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1 DEDICACE
A mon Dieu, source de mon existence et fidèle à
ses promesses et a permis l'élaboration de ce travail
A toi l'Eternel, tu es mon rocher et mon salut, ma hauteur
sûr, je ne t'oublierais pas, je tes remerciée parce que tout ce
qui est caché ces choses au riche est tu les as
révélées au pauvres, que tu non soit louer a jamais !
Amen !
A toi mon très chère Père LEMPELA WA
MPANYA Marcel, toi qui ma données les vraie sens du devoir, toi qui
m'apprenais à combattre contre la sureté pour n'être par
étranger autant est à l'espace, ton sens d'enseignement
dévoué à chaque chose a son temps, ton modèle qui
tu à faire de mois pour ton amour et de sacrifice qui n'est cesse pas de
manifeste à notre regard, pour que nous sayons un homme utile dans la
société, soit rassuré que tes sages conseil ont
été compris et bien assimiles dans non pensée humaine, ce
travail reste un pierre de la construction de la dite famille qui sera bien
accueillir dans les proche jours académique, en accueillant une base
intellectuelle de tes enfants.
A toi ma très cher Mère TSHIBUABUA KAYIPU Sophie
Brigitte, toi qui m'a fait venir dans ce monde, toi qui ne cesse pas de tes
faires souci pour ma cause est tu es pour moi un chemin de bonheur sur cette
terre, pour les sacrifices consenti, est les caprices supportée depuis
notre enfance jusqu'aujourd'hui par votre volonté et par la force
divine, vous avez accepté notre avenir dans ce monde, la sagesse
caractérise votre pensée enfin de recevoir ce que Dieu a promis
dans la nouvelle alliance.
Ce que nous somme aujourd'hui est ce que nous serons
demain ; que ces travails soit une pierre de construction de notre
famille, nous sommes très fière de vous estnous resterons le
fruit de vos travaux pour toujours.
KAYIPU LEMPELA Maurice
2 AVANT-PROPOS
Au seuil de ce travail qui marque la fin de notre
deuxième cycle d'étude supérieure à l'institut
supérieur de commerce de Lubumbashi, qu'il nous soit permis de nous
acquitter d'une dette de gratitude envers toutes les personnes qui, tout au
long de nos études ainsi que nos recherches, nous ont été
utile pour leurs réflexions sans laquelle ce travail n'aurait pas
été.
Nous voudrons avant toutes choses rendre grâce à
Dieu tout- puissant qui nous a donné le souffle de vie, celui qui veille
sur notre vie jour et nuit, l'Eternel Dieu des armées, le maitre de
temps et des circonstances, le pourvoyeur, le soutien de notre vie.
Nous sommes largement redevables à tout corps
professoral del'institut supérieur de statistique de Lubumbashi pour la
formation intellectuelle et sociale qu'il nous a assuré pendant ces
trois années d'études qu'il veille bien trouver ici l'expression
de notre gratitude.
Nous tenons à remercier particulièrement le P.O
MUYAYA WETU Maurice et le CT ANGABUN Odon pour avoir eu leurs temps de
sacrifice d'accepté la Direction de ce travail.
Nos remerciement s'adressent à nos Pères
spirituel : SA GRACE MATEBWE LAMBALAMBA, Bishop Albert TSHOMBA, Bishop
Alphonse KAWAYA, et à tous les serviteurs des come and see bergerie du
carrefour, nous citons aussi le choral les élus de Dieu, les
protocoles, les musiciens, ainsi que toute l'église en
générale etc.
A tous mes frère et soeurs : Isaac LEMPELA, Thythy
LEMPELA, Passy LEMPELA, Joël LEMPELA, Guillain LEMPELA, Nadège
LEMPELA, Patrick LEMPELA,
La gardienne de mes enfants NGOMBE KANINDA Joëlle, la
femmelégitime de ma vie, et à ma fille MUJINGA Alpho Jina, ...
A vous mes cousins, cousines, nièces, nerveux, tantes
et oncle pour vos conseilles consenti à notre faveur que mon Dieu vous
bénisse abondamment.
A mes connaissances pour vos soutiens pour les efforts
consentis de ce travail :Nazaire NKISI, Theo MWANZA, Me Jean Louis
KALAMBA, Nicole KUFI, que mon Dieu vous bénisse davantage.
Nous ne saurons terminer sans pour autant pensés
à nos amis et connaissances de Elvis MBOMBO, Cathy Mbola, Laura Taty,
Junior MWAMBA, Isaac KABILA, Felly MUJOLA, Maman Miandabu Wivine, ...
Que tous ceux qui ne sont pas été cités
par défaut d'attention trouvent dans cette rédaction l'expression
de notre profonde gratitude.
KAYIPU LEMPELA Maurice
3 INTRODUCTION
GENERALE
3.1 1. PRESENTATION DU SUJET
Aucun pays du monde ne peut prétendre aujourd'hui tout
produire et se suffire soi-même en tous. Chaque pays est
spécialisé dans la production des certains nombres des biens
selon ses potentialité (ses ressources, ses aptitudes et ses
techniques et technologiques,)
L'importance du commerce extérieur dans
l'activité économique mondiale est un fait acquis. Non seulement
l'histoire des faits économiques indique à quel point le
développement a été fondé sur le commerce
extérieur, mais tout au long de l'histoire, les relations
internationales ont pu être déterminantes dans les rapports
sociaux et humain dès l'état.
