EPIGRAPHE
« On peut apprendre à un ordinateur
à dire : ` j'aime' ; mais on ne peut pas lui
apprendre à ` aimer '. » Albert Jacquard le
Généticien.
« C'est l'innovation qui différencie les
leaders des suiveurs » Steve Jobs. PDG Apple.
L'innovation c'est une situation qu'on choisit Par ce
qu'on a une passion brulante pour quelques choses » Steve Jobs. PDG
Apple.
Il vaut mieux faire les choses médiocrement que
pas du tout ... une chose est toujours difficile avant de devenir facile.
Accroche-toi et ne renonce jamais dans la vie, peu de gens ratent, mais
beaucoup arrêtent d'essayer.(Ne marche pas si tu peux danser) Anne van
Stappen 2009
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles qu'on
ne les fait pas, c'est parce qu'on ne les fait pas qu'elles sont
difficiles.
Sénèque (4 av. J.C. - 64 ap.
J.C.)
IN MEMORIUM
A notre regretté Papa KYABU MALA WA
KIBWILIMarcellin, toi qui a toujours su me mettre en confiance face
aux difficultés de la vie et dont ton premier souci a été
d'offrir à tes enfants la formation qu'ils ont désiré et
de leurs inculqué le sens de la vertu, trouve ici la récompense
de tes peines ; étant donné que tu nous as quitté
très vite sans gouté le fruit de ta progéniture.
A vous mes Grands-parents : KIBWILI
Arcade et NTENSYA MAYALIWA, KALUNGA
MPOTO et MWENYA KASASE Séraphine vous
constituez pour moi mes racines principales, sans vous je n'aurai pas vu le
jour. Ce travail est signe de notre attachement.
A vous cousin MUTEMI Modeste.
A notre compagnons de lutteNKULUKISIMBA
François, tu nous abandonné dans ce long chemin de
recherche.
Que la terre de nos ancêtres vous soit douce et
légère. Et vos âmes se reposent dans la paix
éternelle.
DEDICACE
A la Sainte Vierge Marie, Maman
chérie, je ne sais quoi dire ou quoi faire qui puissent égaler
les merveilles que tu as faites pour moi ; c'est toi qui m'as toujours
accordé le gout de la science, que toutes les générations
te disent bienheureuse.
A vous ma mère Honorine KABEMBO,ma
chérie et tendre maman, pour vos douleurs d'enfantement, sacrifices,
prière jours et nuits, afin de faire de moi un Homme complet et
respecté. Je suis confiant que vos pleures et nos souffrances
trouveraient un bon fruit.
A vous mes Consoeurs et Confrères :
- MWENYA Séraphine ;
- Révérend Abbé KAONGO Pierre ;
- MUPISI Jean Jacques ;
- Révérende Soeur TENSYA Agathe ;
- KASAWA Perpétue :
- MUPATA Richard ;
- KALUNGA Barthelemie ;
- MABELA Georges.
A tous ceux qui m'aiment et à vous tous qui me souhaitez
un avenir meilleur.
De tous coûts sociaux incalculables. Voici la recette, un
motif de fierté et d'espoir. Je vous dédie ce travail.
AVANT-PROPOS
Nous voici arrivé au terme de notre séjour
académique. Il est impérieux à ce que nous puissions
exprimer un signe de gratitude, de reconnaissance et de remerciement à
tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre ont apporté leur
soutien à la réussite de notre vie estudiantine ; ainsi nous
remercions :
Notre Dieu, l'Eternel des Armées, toi
la source de l'intelligence, de laprotection que tu nous as accordé tout
au long de nos trois années d'étude à l'UPEL/KLM.
Nous tenons à remercier le Promoteur de
l'Université Patrice Emery Lumumba Maitre Alain KIKUNI KASOGA et le
Secrétaire Générale Académique MISOKA
Barthelemy ; que toutes les autorités académiques puissent
trouver dans ce travail de fin de cycle l'expression de notre profonde
gratitude pour s'être dérangé à la faveur de notre
instruction. En dépit de tous les moments difficiles, vous avez dû
abandonner vos familles et vos multiples occupations pour nous bourrer d'un
bagage intellectuel qui nous rendra utiles.
Une mention spéciale et particulière est faite
à l'endroit du directeur de ce travail Ingénieur WIMANA MUHORANA,
qui s'est donné jour et nuit pour la direction de notre travail de fin
de cycle en dépit de ses multiples tâches. Nous lui exprimons
notre profonde gratitude.
A vous mes cousins, nièces, neveux : KISI YA
MUNGU, MABELA Séraphin, Abdon Massio, MUPATA Hugo, Marthe MWENYA, TENSYA
Agathe, KILUMBI Victor, MUPISI Christian, KYABU Marcelline, Hellène
KASONGO, KALUNGA Louis Ives, MBWISHA Rose, KALUNGA Félix, AMISI
Cédric.
Nous n'oublions pas d'exprimer notre gratitude à nos
tantes, oncles, cousins et cousines et tous les autres.
Ne pas se souvenir de nos compagnons de lutte serait
considéré comme un péché contre les normes
académiques ainsi nous pensons à : BONDO KALALA Plusson,
MWAMBA WA KAHENGA Patient, BASOLELANA MAYEMBE Christian et ceux dont qui nous
n'avons pas cité nommément trouvent l'expression de notre
sincère reconnaissance.
Enfin, que ceux qui n'ont pas été cités
nommément dans cette oeuvre se sentent aussi gratifiés à
travers cette dernière phrase.
SIGLES ET ABREVIATIONS
B.I.T : Bureau International du Travail ;
ONU : Organisation des Nations Unies ;
O.I.T : Organisation Internationale du Travail ;
S.I : Système d'Information ;
K.L.M : Kalemie ;
U.P.E.L : Université Patrice Emery Lumumba ;
I.N.P.P : Institut National de Préparation
Professionnelle ;
C.B.L : Chef du Bureau de Liaison ;
O.H.A.D.A : Organisation d'Harmonisation en Afrique des
Droits des Affaires
N.T.I.C : Nouvelle Technologie de l'Information et de la
Communication ;
MERISE : Méthode d'Etude et de Réalisation
Informatique pour le Système d'Entreprise ;
M.C.C : Modèle Conceptuel de Communication;
M.C.D : Modèle Conceptuel des
Données ;
M.C.T : Modèle Conceptuel de Traitement ;
M.L.D:Modèle Logique des Données ;
M.L.D.R: Modèle Logique des
Données Relationnelle ;
M.P.D: Modèle Physique des Données ;
F.N : Forme Normale ;
SGBD : Système de Gestion de Base des
Données ;
MODEM : Modulateur Démodulateur.
INTRODUCTION
Dès l'âge de la pierre taillée à
nos jours,l'esprit perfectionniste de l'homme n'a cessé
de lui permettre d'améliorer sa vie quotidienne. La preuve étant,
l'adoption de la NTIC qui s'est généralisée d'une
manière très contagieuse.
