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Mise en place d'une base de données pour la gestion de produit pharmaceutiquepar Germain Kapafule Institut supérieur pédagogique de tshofa - Graduat 2020 |
Organise (C.S.I.O)Ø Chapitre 3. Conception Du Système D'information Informatise (C.S.I.I)Ø Chapitre 4 : Mise en place d'une base de donnéesC'est comme on dit en Français « avant le bonheur d'abord le malheur »pour la réalisation de ce travail nous avons rencontré les difficultés ci-après : @ Manque de moyen de déplacement pour atteindre rapidement le site de recherche ; @ Certaines informations gérées d'une manière manuelle prenait du temps pour les retrouver ; @ Manque de moyen financier pour la récolte des informations à temps voulu. CHAPITRE I : ETUDES PREALABLES L'étude préalable est un ensemble d'investigations dans un système identifier permettant de comprendre son fonctionnement afin de dégager un diagnostic de forces et des faiblesses permettant d'informatiser ou non l'application du système identifier4(*) L'analyse de l'existant est une étape qui fait l'état de lieu de l'existant. Elle permet d'obtenir une connaissance parfaite sur le fonctionnement du système actuel. I.1.1. PRESENTATION DE L'HOPITAL GENERAL DE REFERENCE (HGR) Implanté dans le Chef - Lieu du Territoire de Lubao dans la zone de santé de Lubao, cette structure est située dans le quartier de la révolution avenue du marché central. C'est un hôpital de type pavillonnaire. Il est limité : ü Au nord : par l'ISTM-Lubao; ü Au sud : par le camp Police; ü A l'Est : par le Bureau de l'Antenne CENI Lubao ; ü A l'Ouest : par le bureau du Territoire de Lubao. 2. Aperçu Historique De L'hôpital General De Reference. L'hôpital général de Référence de Lubao est une institution sanitaire publique dont la gestion est assurée par l'Etat HGR/LUBAO en sigle. A l'origine, cet hôpital fut considéré comme un dispensaire, il a vu jour en 1949 et voici comment se présente la succession des gestionnaires de cette établissement : TABLEAU N°1
3. Structure Organisationnelle On appelle structure administrative, le schéma de répartition des tâches, d'attributions des pouvoirs et des responsabilités, de communication et de coordination des activités au sein de l'organisation. L'hôpital général de Référence de Lubao est une institution sanitaire publique dont la gestion est assurée par l'Etat. 4. Présentation De L'organigramme Fig. n° 1 INTENDANCE SERVICE MEDICAL SERVICE MEDICAL SERVICE DU PERSONNEL PHARMACIE COMPTABILITE SERVICE DU PERSONNEL CAISSE SECURITE LOGISTIQUE DIRECTION/MDH CODIRE SECRETAIRE STAFF DIRECTION DE NURSING CONSULTATION MEDICAUX & SOINS MEDICAUX. SERVICES PRIMAIRES SERVICE MEDICAL Gynéco obstétrique Chirurgie Médecine interne Pédiatrie LE CHARGE DE LA FACTUREE DE LA PHARMACIE LA PREPHARM 1 LA PREPHARM 2 Source : Secrétariat de l'hôpital Général de Référence de Lubao Fig. n°2 5. L'organigramme De La Pharmacie LE CHARGE DE LA FACTUREE DE LA PHARMACIE LA PREPHARM 1 LA PREPHARM 2 Fig. n° 1 Fig. n° 1 L'hôpital général de Référence de Lubao dispose de deux organes de gestion qui sont : le conseil de service et le comité de gestion. 1) Le conseil de service Le conseil de service est composé de tous les chefs de sections, il se réunit au moins une fois par mois. Il est l'organe de conception de toute mesure susceptible d'améliorer le fonctionnement de l'hôpital conformément aux instructions des autorités supérieures. 2) Le comité de gestion Le comité de gestion est un organe qui gère couramment l'hôpital. Il est composé de : ü Chef de service (Médecin Directeur) ü Chef d'administration (Administrateur Gestionnaire) ü Chef de Nursing (Directeur de Nursing). Il se réunit au moins une fois par semaine sur une convocation du chef de service. Il est un organe d'exécution des décisions du Conseil de service. Tableau n°2 FICHE DESCRIPTIVE DE POSTE DE TRAVAIL
Source : Nous-mêmes sur terrain L'hôpital général de Référence de Lubao est un véritable hôpital au sens classique du terme. Car il organise en son sein tous les services classiques révolus à un hôpital, à savoir : ü La médecine interne ; ü La pédiatrie ; ü La chirurgie ; ü La gynéco-obstétrique... Chaque service est dirigée par un responsable médecin ou non médecin selon qu'il s'agit de la nature de service. Ces sections précitées exercent les activités d'opération ci-après en faveur de la population de la Lomami en général et de Lubao en particulier : ü Les consultations curatives courantes ; ü Les consultations préventives (CPN et vaccinations à la maternité) ; ü Les hospitalisations de Médecine Interne, de Pédiatrie, de Chirurgie et Gynécologie ; ü Les accouchements ; ü Les examens de laboratoire, d'échographies, d'endoscopies ; ü Les séances de physio-kinésithérapie. I.1.2. Etude des Moyens de Traitement Les moyens matériels sont constitués de toutes les ressources matérielles qui sont affectées au traitement de l'information dans une entreprise ou dans une organisation. Tableau n°3 Le tableau ci-dessous décrit les différents matériels utilisés dans la pharmacie de l'Hôpital Général de Référence.
