i
EPIGRAPHE
« Rendez donc à César ce qui est à
César, et à Dieu ce qui est à Dieu»
Matthieu 22, 21
DEDICACE
A nos parents ; a tous nos frères et A toutes nos
soeurs et frères; A tous nos camarades ;
A toutes nos connaissances
Nous dédions ce travail.
Bienvenu Audry KACHUKI
iii
REMERCIEMENTS
Nous voici au terme de nos études du premier cycle de
graduat en option informatique, nous voudrions remercier ceux qui nous ont
soutenu pour ce présent travail qui n'est nullement les fruits du
hasard, ni de notre effort personnel, mais le résultat du concours de
plusieurs personnes.
Nos remerciements s'adressent à l'Eternel Dieu tout
puissant, qui jusqu'à présent n'a
cesse de nous assister par ses biens faits et
bénédictions, honneur et louange a lui éternellement.
Il nous serait ingrat de passer sous silence et de ne pas
reconnaître la contribution combien louable et grande devant le corps
professionnel de l'Institut Supérieur de Commerce en sigle ISC à
notre formation humaine et intellectuelle. Qu'il nous soit permis d'exprimer
d'une manière très particulière nos sentiments de profonde
gratitude à notre directeur l'Assistant IT Elisée KAMBALE
SIWAYITIRA qui en dépit de ces multiples occupations a suivi
étape par étape l'évolution de notre parcours, sans oublie
notre encadreur Janvier KIKONGO KAMBALE pour son bon encadrement
intellectuel.
Nos remerciements s'adressent à notre Père
TSHOMBA YEMBA et Mère Fabiola
KWITONDA pour les sacrifices qu'ils ne cessent de consentir en
notre faveur malgré leurs multiples responsabilités et la
conjoncture actuelle;
Que la famille KACHUKI et KWITONDA
en particulier notre oncle Aimedo MASIMANGO, Charles KWITONDA, Martine
MWENZE, Jeanne KWITONDA, Cécile GARAGWIRA, Cécile KAJIMBWAMI
trouvent ici l'expression de notre profonde gratitude sans oublier la famille
MOUSSA KAMZEE et Maman Regina KACHUKI.
En nos frères et soeurs en Christ du groupe Renouveau
Charismatique Catholique HOZANA pour leurs soutiens morales et spirituels;
iv
Nos remerciements s'adressent enfin à Mr SAIBA,
Timothée MOTO, Furaha NICOLE, Tambwe YEMBA, Shela YEMBA, Djodjo YEMBA,
Martine YEMBA, Gloire YEMBA, Sarah YEMBA, Fortine YEMBA, Alain KACHUKI, Nepos
KACHUKI, Dady KACHUKI, Esperance NTAGAZIGWA , Francine KAMANZI, Bernadette
ZAWADI, Edouard MUNTU, Thierry KASEREKA, Amisi MUMBERE ABDL_karim ainsi tous
les camarades.
Bienvenu Audry KACHUKI
v
SIGLES ET ABREVIATIONS
AB : Automatisé Batch;
AC : Automatisé conversationnelle;
M : Manuel;
ISC : Institut Supérieur de Commerce;
MCC : Modèle Conceptuel de Communication;
MCD : Modèle Conceptuel de Données;
MCT : Modèle Conceptuel des Traitements;
MOT : Modèle Organisationnel des Traitements;
MERISE : Méthode d'Etude et de Recherche en Informatique
par le Système
d'Information;
MLD : Modèle Logique de Données;
MLT : Modèle Logique des Traitements;
MPD : Modèle Physique de Données;
MAJ : Mise à jour;
SI : Système d'Information;
RO : Règles d'Organisation;
RG : Règles de gestion;
PF : Procédure Fonctionnelle;
BD : Base de Données;
DNS : Domain Name Server
FTP : File Transfert Protocol
WAN : Wide Area Network
LAN : Local Area Network
MAN : Métropolitain Area Network
URL : Uniform Ressource Locator
WWW : World Wide Web
1
INTRODUCTION GENERALE
1. ETAT DE LA QUESTION
Tout travail, qu'il soit réalisé
individuellement ou en équipe, vise à atteindre un ou plusieurs
objectifs.
Ceux-ci sont fixés dans la phase de préparation.
Ils servent à motiver le (s) réalisateur (s) de la tâche;
il est donc important de savoir si, à l'issue de travail, les objectifs
sont atteints ou non et de solder ce travail par un résultat concret et
précis1.
Dans toute organisation productrice des biens ou des services
deux facteurs sont indispensables : le facteur humain et le facteur
matériel.
Beaucoup de sujets en rapport avec la conception d'un site web
ont déjà été traités par nos ainés de
différentes manières.
? Eddy Jacques MUGISHO IMANI2 a
travaillé sur la conception d'un site web statique pour des
écoles secondaires conventionnées catholiques pour aboutir aux
résultats structurés de la fiche d'inscription pour chaque
école conventionnée ainsi que des informations relatives à
chaque école. Il a publie les pages suivantes: Page d'accueil,
historique, fonctionnement, inscription, présentation et contact;
? MIGISHA NYARUSAZA Joseph3 a
travaillé sur conception et implantation d'un site web dynamique au sein
du lycée Kimbilio pour aboutir aux résultats structurés du
palmarès des élèves; un site web dynamique faciliterait
les opérations liées à la structure de traitement des
informations relatives aux élèves du Lycée KIMBILIO.
A ce qui concerne notre travail, notre apport va se borner sur
la conception et implantation d'un site web dynamique en respectant toutes les
fonctionnalités nécessaires ainsi que la connexion avec la base
de données.
1 Maryse GUITTARD, Séverine NECHEM, Annie
SOUSTRADE, Communication Terminale BEP, 36, rue
Saint-Germain - l'Auxerrois- 75001 Paris, p 31
2 Eddy jacques MUGISHO, Conception d'un site web des
écoles secondaires dans la ville de Goma gérées par la
COEC, TFC, inédit, ISC/Goma, 2006-2007
3 MUGISHA NYARUSAZA Joseph, Conception et
Implantation d'un site web dynamique au sein du lycée Kimbilio,
Mémoire, inédit, ISC/Goma, 2009-2010
2
2. PROBLEMATIQUE
Nous savons que grâce à l'Internet nous disposons
d'un réseau international d'ordinateurs communiquant entre eux. Plus
précisément nous savons qu'Internet est un réseau des
réseaux donc nous pouvons l'appeler un inter réseaux. Aujourd'hui
il s'étend à la grandeur de la planète et à des
sites diversifiés ; gouvernementaux, de recherche, d'entreprises
publiques et privées. 4
Un site web est le moyen le moins coûteux pour le
stockage de l'informatique et sa diffusion au monde extérieur. Sa mise
en oeuvre nécessité une réalité des systèmes
informatiques existant dans l'entreprise ou l'organisation. Elle ne concerne
que des personnes qui ont besoin de l'information diffusée par elle.
La mise au point d'un site peut aider psychologiquement toute
organisation dans le changement de culture et de mentalité, vue son
exposition au monde extérieur appelé à le consulter.
La DGR/NK éprouve des difficultés techniques
dans la diffusion et de stockage de l'information, et ne parviennent pas
à répondre aux besoins actuels vu que la DGR/NK n'étant
prés épargnée malgré qu'elle dispose des ressources
humaines, financières et matérielles, nous avons voulu mettre
à sa disposition le premier outil qui lui permettra de diffuser ses
informations enfin qu'elle commence progressivement à se conformer aux
nouvelles technologies de l'information et de la communication.
La DGR/NK n'a pas la possibilité permettant à
ces contribuables de le consulter en ligne les informations des impôts.
Surtout elle n'est pas la capacité d'ouverture et d'évolution.
C'est pourquoi les entreprises voulant être compétitives sont
particulièrement en mesure de tirer parti de la capacité
qu'à Internet de diffuser rapidement, efficacement et
économiquement une information ou des documents sous forme
électronique. Il permet de prendre une décision rapide, et une
actualisation vite des informations, en particulier en situation de crise. De
plus les nouvelles technologies de la communication permettent d'établir
une relation plus étroite entre les individus et les
sociétés. Le site web est une vitrine pour les différentes
sociétés à travers le monde, il permet de promouvoir
l'activité de ces entreprises.
Voilà pourquoi notre travail tentera de trouver des
solutions aux questions suivantes:
4 Dr. Gaston KIBWAMI, « Cours d'Informatique
Générale », G1Informatique de gestion, ISC/Goma,
inédit 2004-2005.
3
? La DGR/NK a-t-elle un système d'information lui
permettant d'exposer ses activités sur une vitrine électronique
afin d'attirer les opérateurs économiques à consulter le
tarif et le mode de paiement pour les activités?
? Est-il possible de mettre en place un site web à
cette institution publique qui pourra faciliter la bonne diffusion des
activités à l'échelle mondiale?
Telles sont des questions auxquelles nous aurons à
répondre tout au long de notre travail.
4
3. HYPOTHESES
Par l'hypothèse, nous entendons une proposition des
réponses aux questions que l'on se pose à propos de l'objectif de
la recherche formulée de manière que l'observation et l'analyser
aboutissent à cette réponse 5
Avec la nouvelle technologie centrée sur la
mondialisation, les hypothèses ci après seront confirmées
ou infirmées face aux faits expérimentés quotidiennement
dans cette institution publique nous ayant servi comme champ d'étude.
Cependant, grâce au traitement de données
orientées vers la modernisation des structures de gestion
traditionnelle, il est possible de :
a. La conception et mise en place d'un site web seraient une
solution pour permettre à la DGR/NK pour faciliter la publication de ses
informations à travers le monde via le site web.
b. La mise ne place d'une base des données
spécialisées pour le site web, pour faciliter une gestion des
différentes informations provenant du site.
Nous pourrons à moment dire qu'avec le site la DGR/NK
facilement pourra donner la situation des ses activités à toute
personne intéressée par celle-ci.
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
A. Choix du Sujet
Le choix de ce sujet a été motivé par le
fait que le monde d'aujourd'hui utilise l'informatique pour le traitement des
données dans tous les domaines.
Ainsi nous avons été poussés à
choisir ce sujet aux difficultés qu'a la DGR/NK dans sa façon
d'organiser la diffusion de ces informations au monde extérieur. Et
avons pensé à la conception d'une page sucrante qui lui aidera
à l'exécution cette tâche.
B. Sur le plan individuel;
De suite, celui-ci nous sera une porte de mettre en oeuvre, en
pratique les connaissances théoriques en conception de site web.
5 C.T. MAYOY, Cours de méthode de recherche
scientifique, inédit, 2000-2002, ISI/Bukavu.
5
Après avons pensé aux difficultés
qu'à la DGR/NK dans sa façon de diffuser ces
informations, notre apport dans ce travail est de mettre en place
un site web ayant une base des données logée sur un serveur web
afin de faciliter le dynamisme du site
Pour éviter toute irrégularité dans
l'innovation technologique actuelle.
Apres avoir conçu le site, nous aurons en comme
intérêt d'accroître notre connaissance en ce qui concerne la
conception d'un site web.
C. Sur le plan scientifique.
Ce travail n'est pas d'une importance capitale pour la DGR/NK
seulement, mais aussi
pour tous les autres: les chercheurs scientifiques. Ainsi de
notre part, ce travail apportera un nouveau souffle à la DGR/NK et pour
d'autres entreprises souffrant du même problème.
5. OBJET DE L'ETUDE
Il devient dès lors possible d'alléger les
tâches de l'homme par des grandes inventions qui constituent à
promouvoir l'accélération dès progrès
économiques. C'est le cas de l'informatique dont la vertu technique
essentielle est la rapidité dans le traitement d'information. 6
L'informatique est donc devenue une réponse au
problème posé et rencontré dans les firmes et organisation
concernant la gestion de différentes ressources.
Attirer toute l'attention des commerçants en
générale et les non commerçants sur l'importance à
accorder au site web.
Faciliter toute personne ou chercheur à accéder
facilement aux infos de la DGR/NK.
6. DELIMITATION DU SUJET
Notre travail s'intéresse aux données allant de
L'an 2009 jusqu'au 2010. Elles
concernent la conception d'un site web pour la DGR/NK afin
d'attirer les opérateurs économiques de se rendre compte des
activités que mènent la DGR/NK.
6 C.T. GASTON KIMBWAMI, Cours d'Informatique
Générale, ULPGL/Goma, 2002-2003
6
7. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
A. La méthode;
La méthode est définie comme étant «
ensemble des principes théoriques et pratiques sur lesquels se fondent
l'application ou l'enseignement d'un art ou d'une science »7 .
A cet effet, le résultat hypothéqué est un travail
intelligent structuré sur base des théories pratiques. C'est
juste après recueil des données, que le traitement sera mis en
oeuvre par respect strict des lignes de conduite à prendre en compte
pour enfanter la finalité des résultats et répondre de
façon systématique aux espoirs de l'initiateur du projet
développé. Pour y arriver, nous allons faire recours aux
méthodes structurées tout en tenant compte des orientations
libres y afférentes.
- la méthode de recherche informatique sans
échec (MERISE)
La méthode d'analyse d'un système d'information qui
vise à remplacer un système
manuel d'une organisation par un système automatisé
du traitement de l'information.8 Cette méthode nous a permis
de comprendre le système d'information de la DGR/NK. Grâce
à cette méthode, nous avons analysé le système
d'information existant au sein de la DGR/NK enfin d'en proposer une
solution.
- la méthode historique
Cette méthode va nous permettre de remonter dans le
temps par le biais des faits historiques observés, afin d'avoir un
aperçu général fondé sur notre recherche
scientifique.
- la méthode analytique
Pour mieux conduire notre recherche à son but, nous
avons fait recours à la méthode analytique, qui est un ensemble
de règles, de démarches et modèles, s'appuyant
généralement sur les outils informatiques ou non, qui
permettraient d'introduire une rigueur croissante dans le processus allant de
la position des problèmes à résoudre et à la
réalisation du système d'information qui y
répond9.
En d'autre terme, c'est la méthode au moyen de
laquelle, nous sommes parvenus d'analyser la structure et les fonctions
actuelles du système d'information en place.
7
Microsoft®Encarta®2009.
8 Jargon Informatique
9 P. MORVAN, Dictionnaire de l'informatique.
Larousse, Paris, 1976, p332
7
B. Les techniques.
Comme nous le savons bien, les techniques servent de rapport
à la méthode. Elles sont plus concrètes, plus
précises et directement orientées vers l'objet de la
recherche10.
Voici les techniques utilisées tout au long de la
récolte des données de notre travail:
- la technique d'interview
L'interview est une technique qui consiste à faire le
jeu de question-réponses. Cette technique nous a fort aidés
pendant la phase de descente sur terrain pour la collection des données
concernant notre étude. Cela, grâce à la facilitation des
autorités de la DGR/NK au courant de notre spéculation
d'idées.
- la technique documentaire
Elle nous a facilité la collecte, la consultation des
différents documents et ouvrages relatifs à notre étude,
des sites Internet, voir même Encarta.
- l'observation participante
On parle de l'observation participante, lorsque l'observateur,
inséré dans la
communauté même et vivant ses réactions
s'efforce de les analyses et d'en percevoir les mécanismes.
(Georges DEFOUR, 1987, p. 14)11
La technique par observation permet d'obtenir les informations
structurelles c'est-à-dire l'observateur connaissant les gens et le
milieu, il observe quelques éléments nécessaires à
sa recherche, ou non structurelles c'est-à-dire que l'observateur ne
connaissant pas l'environnement, il observe tous les détails sans
spécifications (il identifie les participants, leur nature,
activités, leur relation réciproque, comportement, ils se
demandent s'ils sont seuls ou mêlés aux étrangers,...)
10 Prof RURIHO Freddy, Séminaire de MTS,
inédit ISIG, 2003-2004.
11 Justin MUZIRIGERA Amani, Apport d'une ONG
féminine à l'amélioration des conditions
socio-économiques des populations de Goma. « Cas de FUDESE »
TFC, inédit 2000-2001, CIDEP/NK.
8
8. DIFFICULTES RENCONTREES
Pendant l'élaboration de ce travail, nous nous sommes
heurtés à certaines
difficultés, notamment:
+ L'insuffisance des documents nécessaires pour la bonne
réalisation de ce travail;
+ Les moyens matériels et financiers qui étaient
limités pour mener une recherche
approfondie;
+ Savoir gérer le temps qui était partagé
c'est-à-dire qu'il y avait la difficulté de suivre
les cours et d'aller sur terrain pour la récolte des
données ;
+ L'accessibilité à toute la documentation relative
en matière de conception;
9. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Notre travail a comme intitulé «
Conception d'un site web pour un service public cas de la
DGR/NK». Dans son entièreté, celui-ci est
articulé autour de quatre chapitres hormis l'introduction et la
conclusion générale.
+ Le premier chapitre porte sur les
généralités des réseaux informatiques. Dans ce
chapitre nous allons parler de différents concepts utilisés dans
un réseau informatique notamment: réseau informatique, Internet,
Intranet, Extranet, Ethernet, Modem, Protocoles etc.
+ Le deuxième chapitre comprend les points
proéminents marqués dans l'étude préalable: Il
s'agit de l'aperçu général du milieu d'étude. Dans
ce point nous allons parler de la localisation de la DGR/NK, de son historique
et de l'organisation;
+ Le troisième chapitre parle de l'analyse du
système d'information existant et afin; Dans ce chapitre nous essayerons
de définir certains concepts notamment: Système,
Evénement, Système automatisé d'information,
Synchronisation, Cardinalités, Emission, Opération,
Entité, Identifiant, Acteur, Procédure, Dépendances
fonctionnelles et.
+ Le quatrième chapitre nous parle de la conception et
modélisation du site web de la DGR/NK.
9
CHAP.I. GENERALITES DES RESEAUX INFORMATIQUES
I.1. RESEAUX INFORMATIQUES
I.1.1 Définition 12
Un réseau est un système complexe ou de
personnes interconnectées. Les réseaux sont partout autour de
nous et même l'intérieur de nous (notre système nerveux et
notre système cardiovasculaire sont des réseaux).
Cette interconnexion a pour objectif d'échange des
ressources qu'une seule unité du réseau ne peut pas
posséder de à elle-même.