Aujourd'hui, l'Internet est largement utilisé dans le
monde et est plus orienté vers tous les métiers.
Indéniablement, ce grand réseau est ancré dans nos moeurs,
à travers lui tout un monde parallèle s'est
développé : des sites marchands ont fleuris, des services
pour particulier, ...
En effet, l'Internet nous introduit dans un siècle de
vitesse en communiquant l'information au sein d'une organisation. C'est
universdu savoir, de la gestion, de la prise de décision par objectif,
du contrôle, de la coopération, de la qualité, de la
résolution des problèmes, ...
Aucune personne n'ignore l'importance de l'information dans
une institution, la fiabilité et le bon fonctionnement du système
d'information par la capacité de traiter ses informations. Ce pourquoi
nous envisageons informatiser les inscriptions des stagiaires. Tout en mettant
une Platte forme d'inscription des stagiaires en ligne.
I.1. PROBLEMATIQUE
La problématique est l'ensemble de
préoccupations qu'un chercheur attendrésoudre dans son sujet du
travail.1(*)
C'est l'ensemble des questions qu'un chercheur se pose dans un
domaine quelconque.2(*)
La recherche naît toujours de l'existence d'un
problème à résoudre, à clarifier. Il y a
problème lorsqu'on ressent la nécessité de combler un
écart conscient entre ce qu'on sait et ce qu'on devrait savoir. Et
résoudre un problème, c'est trouver les moyens d'annuler cet
écart, de répondre à une question. Autrement dit, il n'y a
pas de recherche là où l'on ne pose pas de question. On peut
dire que la science est bien moins dans la réponse que dans les
questions que l'on se pose.
L'INPP/KLM ne recrute qu'un nombre très minime de la
population de son entourage ou des quartiers environnants ; mais celles
d'ailleurs sont privées de la formation offerte.
Dans cette optique, nous pouvons donc affirmer qu'aujourd'hui
le recrutement des stagiaires pose un sérieux problème. Il faut
toujours se déplacer vers les installations de l'INPP pour être
inscrit ou se renseigner sur les modalités de formation qu'offres
l'INPP.
v De quelle manière l'outil informatique offrirait une
prise en charge aux inscriptions des stagiaires au sein de l'INPP/KLM ?
I.2 HYPOTHESE
Selon GARAVA THONY, l'hypothèse est une réponse
à la problématique ou une tentative à une question
posée, une idée directrice ou un tas actif d'explication de fait
formulé au début de la recherche destinée à guider
l'investigation qui peut être infirmée, nuancée ou confirme
d'après le résultat de la recherche.3(*)
En effet, l'outil informatique offrirait une meilleure prise
en charge pour résoudre le problème lié aux inscriptions
des stagiaires ; car nous envisageons de mettre une application
quipermettra de faciliterles inscriptions des stagiaires en ligne ; bien
que le cours du Génie logiciel nous dise qu'aucun logiciel n'est
parfait.
I.3. OBJECTIF DU TRAVAIL
A l'issue de ce travail, nous nous fixons l'objectif
d'informatiser les inscriptions des stagiaires en ligne au sein de
l'INPP/KLM.
I.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Le choix du sujet à étudier ne doit pas
s'opérer au hasard mais à partir d'une angoisse existentielle,
c'est-à-dire d'une sensibilité propre au chercheur par rapport au
vaste champ de recherche4(*).
Une recherche valable est donc une condition au progrès du
savoir humain ; c'est pourquoi nous voulons ressortir les mobiles qui nous
ont poussés à choisir ce sujet.
a) Sur le plan individuel
Ce travail nous apportera un plus sur notre bagage intellectuel
et surtout sur la matière de la programmation.
b) Sur le plan scientifique
Notre travail de recherche entre dans les archives de
l'UPEL/KLM ; il constitue d'office un outil servant de base à tous
les chercheurs de générations futures qui voudront nous
emboîter le pas.
c) Sur le plansociétal
Les différentes analyses, suggestions et recommandations
émises dans ce travail aideront l'Etat Congolais en
général et l'INPP en particulier à travers le
département de formation pour mieux s'organiser et diriger l'ensemble
des opérations entrant et sortant des stagiaires au sein de
l'INPP/KLM.
I.5. ETAT DE LA QUESTION
La revue de la littérature est une condition sine qua
non pour tous les travaux scientifiques, elle n'est rien d'autre qu'une
synthèse critique des écrits existants quipermettentau chercheur
de tracer la ligne de démarcation entre ceux-ci et la littérature
qu'il se propose de produire »5(*)
A la lumière de cette philosophie, nous avons lu le
travail de l'auteur cité ci-dessous.
D.MANKIAKI6(*). Pour sa part, l'auteur voulait saisir la part de
l'INPP à l'heure actuelle de la reconstruction de la RDC. Il affirme que
la formation dispensée par l'INPP est nécessaire bien qu'elle
soit dépourvue des moyens matériels, financiers et un personnel
qualifié pour la meilleure qualification professionnelle. Il a le
mérite d'avoir mis l'accent sur l'utilité de l'INPP, entreprise
publique de formation pour le développement de la RDC dans toutes les
phases et le perfectionnement de la qualification du personnel apte à la
maitrise de la nouvelle technologie.
Quant à nous non seulement les inscriptions en ligne
améliore l'efficacité et élimine le travail des papiers
inutile, mais elle permet également de maximiser la participation et
à améliorer les capacités marketing en donnant les
possibilités aux participants de s'inscrire au moment et à
l'endroit qui leur convient le mieux depuis un téléphone
équipé d'une carte Sim ayant d'unités à
l'intérieur.
I.6 LES METHODES ET TECHNIQUES EMPLOYEES
Une méthode est un ensemble d'opération
intellectuelle par lesquelles une discipline cherche à étudier
les vérités qu'elle poursuit, les démontrent et
vérifient. Et les techniques sont des outils mis à disposition de
la recherche et organisés par la méthode dans ce but. Ce sont
des moyens utilisés pour la collecte des données.7(*)
Nous nous sommes emprunté une voie pour
vérifier nos hypothèses et atteindre nos objectifs scientifiques
en rapport avec notre thème de recherche.
A. METHODES
v L'analyse documentaire qui nous a permis de comprendre notre
sujet et de le situé dans le contexte théorique. Elle nous a
également permis de fouiller dans livre, sur Internet et dans les notes
des cours appris dans l'auditoire. Ce qui nous permis de faire la
récolte des données ;
v La méthode structuro-fonctionnelle nous a permis de
faire connaissance de la structure organisationnelle et du fonctionnement des
différents services de l'INPP/KLM ;
v La méthode MERISE qui nous a permis d'entrer en
phase conceptuelle permettant de mettre un modèle sur lequel nous
allons nous appuyer et cette modélisation consiste à créer
une représentation virtuelle de la réalité de telle sorte
qu'a faire sortir les points auxquels nous allons nous intéresser.