Source : Nous-mêmes sur terrain Les moyens humains sont constitués de toutes les ressources humaines qui sont affectées au traitement de l'information dans une entreprise ou dans une organisation. Le tableau ci-dessous décrit les moyens humains utilisés dans la pharmacie de l'Hôpital Général de Référence. Tableau n°4
Source : nous-mêmes sur terrain L'étude des documents joue un rôle important par le fait qu'elle consiste à donner tous les éléments cadrant avec la conservation, la protection et la circulation des informations ayant des liens directs avec notre application. a. Recensement des documents L'objectif principal de recensement des documents est celui de donner la liste exhaustive des documents qui ont des liens directs avec l'application. Pour le cas de notre travail, nous avons recensé les documents suivants : ü Fiche de Stock des Médicaments ; ü Registre de Pointage ; ü Registre vente de Médicament ; ü Le Rumeurs ; ü Carné des Factures. ü Ordonnance médicale Tableau n°5 Identification du document / fichier : pharmacie de l'HGR/Lubao Objectif du document : gestion des produits pharmaceutique Support : manuel Périodicité : 2019 -2020 Volume (Nombre de caractères) : 392.500
000 001 002 300
- 100 Présentation du malade 001 200 002 - 300 Départ au labo - 001 FM Envoi du malade à la consultation - 002 NAT Envoi du malade au labo pour passer aux examens - 400 OM Classement d'une autre copie
Fing. N°3 I.2.4. Circuit d'information existant (Ancien circuit de circulation d'information) 003 - 400 004 Départ du malade aux services de soins 301 400 BLM 003 301
1.3. LES SYMBOLES UTILISES ET LEURS SEMANTIQUES Fig. n°4
La critique de l'existant est primordiale pour un chercheur car elle un diagnostic objectif et précis. Elle s'effectue sur l'observation préalable du système existant et permet de déterminer les avantages et les inconvénients, du bon fonctionnement et ceux qui créent le dysfonctionnement du système existant. Donc relever les points forts et les points faibles de ce système.5(*) La critique du système existant nous permet de porter un jugement sur le système actuel pour ainsi déceler les maux et les causes à la base de mauvais fonctionnement du système étudié et parfois aussi de son alourdissement. Toutefois un système ne peut pas être entièrement en mal fonctionnement ou entièrement en bon fonctionnement.6(*) Comme signaler ci-haut, une entreprise ne peut être entièrement bonne ou aussi entièrement mauvais, ainsi nous avons trouvé pendant notre recherche que la gestion de stock des produits pharmaceutique est assurée par les gens ayant une notion de gestion. Après notre analyse de l'existant, nous avons pu relever les faiblesses suivantes : - La gestion manuelle des données, et cela cause la perte des données essentielles ; - Les Lenteurs dans les services de gestion produit pharmaceutique ; - Les erreurs dites au niveau d'étude des travailleurs qui sont affecté à ce poste I.3. PROPOSITION DES SOLUTIONS Du diagnostic du système existant, nous proposons les solutions en fonctions des faiblesses décelées. En informatique, nous avons les solutions ci-après : · L'informatisation sans réorganisation · L'informatisation avec réorganisation · La réorganisation sans informatisation. I.3.1. L'informatisation Avec Réorganisation C'est une solution qui permet au chercheur d'informatiser sans changer la structure de l'entreprise entre autre l'organigramme. I.3.2. L'informatisation Sans Réorganisation Elle consiste à garder la structure organisationnelle existante mais tout en insérant l'outil informatique dans un des postes structurels. I.3.3. La Réorganisation Sans Informatisation Elle consiste à garder le traitement comme d'habitude mais en procédant soit par la modification structurelle soit par la modification de circulation d'information sans tenir compte de l'information. I.4. CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION En tenant compte de l'organisation structurelle, la circulation de l'information et le traitement de celle-ci au sein de la pharmacie; nous optons pour l'informatisation sans réorganisation.
200 200 200
200
100 arrivée du malade à l'hôpital 001 200 002 - 300 Départ au labo 300 FM - 400 NAT Envoi du malade au labo pour passer aux examens - 500 OM autre copie BDD
I.5. Nouveau circuit d'information 003 - 004 Départ du malade aux services de soins 501 301 400 BLM 500 301 004 NSM
CHAPITRE II. CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION II.1. CHOIX DE LA METHODE DE CONCEPTION En ingénierie, une méthode d'analyse et de conception est un procédé qui a pour objectif de permettre de formaliser les étapes préliminaires du développement d'un système afin de rendre ce développement plus fidèle (le besoins tel qu'il est exprimé par le client, complété par des recherches d'informations après des expert du domaine fonctionnel, comme les futurs utilisateur d'un logiciel), ainsi que de l'analyse de l'existant éventuel (c'est-à-dire la manière dont le processus à traiter par le système se déroulent actuellement chez le client).6(*) Il existe plusieurs méthodes, notamment : @ Racines @ Merise @ 3ar @ MMTS @ MASE @ CISAD @ MKASH @ NIAM @ OMT (Object Modeling technique) @ Méthode Booch @ OOSE @ SDAT @ SART @ SA/SD @ MACAOFAST @ APTRE et autres Pour nous, le choix est tombé sur la méthode Merisequi est une méthode rassemblé les informations sans efforts. La modélisation est un processus qui consiste à analyser un problème du monde réel en le schématisant afin d'informatiser certaines tâches. Toute méthode informatique doit répondre à quatre objectifs principaux : § Définir ce que l'utilisateur final veut informatiser (quitte à lui faire comprendre ce qu'il veut), et sa faisabilité ; § Vérifier la cohérence de sa demande ; § Structurer les données à informatiser. Cela est primordial en informatique de gestion ; § Rester simple. Ce point est largement battu en brèche quand une méthode est appliquée "pour la méthode". Elle doit rester un outil d'aide à la conception ou à la réalisation.7(*) 2.1.1. Choix de la Méthode de Modélisation Pour la conception du système d'information, nous avons porté notre choix sur la méthode MERISE (Méthode d'Etudes et de Réalisation Informatique des Systèmes d'Enterprise), qui à son étape organisationnelle est constitué de deux étapes suivantes : Ø Etape Conceptuelle Ø Etape Organisationnelle. 