Un réseau informatique est donc un ensemble de deux ou
plusieurs ordinateurs interconnectés d'une certaine manière (par
câble ou ligne téléphonique en vue de permettre un
échange des données).
Pour ce cas précis des réseaux informatiques, la
ressource essentielle échangée est l'information
(données).
I.1.2. Historique13
En 1970, il ya d'abord l'existence de grands
systèmes fragiles relient à des terminaux
passifs.
En 1980 avec l'avancement de micro-informatique, on assiste
à la décentralisation c'est-à-dire qu'à un serveur
central sont reliés des postes de travail avec pouvoir de calcul
autonome. Aujourd'hui les réseaux informatiques sont d'un usage courant
dans notre société suite à l'Internet.
I.1.3. Système Ouverts14
Les réseaux informatiques sont des systèmes ouverts
basé sur des principes
client/serveur utilisant des protocoles standardisés.
Le client/serveur en faisant recours à ces protocoles sont capables de
se partager des ressources comme les imprimantes ou les bases de
données. Il y a aussi le recours à des systèmes
d'exploitation spécialisés. Dans ce système
12 Evariste ANYEME, Cours de
Télématique et Réseau, inédit, G3 Informatique,
ISC/Goma, 2006-2007
13 Jean Claude KASAVUBU, Cours de l'Informatique
Générale, inédit G1 Informatique, ISC/Goma,
2008-2009
14 Idem
10
fortement ouvert, il faut faire attention ne pas laissé
importe qui accéder à n'importe quoi. Ce qui pourrait conduire au
partage informatique afin de contourner le piratage informatique afin de
recourir de mot de passe sécurisé.
I.1.4. typologie15
La typologie l'étude modèle de réseaux
courants, suivant la localisation, la distance entre système
d'information et l e débit maximum, on peut distinguer trois grands
types de réseaux:
? Les réseaux métropolitains ou MAN qui
permettent l'interconnexion des plusieurs sites à travers une ville
pouvant couvrir l'espace géographique jusqu'à 100km et chacun des
sites pouvant être équipé d'un réseau local. Ils
sont souvent des réseaux sans fil.
? Les réseaux longue distance ou WAN (Wide Area
Network) qui sont généralement des réseaux operateurs et
qui assurant la transmission des données numériques sur du
distance à grande échelle (pays, continent,...);
? Le réseau d'entreprise est un grand réseau
hétérogène reliant les principaux points d'une entreprise
ou organisation. Il se distingue d'un réseau longue distance en ce qu'il
appartient à une société privée qui se charge de sa
gestion.
? Le réseau LAN (Local Area Network) qui est
raccordé dans une zone limité, interconnectant des
équipements informatiques dans un rayon de quelque kilomètre
(jusqu'à 10km) et qui permettent l'échange des données ou
le partage des ressources (matériels et logiciels);
En partant de la structure on distingue quatre sortes des
réseaux locaux16 :
a) les réseaux locaux en Etoile ;
Ils sont caractérisés par la présence d'un
concentrateur central appelle HUB (tous les
ordinateurs sont connectés par le HUB). HUB est
relié à une radio, et celle-ci est relie à une antenne.
b) les réseaux en Bus;
15 SIBOMANA NYAGASHENDE Josué, Etude de
l'Implantation d'un Intranet dans une Enterprise Publique «cas de
l'OCC», TFC, inédit, ISC/Goma, 2003-2004
16 Jean Claude KASAVUBU, Cours de l'Informatique
Générale, inédit G1 Informatique, ISC/Goma, 2008-2009
11
C'est un réseau caractérisé par la
présence d'un seul fil avec plusieurs noeud en forme T qui permettent de
connecter plusieurs ordinateurs.
c) les réseaux en Anneaux;
C'est un réseau est caractérisé par la
présence d'un fil mais à la différence de celui de
réseau en Bus. C'est fil est renfermé lui-même. Il y a
aussi la présence d'un moniteur qui s'occupe de la gestion de
réseau. Le moniteur émet un jeton à destination de
l'ordinateur qui veut émettre. Il se charge aussi de détruire
tout message déjà fait.
d) les réseaux maillés ou multipoint. Il se
présente sous forme d'une maille.
I.2. INTERNET17
I.2.1. Définition
Internet est un réseau informatique qui
relie des ordinateurs du monde entier entre
eux et qui leur permet d'échanger des informations. Les
données sont transmises par l'intermédiaire de lignes
téléphoniques, de câbles ou de satellites.
Pour communiquer entre eux, les ordinateurs connectés
à Internet utilisent un langage
commun (nommé
protocole) et sont équipés de logiciels
(ou programmes) permettant l'échange de
données.
I.2.2. Comment est né Internet?
Internet est issu du réseau Arpanet,
qui a été conçu en 1969 par l'Agence pour les projets de
recherche avancée (ARPA, Advanced Research Project Agency) pour le
département américain de la Défense. Réservé
à l'origine aux militaires, le réseau Arpanet s'est étendu
progressivement aux universités et aux administrations
américaines. En 1990, Arpanet est connecté à de nombreux
autres réseaux, tous basés sur le même protocole de
communication (TCP/IP): c'est la naissance d'Internet -- contraction
de « INTERnational NETwork », qui signifie « réseau
international » en français.
Au début du XXIe siècle, Internet
relie des millions de personnes à travers le monde. Internet
n'appartient à personne et personne ne le contrôle. Les
utilisateurs d'Internet (appelés internautes) ont
accès à de nombreux services, dont le World Wide
Web et le courrier électronique.
17
Microsoft®Encarta®2009.
12
I.2.3. Comment peut-on s'envoyer des messages sur
Internet?
Le courrier électronique permet
d'envoyer un message électronique (aussi appelé
email) à un ou plusieurs internautes. Pour cela, il suffit de
connaître l'adresse électronique (ou
adresse e-mail) de celui à qui on envoie le message et
d'être équipé d'un logiciel de messagerie.
Ce logiciel permet de taper du texte et de joindre un fichier à son
message. S'il est connecté à Internet, le correspondant
reçoit le message après quelques secondes ou quelques minutes
(selon le débit des lignes de connexion). L'utilisation du courrier
électronique peut parfois présenter des risques. En effet, de
nombreux virus informatiques se transmettent par messagerie
électronique et peuvent endommager les données stockées
sur l'ordinateur.
Pour communiquer, les internautes peuvent également se
retrouver dans des salons de discussion (aussi appelés
« chat » -- à prononcer « tchat »).
Ces salons permettent à deux ou plusieurs personnes d'échanger
des messages en temps réel. Il suffit pour cela de se connecter à
un site Web ou d'installer un logiciel sur son ordinateur.
I.2.4. Comment se connecte-t-on à Internet?
Pour accéder à Internet, l'utilisateur doit
posséder un modem et être abonné à
un fournisseur d'accès. Le modem est
un appareil qui permet de recevoir et d'envoyer des données par
l'intermédiaire d'une ligne téléphonique ou d'un
câble. Le fournisseur d'accès met en contact
l'ordinateur de l'abonné avec l'ensemble des autres ordinateurs
connectés à Internet. C'est une sorte de porte d'entrée.
Il fournit également à l'internaute une ou plusieurs adresses
électroniques et peut héberger les pages Web qu'il a
créées. Une nouvelle technologie, appelée Wi-Fi
(contraction de Wireless-Fidelity, signifiant «
qualité sans fil »), permet également d'accéder
à Internet. Toutes les données sont transmises par ondes radio
d'un ordinateur à l'autre, sans modem ni ligne
téléphonique. Ce type de connexion est très rapide, mais
ne fonctionne que dans certaines zones.
I.3. L'INTRANET18
Ce le réseau d'entreprise. Il s'agit d'un grand
réseau hétérogène reliant les principaux points
d'une entreprise ou organisation.
18 KIKONGO KAMBALE Janvier, La conception d'un site
web pour une association, cas de l'UJADP/ERICA, TFC, inédit, ISC/Goma,
2008-2009
13
Il se distendue d'un réseau longue distance en ce qu'il
appartient à une société privée qui se charge de sa
gestion. Cet environnement appliqué représente ainsi une solution
nouvelle et séduisante par la possibilité d'associer les
avantages du net au besoin de l'entreprise.
Sa fonction première est de permettre le partage de
l'information et la communication au sein de l'entreprise.
Enfin disons que cette technologie offre une interface
cohérente et conviviale pour accéder à des base de
données et applications déjà là et désormais
reliées entre elles, rassemblée sur un projet commun des
équipes.
I.4. L'EXTRANET
On parle de l'extranet pour un réseau intranet
élargi aux partenaires externes de l'entreprise. Mais aussi dans le cas
d'entreprise étendue, lorsque l'entreprise s'est organisée autour
d'un système d'information étendu, commun à l'entreprise,
ses clients et fournisseurs, intégrant à la verticale l'ensemble
des informations nécessaires au suivi de ses différentes
activités et de leurs processus.
I.5. ETHERNET
Un réseau Ethernet est un réseau dont les
équipements informatiques sont équipés d'une interface
Ethernet.
Sur un réseau Ethernet, chaque station est
identifiée par une adresse sur 6 octets. Ces adresses sont notées
en hexadécimal. Par exemple 08:80:D3:A0:18:43
Cette adresse est statique et inscrite "en dur" sur la carte
interface réseau.
Les trames sont diffusées sur l'ensemble du câble
et sont "absorbées" par les extrémités munis de
résistances.
Tous les postes sont en permanence à l'écoute
des trames qui passent sur le câble, ils
vérifient l'intégrité du paquet et
analysent l'adresse du destinataire, ils transmettent au niveau
supérieur du poste si la trame lui est destinée.
14
I.6. LE MODEM19
Le modem est un équipement qui interprète les
signaux numérique et analogiques en modulant et en démodulant le
signal ce qui permet de transmettre des données sur des lignes
téléphonique en fréquence vocales.
A la source, les signaux numériques sont convertis dans
un format approprié pour la transmission par des unités des
communications analogiques.
A la destination, on peut utiliser d'autres équipements
tels que les adaptateurs de terminal RNIS et les unités CSU/DSU.
I.7. PROTOCOLES20
Un protocole est une méthode standard
qui permet la communication entre des processus (s'exécutant
éventuellement sur différentes machines), c'est-à-dire un
ensemble de règles et de procédures à respecter pour
émettre et recevoir des données sur un réseau. Il en
existe plusieurs selon ce que l'on attend de la communication. Certains
protocoles seront par exemple spécialisés dans l'échange
de fichiers (le FTP), d'autres pourront servir à gérer simplement
l'état de la transmission et des erreurs (c'est le cas du protocole
ICMP), ...
Sur Internet, les protocoles utilisés font partie d'une
suite de protocoles, c'est-à-dire un
ensemble de protocoles reliés entre-deux. Cette suite
de protocole s'appelle TCP/IP. Elle contient, entre autres, les protocoles
suivants:
· HTTP
· FTP
· ARP
· ICMP
· IP
· TCP
· UDP
· SMTP
· Telnet
19 KIKONGO KAMBALE Janvier, La conception d'un site
web pour une association, cas de l'UJADP/ERICA, TFC, inédit, ISC/Goma,
2008-2009
20 Comment ça marche [Informatique] - CCM -
L'encyclopédie informatique libre, version 2.0.6
15
? NNTP
A. Protocoles orientés et non orientés
connexion
On classe généralement les protocoles en deux
catégories selon le niveau de contrôle des données que l'on
désire:
? Les protocoles orientés connexion:
Il s'agit des protocoles opérant un contrôle de transmission des
données pendant une communication établie entre
deux machines. dans un tel schéma, la machine réceptrice envoie
des accusés de réception lors de la communication, ainsi la
machine émettrice est garante de la validité des données
qu'elle envoie. Les données sont ainsi envoyées sous forme de
flot. TCP est un protocole orienté connexion
? Les protocoles non orientés
connexion: Il s'agit d'un mode de communication dans lequel la machine
émettrice envoie des données sans prévenir la machine
réceptrice, et la machine réceptrice reçoit les
données sans envoyer d'avis de réception à la
première. Les données sont ainsi envoyées sous forme de
blocs (datagrammes). UDP est un protocole non orienté connexion.
B. Protocole et implémentation
Un protocole définit uniquement la façon par
laquelle les machines doivent communiquer, c'est-à-dire la forme et la
séquence des données à échanger. Un protocole ne
définit par contre pas la manière de programmer un logiciel de
telle manière à ce qu'il soit compatible avec le protocole. On
appelle ainsi implémentation la traduction d'un
protocole en langage informatique.
Les spécifications des protocoles ne sont jamais
exhaustives, aussi il est courant que les implémentations soient l'objet
d'une certaine interprétation des spécifications, ce qui conduit
parfois à des spécificités de certaines
implémentations ou pire à des incompatibilités ou des
failles de sécurité !
Notion sur le HTML
Le HTML (« HyperText Mark-Up
Language ») est un langage dit de « marquage»
(de « structuration» ou de « balisage ») dont
le rôle est de formaliser l'écriture d'un document
16
avec des balises de formatage. Les balises permettent
d'indiquer la façon dont doit être présenté le
document et les liens qu'il établit avec d'autres documents. Le langage
HTML permet notamment la lecture de documents sur Internet à partir de
machines différentes, grâce au protocole HTTP, permettant
d'accèder via le réseau à des documents
repérés par une adresse unique, appelée
URL.21
Le HTML est un langage très facile à maitriser.
Il s'agit tout simplement d'un «langage à balises» (formant
ASCII), contenant des instructions dans des balises (tags)
délimitées entre croches. Les instruction sont
interprétées par les différents navigateurs et
apparaissent sur votre écran22
? Règles HTML et Balises
Toutes les instructions HTML sont exprimées dans des
balises, délimitées par des
croches (signe inferieur « < » est signe
supérieur « > ». cette structure est toujours la
même.
Cependant chaque balise doit être ouverte et fermée
(sauf rares exceptions). Notez que
la balise de fermeture est toujours identique à la balise
d'ouverture sauf qu'elle comporte une
barre oblique après la ligne.
La structure d'un document HTML se présente comme suit:
<HTML>
<HEAD>
<TITLE>example de structure </TITLE>
<META NAME=» autour» CONTENT=»riche»
MANAS»>
<BASE HREF=½/USR/home/chez moi½></BASE>
</HEAD>
<BODY>
le document HTML
</BODY> </HTML>
21Comment ça marche [Informatique] - CCM -
L'encyclopédie informatique libre, version 2.0.6
22 Stéphane Lohier et Dominique
Présent, Internet: Services et Réseaux,
édition DUNOD, Paris, 2004, p 145.
17
I.8. FOURNISSEUR D'ACCES23
Fournisseur d'accès à l'Internet,
c'est-à-dire la société qui vous permet de vous connecter
au Résinter (le réseau des réseaux, à savoir
l'Internet, en québécois le terme est très peu
utilisé de ce côte-ci de l'Atlantique). Voir FAI (en anglais ISP.
Désigne une société vendant ou revendant de la bande
passante connectée plus ou moins directement à l'Internet. Pour
pouvoir profiter des services du réseau, vous êtes en effet
obligé d'y être connecté 24/24) Provider (version anglaise
du fournisseur d'accès). Il existe d'autres types de fournisseurs, comme
les FCI (fournisseur de contenu sur l'Internet. Cousin rare du FAI) ou les FHI
(fournisseur d'Hébergement sur l'Internet). C'est un terme officiel en
France.
I.9. ROUTEUR (router)24
Le routeur opère au niveau 3 du modèle OSI, il
est donc capable de gère des datagrammes pour un protocole circulant sur
le réseau (de nombreux routeurs sont maintenant multiple protocoles). Un
routeur va sépare logiquement deux (ou plus) branches d'un
réseau. On a vu qu'au niveau Appletalk et TCP/IP les adresses des
machines contenaient une adresse réseau.
Les adresses réseaux seront gérées au
niveau du routeur. De plus, le routeur assure la fonction de routage, dans le
cas d'un réseau maillé, il possède un programme qui lui
permet de choisir le meilleur chemin possible par lequel faire transiter un
datagramme.
I.10. LES EDITEURS WEB
Pour exécuter une quelconque tache sur ordinateur, il
vous faut avoir une connaissance sur l'application spécialisée
dans le traitement de votre type de donnée. Ainsi par exemple, pour
traiter un texte, il faut avoir une connaissance sur au moins un éditeur
de texte pour, pour le calcul il faut avoir appris au moins un tableur et pour
les bases de données, il faut savoir utiliser un gestionnaire de base de
données. Alors pour un développeur de pages web, il faut avoir
une connaissance
23 Microsoft Jargon informatique
24 Stéphane Lohier et Dominique
Présent, Internet: Services et Réseaux,
édition DUNOD, Paris, 2004, p 138.
18
Des éditeurs de balises car ceux-ci sont multiples et
se complète. C'est dans ce cadre d'idée que nous savons
préfère de citer et de faire une brève explication des
certains d'entre eux dont nous avons connaissance.
II.10.1. Le bloc-notes
Le bloc-notes est un éditeur de balises fourni avec le
système d'exploitation
Windows de la firme Microsoft corporation et qui est facile
à démarrer. Pour le démarrer, on procède de la
manière suivante : cliquer sur
démarrer/programme/accessoires/bloc-notes et sa fenêtre s'ouvre
directement au bout de quelque seconde.
Le bloc-notes parait le meilleur des éditeurs de
balises pour quelqu'un qui veut être un bon développeur des
applications web car il requière une bonne connaissance sur le
rôle et fonctionnement des balises.
II.10.2. FrontPage
FrontPage est aussi un éditeur de la firme Microsoft
Corporation développer vendu
dans le pack des applications Microsoft office XP et dont on
ne trouve pas dans d'autres pack de Microsoft office comme 2004, 2003, 2004.
FrontPage est un meilleur éditeur de balise pour les développeurs
pressés et surtout pour les web designer car il offre des balises
prédéfinies, donc ici le concepteur de la page ne saisie plus le
code mais tous les codes sont déjà prédéfinis par
l'éditeur lui-même.
