taux bas de FRS gagne 1,5 point en quelques mois. Peter Temin tire à
boulets rouage sur la décision du FRB américain d'augmenter les
taux d'intérêts en octobre 1931, a un moment ou l'économie
américaine a besoin de capitaux. Selon cet auteur, il ne s'agit pas
d'une `'erreur technique ou d'une ample stupide'', mais de la réponse
habituelle des tenants de l'étalon-or.
Cette analyse se révèle également
valable au niveau mondial. Dans les années vingt, les capitaux ont
été attires a New York en fonction des taux
d'intérêts élèves. Le refroidissement brutal de
l'économie mondial peut être vu comme un effet induit de la
politique monétaire américaine, qui a pour but de contrôler
le boom spéculatif boursier de Wall Street.
Paragraphe 2 : la sous-consommation
Si la crise de 1929 était explique par les
monétaristes comme étant un résultat d'une fausse
intervention de l'État par sa politique monétaire restrictive,
était expliquer différemment par Keynes. Pour lui la mal
distribution de la richesse accumulée durant la période de
prospérité était la cause.
Cette mal distribution est manifesté sur le comportement
de la consommation des ménages américains, qui connaisse durant
la période d'avant crise une tendance à la baisse, alors que
l'appareil productif a une tendance à la hausse.
Cette contradiction entre le comportement des agents
économiques, a causé la crise dite de sur production.
La très inégale répartition des revenus aux
États-Unis a été très précocement
identifiée comme un facteur de transmission de la crise. En 1928 et
1929, 5% de la population états-unienne contrôlait 33% des revenus
individuels. Il devient alors évident que, lorsque le krach se
déclenche et vient priver la classe très riche d'une partie de
ses revenus, elle diffère un certain nombre d'achat qui font vivre, en
temps normal elle aussi, par les malheurs boursiers de la classe la plus riche.
En 1929, on recense 513 millionnaires en dollars aux États-Unis. En
1932, ils ne sont plus que vingt50(*). La concentration de la richesse a réduit les
possibilités de consommation que l'appareil de production permettait.
Le système capitaliste arrive à un blocage ;
les mécanismes d'autorégulation du marché, « loi
des débouchés » de Say, « loi de l'offre et
de la demande » de Marshal et même « la main
invisible » de Smith ne marche plus, pour réguler
l'excès de la production sur la demande. De même l'économie
réelle n'arrive plus à suivre l'économie
financière. On arrive a une situation de sous consommation car le
commerce international s'arrête et la demande local ne peut absorber
l'offre. Le Fordisme qui avait conduit a la production de masse entretient la
sur production et, mais n'est pas suivi par une production de masse.
Le rêve américain et ait de faire de profit et de
triompher dans le monde des finances. C'était donc les plus pauvres qui
faisait rouler l'économie du marche en quelque sorte, ces pauvres
n'avons pas les capacités financière qui l'on permettre de
dépenser, donc l'inégal répartition des revenus
était source de la crise de sur production.
Paragraphe 3 : propagation de la crise : les
relations économiques international
Il s'agit ici de présenter et de montrer l'effet
révélateur, accélérateur de la propagation de la
crise, d'une crise local de l'économie des États-Unis, à
une crise mondial qui s'étend a l'économie mondiale.
La crise économique va s'étendre a l'ensemble du
monde. Cette extension s'explique par le poids dominant de l'économie
américain dans l'économie mondiale. Ainsi, en 1929, la production
industrielle des États-Unis représente 45% de la production
mondiale et leurs implorations 12,5% des importations mondiale. De plus, leurs
exportations des capitaux jouent un rôle clé dans la croissance de
nombreux pays51(*). Cette
transmission du cirse, est faite par le biais de deux canaux principaux :
d'une part, les relations commerciales (commerce international), d'autre part,
par le biais des mouvements des capitaux.
Même si que l'Europe connaisse lui aussi une crise une
crise avant l'arrive de la crise américaine (France, Allemagne et
Grande-Bretagne).
3.1 : Transmission par le commerce international
Dans l'étude des mécanismes de transmission de la
crise, le premier élément qui devrait être
étudié, est le rôle de commerce international dans la
propagation accélérer de la crise, puisque la plus belle
manifestation des relations international se visualise clairement dans les
relations commerciales entre pays.
La récession américaine (mais aussi celle de
l'Allemagne, 2eme puissance industrielle capitaliste) se traduit de
façon automatique par une baisse des importations américaines et
donc par conséquent les exportations des autres pays, notamment les pays
européens et extra-européens (les pays neuf : Japon...). Ce
ralentissement des exportations entraine dans les pays concerné une
diminution de la demande et les conduits donc à ralentir leur
production52(*). Cette
diminution de la croissance répercute a son tour sur leurs importations
et donc sur les exportations ; on assiste a un mouvement, dite cumulatif
de baisse de l'échanges extérieurs et des productions nationales.
