| On obtiens  A ?  = U  et  A ? = 
.Exemple en logique floue : Soit un ensemble de référence U = { a , b , c , d ,
e , f , g }. Soit C et D deux sous-ensembles de U . 
| C | 0.4 | 0.8 | 1 | 0.8 | 0.2 | 0.5 | 0.1 |  
| D | 0 | 0.5 | 0.3 | 0.9 | 1 | 0.7 | 0 | 
                             a            b           c          
  d            e             f             g   
|   | 0.6 | 0.2 | 0 | 0.2 | 0.8 | 0.5 | 0.9 |  
| 
CnD | 0 | 0.5 | 0.3 | 0.8 | 0.2 | 0.5 | 0 |  
| 
C?D | 0.4 | 0.8 | 1 | 0.9 | 1 | 0.7 | 0.1 |  
| 
Cn | 0.4 | 0.2 | 0 | 0.2 | 0.2 | 0.5 | 0.1 |  
| 
C? | 0.6 | 0.8 | 1 | 0.8 | 0.8 | 0.5 | 0.9 | 
On obtiens :  Cn     ET   C ?   U  . D. Le produit cartésien : 
Soient A1 , A2 , ... , An des ensembles flous
définis sur les univers de discours U1 , U2 , ... , Un respectivement ,
leur produit cartésien est un ensemble flou ( relation flou )
noté par :
A = A1 . A2 . .... An  ,  avec une fonction d'appartenance
définis par : ìA1. A2.... An ( x1 x2
... xn ) = min [ ìA1 (x1) ,
ìA2 (x2) , ... ,
ìAn(xn) ]    .             ( I . 10) Chapitre 1 : La logique floue Exemple :                                                             ìA1
(x1)             ìA2 (x2)                                                                      
ìA1 (x1)   ìA2
(x2)                                       Figure I.6
: le produit cartésien en logique floue . E. La concentration de A : La concentration de A noté con (A) est défini
par :                                                ì
conA (x) = ì²A(x)                            
    ( I . 11) F. La dilatation : La dilatation de A noté dil (A) est défini
par :                                                             
                                 ì dil(x) =
vìA(x)                                 ( I . 12)   G. Egalité et inclusion des sous ensemble
flous : Deux sous ensembles flous A et B sont égaux , si leur
fonctions d'appartenance prennent la même valeur pour tout
élément de U :                                                                                       x  U :
ìA(x) = ìB(x)                            (
I . 13) H. Normes et conormes triangulaire : une norme triangulaire (t-norme) est une fonction :                                              T :  [0.1] .
[0.1]    [0.1]   qui vérifie la commutativité l'associativité
et un élément neutre 1 . Chapitre 1 : La logique floue cas particulier :  L'opérateur  T = min  est une norme triangulaire , toute
t-norme peut servir à définir l'intersection de deux sous
ensembles flous A et B , tel que  C = A nT B  , que l'on associe une
fonction d'appartenance définis par :                                          x  U : 
ìc(x)  =  T (ìA (x) ,
ìB(x) )                 (I . 14) Une conorme triangulaire ( t-conorme ) est une fonction :                                           ?: [0.1] . [0.1]   
[0.1]  qui vérifie la commutativité ,
l'associativité et un élément neutre 0 . Toute t-conorme peut servir à définir l'union de
deux sous ensembles flous A et B ,  tel que : D = A?T B , que l'on associe une fonction
d'appartenance définie par :                                                                                                   x  U : 
ìD(x)  = ?  ( ìA(x) ,
ìB(x) )                 (I . 15) Toute norme a une co-norme associé (et vis versa ) par les
lois de Morgan :                                ?( x , y ) = 1 - T (1-x , 1-y )                                        T ( x , y ) = 1- ? (1-x ,
1-y) Parmi les couples normes/co-normes d'opérateurs T/ ?  ,
min / max est le plus fréquemment utilisé car il maintien le plus
grand nombres des propriétés de l'intersection et de l'union
habituelles , bien qu'il existe d'autre opérateurs comme [8]
. |