2.1.2 Présentation de la méthode choisie 2.1.3. Historique de la Méthode MERISE8(*) La méthode MERISE est née vers 1978 - 1979, à la suite d'une vaste consultation lancée en 1977, par le Ministère de l'industrie pour choisir plusieurs sociétés de services et de conseil en informatique et C.E.T.T.E. (Centre d'Etudes Techniques de l'Equipement) afin de mettre au point une méthode de conception et réalisation d'un système d'information. La naissance de MERISE marque donc une date importante dans l'histoire de l'information. Cette naissance résulte d'une part de l'inadéquation des méthodes comme MINOS ou CORIG aux préoccupations actuelles et de la génération des traitements conversationnels faisant suite au bouleversement technologique des années 70 d'une part, et d'autre part, sur les Bases de Données et sur de nombreux travaux sur les Bases de Données et sur « l'approche systémique »9(*). Aujourd'hui, MERISE est largement utilisée dans les administrations et les entreprises de toutes les tailles. Cette étape de la conception du système futur, système d'information consiste à analyser dans un premier temps, les scénarios conceptuels possible pour le futur système, à l'issue duquel des nouveaux documents ainsi que des fonctions nouvelles pourront être enfin de compte le Modèle Conceptuel de Données d'une part et d'autre part, le Modèle Conceptuel de Traitement. 2.2.1. Modélisation Conceptuelle Des Données Le modèle conceptuel de données (MCD) est un diagramme qui permet de modéliser le système d'information sans tenir compte des détails liés à la mise en oeuvre physique. 2.2.1.1. Formalisme de description des données au niveau conceptuel Le formalisme utilisé dans les Merise est désigné par le terme « entité-relation ». En dehors du contexte de la méthode, il a été reconnu internationalement par ISO (ISO TC97 SC5 WG3 1982), et fait l'objet de nombreux développements. Sa diffusion lui a value plusieurs appellations (formalisme individuel, formalisme entité-relation, formalisme entité-association, formalisme entity-Relationship) qui recouvrent, parfois avec quelques nuances, les mêmes idées10(*). Ce formalisme comporte quatre conceptsde base. Deux concepts sont structuraux, l'entité et la relation ; le troisième concept est descriptif, c'est la propriété enfin le quatrième qualifie la liaison entre entité type et relation type, c'est la cardinalité. Une Règle de Gestion est la traduction conceptuelle des objectifs choisis et des contraintes acceptées par l'entreprise. Ci-dessous les règles de gestion appliquées dans la gestion des produits pharmaceutique à la pharmacie de l'Hôpital Général de Référence de Lubao : @ Un médicament peut établir un ou plusieurs ordonnances ; @ Un patient peutêtre traité avec un ou plusieurs ordonnances ; @ Une ordonnance peut être livré par un ou plusieurs patients ; @ Un patient peut avoir une ou plusieursordonnances. 2.2.1. 3. Recensement et Description des Objets Objet ou table: Est une entité ayant une existence autonome et présentant un certain intérêt dans le domaine de gestion concernée. Un objet est tout ce qui est perçu par un individu ou un groupe d'individus comme étant une existence propre ou intérêt sur un projet avenir. A) Recensement des objets Pour le cas de notre travail, nous avons les objets suivant: - Le patient ; - Ordonnance ; - Médicament. - Facture ; - Type Médicament. B) Description des objets D'une manière générale, la description des objets dans un dossier de conception est une opération qui consiste à : · Enumérer les propriétés de l'objet ; · Choisir un identifiant parmi les propriétés. Pour ce qui concerne notre cas, la description des objets s'effectue de la manière suivante : #CodePatient NomPatient Postnompatient Prenompatient sexe PATIENT ORDONNANCE #CodeOrd LibelléOrd Quantité DateOrd #CodeMedi NomMedi QuantitéMedi Dated'ExpMedi DatelivresonMedi MEDICAMENT TYPE MEDICAMENT # CodeTypeMedi LibelléMedi FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T 2.2.2. Recensement et description des relations Relation : C'est une association entre les objets, un lien verbal qui unit deux ou plusieurs objets. Généralement ce lien verbal est exprimé sous forme d'un verbe à l'infinitif. Pour le cas de notre travail, nous avons recensé les relations suivantes : - LIVRER - ETABLIR - Tableau N°6 Avoir - DEPENDRE
Source : Nous-même sur terrain
La définition de contrainte informatique est un point de l'étape conceptuelle des données qui consiste à définir : - les contraintes de cardinalité ; - les contraintes d'intégrité fonctionnelle ; - les dépendances fonctionnelles. a) Contrainte de cardinalité La contrainte de cardinalité est un couple de cardinalité qui est définie de l'objet à l'association et qui est constitué d'une cardinalité minimale et d'une cardinalité maximale. Dans le domaine de la conception d'un système d'information, il existe quatre couples de cardinalités à savoirs : · Cardinalité (1,n) qui signifie qu'une occurrence peut exister et participer une ou plusieurs fois à la réalisation d'une association ; · Cardinalité (0, n) qui signifie qu'une occurrence peut ou n'est pas exister mais participer à la réalisation de l'association zéro ou plusieurs fois ; · Cardinalité (1, 1) qui veut dire qu'une occurrence d'une entité peut exister et participer à la réalisation de l'association une et une seule fois ; Pour notre travail, nous avons les cardinalités suivantes : #CodePatient NomPatient Postnompatient Prenompatient Sexepatient Datenaisaissept Telpatient PATIENT #CodMedi LibelléMedi QuantitéMedi Dated'ExpMedi DateLivreaisonMedi MEDICAEMENT LIVRER 1, n 1. Patient + ordonnance = LIVRER 1, n
2. Médecin + Ordonnance = ETABLIR ORDONNANCE #NumOrd LibéléOrd DateOrd MEDECIN #MatriMed Spécialité N° Téléphone ETABLIR 1, 1 1, n 3.Patient + Ordonnance = AVOIR #CodePatient NomPatient Postnompatient Sexe PATIENT AVOIR 1, 1 ORDONNANCE #NumOrdo LibéléOrd DateOrd 1, 1 4. Paient + Facture = AVOIR FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T #CodePatient NomPatient Postnompatient Sexe PATIENT AVOIR 1, n 1, n La contrainte d'intégrité fonctionnelle (C.I.F) est définie sur une relation. Elle représente le fait que l'un des objets de sa collection soit identifié sans aucun doute par la connaissance d'un ou des plusieurs autres11(*). Il y a Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle entre deux objets dans une relation, lorsqu'une occurrence d'un objet a une occurrence et une seule dans l'objet destination. Nous avons recensé les contraintes d'intégrités fonctionnelles (CIF) suivantes : 1. Médecin + Ordonnance = ETABLIR ORDONNANCE #NumOrd LibéléOrd DateOrd MEDECIN #MatriMed #NumOrd Spécialité N° Téléphone ETABLIR 1, 1 1, n MEDICAEMENT #CodMedi # CodeTypeMedi LibelléMedi QuantitéMedi Dated'ExpMedi DateLivreaisonMedi DEPENDRE TYPE MEDICAMENT # CodeTypeMedi LibelléMedi 1, 1 1, n Source : Nous - même sur terrainFing N°6 MEDICAMENT #CodeMedi CodeTypeMedi LibelléMedi QuantitéMedi Dated'ExpMedi DateLivreaisonMedi 2.2.1.4. Présentation du Modèle Conceptuel de données (MCD) LIVRER #CodePatient #NumOrd NomPatient Postnompatient Prenompatient Sexepatient Datenaisaissept Telpatient PATIENT (1, n) (1, n)