L'essor du commerce extérieur serait le prolongement
naturel de la croissance des économies nationale l'épanouissement
du commerce extérieur traduirait l'extension du principe de la division
du travail à l'échelle mondiale. Aujourd'hui, l'économie
contemporaine trouve leurs stabilités en s'intégrant dans la
relation commerciale, monétaire, industrielle et technologique à
l'échelle du monde.
En effet, l'activité et l'emploi ne sont pas seulement
les résultantes de la demander interne, ils sont également les
résistantes de mouvements de bien est de services et de capitaux entre
l'économie nationale est sans partenaire commerciaux. Aucun pays n'est
pu se produire tout ce dont il a besoin d'où son intérêt
à participer au commerce extérieur pour être en relation
d'affaire avec les reste du monde.
Par ailleurs, l'intégration d'une économie
nationale à une économie mondiale revêt quatre dimensions
notamment :
o L'internationalisation commerciale, qui cherche la capture,
l'ouverture et la pénétration du marché ;
o L'internalisation de la production qui consiste à
l'implantation ou à l'investissement direct, transfert de capitaux et de
localisation de la production ;
o L'internalisation financière, qui consiste à
l'implantation des banques à l'étranger ;
o L'internalisation technologique, qui consiste à la
circulation du savoir-faire.
Le commerce extérieur ne contribue au
développement quant remplissant correctement son rôle de compenser
la demande du marché intérieur, d'offrir les possibilités
la plus grande de production, d'emploi et d'équilibre budgétaire,
et aussi et permettre au pays l'importation d'équipement
nécessaire à leur industrialisation et donc à leur
développement socio-économique. D'où il doit organiser en
fonction des techniques choisis pour la structuration d l'appareil de
production et du modèle de consommation capital compatible avec la
politique du développement.
3.2 2. CHOIX ET INTERET DU SUJET.
3.2.1 2.1 CHOIX DU SUJET
Le choix porte sur les sujetsn'est pas hasard, en sens que
plusieurs raisons ont milite pour cela : la formation que nous avons
bénéficies durant cinq ans années en sciences commerciales
et financières, notre motivation personnelles, ses plongé sur les
documents lus sont autant avec les éléments parmi d'autres
écrits par nos prédécesseurs, ce qui man poussé
d'écrire cette sujet, c'est parce que nous comptons examiner selon la
position de notre commerce extérieur via commerce intérieur.
C'est ainsi que, nous avons estimé à
s'intéresse au point suivante ; le point personnel, scientifique et
pratique.
3.2.1.1 2.1.1 sue le plan personnel
Sur le plan personnel, cette aventure scientifique consolide
notre idée à scruter les réalités de
l'évolution du commerce dans le souci de comprendre les relations
économiques que la république démocratique du Congo
entretient avec l'extérieur et analyse ainsi la santé de notre
économie actuelle et la balance commerciale.
3.2.1.2 2.1.2 Sur le plan scientifique
Sur ce point, cette étude est une pierre à
porter à la construction de l'édifice de réflexion
scientifique et de proposition des solutions à ces problèmes de
dépendance économiques que notre pays.
3.2.1.3 2.1.3 Sur le point pratique.
Nous avons choisi ce sujet pour permettre à la
population congolaise, aux opérateurs économiques, aux
autorités économico-monétaire de comprendre la situation
que traverse notre pays en matière de commerce extérieur afin de
prendre de mesure pour accroitre la production pour faire face à cette
situation de dépendance économique que traverse la
république démocratique du Congo. Mais le souci et de savoir
comment et dans quelle mesure le commerce extérieur peut contribuer au
développement socio-économique de la RDC.
3.3 3. ETAT DE LA QUESTION
L'état de la question fait mention de travaux
antérieurs sur le sujet, de leur de marche et conclusion auxquelles
leurs auteurs aboutissent à des résultats.
Ainsi l'état de la question permet d'avoir la
connaissance générale sur le sujet, la formule adéquate de
l'hypothèse et les choix judicieux de la méthode. Pour notre
étude, nous nous sommes rapprochés aux études
effectuées par nos prédécesseurs.
Ø ASUMANI RADJABU « l'étude de
l'amélioration de la balance commerciale et son impact sur la croissance
économique de la RDC » et sa préoccupation était
de savoir si : l'amélioration de balance commerciale peut avoir une
poussée sur la croissance économique ? c'est ainsi
après son étude il à demander à l'état
congolais de veiller surtout à l'analyse et à bien investir afin
que ce solde soit positif pour permettre à notre PIB de bien se
positionner par rapport à cette période d'aujourd'hui.1(*)
Ø YAV KATSHING François «
l'analyse évolutive du commerce extérieur et leur incidence sur
la croissance économique en RDC » sa préoccupation
était de savoir si la RDC à ce jour connait une évolution
massive dans son milieu de décentralisation à travers le commerce
extérieur ? c'est ainsi après son étude, il propose
à la RDC de mieux place son marche intérieur afin d'appelé
les investissements de venir place leur produit au pays2(*)
Ø NTUMBA MWAMBA Patrick « le commerce
extérieur face au défi de banque commerciales en
RDC » l'auteur nous parlé la façon ou les banques
arrive a placé le mode de paiement par facilité les
activités commerciale de chaque individus, et ses moyens ses
placé à travers la carte bancaire 3(*)
Quant à nous à travers notre présent
sujet qui parlé sur le commerce extérieur et le
développement socio-économique de la RDC, nous allons faire la
cohérence sur le prix que les occidentaux fixe eux-mêmes au
produit que la RDC fait exporté, c'est-à-dire de mieux connaitre
comment la balance des activités paraétatiques et para
statistique, c'est-à-dire l'état de l'économie
congolaise, la monnaie, la façon ou la banque centrale du Congo qui la
mène des plusieurs en place, fait octroie les crédits à
travers les différente agents qui se retrouve en besoin de financement
pour dégage le fruit de trésor publique.