II.10.3. Dreamweaver
Dreamweaver est un éditeur spécialisé du
type wysiwyg (what you see is what you
get) qui veut dire vous obtenez ce que vous voyer. Dreamweaver
est un logiciel du pack Macro média. Il offre toutes les
fonctionnalités nécessaires à la réalisation d'une
page web dont celles dynamiques et non dynamique selon le choix de l'auteur de
la page et cela sur toute sorte d'architecture web. Certaines architectures
intégrées dans cet éditeur sont: html, JAVASCRIPT, DHTML,
XML, PHP, SQL. Avec Dreamweaver l'auteur de la page ne fait qu'introduire seul
les données à l'intérieur des balises déjà
prédéfinies par cet éditeur.
19
II.11. LES LANGAGES DU WEB
Ceux-ci sont des langages, certains de marquages ou de formatage
de données et
d'autres de langages de programmation spécialement
conçus pour apporter certaines améliorations ou impressions aux
pages Web.
Ces langages de programmation apportent plus
d'interactivité aux écrans du web et offrent une intelligence
locale aux postes de consultation.
Parmi ceux-ci nous allons citer certains d'entre eux :
.
II.11.1. Le DHTML25
Le DHTML signifie Dynamic Hypertext Markup Language. Celui-ci est
une simple
amélioration du HTML par l'intégration de
certaines balises qui rendent une page web dynamique mais sans une parfaite
amélioration de celle-ci.
Il faut donc des langages de programmations adaptés au
web pour amener les pages web à une meilleur interactivité et
réduire les taches au niveau du serveur donc le poste client peut aussi
exécuter certaines taches sans faire appel au serveur, c'est le
rôle des langages de programmation sur le web.
II.11.2. Le PHP
A la différence de HTML et du DHTML qui sont des langages
de marquage, le
PHP lui est un langage de programmation qui s'intègre dans
du code HTML pour
y amener des améliorations telle que
l'intégration de l'horloge, de calculette étant d'autres
fonctionnalités.
PHP est exécuté du coté serveur et permet
de créer de véritables scripts, très puissants. PHP parait
un langage facile à comprendre et rapide à assimiler, si vous
avez réellement le souci d'améliorer vos pages, PHP
s'insère facilement dans une page web. Pour utiliser PHP vous devez
d'abord disposer d'une machine sur laquelle est installé ce
programme.26
Ainsi pour insérer des codes PHP dans un document web,
vous devez d'abord savoir
sa structure générale ; un document PHP commence
par un code et se termine par un autre, dont voici :
< ? ?> Symbole de début Symbole de fin
25 D. HUNTER et COLL, Initiation à XML,
édition eyrolles 2000, Pg 634
26 P.O. IVINZA LEPAPA, Programmation PHP,
inédit, ULK/ Kigali, 2005-2006, p1.
20
Ce langage a beaucoup contribué à
l'amélioration de pages web car il a permis aux
concepteurs de site web d'intégrer plusieurs objets
dans leurs sites
Web. Certaines technologies apportées par PHP aux
concepteurs de site sont :
l'intégration d'une base de données dans un site
web ;
la possibilité d'intégrer un compteur de visite
dans votre site ;
l'intégration du calendrier et horloge dans un site
web, etc....
II.11.3. le JavaScript
Crée à l'origine par Netscape, ce langage de
programmation est conçu pour traiter localement des
événements provoqués par le lecteur (par exemple, lorsque
le lecteur fait glisser la souris sur une zone de texte, cette dernière
change de couleur). Ce langage né avec le web, est, à notre avis,
celui qui a le mieux réussi son mariage avec HTML. Ces deux langages
sont d'ailleurs si intimement liés.27
En outre, les JavaScript sont chargés avec la page web
pour être exécutés sur le poste client par le logiciel de
navigation (exemple, le browser Netscape ou Internet explorer). En effet, avec
HTML le poste client n'avait pas d'intelligence ; il se bornait à
afficher la page telle qu'elle était décrite dans le fichier
provenant du serveur.
Avec JavaScript, le poste client exécute localement
certaines taches selon les événements particuliers qui
surviennent.28
En suite, le code JavaScript est écrit dans le même
fichier que le document
HTML, ce qui augmente encore la simplicité
d'écriture. Ce code est par conséquent du langage source et,
à l'image du code HTML, il a l'avantage d'être parfaitement
lisible par le lecteur curieux de voir comment est codée la page de
l'application qui se déroule sous ses yeux.
Ce langage dit langage de scripts peut, de toutes les
façons, s'intégrer partout dans un document HTML pour donner
à celui-ci un peu plus d'impression. Donc
JavaScript est un langage qui fonctionne en commun accord avec
l'HTML.
L'intégration de codes JavaScript est
déclarée par les balises suivantes :
Début <script Language ="javascript1.2">
Contenu Code java () {
}
27 C. DELANNOY, Programmer en
Java, 2ième édition eyrolles 2002, p
323.
28 C. DELANNOY, Programmer en
Java, 2ieme édition eyrolles 2002, p 25.
21
Fin </Script>
Le contenu du code java est inséré à
l'intérieur d'une parenthèse.
Un script est un ensemble d'instruction
permettant de réaliser une action
II.12. LES NAVIGATEURS
Les navigateurs (en anglais browser), logiciel conçu
pour le Web, permettant aux utilisateurs d'explorer les ressources à
l'intérieur d'un réseau intranet, extranet ou Internet.
Le navigateur gère l'affichage des pages Web et le
suivi des liens hypertextes ou
hypermédias entre les différentes pages (voir
multimédia). Les navigateurs les plus utilisés sont Internet
Explorer de Microsoft et Navigator de Netscape.
En plus de la fonction de navigation, les navigateurs offrent
de nombreuses possibilités pour aider l'utilisateur dans son utilisation
d'Internet. Ils permettent de sauvegarder sur le disque dur de l'utilisateur
tout ou partie du document consulté et d'afficher le code source HTML
correspondant à la page en cours.
Par ailleurs, un navigateur permet de conserver en
mémoire les références des documents, pages ou sites
consultés par l'utilisateur, afin d'y avoir accès facilement et
rapidement lors d'une prochaine navigation.
Enfin, les navigateurs font office d'interface d'accès
au courrier électronique (e-mail) et aux groupes de discussion
(Newsgroups).
? Internet explorer
Ce navigateur est un logiciel du group Microsoft corporation
qui a évalué en concurrence avec celui de Netscape pour une
évolution de la technologie de la navigation sur Internet.
I.13. ADRESSE URL29
URL sont les noms donnés aux liens hypertextes. Un URL
peut dire à un fichier sur un
serveur ftp, une image, une adresse courrier, un serveur
Telnet et bien sûr un serveur http, c'est-à- dire un serveur web.
L'image ( fichier gif ou jpeg par exemple) trouve sur un serveur
29 Stéphane Lohier et Dominique
Présent, Internet: Services et Réseaux,
édition DUNOD, Paris, 2004 p 112.
22
accessible par le réseau Internet alors que le fichier son
(fichier Wav par exemple) et le fichier texte ( fichier html par exemple) sont
localisés sur un serveur html du réseau de l'entreprise. Quelques
syntaxes d'URL :
?
http://www.babaorum.armor.fr
donne accès à la page par défaut du serveur web
babaorum.armor.fr ;
?
ftp://ftp.laudanum.fr permettra
d'accéder au serveur de fichier
ftp.laudanum.fr ;
?
http://serveur/directory/fichier.htm
adresse le fichier au format html stocké sur le serveur «
serveur» situé sur le réseau local;
? File:///c:/temp/fichier.texte donne accès
à un fichier texte situé sur le disque du poste du client (disque
local).
I.14. SERVEURS
De nombreuses applications fonctionnent selon un environnement
client/serveur, cela signifie que des machines clientes (des
machines faisant partie du réseau) contactent un
serveur, une machine généralement très
puissante en terme de capacités d'entrée-sortie, qui leur fournit
des services. Ces services sont des programmes fournissant des
données telles que l'heure, des fichiers, une connexion...Les services
sont exploités par des programmes, appelés programmes
clients, s'exécutant sur les machines clientes. On parle ainsi
de client FTP, client de messagerie, etc., lorsque l'on désigne un
programme, tournant sur une machine cliente, capable de traiter des
informations qu'il récupère auprès du serveur (dans le cas
du client FTP il s'agit de fichiers, tandis que pour le client de messagerie il
s'agit de courrier électronique). 30
? Fonctionnement d'un serveur
A. Serveur de fichier31
La procédure commence par l'établissement d'une
connexion (niveau TCP) entre un
client et un serveur. Une fois la connexion établie, le
client dialogue avec un serveur en lui
30 Comment ça marche [Informatique] - CCM -
L'encyclopédie informatique libre, version 2.0.6
31 Stéphane Lohier et Dominique
Présent, Internet: Services et Réseaux,
édition DUNOD, Paris, 2004, p 104.
23
envoyant des « commandes » à exécuter.
La connexion et le dialogue entre la station du client et le serveur utilisent
le protocole FTP (File Transfer Protocol).
Le serveur FTP dispose de deux types de répertoires :
les répertoires « prives» accessibles uniquement aux clients
possédant son compte sur le serveur, compte auquel sont associés
des droits d'accès sur certains répertoires « prives »,
et les répertoires « publics » accessibles aux autres clients
(comptes « anonymous »).
Apres qu'un client se soit connecté au serveur,
celui-ci demande un nom de compte et un mot de passe. Le compte anonymous
permet au client d'accéder aux fichiers de répertoires «
publics ». Dans ce cas, le mot de passe demandé est
généralement l'adresse e-mail du demandeur.
Les logiciels sur la station du client disposent des commandes
permettant de se déplacer dans l'arborescence du disque du serveur, de
définir le type des données transférées (binaire ou
ASCII), de manipuler des fichiers (écrire, lire, effacer, renommer,
transférer,...). Le protocole FTP fonctionne, coté serveur, avec
deux canaux distants.
Par défaut, ces canaux sont ouverts sur la port TCP.
Les caractéristiques des serveurs FTP porteront
principalement sur32 :
? Le nombre de clients pouvant être servis si mutinement
cette capacité tient également compte de l'architecture de
l'ordinateur sur lequel le service est implanté ;
? La sécurisation des transferts de fichiers et
notamment la possibilité de supporter les
transmissions utilisant le protocole SSC et la limitation du
nombre de login erronés; ? L'utilisateur par le serveur d'une base de
données de compte existante (base ODBC
ou Windows Active Directory par l'exemple);
? La souplesse d'affection des permissions (par le fichier par
répertoire, par client) B Système client/serveur33
Un système client/serveur fonctionne selon le
schéma suivant :
32 Stéphane Lohier et Dominique
Présent, Internet: Services et Réseaux,
édition DUNOD, Paris, 2004, p106.
33 Comment ça marche [Informatique] - CCM -
L'encyclopédie informatique libre, version 2.0.6
24
? Le client émet une requête vers le serveur
grâce à son adresse et le port, qui désigne un service
particulier du serveur
? Le serveur reçoit la demande et répond
à l'aide de l'adresse de la machine client et son port
I.15. NOTION SUR LE WEB
I.15.1. Notion WEB34
Word Wide Web
Méthode d'exploitation de l'Internet, par l'usage de
l'hypertexte, et mis au point par un chercheur du CERN, Tim Berner-Lee. On
parle "du web", même s'il s'agit en réalité du "World Wide
Web" ou "W3". Voir aussi HTML, http. Le trafic Web a augmenté dans le
monde de 443 931 % en 1993 et de 1713% en 1994, ce qui montre le
caractère explosif de son adoption à ses débuts. Il faut
dire qu'auparavant, l'Internet était principalement en noir et
blanc...
Le principe de base du Web: être strict sur ce que vous
faites, toréant sur ce que vous recevez. Certaines sources indiquent que
le nom est à rapprocher de l'idée de la pauvre petite
bébête engluée dans la toile de l'immonde araignée,
petite bête qui mettra des heures à s'en délivrer...hyper
toile, TAM et toile d'araignée mondiale sont des versions
françaises peu employées de world wide web et WWW(en fait, c'est
la toile seulement. Toile d'araignée se dit "cobweb" en anglais).
I.15.2. Définition d'un site web
Un site web (aussi appelé site internet
par abus de langage) est un ensemble de
fichiers HTML, liés par des liens hypertextes,
stockés sur un serveur web, c'est-à-dire un ordinateur
connecté en permanence à internet, hébergeant les pages
web.
I.15.3. Intérêts d'un site web
La mise en place d'un site web peut être motivée par
plusieurs raisons :
34 Microsoft Jargon informatique
25
· Le besoin de visibilité : un
site web, dans la mesure où il fait l'objet d'une bonne campagne de
promotion, peut être un moyen pour une enseigne ou une organisation
d'augmenter sa visibilité;
· L'amélioration de la
notoriété : grâce à un site web
institutionnel ou un mini site web événementiel, une enseigne
peut développer sa popularité auprès du public;
· La collecte de données :
internet représente pour les entreprises une formidable
opportunité de recueillir des données sur leurs clients ou bien
de démarcher de nouveaux prospects;
· La vente en ligne : frileux aux
débuts d'internet, les internautes ont vite compris
l'intérêt d'internet pour l'achat de certains produits de
consommation. Un site internet peut représenter pour certaines
entreprises une opportunité en terme de commercialisation;
· La mise en place d'un support aux utilisateurs
: de plus en plus de sociétés utilisent internet comme
support privilégier pour le service avant-vente ou après-vente.
En effet, avec un site web, il est possible de mettre à disposition des
internautes un maximum d'informations commerciales ou techniques, à
moindre coût.
I.15.4. Catégorisation des sites web
On distingue habituellement plusieurs catégories de sites
web, selon le but poursuivi :
· Les sites vitrine (appelés
également sites plaquette ou site identité)
sont des sites dont l'objectif est de mettre en avant l'image de marque de la
société, en présentant par exemple ses produits ou ses
services ;
· Les sites catalogue sont des sites
visant à présenter l'offre de l'entreprise ;
· Les sites d'information sont des
sites fournissant une information particulière à un type
d'internautes ;
· Les sites marchands sont des sites
vendant directement des produits aux internautes et permettant
éventuellement de payer en ligne ;
· Les sites institutionnels sont des
sites présentant l'organisation et ses valeurs. Ce type de site
décrit généralement l'activité de l'organisation,
des chiffres clés et donne les informations nécessaires aux
clients ou aux bénéficiaires ;
· Les sites personnels (parfois
pages perso) sont des sites réalisés par des
particuliers à titre de loisir, le plus souvent par passion pour un
sujet ou une discipline ;
26
· Les sites communautaires sont des
sites réunissant des internautes autour d'un intérêt
commun.
· Les sites intranet sont des sites
accessibles de l'intérieur d'une entreprise ou d'une direction, ayant
pour objet la mise à disposition et le partage d'informations
professionnelles.
I.15.5. La création d'un site web est un projet
à part entière comprenant un grand nombre de phases:
· Conception, représentant la formalisation de
l'idée;
· Réalisation, correspondant au développement
du site web;
· Hébergement, se rapportant à la mise en
ligne du site, de manière permanente.
I.15.6. L'exploitation du site englobe notamment les
activités suivantes:
· Veille, afin d'assurer un suivi des technologies, du
positionnement du site et de celui des concurrents;
· Promotion et référencement, permettant
de développer son audience;
· Maintenance et mise à jour, représentant
l'animation quotidienne du site et le maintien de son bon fonctionnement.
La mise en place d'un site web est donc une activité
multidisciplinaire faisant appel à un grand nombre de
compétences. Selon l'organisation, la fonction de webmaster pourra
relever d'une fonction de chef de projet à celle de l'«
homme-orchestre », chargé de toutes les activités, de la
conception au référencement. Le terme webmastering
désigne l'ensemble des tâches nécessaires à
l'exploitation d'un site web.
I.16. NOTION SUR LES LIENS HYPERTEXTES
I.16.1. Lien hypertexte35
Ensemble des mots et de l'adresse associée constituant un
lien hypertexte. L'adresse
peut être un signet quelque part dans le même
document, ou l'URL d'un site à l'autre bout du monde. Terme
évidemment aussi utilisé dans tout document hypertexte.
35 Microsoft Jargon Informatique
27
I.16.2. Service web et hypertexte
Il permet d'accéder à des documents au format
HTML (Hyper Text Markup Language) stockés sur un serveur, en utilisant
pour la connexion et les échanges le protocole HTTP (Hyper Text Transfer
Protocol). Les documents sont accessibles par l'URL (Uniform Ressource Locator)
comportant le nom du serveur http contenant le document, le chemin
d'accès au document et le nom de celui-ci.
Les serveurs http les plus courants sont Netscape Entreprise
Serveur, Apache http serveur, Microsoft Internet Information server et Netware
web server de Novell.
Pour accéder aux serveurs web, les stations doivent
être équipées de navigateurs Internet. On trouve Internet
Explorer de Microsoft, Netscape Navigator ou Netsurfer de Net Manage. 36
Le protocole de communication HTTP (Hyper Text Transmission
Protocol) utilisé entre le navigateur du client et les serveurs web sont
basés sur le principe des liens hypertextes. Ces liens sont
repérés par des mots de couleur différente (bleu en
générale) ou des images que servent de liens entre les documents.
Il suffit de cliquer sur un lien pour accéder à un autre document
localisé sur le même serveur ou sur un autre pouvant être
situé n'importe où sur le réseau Internet.
Ces liens hypertexte rendent la lecture dynamique et
permettent de « naviguer» sur une bibliothèque à
l'échelle planétaire.37
I.17. L'ERGONOMIE DU SITE WEB
L'ergonomie est l'utilisation de connaissances
scientifiques relatives à l'homme
(psychologie, physiologie, médecine) dans le but
d'améliorer son environnement de travail. L'ergonomie se
caractérise généralement selon deux composantes :
? L'efficacité,
consistant à adopter des solutions appropriées d'utilisation d'un
produit, au-delà du bon sens du concepteur;
? L'utilisabilité,
marquant l'adéquation aux capacités de l'utilisateur. Elle se
décline en Le confort d'utilisation, consistant
à réduire au maximum la fatigue physique et nerveuse. La
sécurité, consistant à choisir des
solutions adéquates pour protéger l'utilisateur ;
36 Stéphane Lohier et Dominique
Présent, Internet: Services et Réseaux,
édition DUNOD, Paris, 2004, p 111.