(1, 1) DEPENDRE TYPE MEDICAMENT # CodeTypeMedi LibelléMedi FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T
(1, n) AVOIR (1, n) (1, n) FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T
FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T #NumOrd LibéléOrd DateOrd ORDONNANCE (1, n) MEDECIN #MatriMed #NumOrd Spécialité N° Téléphone ETABLIR (1, n) (1, 1) FACTURE #NumFacture LibélléFacture Quantité P.U P.T Source : Nous-même sur terrain 2.2.5. Modélisation Conceptuelle de Traitement Le Modèle Conceptuel de Traitement (MCT) conduit à la détermination des procédures, et des limites homogènes des préoccupations. A ce niveau, il sera question de répondre à la question « Quoi ? » c'est-à-dire quel traitement sera effectué sur la Base de Données12(*). 2.2.5.1. Identification du Processus Le processus est ensemble d'opération définie à partir des orientations de la gestion au sein de la structure étudiée et qui concourt à la sollicitation des plusieurs événements extérieurs au système d'information. Un processus, c'est aussi un enchainement synchronisé d'opération qui représente une entité homogène des préoccupations de l'entreprise. En rapport avec notre champ d'étude, nous avons identifié les opérations ci-après : - réception ; - établissement de la fiche ; - consultation ; - examination ; - prescription ; - achat des produits. 2.2.5.2. Définition des Concepts de Base. · Evénement : c'est le compte rendu au système d'information du fait que quelque chose s'était produit dans l'univers extérieur ou dans le système d'information ; une nouvelle arrivée de l'information peut être externe ou interne. Externe quand il provient de l'univers extérieur en provoquant une nouvelle réaction du système d'information ; soit constitué d'un résultat pour l'univers extérieur. · Processus : c'est une suite d'opération concourant à une finalité, déclenchée par des événements dans un domaine considéré pour une gestion donnée. · Domaine : c'est un ensemble de processus considéré pour une question donnée. · Règle d'émission : une règle d'émission définie la condition dans laquelle des événements résultats seront produits par une opération. · Synchronisation : c'est une condition représentée par u système booléen liant les événements déclencheurs grâce aux opérations logiques « ET », « OU » et « NON ». · Opération : c'est une production de flux d'information. Elle est définie immatériellement, sans contrainte organisationnelle. Elle décrit aussi bien la gestion manuelle que la gestion automatisée13(*). La représentation conceptuelle suit un formalisme. Pour construire le Modèle Conceptuel de Traitement (MCT), dans le cadre du présent travail, nous exploitons le formalisme connu sous le nom de EOR (Evénement - Opération - Résultat). Opération Résultat Evénement Synchronisation Ev1 Ev2 Synchro Res 2 Res1 Opération OK KO Fig. n° 7
Condition d'émission
2.2.5.4. Présentation du Modèle Conceptuel de Traitement - Consultation complète du malade CONSULTATION Toujours - - Enregistrement du malade dans le registre Etablissement de la fiche de consultation Toujours Fiche établie Arrivée du malade Présence du corps Médicale ET - Placement du malade sur la civière ou le brancard - Placement du malade dans la salle RECEPTION OK KO Malade en attente attenreçu Malade reçu A Fig. n° 8 A Examen n des urines, crachat ... au labo EXAMINATION TOUJOURS Malade Examiné ETABLISSEMENT DE L'ORDONANCE TOUJOURS Ord en Attente Ord Etabli Prescrits REMISE D'ORDONANCE AU CLIENT TOUJOURS Ord Remis VERSEMENT D'ARGENT A LA CAISSE - Livraison de bon du malade TOUJOURS Argent Versé LIVRAISON DES PRODUITS A LA PHARMACIE - Vérification de l'ordonnance et de bon du malade OK KO Produits ou Médicament Livrés Produit non Livrés KO OK
L'étape conceptuelle exprime la réalité perçue par l'entreprise ou l'organisation dans son ensemble ; au niveau de l'étape organisationnelle on exprime cette même réalité mais vécue par les acteurs quels qu'ils soient. Ainsi à ce niveau aucune différence n'est faite entre les hommes et les machines, pour autant que la dominante reste le Qui et le Où. L'étape organisationnelle a pour objectif de décrire le fonctionnement du système défini au niveau conceptuel ; elle permet de définir la répartition dans l'organisation et les modalités d'accès aux données ainsi que la répartition d'exécution de traitement décrite dans les opérations de gestion en tenant compte de l'organisation. 2.3.1. Passage du Modèle Conceptuel de Données auModèle Organisationnel de Données Brute La modélisation organisationnelle de données nous permettra de prendre en compte des éléments relevant de l'utilisation des ressources de mémorisation. Le MOD est le dérivé du MCD. Le passage du MCD au MOD se fait en supprimant tous les objets et toutes les relations qui ne peuvent pas être mémorisées dans le MOD et définir les multiplicités (cardinalités multiples) qui se trouvent dans le MCD14(*). Les règles de passage du MCD au MOD sont les suivantes : - Supprimer tous les objets et toutes relations avec leurs propriétés qui ne peuvent pas être mémorisées dans le MOD. - En cas de nécessité, créer des objets ou les relations qu'on a supprimés. Dans le cas du présent travail, nous avons supprimé l'objet spécialité que nous avons fait une propriété appart entière d'où notre MCD sera différent de notre MOD. Fing N°9 2.3.3. Présentation du modèle organisationnel de données (MOD) MEDICAMENT #CodMedi LibelléMedi QuantitéMedi Dated'ExpMedi DateLivreaisonMedi 6 30 10 10 10 #CodePatient NomPatient Postnompatient Prenompatient Sexepatient Datenaisaissept Telpatient PATIENT 6 30 30 30 3 10 10 #CodePatient #codeMed LIVRER 6 6
(1, n) (1, n) (1, n) Dépendre #CodePatient #NumOrd #NumFacture AVOIR 6 6 6 #NumOrd LibéléOrd DateOrd ORDONNANCE 6 30 30 (1, n) #CodeTypeMedi LibelléMedi TYPEMEDICAMENT 6 30 (1, n) MEDECIN #MatriMed #NumOrd #CodeSpécialité Sexe N° Téléphone 6 6 6 3 10 (1, n) ETABLIR (1, n) (1, 1) (1, 1) FACTURE #NumFacture #LibélléFacture Quantité P.U P.T 6 6 50 40 40 SPECIALITE #CodeSpécialité Libellé 6 30 APPARTENIR (1, n) (1, n) Source : Nous-même sur terrain.