3.4 3. PROBLEMATIQUE
La problématique est la question principale autour de
laquelle doit tourner tout travail.
Elle se présente comme l'art d'élaborer et de
poser clairement les problèmes et aussi de résoudre en suivant
leur transformation dans la réflexion scientifique ou
philosophique4(*)
Elle peut être aussi définie comme un ensemble de
question qu'un chercheur se pose au début de son étude.
C'est ainsi que notre travail se vient une réponse aux
questions ci-après :
v Est-ce que le commerce extérieur contribue- t-il au
développement socio-économique de la RDC ?
v Qu'est ce qui contraint le commerce extérieur de la
RDC, et comment peut-on atteindre l'équilibre du cadre
macroéconomique dans le commerce extérieur ?
3.5 4. HYPOTHESE
L'hypothèse peut être définie comme
étant l'ensemble des propositions des réponses aux questions
posées les quelles seront confirmé ou non.5(*)
Elle est également définie comme étant la
proposition des réponses au quelle l'on se pose de l'objet de la
recherche formulée en de termes tels que l'observation et l'analyse
puissent fournir une réponse 6(*)
Partant de la question poser ci- haut, nous disons
ceci :
· La contribution est négative d'autant plus qu'il
ya une détérioration de la position extérieure,
c'est-à-dire le pays importe plus qu'il exporte. D'où, en
pensée de keynésiens, il ya une fuite des liquidités
internationales de l'économie nationale au reste du monde, par
conséquent c'est un manque total pour la déséquilibre du
macroéconomique.
· La contrainte du commerce extérieur de la RDC
découle de l'appareil de production, l'équilibre sera atteint par
le renforcement de la capacité d'exportation des produits de base de cde
pays, deux voies présentent un intérêt particulier.
La transformation des matières premières et la
diversification des exportations des produits du secteur primaire, ceci
permettre au pays d'exporter plus à l'extérieur et de
bénéficier des surplus en devises qui serviront à nous
comme des moyens de paiement internationaux.
A travers ces résultants provisoire que nous venons de
montre, nous avons eu les informations pour notre sujet qui porte sur le
commerce extérieur et le développement socio-économique de
la RDC, ses éléments sont les suivantes :
Naturellement, l'insertion des pays en voie de
développement particulièrement la RDC, dans le commerce
extérieur a pour contre parties la spécialisation et la
nécessite de rester compétitif.
Ainsi, la spécialisation à pour produire
corrélation l'interdépendance, et la compétitivité
nécessite une adaptation constante de l'appareil productif.
L'économie congolaise dépend de
l'échanger, pour ses approvisionnements, cette dépendance est
surtout accusée pour les biens d'équipements et les produits
manufactures, c'est ainsi qu'elles moins placée dans la
compétition internationale suite à sa production du PIB fiable,
son mode de production traditionnel, la non diversification de la
production.
A cet effet, elle est confrontée ou soumission à
un problème contrainte extérieur, cette contrainte se justifier
par la dépendance de son économie à l'égard des est
donc d'un déficit commercial.
En effet, pendant près de trois décennies
après l'indépendance, le commerce extérieur a joué
un rôle circulant dans les finances publiques et dans la stabilité
monétaire. Plus 50% en moyennes des recettes de l'état provenait
du commerce extérieur, par ailleurs, la stabilité du taux de
change de la monnaie et celle des prix intérieurs était
assurée particulièrement grâce aux rétrocession en
devises effectuées auprès de la banque centrale du Congo, des
recettes d'exploitation, ce qui lui ont permis d'intervenir sur le
marché des changes.
Aujourd'hui, l'instabilité dans les secteurs
susmentionnés (finances publiques et monétaires trouve entre
autres raisons, la débâcle du commerce extérieur, ce
dernier n'assure plus, ni devises suffisantes à l BCC pouvant l'aider
à faire face aux turpitudes qui caractérisent sa monnaie, ni des
ressources à même de relever le niveau des recettes publiques.
La conséquence directe de la crise financière
internationale sur l'économie de la RDC a été la
révision à la baisse du taux de croissance économique pour
l'année 2009, celui-ci passant de 20, 7% à 1,6%, ce qui signifie
un recul de 1.4% du revenu réel par tète si on considère
une croissance démographique de 3%. Ainsi donc, sur le plan de
production minière, à l'exception du Zinc et du pétrole,
tous les autres produits ont connu des baisses alors la production
manufacturière, a connu une augmentation, et donc une
détérioration en terme de l'échange ; ce qui confirme
bien que, la baisse de l'activité économique est essentiellement
due aux choses externes6(*)
3.6 6. METHODE ET INTERET UTILISEES
3.6.1 6.1 Méthode de recherche
L'élaboration d'un travail scientifique
nécessite l'utilisation de certaines méthodes entendues comme,
l'ensemble d'opération intellectuelles par lequel une discipline cherche
à atteindre une vérité qu'elle pourrait démonter et
le vérifier7(*)
Dans le cadre de ce travail, nous allons utiliser deux
méthodes à savoir : la méthode inductive et la
méthode comparative.