B. TECHNIQUES
v La technique de documentation nous permis d'entrer en
contact avec certains ouvrages en rapport avec notre sujet de recherche.
v La technique d'observation directe et participante nous
permis de nous rendre compte des réalités relatives aux flux des
activités d'inscription des stagiaires à l'INPP/KLM ;
v La technique d'interview nous a permis d'entrer en contact,
d'échanger et de discuter avec les agents de l'INPP/KLM ;
v La technique de navigation sur Internet.
I.7 DELIMITATION DU TRAVAIL
· Spatial
L'INPPest en République Démocratique du Congo
dans la Province du Tanganyika au bureau de liaison de Kalemie.
· Temporel
Les données de cette étude ont été
récoltées pendant la dernière moitié de
l'année 2015 (de septembre à décembre 2015).
Néanmoins, le travail présente certaines données de l'an
2016.
I.8 SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hors mis l'introduction et la conclusion, notre
étude comporte trois chapitres : la première porte sur
l'étude préalable pour décrire le domaine à
étudier, le second est axé sur la modélisation du nouveau
systèmecelui-ci établit une analyseconceptuelle et
fonctionnelle. Enfin, le dernier parle de la réalisation du nouveau
système.
CHAP. I ETUDES
PREALABLES
SECTION 1. DESCRIPTION DE L'INPP
PARAGRAPHE I.
I.1.1 HISTORIQUE
Lors de la colonie belge, la préparation
professionnelle de la main d'oeuvre n'était pas
institutionnalisée.
A cette époque (Congo Belge), chaque colon, chaque
entreprise s'occupait des travailleurs ; les colons de leur part se
professionnalisaient en Belgique. En date de la création de l'I.N.P.P
s'est avérée beaucoup de nécessités dont le cadre
était dans le but de renforcement des capacités et des
qualités des agents tant publics que privés car après le
départ des colonisateurs il y avait un vide sur le plan administratif et
cela presque dans tous les services ou institutions.
A cet effet, trois organisations ont vu le jour à
savoir :
- L'O.N.U ;
- B.I.T ;
- O.I.T.
OBJECTIF
Trois disposition étaient mises sur pieds pour
l'atteinte de leur initiatives dont :
Premièrement le retour de certains colons au Congo pour
former les agents et fonctionnaires tant publics que privés pour une
bonne gestion qui n'avait pas était réalisée ;
Deuxièmement l'envoi des Congolais à
l'étranger pour suivre la formation avait connu de nouveau un
échec ;
Troisièmement la capacité de restitution posait
problème, d'où la création de l'INPP localement, pour
professionnaliser la main d'oeuvre sur place.
L'INPP est une entreprise publique à
caractèretechnique et social et doté de la personnalité
juridique créée par une ordonnance-loi8(*)
I.1.2 EXPENSION DE L'INPP
1964 : création d'une Direction
Générale à Kinshasa ;
1966 : démarrage de la Direction Provinciale de
Kinshasa ;
1969 : démarrage de la Direction Provinciale de
Lubumbashi ;
1973 : démarrage de la Direction Provinciale de
Kisangani ;
1981 : démarrage de la Direction Provinciale de
Bukavu ;
1990 : intégration de l'école PIGIER
à l'INPP création des antennes de Gbado-lite, Kikwit et
Mbuji-Mayi ;
1999 : création de l'antenne de Kananga ;
Février/2009 : création des Bureaux de
liaison de Kalemie, Likasi et l'Antenne de Kolwezi ; 2012 :
création du Bureau de liaison de Kamina.
I.1.3 MISSION L'INPP
La mission de l'INPP est de chercher l'amélioration de
la qualification professionnelle de la population active, notamment :
- Le perfectionnement professionnel des travailleurs dans
l'emploi, de l'ouvrier au cadre d'entreprise publique ou
privée ;
- La reconversion professionnelle des travailleurs devant
changer de profession ou de métier ;
- La préparation professionnelle des
bénéficiaires d'une formation technique ou professionnelle de
type scolaire ou d'une culture générale de base ;
- La sélection et l'orientation professionnelle, soit
pour l'embauche, soit pour la formation ;
- L'aide aux entreprises pour la création de leurs
propres centres de formation ou de sélection et orientation
professionnelle ;
- L'aide aux entreprises pour mettre au point leurs
classifications d'emplois ;
- La fourniture aux autorités publiques des supports
techniques nécessaires à l'élaboration et
l'exécution de la politique nationale en matière de formation
professionnelle.
L'INPP gère une politique tant nationale, provinciale
que locale, ce qui consiste à avoir le plus grand nombre de
stagiaires qui sont formés.
I.1.4 STRUCTURE DE L'INPP
La tutelle de l'Etat est exercée par le
ministère de travail et de la prévoyance sociale (tutelle
technique) et du ministère de portefeuille (tutelle administrative et
financière).
Le conseil d'administration, de forme tripartie, est
composé de représentants de l'Etat, des employeurs et des
travailleurs. Il est l'organe suprême de l'Institution ;
Par délégation, le comité de gestion
assure la gestion courante de l'institut. La structure opérationnelle
comprend à son sein :
- La direction générale et les services
centraux ;
- Le département technique (direction provinciale,
antennes, écoles supérieures de formation des cadres) ;
- Le département administratif et financier.
L'INPP est chapeauté par deux branches dont celui de
tutelle technique qui permet aux formateurs d'aller ailleurs en dehors des
installations de la dite institution pour une formation des partenaires,
tandis-que celui de tutelle administrative et financière incorpore la
comptabilité et le recouvrement permettant aux agents de se
déplacer.
I.1.5 LES RESSOURCES DE L'INPP
L'INPP a deux ressources, qui sont : les ressources
financières et les ressources humaines.
a) RESSOURCES FINANCIERES
- Subvention de l'Etat (50% provenant du budget) ;
- Cotisation mensuelle des employeurs ;
- Les rétributions exceptionnelles ;
- Dons et legs.
b) RESSOURCES HUMAINS
Il s'agit des personnes qui sont expérimentées
et qualifiées au sein de l'INPP.
I.1.7 ORGANIGRAMME DU BUREAU DE LIAISON DE L'INPP/
KALEMIE
CBL
SECRETAIRE
C.BUREAU ADM& FINANCIER
CHEF DE SERVICE TECHNIQUE
SERVICE TECHNIQUE
SERVICE DE RECOUVREMENT
SERVICE DE COMPTABILITE
S/RELATION PUBLIQUE
FORMATEURS
STAGIAIRES
CONTROLEURS
CAISSIER
CHAUFFEURS
GARDIEN
Paragraphe II. DIFFERENTS SERVICES
L'actuel paragraphe, est consacré d'expliquer le
fonctionnement de chaque service au sein de l'INPP, bureau de liaison de
Kalemie.