37 OP, cite p 112.
28
Appliquée au domaine du web, l'ergonomie d'un site web
peut être définie par sa
capacité à répondre efficacement aux
attentes des utilisateurs et à leur fournir un confort de navigation.
La principale difficulté que tente de lever l'ergonomie
est la diversité des profils des visiteurs. Les critères suivants
sont généralement déterminants pour un site web :
? attentes de l'utilisateur : tous les
visiteurs du site ne recherchent pas nécessairement la même
information ou n'ont pas nécessairement les mêmes exigences en
termes de graphisme.
? habitudes de l'utilisateur : elles
correspondent à des comportements acquis.
? âge de l'utilisateur : il
caractérise en général la capacité d'adaptation de
l'utilisateur et sa rapidité de navigation.
? équipements : il s'agit d'une des
difficultés majeures. En effet, l'affichage du site pourra varier d'un
équipement à l'autre, en particulier selon le navigateur et la
résolution d'affichage.
? niveau de connaissances : tous les
visiteurs du site ne sont pas nécessairement des as de l'informatique.
L'ergonomie du site doit être pensée pour l'utilisateur le moins
expérimenté.
I.18. WEB MASTER38
Gestionnaire d'un site web. C'est lui qui en est le
"Maître", qui l'administre, qui le relance quand il plante, qui vide les
logs quand ils sont trop pleins...webmestre en français.
38 Microsoft Jargon Informatique
29
CHAPITRE.II : PRESENTATION DE LA DGR-NK
II.0. Présentation Géographique de la
DGR/NK/C.O.R./Goma
II.1.Le Statut de la Direction Générale
des recettes du Nord-Kivu
Vu la constitution de la République Démocratique
du Congo spécialement à ses Articles 3, 123, 175 et 204 ;
Vu la loi n°08/12 du 31 juillet 2009 portant principes
fondamentaux relatifs à la libre administration des Provinces
spécialement à ses Articles 28, 37, 40, et 48.
Vu l'Ordonnance n°07/003 du 24 février 2007
portant investiture de Gouverneur et Vice-gouverneur de la Province du
Nord-Kivu;
Vu l'Edit n°004/2009 du 25 Mai 2009 portant nomenclature
des impôts, taxes, redevances et autres droits de la Province du
Nord-Kivu;
Vu l'Edit n°005/2009 du 25 Mai 2009 portant
modalités de recouvrement des impôts, taxes, redevances et autres
droits de la Province du Nord-Kivu;
Vu l'Arrête n°01/15/CAB/GP-NK/07 du 02 avril 2007
portant désignation des ministres provinciaux du Nord-Kivu tel que
modifié et complété à ce tour.
Revu l'Arrêté n°01/50/CAB/GP-NK/07 du 22
aout 2007 portant création d'une brigade Provinciale des Finances en
province du Nord-Kivu;
Vu l'impérieuse nécessité de
réorganiser le système fiscal de la Province du Nord-
Kivu en vue d'accroitre la capacité de mobilisation et
d'encadrement des recettes provinciales.
Vu l'urgence et la nécessite sur proposition du
Ministre Provincial en charge des Finances et le Conseil des Ministres
entendu.
II.2. Dispositions Générales
Il est créé sous la dénomination de
« Direction Générale des Recettes du Nord-Kivu,
DGR/NK en sigle ». Un service public provincial jouissant
d'une autonome administrative et financière.
30
Le siège de la Direction Générale des
Recettes du Nord-Kivu est établi à Goma chef-lieu de la Province
du Nord-Kivu.
En cas de nécessité, il peut être
transféré à tout autre lieu de la Province du Nord-Kivu
sur proposition de la Direction Générale approuvée par le
Gouverneur de la Province.
La DGR/NK est pourvue suivant les nécessites et les
moyens, de centres des Recettes urbains et/ou Territoriaux.
La DGR/NK a pour mission de :
? Mobiliser, encadrer, percevoir et maximiser les Recettes
Provinciales et Locales à savoir les impôts, les taxes et les
droits provinciaux et locaux ainsi que les recettes de participation;
? Concourir à la maximisation des recettes du
Trésor Public National et/ou Local.
A ce titre elle exerce dans le cadre de la législation
et la réglementation en vigueur, toutes ses missions et
prérogatives des recettes fiscales, non fiscales et exceptionnelles.
Les missions et prérogatives visées à
l'alinéa précédent comprennent notamment:
l'assiette, l'Ordonnancement et le recouvrement des Recettes
Provinciales précitées ainsi que les contentieux y
afférents.
La DGR/NK exerce ses missions et prérogatives sur toute
l'entendue de la Province du Nord-Kivu.
III.3. Ressources financières
Pour son fonctionnement, la DGR/NK dispose d'un budget de
fonctionnement et d'investissement émergeant au budget annexe de la
Province.
Outre les rémunérations budgétaires dont
elle bénéficie, la DGR/NK bénéficie pour son
fonctionnement et la motivation de son personnel, d'une rétrocession
égale à 5% des recettes fiscales réalisées ainsi
que de 50% des pénalités fiscales et non fiscales
recouvrées dont 20% pour son fonction, 20% pour la prime du personnel et
10% pour l'équipe ou les agents qui sont constaté l'infraction et
concouru ou recouvrement des pénalités.
III.4. Patrimoine
Le patrimoine de la DGR/NK est constitué de (s) :
a. Biens meubles et immeubles mis à sa disposition par le
Gouvernement Provincial lors de son démarrage;
31
b. L'actif et du passif de la Brigade Provinciale des
Finances du Nord-Kivu hormis son personnel;
c. Equipement matériels et autres biens acquis
à ses frais dans le cadre du budget d'investissement;
d. Subvention du gouvernement provincial;
e. Dons et legs
f. Emprunts;
g. Produit d'exploitation.
La DGR/NK dresse annuellement l'état de son patrimoine
selon les normes du Plan
Comptable Général Congolais (PCGC) en indiquant
clairement:
A son actif: - les valeurs
immobilisées;
- les valeurs circulantes et d'exploitation.
A son passif :- les éléments de la
situation nette;
- les subventions d'équipement;
- les dettes à court, moyen et long terme.
II.5. Passation des marches
Sans préjudice des dispositions légales
relatives aux marches publics, la DGR/NK traite de gré à
gré pour les marches des travaux et fournitures dont la valeur
n'exercée pas un montant de 9.100.000 FC constants et
dans tous les cas où la province est autorisé à traiter de
gré à gré pour la conclusion de ses propres marches.
II.6. Structures
Les Structures de la DGR/NK :
? La Direction Générale et
? Les Centres Opérationnels.
Organisation et du fonctionnement
A. La Direction Générale;
La Direction Générale est l'organe de gestion, de
coordination et superviser de l'ensemble des activités de la DGR/NK.
32
Elle veille à l'exécution des décisions du
Gouvernement Provincial.
La Direction Générale est assurée par un
Directeur Général assisté de 5 directeurs. Ils sont
nommés et le cas échéant relevés de leurs fonctions
par le Gouverneur de Province sur proposition du Ministre Provincial ayant les
finances dans ses attributions.
Le mandat des membres de la Direction Générale est
en 5ans renouvelable une fois.
Le Directeur Général coordonne et supervise
l'ensemble des activités de la DGR/NK conformément à la
législation et réglementation en vigueur.
Il assure la Direction gère le personnel, les
ressources financières ainsi que les biens meubles et immeubles de la
DGR/NK.
Il dispose du droit d'évoquer les affaires et peut
reformer les décisions des Directeurs et des chefs des Centres des
Recettes.
En cas d'absence ou d'empêchement du Directeur
Général, le Directeur de
l'Inspection assume d'office son intérim est
assuré par le directeur en charge de l'Administration, Finance et des
services généraux.
La Direction Générale comprend cinq directions :
1. La Direction Administrative, Finance et des services
généraux;
2. La Direction des Centres des Recettes ;
3. La Direction de l'Inspection;
4. La Direction de l'Informatique.
Pour son bon fonctionnement et d'évaluation de son
programme, la Direction Générale
se réunit obligatoirement chaque onzième et vingt
septième jour du mois er rend
mensuellement compte au Ministre des Finances. Si le
onzième ou le vingt septième jour du
mois tombe un jour férié ou un Dimanche la
réunion a lieu le premier jour ouvrable suivant.
Les réunions de la Direction Générale
traitent de du :
> Plan d'action global, plan opérationnel, les
objectifs, les buts et les programmes
sectoriels;
> La politique de maximisation des recettes ;
> Budget interne de fonctionnement et d'investissement;
> Barème de rémunération, la
répartition de la plus value;
> La passation des marches dépassants le seul
autorisé;
> L'évaluation du plan d'action global,
opérationnel du programme sectoriel de
maximisation des recettes et de l'exécution du budget.
Les Directions sont subdivisées en Divisions et en
Bureaux.
33
B. La Direction Administrative et des Services
Généraux est chargée de :
> Assurer la gestion de personnel des crédits, des
biens meubles et immeubles;
> Assurer la formation en cours de carrière des
agents;
> Préparer le budget de la DGR/NK ;
> Assurer la gestion du imprimés de valeur relatifs
à la perception des recettes reçus du
Ministre des Finances;
> Elaborer les rapports d'activités de la DGR/NK ;
> Organiser le recrutement des agents de carrière
conformément à l'Arrête du
Gouverneur de la Province en la matière;
> Coordonner, harmoniser et suivre la gestion de la part des
pénalités revenant aux
services et agents;
> Préparer les comptes financiers de la DGR/NK en
cours et à la fin de chaque exercice
comptable.
C. La Direction des Centres des Recettes est
chargée de :
> Assurer le service des activités des centres des
recettes qui lui rendent compte journellement;
> Contrôler la régularité des Recettes
Provinciales et de mener les cas échéants, les enquêtes et
des investigations qu'appelle la motivation de toute décision de renvoi
pour redressement des dossiers non-conformes;
> Définir la stratégie et fixer les objectifs
quantitatifs et qualitatifs en matière de recouvrement;
> Elaborer, coordonner, harmoniser et superviser les
procédures de recouvrement et de poursuite;
> Définir les orientations en matière
d'identification des contribuables et/ou assujettis ; > Elaborer et mettre
en oeuvre le programme de recensement des véhicules et des
recoupements;
> Suivre auprès des régies financières,
les recettes du Trésor Public National et d'en
ternir les statistiques pour le suivi de 40% à retenir
à la source par la Province ; > Assurer la collaboration avec
d'autres administrations fiscales.
34
D. La Direction de l'Inspection et de Contrôle
Interne est chargée de :
> Contrôler d'office ou sur demande expresse du
Directeur Général, les services d'assiette, les régies
financières, les biens de la Direction Générale et des
Centres des Recettes ;
> Missions d'enquête et d'audit dans tout service
public de l'Etat qui intervient dans la détermination de l'assiette des
impôts, taxes et redevances de la province;
> Veiller à l'application régulière
des lois, édits et règlement en vigueur ainsi qu'au respect des
directives de la Direction Générale;
> Soumettre au Directeur Général toute
observation ou mesure de nature d'améliorer l'organisation et le
fonctionnement des services;
> Juguler la fraude fiscale et non fiscale sous toutes ses
formes.
E. La Direction des Etudes de la législation et
Contentieux est chargée de :
> Mener des Etudes de nature à l'améliorer
l'organisation et le fonctionnement de la
DGR/NK ;
> Améliorer la législation par
l'interprétation des édits, arrêtes et. ;
> Centraliser et analyser les statistiques;
> Elaborer les projets d'Edits d'Arrêtes d'instruction
ou des circulaires;
> Instruire les dossiers soumis au Directeur
Général ou évoques par lui;
> Instruire et suivre les dossiers des débiteurs
défaillants devant faire ou faisant l'objet
des poursuites en recouvrement forcé conformément
aux dispositions légales en
vigueur;
> Formuler les avis sur les régimes fiscaux
d'exception;
> Elaborer, coordonner et superviser les procédures
contentieuses sur toute l'Entendu de
la Province;
> Elaborer la doctrine administrative;
> Assurer le suivi des procédures en cours dans le cas
de recours juridictionnels;
> Assurer la communication et la vulgarisation de la
législation ainsi que de la
réglementation fiscale et non fiscale.
35
F. La Direction de l'Informatique.
> L'installation des matériels et l'équipement
informatique ainsi que leurs maintenances;
> L'acquisition des logiciels de base et d'interface de
gestion des recettes, des finances, du personnel et. ;
> La conception des programmes informatisés connexes
à ces logiciels;
> La formation et le recyclage du personnel utilisateur des
logiciels.
Les centres des recettes sont chargés de mener dans
leurs ressorts respectifs. Les opérations d'assiette, d'ordonnancement
et de recouvrement des impôts, les taxes, droits dus par les
contribuables ou assujetti sélectionnés selon les critères
définis par la DGR/NK. A cet effet, ils sont chargés de :
· Gérer la documentation de l'assiette et les
dossiers individuels des assujettis ;
· Etablir des notes de perception;
· Elaborer les statistiques des recettes recouvrées
et non recouvrées;
· Percevoir les sommes dues au Trésor Public
Provincial;
· Gérer les dossiers des
bénéficiaires du régime d'exception et évaluer le
manque à gagner y relatif;
· Gérer les recettes non recouvrées les
enrôler et mettre en demeure les débiteurs défaillants
avant toute poursuite en recouvrement forcé;
· Ternir, actualiser et assurer le service du
répertoire des contribuables et/ou assujettis.
II.7. ORGANIGRAMME
DIRECTEUR GENERAL
DIRECTEUR GENERAL ADJOINT
DIR ADM, FINANCE,
SERVICES
GENERAUX
DIR INSPECTION ET
CONTROLE
DIR CENTRES DES
RECETTES
DIR ETUDE ET
CONTENTIRUX
DIR
INFORMATIQUE
DIV
|
DIV
|
DIV
|
|
DIV
|
ETUDE
|
CONTE
|
JURIDI
|
|
EQ ET
|
NTIEUX
|
QUE
|
|
MAIN
|
|
DIV
SUIVIE
RECETTE
DIV
APPL
36
Secrétariat Direction
Générale
Suivi Impots
Suivi Taxes et Service
Cpmptabilité et Statistique
Secretariat de Direction
DIV ADM
Ressources humaines et oeuvres sociales
DIV SER GEN
Imprimés et Fournitures
Immobiliers et inventaires
DIV FIN
Verificateurs du Budget
Comptabilité depenses
DIV INSP
DIV
AUDIT
COR
37
CHAP. III. ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION
III.1 ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT
III.1.1 Notions
a) Un système : est un ensemble
d'éléments matériels ou immatériels (homme,
machine, méthode, règles) en interaction transformant par un
processus des éléments (les entrées) en d'autres
éléments (les sorties).39
b) Un système automatisé d'information
(SAI) : est un sous- système d'un SI dans lequel toutes les
informations significatives d'informations sont effectuées par des
machines de traitement automatique des informations (ordinateur). Il permet la
conservation et le traitement automatique des informations.40
c) Le modèle: le modèle
entité -association est à la fois un outil et une technique
d'analyse permettant de construire des schémas théoriques de
raisonnement sur des applications tournant avec les bases de données
relationnelles. Pour mettre en oeuvre cette technique, en connaître les
possibilités et les limites, il n'est pas nécessaire de
posséder une base de données. 41
d) Un événement: est le fait
que quelque chose survient et que l'on perçoit que quelque chose
survient.42
39 Eurasme KAKULE MILANDO, Cours d'Analyse du
Système d'Information I, inédit, G2 Informatique, ISC/Goma,
2009-2010, p 6.
40 OP, cite p 10.
41 Bruno Jousseaume,
Informatique, édition DUNOD, Paris, 2002, p 1.
42 Eurasme KAKULE MILANDO, Cours d'Analyse du
Système d'Information I, inédit, G2 Informatique, ISC/Goma,
2009-2010, p 17.
38
e) Le système d'information (SI)
43: est le domaine dans lequel la méthode MERISE
s'applique. Le SI est composé des moyens humains et techniques
nécessaires au stockage et au traitement de l'information d'une
organisation: le système physique correspond aux moyens de production
à la fois humains et techniques de l'organisation.
GESTION ET CONTROLE
Modes de fonctionnement
Suivi
SYSTEME D'INFORMATION
SYSTEME PHYSIQUE
Management
Sorties des éléments produits par
l'organisation:
- Evénement
- Produits
- Informations
Entrées des éléments externes à
l'organisation:
- Evénement
- Matériaux
- Informations
43 Bruno Jousseaume,
Informatique, édition DUNON, Paris 2002, p 4.
39
f) Abstraction 44
MERISE va permettra la formalisation des notions complexes
qui sont facilement utilisables sous leur forme finale (programme informatique,
fichier de données). Pour cela diverses étapes progressives,
durant lesquelles on ne s'intéresse qu'à certains aspects de
cette formalisation, sont utilisées:
? Formalisation conceptuelle: elle a pour
but la formalisation de données et les traitements nécessaires au
SI sans aborder les aspects d'organisation. Il s'agit d'apporter la
réponse à la question : QUOI?
? Formalisation organisationnelle: son but
est d'apporter à la formalisation conceptuelle les notions de temps, des
lieux et d'acteurs, soit répondre aux questions : QUAND ? Où ? et
QUI?
? Formalisation opérationnelle: elle a
pour but de définir les solutions techniques répondant aux
besoins soulevés lors des étapes précédentes. Il
s'agit de répondre à la question COMMENT?
g) Relation type : définition d'une
association liant plusieurs entités type. Signification d'un lien entre
deux ou plusieurs types d'objets.45
h) Propriétés types:
définition d'une caractéristique d'un objet ou d'une
association, une propriété type est elle même
caractérisée par un type (Chiffre, texte,...) et une longueur.
L'ensemble des propriétés types du MCD compose le dictionnaire
des données.46
i) Cardinalité minimum: nombre
minimum de fois où une entité est concernée par
l'association. 0 indique que les entités ne sont obligatoirement
concernées par l'association.47
j) Cardinalité maximum: nombre
maximum de fois où une entité est concernée par
l'association; n signifie « plusieurs fois » sans préciser de
nombre. Le nombre ne peut être égal à 0.48
k) Synchronisation: règle indiquant
les événements et l'enchaînement de ces derniers
nécessaires au lancement d'une opération. Il s'agit d'une
expression logique composée essentiellement de Où et de ET.
