CONLUSION
Nous nous sommes donné la peine de parcourir toute la
province douanière de l'Equateur en vue de voir et palper du doigt tout
son patrimoine.
L'impuissance de l'OFIDA par rapport à la spoliation de
ses immeubles a retenu notre attention. Le manque d'outils de travail et de
moyens de transport pour assurer la mouvance des agents devant lutter contre la
fraude tout en surveillant les frontières constitue aussi un
sérieux problème.
Nous estimons que l'office est doté de la division
juridique à laquelle revient la charge de suivre et d'intenter contre
les spoliateurs, afin de récupérer ses biens.
Aussi, faut - il que l'OFIDA par sa division des services
généraux programme la construction des infrastructures et la
réhabilitation de celles qui existent en état défectueux
pour que soit assurée aux agents la sécurité dans
l'exercice de leur fonction, et cela dans des conditions les plus humaines avec
des outils de travail appropriés. Car, les quelques matériels
qu'on utilise doivent être déclassés.
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