I.II.1. LE SERVICE DE RECOUVREMENT
Le recouvrement est défini en finance comme un
décaissement d'une somme d'argent, par conséquent c'est une
perception.
En effet, c'est le fait de prendre la somme
représentant le montant de la cotisation patronale, afin de la faire
quitter du débiteur (employeur), vers les patrimoines de l'INPP.
Ceci peut se faire par deux voies à savoir :
v La voie bancaire c'est-à-dire dans le compte de
l'INPP ;
v La voie guichetière c'est-à-dire à
payer au bureau de l'INPP et non à la banque.
1.1 COTISATION PATRONALE
v Qui doit contribuer ?
Tout employeur est tenu de la cotisation mensuelle due
à l'INPP en vertu de l'article 185 du code du travail.9(*)
v Qui est employeur ?
Toute personne physique ou morale de droit public ou
privé, qu'utilisent les services d'un ou plusieurs travailleurs en vertu
d'un contrat de travail.10(*)
v Qu'est-ce qu'un contrat de
travail ?
C'est une convention écrite ou verbale, par laquelle
une personne travailleur, s'engage à fournir une tierce personne,
employeur, un travail manuel ou autre sous-direction et l'autorisation directe
ou indirecte de celui-ci, et détermine même la
rémunération du travail.
v Qu'est-ce qu'une
rémunération ?
C'est une somme représentative de l'ensemble des gains
susceptibles d'être évalués en espèces et
fixés par accord ou par les dispositions légales et
règlementaires qui sont dus en vertu d'un contrat de travail, par un
employeur à un travailleur.
1.2 FONDEMENT ET LE CADRE DE LA COTISATION
PATRONALE
Le fondement de cette dernière découle de la
combinaison d'un certain nombre d'articles à savoir :
- Article 1, 8, et 15 du code de travail ;
- L'article 1 et 6 de l'ordonnance-loi N°84-186 du 15
octobre 1984, et le décret portant statuts de l'INPP. La cotisation
patronale a un caractère obligatoire, par conséquent son
obligation ressort de :
· Article 8 du code de travail stipule
que : « tout employeur public ou privé a
l'obligation d'assurer la formation, le perfectionnement ou l'adaptation
professionnelle des travailleurs qu'il emploie.
A cette fin, il pourra utiliser les moyens mis en sa
disposition sur toute l'étendu du territoire de la République
Démocratique du Congo par l'INPP11(*)» ;
· Le participe
passé « tenu » du verbe tenir utiliser par les
législateurs à l'Article 1 de l'ordonnance-loi N°84-186 du
15 octobre 1984.
I.II.2 LE SERVICE TECHNIQUE
C'est l'organe principal de l'INPP vue la mission de cette
dernière ;
Elle s'occupe de :
· La planification des actions de formation ;
· Renseignement des stagiaires ;
· Insertion des stagiaires à la
formation ;
· Programmation de la formation.
I.II.2.1 LES DOMAINES D'INTERVENTIONS
Les domaines d'interventions :
- Langue : français, anglais.
- Informatique : bureautique (Windows, Word, Excel),
Access, power point, Publisher, réseau informatique, base des
données, programmation, maintenance des ordinateurs, initiation à
l'Internet.
- Electricité- froid et électronique :
· Electronique générale et
industrielle ;
· Electronique automobile ;
· Electricité générale et
industrielle ;
· Froid (climatisation).
- Autres filières :
· Bâtiment et génie civil ;
· Coupe et couture ;
· Conduite automobile ;
· Gestion de ressources humaines ;
· Management et leader ship des entreprises ;
· Gestion des projets ;
· Gestion financières ;
· Gestion de stocks ;
· Logistique des entreprises et humanitaires ;
· Secrétariat de direction et protocole ;
· Comptabilité OHADA ;
· Audit et contrôle de gestion ;
· Lutte anti incendie.
· Etc.
I.1.6 PROGRAMME ET METHODES DE FORMATIONS
Pas de programme préétabli de type scolaire, les
programmes se font sur mesures suivant les exigences du poste de travail et le
niveau du candidat. Les méthodes de formations sont axées sur la
pratique. Elles sont fonctionnelles, actives et audio-visuelles,
méthodes d'entrainement, séminaires travaux pratiques. Pas de
durée fixe. Elle est déterminée en fonction des objectifs
du programme et du niveau du candidat.
Hors mis le service de recouvrement et celle de technique
l'INPP a aussi le service de comptabilité, le secrétariat et
celui chargé de relation publique.
SECTION II. INVENTAIRES DES DOCUMENTS
II.1 DOCUMENTS UTILISES POUR L'INSCRIPTION DES
STAGIAIRES
Apres que le stagiaire ait rédigé sa lettre de
demande de formation, le service technique est obligé d'utilisé
les documents ci-après :
· FICHE D'INSCRIPTION
N°
|
Nom& Post-Nom
|
Formation
|
Frais
|
entreprise
|
sexe
|
Visa caisse
|
Num Tel
|
Obs.
|
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|
|
|
|
|
|
· RECU D'INSCRIPTION
N°
Montant en Chiffre
NOM &
POST-NOM :......................................................................................................
SOMME EN
LETTRE :....................................................................................................
MOTIF :..........................................................................................................................
Lieu
Date Signature
|
· FICHE D'IDENTIFICATION
NOM & POST-NOM
|
LIEU& DATE DE NAISSANCE
|
SEXE
|
TELEPHONE
|
ETUDE FAITE
|
OCCUPATION PROFESSIONNELLE
|
INSCRIPTION SOLLICITEE
|
PRIMAIRE
|
SECONDAIRE
|
UNIVERSUTE
|
NOM DE L'EMPLOI
|
SANS EMPLOI
|
SPECIALITE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Fait à Kalemie, le ....../......./20......
Signature de Candidat.
· · LISTE DE PRESENCE DES
STAGIAIRES
SERVICE.........................................
EXERCICE........................................ X= PRESENCER=RETARD
SPECIALITE.................................... MOIS
DE.............................. A=ABSENCE P= PERMISSION
FORMATEUR..................................................................................................
M= MALADIE
N°
|
NOM& POST-NOM
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
7
|
8
|
9
|
10
|
11
|
12
|
13
|
14
|
15
|
16
|
17
|
18
|
19
|
20
|
21
|
22
|
23
|
24
|
25
|
26
|
27
|
28
|
29
|
30
|
31
|
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II.2 CRITIQUE DU SYSTEME EXISTANT
Comme nous l'avons souligné précédemment,
le système du travail manuel c'est-à-dire non automatisé
ou informatisé présente des nombreuses difficultés,
à savoir : dans la manière de stocker les données, la
fiabilité dans la conservation des données et cette situation
présente d'inquiétude par la lenteur, perte des données,
erreurs et vol après l'enregistrement des documents. Ainsi le
présent travail apporterait un appui scientifique et technique dans la
conception d'un nouveau système d'inscription des stagiaires à
l'INPP/KLM
II.1 PROPOSITION
La solution informatique serait un atout idéal pour
palier à ces problèmes, raison pour la quelle notre travail
proposé à l'INPP/KLM en ce qui concerne l'inscription des
stagiaires, une amélioration technique pour la gestion de ces
derniers.