Cette baisse est pour les produits manufacturés plus forte que celle de
la production de 1929 et 1932. Cet effondrement est accentue par les choix
politique, les pays cherche à exporter le chômage chez les autres,
par le développement des exportations et le freinage des importations,
par le biais de la politique de déflation ou de d'évaluation,
mais aussi de plus en plus par le recours au pratique protectionniste.
Toute récession de l'économie capitaliste se
traduit donc par une baisse des importations des produits de base et surtout
par `effondrement de leurs prix, effondrement qui entraine la chute des
importations de es pays et donc leurs exportations des produits
industrielles.
3.2 : Transmission par les mouvements des capitaux et
la crise financière internationale
De plus de l'importance des liens commerciaux, la mobilité
de capitaux et la crise financière ont également joue un
rôle majeur dans la transmission de la crise américaine au reste
du monde.
En effet, en 1919, l'économie mondial se trouve dans une
situation radicalement modifier par rapport a la situation d'avant 1914. Les
puissances européennes qui dominait économiquement et
financièrement le monde depuis le début d l'industrialisation,
ont réussi tant bien que mal financer leur guerre, au prix d'un fort
endettement interne et externe et d'un recours à l'inflation53(*) . Les États-Unis ont
été les principaux bénéficiaires de la guerre de
l'inversion absolue des flux des capitaux, eux qui, de débiteurs de
l'Europe avant guerre - en particulier de la Grande-Bretagne, sons devenus en
1919 des créanciers de cette même Europe.
Evolution des prêts américains a
l'étranger par régions du monde (en
millions de
$)
Année
|
Europe
|
Asie et Océanie
|
Canada
|
Amérique Latine
|
Total
|
1924
|
527
|
100
|
151
|
191
|
969
|
1925
|
629
|
147
|
137
|
163
|
1076
|
1926
|
484
|
38
|
226
|
377
|
1125
|
1927
|
577
|
164
|
237
|
359
|
1337
|
1928
|
598
|
137
|
185
|
311
|
1251
|
1929
|
142
|
58
|
295
|
176
|
671
|
Total
|
2957
|
644
|
1231
|
1597
|
6429
|
Source : P. GILLES, Histoire des crises et des cycles
économiques, ARMAND COLIN, Paris, p. 152.
Ce tableau démontre l'importance des capitaux
américains à l'étranger qui était en constante
évolution de 1924 à 1928 puis en nette diminution en 1929.
Section 2 : les causes de la crise
économique et financière de 2008
La crise financière puis économique qui s'est
développés depuis l'été 2007, dérouler en
trois temps : les marchés, les banques et enfin l'économie
réelle.
En effet, on est passé d'un problème de
marché (les subprimes) à une crise financière (le
marché de refinancement à court terme). Puis, à une crise
bancaire, laquelle à son tour des répercussions
macroéconomiques54(*).
Cette crise est la nième crise parmi celles que le monde
capitaliste à connait dans le système de Bretten Woods55(*), établie après
la deuxième guerre mondiale. Elle résulte d'un ensemble de
facteur microéconomique et macroéconomique, plus
particulièrement les innovations financières et les
déréglementations irréfléchies
opérées depuis les années 1980.
Parmi ces plusieurs facteurs à l'origine de cette
sévère crise ; je vais se concentrer sur trois principaux,
dont la titrisation, les anticipations des investisseurs et en dernier lieu le
comportement des banques et des Hudg Funds.
Paragraphe 1 : la titrisation
Dans un système économique et financière
moderne, les banques jouent un rôle important dans la création de
la liquidité à coté de la banque centrale, alors que dans
un système bancaire classique, les banques absorbent les
dépôts et font des crédits. Les innovations
financière introduites depuis les années 1980, ont
considérablement bouleversé le paysage du marché des
crédits. Le fait que les entreprises puissent accéder facilement
au marché financier via les émissions directe des titres, a
poussé les banquiers à inventer de nouveau instrument financiers
qui leurs permettent de diminuer la consommation de fonds propres et
d'augmenter la rentabilité du capital56(*), en transformant les créances en titres pour
être revendus à d'autres institutions financière. Ce
procédé, appelé « titrisation ».
Comme la souligné Jean-Pierre Landau (2007) « un
bon point de départ pour la compréhension des turbulences
financière actuelle consiste à examiner les raisons
économiques et financière à l'origine de la titrisation,
la titrisation est censé remplir deux fonctions. La première, et
la plus affichée au cours des dernières années, consiste
à répartir et à distribuer les risques sur une plus large
population d'agents économiques possibles. La deuxième consiste
à court-circuiter l'intermédiation bancaire en utilisant les
marchés pour
répondre de façon directe aux besoins des
préteurs et des emprunteurs »57(*).