3.6.1.1 6.1.1 Méthode
comparative.
Comparer c'est confronter deux ou plusieurs faits pur
déceler les ressemblances et les dissemblances qui existent entre eux.
La méthode comparative conduit à l'explication des faits dans la
mesure où elle facteurs générateurs des
différences.8(*)
Cette méthode va nous permettre de comparer
l'amélioration des donnes d'évolution du commerce et celle des
agrégats macroéconomiques se rapportant à notre
période d'étude.
3.6.1.2 6.1.2 Méthode
inductive.
Indure : c'est aller du particulier au
générales, cette méthode nous aidera à remonter
l'observation des faits à une proposition générale.
3.6.2 6.2 TECHNIQUE
La technique est un outil qui permet au chercheur de
récolter dans une certaine mesure de traiter les informations
nécessaires à l'élaboration d'un travail
scientifique9(*)
3.6.2.1 6.2.1
Technique documentaire.
Cette technique porte sur l'étude et analyse des
documents écrits pour avoir des informations sur les faits ou
phénomènes que l'on étude.
Cette technique va permettre d'entrer en contact avec les
ouvrages, des TFC, des mémoires, des revus des presses et de rapport
annuels de la banque centrale du Congo, ainsi de la division du commerce
extérieur en coordination de ministère provinciale du budget,
relative à notre sujet d'étude que nous avons consultes et
recueillis les informations en vue de définir certains concepts et
prouver les arguments avancés.
3.6.2.2 6.2.1
Technique celle d'interview directe.
Elle consiste en l'entretient avec sujet concerne faisant de
recherche10(*)
Elle nous aidera dans la mesure où nous serons
obligés de nous entretenir avec ceux-là qui au sein de banques,
des institutions publique s'occupent des informations du commerce
extérieur et celle du développement de la RDC.
3.7 7. DELIMITATION SPATIAL ET
TEMPORELLE DU TRAVAIL.
3.7.1 7.1 Délimitation spatiale.
La période étudier est souvent en relation avec
les activités commerciales de ce jour, mais notre étude se
focalises son attention sur la RDC
3.7.2 7.2 Délimitation temporelle
Dans le temps, nous étalons notre travail sur 5 ans de
200 à 2013, ce au cours de cette période que l'économie
congolaise connait une certaine amélioration de son produit
intérieur brut, depuis 1990, la situation économique de la RDC
n'a cessé de s'aggraver, malgré plusieurs tentatives visant
à stabiliser et à atténuer les difficultés
auxquelles elle est confrontée.
3.8 8. SUBDIVISION SOMMAIRE DU
TRAVAIL.
Hormis l'introduction générales et la
conclusion, notre travail s'articulera autour de trois chapitres que
voici :
Ø le premier chapitre sera axé, sur les
considérations générales, ici il s'agira de définir
les concepts de base du sujet et leur notion de base ;
Ø le deuxième chapitre portera sur la
présentation de l'environnement macroéconomique de la RDC sur le
collecte de BCC et de d'autres institutions publiques ;
Ø le troisième chapitre traitera sur le
commerce extérieur et le développement socio-économique de
la RDC, et en fin de pouvoir critiquer, suggère et tirer une
conclusion.
4 CHAPITRE
I. CONSIRATIONS GENERALES
4.1 SECTION 1. Circonscription des
concepts des bases
4.1.1 I.1.1 Commerce
Dictionnaire encyclopédique définisse le
commerce comme toute activité qui consiste en achat et la vente de
marchandises des services, en d'autres termes les commerce est
l'activité principale d'échange des biens et de service, il
couvre l'ensemble des transactions entre les hommes d'affaires et les
commerçants 11(*)
Quant à nous, nous définissons le commerce comme
quelques chose qui désigne l'activité d'achat et de revente de
biens et de service, en particuliers l'chat dans le but de revendre avec un
profit ou un bénéfice.
4.1.2 I.1.2 Commerce extérieur
Le commerce extérieur d'une nation désigne
généralement l'ensemble des échanges des biens et services
entre cette nation et les autres pays. Toutefois, la balance des paiements
retient une conception plus étroite du commerce extérieur
(échange de marchandises).
Quant à nous, nous définissons le commerce
extérieur comme une activité de l'ensemble des biens et services
presté sur le sol du reste du monde.
4.1.3 I.1.3 Commerce intérieur
Le commerce intérieur est un commerce qui s'effectue
à l'intérieur du pays via son frontière,
c'est-à-dire entre les habitants d'un même pays, ces
opérations sont vise à partir de programme de l'Etat.
4.1.4 I.1.4 Développement
D'une manière générale, le
développement est l'étude des processus par lequel les organismes
croissent et se développent12(*)
Dictionnaire encyclopédique définisse le
développement comme l'art d'action de développer ce qui
était roulé, fait d'être développe.
Quant à nous, nous définissons le
développement comme la combinaison des changements mentaux et sociaux
d'une population qui a rendre apte à faire croitre, cumulativement et
durablement son produit réel global.
4.1.5 I.1.5 Economie
La rousse définie l'économie comme art de
réduire les recettes au dépenses dans la gestion de ses biens et
des revenus, et d'autre par l'économie est l'activité humaines
qui consiste en la production, la distribution, l'échange' et la
consommation de biens et de services 13(*)
Quant à nous, nous définition le mot
économie comme l'ensemble des échanges généralisent
des produits consommables et des rapports fluctuant de leur production de leur
distribution et de leurs consommation, et ensembles et dont les actions
tendent simultanément et paradoxalement vers la prolifération de
la rareté et la raréfaction de l'abondance.