Voici les éléments qui entre dans la
production :
· Les acteurs externes : sont ceux qui communiquent
avec notre système, mais qui restent en dehors de celui-ci, ils sont
dans ce cas :
· Les stagiaires ;
· Banque.
· Les acteurs internes : ici, il faut entendre les
acteurs inter agissant dans le cadre de circuit de l'enregistrement des
stagiaires, pour notre cas c'est le service technique de l'INPP/KLM.
II.3. CONCEPTION DE LA SOLUTION
1. SOLUTION ORGANISATIONNELLE
Nous suggérons que ce travail soit mis en marche pour
une bonne évolution de l'INPP/KLM.
Nous sommes convaincus que si cette travail est
appliqué dans la dite Institution, elle essaiera d'affaiblir tant soit
peu la tache à une seule personne. Notons que l'une des sources de la
lenteur c'est le volume des données à traiter à un poste
de travail.
2. SOLUTION INFORMATIQUE
L'informatique touche aujourd'hui tous les secteurs
d'activités. Ainsi les inscriptions seront manipulées par un
téléphone équipé d'une carte Sim.
CHAPITRE II. MODELISATION DU NOUVEAU SYSTEME
II.1 INTRODUCTION
Actuellement dans le monde informatique, il ya plusieurs
méthodes pouvant aider à analyser les informations. Afin de
concrétiser une application. Mais dans le cadre de notre recherche nous
avons choisis la méthode MERISE.
II.2 PRESENTATION DE LA MERISE
Merise est un acronyme signifiant
Méthode d'Étude et de Réalisation Informatique par les
Sous Ensembles ou pour les Systèmes d'Entreprise.
La méthode Merise a comme objectif : d'aider, de
guider les systèmes d'Information dans leurs phases d'analyses, de
conception et le Développement de l'applicatif.12(*)
Elle est également la méthode de
développement des projets informatiques de gestion.
La méthode Merise se caractérise par :
- une approche systémique en ayant une vue de
l'entreprise en terme de systèmes ;
- une séparation des données (le
côté statique) et des traitements (le côté dynamique)
;
- une approche par niveaux.13(*)
II.3. LES NIVEAUX D'ABSTRACTION DE LA MERISE
a) Le niveau conceptuel
Le niveau conceptuel consiste à concevoir le S.I en
faisant abstraction de toutes les contraintes techniques ou organisationnelles
et cela tant au niveau des données que des traitements. Le niveau
conceptuel répond à la question Quoi ? (le quoi faire, avec
quelles données).
b) Le niveau organisationnel
Le niveau organisationnel a comme mission d'intégrer
dans l'analyse les critères liés à l'organisation
étudiée. Le niveau organisationnel fera préciser les
notions de temporalité, de chronologie des opérations,
d'unité de lieu, définira les postes de travail, l'accès
aux bases de données...14(*)
c) Le niveau logique
Le niveau logique est indépendant du matériel
informatique, des langages de programmation ou de gestion des données.
C'est la réponse à la question Avec quoi ?
d) Le niveau physique
Le niveau physique permet de définir l'organisation
réelle (physique) des données. Il apporte les solutions
techniques, par exemple sur les méthodes de stockage et d'accès
à l'information. C'est la réponse au Comment ?
II.4. LE NIVEAU CONCEPTUEL
1. Concept de base
· Base des données :est un
ensemble de données ou d'informations organisées en vue de
faciliter la recherche, la modification et l'extraction de données
spécifiques.15(*)
· L'Entité : Objet concret
ou abstrait du monde réel au sujet duquel une organisation est
susceptible de conserver des données16(*)
· cardinalité : Elles
expriment le nombre de fois ou l'occurrence d'une entité participe aux
occurrences de la relation.17(*)
· Propriétés : Les
propriétés sont les informations de base du système
d'information.18(*)
· Clé
primaire :L'identifiant permet de connaître de façon
sûre et unique l'ensemble des propriétés qui participent
à l'entité.19(*)
· Attribut : Un attribut est une
donnée élémentaire d'une Entité.20(*)
2. DEGRE D'INVERIENCE
a) modèle conceptuel de données
(MCD)
C'est un schéma qui va représenter la
sémantique des données, c'est-à-dire les liens qui existe
entre les données.
b) modèle conceptuel de traitement
(MCT)
Schéma qui va décrire le contenu (quelle
opération ? quels résultats ?, et la dynamique
(déroulement dans le temps) des activités d'un domaine de
l'organisation. D'une manière identique indépendante des choix
d'organisation et des moyens utilises.
c) modèle physique de données
MPD)
C'est un schéma à partir du MLD et va indiquer
le choix d'organisation (lieu d'exécution des opérations et
date-début, date-fin des opérations).
II.4 DICTIONNAIRE DES DONNEES
Le dictionnaire des données est un document qui permet
de recenser, de classer et de trier toutes les informations (les
données) collectées lors de l'entretien ou de l'étude des
documents.21(*)
Nom de la donnée
|
format
|
Longueur
|
type
|
Règle de calcul
|
Règle de gestion
|
document
|
élémentaire
|
calculé
|
Matricule
|
N
|
10
|
*
|
|
|
|
Fiche d'Inscription
|
Nom et Post-Nom
|
A
|
35
|
*
|
|
|
|
idem
|
Formation
|
A
|
25
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Frais
|
N
|
05
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Entreprise
|
A
|
20
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Sexe
|
A
|
02
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Visa caisse
|
-
|
-
|
-
|
|
|
|
Idem
|
Téléphone
|
N
|
12
|
*
|
|
|
|
Idem
|
e-mail
|
A-N
|
15
|
*
|
|
|
|
idem
|
Observation
|
A
|
25
|
*
|
|
|
|
idem
|
Numéro reçu
|
N
|
05
|
|
*
|
|
|
Reçu d'inscription
|
Nom et Post-Nom
|
A
|
25
|
*
|
|
|
|
idem
|
Montant
|
N
|
10
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Motif
|
A
|
30
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Lieu
|
Idem
|
15
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Date
|
Date
|
08
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Nom & post-nom
|
A
|
25
|
*
|
|
|
|
Fiche d'identification
|
Date de naissance
|
Date
|
08
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Lieu de naissance
|
A
|
15
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Sexe
|
A
|
02
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Niveau d'étude (primaire, secondaire,
université)
|
A
|
15
|
*
|
|
|
|
Idem
|
Occupation professionnelle
|
A
|
15
|
*
|
|
|
|
IDEM
|
Spécialité sollicitée
|
A
|
20
|
*
|
|
|
|
IDEM
|
II.6 PRESENTATION DU MCC
Ce modèle permet d'appréhender simplement le
fonctionnement global de l'entreprise. En focalisant éventuellement sur
un ensemble d'activités concernées par l'étude sans
chercher à identifier l'origine et la stabilité de ce
découpage en unité d'analyse en deux termes, à
savoir22(*) :
a. Acteur : présente une
unité intervenant dans le domaine ou fonctionnement.
b. Flux : présente un
échange entre deux acteurs, dont l'un est interne et l'autre externe.