2.3.2. Modèle Organisationnel de Traitement (MOT) 7-Le MOT est issu du MCT dont il reprend sa représentation de base et surtout de l'organisation choisie à la fin des études préalables15(*). Sur le plan descriptif de traitement, le MOT intègre les notions de temps et de la durée, de lieu et la nature de traitement pour répondre aux questions : - Comment ? - Quand ? - Où ? · La question « COMMENT ? » permet de connaitre de quelle manière les peuvent être effectuées. Ainsi, les tâches peuvent être : - Manuelle, - Conversationnelle ou interactive, - Automatique · La question « QUAND ? » permet de déterminer la périodicité. Ainsi, la périodicité dont il question dans notre travail peut être : - Journalière - Hebdomadaire - Mensuelle - Trimestrielle - Semestrielle - Annuelle. · La question « OU ? » permet de déterminer l'endroit qu'une tâche peut être exécutée. 2.3.4. Présentation du Modèle Organisationnel Traitement (MOT).
- Consultation complète du malade CONSULTATION Toujours Etablissement de la fiche de consultation Toujours Fiche établie Arrivée du malade Présence du corps Médicale ET - Placement du malade sur la civière ou le brancard - Placement du malade dans la salle RECEPTION OK KO Malade en attente Malade reçu A - Enregistrement Du Malade Dans Le Registre A Examen des urines, crachat ... au labo EXAMINATION TOUJOURS Malade Examiné ETABLISSEMENT DE L'ORDONANCE Ord en Attente Ord Etabli Prescrits REMISE D'ORDONANCE AU CLIENT TOUJOURS Ord Remis VERSEMENT D'ARGENT A LA CAISSE - Livraison de bon du malade TOUJOURS Argent Versé LIVRAISON DES PRODUITS A LA PHARMACIE - Vérification de l'ordonnance et de bon du malade OK KO Produits ou Médicament Livrés Produit non Livrés TOUJOURS KO OK Manuel Manuel Pharmacie
CHAPITRE III. CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION Cette phase permet de répondre à la question comment ? en effet, et nous tiendrons à répondre à la question comment, dont on élabore notre logiciel de gestion de Gestion des produits pharmaceutiques toute en tenant compte de la technologie informatique au niveau informatisé. Et en plus cette étape consiste à déterminée le deux grandes parties du système informatique : Hardware et Software L'étape logique exprime le choix des moyens et des ressources informatique, en faisant abstraction de leur caractéristique technique précise. Il comporte un model logique des données et un model logique de traitement 3.1.1. Modèle Logique de Données Le Modèle Organisationnel de Données est construite à partir du MCD et MOD global en tenant compte de l'orientation de choix de techniques concernant le système de gestion de données. Il permet de décrire la structure des données utilisées sans faire référence à un langage de programmation. 3.1.2.1. Passage du M.O.D Global au M.L.D Brut. La transformation du model organisationnel des données au model logique des données brutes se fait en respectant le point ci-après : · Concernant les données : - Les objets deviennent les tables ; - Les propriétés des objets deviennent des attributs ; - Les identifiants des objets deviennent des clés primaires des objets ; · Concernant les relations : - La relation des données devient une table à part entière dont les attributions sont la concaténation de deux clés des objets qui participe à la relation ; - La quantification organisationnelle n devient infinie (8) ; 3.1.3.1. Présentation du MLD Brut #Codespécialité Libelléspécialité SPECIALISATION #CodeMed #NomOrd #CodeSpécialité MEDECIN #CodMedi LibelléMedi QuantitéMedi Dated'ExpMedi DateLivreaisonMedi MEDICAMENT #CodePatient #CodeMed DatedeLivraison LIVRER #NumOrd LibelléOrd DateOrd ORDONANCE # CodePatient #NumOrd NomPatient PostnomPatient sexe PATIENT #NumFacture LibelléFacture Quantité P.U P.T FACTURE #CodePatient #NumFacture #NumOrd AVOIR 1 8 8 1 1 8 8 8 #CodeTypeMedi LibelléMedi TYPE MEDICAMENT 1 8 1
1
1 8 1 8 1 8 Source :Nous-même sur terrain. L'opération de la normalisation consiste à supprimer les redondances qui peuvent encore se trouver dans le MLD Brut. Cela veut dire qu'au niveau de l'étape conceptuel, nous n'avons pas tenir compte des règles de vérification des objets pour que leurs propriétés ne soient pas répétitives. C'est ainsi que nous allons vérifier ces objets de manière que ceux-ci aient des propriétés non répétitives. Cette opération de la normalisation nous octroie cinq formes, dans le cadre du présent travail nous allons utiliser les trois premières formes afin de pouvoir valider notre MLD. 1ère Forme normale Une table est en première forme normale, si tous ses attributs sont élémentaires, non décomposables, non répétitives, avoir au moins une clé primaire ou concaténée. 2ème Forme normale Une table est en deuxième forme normale, si étant en première forme normale, et ses attributs dépendent pleinement de la clé primaire de cette table. 3ème Forme normale Une table est, en troisième forme normale, si étant déjà en deuxième forme normale, les attributs qu'elle porte ont une dépendance fonctionnelle directe avec la clé sans passer transitivement à un attribut d'agrégat (attribut postulante). Il faut s'assurer aussi qu'il n'y a pas des tables qui soient cachées parmi les autres. Dès lors que ces trois premières formes sont respectées, les tables peuvent être déjà déclarées normalisées, et le MLD sera validé. Dans ceprésent travail, notre MLD Brut = au MLDVFing N°11 1 1 1 1 1 8 1 3.1.3.3. Présentation du M.L.D Validé #Codespécialité Libelléspécialité SPECIALISATION #CodeMed #NomOrd #CodeSpécialité MEDECIN #CodMedi #CodeTypeMedi LibelléMedi QuantitéMedi Dated'ExpMedi DateLivreaisonMedi MEDICAMENT #CodePatient #CodeMed DatedeLivraison LIVRER #NumOrd LibelléOrd DateOrd ORDONANCE # CodePatient #NumOrd NomPatient PostnomPatient sexe PATIENT #NumFacture LibelléFacture Quantité P.U P.T FACTURE #CodePatient #NumFacture #NumOrd AVOIR 8 8 8 8 1 8 1 8 1 #CodeTypeMedi LibelléMedi TYPE MEDICAMENT 8 1 8 Source :Nous-même Sur Terrain. 3.1.3.4. Schéma associé au MLD Validé.16(*)
SOURCE :Nous-même sur terrain. 3.1.3.5. Calcul du volume de la base de données. 31.3.5.1. Volume utile de la base de données. Volume global = ? r (i)* N Avec : r : Taille de l'attribut n : Nombre d'occurrence de la table N : Nombre d'attribut de la table I : Numéro de l'attribut. Tableau n°9 D'où le volume utile de notre base de données par ? de volumes de table.