4.1.6 I.1.6 L'importation
Le terme importations désigne en économie
l'ensemble des achats de marchandises à l'extérieurs d'un pays,
d'autres part c'est un mot qui provient du verbe importe c'est-à-dire
introduire des produits ou des habitudes des achats 14(*)
L'importation est définie comme une opération
qui consiste à introduire une marchandise en provenance de
l'étranger dans le territoire national, laquelle marchandise est soumise
au régime douanier et au tarif douanier 15(*)
Quant à nous, nous définissons l'importation
comme une opération qui consiste' à faire franchir une
marchandise en provenance de l'étranger, les frontières
nationales, par une voie autorisées et en la présentant devant un
poste ou un bureau de douane muni de tous les documents nécessaires pour
accomplir les formalités douanières obligatoires.
4.1.7 I.1.7 L'exportation
D'une manière générale l'exportation est
l'action de vendre à l'étranger une partie de la production de
bien ou de services d'un ensemble économique
En d'outre termes l'exportation est un processus ou cours
duquel les matières première extraites ou les produits fabriques
sur le territoire nationale sont déplacées par mais par air, par
rail, ou par route vers l'étranger moyennant une contrepartie en
espèce ou en nature représentante les dû ou trésor
public et permettant ainsi ou pays d'avoir suffisamment des devisées.
Quant à nous, nous définissons l'exportation
comme une opération qui consiste à vendre à
l'étranger les marchandises qui ont été produits par les
entreprises installées dans le territoire national.
4.2 Section II. APPROCHE THEORIQUE
4.2.1 II.1 Notion du commerce
Au sens économique du commerce est plus restreinte car
elle exclut notamment les activités de service marchand, comme
l'hôtellerie et la restauration
4.2.1.1 2.1.1
Origine du commerce
Le climat, la végétation le relief, la richesse,
les forces physiques et intellectuelles etc. sont autant des facteurs et
handicaps qui font qu'un homme ne puisse pas tout produire seul tout ce qu'il
désire pour satisfaire ses besoins, l'homme est obligé à
donner une partie de ses biens ou de son travail en contrepartie de ce qu'il
n'a pas produit, c'est delà qu'est né l'échange.
C'est ainsi partout au monde, les hommes sont obligés
d'échanger pour satisfaire les besoins ces courants d'échanger
sont bien sur développés par le commerce.
Suite à l'augmentation de volume des échanges
certains hommes se sont spécialisés dans l'achat et la vente des
biens, ce furent les commerçants. A l'origine leur commerce ne
dépassait pas les limites régionales, mais actuellement le
commerce est devenu international.
4.2.1.2 2.1.2 Type
de commerce
Le commerce se distingue selon le lieu d'achat ou de vente
donc la situation géographique et il peut se distinguer selon
l'importance des opérations réalisées.
D'après le lieu d'achats et de la vente, on distingue
le commerce intérieur et le commerce extérieur.
Comme nous venons de le définir dans les de
circonscription des concepts des bases, mais le commerce extérieur se
divise en commerce d'exportation et d'importance et de transit.
Ø Dans le commerce d'importation : les
marchandises sont achetées à l'étranger pour être
destinée à la consommation nationale, c'est ce qui fait une
passation du commerce moderne, dont la définition nous assure que
« l'ensemble principal d'échange des biens et des services
pratiquant la vente, en discompte et la vente en libre-service, par opposition
à commerce traditionnel 16(*)
Ø Dans le commerce de l'exportation est un l'acte
destiner pour les produits nationaux à l'étranger, et le transit
est la situation douanière des marchandises qui traversent un
état sans acquitter des droits de consommation, ce transit peut
être direct ou indirect selon qu'il s'effectue dans l'admissions des
marchandises en entrepôt ou l'inverse.
Du point de vue de l'opération à l'importation,
le commerce prend la forme de : gros, demi-gros et de travail.
a. Le commerce de gros : il d'effectue autre les
producteurs ou fabricants et les autres commerçants (demi-grossistes et
détaillants), il porte sur des grosses qualités de
marchandises ;
b. Le commerce de demi-gros : les marchandises sont
achetées aux commerçant grossistes et de revendrais aux
commerçants de détail par quantité moins
importantes ;
c. Le commerce de demi-gros : les marchandises sont
achanties aux commerçant grossistes et revendues aux commerçant
de détail :il s'effectue entre les détaillants et les
consommateur selon les dérivions de ces derniers, il porte donc sur de
petites quantités.
4.2.1.3 2.1.3
L'IMPORTANCE DU COMMERCE
A nous jours l'importance des commerces n'est plus
à décintrer :
Ø Le commerce développer les échanges en
cherchant constamment des nouveaux débouches ;
Ø Il crée des richesses permettant ainsi de
vente dans une région des marchandises qui sont surabondantes dans une
autre région, n'ont qu'une valeur faible ou nulle ;
Ø Il étend à assurer aux marchandises une
valeur moyenne entre leur élevée dans la région où
elles manquent et leur valeur dans celles où elles sont
surabondantes ;
Ø Il permet une exportation plus complète des
richesses du globe ;
Ø Il permet en fin aux peuples de mieux connaitre et de
s'estimer 17(*)
C'est ainsi partout au monde, les hommes au monde sont
obligés d'échanger pour satisfaire leurs besoins, ces courants
d'échanges sont bien sûr développes par le commerce.