44 Bruno Jousseaume, Informatique,
édition DUNON, Paris 2002, p 6.
45 Idem, p 7.
46 Idem
47 Idem
48 Idem
40
l) Opération: liste des actions
à réaliser si la synchronisation associée est
réalisée. L'ensemble des actions de l'opération
s'exécute sans interruption ni attente
d'événement.49
m) Emission: expression logique indiquant
selon le résultat de l'opération quels événements
internes au SI sont créés.
n) Entité: c'est un objet abstrait,
un concept, qui regroupe des données qui ont un rapport très
précis entre elle.50
o) Identifiant: l'une des
propriétés est l'identifiant de l'entité. On peut dire que
l'identifiant permet donc de distinguer chaque occurrence, ou instance d'une
entité.51
p) Occurrence d'une entité est
formée par les valeurs que prennent les propriétés de
cette entité.
q) Les dépendances fonctionnelles
Il y a dépendance fonctionnelle entre deux
données, l'une source l'autre but, lorsque, à une valeur de la
donnée source, correspond une et une seule valeur de la donnée
but. 52
r) une tâche est un travail
déterminé à réaliser par le système. Elle
utilise à cette fin un ensemble de données du système soit
en consultation soit la mise à jour.
s) une procédure est un ensemble de
tâches exécutées de manière ininterrompue en
respectant la règle de trois unités : même lieu de
traitement, même type de traitement et même période de
traitement.
49 Bruno Jousseaume,
Informatique, édition DUNON, Paris 2002, p 8.
50 Félix JOLIVET et Gerard REBOUL,
Informatique appliquée à la Gestion, 2ieme
édition, Paris 1993, p 60.
51 Idem
52 Idem, p 65.
41
t) Un poste de travail est un centre
d'activités élémentaire et opérationnelles de
l'organisme comprenant tout ce qu'est nécessaire à
l'exécution du traitement définies automatisées ou
non.53
u) Acteur il représente une
unité active intervenant dans le domaine ou fonctionnement du
système opérant stimulé par le flux, il le transforme, le
renvoie.54
v) Flux il représente une
échange entre deux acteurs.
53 KAHINDO ISEVINDU Solange, Automatisation de
paiement des taxes dans une institution publique cas de la DGRAD Ressort
MASISI, TFC, inédit ISC/Goma, 2009-2010
54 Idem
42
III.1.2. MCC BRUT
17
Div Adm.
Secrétariat
18
Div. Ser. Gn.
DIR ADM, Fin et Serv. Gén.
16
15
38
13
Div.
Finance
14
37
41
42
11
Div. Insp.
12 10
Numpaiemen
39
35 36 34
DIR. INSP. et
CONT.
D.G.A te
D.G
9
40
Div. Audit. Interne
33
Contribuable
31
32
2
Div. Equi. et Main.
6
DIR. CENTRE RECETTES
30
4
27
29
5
1
DIR. INFOR.
C.O.R
Réception
3
28
26
22 21
DIR.
ETUDE CONT.
8
Div. Cont.
25
7
24
Div. Appl.
Div. Suivie
R.
Div. Etude
20
23
19
Div. Juridique
43
Légende
1. Dépôt demande identification
2. Réponse à la demande
3. Orientation au service compétent
4. Livraison fiche d'identification
5. Rapport à la hiérarchie
6. Ordre et exécution
7. Rapport à l'échelle
8. Ordonnance
9. Récit à l'hiérarchie
10. Ordre et exécution
11. Décret
12. Exécution
13. Rapport élaboré
14. Ordonnance
15. Témoignage à la mesure
16. Exécution et ordre
17. Relation faite
18. Réalisation
19. Rapport à l'échelle
20. Ordonnance
21. Rapport à l'échelle
22. Nullité
23. Ordonnance
24. Rapport à l'échelle
25. Agencement
26. Procès-verbal
27. Rapport à l'échelle
28. Organisation
29. Rapport à la comparaison
30. Exécution
31. Rapport à l'échelle
32. Accomplissement
33.
44
Rapport à la comparaison
34. Accomplissement
35. Rapport à la comparaison
36. Décision
37. Rapport à la comparaison
38. Arrêt
39. Narration
40. Loi
41. ordonnance
42. dénonciation
45
III.1.3. MATRICE DE FLUX BRUT
|
DG
|
D G A
|
D.AD ,FIN, SG
|
DIR INS. CON
|
DIR C.RE
|
DIR
ET.CO NT
|
DI R IN F
|
DIV AD
|
DI V SG
|
DI V FI N
|
DI V INS P
|
DIV A.INT ER
|
DIV S.RE C
|
DI V ET U
|
DI V CO N
|
DI V JU R
|
DI V EQ
|
DI V AP
|
RE C
|
CON T
|
C.O .R
|
SE C GN
|
|
DG40
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DGA
|
39
|
|
42
|
36
|
34
|
30
|
32
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
38
|
D.AD, FIN,S G
|
-
|
41
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
18
|
16
|
14
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIR INS. CON
|
-
|
35
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
12
|
10
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIR C.RE
|
-
|
34
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
8
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
6
|
-
|
DIR
ET.CO NT
|
-
|
29
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
24
|
22
|
20
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIR INF
|
-
|
31
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
28
|
26
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV AD
|
-
|
-
|
17
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV SG
|
-
|
-
|
15
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV FIN
|
-
|
-
|
13
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV INSP
|
-
|
-
|
-
|
11
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
- -
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
46
DIV- A.INT ER
|
|
-
|
-
|
9
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
- -
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV- S.REC
|
|
-
|
-
|
-
|
7
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV ETU
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
23
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV CON
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
22
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV JUR
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
20
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV EQ
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
27
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV AP
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
25
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
REC
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
2
|
3
|
-
|
CONT
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1
|
|
-
|
-
|
C.O.R
|
-
|
-
|
-
|
-
|
5
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
4
|
-
|
|
-
-----
|
SEC GN
|
-
|
37
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
47
4
III.1.4. MCC NET
D.G
8
7
5
D.G.A
SECRECTARIAT
6
3
GESTION DE
D'IDENTIFICATION DE
CONTRIBUABLE
2 1
48
Légende
1. Dépôt demande identification
2. Réponse à la demande et orientation
3. Rapport à l'hiérarchie
4. Instruction
5. Saisie rapport
6. Apprentissage
7. Témoignage à l'échelle
8. Instruction
49
III.1.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT)
III.1.5.1. Notion du MOT
Le MOT est issu du MCT, dont il reprend la
représentation de base et surtout de l'organisation choisie à la
fin de l'Etude préalable.
La représentation du MOT utilise un tableau dont les
colonnes sont les intervenants, acteurs et lieux, et où les lignes
indiquent la notion de temps.
Par ailleurs, on étend la notion
d'événement du MCT à la notion de flux d'information et on
décompose les opérations du MCT en procédure
fonctionnelle.
Il est intéressant pour la compréhension du MOT,
d'indiquer le support du flux d'information ou de l'événement
mentionné.55
Il s'agit dans ce modèle de rendre les processus
organisés identifies pour apporter certaines précisions aux
traitements : dans quelles conditions sont-ils activés
(déclenchées)? De quels types sont-ils (informatisés ou
non) ? Quelles sont les règles d'émissions des résultats
(événements de sortie)?
Dans ce modèle le terme générique de
traitement est remplacé par celui d'opération organisationnelle
ou tâche.56
55 Bruno Jousseaume,
Informatique, édition DUNOD, Paris 2002, p 10.
56 Félix JOLIVET et Gérard REBOUL,
Informatique appliquée à la Gestion, 2ieme édition, Paris
1993, p 209.
50
Déterminations de procédures
fonctionnelles
III.1.5.2. Règles d'organisations
RO1 : à la DGR/NK le travail commence de 8h°°
à 15h°°
RO2 : le contribuable s'adresse à la réception
pour demander l'identification
RO3 : la livraison du fiche d'identification est livrée
au bureau taxation et documentation
RO4 : le remplissage de la fiche est fait par le
contribuable
RO5 : la comparaison de la fiche d'identification se fait
à la taxation et documentation
RO6 : l'enregistrement suit la comparaison si elle conforme
RO7 : déclaration de l'impôt se fait sur base
d'un barème
RO8 : le calcul de l'impôt sur base imposable
RO9 : le paiement se fait toujours à la banque
51
III.1.5.3. Tableau de procédures
fonctionnelles
A. Procédure Identification
PF
|
DUREE
|
ACTIONS
|
NATURE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
Lieu
|
Ressource
|
Responsable
|
PF1
|
8h°°< t < 15h°°
|
OUVERTURE BUREAU
|
MA
|
Bureau
|
Huissier
|
Huissier
|
PF2
|
8h°°< t < 15h°°
|
RECEPTION CONTRIBUABLE
|
MA
|
Réception
|
Réceptionniste
|
Réceptionniste
|
PF3
|
8h°°< t < 15h°°
|
DEPOT DEMANDE IDENTIFICATION
|
MA
|
Réception
|
Réceptionniste
|
Réceptionniste
|
PF4
|
8h°°< t < 15h°°
|
LIVRAISON FICHE
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF5
|
8h°°< t < 15h°°
|
REMPLISSAGE FICHE
|
MA
|
Ailleurs
|
Contribuable
|
Contribuable
|
PF6
|
8h°°< t < 15h°°
|
COMPARAISON FICHE
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF7
|
8h°°< t < 15h°°
|
ENREGISTREMENT
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
52
B. Processus Déclaration
PF
|
DUREE
|
ACTIONS
|
NATURE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
Lieu
|
Ressource
|
Responsable
|
PF8
|
8h°°< t < 15h°°
|
RECEPTION CONTRIBUABLE
|
MA
|
Réception
|
Réceptionniste
|
Réceptionniste
|
PF9
|
8h°°< t < 15h°°
|
DEMANDE FICHE DECLARATION
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF10
|
8h°°< t < 15h°°
|
CHOIX TYPE D'IMPOT
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Contribuable
|
Contribuable
|
PF11
|
8h°°< t < 15h°°
|
REMPLISSAGE SELON LE CRITERE
|
MA
|
Ailleurs
|
Contribuable
|
Contribuable
|
PF12
|
8h°°< t < 15h°°
|
ANALYSE DECLARATION
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF13
|
8h°°< t < 15h°°
|
LIVRAISON NOTE DE PERCEPTION
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF14
|
8h°°< t < 15h°°
|
PAIEMENT IMPOT
|
MA
|
Banque
|
Banquier
|
Banquier
|
PF15
|
8h°°< t < 15h°°
|
VERIFICATION PAIEMENT
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF16
|
8h°°< t < 15h°°
|
LIVRAISON QUITTANCE
|
MA
|
Bureau
Recouvrement
|
Chef du Bureau
|
Chef du Bureau
|
PF17
|
8h°°< t < 15h°°
|
ENREGISTREMENT
|
MA
|
Bureau
Recouvrement
|
Chef du Bureau
|
Chef du Bureau
|
53
III.1.5.4 Enchainement des procédures
fonctionnelles Processus Identification
Poste de travail
Lieu, Ress., Resp.
- Bureau - Huissier - Huissier
- Réception
- Réceptionniste
- Réceptionniste
- Réception
- Réceptionniste
- Réceptionniste
Enchaînement de procédures
PF1
PF3
PF2
Présence
contribuable
DEPOT DEMANDE IDENTIFICATION
A
RECEPTION CONTRIBUABLE
Contribuable reçu
Bureau ouvert
OUVERTURE BUREAU
Demande déposée
et
Toujours
Toujours
Toujours
Et
et
Réceptionniste présent
Disponibilité Réceptionniste
Présence Huissier
Nature
MA
MA
MA
Déroulement
8h°°< t < 15h°°
8h°°< t < 15h°°
8h°°< t < 15h°°
54
8h°°< t < 15h°°
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
A
Contribuable Chef bureau
présent présent
|
et
|
|
PF4
|
LIVRAISON FICHE
|
|
|
Toujours
|
Fiche livrée
|
8h°°< t < 15h°°
|
MA
Contribuable disponible
|
- Ailleurs
- Contribuable
- Contribuable
|
et
|
|
PF5
|
REMPLISSAGE FICHE
|
|
|
Toujours
|
Fiche rempliée
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
Présence chef bureau
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
|
|
et
|
|
PF6
|
COMPARAISON FICHE
|
|
|
OK
|
NON OK
|
|
Fiche comparée Rejetée
acceptée
|
|
B
|
55
8h°°< t < 15h°°
|
|
|
B
|
|
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
Chef Bureau disponible
|
|
|
et
|
PF7
|
|
ENREGISTREMENT
|
Toujours
|
|
|
|
Enregistrement
fait
Fin processus
|
Demande identification
|
56
DIAGRAMME D'ENCHAINEMENT DE PROCEDURES FONCTIONNELLES B.
« Processus déclaration »
Déroulement
|
Enchaînement de procédures
|
Nature
|
Poste de travail
|
Lieu, Ress., Respo.
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Réception
- Réceptionnist
e
- Réceptionnist e
|
Présence Réceptionniste
contribuable disponible
|
|
Et
|
|
PF8
|
RECEPTION CONTRIBUABLE
|
|
|
Toujours
|
Contribuable reçu
|
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du
bureau
- Chef du
bureau
|
|
Chef bureau disponible
|
et
|
|
PF9
|
DEMANDE FICHE DECLARATION
|
|
|
Toujours
|
Demande effectuée
|
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
Contribuable disponible
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Contribuable
- Contribuable
|
et
|
|
PF10
|
CHOIX TYPE D'IMPOT
|
|
|
Toujours
|
|
Choix effectué
C
|
|
57
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Ailleurs
- Contribuable
- Contribuable
|
|
C Contribuable
|
|
disponible
|
|
et
|
|
|
PF11
|
REMPLISSAGE SELON CRITERE
|
|
|
|
Toujours
|
|
|
|
Remplissage fait
|
8h°°< t < 15h°°
|
Chef bureau disponible
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du
bureau
- Chef du
bureau
|
|
et
|
|
|
PF12
|
ANALYSE DECLARATION
|
|
|
|
Conforme
|
Non Conforme
|
|
Déclaration Chargement
acceptée donné
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du
bureau
- Chef du
bureau
|
|
Présence Chef bureau
contribuable disponible
|
|
|
|
et
|
|
|
PF13
|
LIVRAISON NOTE DE PERCEPTION
|
|
|
|
Toujours
|
|
|
|
Note livrée
|
|
D
|
58
8h°°< t < 15h°°
|
D Banquer dispo et
|
MA
|
- Banque
- Banquier
- Banquier
|
contribuable
|
present
et
|
|
PF14
|
PAIEMENT IMPOT
|
|
|
Toujours
|
|
Impôt payé
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Bureau
recouvrement
- Chef du
bureau
- Chef du
bureau
|
Présence chef bureau
|
et
|
PF15
|
VERIFICATION NOTE PERCEPTION
|
|
OK
|
NON OK
|
|
Note vérifiée Arrestation
note rejetée
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Bureau
recouvrement
- Chef du
bureau
- Chef du
bureau
|
Présence
contribuable Chef bureau
recouvrem dispo
|
|
et
|
PF16
|
LIVRAISON QUITTANCE
|
|
Toujours
|
|
Livraison
quittance effectuée
|
E
|
59
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Bureau
recouvrement
- Chef du
bureau
- Chef du
bureau
|
|
E Chef bureau
recouvrement dispo
|
et
|
|
PF17
|
ENREGISTREMENT
|
|
|
Toujours
|
Enregistrement
|
Fin processus Déclaration
|
|
60
III.1.6. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT (MCT)
III.1.6.1. Notions
Au niveau du MCT, on ne retire que les
nécessités de fonctionnement (le QUOI), on élimine donc
les contraintes d'organisation (QUI, QUAND, Où). L'intérêt
d'un tel modèle, le MCT, est de mettre en évidence les aspects
essentiels, le QUOI, pour remettre éventuellement en cause l'aspect
organisationnel pour le rendre plus efficace.57
C'est MCT permet la formalisation des traitements en fonction
des événements extérieurs sans s'intéresser
à l'organisation qui régira ces traitements.58
III.1.6.2. Formalismes utilisés
E1
E2 E3 En
Et/ ou
Evénements Constitutifs
Synchronisation
Opérations
Actions
Evénement Résultat
R1 R2 R3
...
Rn
57 Félix JOLIVET et Gérard REBOUL,
Informatique appliquée à la Gestion, 2ieme
édition, Paris 1993, p 191.
58 Bruno Jousseaume,
Informatique, édition DUNOD, Paris, 2002, p 8.
A
Demande déposée
61
A. Procédure Identification
OUVERTURE BUREAU
Et
Présence Huissier
Toujours
Présence
contribuable
Bureau ouvert
et
Disponibilité Réceptionniste
RECEPTION CONTRIBUABLE
Toujours
Contribuable reçu
et
Réceptionniste présent
DEPOT DEMANDE IDENTIFICATION
Toujours
62
et
A
Contribuable présent
Chef bureau présent
LIVRAISON FICHE
Toujours
Fiche livrée
et
Contribuable disponible
REMPLISSAGE FICHE
Toujours
et
OK
NON OK
Rejetée
B
Fiche comparée acceptée
COMPARAISON FICHE
Présence chef bureau
Fiche rempliée
63
B Chef Bureau
disponible
Enregistrement fait
ENREGISTREMENT
Toujours
et
Fin processus
Demande
identification
et
Demande effectuée
Contribuable disponible
CHOIX TYPE D'IMPOT
Toujours
C
Choix effectué
64
B. Procédure Déclaration
Et
Présence contribuable
Réceptionniste disponible
RECEPTION CONTRIBUABLE
Toujours
et
Chef bureau disponible
Contribuable reçu
DEMANDE FICHE DECLARATION
Toujours
65
Remplissage fait
REMPLISSAGE SELON CRITERE Toujours
C
et
et
Contribuable disponible
Chef bureau disponible
ANALYSE DECLARATION
|
Conforme
|
Non Conforme
|
Présence contribuable
LIVRAISON NOTE DE PERCEPTION
Toujours
Déclaration acceptée
Note livrée
et
D
Chargements donnés
Chef bureau disponible
Livraison
quittance effectuée
E
66
D Banquer dispo et
contribuable present
et
PAIEMENT IMPOT
Toujours
Impôt payé
et
Présence chef bureau
VERIFICATION NOTE PERCEPTION
Présence contribuable
Note vérifiée Arrestation
note rejetée
et
Chef bureau recouvrem dispo
LIVRAISON QUITTANCE
Toujours
67
E Chef bureau
recouvrement dispo
et
ENREGISTREMENT
Enregistrement
Toujours
Fin processus Déclaration
68
III.1.7. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)
III.1.7.1. Notions
Le MCD est l'élément le plus connu de la
méthode. Il permet d'établir une
représentation claire des données du SI et
définit les dépendances fonctionnelles de ces données
elles.59
III.1.7.2. Règles de gestion du MCD
RG1 : un contribuable se fait enregistrer une et une seule
fois
RG2 : un contribuable déclare une ou plusieurs fois
RG3 : une déclaration concerne un et un seul
contribuable
RG4 : le paiement se fait une ou plusieurs fois
RG5 : un paiement appartient à un et un seul
contribuable
RG6 : un impôt appartient à une et une
catégorie
59 Bruno Jousseaume,
Informatique, édition DUNOD,
Paris, 2002, p 7.