Autrement, les subprimes sont des prêts
hypothécaires accordés aux ménages peu solvables, de ce
faite les institutions financières prennent un risque relativement
élevé. Dans cette opération le risque associé
à ces prêts est sous-évalué. Par conséquent,
pour mieux gérer le risque, les banques ayant accordé les
prêts ont procède à une titrisation de la dette : une
telle action pouvant être interprétée comme un partage de
risque sur un grand nombre d'agents financièrement actifs58(*).
Selon M.Aglieta (2008) « la titrisation pour
permettre de disséminer le risque sur une plus vaste population d'agents
et rendre le système financier plus robuste, dépend de deux
hypothèse cruciales qui n'ont pas été satisfaites :
la première est que vendre les crédits, au lieu de les conserver
et d'en supporter le risque, n'affecte pas la qualité de
l'évaluation du risque ; cette hypothèse s'est
révéler fausse. La deuxième hypothèse est que la
mise en pool de différents crédits indépendant diminue le
risque moyen »59(*).
Ce problème de titrisation s'est aggravé de plus
avec le problème d'alea moral et d'asymétrie d'information.
Paragraphe 2 : les anticipations des investisseurs
La caractéristique essentielle du marché financier
américain était la spéculation, une spéculation qui
se développe de plus en plus par les anticipations. De même les
marchés financiers se caractérisent par la présence des
prêts à risque « subprimes », comme j'ai
déjà évoqué. Et avec la sensibilité des
marchés financiers, un phénomène de grande ampleur peut
être facilement déclenché suite aux mouvements de masse des
investisseurs. Et avec les mauvaises anticipations, ont donc mené
à une vente massive des titres, entrainant la valeur des biens
immobiliers d'avantage à la baisse.
Paragraphe 3 : le comportement des banques et des
Hudge Funds60(*)
Paul Krugman, Adrian et Shine affirment que les crises
récentes, en particulier la crise actuelle, se caractérisent par
le rôle majeur de système bancaire et des fonds spéculatifs
dans la propagation des chocs de la crise. Puisque, elles prennent beaucoup des
risques et réagissent d'une façon pro cyclique61(*).
Autrement dit, la banque à mal diversifier leurs
activités, en laissant sa métier principal pour investir dans les
hudges fonds dans un objectif d'assurer des profits très serrés a
cause de la concurrence sur le marché financier.
En fait les banques et les fonds spéculatifs en recourant
aux effets de levier exagérés ont fortement investie sur les
marchés hypothécaires à risque (subprimes), ces effets de
levier dont bénéficient les hedges funds ont changé tout
à la fois l'échelle d'évaluation des risques.
De plus les hudges funds sont devenus des acteurs majeurs dans le
marché des produits de titrisation, puisque en effet, ils étaient
le plus gros acheteur des titres adossés aux crédits subprimes,
et leur part étaient particulièrement élevés. Il
suffit donc de leur effondrement ; pour prolongée tout le
marché financier dans la crise.
Place des Hedge Funds dans la détention de
titres subpimes
|
Sociétés d'Assurances
|
Hedge Funds
|
Banques
|
Autres
|
Total en %
|
9,8
|
46,5
|
24,9
|
18,8
|
Total en milliards USD
|
295
|
1396
|
746
|
564
|
Source : A. CARTAPANIS et F. PISANI, « Les
Hedge Funds et la crise financière internationale», in Revue
d'Economie financière, juin 2008, p.4.
Ce tableau montre clairement l'importance de la détention
des titres `'subprimes'' par le hudge fund, qui s'élève à
un peu plus de 46% en 2007.
Chapitre 3 : conséquences des deux
crises
Section 1 : conséquences de la crise de
1929
Après que j'ai met la crise dans son contexte
macroéconomique, toute on analyse la décennie (1920-1929) qui
précède le déclanchement visible de la crise. Ensuite j'ai
essayé de présenter quelques -parmi plusieurs- causes
derrière la crise.
Dans cette partie, la crise est arrivé, et gagné
une partie important dans le monde réel, et du monde entier. Elle a
perturbé radicalement le fonctionnement de l'économie
américaine, et par conséquent le l'économie mondiale.
La crise de 1929 à commencé avec un Krach Boursier,
qui a entraine la faillite des banques ayant prêté massivement au
spéculateur boursier, ce qui va entraine une baisse importante des
crédits et une sévère dépression économique.
Ce processus de dépression été renforce sans doute par
deux éléments essentielle : l'absence d'assurance des
dépôts d'une part, d'autre part, par l'inexistence de l'assurance
chômage.