Réception
DIAGRAMME DU MCC
Stagiaire
Renseignement
Renseigne
Perception
Paiement frais
Livraison reçu
Banque
Versement
Caisse
Livraison bordereau versement
II.7 PRESENETATION DU MCD
a) TABLEAU DESCRIPTIF DES ENTITES ET
PROPRIETES
Une entité est une représentation d'un
élément matériel ou immatériel ayant un rôle
dans le système que l'on désire décrire, tandis que les
propriétés sont les éléments constitutifs d'une
entité, donc l'entité ou l'objet est l'ensemble de plusieurs
propriétés.
NUM
|
ENTITES
|
OBJECTIFS
|
CONTACT ETAT CIVIL
|
1
|
STAGIAIRES
|
Dans cette entité on nous montre de manière
claire et précise de l'identification du Stagiaire
|
Matricule stagiaire
Nom stagiaire
Post nom stagiaire
Prénom stagiaire
Sexe stagiaire
Adresse stagiaire
Etat civil stagiaire
Téléphone stagiaire
Niveau étude stagiaire
|
2
|
SPECIALITE(FORMATION)
|
Cette entité décrit toutes les
spécialités que l'institution offres aux
bénéficiaires.
|
Code spécialité
Nom Spécialité
Heure de formation
|
3
|
RECU
|
Cet objetéclaircis le mouvement de la finance.
|
Numéro Reçu
Montant
Motif paiement
Lieu paiement
Date paiement
|
4
|
AGENT
|
Cette dernière donne les informations effectives de
l'Agent.
|
Matricule Agent
Nom Agent
Grade Agent
Fonction Agent
Adresse Agent
Telephone Agent
|
b) Dépendance fonctionnelle23(*)
Pour être traitées de
manière informatisée, les données doivent être
décrites dans un formalisme compris par le système informatique
qui va les gérer.
- numéroreçu (Montant,
motif, lieu, date)
- Numéro spécialité
(nom spécialité, heure de formation).
- Matricule stagiaire (nom stagiaire,
post-nom stagiaire, état civil, Sexe, Adresse, Téléphone,
Niveau étude, e-mail).
- Matricule Agent (nom, Grade,
Fonction, Adresse, Téléphone).
c) DIAGRAMME DU MCD
Stagiaire
Matricule Stagiaire
Nom Stagiaire
Post Nom Stagiaire
Lieu Naissance
Date Naissance
Etat Civil
Sexe
Téléphone
Niveau Etude
Inscrire
Concerner
Specialite(Formation)
CodeSpecialite
NomSpecialite
HeureFormation
1, n 0, n
1, n
Dispenser
1, n
1, n
Agent
MatriculeAgent
NomAgent
GradeAgent
FonctionAgent
AdresseAgent
Telephone
Reçu
NumeroRecu
Montant
Motif
Lieu
Date
1,1
d) LA NORMALISATION
Première forme normale
(1FN)
Une relation est en première forme normale si, et
seulement si, tout attribut contient une valeur atomique (non multiples, non
composées).24(*)
Deuxième forme normale
(2FN)
Une relation est en deuxième forme normale si, et
seulement si, elle est en première forme normale et si toutes les
dépendances fonctionnelles entre la clé et les autres attributs
sont élémentaires. Autrement dit si tous les attributs
dépendent de la clé primaire.25(*)
Troisième forme normale (3FN)
Une relation est en troisième forme normale si, et
seulement si, elle est en deuxième forme normale et si toutes les
dépendances fonctionnelles entre la clé et les autres attributs
sont élémentaires et directes.26(*)
Quatrième Forme normale de BOYCE-CODD
(BCNF)
Une relation est en forme normale de BOYCE-CODD (BCNF)
si, et seulement si, elle est en troisième forme normale et si les
seules dépendances fonctionnelles élémentaires sont celles
dans lesquelles une clé détermine un attribut.27(*)
II.8. LE MCT
1. Objectifs du Modèle Conceptuel des
Traitements
Le Modèle Conceptuel des Traitements met en
lumière les traitements effectués sur les données.
Indépendammentde toute contrainte liée à l'organisation,
le M C T répond à la question « Quoi ? ». Le M CT ne
répond ni au comment, ni au quand, ni au qui, mais à Que
souhaite-t-on obtenir ?28(*)
a. Les évènements
Le MCT est aussi appelé Modèle
événement résultat.
L'arrivée d'un ou plusieurs évènements va
générer une opération qui va elle-même fournir un
résultat. Selon leur origine on distingue les évènements
externes d'information.
Evènement externe Evènement interne
b. Processus
Est un schéma à suivre pour un
évènement. Un processus est lui-même composé de
traitement regroupé en ensemble appelés opération.
c. Opération
Est un processus permettant de trouver un résultat au
sein de l'organisme.
L'opération se présente comme suit :
La logique booléenne : (OUI/OK, VRAI/FAUX)
d. synchronisation
La synchronisation peut avoir lieu lorsqu'il un seul ne peut
pas faire appel à la synchronisation. Non l'opération pour la
synchronisation se présente sous deux représentations.
Ilya deux évènements, mais La synchronisation
peut se présente sous deux représentations :
e. Quelques symboles utilisés en
MCT
Evènement interne
NON OPERATION
R1 R2
Evènement Externe
Opération
Synchronisation
2. DIAGRAMME DU MCT
Demande
01. RECEPTION DEMANDE
Analyse de la candidature
OK FAUX
Demande en attente
Rejet Demande
ET
Test psychotechnique
Test psychotechnique
02. ANALYSE DU CANDIDAT
Controle identité
Verification du niveau d'etude
Nombre suffisant Nombre insuffisant
03. PREPARATION FORMATION
Saisi liste par formation
Appel à la formation
Début formation
Début Formation
II.9 LE MLD
Dans le monde informatique, le niveau logique sert à
préciser la vision informatique de la solution.
II.9.1 (MLDR)
Le modèle logique de données relationnelles,
décrit le système de données utilisées sans aucune
référence en aucun langage de programmation. Il s'agit donc de
préciser les types de données utilisés pour le traitement.
Ce graphe a toutes les opérations précédente que
l'ensemble des tables de base de données vont pouvoir être
enchainer de manier simple et expéditive.