69
III.1.7.3. Dictionnaire des données
Nom/Champs
|
SIGNIFICATIONS
|
LONGUEUR
|
TYPES
|
NATURE
|
REGLE DE
CALCUL
|
N, AN, A
|
E, CO,
CA
|
SIT, SIGN
|
Idcontr.
|
Identification contribuable
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Nom
|
Nom contribuable
|
18
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Raison
|
Raison sociale
|
29
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
AdrEmail
|
Adresse mail
|
20
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Adresspost
|
Adresse postale
|
28
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Tél
|
Téléphone
|
27
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
Numimp.
|
Numéro impôt
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Modep.
|
Mode paiement
|
15
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Date op.
|
Date déclaration
|
15
|
AN
|
E
|
SIT
|
jj/mm/aa
|
Revenu brut
|
Revenu brut
|
100
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Taux
|
Taux impôt
|
50
|
N
|
E
|
SIGN
|
impot du taxe
|
Solde à p.
|
Solde à payer
|
15
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
Impôt du
|
Impôt du
|
20
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
70
Montant
|
Montant payé
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Numquit.
|
Numéro quittance
|
15
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Num note perception
|
Numéro note de perception
|
17
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
Date paie.
|
Date paiement
|
19
|
|
E
|
SIT
|
Jj/mm/aa
|
|
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
|
|
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
71
III.1.7.4. Graphe de dépendances
fonctionnelles
.
Idcontr.
Numpaiement
E-mail
Numimpôt
Mode paiement
Quittance
Date paiement
Tél Nom/Raison
sociale
Adresse pastorale
Nom impôt Type impôt
72
III.1.7.5. Construction du MCD
T Contribuable 1, n Effectuer
1, 1
1, n
Idcontr.
Nom/Raison sociale Tél
E-mail
Adresse postale
1, n
Concerner Date
T Paiement
Numpaiement Mode paiement Date paiement
T Impôt
Numimpôt
Designation impôt Type impot
|
73
III.1.8. CRITIQUE DU SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT
En cette partie nous tenterons de dégager les aspects
positifs et négatifs du
système et d'y apporter notre jugement. Notons que ce
jugement nous permettra de proposer de nouvelles solutions.
1) Critique sur le Modèle Conceptuel de
Communication (MCC Brut) Négativement dans le Model Conceptuel
de Communication nous trouvons des flux inutiles et manque des postes
importants dans l'organisation comme par exemple le poste
d'informaticien,...
2) Critique sur le Modèle Organisationnel de
Traitement (MOT)
Au niveau de traitement, le système est un peu
organisé, car à part la lenteur causée par la
gestion manuelle, le système est un peu
équipé étant donné que les tâches et leur
temps d'exécution sont bien chronométrés.
3) Critique sur le Modèle Conceptuel de
Traitement (MCT)
Les procédures des traitements des informations restent
toujours manuelles et
la figure humaine peut faire commettre les erreurs de temps
à l'autre. Il n'y a pas une grande sécurité des
informations car les supports utilisés restent les papiers.
4) Critique sur le Modèle Conceptuel des
Données (MCD)
Du point de vue donné (MCD), les documents utilisés
sont faciles à manipuler mais ici
nous déplorons la façon de gérer les
documents dans les classeurs car ces derniers posent la lenteur pendant la
recherche.
Les solutions et les propositions
Après avoir eu ces constants, nous proposons ce qui
suit à la DGR/NK :
? Mettre en place un service informatique pour permettre la
gestion facile de l'identification,
? Intégrer parmi les tâches manuelles certaines
taches automatisées pour rendre souple le système,
74
? Mettre en oeuvre une application pouvant permettre la
gestion de l'identification ainsi
que la déclaration
? Le site web va permettre cette institution publique à
la rapidité de détection des erreurs dans le réseau et les
ordinateurs, la possibilité d'accéder à vos données
partout où vous vous trouver en se connectant seulement à
l'Internet et la possibilité de modifier vos donnez à
distance.
Dans la conception du système futur nous essayerons de
palier à ces problèmes cités ci haut en créant une
base de données avec le site web et automatiser certaines
procédures.
75
III.2. ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR
Dans le troisième chapitre de notre travail, il nous sera
question des
améliorations du système d'information existant,
c'est-à-dire sur tous les modèles déjà
élaborés à partir des informations et observation
recueilles.
En effet, l'analyse du système d'information futur vient
d'apporter une amélioration aux insuffisances que courrait le
système d'information existant.
76
III.2.1. MCC BRUT FUTUR
17
Div
Adm.
Secrétariat
18
Div. Ser. Gn.
DIR ADM,
Fin et Serv.
Gén.
16
15
38
13
Div.
Financ
14
37
41
42
11
Div. Insp.
12 10
DIR. INSP. et
CONT.
39
35 36 34
D.G.A
D.G
9
40
Div. Audit. interne
33
Contribuable
31
32
2
Div. Equi. et Main.
DIR.
CENTRE
RECETTES
6
30
4
27
29
5
1
Réception
C.O.R
DIR.
INFOR.
3
28
26
22 21
DIR.
ETUDE
CONT.
8
Div. Cont.
25
7
24
Div. Appl.
Div.
Suivie
Div. Etude
20
23
Div.
Juridiqu
e
19
77
Légende
1. Dépôt demande identification
2. Réponse à la demande
3. Orientation au service compétent
4. Livraison fiche d'identification
5. Rapport à la hiérarchie
6. Ordre et exécution
7. Rapport à l'échelle
8. Ordonnance
9. Récit à l'hiérarchie
10. Ordre et exécution
11. Décret
12. Exécution
13. Rapport élaboré
14. Ordonnance
15. Témoignage à la mesure
16. Exécution et ordre
17. Relation faite
18. Réalisation
19. Rapport à l'échelle
20. Ordonnance
21. Rapport à l'échelle
22. Nullité
23. Ordonnance
24. Rapport à l'échelle
25. Agencement
26. Procès-verbal
27. Rapport à l'échelle
28. Organisation
29. Rapport à la comparaison
30. Exécution
31. Rapport à l'échelle
32.
78
Accomplissement
33. Rapport à la comparaison
34. Accomplissement
35. Rapport à la comparaison
36. Décision
37. Rapport à la comparaison
38. Arrêt
39. Narration
40. Loi
41. ordonnance
42. dénonciation
79
III.2.2. MATRICE DE FLUX FUTUR
|
DG
|
D G A
|
D.AD, FIN, SG
|
DIR INS. CON
|
DIR C.RE
|
DIR
ET.CO NT
|
DI R IN F
|
DIV AD
|
DI V SG
|
DI V FI N
|
DI V INS P
|
DIV A.INT ER
|
DIV S.RE C
|
DI V ET U
|
DIV CO N
|
DI V JU R
|
DI V EQ
|
DI V AP
|
RE C
|
CON T
|
C.O .R
|
SE C GN
|
|
DG40
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DGA
|
39
|
|
42
|
36
|
34
|
30
|
32
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
38
|
D.AD,F IN,SG
|
-
|
41
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
18
|
16
|
14
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIR INS. CON
|
-
|
35
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
12
|
10
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIR C.RE
|
-
|
34
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
8
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
6
|
-
|
DIR
ET.CO NT
|
-
|
29
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
24
|
22
|
20
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIR INF
|
-
|
31
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
28
|
26
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV AD
|
-
|
-
|
17
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV SG
|
-
|
-
|
15
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV FIN
|
-
|
-
|
13
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV INSP
|
-
|
-
|
-
|
11
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV- A.INTE R
|
|
-
|
-
|
9
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
- -
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
80
DIV- S.REC
|
|
-
|
-
|
-
|
7
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
- -
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV ETU
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
23
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV CON
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
22
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV JUR
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
20
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV EQ
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
27
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
DIV AP
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
25
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
-
|
-
|
REC
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
2
|
3
|
-
|
CONT
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1
|
|
-
|
-
|
C.O.R
|
-
|
-
|
-
|
-
|
5
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
4
|
-
|
|
-
-----
|
SEC GN
|
-
|
37
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
81
III.2.3. Dictionnaire des données futur
Nom/Champs
|
SIGNIFICATIONS
|
LONGUEUR
|
TYPES
|
NATURE
|
REGLE DE
CALCUL
|
N, AN, A
|
E, CO,
CA
|
SIT, SIGN
|
Idcontr.
|
Identification contribuable
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Nom
|
Nom contribuable
|
18
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Raison
|
Raison sociale
|
29
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
AdrEmail
|
Adresse mail
|
20
|
AN
|
CO
|
SIGN
|
|
Adresspost
|
Adresse postale
|
28
|
AN
|
CO
|
SIGN
|
|
Tél
|
Téléphone
|
27
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
Numimp.
|
Numéro impôt
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Modep.
|
Mode paiement
|
15
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Date op.
|
Date déclaration
|
15
|
AN
|
E
|
SIGN
|
jj/mm/aa
|
Revenu brut
|
Revenu brut
|
100
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Taux
|
Taux impôt
|
50
|
N
|
E
|
SIGN
|
impot du taxe
|
Solde à p.
|
Solde à payer
|
15
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
82
Impôt du
|
Impôt du
|
20
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
Montant
|
Montant payé
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Numquit.
|
Numéro quittance
|
15
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
Num note perception
|
Numéro note de perception
|
17
|
N
|
E
|
SIGN
|
|
Date paie.
|
Date paiement
|
19
|
|
E
|
SIT
|
Jj/mm/aa
|
|
|
10
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
|
|
|
AN
|
E
|
SIGN
|
|
83
III.2.4. Graphe de dépendance fonctionnelle
Futur
Idcontr.
.
E-mail
Tél Nom/Raison
sociale
Numimpot
Adresse pastorale
Numpaiement
Mode paiement
Quittance
Date paiement
Nom impôt Type impôt
Catégorieimpôt
Désignation
Numcat
84
III.2.5. Règles de gestion
RG1 : un contribuable se fait enregistrer une et une seule
fois
RG2 : un contribuable déclare une ou plusieurs fois
RG3 : une déclaration concerne un et un seul
contribuable
RG4 : le paiement se fait une ou plusieurs fois
RG5 : un paiement appartient à un ou plusieurs
contribuables
RG6 : un impôt appartient à une et une
catégorie
85
III.2.6. Construction du MCD FUTUR
1, 1 Effectuer 1, n
1, n
Concerner
Date
1, n
T Contribuable
Idcontr.
Nom/Raison sociale Tél
E-mail
Adresse postale
Numéro paiement Mode paiement Date paiement
T Paiement
T Impôt
1, n
Appartient Date
1, n
Num impôt Designation impôt Type impot
T Catégorie Impôt
Numcat
Désignation impôt
A
Demande déposée
Fiche livrée
et
Contribuable disponible
Fiche rempliée
Présence chef bureau
et
COMPARAISON FICHE
OK
NON OK
Rejetée
Fiche comparée acceptée
B
REMPLISSAGE FICHE
Toujours
et
A
Contribuable présent
Chef bureau présent
LIVRAISON FICHE
Toujours
86
III.2.7 MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT FUTUR (MCT) A.
Procédure Identification
Et
Présence Huissier
OUVERTURE BUREAU
Toujours
Présence
contribuable
Bureau ouvert
et
Disponibilité Réceptionniste
RECEPTION CONTRIBUABLE
Toujours
Contribuable reçu
et
Réceptionniste présent
DEPOT DEMANDE IDENTIFICATION
Toujours
87
88
B
Enregistrement fait
ENREGISTREMENT
Toujours
et
Chef Bureau disponible
Fin processus
Demande
identification
89
B. Procédure Déclaration
et
Contribuable reçu
Chef bureau disponible
RECEPTION CONTRIBUABLE
Toujours
DEMANDE FICHE DECLARATION
Toujours
Demande effectuée
Contribuable disponible
et
C
Choix effectué
CHOIX TYPE D'IMPOT
Toujours
Présence contribuable
Et
Réceptionniste disponible
Remplissage fait
Chef bureau disponible
et
ANALYSE DECLARATION
Conforme
Non Conforme
Déclaration acceptée
Chargement données
Présence contribuable
Chef bureau disponible
et
LIVRAISON NOTE DE PERCEPTION
Toujours
Note livrée
D
C
et
Contribuable disponible
REMPLISSAGE SELON CRITERE
Toujours
Livraison quittance effectuée
E
90
91
D
et
Impôt payé
et
PAIEMENT IMPOT
Toujours
Banquer dispo et
contribuable présent
Présence chef bureau
et
Présence contribuable
Note vérifiée Arrestation
note rejetée
Chef bureau
recouvrem dispo
VERIFICATION NOTE PERCEPTION
OK NON OK
LIVRAISON QUITTANCE
Toujours
92
E Chef bureau
recouvrement dispo
et
ENREGISTREMENT
Toujours
Enregistrement
Fin Processus Déclaration
93
III.2.8. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT FUTUR
(MOT)
III.2.8.1. Règles d'organisations
RO1 : à la DGR/NK le travail commence de 8h00 à
15h00
RO2 : le contribuable s'adresse à la réception
pour demander l'identification
RO3 : la livraison du fiche d'identification est livrée
au bureau taxation et documentation
RO4 : le remplissage de la fiche est fait par le
contribuable
RO5 : la comparaison de la fiche d'identification se fait
à la taxation et documentation
RO6 : l'enregistrement suit la comparaison si elle conforme
RO7 : déclaration de l'impôt se fait sur base
d'un barème
RO8 : le calcul de l'impôt sur base imposable
RO9 : le paiement se fait toujours à la banque
94
III.2.8.2. Déterminations de Procédures
Fonctionnelles futures
A. Procédure Identification
PF
|
DUREE
|
ACTIONS
|
NATURE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
Lieu
|
Ressource
|
Responsable
|
PF1
|
24h°°< t < 24h°°
|
OUVERTURE PAGE D'ACCUEIL
|
AB
|
Cyber ou Ailleurs
|
Internaute+ Micro
|
Internaute+ Micro
|
PF2
|
24h°°< t < 24h°°
|
REMPLISSAGE FORMULAIRE
IDENTIFICATION
|
AC
|
Cyber ou Ailleurs
|
Internaute+ Micro
|
Internaute+ Micro
|
PF3
|
24h°°< t < 24h°°
|
ENVOI MESSAGE
|
AB
|
Cyber ou Ailleurs
|
Micro+ Connexion
|
Micro+ Connexion
|
PF4
|
8h°°< t < 15h°°
|
OUVERTURE BUREAU
|
MA
|
Bureau
|
Huissier
|
Huissier
|
PF5
|
8h°°< t < 15h°°
|
COMPARAISON FICHE
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF6
|
8h°°< t < 15h°°
|
ENREGISTREMENT
|
AC
|
Bureau
Informatique
|
Informaticien+Micro
|
Informaticien+Micro
|
PF7
|
8h°°< t < 15h°°
|
ELABORATION RAPPORT
|
AC
|
Bureau
Informatique
|
Informaticien+Micro
|
Informaticien+Micro
|
PF8
|
8h°°< t < 15h°°
|
EDITION RAPPORT
|
AB
|
Bureau
Informatique
|
Imprimante+Micro
|
Imprimante+Micro
|
95
B. Procédure déclaration
PF
|
DUREE
|
ACTIONS
|
NATURE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
Lieu
|
Ressource
|
Responsable
|
PF9
|
8h°°< t < 15h°°
|
RECEPTION CONTRIBUABLE
|
MA
|
Réception
|
Réceptionniste
|
Réceptionniste
|
PF10
|
8h°°< t < 15h°°
|
DEMANDE FICHE DECLARATION
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF11
|
8h°°< t < 15h°°
|
CHOIX TYPE D'IMPOT
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Contribuable
|
Contribuable
|
PF12
|
8h°°< t < 15h°°
|
REMPLISSAGE SELON LE
CRITERE
|
MA
|
Ailleurs
|
Contribuable
|
Contribuable
|
PF13
|
8h°°< t < 15h°°
|
ANALYSE DECLARATION
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF14
|
8h°°< t < 15h°°
|
LIVRAISON NOTE DE
PERCEPTION
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF15
|
8h°°< t < 15h°°
|
PAIEMENT IMPOT
|
MA
|
Banque
|
Banquier
|
Banquier
|
PF16
|
8h°°< t < 15h°°
|
VERIFICATION PAIEMENT
|
MA
|
Bureau Taxation
|
Chef du bureau
|
Chef du bureau
|
PF17
|
8h°°< t < 15h°°
|
LIVRAISON QUITTANCE
|
MA
|
Bureau
Recouvrement
|
Chef du Bureau
|
Chef du Bureau
|
PF18
|
8h°°< t < 15h°°
|
ENREGISTREMENT
|
AC
|
Bureau
Informatique
|
Informaticien+Micro
|
Informaticien+Micro
|
PF19
|
8h°°< t < 15h°°
|
ELABORATION RAPPORT
|
AC
|
Bureau
Informatique
|
Informaticien+Micro
|
Informaticien+Micro
|
PF20
|
8h°°< t < 15h°°
|
EDITION RAPPORT
|
AB
|
Bureau
Informatique
|
Imprimante+Micro
|
Imprimante+Micro
|
96
III.2.8.3. Diagramme d'enchaînement de
procédures fonctionnelles Futures A. « Processus demande
d'identification»
Déroulement
|
Action
|
Nature
|
Poste de travail Lieu, Ress, Resp.
