à‰laboration des politiques sportive et financière( Télécharger le fichier original )par Lotfi KHALFAT Institut wallon de Formation en Alternance et des Indépendants et des Petites et Moyennes Entreprises, Belgique - Brevet de gestionnaire d'infrastructures sportives 2008 |
2. Répartition détaillée de la population des moins de 20 ans
25,94% de la population a moins de 20 ans à Grez-Doiceau. Au niveau national, le chiffre est de 23,06% pour cette même tranche d'âge. 3. Répartition détaillée de la population des plus de 55 ans
On constate que 27,52% de la population a plus de 55 ans et que 15,30% de la population de Grez-Doiceau a atteint l'âge de la pension (65 ans). Au niveau national, les chiffres respectifs sont de 28,68% pour les plus de 55 ans et de 17,10% pour les plus de 65 ans. 4. Revenu de la population (étude comparative)
Au vu de ce tableau, on peut dire que la population de Grez-Doiceau est plutôt active et plus jeune que la moyenne nationale. Le pourcentage de personnes qu'on peut classer dans les seniors ou ayant atteint l'âge de la retraite est moins important qu'au niveau national. Le revenu par habitant est largement supérieur aux entités significatives des environs. Tous ces éléments forment un faisceau d'indices qui peuvent signifier que cette population pourrait être sensibilisée à la pratique sportive et qu'une demande existe bien. B. Historique du centre sportif Voici ce que nous pouvons trouver actuellement sur le site de la commune de Grez-Doiceau au sujet du futur centre sportif : « Les gréziens attendent depuis de nombreuses années d'avoir accès à un espace où la pratique de nombreux sports serait possible. Ceci va être rendu possible avec l'inauguration début 2009 du nouveau hall omnisports. Débuté en juillet 2007, les travaux avancent bien et les délais de l'entrepreneur seront tenus. Le hall se situera entre Grez et Bossut, à la fin du nouveau tronçon de la RN25. Le Conseil communal a délégué la gestion du hall omnisports à une Régie communale autonome. Celle-ci est composée d'un Conseil d'administration et d'un Comité de direction qui travaillent ardemment pour mettre sur pied une gestion très efficace du hall et pouvoir ainsi en faire profiter les sportifs un maximum. La pratique de nombreux sports y sera possible. Citons par exemple des sports collectifs tels que le volley, basket, mini-foot, hockey en salle et handball. D'autres disciplines telles que badminton, tennis de table, escalade, danse, step, tai chi, boxe, différents arts martiaux,... seront aussi possibles, si l'encadrement par un club est proposé. En effet, outre une grande salle de 24m x 44m, un mur d'escalade de 8m et deux salles en sous-sols de 13m x 14m composeront l'infrastructure. Et après l'activité sportive, un moment de détente entre amis sera possible dans une cafétéria surplombant la grande salle. Boire un verre sur terrasse donnant sur la campagne sera également possible ! Petit à petit, le mode de gestion de ce hall se décide et les clubs intéressés pour occuper l'infrastructure se font connaître. » Tout n'a pourtant pas été aussi facile qu'il pourrait y paraître. Il semblerait qu'en 1991, la décision de doter la commune d'un centre sportif s'appuyait sur la simple constatation que les communes voisines de taille équivalente à Grez-Doiceau disposaient toutes d'un complexe sportif. Les entretiens que j'ai pu mener auprès des deux échevins ne permettent pas de dire avec certitude que ce besoin ait été objectivé d'une quelconque manière à l'époque. Le besoin de la construction d'un centre sportif était-il réel ou influencé par des motivations politiques ? Quoi qu'il en soit, cette décision se concrétisa par l'achat d'un terrain entre Archène et Florival (site appelé le « Bouly »). Ce site était voué à être utilisé comme réserve naturelle de la