Ce sont des tables, les cardinalités maximales et
minimales qui vont jouer les rôles très capables pendant la
réalisation du MLDR.
II.9.2 REGLES DE PASSAGE DU MCD AU MLD
- L'entité qui possède la cardinalité
maximale égale à 1, recevra l'identifiant ou les identifiants des
entités ayant les cardinalités maximales les plus fortes.
- Les relations ayant toutes leurs entités
reliées avec des cardinalités maximales supérieures
à 1, se transformeront en entité en absorbant les identifiants
des entités jointes.
- Toute relation porteuse de propriétés se
transformera en entité et absorbera comme clé
étrangère les identifiants des entités qui lui sont
liées.
II.9.3 DIAGRAMMA DU MLDR
Stagiaire
Matricule Stagiaire
Nom Stagiaire
Post Nom Stagiaire
Lieu Naissance
Date Naissance
Etat Civil
Sexe
Téléphone
Niveau Etude
Specialite(Formation)
CodeSpecialite
NomSpecialite
HeureFormation
Inscrire
CodeSpecialite
MatriculeAgent
Periode
Matricule Stagiaire
CodeSpecialite
CodeInsciption
E-mail
RefferencePaiement
Concerner
Dispenser
Reçu
NumeroRecu
Montant
Motif
Lieu
Date
Agent
MatriculeAgent
NomAgent
GradeAgent
FonctionAgent
AdresseAgent
Telephone
II.09.4. REPRESENTATION DU MLDR
Construire le Modèle Physique des Données
consiste à transformer le Modèle Logique des Données en
une suite de relations. Cette étape finalise le processus de traitement
des données. L'implémentation des bases de données peut
être réalisée de façon optimale.29(*)
STAGIAIRE (MatriculeStagiaire,
NomStagiaire, PostNomStagiaire, LieuNaissance, DateNaissance, EtatCivil,
Sexe, Telephone, NiveauEtude).
RECU (NumeroRecu, Montant, Motif,
Lieu, Date, # MatriculeStagiaire).
SPECIALITE (CodeSpecialite,
NomSpecialite, HeureFormation).
INSCRIRE (CodeInsciption,
#MatriculeStagiaire, #CodeSpecialite, E-mail,
RefferencePaiement)
AGENT (MatriculeAgent, NomAgent,
GradeAgent, FonctionAgent, AdresseAgent, Telephone).
DISPENSER (#CodeSpecialite,
#MatriculeAgent, Periode).
II.10. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
10.1 NOTION
Le modèle physique de données est un
modèle de la base de données.
L'implantation physique, la topographie des enregistrements
informatiques ne sont pas définies. Trois systèmes de gestion
de base de données, les modèles hiérarchiques,
navigationels ou réseau et relationnels servent de modèles,
mais pour notre cas le modèle relationnel nous servira dans notre
travail.30(*)
10.2 DIAGRAMME DU MPD
Stagiaire
Matricule Stagiaire
Nom Stagiaire
Post Nom Stagiaire
Lieu Naissance
Date Naissance
Etat Civil
Sexe
Téléphone
Niveau Etude
Reçu
NumeroRecu
Montant
Motif
Lieu
Date
CodeSpecialite
MatriculeAgent
Periode
Matricule Stagiaire
CodeSpecialite
CodeInsciption
E-mail
RefferencePaiement
Concerner
Dispenser
Inscrire
Agent
MatriculeAgent
NomAgent
GradeAgent
FonctionAgent
AdresseAgent
Telephone
Specialite(Formation)
CodeSpecialite
NomSpecialite
HeureFormation
II.2 Conclusion partielle
La phase conceptuelle est une étape fondamentale pour
la réalisation de n'importe quel projet. Elle permet de faciliter le S.I
et réaliser l'implémentation de la base des données et le
traitement par la suite, nous chercherons les moyens et les outils possibles
pour développer l'application, ce que nous présenterons au
chapitre suivant.
CHAPITRE III. REALISATION DU NOUVEAU SYSTEME
III. 1.Introduction
Dans ce chapitre, nous allons présenter le cycle de
vie de logiciel que nous avons choisi et la modélisation moyennant une
base de données conçue avec le SGBD MySQL.
III. 2 Notion sur la programmation
La programmation est la phase d'écriture et de
maintenance des programmes. C'est aussi une technique qui permet
d'écrire des instructions résolvant un problème et
consistant à choisir, à rassembler les instructions des
programmes dans un ordre logique pour les faire exécuter automatiquement
par l'ordinateur et dans un langage approprié.
Elle a pour but d'établir des ordinogrammes pour
chaque phase de l'application, selon les éléments définis
par l'analyse, ensuite élaborer les programmes et les instructions pour
conduire le travail jusqu'au lancement de l'application.
Elle se compose des parties suivantes :
· Choix du langage de programmation et de l'unité
des traitements à programmer ;
· L'ordinogramme ;
· La codification du (des) programme(s) ;
· Le résultat du (des) programme(s).
L'ordinateur est une machine qui aide l'homme à
réaliser ses travaux répétitifs gros volume en y apportant
une rapidité et la précision dans les opérations qui lui
sont confiées.
III.3 Choix du matériel
a. CHOIX DES LOGICIELS
JAVA, est un langage orienté objet
principalement utilisé pour produire des applications tournant sur
plusieurs systèmes d'exploitation.
- Pour notre cas nous avons utilisé comme compilateur
NetBeans IDE 6.9 et un JVM jdk-6u21-Windows-i586 ;
- Nous avons utilisé comme éditeur des textes
Notepad++, celui-ci nous a permis d'éditer les codes sources;
- Comme SGBD pour notre cas c'est MySQL tout en exploitant
WampServer qui nous permis de créer une base des données ;
b. CHOIX DU MATERIEL
N'importe quel ordinateur disposant Windows comme système
d'exploitation et également d'un MODEM ayant une carte Sim VODACOM pour
notre cas et disposant des unités pour renvoyer des messages notre
application peut tourner sans beaucoup de difficultés. Néanmoins,
la capacité de stockage des informations et la vitesse de
l'exécution de ces dernières devraient être respectivement
supérieures à 150 GO et 300 MO afin de mieux utiliser notre
programme.
III.4. Le résultat du programme
III.4.1. Page d'accueil
L'utilisateur doit créer un compte pour avoir
accès aux fonctionnalités de l'application. Dans le cas où
il a déjà un compte il est obligé d'entrer son nom, son
numéro téléphone et le mot de passe en fin il doit cliquer
sur le bouton Login.
III.4.2. Page du stagiaire
Cette page est réservée à
l'identification du stagiaire ; pour notre cas c'est en anglais TRAINEE
qui veut dire apprenti.
III.4.3. Page des
spécialités
Cette enregistre toutes les informations
liées aux spécialités dispenser à l'INPP/KLM. C'est
toujours en anglais speciality qui veut dire spécialité
III.4.4. Registration
C'est cette figure que le stagiaire sera inscrit.