Tout ceci à aggraver le pouvoir d'achat des
ménages. De même un ensemble des mesures politiques et
économiques incompatible avec la situation, vont perturbe de plus le
fonctionnement du système économique mondial.
A ce niveau, je vais limite mon analyse des conséquences
de la crise sur des trois point me parés essentielle.
Dans une première point je vais discuter les
conséquences de cette crise sur le plan financier ; notamment sur
le marché boursier et les banques.
Dans un deuxième point je vais analyser les
conséquences sur le plan économiques, en particulier sur la
production industrielle.
Et dans un dernier point je vais discuter les conséquences
sur le plan social, et la gravite des problèmes de chômage, de
paupérisation et d'agitation sociale.
Paragraphe 1 : sur le plan financier : banques et
marché boursiere
Figure. Evolution des cours des actions aux
Etats :
Source : recherche Google
La crise boursière d'octobre 1929 apparait comme le
début de la grande crise de l'entre-deux-guerres. A partir de ce krach
se déclenche une crise économique et financière qui allait
entrainer une spirale déflationniste sans précédent
touchant tout les pays62(*).
Cette crise boursière éclatée au mois
d'octobre 1929, très exactement avec le fameux « jeudi
noir » (24 octobre). Une tendance à la vente, et donc à
la baisse des cours boursier s'était déjà manifeste la
veille, mais a ce jour là le mouvement devient massif. En quelques heurs
12894650 titres sont jetés sur le marché et certaine valeur ne
trouves de présence à aucun prix. Une intervention de la
principale banque parvient cependant à limiter la baisse. Mais celle-ci
reprend le lundi 28, à ce jour les cours baisent de 12,7%. Le lendemain
le mouvement se poursuit : 16 millions de titres sont vendus, l'indice des
valeurs industrielles de New York Times perd 43 point.
Le Krach de 1929 entraine un véritable effondrement de la
bourse pendant les années qui suivent. Une véritable baisse des
cours boursier à des niveaux jamais attend dans les années
passée.
De même ce Krach à bouleversé le paysage du
marché bancaire, Une grande série de faillite bancaire s'est
déclenché. Cette crise financière du secteur bancaire est
manifeste notamment par la perte de confiance des déposants.
De plus, les banques sont coincées par leur deux clients
et partenaires habituels (les spéculateurs et investisseurs) qui
s'avèrent « insoulevable ».
Paragraphe 2 : sur le plan économique : la
production industrielle
La crise économique préexiste à la crise
boursière, mais elle est aggravée par celle-ci63(*). La crise boursière ne
se traduit pas immédiatement par une dépression brutale, l'indice
de la production industrielle baisse dés novembre.
En effet, l'économie américaine se trouve dans une
situation de surproduction (par rapport à la demande) et est
déjà entrée en récession. Ces deux secteurs (bien
durable et automobile) qui ont été deux pilier de la croissance
des années vingt vont en outre être fortement touchées par
la raréfaction du crédit64(*). Les entreprises en effet, devant la
raréfaction des débouchés et des crédits, cherche
à vendre à tout prix leurs produits pour maintenir leur
situation. Cela entraine une offre importante et une baisse des prix65(*).
Entre 1929 et 1932, la production industrielle diminue de
prés de la moitié avec une chute remarquable dans le secteur des
biens durables (prés de 70%). L'investissement brut n'atteint plus en
1933 que 5,3% du PNB. Et, en réalité à cette époque
le niveau atteindre ne permet même pas d'assurer le maintien en
l'état de l'appareil de production.
Evolution de la production industrielle en
milliards de $ (1930-1933)
Années
|
Production Industrielle (en milliards de
$)
|
1930
|
81
|
1931
|
68
|
1932
|
54
|
1933
|
64
|
Source :
http://www.digitalhistory.uh.edu/database/articledisplay.cfm?HHID=188
NBER, Bulletin n° 53, Décembre 1934.
Ce tableau nous renseigne, sur le volume de la production
industrielle qui connait une chute brutal entre 1929 et 1932, passant de 81
milliards à 64 milliards de dollars, soit une diminution de 26,56%.
Paragraphe 3 : sur le plan social : chômage
et paupérisation
La crie général, somme des déboires
financière, économique et bancaire, entraine alors une explosion
de chômage66(*).
En effet, le taux de chômage à grimpé de
619,36% en 1932, par rapport a son niveau de 1929, dépassant les 20% de
la population active américain. Cette forte augmentation du taux de
chômage est due principalement à la crise économique et
chute de la production industrielle.
