L'appui du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) à l'atteinte des objectifs du Millénaire pour le Développement( Télécharger le fichier original )par M.Emery . A. G. OWOLABI Université d'Abomey-Calavi au Bénin - Licence en diplomatie et relations internationaless 2010 |
ANNEXESANNEXE 1 Guide d'entretien Avec les cadres du PNUD Qu'est ce que le PNUD ? Et quel est son rôle ? Quels sont les programmes développés par le PNUD ? Comment le financement est t- il obtenu ? Quelle est la contribution du Bénin ? Qu'en est-il du suivi évaluation des programmes Le PNUD est-il confronté à des problèmes de financement ? Si oui quel en est la cause L'atteinte des OMD est il possible ? Comment améliorer l'appui du PNUD ? Quelles recommandations faites vous pour le renforcement de la coopération Bénin-PNUD ? Avec les responsables de projets Quel est le programme dont vous avez la charge ? Quel en est le contenu et la compréhension ? Quelles sont les réalisations ? Qu'en est-il du mécanisme de mise en oeuvre ? Quelles sont les difficultés rencontrées ? Quel est l'apport du Bénin ? Quels sont les solutions que vous préconisez et les perspectives pour l'amélioration du projet ? GUIDE D'ENTRETIEN AVEC LE RESPONSABLE DE LA CELLULE NEX 1- Qu'est-ce que la cellule NEX ? 2- Quel est son rôle ? 3- 4- Quelles sont les difficultés rencontrées dans l'accomplissement de votre rôle ? 5- Quels sont les mécanismes de coordination que vous utilisez ? 5- Faites-vous aussi du suivi-évaluation ? Si oui quels sont vos mécanismes pour le suivi évaluation ? 7- Que recommandez-vous pour l'amélioration de cette situation ? 8- Que pensez-vous de la coopération BENIN-PNUD ? 9- Que recommandez-vous pour le renforcement de la coopération à BENIN-UNFPA ? ANNEXE 2 Questionnaire Identification de l'enquêté(e) Nom : Prénoms : Profession/Occupation : Lieu : Date : Durée de l'entretien : 1- Quels sont les domaines dans lequel le PNUD développe t-il ses programmes ? Pauvreté Environnement Gouvernance Autres Précisez : ___________________________________________________ 2- A travers quel document la mise en oeuvre est-elle effectuée ? ____________________________________________________________ 3- Quelles appréciations faites-vous des programmes du PNUD ? Bonne Mauvaise 4- A quoi sont dus les obstacles rencontrés par ces programmes ? Politiques Sociaux Culturels Financiers 5- Comment s'effectue le suivi des programmes ? Evaluation partielle Evaluation finale Autres Précisez :______________________________________________________ 6- Le Bénin honore t-il toujour à ses engagements vis-à-vis des programmes ? Oui Non 7- Sinon, pourquoi ? ________________________________________________________________________________________________________________________ 8- Quels sont les différents partenaires au programme ? ______________________________________________________________ 9- Les programmes développés par le PNUD permettront-ils d'atteindre les OMD d'ici 2015 ? Oui Non 10- Que recommandez-vous pour une meilleure efficacité des programmes du PNUD ? ________________________________________________________________________________________________________________________ 11- Que recommandez-vous pour le renforcement de la coopération BENIN-PNUD ? ________________________________________________________________________________________________________________________ANNEXE 3 Déclaration sur le droit au
développement Proclame la Déclaration sur le droit au
développement
ci-après: Article3 Article6 Article9 ANNEXE 4 COMMISSION DES DROITS DE L'HOMME Soixante et deuxième session Point 10 de l'ordre du jour provisoire DROITS ÉCONOMIQUES, SOCIAUX ET CULTURELS Exposé écrit* conjoint présenté par le Centre Europe - Tiers Monde, organisation non gouvernementale dotée du statut consultatif général et l'Association Américaine de Juristes, organisation non gouvernementale dotée du statut consultatif spécial La lutte contre la pauvreté et les objectifs du millénaire pour le développement Voilà bientôt quinze ans que la lutte contre la pauvreté a été mise à l'ordre du jour politique international. Et voilà dix ans - depuis le sommet social de l'ONU à Copenhague - qu'elle fait l'objet d'un consensus mondial. A l'occasion du dernier sommet de l'ONU à New York, en septembre 2005, les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont été solennellement confirmés. En 2015, la pauvreté extrême devrait être réduite de moitié. En réalité, que constatons-nous ? La coopération au développement s'est-elle adaptée aux nouveaux objectifs ? L'aide au développement a-t-elle augmentée ? Les organisations financières et commerciales internationales (le FMI, la Banque mondiale et l'OMC) ont-elles modifié leurs politiques et leurs structures ? Et les objectifs du millénaire sont-ils la réponse adéquate à la situation sociale du monde actuel ? Plus de la moitié de la population mondiale vivant dans la pauvreté, ces objectifs ne sont-ils pas un aveu d'échec après cinquante ans de « coopération » ? La libéralisation des marchés a-t-elle tenu ses promesses de « croissance pour tous » ou a-t-elle accentué les inégalités ? L'ambition des pays riches est-elle à la hauteur des défis ? Où est passé le développement économique et social ? Où sont passés les droits économiques, sociaux et culturels et le droit au développement ? Telles sont les questions que suscite l'examen de la réalité et qui nous amène à développer dix arguments critiques à l'endroit des OMD. Premièrement, force est de constater que les `objectifs du millénaire' sont extrêmement modestes, étant donné que l'on vise à réduire seulement de moitié le nombre d'`extrêmes' pauvres en 15 ans, l'autre moitié étant sacrifiée d'office. Il s'agit de 1,2 milliards de personnes, selon les calculs - arbitraires - de la Banque mondiale qui fixe le seuil d'extrême pauvreté à moins d'un dollar étasunien de revenu par jour. Comme si les trois milliards de personnes (pratiquement la moitié de l'humanité) qui vivent avec deux dollars étasuniens par jours s'en sortaient mieux!2 D'ailleurs, n'est-il pas très pernicieux d'établir cette catégorisation de pauvre et extrême-pauvre qui occulte l'ampleur gigantesque de la misère mondiale ? Deuxièmement, les OMD ignorent totalement les causes structurelles de la pauvreté. Si l'ensemble de l'aide au développement était consacré aux OMD, la pauvreté pourrait néanmoins continuer à augmenter. Le contexte mondial dans lequel la pauvreté émerge est totalement ignoré. Troisièmement, les objectifs du millénaire ont été imposés du haut vers le bas, en dépit de tous les discours sur l'appropriation (ownership) par les pays pauvres. Ces pays n'ont aucun choix à faire prévaloir. C'est pourquoi ils doivent acquérir d'urgence une autonomie politique afin de définir eux-mêmes leurs priorités de développement, tel que le conseille la CNUCED. Quatrièmement, les OMD n'ont rien à voir avec le développement. Dans des pays où le taux de pauvreté est supérieur à 50 %, il est impossible de réduire la pauvreté sans développement économique et social afin d'augmenter les capacités productives, de développer un marché intérieur, de réduire les inégalités et d'introduire des programmes de protection sociale. Aujourd'hui, les pays pauvres produisent en première instance pour l'exportation, sans possibilité de protéger leurs productions contre les importations à bas prix des pays riches. Cinquièmement, la lutte contre la pauvreté imposée par les institutions de Bretton Woods continue de prôner la privatisation et la dérégulation. Ces politiques n'ont pas 32 encore produit de la croissance et encore moins réduit la pauvreté. Après vingt ans d'ajustements structurels, leur bilan économique et social est plutôt négatif.3 Sixièmement, si les OMD prévoient la création d'« emplois décents et productifs pour les jeunes », ils ne parlent pas du droit au travail. Pourtant, la Déclaration universelle des droits de l'homme stipule que « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. (...) Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale » (Art. 23). Quant au Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, il précise que : « Les Etats parties au présent Pacte reconnaissent le droit au travail qui comprend le droit qu'a toute personne d'obtenir la possibilité de gagner sa vie par un travail librement choisi ou accepté, et prendront des mesures appropriées pour sauvegarder ce droit » (Art. 6.1). De plus, le récent rapport de l'OIT constate que « la croissance économique n'engendre pas de création d'emplois » et que les nouveaux emplois créés sont bien « en deçà de ce qu'on pourrait qualifier de travail productif et satisfaisant ».4 Septièmement, les pays pauvres, dit-on, n'ont pas de « bonne gouvernance ». C'est tout à fait vrai et c'est inévitable après vingt ans de politiques qui affaiblissent les Etats et qui réduisent leurs ressources. Mais, peut-on parler de bonne gouvernance sans dénoncer la mauvaise gouvernance généralisée, en particulier celle du G8, du FMI, de la Banque mondiale et de façon générale des pays riches dominants ? Huitièmement, ces OMD ne seront pas réalisés faute de moyens. Selon Jeffrey Sachs, le directeur du programme