C'est pourquoi le commerce équitable assure un revenu
correct à des producteurs des pays pour qu'ils puissent
développer leur activité à long terme, mais les organismes
de commerce équitable s'adressent à des organismes de producteurs
gérés démocratiquement et les encouragements à
utiliser des pratiques respectueuses de l'environnement du commerce sur le
marché financier.
Le commerce électronique intègre la production,
la publicité, la vente de distribution des produits et services à
travers des moyens électroniques, dans le sens de transitoire du
commerce électronique, l'Afrique présentait un avantage
concurrentiel unique dans quelques domaines du commerce électronique sur
phase de la monnaie (carte bancaire), les entreprises qui tourne sur le
marché dont la croissance est la plus rapide etc.
Par ailleurs, le commerce dans l'économie, a pour comme
un moteur de la satisfaction des multiples besoins de l'homme, les
connaissances, la force physique et le temps dont dispose celui-ci permettent
pas de produire seul tout ce dont il a besoin pour vivre, la solution consiste
pour lui à organiser et deviser.
4.2.2 II.2 NOTION SUR LA BALACE COMMERCIALE.
La balance commerciale d'un pays est un élément
de la comptabilité nationale qui répertoire et résume
l'ensemble de ses exportation et importations marchandises 18(*)
Cette définition entraine quelques précisions
à savoir :
· La balance commerciale suppose ici une balance d biens
services ;
· D'autres nomenclatures et principe de la
comptabilité nationale se limitant aux échanger de biens
uniquement ;
· Quant aux biens et services marchandes, ils comprennent
entre autre des matières premières produits manufacturés,
le produit agricole les transports est voyages.
Pour lequel nous concerne la balance commerciale est un compte
national qui retrace la structure en valeur monétaire des biens et
services exportes et importes au cours d'une période d'un an ;
o L'évolution des importations se fait sur base des
statistiques douanières et du commerce extérieure.
o Il faudrait préciser que la balance commerciale est
l'une des composantes de la balance des opérations courantes d'une
nation et partie intégrante de la balance des paiements.
4.2.2.1 2.2.1 Les
composantes et présentations de la balance commerciale
La balance commerciale est un tableau à double solde
entre avec trois composantes à savoir :
Ø Exportation ;
Ø Importation ;
Ø Solde commerciale.
ELEMENTS
|
EXPORETATION
|
IMPORTATION
|
SOLDES
|
BIENS
|
X
|
X
|
X
|
SERVICES
|
X
|
X
|
X
|
TOTAL
|
X
|
X
|
X
|
Source : Revue de la banque centrale du Congo.
Par d'autre moyen, nous pouvons dire que, la balance
commerciale. C'est un cadre comptable légal regroupant par une
période d'observation soit-elle l'année ou le trimestre, les
opérations d'importation et exportation évaluées en
devises ou converties en monnaie nationales.
Le principe comptable qui s'y applique est d'une
comptabilité à double partie, d'une part les exportations de
l'autre les importations.
Ø les balances se concluent en solde doit nul pour
l'équilibre de deux parties ou soit en déséquilibres,
excédentaire ou déficitaire ;
Ø balance de paiement, la balance de capitaux et les
indivisibles, les omissions ;
Ø la propension : la propension une tendance
à importer en fonction du revenu ;
Ø la propension moyennes : une attitude de
tendance centrale à importer ;
Ø déficit commerciale : excès des
importations en valeurs sur les exportations ;
Ø le protectionnisme : c'est une situation
économique qui freine soit partiellement soit totalement la concurrence
étrangère, peut s'opérer par des mesures administratives
ou par le contingentement dans un esprit d'un nationalisme
étrique ;
Ø la mondialisation : est un
phénomène de l'esprit de DVOS, qui se fondé sur la
globalisation de l'espace économique axée sur la communication et
les commerce avec l'étranger ;
Ø le dumping : c'est une situation où les
prix du marché intérieur sont intentionnellement plus
élevés que ceux de l'étranger,
On distingue deux types à savoir :
o les dumpings sauvages et le dumping systémique.
19(*)
a. les Rouages de Commerce
Extérieur
Le commerce extérieur comme nous les a
soulignés, s'insère dans le cadre des échanges
extérieurs ou de l'ouverture.
Empiriquement, l'ouverture semble favoriser la croissance et
la réduction des inégalités. Ainsi, la théorie de
l'échange international insiste sur la spécialisation qui est
fondée sur l'exportation des avantages comparatifs. Ces avantages sont
tirés de la dotation factorielle détenue par chaque nation.
Les commerces extérieurs ou les commerce de libre
échange accroit pour les pays qui s'y engagent, un surplus collectif
contrairement aux pays en autarcie 20(*)
Du point de vue des importations, un pays qui fait le commerce
à l'importation, lorsque son potentiel factoriel ne lui permet pas de
produire les biens ou ces services ou encore de la produire en moindre
coût. Mais pour commencer à exporter des produits à valeurs
ajoutées élevées, un pays a besoin non seulement d'un
investissement nécessaire, mais aussi de l'accès au marché
21(*)
Car même les pays développés produisant
une gamme variée des biens compétitifs se heurtent aux
barrières douanières ou commerciales.
b. Commerce des biens
Ø L'incitation au commerce
Parmi les enjeux du commerce extérieurs, il est
également admis que les pays gagnent en commerçant entre eux.