Région wallonne et comme espace communautaire, sous la forme d'un hall omnisport. En 1994, des plans ont été élaborés pour la construction d'un hall omnisport (projet beaucoup plus modeste que le projet actuel). De 1994 à 2000, l'équipe pluraliste du bourgmestre Van Bever (PS) essaye de mettre toutes les composantes politiques d'accord sur le principe même du hall omnisport mais le MR n'est pas d'accord sur la localisation du centre sportif, ce qui crée des tensions politiques profondes et le dossier du centre sportif devient un enjeu politique central à Grez-Doiceau. Il est intéressant de noter qu'une demande de subside auprès du ministre de la Région wallonne avait été introduite en 1996 et que la promesse de subsides pour la construction du centre sportif aurait même déjà obtenue en 1998. En janvier 2001, M. Barbier, échevin des sports de l'époque, tente de relancer le projet de centre sportif mais une forte résistance se manifeste à nouveau dans l'opposition (MR) et au niveau de la population, qui ne voient pas d'un bon oeil, l'implantation du centre sportif sur le site du Bouly. L'année 2002, coïncide avec le décès du Bourgmestre Van Bever et avec l'achat d'un terrain avec constructions (deux hangars et une maison adjacente) par la commune. La position de ce bien est plus centrale, elle n'entraîne plus l'opposition d'une partie de la population et une large majorité approuve le dossier en... mars 2004. A partir de ce moment, le dossier est déposé à la Région wallonne. A la mi 2006, une promesse ferme de subsides est obtenue (1 600 000,00 euros sur 3 000 000,00 euros nécessaires à la construction). Si on est partisan d'une vision positive, on dira qu'il aura fallu 17 ans à la commune de Grez-Doiceau pour obtenir un projet qui finalement est beaucoup plus conséquent et ambitieux que celui de départ et que ce projet est soutenu par l'ensemble de la population et par toute la classe politique. Si on porte un regard plus négatif sur ce dossier, on dira que les tensions politiques ont amenées une quinzaine d'années de retard dans un projet qui aura coûté l'achat de deux terrains. Quinze années où finalement les différents partis auront peut-être passé plus de temps à revendiquer la paternité d'un projet qu'à le concevoir réellement (voir la revue de presse en annexe). C. La sociologie des publics L'échevin des sports a mené, et mène encore, des consultations auprès des clubs de la commune pour les sonder concernant leurs attentes par rapport au centre sportif. La démarche initiale se voulait objective et la plus rigoureuse possible vu les moyens disponibles. Il faut cependant constater qu'il sera difficile de dégager des éléments utilisables et quantifiables sans l'utilisation d'un outil standardisé. Cette remarque vaut aussi concernant les attentes des pratiquants « auto-organisés » (hors associations). Peut-on se baser uniquement sur une analyse statistique de la population (âge, revenus, etc.) pour espérer dégager les comportements sportifs des différentes couches de la population ? Les seuls outils de mesure sur lesquels on peut s'appuyer sont des enquêtes statistiques existantes au niveau national ou régional. On pourra se référer, par exemple, aux enquêtes reprises ci-dessous.
De manière générale, on peut dire qu'on est moins sportif en Wallonie qu'en Flandre ou à Bruxelles mais que la tendance à une pratique plus régulière et plus fréquente est la même dans tout le pays.
Les motivations et les disciplines pratiquées peuvent permettre de mieux comprendre les comportements des pratiquants. Il est intéressant de noter le statut quo dans plusieurs disciplines et la progression du cyclisme et de la natation entre 1998 et 2000. La faiblesse de cette enquête est qu'elle a déjà 8 ans et qu'on a peu de moyens objectifs pour confirmer ces tendances.