Les fermetures d'usines provoque rapidement un chômage
très important, il y a plus de 12,6 millions de chômeur en 1933
aux États-Unis, alors n'étaient qu'un 1,5 millions en 1929. Des
millions des gens se trouvent donc dans la misère. Les agricultures sont
touchées aussi. Confrontés à une baisse drastique des prix
agricole (57% environ entre juin 1929 et décembre 1932, ils doivent
contracter de nouveaux emprunt pour rembourser les anciens, parfois les banques
saisissent les terres de ceux qui ne peuvent plus payés.
Cette grave situation sociale s'est traduite par la montée
d'une agitation sociale sporadique, inorganisée, mais parfois violente
et que l'on retrouve dans les autres pays.
Section 2 : les conséquences de la crise
économique et financière de 2008
Comme j'ai déjà souligne, l'éclatement de la
bulle immobilière en août 2007, à provoquer des lourdes
conséquences, particulièrement sur le marche financier, a cause
de financement des banques des crédits à risque
« subprimes », et suite la hausse des taux
d'intérêt les emprunteurs subprimes se trouve dans une situation
d'insolvabilité.
La défaillance des marchés financiers, suite a un
effet domino, à impacter tout les autres secteurs de la vie
économique aux États-Unis comme au monde entier. La consommation
à baisser, le chômage explose, les banques font faillite et les
entreprises ne trouvent plus de ressource pour financer leurs
activités.
C'est dans ce cadre, que je vais s'intéresser dans
l'analyse des conséquences de la crise économique et
financière actuelle.
Paragraphe 1 : conséquences économiques
de la crise
1.1. Le commerce mondial
La crise financière et économique de 2008, est
exceptionnelle à de nombreux égards, mais particulièrement
par l'impact qu'elle a eu sur le commerce mondial, entre 2008 et 2009 : le
décrochage de commerce, de 22%, a été sensiblement plus
fort que celui du PIB mondial. Les statistiques disponibles de l'OMC, à
annonce en octobre 2009, que le commerce mondial, avait augmente de 8% au
second trimestre 2009 par rapport au premier trimestre. Cette reprise des
échanges est supérieure à celle du PIB (5,8%) pour la
même période.
La crise actuelle est la première crise de mondialisation
et l'effondrement du commerce en est une des symptômes les plus apparats.
Le commerce est ainsi un formidable moyen de contagion de la crise. Son
effondrement est une en partie cause par la montée des pratique
protectionniste après la crise, tel que les droits anti-dumping, de
mesures de sauvegarde ou encoure de mesures nationales comme les primes
à la casse automobile.
Production industrielle dans le reste du monde (en
millions USD) entre 1929 et 1931
Années
|
Exportations
|
Importations
|
1929
|
437
|
366
|
1930
|
315
|
260
|
1931
|
198
|
174
|
Source : P. GILLES, Op. Cit. p. 164.
1.2. La production industrielle
Le fonctionnement du système économique
(sphère réel) et fortement corrélé avec la
sphère monétaire. En effet pour ce fonctionnement il faut
circuler de l'argent, les entreprises doivent satisfaire leurs besoins de
trésorerie d'une part, d'autre part doivent emprunte pour investir.
Comme les entreprises, les particuliers eux aussi ont besoin de fond, en
particulier pour le financement de leurs achats d'immobilier. L'arrive de la
crise des subprimes à perturbe cet équilibre harmonieux entre les
deux sphères.
En effet, la crise des subprimes a crée par
conséquent une crise de confiance entre les agents économique et
le système financier, de plus elle a crée une forte
réticence à investir ou prêté. Ménages et
entreprises soufre alors de la crise, peine à trouver des financements,
puisque les banques après le déclanchement de la crise, ne
prêtent plus qu'aux clients les moins risques et à des taux
d'intérêt élevés. Sur le marche immobilier, le
crédit se raréfiant, ce qui a provoquer une chute des prix suite
a la baisse de la demande .les ménages aussi ont diminue leurs
consommation, cette baisse de consommation, à entretenue une diminution
des débouchés et du chiffre d'affaire pour les entreprise. Dans
le même temps la charge financière pour la plupart des entreprises
s'alourdit de plus en plus, en raison de l'augmentation du coût du
crédit. Cette crise a met certains en difficulté, et donc ferme
leurs porte durant cette période. Au final sur les deux derniers
trimestres en 2008, on observe une baisse de la production globale et donc une
situation de récession.
Paragraphe 2 : les conséquences social de la
crise
Le 7 février 2009, le chômage explose aux Etats-Unis
selon le nombre total des emplois perdus par les Etats-Unis du fait de la
récession entre décembre 2007 et fin janvier 2009, est de 3.6
millions, sur une population active de 155 millions de personnes, soit 2.3% de
cette population sont en chômage. A ce nombre croissant de chômeurs
s'ajoute la croissance démographique de la population en âge de
travail.
Le taux de chômage qui était d'une moyenne de 4,7%
avant le déclenchement de la crise, a grimpé pour atteindre e un
niveau supérieur à 10% en janvier 2010.
