FACULTE DES SCIENCES DE GESTION FILIERE : GESTION DES
ENTREPRISES
ETUDE DE LA PERCEPTION DE L'ACTIONNARIAT ET L'OUVERTURE
DU CAPITAL DANS LES ENTREPRISES DE LA VILLE DE LUBUMBASHI
Travail de Fin d'Études présenté et
défendu en vue de l'obtention du grade de Licencié en Sciences de
Gestion Option : Gestion des Entreprises
JUILLET 2020
Par : AKSANTI NYAMULULA
JUILLET 2020
FACULTE DES SCIENCES DE GESTION FILIERE : GESTION DES
ENTREPRISES
ETUDE DE LA PERCEPTION DE L'ACTIONNARIAT ET L'OUVERTURE
DU CAPITAL DANS LES ENTREPRISES DE LA VILLE DE LUBUMBASHI
Travail de Fin d'Études présenté et
défendu en vue de l'obtention du grade de Licencié en Sciences de
Gestion Option : Gestion des Entreprises
Par : AKSANTI NYAMULULA
Directeur : MONGONGO DOSA Pacifique Grade :
Professeur (PhD)
Rapporteur : Memita Geisla
Grade : Assistante
II
Épigraphe
« Même la grande entreprise, confrontée
à l'évolution de son marché, doit innover pour rester
pérenne et parfois trouver des moyens de diviser ses risques,
c'est-à-dire, trouver des cofinancements, de façon à
multiplier ses propres moyens, élargir son champ de manoeuvre, et rendre
moins discontinus les résultats »
(Choinel, A., 2000).
III
Dédicace
? A mes très chers parents Benjamin
NYAMULULA et Déodat M'CIKALA, pour leur amour
sans pareil, leur affection, et surtout pour m'avoir ouvert le chemin du savoir
afin de devenir utile à la société ;
? A mon grand frère Kasole KULIMUSHI
ainsi qu'à ma belle-soeur Furaha KALUME, sans
qui je ne présenterais un tel travail. Pour leur sacrifice, leur
affection, leur tolérance, leur dévouement, et pour tout ce
qu'ils ont toujours fait à mon égard ;
? A mon cousin et ami proche, Kabumba MUSAFIRI
et sa femme Inès CINAMA pour leur soutien
inconditionnel.
IV
Remerciements
Nos remerciements s'adressent avant tout à
l'Éternel Dieu tout puissant, source de vie, du savoir et auteur de mon
être. Lui qui a fait de moi ce que je suis et qui continue à
conduire mes pas vers le succès.
A tous les membres de ma famille, pour leur amour infini, leur
soutien de toute nature et surtout pour leurs prières.
Au corps professoral de la faculté des Sciences
de gestion de l'Université Nouveaux Horizons, pour leur
formation reçue pendant ces trois ans de cycle de licence sous
l'égide du Doyen LUMONANSONI MAKWALA Félix.
Au professeur MONGONGO DOSA Pacifique, lui
qui n'a aménagé aucun effort pour la réussite de ce
travail. Malgré ses multiples occupations, s'est disposé à
mon égard, en me dirigeant dès la conception, pendant les
recherches jusqu'à produire ce mémoire.
A Monsieur MUMBA Paul et Madame
Memita Geisla respectivement Chef de travaux et Assistante
à l'UNH, qui ont accepté de m'encadrer malgré toutes les
contraintes auxquels ont fait face.
A mes compagnons de lutte avec qui nous avons marché la
main dans la main, bravant vents et marrées jusqu'à ce dernier
sacre de notre cursus de licence. Je pense particulièrement à
Vanessa BOSSESSILO, Nora TSHIBWABWA, Glody's MUKUNA,
Thérèse LUKONDE et
Aux entreprises qui ont répondu à notre
questionnaire d'enquête sans lesquelles la réussite de ce travail
serait vaine.
A tous ceux-ci et autres ayant participé de près
ou de loin au succès de ce travail, je présente ma profonde
gratitude.
AKSANTI NYAMULULA
V
Note de synthèse
Ce travail est le fruit de recherche
sanctionnant notre cursus académique après 3 ans
d'études dans le système Licence-Master-Doctorat
(LMD en sigle) à l'Université Nouveaux Horizons, en vue de
l'obtention du diplôme de licence en sciences de gestion, option gestion
des entreprises. Il ressort d'une observation ayant abouti à une
problématique se résumant en la question : Pourquoi
la plupart des entreprises de Lubumbashi n'ouvrent pas leur capital à
l'épargne du publique malgré leurs besoins en financement et les
difficultés d'obtenir un financement par l'intermédiation des
banques commerciales ? Fondée sur la théorie des
couts, théorie des signaux et la théorie d'agence, grâce
à une enquête menée sur un échantillon de 36
entreprises et dont les informations fournies ont servi des données qui
ont été traitées par des analyses factorielles de
correspondance (AFC) et un modèle de régression logistique. Les
résultats confirment nos hypothèses de départ : (1) Les
entrepreneurs fondateurs ont la crainte de perdre le contrôle et une
partie des dividendes de leurs entreprises en acceptant d'autres actionnaires
et que (2) sur le plan managérial, les raisons qu'ils avancent et les
décisions qui en découlent ne sont pas fondées. Il en
découle un cout d'isolement contre lequel ce travail recommande aux
entrepreneurs de la place de s'émanciper de leurs fausses perceptions en
ouvrant autant que nécessaire et possible leurs capitaux à
l'épargne du publique.
VI
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