Comme aucune statistique précise n'est disponible au niveau communal et qu'aucune enquête statistique récente n'a été menée en Belgique, à ma connaissance, on peut essayer d'explorer des pistes différentes. La sociologie du sport en est une. Cette discipline s'intéresse au fonctionnement de la réalité sportive. La sociologie du sport cherche donc à analyser les relations entre les activités sportives et la société. Elle vise également à décrire le sport comme fait social, à expliquer les pratiques et comportements et à comprendre les interactions qu'ils peuvent avoir avec les structures sociales. Les questions que nous pouvons nous poser sont diverses. Combien d'habitants d'un même territoire font du sport ? A quelle activité physique s'adonnent-ils ? Où se déroulent ces pratiques sportives ? Y a-t-il une régulation de l'offre et de la demande ? Etc. Expliquer la réalité sportive d'une région, c'est déchiffrer cet ensemble en termes de liens de causalité. Et cela entraîne d'autres questions. Qui pratique tel sport ? Y a-t-il un lien entre tel groupe social et tel type d'activité ? Le travail qui a été mené par les autorités communales n'aurait-il pas du être complété par des sociologues spécialisés ? Des enquêtes et questionnaires structurés auraient sans doute permis de dégager des conclusions plus claires sur les profils des pratiquants et sur les besoins des clubs. Il est intéressant de noter que ce type de démarche se généralise pour des clubs privés (A titre d'exemple, le Royal Léopold Tennis Club a mené ce type de sondage auprès de ses 2000 membres en 2007 pour opérer un changement de stratégie au niveau de sa politique sportive) mais que les autorités communales sont encore réticentes ou n'y songent pas. Je propose de développer dans les prochaines lignes deux points théoriques directement liés à la sociologie des publics et qui m'interpellent particulièrement. Ces deux points peuvent, par exemple, être intégrés à un projet de politique sportive dans une commune comme celle de Grez-Doiceau, il s'agit « du sport et des classes sociales » et « du sport au féminin ». 1. Le sport et les classes sociales L'engagement dans le sport ne doit pas faire oublier que l'athlète est avant tout un individu caractérisé par son sexe, son âge et son groupe social. Envisager le sport par le biais des classes sociales des pratiquants est indispensable pour mettre en évidence une éventuelle inégalité d'accès à la pratique sportive. Cette différenciation sociale dans l'engagement sportif est attestée par l'ensemble des enquêtes sur la pratique sportive. Qu'observe-t-on ? On y observe que les agriculteurs et ouvriers pratiquent moins souvent que les professions intellectuelles. Cependant, cette différence s'atténue. D'après les enquêtes INSEE de 1966 et de 2000, en un peu plus de 30 ans, on est passé d'un agriculteur sur vingt à deux sur trois qui affirment faire du sport. Ceci nous mène à une autre question : « les classes sociales sont-elles représentées de la même manière dans une discipline donnée ? » En fait, l'engagement dans une discipline sportive répond autant à une logique sociale qu'à une logique économique. La probabilité de s'engager dans un sport est donc liée aux affinités entre les caractéristiques de l'activité et les groupes sociaux. Par exemple, les pratiques physiques à dominante énergétique ou orientée vers l'utilisation de la force, avec peu d'incertitude informationnelle et une faible distance de garde, se situent en bas de l'espace social (boxe, football, lutte, haltérophilie, etc.). A l'opposé, les activités mobilisant réflexes ou grâce, à fort caractère informationnel et nécessitant la maîtrise d'un instrument, se positionnent en haut de l'espace social (golf, tennis, voile, etc.). Ces théories étaient fort en vogue depuis les années '70 mais elles peinent face à la complexité croissante des modalités de pratiques (voir enquête de l'INSEP en 2000). La tendance pour la même personne à pratiquer plusieurs activités en même temps et l'émergence d'un « zapping » sportif, qui sont pour beaucoup de dirigeants sportifs considérés comme une tare, seraient peut être finalement le reflet d'une ouverture de l'ensemble des pratiques sportives. Si tel était le cas, ne serait-il pas préférable de favoriser la pratique multi-sport dès le plus jeune âge pour dépasser les clivages sociaux ? Cette vision rejoindrait d'ailleurs celle des formateurs sportifs qui ne préconisent pas une spécialisation trop précoce des enfants. 