Evolution du taux de chômage aux Etats-Unis
de 1929 à 1933
Années
|
Taux de chômage
|
2000
|
4
|
2003
|
6
|
2004
|
5,5
|
2005
|
5,1
|
2006
|
4,6
|
2007
|
4,4
|
2008
|
5,1
|
2009
|
7,5
|
Janvier 2010
|
10,2
|
Source :
http://www.martincapital.com/charts
http://www.sourceocde.org/stat
Ce tableau montre clairement l'augmentation remarquable du taux
de chômage, qui a passée de 4% en 2000 à 10.2 au
début de 2010, soit une augmentation de 60.78%.
Conclusion générale
Le lecteur de l'histoire des faits économique
serait attire par deux faits marquant dans l'histoire du capitalisme, la crise
de 2008 et celle de 1929.
Dans le cadre de cette étude comparative entre les
deux crises, apparait clairement qu'à l'origine de chacune d'elles se
trouvaient un ensemble de différents combinaison de causes,
résultant de deux contexte qui partage des similarités et des
différences, conduisant a des effets pervers à différent
échelles.
Cependant la comparaison entre les deux crises nous
à permis de comprendre que derrière les deux crises se trouve
« le mal fonctionnement de laisser faire ». Ce qui oblige
les économies mondiales à redéfinir de nouveau le `
laissée faire ' et le rôle de l'Etat, d'une Etat gendarme hors
économie, à une Etat providence interventionniste partenaire dans
la vie économique. Une Etat au sens keynésien qui ne correspond
ni a un étatisme ni à un dirigisme.
Une analyse théorique des crises
économiques qui ont traversé le capitalisme depuis le
début du vingtième siècle, montre que la régulation
de ce système économique et social à évolué
en fonction de cycle économique. En effet la crise des années
trente, caractérisé par un grande chômage et une
déflation à remis en cause le mode de régulation
basé sur les mécanismes spontanés du marché.
L'interprétation théorique qui a domine les débats
théorique et qui a donnée naissance à un autre mode de
régulation basé sur l'Etat providence et ses politiques de
relance pour sortir de cette crise est keynésienne. Au contraire de
cette crise, la crise économique actuelle caractérise par le
chômage et la baisse du prix des matières première à
donne naissance à plusieurs interprétations. Une première
de nature keynésienne qui insiste dur la déréglementation
de la sphère financière comme cause principale et exige des
politiques de relance avec une coopération entre les pays, et une
réglementation international de la sphère financière (une
gouvernance mondiale). Une deuxième de nature marxiste qui insiste sur
les origines réelles de la crise, dont essentiellement la
déflation salariale et prose le rejet du capitalisme en tant qu'un
système économique et social pour propose le socialisme comme
alternative.
Liste des références
- Bruno Marcel, Jacques Taib, crise d'hier crise
d'aujourd'hui 1873...1929...1973..., 5 éme
édition,
- François Cochet, la grande crise
1929-1939,
- John Kenneth Galbraith, la cirse économique
de 1929, Anatomie d'une catastrophe financière, nouvelle
édition,
- Paul.Jorion, la crise des subprimes au
séisme financier planétaire, fayard,
- T, Wilson, fluctuations Inconue and Employement,
3éme édition, New York, 1948,
- E. Todd, après l'empire, essai sur la
décomposition du système américain,
Galimard,
- Banque de France, `' la crise financière'',
documents et débats, février (2009),
- M. Aglietta, `'Comprendre la crise du crédit
structure'', la lettre du CEPII N°275, février
(2008),
- The Hoover Administration, William Starr Myers,
- Source : M.Freidman, inflation et
système monétaire, Calmann-Levy,
- J.P.Landau, `'Réflexions sur la titrisation
et les turbulences financières'', Remarque de sous-gouverneur Paris
Europlace, Forum financier de New York, 22 octobre(2007),
- A. Kurgmam, `'la crise des
« subprimes » aux États-Unis : causes et
remèdes'' Séminaire de politique macroéconomique
(2008).
Site internet
www.histoir-pour-tous.fr
www.larousse.fr
http://opee.unistra.fr/spip.php?article34.