du millénaire de l'ONU, les pays riches devraient dépenser entre 0,45 et 0,54 % de leur revenu national brut des pays riches en tant qu'aide au développement. Malgré l'objectif de 0,7 % fixé par l'ONU il y a 30 ans, l'aide diminue chaque année. En 2003, les pays donateurs donnaient à peine 0,25 %. Plus de 60 % de cette aide n'a jamais atteint les bénéficiaires. Les pays du G7 n'ont consacré que 0,07 % de leur revenu national brut à l'aide internationale5. Bien entendu, quel que soit leur montant, les contributions financières seules ne sauront suffire pour éradiquer la pauvreté, si elles ne sont pas accompagnées de politiques de développement respectant la volonté des peuples concernés et rompant avec la voie néolibérale au niveau économique. Neuvièmement, les promesses des pays riches ne sont pas quantifiées, contrairement aux obligations des pays pauvres. Dixièmement, la « lutte contre la pauvreté » au Sud masque l'augmentation du chômage et de la misère dans des pays du Nord, les effets des politiques néolibérales se faisant de plus en plus sentir également dans ces pays. Sachant que l'économie mondiale est dominée par le Nord et que ces politiques néfastes sont élaborées dans ces pays, comment peut-on s'attendre à ce qu'ils « luttent » contre la pauvreté ? La pauvreté : problème social et causes politiques6 Que peuvent signifier les OMD pour les centaines de milliers de travailleurs qui perdent leur revenu par la libéralisation du marché du textile ? Que peut faire la population du Niger des OMD quand les prix alimentaires montent en flèche ? Que fait le paysan mexicain qui ne peut plus vendre son maïs à cause de l'importation de maïs meilleur marché des Etats-Unis ? Les OMD pourraient contribuer à ce que les gens puissent apprendre à lire et écrire. Si, en même temps, ils perdent leur revenu, il n'y a que les statistiques sur le développement dit `humain' qui s'améliorent. De plus en plus, 33 la pauvreté est présentée comme étant un « problème multidimensionnel » et le revenu est éclipsé. L'inégalité des revenus prend des dimensions alarmantes. La pauvreté est-elle un problème des seuls individus pauvres ou est-elle un problème de l'ensemble de la société ou de la communauté internationale ? Les pays riches ne sont-ils pas responsables des politiques imposées aux pays pauvres ? La dette extérieure, les règles de l'OMC, la propriété intellectuelle, la libre circulation des capitaux, la dégradation de l'environnement ne sont-ils pas aussi à l'origine de la pauvreté extrême et des inégalités croissantes ? Comment justifier que 10 % de la population mondiale possède près de 80 % des richesses ? Chaque année, les pays pauvres remboursent au titre de la dette publique extérieure plus de 200 milliards de dollars étasuniens aux pays riches, cinq fois plus qu'ils n'en reçoivent sous forme d'aide au développement. De moins en moins de droits, de plus en plus de philanthropie Bono, le chantre de la « lutte contre la pauvreté » en Afrique a été proclamé « homme de l'année » par le magazine Time. Bill Gates finance la lutte contre le sida. Sharon Stone achète des moustiquaires pour lutter contre le paludisme. Les sociétés transnationales se déclarent en faveur de la « responsabilité sociale ». Les dons privés ne cessent d'augmenter. En même temps, les droits acquis sont démantelés. Progressivement, une indifférence à l'égard du respect des droits humains s'installe. Nous disposons de tous les moyens intellectuels, juridiques, institutionnels et matériels pour mettre fin à la pauvreté. Les droits ne sauraient être remplacés par la charité. En effet, au vu des progrès technologiques et des énormes capacités de production accumulées au cours de ces dernières décennies, la pauvreté est un scandale indicible. Elle pourrait être éradiquée totalement, tout en respectant, de façon réelle et non proclamatoire, le principe d'un développement durable. Mais pour cela il faut replacer la satisfaction des besoins humains fondamentaux de toutes et tous, de façon égalitaire, au centre de la politique mondiale de développement, et attribuer à cet objectif une priorité absolue sans les exigences de prétendue « croissance » que dictent au monde les sociétés transnationales à leur seul profit. Conclusion Dans sa résolution E/CN.4/RES/1998/25, la Commission des droits de l'homme rappelait, conformément à la Déclaration universelle des droits de l'homme et aux Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme, que « l'idéal de l'être humain libre, libéré de la crainte et de la misère, ne peut être réalisé que si sont créées les conditions