2. Le sport au féminin Pourquoi développer le sport féminin (il est intéressant de noter au passage qu'on ne parle jamais de sport « masculin ») ? Le sport au féminin pose-t-il un réel problème d'organisation? Le premier constat qu'on peut faire est que le sport est à l'image de la société, il est inégalitaire et ce, même si les femmes représentent plus de 50% de la population. Les femmes n'accèdent ni aux mêmes activités sportives, ni, dans une même discipline, aux mêmes modalités de pratique ou d'encadrement que les hommes. Autre constat, les femmes sont sous-représentées parmi les gestionnaires, entraîneurs ou autres officiels. L'absence de modèles féminins dans le sport constitue un frein au développement du sport féminin. Comparées aux hommes, les femmes investissent également le sport d'une manière différente. Les femmes semblent moins attirées par la compétition, elles pratiquent le sport plus souvent en dehors des clubs et associations. Toutes les enquêtes mènent au même constat : les femmes sont surreprésentées dans les activités à dominante hygiénique (bien être, détente) ou esthétique et sous-représentées dans celles présentant un caractère trop physique. Plus encore que chez les hommes, plus on s'élève dans l'échelle sociale (groupes sociaux bien dotés en capital culturel - le capital économique n'a d'influence que pour les pratiques coûteuses et symboles de standing social), et plus la femme s'émancipe en pratiquant une activité sportive. Que peut-on en déduire ? On peut en déduire que si l'offre sportive correspond aux attentes du public féminin, on a de fortes chances de toucher cette cible. Et c'est encore plus vrai dans un environnement socialement favorisé comme l'est la commune de Grez-Doiceau. Cette constatation qui peut paraître banale n'est pourtant que rarement appliquée au vu des programmes sportifs proposés dans de nombreuses entités. 1. La location de terrains sportifs couverts et extérieurs Les espaces sportifs mis en location par le futur centre sportif de Grez-Doiceau seront de différents types. Il y aura tout d'abord une grande salle omnisport où tous les sports traditionnels pourront être pratiqués sauf le tennis. On peut également relever la présence d'une salle polyvalente où des disciplines tels que la boxe, le step ou le taï-chi pourront être pratiqués. Une salle sera également aménagée en dojo et pour finir, on peut relever la présence d'un mur d'escalade. Pour les espaces extérieurs, actuellement rien n'est prévu même si du terrain est disponible. La politique de tarification des locations devrait s'appuyer sur les entretiens menés auprès des centres sportifs de la région mais aussi sur les capacités financières supérieures à la moyenne nationale des habitants de Grez-Doiceau. Les tarifs de base devraient donc être légèrement supérieurs à ce qui est pratiqué dans les environs. Une politique de tarifs dégressifs devrait être proposée aux clubs de la commune et des tarifs encore plus avantageux aux clubs répondant aux conditions de contractualisation que la commune compte proposer (voir infra). 2. Les locations extra sportives
Le centre sportif dispose d'une salle de réunion mais celle-ci ne disposerait pas d'atouts suffisants que pour faire l'objet d'une location. Le fait qu'elle soit de taille trop petite et qu'elle jouxte la cafétéria (nuisances sonores) la pénalise fortement. Cette salle sera donc vraisemblablement mise gratuitement à disposition des utilisateurs. Vu la demande croissante des sociétés pour organiser des séminaires et des événements à caractère sportif, une vraie salle de réunion aurait clairement été un plus pour le centre sportif. 3. Le club house (bar et restaurant) Au niveau de la cafétéria, la solution qui se dégage serait de faire appel à un gérant indépendant mais sans passer par un bail commercial. Le fond de commerce ne serait donc pas cédé au gérant indépendant et un engagement contractuel lui serait demandé sur une période de 4 à 7 ans. Le contrat de brasserie et le mobilier resteraient donc du ressort de la régie communale autonome. Cette solution s'est dégagée par la crainte du turn-over (au niveau de l'échevin des sports, on évoque une moyenne de 18 mois) constaté dans les autres centres sportifs au niveau de la gestion des cafétérias. Que constate-t-on au niveau des autorités communales ? Il y a une volonté affichée de garder un contrôle maximum et d'assurer le plus possible la continuité même si cela doit se faire au détriment de la rentabilité financière (loyer relativement faible au détriment d'une gestion directe qui pourrait procurer des retombés financières plus conséquentes). Quid du sponsoring dans le futur centre sportif de Grez-Doiceau ? Existe-t-il une crainte de voir le « privé » s'impliquer dans le projet communal ? Au vu des entretiens que j'ai pu avoir avec l'échevin des sports, la question du sponsoring n'est pas une priorité pour l'instant au niveau des autorités communales. Dans l'esprit de certains, le sponsoring ne serait-il pas confondu avec une sorte d'actionnariat ? On peut le regretter car ce poste aurait pu être une rentrée financière non négligeable et ce, surtout sur une commune comme celle de Grez-Doiceau où le pouvoir d'achat est très important. Sous un autre angle, la question du sponsoring a-t-elle été envisagée comme un moyen de se faire connaître ou comme une manière d'associer le nom du centre sportif à des marques prestigieuses ou de renom ? Le fait que le sponsoring n'ait pas été considéré comme un élément important au niveau financier est dommage mais peut-être plus grave, il n'a pas du tout été, jusqu'à présent, considéré comme un vecteur de communication possible. 