III.4.5. Dispense
Cette figure montre le déroulement de la formation du
début à la fin tout en compte du Formateur ou agent de l'INPP qui
s'occuper de la formation.
Notons que cette application a deux parties ; la
première c'est celle que nous venons de présenter ci-haut qui est
partie du client et l'autre partie fonctionne avec le MODEM que nous appelons
partie Serveur. Cette dernière n'a pas d'interface pour la montrer, car
elle s'installe automatiquement dès que l'autre partie est
installée.
III.5 Conclusion partielle
La partie réalisation détermine une idée
plus claire sur les taches qui sont réalises dans cette application par
la présentation des interfaces graphiques. En fin avec ce chapitre nous
avons déterminé la phase de développement de
l'application.
CONCLUSION GENERALE
Nous voici arrivé au terme de notre travail de fin de
cycle à l'Université Patrice Lumumba de Kalemie, dont l'objet
était celui de mettre en place une Platte forme d'inscription des
stagiaires en ligne à l'INPP/KLM.
En effet, pour remédier aux différentes
difficultés, nous avons procédés aux différentes
démarches de l'informatisation, en ayant connaissance de l'existant du
système en usage et des solutions ont été
proposées après avoir décelé toutes les anomalies
constatées
En titre illustratif nous nous
résumons pour dire que dans le premier chapitre, nous avons
présenté en générale la monographie, a l'occurrence
de l'historique, fonctionnement, organigramme de l'entreprise sur laquelle
nous avons mené nos recherches, dont l'INPP/KLM ainsi que son
fonctionnement existant ;en ce qui concerne le deuxième chapitre
nous avons fait une étude de la MERISE qui est une
méthode d'analyse et de conception des systèmes d'information et
que nous avons utilisé pour modéliser le nouveau système
à proposer ,etenfin le troisième chapitre, nous avons
réalisé l'application d'inscription des stagiaires en ligne de
l'INPP/LM. Nous avons pu créer une base des données
constituée destables, des formulaires auxquels s'ajoute la page
d'accueil (pour le démarrage de l'application).
En fin, conscient de la nature imparfaite de l'homme et de
sa perfectibilité continuelle, nous restons ouverts à toutes les
critiques objectives que tout chercheur devra bien nous adresser après
la lecture de ce travail. Voilà d'une manière
générale, la quintessence de l'étude que nous avons
menée.
BIBLIOGRAPHIE
1. Ouvrages
- J.Luc Baptiste; Merise guide pratique ;
Paris ; éd.eni ; 2008 ;
- Gilles ROY ; Conception de base des données
aves UML ; Québec ; PUQ ; 2009. P29 ;
- M. Divine ; Parlez-vous MERISE, Paris ;
éd. phénomène ; 2010 ; p254 ;
- GARAVANI T., Participation et organisation, éd.
mad, Paris. 1971 ;
- Larousse Illustré. Edition Spéciale RDC,Paris,
2009, P. 822 ;
- G.KUYUNSA et S.SHOMBA, Initiation aux méthodes de
recherche scientifique en science sociale ; PUZ, 1995, P.41 ;
2. Notes des cours et travaux de fin de cycle
- Ass.W.KEYA, Cours de Base des données, Inedit, G2,
UPEL/KLM, 2014-2015 ;
- Ass.MUKENDI Félix, cours de MAI, Inedit, G3
Info ; UPEL/KLM, 2013 2014 ;
- G.MUGALU, Cours de Méthodes de recherche
scientifique, inédit, G2 IG UPEL, 2014-2015
- MBIKYI MUNDE cité par F. MUKENDI
KADIMA « identité culturelles africaines et nouvelle
technologie, FAC .Catholique de Kinshasa, coll. Recherche, 2002 ;
- D.MANKIAKI : « l'apport de l'INPP dans le
processus de la reconstruction nationale », TFC, FSSAP, UNIKIN,
2001-2002 Inédit ;
- PINTO et GRAWINTZ.M. cité par KASANGU KAPEMPE R, TFC,
UPEL 2014-2016, Inedit ;
3. Journal Officiel
- Ordonnance-loi N° 206 du 29 Juin 1964 portant
création de l'INPP ;
- Loi N° 015/2002 du 16 Octobre 2002 portant code du
travail ;
4. Webographie
- www.memoireonline.com;
-
www.site-des-savoir.com.
* 1 G.MUGALU, Cours de
Méthodes de recherche scientifique, inédit, G2 IG UPEL,
2014-2015
* 2Larousse Illustré.
Edition Spéciale RDC,Paris, 2009, P. 822.
* 3 GARAVANI T.,
Participation et organisation, éd. mad, Paris. 1971
* 4 MBIKYI MUNDE cité
par F. MUKENDI KADIMA « identité culturelles
africaines et nouvelle technologie, FAC .Catholique de Kinshasa, coll.
Recherche, 2002
* 5 G.KUYUNSA et S.SHOMBA,
Initiation aux méthodes de recherche scientifique en science sociale.
PUZ, 1995, P.41
* 6
D.MANKIAKI : « l'apport de l'INPP dans le processus de la
reconstruction nationale », TFC, FSSAP, UNIKIN, 2001-2002
Inédit
www.memoireonline.com
* 7PINTO et GRAWINTZ.M.
Cité par KASANGU KAPEMPE R, TFC, UPEL 2014-2016, Inedit
* 8ordonnance-loi N° 206
du 29 Juin 1964.
* 9Loi N° 015/2002 du 16
Octobre 2002 portant code du travail.
* 10 Op.Cit Loi N°
015/2002 du 16 Octobre 2002.
* 11 Op. Cit Loi N°
015/2002 du 16 Octobre 2002.
* 12J.Luc Baptiste; Merise
guide pratique ; Paris ; éd.eni ; 2008
* 13 Idem.
* 14 Idem J.L.Baptiste
* 15 www.site-des-savoir.com
* 16Gilles ROY ;
Conception de base des données aves UML ;
Québec ; PUQ ; 2009. P29
* 17Op.cit ; J.L.
Baptiste
* 18 Idem
* 19 Idem
* 20 M. Divine ;
Parlez-vous MERISE, Paris ; éd.
phénomène ; 2010 ; p254.
* 21Op.cit ;
J.L.Baptiste
* 22Ass.MUKENDI Félix,
cours de MAI, Inedit, G3 Info ; UPEL/KLM, 2013-2014
* 23Op. Cit ; J.L.
Baptiste
* 24Ass.W.KEYA, Cours de Base
des données, Inedit, G2, UPEL/KLM, 2014-2015
* 25 Op. Cit ; W.KEYA
* 26 Idem
* 27 Idem
* 28 Op.Cit ;
J.L.Baptiste
* 29Op. Cit J.L. Baptiste
* 30Op. Cit M. Divine P157.
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