Source : Nous-même sur terrain Tableau n° 10 3.1.3.5.2.Volume des index de la base de données
Source : Nous-même sur terrain. 3.1.3.6. Volume total de la base de données Volume total = (volume utile + volume des index)* ? ? : coefficient multiplicateur de sécurité.(Coefficient de sécurité = 2,5). Volume total = (222650+37.200) * 2,5 = 259850*2,5 = 649625Octets/1024 = 634,3Ko/1024 = 1,61953067779Mo Pour répondre à cette question comment, nous allons avant tout définir : - Le schéma de mise en oeuvre - Le schéma de développement A. Schéma de mise en oeuvre Cette étape est consacrée à déterminer les deux grandes parties qui composent l'ordinateur : Hardware ; qui est la partie matérielle de l'ordinateurs et Software ; qui est la partie immatérielle de l'ordinateur. 1. Hardware · Marque de l'ordinateur : Packard Bell · Type de Microprocesseur : Intel Pentium VIII · La mémoire RAM : 2Go · Le Disque dur : 500 Go · Le lecteur DVD · Le clavier : AZERTY COMPATIBLE · Imprimante : Laser HP 2130 et Ink Jet Z · Onduleur : 400 Watts 2. Software · Système d'Exploitation : WINDOWS 10 architecture 64 Bits · Microsoft Office 2016 3.1.3.6. Dictionnaire de données
SOURCE :nous-même sur terrain3.2. Modélisation logique de Traitement La Modélisation Organisationnelle des Traitements s'est centrée avant tout sur les préoccupations de l'utilisateur en faisant abstraction de toute considération technique. La Logique de Traitement (MLT) va porter sur le domaine de l'informaticien et de sa responsabilité. Il servira à construire une solution technique répondant aux spécifications du modèle organisationnel de traitement. Cette solution technique sera basée sur la description des unités logiques de traitements. 3.2.1. Définition des concepts de base Une procédure logique est un enchaînement logique de plusieurs unités logiques de traitements. Tandis qu'une unité logique de traitement est un ensemble d'actions organisées d'une tâche exécutable d'une manière automatique. Cette unité logique de traitement est associée avec les sous schémas logiques de données, qui ne sont rien d'autres qu'un sous-ensemble de tables et d'attributs définis sur le modèle logique de données que nous venons de valider afin de pouvoir présenter la logique fonctionnelle qui représente l'organisation générale de l'ensemble des traitements à effectuer. Le passage du MOT au MLT concerne la réflexion et/ou l'imagination du développeur de l'application, selon sa maîtrise et/ou sa pensée dans laquelle il appliquera sur la conception de ses interfaces graphiques.17(*) Cependant, nous allons éliminer à partir du MOT les tâches qui ne seront pas informatisées et les tâches restantes. Celles-ci détermineront l'unité logique de traitement où les événements fonctionnels disparaissent et cèdent la place aux actions des utilisateurs notamment : clique, saisie, etc. Les tâches deviennent des unités logiques de traitement ; les procédures fonctionnelles deviennent procédure logique ; l'ensemble des procédures logiques constitue le MLT et les postes de travail deviennent des sites. Début de procédure logique - Enregistrement de bon de livraison dans la base de données ULT 001 ETABLISSEMENT DE BON DE LIVRAISON ANNULER OK SUIVANT BDD - Enregistrement de la liste de médicaments envoyés dans la base ULT 002 ETABLISSEMENT DE LA LISTE DES MEDICAMENTS ENVOYES ANNULER OK SUIVANT - Enregistrement et impression de la liste des patients servis ULT 003 ETABLISSEMENT DE LA LISTE DES PATIENTS SERVIS ANNULER OK SUIVANT - Enregistrement et impression de la liste des médicaments par type ULT 004 ETABLISSEMENT DE LA LISTE DES MEDICAMENTS PAR TYPE ANNULER OK SUIVANT Fin de procédure logique Le modèle physique de données (MPD) est le dérivé du modèle logique de données. En d'autres termes, le modèle physique de données n'est rien d'autre qu'un résultat du modèle logique de données sauvegardé sur un support magnétique. Le passage du modèle logique de données (MLD) au modèle physique de données (MPD) dépendra du système de gestion de base de données (SGBD). La présentation du MPD n'est rien d'autre qu'une représentation des tables en mode création en Access. 1. Fing N°13 TABLE : patient 2. Fing N°14 Table : livrer 3. Fing N°15 Table : médicament Fing N°16 4. Table : Avoir 5. Fing N°17 Table : Facture 6. Fing N°18 Table : Type Médicament Fing N°19 7. Table : ordonnance Fing N°20 8. Table : Médecin 9. Fing N°21 Table : spécialité 3.4. Modèle physique des traitements Le modèle physique des traitements représente la solution technique de la construction du logiciel. C'est aussi l'ensemble des programmes informatiques assurent l'exécution des traitements informatisés du système d'information. Cet ensemble est organisé en une architecture technique de programmes matérialisant la logique des traitements spécifiée des moyens de programmation. Le modèle physique de traitement (MPT) n'est rien d'autre qu'une représentation graphique de la structure de notre programme de gestion informatisé des produits pharmaceutique. Page d'accueil Fing N°22 BOITE D'AUTHENTIFICATION MENU PRINCIPAL Fichier Mise à jour Listing Quitter PATIENT LIVRER MEDICAMENT Enregistrer Modifier Supprimer Annuler Fermer
AVOIR FACTURE Liste des médicaments prescrits par malade TYPEMEDICAMENT ORDONANCE