Puis que par rapport une situation d'autarcie, l'accès au marché
mondial leur permet d'obtenir certains biens à un prix plus bas et
d'écumer d'autres biens à un prix élève.
Ø Inégalités entre
pays.
Dans les contextes du commerce extérieur, existe la
notion des inégalités qui se caractérise par ce concept de
petit et de grand pays. Un pays est dit petit dans la mesure où il ne
peut influer sur le prix mondial, alors qu'est considère comme grand
pays, celui qui est capable d'influencer le prix du bien qui fait l'objet du
commerce.
Ø Gains du commerce
extérieur
Pour dégager les gains de l'échange
international, nous allons partir d'un exemple.
Considérons les cas où un pays X est un petit
pays qui passe d'une situation d'autarcie à une situation de libre
échange comme importateur de bien A la technique pour mesurer les gains
du commerce repose sur deux concepts de l'analyse macroéconomique :
le surplus du consommateur et le surplus du producteur.
Ø Répartition de gains du
commerce.
Dans une économie d'échange, la
possibilité d'échanger les biens à des prix
différents de ceux d'autarcie donne lieu à un grand bien
être pour la communauté. Il est à nouveau possible
d'effectuer l'analyse de bien être en interprétant le
bénéfice d'une unité du bien A importé ou
exporté.
4.2.3 II.3 Notion de L'économie
L'économie est l'activité humaine qui consiste
la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et
services, et plusieurs définition son données à travers
cette notion, mais le plus essentielle nous aidera à traiter à ce
sujet.
Quoique la science économique des mercantilistes soit
considérée comme un art empirique, c'est à eux que revient
un double mérite à savoir :
a. Avoir trouvé, c'est-à-dire désigner
l'art qui étudie l'activité économique, l'expansion de
l'économie politique et développement.
b. Avoir indiqué, c'est-à-dire le mobile qui
détermine le comportement de l'individu.
L'activité économique s'exerce dans le cadre le
cadre d'un système économique, c'est-à-dire d'un type
d'organisation de l'économie destiné à apporter une
solution au problème de la croissance et du partage du produit de
l'activité de la nation.
De ce fait, elle peut être l'oeuvre de l'initiative
privée, l'oeuvre de l'Etat ou résultant de l'initiative mixte
à l'intérieur d'un système de propriété
privée ou des moyens de production.
Du point de vue social, politique et culturel,
l'économie doit être orientée avec plusieurs techniques
dans chaque secteur pour passer aux résultats, de ce fait nous prenons
quelques points qui doivent être orientée par l'homme ou
l'Etat.
4.2.3.1 3.1.1 Du
point de vue de la production
Partant de la définition, la production consiste la
phase première et la plus importante de l'activité
économique, c'est celle qui permet la satisfaction des besoins par la
consommation 22(*) et
aussi produire, c'est procurer à un bien une utilité ou une
utilité plus grande que celle qu'il passée en l'extrayant, en
l'offrant en vente, est également prester des services direct à
l'achat.
Toute opération de production suppose la combinaison de
trois facteurs au sein de l'entreprise, centre de décision :
La nature, le travail et le capital.
· La nature comme facteur de la production en
économie, par nature, on distingue généralement : la
terre, l'eau et les conditions atmosphériques. C'est en d'autres termes
le sol et sous-sol et leur contenu, le climat ; les voies naturelles de
communication ... et les eaux ainsi que les richesses du règne animal et
du régime végétal.
Ces facteurs de production naturels sont fondement
modifiées par l'intervention de l'homme : mise en valeurs de la
terre, améliorations de la navigabilité des eaux.
· Le travail comme facteurs de production en
économie
Le travail est le facteurs premier de la production, car il
est l'oeuvre de l'homme, toute production trouve sa source dans la
volonté humaine, l'existence même du capital nécessite le
travail de l'homme, parmi les premier il faut insister sur le travail de celui
qui combine les facteurs appelées «
L'ENTREPRENEUR » nous prenons la pensée qui à
était dit dans la bible, dans le livre de
genèse, « tu gagneras ton pain à la sueur de ton
front » outre sa fonction économique le travail possède
d'autres aspects comme suit :
o Une fonction économique qui est d'assurer
l'existence ;
o Une fonction psychologique qui consiste à donner
à l'homme un épanouissement de ses possibilités de ses
tendances profondes actives et réactives ;
o La fonction sociale qui est là pour obtenir des
relations humaines, qui est là pour créer une solidarité
humaine.
c. Le capital comme facteur de production en
économie
En économie, on entend par capital tous les biens
naturels, (matières premières, etc.) qui ont été
produits c'est-à-dire qui ont reçu plus utilité) pour
l'homme non pour être consommes produire d'autres bien23(*)
La production de biens ou de services peut être parfois
se réaliser sans capital, car le travail de l'homme portant sur une
richesse Naturelle peut procurer un bien ou un service, mais le recours au
capital permet de produire d'avantage dans le secteur primaire secondaire et
tertiaire.
Lorsque le capital économique appartient à la
collectivité, comme dans le régime socialistes, il ne peut
exister de capital juridique, c'est-à-dire le régime revient
à la demande globale pour financier sont investissement.
C'est pourquoi, nous signalons que la formation de capital
suppose donc deux décisions à savoir :
· A l'origine, une décision
d'épargne : dans une économie primitive, l'épargne
est concrétisée par la mise en réservée, d'une part
du revenu réel, c'est-à-dire de la production et de la ressources
monétaires à des fins autres que la consommation ;
· Ensuite, une décision d'investissement, ici les
revenus épargnes sont affectés à la
rémunération des facteurs de productions des biens durables.