Autres
Recherche par Google et wikipédia.
sommaire
Dédicace
........................................................................
|
1
|
Remerciement
..................................................................
|
2
|
Introduction
général...........................................................
|
3
|
Chapitre 1 : contexte macroéconomique des deux
crises............
|
5
|
Section 1 : contexte de la crise de
1929....................................
|
5
|
Paragraphe 1 : les années vingt : une
prospérité fragile.................
|
6
|
1.1 : La guerre de 1914 et les transformations de l'ordre
économique
mondial..........................................................
|
6
|
1.2 : les relatives prospérités des
années vingt............................
|
7
|
1.3 : une prospérité financée a crédit
.......................................
|
9
|
Paragraphe 2 : les désordres économique
mondial des années
vingt.........................................................................
|
11
|
1.1 : La difficile remise en place d'un ordre
monétaire.................
|
11
|
1.2 : des marchés internationaux
fragiles.................................
|
12
|
Section 2 : le contexte macroéconomique et
financière de la crise de
2008..........................................................................
|
13
|
Paragraphe 1 : situation
économique......................................
|
13
|
1.1 : prospérité économique des
Etats-Unis : croissance fragile.......
|
13
|
1.1.1 : croissance
économique..............................................
|
13
|
1.1.2 : les facteurs de croissance
économique...........................
|
14
|
1.1.3 : fragilité de la
croissance.............................................
|
14
|
1.2 : boom des matières premières
........................................
|
14
|
Paragraphe 2 : la situation
financière.....................................
|
15
|
1.1 : Les principales mutations derrière le
déclanchement de la crise des
subprimes...........................................................
|
15
|
1.2 : la politique monétaire restrictive mise par
la Reserve
Federal.........................................................................
|
16
|
Chapitre 2 : les causes des
crises...........................................
|
18
|
Section 1 : les causes de la crise de
1929..................................
|
18
|
Paragraphe 1 : les politiques monétaires
inadaptés ....................
|
19
|
1.1 : la politique monétaire expansionniste entre 1922
et 1929......
|
19
|
1.2 : la politique monétaire
restrictive.....................................
|
20
|
Paragraphe 2 : la
sous-consommation....................................
|
21
|
Paragraphe 3 : la propagation de la crise : les
relations économique
international...................................................
|
22
|
3.1 : transmission par le commerce
mondiale............................
|
22
|
3.2 : transmission par les mouvements des capitaux et la
crise financière
internationale....................................................
|
23
|
Section 2 : les causes de la crise de
2008...................................
|
24
|
Paragraphe 1 : la
titrisation................................................
|
24
|
Paragraphe 2 : les anticipations des
investisseurs........................
|
25
|
Paragraphe 3 : le comportement des banques et des Hudge
Funds.............................................................................
|
26
|
Chapitre 3 : les conséquences des deux
crises............................
|
27
|
Section 1 : les conséquences de la crise de
1929..........................
|
27
|
Paragraphe 1 : sur le plan financière :
banques et marché
boursier...........................................................................
|
28
|
Paragraphe 2 : sur le plan économique : la
production
industrielle.....................................................................
|
28
|
Paragraphe 3 : sur le plan social : chômage et
paupérisation..........
|
29
|
Section 2 : les conséquences de la crise de
2008..........................
|
30
|
Paragraphe 1 : les conséquences économique
de la crise...............
|
30
|
1.1 : le commerce
mondial...................................................
|
30
|
1.2 : la production
industrielle...............................................
|
31
|
Paragraphe 2 : les conséquences social de la
crise.......................
|
31
|
Conclusion.......................................................................
|
33
|
Liste des
références............................................................
|
34
|
Sommaire.......................................................................
|
35
|
.
* 1 . Bruno Marcel, Jacques
Taib, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973..., 5
éme édition, p : 121
* 2 . François Cochet, la
grande crise 1929-1939 p : 35
* 3 . John Kenneth Galbraith, la
cirse économique de 1929, Anatomie d'une catastrophe financière,
nouvelle édition, p : 53
* 4 Il désigne des
emprunts plus risqués pour le prêteur (et à meilleur
rendement) que la catégorie prime, particulièrement pour
désigner une certaine forme de crédit hypothécaire.
(Wikipédia).
* 5 . Meixing Dain, dans son
article publié dans le bulletin de l'observatoire des politiques
économiques en Europe (
http://opee.unistra.fr/spip.php?article34)
* 6 . Paul.Jorion, la crise des
subprimes au séisme financier planétaire, fayard, p : 10
* 7 . Bruno Marcel, Jacques
Taib, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973..., 5éme
édition , p : 123
* 8 . Situation
économique surtout des États-Unis (1920-1929)
* 9 Un krach est un
effondrement brutal des valorisations d'une classe d'actif. (Wikipedia)
* 10 . Bruno Marcel, Jacques
Taïb, Crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973..., 5 eme
éditions, p : 121
* 11 . François
Cochet, la grande crise 1929-1939 p : 9
* 12 . Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 123
* 13 . Site :
http://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/cercle-leon-trotsky/article/la-crise-de-1929-et-ses-6292
* 14 . Les dépenses
de la première guerre mondiale ont ruinées les économies
européennes
* 15 . Bourse de New York
* 16 .François Cochet,
la grande crise 1929-1939 p : 10
* 17 . Rôle de
l'État qui est réduit à sa fonction principale qui est
d'assurer la sécurité, intérieure et extérieure, de
la nation (Dictionnaire D'économie Et Des Sciences Sociales)
* 18 . Au sens strict et
historique, intervention de l'État dans le domaine social par
l'intermédiaire du système de Sécurité
social ; au sens large, ensemble des interventions économiques et
sociales de l'État (Dictionnaire D'économie Et Des Sciences
Sociales)
* 19 . Mené une
politique déflationniste : politiques économiques ayant pour
but de lutter contre l'inflation. Elles se traduisent par restrictions
budgétaires et un freinage de la création monétaire.