MEDECIN SPECIALITE CHAPITRE IV : IMPLEMENTATION D'UNE BASE DES DONNES ET SECURISATION 4.1.1. Notion sur la base des données Dans le temps, les données des applications étaient organisées dans les fichiers, en d'autre terme, la gestion des données et de traitement était dépendant à l'aide de la méthode classique. Celle-ci avait comme conséquences : - La dépendance entre données et programmes ; - Le manque de normalisation au niveau de stockage. - La lourdeur dans l'exécution D'une manière générale, nous distinguons trois (3) sorte des bases des données à savoirs : - La base des données hiérarchique ; - La base des données réseaux ; - La base de données relationnelle. Cette partie est consacrée est la mise en oeuvre de la solution retenue lors des études préalables qui est celle de réaliser une base des données permettant de stocker les données relatives à la gestion des Produits pharmaceutiques. C'est-à-dire doter au service de gestion des produits pharmaceutiques un logiciel (programme informatique) pour assurer la bonne gestion des informations. Pour la réalisation d'une base des données, on se sert d'un logiciel appelé Microsoft « ACCESS » qui est le plus utiliser pour la conception des bases des données. 4.2. Réalisation d'une base de données 4.2.1 Définition d'une base de données Une base de données est un grand fichier dans lequel on retrouve des petits fichiers ayant des liens entre eux, renfermant des informations nécessaires et non répétitives et permettant à plusieurs utilisateurs d'y accéder simultanément19(*). 4.2.2 Création de la base de données Pour ouvrir ou démarrer Microsoft Access, la procédure est très simple presque comme on peut le faire pour autres applications.20(*) § Double cliquer sur l'icône du logiciel au cas où il se trouve au bureau de Windows ; § Faite clic droit sur le logiciel puis sur la commande « Ouvrir » § Cliquer une seule fois sur l'application puis sur la touche « ENTER » § Utiliser le bouton démarrer puis sur tout programmes et enfin sur Access. 4.2.2.2. Création d'une base de données Ø Sur la page prise en main de Microsoft office Access, sous Nouvelle base de données vide, cliquez sur base de données vide ou bien sur le bouton office puis sur la commande « Nouveau » Ø Fing N°23 Dans le volet base de données vide, spécifiez le nom et l'emplacement de données, puis cliquez sur créer. Alors la fenêtre base de données s'affiche, et vous pouvez créer les objets de votre choix dans la base de données. Pendant que la base de données est ouverte, cliquez sur l'onglet créé, puis sur la commande « création de table » du groupe « tables ». Dans la zone de travail, la nouvelle table s'affiche portant deux parties. La première partie permet de taper le nom du champ, de déterminer le type de données et de décrire ce champ et la deuxième partie contient les propriétés du champ. Enfin défini la clé primaire de table et enregistrer la table. Lorsque vous enregistrez une nouvelle table sans définir une clé primaire, Access vous demande d'en créer une. Si vous répondez par « Oui », Access crée un champ « N° » qui utilise le type de données « NuméroAuto » pour fournir une valeur unique à chaque enregistrement. Si votre table contient déjà un champ « NuméroAuto », Access l'utilise comme clé primaire.21(*) Fing N°24 4.2.2.4. Création des Relations entre les Tables v Procédure Ouvrir d'abord la base de données Cliquer sur l'onglet « Outils de base de données » Dans le groupe de commandes « Afficher/Masquer », cliquer sur la commande « Relations » Dans la boîte de dialogue « Afficher la table », sélectionner toutes les tables, cliquer sur le bouton « Ajouter » puis sur le bouton « Fermer » Pour créer une relation entre deux tables, pointer le champ « Clé primaire », maintenir le bouton gauche de la souris enfoncé et glisser pour déposer ce champ sur son correspondant champ « Clé secondaire » (Clé étrangère) Dans la boîte de dialogue « Modifier les relations », cliquer sur la case à cocher « Appliquer l'intégrité référentielle » puis cliquer sur le bouton « Type jointure » . Fing N°25 Dans la boîte de dialogue « Propriété de la jointure », cliquer sur le dernier bouton radio (la case d'option) c'est - à - dire l'option portant le chiffre 3 comme numéro, puis cliquer sur « OK » pour valider Cliquer enfin sur le bouton « Créer ». Fing N°27 N.B : Une relation bien créée porte une flèche et cette dernière pointe la clé primaire. Sur la flèche (du côté de la clé primaire), on retrouve la cardinalité « 1 » qui signifie que la clé primaire existe une et une seule fois dans la table. Du côté de la clé secondaire, on retrouve la cardinalité « Infini » (8) qui signifie que la clé étrangère peut exister une ou plusieurs fois dans la table. Lorsqu'une relation est mal créée, c'est - à - dire elle manque la flèche et/ou les cardinalités ; il faut la supprimer et reprendre sa création. Pour supprimer cette relation, il faut faire le clic droit sur sa ligne oblique puis cliquer sur la commande « Supprimer » du menu contextuel. Avant de reprendre la création de cette relation, il faut d'abord vérifier le type et les propriétés de deux champs : Clé primaire et Clé secondaire ; car ils (le type et les propriétés) doivent être identiques. 4.2.2.5. CRÉATION DES REQUÊTES SÉLECTION v Procédure de création - Ouvrir d'abord la base de données ; - Cliquer sur l'onglet « Créer » ; - Fing N°29 Sur le groupe « Autres »,cliquer sur la commande « Nouvel objet requête » ou « Création de requête » ; - Dans la boîte de dialogue « Afficher la table », cliquer sur chaque table concernée par la requête puis cliquer sur le bouton « Ajouter ». Après avoir ajouté toutes les tables concernées par la requête, cliquer sur le bouton « Fermer » Fing N°30 - Pour placer les champs de ces différentes tables dans la grille de requête, il faut double cliquer en ordre sur chaque champ se trouvant dans la table sur la partie supérieure de la requête ; ces champs apparaissent sur la grille (la partie inférieure de la requête) ; - Enregistrer la requête de la même manière que la table. 