|
24h°°< t < 24h°°
|
Présence internaute
|
Connexion disponible
|
AB
|
- Service Info
- Cyber ou Ailleurs - Internaute+Micro - Internaute+Micro
|
|
Et
|
PF1
|
OUVERTURE PAGE ACCUEIL
|
|
Toujours
|
|
Page d'accueil ouverte
|
|
24h°°< t <24h°°
|
Internaute Connexion
present dispo+formul
aire affiché
|
AC
|
- Service Info
- Cyber ou Ailleurs - Internaute+Micro - Internaute+Micro
|
Et
|
|
PF2
|
REMPLISSAGE FORMULAIRE
|
|
|
Toujours
|
|
Formulaire remli
A
|
|
97
24h°°< t <24h°°
|
AB
|
- Service Info
- Cyber ou Ailleurs - Micro+Connexion - Internaute+Micro
|
Connexion
A
disponible
|
Et
|
PF3
|
ENVOI MESSAGE
|
|
|
OK
|
ON OK
|
|
|
Message Pas d'envoi
|
8h°°< t <15h°°
|
MA
|
- Bureau
- Huissier
- Huissier
|
Huissier present
|
|
|
Et
|
|
PF4
|
OUVERTURE BUREAU
|
|
|
|
Toujours
|
|
Burea ouvert
|
8h°°< t <15h°°
|
MA
Chef bureau dispo
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
|
Et
|
|
PF5
|
COMPARAISON FICHE
|
|
|
|
OK
|
NON OK
|
|
|
|
|
Fiche
rejetée
B
|
98
8h°°< t <15h°°
|
|
B
Chef bureau
dispo
|
|
AB
|
- Service
informatiqu e
- Informaticie n+Micro
- Informaticie n+Micro
|
|
|
Et
|
PF6
|
ENREGISTREMENT
|
Toujours
|
Contribuable enregistré
|
|
8h°°< t <15h°°
|
|
|
|
|
|
AC
|
- Service
informatiqu e
- Informaticie n+Micro
- Informaticie
n+Micro
|
Informati cien dispo
|
Et
|
|
PF7
|
ELABORATION RAPPORT
|
Toujours
|
|
Rapport
|
|
elaboré
C
|
|
99
8h°°< t <15h°°
|
|
C Imprimante
|
|
AB
|
- Bureau
informatiqu e
- Imprimante +Micro
- Imprimante +Micro
|
|
disponible
|
|
Et
|
PF8
|
EDITION RAPPORT
|
Toujours
|
Rapport
|
|
édité
Fin Processus Identification
|
|
100
DIAGRAMME D'ENCHAINEMENT DE PROCEDURES FONCTIONNELLES
FUTURES B. « Processus déclaration»
Déroulement
|
Enchainement de procédures
|
Nature
|
Poste de travail
|
Lieu, Ress., Respo.
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Réception
- Réceptionniste
- Réceptionniste
|
Présence Réceptionniste
contribuable disponible
|
|
Et
|
|
PF9
|
RECEPTION CONTRIBUABLE
|
|
|
Toujours
|
|
Contribuable
reçu
|
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
|
Chef bureau disponible
|
Et
|
|
PF10
|
DEMANDE FICHE DECLARATION
|
|
|
Toujours
|
|
|
|
Demande effectuée
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
Contribuable disponible
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Contribuable
- Contribuable
|
|
Et
|
|
PF11
|
CHOIX TYPE D'IMPOT
|
|
|
|
Toujours
|
|
Choix effectué
C
|
101
8h°°< t < 15h°°
|
|
C
Contribuable dispo
|
AC
|
- Service Info
- Informaticien
- Ordinateur+
Connexion
|
Et
|
|
PF12
|
REMPLISSAGE SELON CRITERE
|
|
|
Toujours
|
Remplissage fait
|
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
|
Chef bureau disponible
|
Et
|
|
PF13
|
ANALYSE DECLARATION
|
|
|
|
Conforme
|
Non Conforme
|
|
Déclaration Chargement
acceptée données
|
8h°°< t < 15h°°
|
Présence
Chef bureau
contribuable disponible
|
MA
|
- Bureau
taxation et doc.
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
|
Et
|
|
PF14
|
LIVRAISON NOTE DE PERCEPTION
|
|
|
Toujours
|
|
Note livrée
|
D
|
102
8h°°< t < 15h°°
|
|
D Banquer dispo et
contribuable present
Et
|
MA
|
- Banque
- Banquier
- Banquier
|
|
PF15
|
PAIEMENT IMPOT
|
|
|
|
Toujours
|
|
|
|
Impôt payé
|
|
8h°°< t < 15h°°
|
Présence chef bureau
|
MA
|
- Bureau
recouvrement
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
Et
|
|
PF16
|
VERIFICATION NOTE PERCEPTION
|
|
|
OK
|
NON OK
|
|
|
|
Note vérifiée Arrestation
note rejetée
|
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
MA
|
- Bureau
recouvrement
- Chef du bureau
- Chef du bureau
|
Présence
Chef bureau
contribuable recouvrem dispo
|
|
|
|
Et
|
|
PF17
|
LIVRAISON QUITTANCE
|
|
|
Toujours
|
|
Livraison
quittance effectuée
|
|
E
|
|
|
|
103
8h°°< t < 15h°°
|
E Chef bureau
recouvrement dispo
|
AC
|
- Service
informatique
- Informaticien+ Micro
- Informaticien+ Micro
|
Et
|
|
PF18
|
ENREGISTREMENT
|
|
|
Toujours
|
Enregistrement
|
8h°°< t < 15h°°
|
|
AC
|
- Service
informatique
- Informaticien
- Micro
ordinateur
|
Chef bureau dispo
|
|
Et
|
|
PF 19
|
ELABORATION RAPPORT
|
|
|
|
Toujours
|
|
|
Rapport élaboré
F
|
|
104
8h°°< t < 15h°°
|
|
F
|
|
Imprimante disponible
|
|
AB
|
- Service
informatique
- Imprimante+M icro
- Imprimante+M icro
|
|
|
|
Et
|
PF20
|
|
EDITION RAPPORT
|
Toujours
|
|
|
Rapport
édité
Fin Processus
|
Déclaration
|
105
CHAPITRE IV CONCEPTION ET MODELISATION DU SITE
IV.1. GENERALITES SUR LA CONCEPTION D'UN SITE WEB
MODELISATION DU SITE WEB
La modélisation d'un site web consiste en premier lieu,
par un travail de réflexion de la part du développeur, de
concevoir un modèle à donner au site, d'en définir la
structure, de définir le contenu ainsi que de préciser le public
cible du dit site web. Cette étape doit préciser tous les travaux
de conception, c'est-à-dire avant que le développeur ne saisisse
la première ligne du code HTML, il doit avoir terminé cette
partie qui, elle, précise les différentes étapes de la
conception, des règles de mise à jour, les prévisions
évolutives du site ainsi que les normes de gestion de ce site
web60
IV.1.1. DEFINITION DU PUBLIC CIBLE
La conception d'un site Web n'étant pas une oeuvre du
hasard, mais un projet ayant des objectifs bien définis par le
propriétaire, donc ce projet doit répondre aux besoins de ce
dernier. Ainsi, lors de la planification d'un projet de site web,
l'association, l'organisation ou l'entreprise qui veut se doter de cette
technologie vise à attendre un plus grand nombre du public sur le globe
en vu d'améliorer ses activités.
Le public cible d'un site Web est surtout fonction de ses
objectifs, c'est-à-dire ce sont
les objectifs poursuivis par l'organisation qui
déterminent au Webmaster la catégorie du public qu'il faut
atteindre en vu de matérialiser les objectifs de l'organisation.
Pour notre cas, cette partie vise à définir la
catégorie des internautes visés par la mise en place d'un site
web pour La DGR / NK ;
à cela nous avons :
- la population du Nord Kivu en particulier et celle de la
République Démocratique du
Congo et du monde entier en général ; pour que
celle-ci se rende compte de services qui sont offerts par cette organisation de
la province du nord Kivu ;
Les sociétés qui constituent ce que nous appelons
les contribuables.
60
http://fr.wikipedia.org/wiki/logicil
libre
106
IV.2. LE CONTENU INFORMATIONNEL
Le contenu est essentiel sur le Web, soyer pertinent et
intéressant. Tout le reste est
secondaire, y compris la qualité graphique ou
l'originalité. Présenter un véritable contenu, offrez de
la connaissance, de l'information.
V.3. ARCHITECTURE OU STRUCTURATION DU SITE WEB61
Une fois listée la somme des informations à
présenter, il s'agit de la structurer.
C'est l'architecture du site. L'objectif de cette partie est
la présentation synthétique du contenu de notre site web,
càd nous y présentons la synthèse des informations qui
seront publiées dans ce site web suivant une structuration
hiérarchique des informations à présenter selon les
thèmes et rubriques traités
En effet, cette structure doit être le reflet d'une
stratégie. Des scénarios de navigation doivent être
élaborés afin de pousser l'utilisateur à suivre un chemin
dans le site web.
N° Page
|
Nom de la page
|
Contenu de la page
|
1
|
Accueil
|
- Brève présentation de l'organisation
- Quelques photos, logos de l'organisation, le drapeau
du pays et quelques liens vers d'autres pages
- La barre de navigation et la bannière
|
2
|
Services organisés
|
- Détails des services organisés
- Quelques photos, logos de l'organisation, le drapeau
du pays et quelques liens vers d'autres pages
- La barre de navigation et la bannière
|
3
|
Historique
|
- Brève historique
- Quelques photos, logos de l'organisation, le drapeau
du pays et quelques liens vers d'autres pages
|
61
www.commentcamarche.net.
E. KATYA, cours de séminaire informatique, inédit,
ISC-GOMA, 2010 - 2011
107
|
|
- La barre de navigation et la bannière
|
4
|
Formulaire enregistrement
|
- Présentation du formulaire
- logos de l'organisation, le drapeau du pays et quelques
liens vers d'autres pages
- La barre de navigation et la bannière
|
5
|
Formulaire déclaration
|
- Présentation formulaire avec tous les champs
concernés
- Logos de l'organisation, le drapeau du pays et
quelques liens vers d'autres pages
La barre de navigation et la bannière
|
6
|
Actualités
|
- Détails sur les nouvelles informations
- Logos de l'organisation, le drapeau du pays et
quelques liens vers d'autres pages
La barre de navigation et la bannière
|
7
|
webmaster
|
- L'identité et adresse du concepteur du site web
- Logos de l'organisation, le drapeau du pays et
quelques liens vers d'autres pages
La barre de navigation et la bannière
|
IV.4. CHARTE GRAPHIQUE
On appelle charte graphique (graphic charter) le document
synthétique récapitulant
les règles de présentation des
éléments graphiques d'un site web, traduisant son identité
visuelle.
La charte graphique définit l'habillement graphique de la
page, notamment les
tailles, couleurs et apparences des textes, images et bouton du
site ainsi que le positionnement relatif des objets dans la page.
108
IV.4.1 CHARTE GRAPHIQUE
Drapeau
Logos
Bannière
Webmaster
Copyright
Barre de
navigation
Corps
IV.4.2. Organisation du site
Mes documents
Site de la DGR /NK
Mes images
Mes textes
Index.html
Mes pages
109
IV.5. HIERARCHIE ET INTERACTIVITE DU SITE
MENU
Accueil
Fichiers PDF
Historique
Services
Actualités
Formulaire
enregistrement
Webmaster
Formulaire déclaration
IV.6. LE CHOIX D'UN LANGAGE DE DEVELOPPEMENT ET DES
EDITEURS
IV.6.1. les langages - LE HTML
- LE JAVA SCRIPT - LE PHP
- LE VB SRIPT
- LES ASPS
Etc
IV.6.2. EDITEURS
Dreamweaver web page maker...
Web Page maker
Celui-ci étant un éditeur
préféré pour la conception rapide des pages dynamiques car
il génère automatiquement des balises et scripts, il
présente aussi toutes les technologies nécessaires pour la
conception des sites web dynamique jusque même à la connexion
à une base de données MySQL
110
Structure des tables
La présentation des tables d'une base de données
créée en Acess ou dans autre SGBD
est différente que celle créée en MySQL ;
dans cas nous présenterons les tables créées par
PhpMyAdmin avec les instructions de MySql.