* 20 . François Cochet,
la grande crise 1929-1939 p : 11
* 21 . Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 134 ,135
* 22 . Us department of
commerce, bureau of the census, statistical abstract of the United States,
1944-1945.
* 23 . Fédéral
Reserve Bultein, décembre 1929.
* 24 .T, Wilson, fluctuations
Inconue and Employement, 3éme édition, New York, 1948,
p : 141
* 25 . François Cochet,
la grande crise 1929-1939 p : 12.
* 26 . L'apparition d'un
nouveau mode de consommation et de production le fordisme.
* 27 . Entre 1929 et 1939, la
production industrielle diminue de prés de la moitié avec une
chute remarquable dans le secteur des biens durable (prés de 70%)
* 28 . Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 147
* 29 . François Cochet,
la grande crise 1929-1939 p : 19.
* 30 . François Cochet,
la grande crise 1929-1939 p : 20.
* 31 . Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 127
* 32 . Mélange de
contraintes et de choix politiques
* 33 Dite aussi une politique
d'assouplissement quantitatif.
* 34 Allemagne, Canada, France,
Italie, Japon, Royaume-Unis et Russie.
* 35 Institut de relation
international et stratégique.
* 36 E. Todd, après
l'empire, essai sur la décomposition du système américain,
Galimard, 2002.
* 37 Banque de France, `' la
crise financière'', documents et débats, février (2009),
p : 15.
* 38 Cette point serait discute
dans la deuxième partie de cette paragraphe.
* 39 M. Aglietta, `'Comprendre
la crise du crédit structure'', la lettre du CEPII N°275,
février (2008), p : 1.
* 40 Bulle internet, dite aussi
bulle technologique liée au secteur de l'informatique,
débuté a la fin de 1990, son apogée a eu lieu mars
2000.
* 41 Article écrite par
Meixing Dai, Bulletein de l'observation des politiques économiques en
Europe, 2008.
* 42 Est un crédit a
risque, destine au client qui ne présente pas toute les garanties
nécessaires, sont aux Etats-Unis des crédits hypothécaire
(secteur immobilier).
* 43 Krach boursiere de Wall
Street
* 44 . Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 139
* 45 . François Cochet,
la grande crise 1929-1939 p : 29.
* 46 The Hoover Administration,
William Starr Myers, p: 11.
* 47 Wikipedia : la grande
dépression.
* 48 Site :
http://feniciu.wordpresse.com/.
* 49 Source : M.Freidman,
inflation et système monétaire, Calmann-Levy, p : 126.
* 50 François Cochet, la
grande crise 1929-1939 p : 149.
* 51 Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 149
* 52 Même, p :
149
* 53 Déflation
allemande, déflation prolonge de la France et la déflation de la
Grande-Bretagne.
* 54 Banque de France,' crise
financière : origine et dynamique'' Document et débats
N°3, Direction de la stabilité financière, janvier(2010),
p : 5.
* 55
* 56 Site :
http://opee.unistra.fr/spip.php?article34.
* 57 J.P.Landau,
`'Réflexions sur la titrisation et les turbulences financières'',
Remarque de sous-gouverneur Paris Europlace, Forum financier de New York, 22
octobre(2007), p : 2.
* 58 A. Kurgmam, `'la crise des
« subprimes » aux États-Unis : causes et
remèdes'' Séminaire de politique macroéconomique (2008),
p : 4.
* 59 M.Aglietta (2008), op,
cit, p : 4.
* 60 Les fonds
d'investissements ou fond spéculatif.
* 61 P.Krugman, « the
returne of depression economic and the crisis of 2008 », Norton &
Company (2008),pp :163-180
* 62 Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 139.
* 63 Site :
www.larousse.fr
* 64 Un rasseressement des
crédits : est une limitation du crédit offert aux
entreprises, ou une forte hausse des couts liée à l'endettement
(Wikipedia).
* 65 Bruno Marcel, Jacques
Taïb, crise d'hier crise d'aujourd'hui 1873...1929...1973...,
5éme édition, p : 145.
* 66 Site :
www.histoir-pour-tous.fr