4.2.2.6. CRÉATION DES FORMULAIRES v Procédure de création - Ouvrir d'abord la base de données ; - Dans le groupe « Formulaires », cliquer sur la commande « Création de formulaire » sous l'onglet « Créer » ; - Dans le groupe « Outils » de l'onglet contextuel « Création », cliquer sur la commande « Ajouter les champs existants » ; - Dans le volet « Liste des champs » affiché à droite de la fenêtre, cliquer sur « Afficher tous les tableaux » dans le cas où les tables ne sont pas affichées. Lorsque les tables sont affichées, cliquer sur le signe « + » placé à côté de la table concernée par le formulaire, cela pour afficher les champs de cette table ; Fing N°31 - Lorsque les champs sont visibles, double cliquer en ordre sur chacun d'eux pour les afficher sur la grille du formulaire en respectant l'ordre de tabulation c'est - à - dire le déplacement du curseur du premier champ vers le dernier ; - Mettre enfin le formulaire en forme puis l'enregistrer de la même manière que la table et la requête. v Modification d'un formulaire - Lorsque les champs (Contrôles) sont affichés sur le formulaire, chacun d'eux porte deux parties : la partie gauche appelée « Etiquette » peut être modifiée. Cela n'est pas le cas pour la deuxième partie appelée « Contrôle » ; cette partie ne peut jamais être modifiée. - La mise en forme d'un formulaire porte sur la police des caractères, la taille de police, le style de police, la couleur de police, la couleur de remplissage des contrôles, le style de trait des contrôles, ... - Pour ajouter un bouton de commande sur un formulaire, on procède de la manière suivante : v Ouvrir le formulaire en mode création v Cliquer sur la commande « Bouton (contrôle de formulaire) » du groupe « Contrôles » sous l'onglet contextuel « Création » v Cliquer à l'endroit où ce bouton de commande doit être placé v Dans la boîte de dialogue « Assistant Bouton de commande », précisément sur sa partie gauche, cliquer sur la catégorie d'actions contenant l'action que le bouton de commande pourra effectuer. Ex : Déplacements entre enreg., Opérations sur enreg., v Dans la partie droite de cette boîte de dialogue, cliquer sur l'action concernée ; Ex : Premier enregistrement, ... v Cliquer sur le bouton « Suivant » se trouvant sur cette boîte de dialogue pour afficher une autre boîte de dialogue. Dans celle - ci, effacer la partie inutile du nom de l'action puis cliquer de nouveau sur le bouton « Suivant » se trouvant sur cette boîte de dialogue ; v Dans la dernière boîte de dialogue, cliquer sur le bouton « Suivant » puis sur le bouton « Terminer » - Certains contrôles doivent être désactivés et verrouillés : c'est le cas des champs qui dépendent d'une clé étrangère. Pour les désactiver et les verrouiller, il faut d'abord les sélectionner, ensuite cliquer sur la commande « Feuille des propriétés » du groupe « Outils » sous l'onglet contextuel « Création ». Dans la boîte de dialogue qui apparait sur la partie droite de la fenêtre, cliquer sur l'onglet « Données », dérouler la propriété « Activé » puis cliquer sur l'option « Non » ; ensuite dérouler la propriété « Verrouillé » puis cliquer sur l'option « Oui » ; fermer enfin cette boîte de dialogue. - Pour marquer la différence entre les autres contrôles (champs) et les contrôles désactivés puis verrouillés, il est conseillé d'appliquer la couleur de remplissage « Gris clair » sur les contrôles désactivés et verrouillés. Cependant, ces contrôles sont devenus inaccessibles par le curseur. Fing n°33 v Page d'accueil Procédure pour créer le formulaire Page d'accueil - Ouvrir d'abord la base de données ; - Dans le groupe « Formulaires », cliquer sur la commande « Création de formulaire » sous l'onglet « Créer » ; - Enregistrer ce formulaire de la même manière que tous les autres formulaires ; - Placer autant d'étiquettes sur la grille de ce formulaire selon le nombre de lignes prévues pour les commentaires sur la base de données et celui qui l'a réalisée. Placer deux boutons de commande sur cette grille : le premier permet de quitter Microsoft Access en utilisant la catégorie « Opérations sur Application » et comme action « Quitter Access » ; le deuxième bouton permettra l'accès au menu principal. La figure ci - dessous illustre la création du formulaire Page d'accueil : v CRÉATION DES ETATS Procédure de création d'un état - Ouvrir d'abord la base de données ; - Cliquer sur l'onglet « Créer » ; - Dans le groupe « Etats », cliquer sur la commande « Assistant état » Fing N°35 L'essentiel de ce travail est de trouver les voies et moyens capables de mieux réaliser un logiciel pour la gestion des produits pharmaceutiques au sein de l'AGR/Lubao. Vu le problème rencontrés qui sont comme cause : · La lenteur et la lourdeur dans la circulation des informations liées à la pharmacie ; · La perte des données nécessaires ; · L'insécurité dans la conservation des documents relatifs à la pharmacie ; · Manque d'efficacité du système de gestion de produits pharmaceutiques. Concernant les grands points de notre travail, on a subdivisé le sujet de la manière suivante : Ø Chapitre I : Etudes Préalables * 4Dany LUKONGA EBONDO , Cours de M.I 1, G2 Info. ISP-TSHOFA, 2020, inédit * 5 Dany LUKONGA EBONDO, cours de méthode d'analyse de l'information, G2 INFO., 2019-2020, ISP-T/ cours inédit * 6 https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9Thodes-d'analyse et de conception, 2018/05/13/ 15h20' * 7Michel DIVINÉ,MERISE : 60 AFFAIRES CLASSEES, Ed du phénomène * 8 KITENGIE TSHITE Joël, Travail de fin de premier cycle * 9 Prof., Dr., Ir., Jeampy MBIKAYI MPANYA, Op.cit. * 10 Prof Jeampy MBIKAYI, Notes du cours COSI, L1 Info, 2013-2014, ISTIA MBM, Inédit. * 11 Prof., Dr., Ir., Jeampy MBIKAYI MPANYA, Op.cit. * 12 Prof., Dr., Ir., Jeampy MBIKAYI MPANYA, Op.cit. * 13 Prof., Dr., Ir., Jeampy MBIKAYI MPANYA, Op.cit. * 14 Prof., Dr., Ir., Jeampy MBIKAYI MPANYA, Op.cit. * 15NDIBU. A , cours de Méthodes d'Analyse Informatique, ISP-TSHOFA,2020-2021,Inédit * 16André Eshiba, Notes de cours de Méthode d'Analyse Informatique 2, G3 info/ISP-TSHOFA, 2019- 2020, inédit. * 1718 Prof., Dr., Ir., Jeampy MBIKAYI MPANYA, Op.cit. * 19 Epaphrodite MUEPU EYAMBO, Notes de cours de SGBD, G3 Info, ISP-T 2018-2019 * 20 Joseph ELUMBE, Notes de cours d'Access, G3 Info/ISTIA, 2012 - 2013, inédit. * 21 Dany LUKONGA EBONDO, Notes de cours de SGBD ISP-LU-2019-2020 |
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