5. Les subsides communaux et communautaires Le projet aura finalement coûté un peu moins de 3 millions d'euros et la Région wallonne est intervenue à hauteur de 1,6 millions d'euros pour la construction du centre sportif. A côté de cette somme, un emprunt a été contracté pour 1,4 millions d'euros. Le choix de passer par un financement bancaire est un choix purement stratégique car selon l'échevin des sports, la commune aurait pu réaliser cet effort sur base de fonds propres. Notons également que la régie communale autonome compte introduire un dossier de reconnaissance en CSL dans les prochains mois pour pouvoir bénéficier du subventionnement du salaire du gestionnaire du centre sportif. Dans ce contexte, il est étonnant de constater qu'aucun bilan prévisionnel de fonctionnement n'a encore vu le jour. III. Stratégie du centre sportif L'échevin des sports de la commune de Grez-Doiceau, Nicolas Cordier, et moi-même avons déterminé des critères pour définir une liste de centres sportifs présentant un profil similaire au futur centre sportif de Grez-Doiceau. Avec l'aide de l'AES une liste de centres sportifs a été établie avec un degré de priorité (1 ou 2 dans le tableau ci -dessous) pour les consultations qui devaient être menées ultérieurement auprès des gestionnaires en place La liste des centres sportifs sélectionnés est la suivante :
L'idée initiale était d'élaborer un questionnaire à l'attention des gestionnaires de centres sportifs et de le soumettre à ceux-ci. Ce questionnaire est resté à l'état d'ébauche (voir annexes) car les autorités communales ont estimé ne pas devoir supporter le financement de mes frais de déplacement sur ces sites (économie d'une centaine d'euros). La solution qui a été finalement adoptée par l'échevin des sports et le conseil communal a consisté à mener directement des entretiens informels (voir en annexe pour la grille d'analyse élaborée par le Comité de direction, et qui n'a finalement pas été utilisée), auprès des gestionnaires ciblés. Les entretiens ont donc été menés par l'échevin en personne sous la forme de « visites guidées ». Il est permis de s'interroger sur la qualité des données ainsi récoltées comparativement à la somme d'informations qu'aurait pu apporter un questionnaire structuré. Seront-elles tangibles et mesurables ? Seront-elles utilisables dans le cadre des futures politiques sportives et tarifaires ? L'avenir nous le dira... 2. L'offre sportive complémentaire Les clubs sportifs sont nombreux sur le territoire communal. Je vais me limiter à la description de deux d'entre eux qui sont représentatifs de la spécificité économique de la commune de Grez-Doiceau : le Tennis Club Châtaignier et le Golf du Bercuit. Le Tennis Club Châtaignier Le Tennis Club Le Châtaignier est un club comprenant quatre terrains extérieurs et trois terrains couverts. Il dispose d'un club house et d'un restaurant. Il y a également une boutique destinée à la vente d'équipements, de fournitures et de raquettes pour la pratique du tennis. Le club est situé sur la commune de Grez-Doiceau dans le domaine du Bercuit qui est un quartier de haut standing. Le Golf du Bercuit C'est un 18 trous de haut standing qui est également situé sur le domaine du Bercuit. Notons qu'en 2007, le golf du Bercuit s'est doté d'un nouveau practice. Ce programme de rénovation sera complété en fin d'année par un réaménagement complet des espaces bar-restaurant, bridge et salles de réunions, la restauration étant assurée par les restaurateurs du club. 3. Les associations socioculturelles Voici un tableau récapitulatif des activités extrascolaires organisées par la commune de Grez-Doiceau avec des particuliers et des ASBL socioculturelles. Ces ateliers sont adressés en priorité aux enfants de 2,5 à 12 ans, inscrits dans les garderies scolaires des écoles de l'entité. Le projet a été mis en place afin de proposer aux enfants, après leur journée d'école, des activités de qualité, animées par des professionnels.
Il existe également une Académie de musique et des arts parlés qui est financée par la Communauté française. |
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