permettant à chacun de jouir de ses droits économiques, sociaux et culturels aussi bien que de ses droits civils et politiques ». Ni la proclamation de la première Décennie pour l'élimination de la pauvreté par les Nations Unies (1997-2006), ni la nomination d'un expert indépendant sur la question des droits de l'homme et de l'extrême pauvreté par la Commission des droits de l'homme depuis 1998 n'ont contribué à éradiquer la pauvreté. Pour cause, la source fondamentale de la pauvreté réside dans l'organisation actuelle et l'orientation mêmes de la production, pourtant toujours plus abondante, et dans une répartition injuste de ses fruits. Tant qu'il n'y a pas de changement de politique, l'affirmation de la Commission des droits de l'homme selon laquelle : « l'extrême pauvreté et l'exclusion sociale sont des atteintes à la dignité humaine et, par conséquent, requièrent des actions urgentes, nationales et internationales, pour y mettre fin » risque de rester lettre morte. Il est temps de mettre fin à l'incohérence du système international. La politique doit 34 reprendre le pas sur l'économique et les Etats doivent assumer leurs responsabilités. Ces derniers ne peuvent, d'un côté prétendre la défense des droits humains, et de l'autre, appliquer des politiques économiques qui vont à l'encontre de ces mêmes droits.ANNEXE 5 Résultat du PNUAD Résultat de l'EPP/PAPP Résultat de l'EPP/PAPP Objectif national Résultat de l'EPP/PAPP Proclame la
Déclaration sur le droit au développement
ci-après: Résultat de l'EPP/PAPP Résultat du PNUAD Hiérarchie des résultats du système des Nations Unies et des objectifs nationaux ANNEXE 6 Projets liés à la pauvreté
Source : PNUD, Note d'information sur le Bénin, février 2008.
Projets liés à la gouvernance
Projets liés à l'environnement
Projets liés à la santé et l'éducation
Projet lié au SIDA
Projet lié à l'apprentissage informatique
ANNEXE 7 Carte : zones prioritaires pour lutter contre toutes les formes de pauvretéANNEXE 8 LES OBJECTIFS DU MILLENAIRE POUR LE DEVELOPPEMENT Les OMD en général La Déclaration du Millénaire a consacré l'adoption de 8 objectifs et 18 cibles à atteindre, d'ici à 2015, pour lutter contre la pauvreté, la faim, le VIH/SIDA, le paludisme, l'analphabétisme, la dégradation de l'environnement, la mortalité infantile et maternelle et la discrimination à l'égard des femmes. Ces objectifs sont dénommés « Objectifs du Millénaire pour le Développement » (OMD) et se déclinent comme suit : Objectif 1 : Faire disparaître l'extrême pauvreté et la faim Cible 1 : Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar par jour. Cible 2 : Réduire de moitié, entre 1990 et 2015 la proportion de la population souffrant de la faim. Objectif 2 : Garantir à tous une éducation primaire Cible 3 : D'ci à 2015, donner à tous les garçons et filles, partout dans le monde, les moyens d'achever un cycle complet d'études primaires ; Objectif 3 : Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes Cible 4 : Eliminer les disparités entre les sexes dans les enseignements primaire et secondaire d'ici à 2005, et à tous les niveaux de l'enseignement en 2015, au plus tard. Objectif 4 : Réduire la mortalité infantile Cible 5 : Réduire de deux tiers, entre 1990 et 2015, le taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans. Objectif 5 : Améliorer la santé maternelle Cible 6 : Réduire de trois quarts, entre 1990 et 2015, le taux de mortalité maternelle. Objectif 6 : Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d'autres maladies Cible 7 : D'ici à 2015, enrayer la propagation du VIH/SIDA et commencer à inverser la tendance actuelle ; Cible 8 : D'ici à 2015, enrayer la propagation du paludisme et d'autres graves maladies et commencer à inverser la tendance actuelle ; Objectif 7 : Assurer un environnement durable Cible 9 : Intégrer les principes du développement durable dans les politiques nationales et inverser la tendance actuelle à la déperdition des ressources environnementales Cible 10 : D'ici à 2015, réduire de moitié le pourcentage de la population privée d'un accès régulier à l'eau potable ; Cible 11 : Parvenir, d'ici à 2020, à améliorer sensiblement la vie d'au moins 100 millions d'habitants de taudis ; Objectif 8 : Mettre en place un partenariat mondial pour le développement Cible 12 : Instaurer un système commercial et financier plus ouvert, fondé sur des règles prévisibles et non discriminatoires, ce qui implique un engagement en faveur de la bonne gouvernance, du développement et de la lutte contre la pauvreté aussi bien au niveau national qu'international ; Cible 13 : Subvenir