IV. Connexion à la base de
données
Nous utiliserons une page PHP pour nous connecter à la
base de données
111
IV.7.PRESENTATION DE QUELQUES PAGES MODELES ET LEURS
APERCUS DANS LES NAVIGATEURS
A. Page d'accueil
Codes sources
<!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.01
Transitional//EN">
<html>
<head>
<title>Untitled</title>
<meta http-equiv="content-type" content="text/html;
charset=iso-8859-1">
<meta name="generator" content="Web Page Maker (unregistered
version)">
<style type="text/css">
/* Text Styles */
.ws6 {font-size: 8px;}
.ws7 {font-size: 9.3px;}
.ws8 {font-size: 11px;}
.ws9 {font-size: 12px;}
.ws10 {font-size: 13px;}
.ws11 {font-size: 15px;}
.ws12 {font-size: 16px;} .ws14 {font-size: 19px;} .ws16
{font-size: 21px;} .ws18 {font-size: 24px;} .ws20 {font-size: 27px;} .ws22
{font-size: 29px;} .ws24 {font-size: 32px;} .ws26 {font-size: 35px;}
112
.ws28 {font-size: 37px;}
.ws36 {font-size: 48px;}
.ws48 {font-size: 64px;}
.ws72 {font-size: 96px;}
.wpmd {font-size: 13px;font-family: 'Arial';font-style:
normal;font-weight:
normal;}
/* Para Styles */
DIV,UL,OL /* Left */
{
margin-top: 0px;
margin-bottom: 0px;
}
</style>
</head> <body>
<div id="g_image1" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:944px; top:2px; width:90px; height:62px; z-index:0"><img
src="images/rdc.png" alt="" title="" border=0 width=90
height=62></div>
<div id="roundrect1" style="position:absolute;
overflow:hidden; left:79px; top:0px; width:866px; height:69px;
z-index:1"><img border=0 width="100%" height="100%" alt=""
src="images/roundrect5216735.gif"></div>
<div id="art1" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:84px; top:1px; width:856px; height:45px; z-index:2"><img border=0
alt="DIRECTION GENERALE DES RECETTES DU NORD KIVU"
src="images/art5123104.gif"></div>
<div id="shape1" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:6px; top:62px; width:1026px; height:29px; z-index:3"><img border=0
width="100%" height="100%" alt=""
src="images/shape5497693.gif"></div>
<div id="text1" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:22px; top:64px; width:69px; height:21px; z-index:4">
<a href="index.html"><div class="wpmd">
<div><font face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Accueil</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text2" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:379px; top:63px; width:86px; height:29px; z-index:5"> <a
href="historique.html" rel="nofollow"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Historique</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text3" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:651px; top:62px; width:86px; height:29px; z-index:6"> <a
href="services.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Services</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text4" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:121px; top:63px; width:86px; height:29px; z-index:7"> <a
href="actualités.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Actualités</B></font></div>
</div></a></div>
113
<div id="text5" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:763px; top:63px; width:95px; height:29px; z-index:8"> <a
href="suggestion.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Suggestion</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text6" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:917px; top:62px; width:94px; height:29px; z-index:9"> <a
href="webmaster.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Webmaster</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text7" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:235px; top:63px; width:103px; height:29px; z-index:10"> <a
href="declaration.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Déclaration</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text8" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:498px; top:63px; width:108px; height:29px; z-index:11"> <a
href="identification.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Identification</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="g_image2" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:7px; top:0px; width:74px; height:62px; z-index:12"><img
src="images/RDC.jpg" alt="" title="" border=0 width=74
height=62></div>
<div id="text9" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:21px; top:98px; width:796px; height:208px; z-index:13">
<div class="wpmd">
<div
style="line-height:1.50;"><B><I>LOCALISATION DE LA DGRNK /
COG</I></B></div>
<div
style="line-height:1.50;"> La Direction
Générale du Nord - Kivu, <B>DGRNK</B> en sigle, est
située sur le boulevard KANYAMUHANGA, Bâtiment OCPT
N°1, en face du Rond point des Banques.</div>
<div style="line-height:1.50;"><B><I>SIEGE
SOCIAL</I></B></div> <div
style="line-height:1.50;"> La siège
social de la <B>DGRNK</B> est établit à Goma, avec un
chef de la Province du Nord - Kivu avec tout le moyen possible de lui
transférer aux provinces sur proposition de la Direction
Générale ordonné par le Gouvernement
Provincial.</div>
<div style="line-height:1.50;"><B><I>LA MISSION
DE LA DGRNK /COG</I></B></div>
<div
style="line-height:1.50;"> La Direction
Générale de Recettes du Nord - Kivu ont la
nécessité de rendre opérationnel l'administration fiscale
de la province du Nord - Kivu en vue de percevoir et maximiser les recettes
propres.</div>
<div style="line-height:1.50;">Il a été
créé par le ministère provincial en charge de finance et
les conseils du ministère provincial.</div> <div
style="line-height:1.50;"><BR></div>
</div></div>
114
<div id="shape2" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:4px; top:761px; width:1026px; height:29px; z-index:14"><img border=0
width="100%" height="100%" alt=""
src="images/shape11498515.gif"></div>
<div id="text10" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:373px; top:762px; width:86px; height:29px; z-index:15"> <a
href="historique.html" rel="nofollow"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Historique</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text11" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:645px; top:761px; width:86px; height:29px; z-index:16">
<a href="services.html"><div class="wpmd">
<div><font face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Services</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text12" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:115px; top:762px; width:86px; height:29px; z-index:17"> <a
href="actualités.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Actualités</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text13" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:757px; top:762px; width:95px; height:29px; z-index:18"> <a
href="suggestion.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Suggestion</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text14" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:911px; top:761px; width:94px; height:29px; z-index:19">
<a href="webmaster.html"><div class="wpmd">
<div><font face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Webmaster</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text15" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:229px; top:762px; width:103px; height:29px; z-index:20"> <a
href="declaration.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Déclaration</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text16" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:492px; top:762px; width:108px; height:29px; z-index:21"> <a
href="identification.html"><div class="wpmd"> <div><font
face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Identification</B></font></div>
</div></a></div>
<div id="text17" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:22px; top:762px; width:69px; height:25px; z-index:22">
<a href="index.html"><div class="wpmd">
<div><font face="@Arial Unicode MS"
class="ws12"><B>Accueil</B></font></div>
</div></a></div>
115
<div id="image1" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:828px; top:111px; width:199px; height:180px; z-index:23"><img
src="images/SDC10325.png" alt="" title="" border=0 width=199
height=180></div>
<div id="image2" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:6px; top:323px; width:247px; height:213px; z-index:24"><a
href="historique.html" rel="nofollow"><img src="images/SDC10319.png" alt="" title=""
border=0 width=247 height=213></a></div>
<div id="text18" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:10px;
top:540px; width:132px; height:18px; z-index:25">
<a href="mes photos.html"><div class="wpmd">
<div>Visualiser nos photos</div>
</div></a></div>
<div id="image3" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:826px; top:308px; width:204px; height:195px; z-index:26"><img
src="images/SDC10310.png" alt="" title="" border=0 width=204
height=195></div>
<div id="js1" style="position:absolute; overflow:hidden;
left:387px; top:325px; width:363px; height:293px; z-index:27">
<div id="c_js1"
style="overflow:hidden;height:100%;width:100%;"> <table cellpadding="0"
cellspacing="0" border="0">
<tr>
<td id="p1_js1" height="293" valign="middle"
style="white-space: nowrap"><img border="0" src="images/SDC10303.png"
alt="" title="" hspace="5"><img border="0" src="images/SDC10310.png"
alt="" title="" hspace="5"><img border="0" src="images/SDC10317.png"
alt="" title="" hspace="5"><img border="0" src="images/SDC10325.png"
alt="" title="" hspace="5"><img border="0" src="images/SDC10326.png"
alt="" title="" hspace="5"></td>
<td id="p2_js1" valign="middle" style="white-space:
nowrap"></td> </tr>
</table>
</div>
<script>
var speed=30
var i=0
var n=Math.floor(js1.offsetWidth/p1_js1.offsetWidth)
for (i=0;i<=n;i++)
{
p2_js1.innerHTML+=p1_js1.innerHTML
}
function m_js1()
{
if(c_js1.scrollLeft<=0)
c_js1.scrollLeft+=p1_js1.offsetWidth
else
c_js1.scrollLeft--
}
var mm_js1=setInterval(m_js1,speed)
c_js1.onmouseover=function(){clearInterval(mm_js1)}
c_js1.onmouseout=function(){mm_js1=setInterval(m_js1,speed)}
</script></div>
</body>
</html>
116
Formulaire Identification
7 untitled - Mozilla Firefox
I(c)-I~oogle
Flchler Édrtlon Affichage Fletormue Marque-pages Cutis
_
CIVF e x
I D I fle:((!F:(5ITE
dgrnt/MesvauesfdenuTication,html û -I
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
unntled
|
|
|
a
|
|
D Untitled
|
|
|
|
|
|
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|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
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|
|
|
|
DIRECTION GENERALE DES RECETTES DU NORD
KIVU
|
|
|
|
|
|
|
pdF-
|
|
~I
|
|
|
|
|
|
|
Search ft PDF
|
|
|
|
|
|
Remplissez ce formulaire pour vous identifier comme nouveau
contribuable
Ville
Commune Nom ou raison sociale Adresse physique Adosse mail
Numero Id
Télephone
Période
Type de contrat
Type d'impôt
IMensuelle
Im p dl foncier
u
Terminé
' a p 3 z
·rak Mesdomme,,. =(Ed Lecteur
Formulaire Déclaration
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Accueil Actualités Déclaration
|
Services
|
|
Suggestion
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
O4' Web Page Maker - [site dg mk - dada ration[
Eiillee Edit Page Insert Format Arrange Help
New - krj
DIRECTION GENERALE DES RECETTES DU NORD
KIVUPAI
Webmaster N
Quel impôt vous déclarez
Service
Numéro de dépôt
Période
Nom ou Raison sociale
Adresse géographique Périodicité Montant du
loyer Retenue due
Numéro d'Impôt Espèces
Avis de certification
|
|
|
|
|
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I J
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513: 198
FP a F
·
9- silo dgrnk
index historique
-- services actualités identification
I suggestion
webmaster
I
· - ~rf 10.58 r,
otiogrzov
01.04.2011
· Site Contents
Fa, Elements
171 17r X 14 I*4
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La table Déclaration
La table Identification
117
CREATE DATABASE `bdDGRNK` ;
CREATE TABLE `bddgrnk'.`tpsuggestion` ( `nom` VARCHAR( 15 ) NOT
NULL , `Subject` VARCHAR( 18 ) NOT NULL , `message` VARCHAR( 20000 ) NOT
NULL
La table suggestion
118
Connexion à la base
<html>
<head><title>ajouter</title></head>
<body>
<?php
$Name=$_POST['Name'];
$Subject=$_POST['Subject'];
$Message=$_POST['message'];
mysql_connect("localhost","root","");
mysql_select_db("bddgrnk");
mysql_query("INSERT INTO `bddgrnk`.`tsuggestion` (`Name`,
`Subject`, `sMessage`,)
VALUES ('$Name, '$Subject', '$Message')");
?>Felicitation vous avez bien transféré votre
point de vue
</body>
</html>
119
CONCLUSION GENERALE
Nous voici à la fin de notre travail qui s'intitule :
CONCEPTION D'UN SITE WEB POUR UN SERVICE PUBLIQUE « cas
de la Direction Générale de
Recettes du Nord Kivu » pour franchir la
fin de notre premier cycle de grande.
Ayant constaté que ce sujet est si pertinent nous nous
sommes posé certaines questions qui ont permis d'aborder les
problèmes notamment:
? La DGR/NK a-t-elle un système d'information lui
permettant d'exposer ses activités sur une vitrine électronique
afin d'attirer les opérateurs économiques à consulter le
tarif et le mode de paiement pour les activités?
? Est-il possible de mettre en place un site web à
cette institution publique qui pourra faciliter la bonne diffusion des
activités à l'échelle mondiale?
En cela, nous avons émis les hypothèses selon
lesquelles un site web créé pour la DGR/NK : ? La conception et
mise en place d'un site web seraient une solution pour permettre à la
DGR/NK pour faciliter la publication de ses informations à travers le
monde via le site web.
? La mise ne place d'une base des données
spécialisées pour le site web, pour faciliter une gestion des
différentes informations provenant du site.
Dans ce travail nous avons fait recours aux techniques et
méthodes en vue d'avoir des résultats fiable et viable, c'est
ainsi que pour notre recherche avons utilisé la technique documentaire
qui nous a permis de consulter certains ouvrages, l'interview libre dans le but
d'avoir des explications sur les données que nous avons
récoltées et la consultation des sites web pour voir les
différentes technologies utilisées dans la conception des sites
web, la technique par observation nous permet d'obtenir les informations
structurelles c'est-à-dire l'observateur connaissant les gens et le
milieu. La méthode historique nous a permis de bien interpréter
les faits passés pour mieux comprendre le présent; la
méthode analytique nous a facilité de mieux conduire notre
recherche à son but enfin La méthode MERISE qui nous a aider
à faire l'analyse du système d'information de la DGR/NK.
En développant ce sujet nous étions
invités à réaliser plusieurs objectifs entre autre le
développement et implantation d'un site web pour la DGR/NK en vue de
mettre à la
120
disposition du monde sa représentation,
améliorer tant soit peu, la manière de diffusion des
informations.
Notre site web est constitué par la page d'accueil,
page Actualité, formulaire Déclaration, page Historique,
formulaire Identification, page Services, formulaire Suggestion et afin la page
Webmaster.
De ce qui précède, il est difficile de
prétendre avoir eu une solution idéale, toutefois nous
espérons avoir répondu tant sa peu à notre
problématique et confirmé nos hypothèses car ce site web
permettra, nous l'espérons à la DGR/NK une meilleure
visibilité sur le plan national qu'international.
En effet, ce travail étant une oeuvre humaine, n'est
pas un modèle unique et parfait, c'est pourquoi nous restons ouverts
à toutes les critiques et sommes prêts à recevoir toutes
suggestions et remarques tendant à améliorer d'avantage cette
étude.
En ce qui concerne la présentation de notre
application, nous signalons d'avance que nous n'avons pas
présenté toutes les interfaces, ceux qui auront les désirs
de les nous les recommandons dans le site web de la DGR/NK :
www.dgrnk.org Bientôt sur le
web.
121
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGE
- P. MORVAN, Dictionnaire de
l'Informatique, Larousse, Paris, 1976.
- Félix JOLIVET & Gérard REBOUL,
Informatique appliquée à la Gestion,
2ième édition, Paris 1993.
- Stéphane Lohier & Dominique Présent,
Internet : Services et Réseaux, édition DUNOD,
Paris, 2004.
- Bruno Jousseaume, Informatique,
édition DONOD, Paris, 2002.
- D. HUNTER & COLL, Initiation à
XML, édition Eyrolles 2000.
- C. DELANNOY, Programmer en JAVA,
2ième édition Eyrolles 2002.
- Maryse GUITTARD, Séverine NECHEM, Annie SOUSTRADE,
Communication Terminal BEP, 36, rue Saint Germain -
l'Auxerrois - 75001 Paris.
II. NOTES DE COURS
- Eurasme KAKULE MILANDO, Cours d'Analyse d'un système
Informatique I, inédit, ISC/Goma, 2009-2010.
- Jean Claude KASAVUBU, Cours de l'Informatique
Générale, inédit, ISC-Goma, 2008-2009.
- Gaston KIMBWAMI, Cours d'Informatique Générale,
inédit, ULPGL/Goma, 20022003.
- MAYOY, Cours de méthode de recherche scientifique;
inédit, ISI/Bukavu, 20002002.
- RURIHO Freddy, Séminaire de MTS, inédit, ISIG,
2003-2004.
- Evariste ANYEME, Cours de Télématique et
Réseaux, inédit, ISC-Goma, 2006-2007. - IVINZA LEPAPA,
Programmation PHP, inédit, ULK/Kigali, 2005-2006.
III. 122
TFC & MEMOIRE
- Eddy jacques MUGISHO, Conception d'un site web des
écoles secondaires dans la ville de Goma gérées par la
COEC, TFC, inédit, ISC/Goma, 2006-2007.
- MUGISHO NYARUSAZA Joseph, Conception et implantation d'un
site web dynamique au sein du lycée KIMBILIO, Mémoire,
inédit, ISC/Goma, 2009-2010.
- Justin MUZIRIGERA AMANI, Apport d'une ONG féminine
à l'amélioration des conditions socio-économiques des
populations de Goma cas de FUDESE, TFC, inédit, CIDEP/NK, 2000-2001.
- Janvier KIKONGO KAMBALE, Conception d'un site web pour une
association cas de l'UJADP/ERICA, TFC, inédit, ISC/Goma, 2008-2009.
- SIBOMANA NYAGASHENDE Josué, Etude de l'implantation
d'un Intranet dans une entreprise publique cas de l'OCC, TFC, inédit,
ISC/Goma, 2003-2004.
- KAHINDO ISEVINDU Solange, Automatisation de paiement des
taxes dans une institution publique cas de le DGRAD Ressort MASISI, TFC,
inédit, ISC-Goma, 2009-2010.
IV. WIBOGRAPHIE
-
http://fr.wikipedia.org/wiki/logicil
libre
-
www. commentcamarche.net
-
www.commentcamarche.com
-
http://www.commentcamarche.net,
Encyclopédie Informatique libre
- Microsoft Jargon Informatique
- Microsoft®Encarta®2009. 1993-2008
123
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE
|
i
|
DEDICACE
|
ii
|
REMERCIEMENTS
|
iii
|
SIGLES ET ABREVIATIONS
|
v
|
INTRODUCTION GENERALE
|
1
|
1. ETAT DE LA QUESTION
|
1
|
2. PROBLEMATIQUE
|
2
|
3. HYPOTHESES
|
4
|
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
|
4
|
A. Choix du Sujet
|
4
|
B. Sur le plan individuel ;
|
4
|
C. Sur le plan scientifique.
|
5
|
5. OBJET DE L'ETUDE
|
5
|
6. DELIMITATION DU SUJET
|
5
|
7. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
|
6
|
A. La méthode ;
|
6
|
B. Les techniques.
|
7
|
8. DIFFICULTES RENCONTREES
|
8
|
9. SUBDIVISION DU TRAVAIL
|
8
|
CHAP.I. GENERALITES DES RESEAUX INFORMATIQUES
|
9
|
I.1. RESEAUX INFORMATIQUES
|
9
|
I.1.1 Définition
|
9
|
I.1.2. Historique
|
9
|
I.1.3. Système Ouverts
|
9
|
I.1.4. typologie
|
10
|
I.2. INTERNET
|
11
|
I.2.1. Définition
|
11
|
I.2.2. Comment est né Internet ?
|
11
|
I.2.3. Comment peut-on s'envoyer des messages sur Internet ?
|
12
|
I.2.4. Comment se connecte-t-on à Internet ?
|
12
|
I.3. L'INTRANET
|
12
|
I.4. L'EXTRANET
|
13
|
I.5. ETHERNET
|
13
|
I.6. LE MODEM
|
14
|
I.7. PROTOCOLES
|
14
|
Notion sur le HTML
|
15
|
I.8. FOURNISSEUR D'ACCES
|
17
|
I.9. ROUTEUR (router)
|
17
|
II.10. LES EDITEURS WEB
|
17
|
II.10.1. Le bloc-notes
|
18
|
II.10.2. FrontPage
|
18
|
II.10.3. Dreamweaver
|
18
|
II.11. LES LANGAGES DU WEB
|
19
|
II.11.1. Le DHTML
|
19
|
II.11.2. Le PHP
|
19
|
II.11.3. le JavaScript
|
20
|
II.12. LES NAVIGATEURS
|
21
|
I.13. ADRESSE URL
|
21
|
124
I.14. SERVEURS 22
I.15. NOTION SUR LE WEB 24
I.15.2. Définition d'un site web 24
I.15.3. Intérêts d'un site web 24
I.15.4. Catégorisation des sites web 25
I.15.5. La création d'un site web est un projet à
part entière comprenant un grand nombre
|
de phases :
|
26
|
I.15.6. L'exploitation du site englobe notamment les
activités suivantes :
|
26
|
I.16. NOTION SUR LES LIENS HYPERTEXTES
|
26
|
I.16.1. Lien hypertexte
|
26
|
I.16.2. Service web et hypertexte
|
27
|
I.17. L'ERGONOMIE DU SITE WEB
|
27
|
I.18. WEB MASTER
|
28
|
CHAPITRE.II : PRESENTATION DE LA DGR-NK
|
29
|
II.0. Présentation Géographique de la
DGR/NK/C.O.R./Goma
|
29
|
II.1.Le Statut de la Direction Générale des
recettes du Nord-Kivu
|
29
|
II.2. Dispositions Générales
|
29
|
III.3. Ressources financières
|
30
|
III.4. Patrimoine
|
30
|
II.5. Passation des marches
|
31
|
II.6. Structures
|
31
|
II.7. ORGANIGRAMME
|
36
|
CHAP. III. ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION
|
37
|
III.1 ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT
|
37
|
III.1.1 Notions
|
37
|
III.1.2. MCC BRUT
|
42
|
III.1.4. MCC NET
|
47
|
III.1.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT)
|
49
|
III.1.6. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT (MCT)
|
60
|
III.1.7. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)
|
68
|
III.1.8. CRITIQUE DU SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT
|
73
|
III.2. ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR
|
75
|
III.2.1. MCC BRUT FUTUR
|
76
|
III.2.2. MATRICE DE FLUX FUTUR
|
79
|
III.2.3. Dictionnaire des données futur
|
81
|
III.2.4. Graphe de dépendance fonctionnelle Futur
|
83
|
III.2.5. Règles de gestion
|
84
|
III.2.6. Construction du MCD FUTUR
|
85
|
III.2.7 MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT FUTUR (MCT)
|
86
|
III.2.8. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT FUTUR (MOT)
|
93
|
CHAPITRE IV CONCEPTION ET MODELISATION DU SITE
|
105
|
IV.1. GENERALITES SUR LA CONCEPTION D'UN SITE WEB
|
105
|
IV.1.1. DEFINITION DU PUBLIC CIBLE
|
105
|
IV.2. LE CONTENU INFORMATIONNEL
|
106
|
V.3. ARCHITECTURE OU STRUCTURATION DU SITE WEB
|
106
|
IV.4. CHARTE GRAPHIQUE
|
107
|
IV.4.1 CHARTE GRAPHIQUE
|
108
|
IV.4.2. Organisation du site
|
108
|
IV.5. HIERARCHIE ET INTERACTIVITE DU SITE
|
108
|
IV.5. HIERARCHIE ET INTERACTIVITE DU SITE
|
109
|
125
IV.6. LE CHOIX D'UN LANGAGE DE DEVELOPPEMENT ET DES EDITEURS
109
IV.6.1. les langages 109
IV.6.2. EDITEURS 109
Structure des tables 110
IV. Connexion à la base de données 110
IV.7.PRESENTATION DE QUELQUES PAGES MODELES ET LEURS
APERCUS
DANS LES NAVIGATEURS 111
A. Page d'accueil 111
Codes sources 111
Formulaire Identification 116
La table suggestion 117
CONCLUSION GENERALE 119
BIBLIOGRAPHIE 121
I. OUVRAGE 121
II. NOTES DE COURS 121
III. TFC & MEMOIRE 122
IV. WIBOGRAPHIE 122
TABLE DES MATIERES 123