aux besoins spécifiques des pays les moins avancés, ce qui suppose l'admission en franchise et hors contingents de leurs exportations, un programme renforcé d'allègement de la dette et l'annulation de la dette publique bilatérale ainsi qu'une aide publique au développement plus généreuse aux pays qui démontrent leur volonté de lutter contre la pauvreté ; Cible 14 : Subvenir aux besoins spécifiques des pays enclavés et des petits Etats insulaires en développement en appliquant le Programme d'action pour le développement durable des petits Etats insulaires en développement et les conclusions de la 22ème session extraordinaire de l'Assemblée Générale ; Cible 15 : Engager une démarche globale pour régler le problème de la dette des pays en développement par des mesures nationales et internationales propres à rendre cet endettement supportable à long terme ; Cible 16 : En coopération avec les pays en développement, imaginer et appliquer des stratégies de nature à créer des emplois productifs décents pour les jeunes ; Cible 17 : En collaboration avec les laboratoires pharmaceutiques, proposer des médicaments essentiels accessibles à tous dans les pays en développement ; Cible 18 : En coopération avec le secteur privé, mettre à la disposition de tous les bienfaits des nouvelles technologies notamment celles de l'information et des communications Les objectifs et les cibles pour le Bénin 1- ELIMINER L'EXTREME PAUVRETE ET LA FAIM Cible 1 : réduire de 50% la proportion de la population béninoise vivant en dessous du seuil de pauvreté en faisant passer l'indice de pauvreté à 15% Cible 2 : Réduire de 50% le nombre de personnes souffrant de malnutrition. 2 - ASSURER UNE EDUCATION PRIMAIRE POUR TOUS Cible 3 : Assurer l'instruction primaire à tous les enfants en âge d'aller à l'école. 3- PROMOUVOIR L'EGALITE DES SEXES ET L'AUTONOMISATION DES FEMMES Cible 4 : Eliminer les disparités entre les sexes dans les enseignements primaire et secondaire d'ici à 2005 et, à tous les niveaux de l'enseignement en 2015 au plus tard. 4- REDUIRE LA MORTALITE INFANTILE Cible 5 : Réduire le taux de mortalité maternelle de 498 en 1996 à 390 pour cent mille naissances vivantes en 2015. 5- AMELIORER LA SANTE MATERNELLE Cible 6 : Réduire le taux de mortalité infanto juvénile de 168,5 pour mille en 1996 à 90 pour mille en 2015. 6- COMBATTRE LE VIH/SIDA, LE PALUDISME ET AUTRES MALADIES Cible 7 : Réduire la prévalence des IST/VIH/SIDA Cible 8 : Maîtriser le paludisme et les autres grandes maladies et commencer à inverser la tendance actuelle. 7- ASSURER UN ENVIRONNEMENT DURABLE Cible 9 : Intégrer les principes du développement durable dans les politiques nationales et inverser la tendance actuelle à la déperdition des ressources environnementales. Cible 10 : Réduire de moitié le pourcentage de la population qui n'a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable. Cible 11 : Réussir à améliorer sensiblement la condition d'au moins 2/3 des béninois vivants dans les taudis. 8- METTRE EN PLACE UN PARTENARIAT MONDIAL POUR LE DEVELOPPEMENT Cible 12 : S'attaquer aux besoins particuliers des pays les moins avancés. * 33 Projet d'appui à l'opérationnalisation des OMD et de la DSRP/droits humains * 34 Programme d'appui aux exportations * 35 Projet d'appui au renforcement et à la modernisation de l'Assemblée nationale * 36 Projet d'appui à la presse écrite béninoise * 37 Appui au Programme de Renforcement de Capacités des Communes et de l'ANCB pour la mise en oeuvre du DSRP2 * 38 Projet de développement local et d'appui aux communes de l'Alibori. * 39 Projet d'Appui à la bonne gouvernance et à la consolidation de la démocratie à travers la mise en oeuvre du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs * 40 Projet d'appui à la réforme administrative et institutionnelle. * 41 Projet d'Appui à la consolidation de la démocratie à travers le renforcement de la représentation des femmes dans les instances de prise de décision publique et politique. * 42 Projet d'appui à la mise en oeuvre du Programme national de gestion de l'environnement. * 43 Programme d'action national d'adaptation aux changements climatiques. * 44 Auto-évaluation des capacités nationales à renforcer pour la gestion de l'environnement mondial. * 45 Programme de micro financement du Fonds pour l'environnement mondial. * 46 Projet d'appui à la mise en oeuvre du Plan stratégique national de lutte contre le VIH/sida * 47 Projet d'appui à la stratégie d'implantation des nouvelles technologies de l'information et de la communication. |
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