D'après la forme, les capitaux peuvent être fixes ou
circulant :
· Les capitaux fixes concernent la valeur de biens
meubles et immeubles qui concernent ou bon fonctionnement de
l'entreprise ;
· Les capitaux circulant concernait la valeur de biens et
marchandises destines à l'échange, ainsi que les valeurs
réalisables.
4.2.3.2 3.1.2 Du
point de vue de marché
Le marché d'un bien (produit, service ou facteur) est
la rencontre d'un ensemble d'offres et de demandes de ce bien, donnant lieu
à un échange sur la base d'un prix.24(*)
v La demande
On appelle demande, sur un marché donné, la
quantité d'un bien ou d'un service que les sujets économiques
sont disposés à acheter à un certain prix ; soit
qu'ils agissent rationnellement, qu'ils subissent l'influence du milieu.
La demande traduit la volonté des candidats acheteur
vis-à-vis de l'achat d'un bien, pour chaque individu, elle se
présence comme son plan d'achat, en d'autres termes la demande indique
pour chaque prix possible, la quantité de bien qu'il est dispose
à acheter.
v L'offre
L'offre d'un bien est la quantité de ce bien, qui peut
être vendue ou écoulée sur un marché à un
prix donné, en d'autre terme l'offre n'implique pas
nécessairement vente, il s'agit d'une disposition à vente d'un
plan valable pour le moment considère.
C'est pourquoi la loi d'offre prend en ligne de compte toutes
ces considérations de lieu et de temps, elle s'énonce comme suit
toutes autres choses étant égale, les quantités offerte
d'un bien sont en raison directes de son prix.
v Régulation de L'économie
Il est actuellement démontre qu'une politique
monétaire malheureusement peut avoir des conséquences
désastreuses sur l'économie. La quantité de monnaie en
circulation doit être finement ajustée au risque de
déclencher un crise de surproduction et un chômage important dans
la situation de l'inflation élevée.
S'il faut se garder d'affirmer qu'une bonne gestion de
quantité de monnaie en circulation à elle seule garantir le
développement harmonieux et régulier de l'économie
à partir de la demande de l'offre des biens et services produits pour le
pays.
Partant de l'économie, chaque forme de la monnaie
représente une part dans le fonctionnement dite des activités
économique, c'est-à-dire la monnaie fiduciaire, scripturale,
métallique et électronique, tous ces éléments c'est
sont de régularisions de l'économie dans son ensemble de ses
activités.
v L'inflation
L'inflation est caractérisée par la hausse
générale des prix et cette inflation s'exprime à trois
formes :
o Cette hausse est plus intense que l'accroissement possible
du volume de production ;
o Elle correspond à une disparité entre la
demande globale sur le marché, cette dernière ne pouvant
satisfaire la première ;
o Elle ne contient pas elle-même de frein ou de
possibilité d'arrêt et de ce fait tendance à
s'accélérer ;
o En d'autre sens on peut dire que l'inflation est un
déséquilibre monétaires resautant d'un excès de
flux de biens et de services disponibles sur le marchés25(*) leurs causes se résume
dans la multiplication de l'offre globale c'est-à-dire la production et
la demande globale et de la consommation.
Ces conséquences se manifestent avant tout par une
baisse du pouvoir d'achat de la monnaie, elle provoque donc une perte de valeur
pour tout ce qui est exprimé en agent, salaires, intérêt et
créance. Elle favorise le débiteur qui voit la valeur de sa dette
à rembourses diminuer au fil des années.
C'est pourquoi le commerce international représente
seulement une partie des échanger économiques internationaux.
C'est-à-dire celle qui a pour objet le produit matériel et les
services et non les transferts de revenus gagné à
l'extérieur, les mouvements de capitaux résultats
d'opérations de prêt et de crédit, les mouvements d'or
monétaires destinent à régler le solde des
échanges
4.2.4 II.4 Notion de Développement
Par la suite de la guerre mondiale que le développement
reprend sa place au sein de la pensée économique, mais il s'agit
des lors du développement des pays n'ayant pas atteint le stade
industriel que l'on qualifier alors de sous-développés.
On distingue six types de concepts de développement
à savoir :
4.2.4.1 2.4.1 Le
développement économique
Dans la phase de constitution de la pensée de l'auteur
PIONNERS du développement, croissance économique et
développement était synonyme de l'obtention d'une croissance
économique significative d'une croissance sur une longue période,
le développements économique récent sa
capacité sur les activités productives du pays, a ce stade pour
qu'il est bien un développement économique dans la pays, le pays
doit d'abord sortie du sous-développement qu'il implique avant tout un
grand effort d'investissement, le concepts de développements est traduit
à sa dimension économique c'est-à-dire la croissance du
revenu réel par habitant dans la pays.
4.2.4.2 2.4.2 La
croissance et le développement
François PEEROUX, la croissance est l'augmentation
soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d'un indicateur de
dimension, pour une nation, le produit global net en termes réel, par
contre le développement est la combinaison des chargements mentaux et
sociaux qui rendent la nation apte à faire croitre, cumulativement et
durablement son produit réel global.26(*)
Même si le développement implique la croissance,
il ne peut se réduire à celle-ci, la croissance
représente, certes la dimension prédominante du concept, mais ne
suffit pas rendre compte des autres dimensions que le développement
incorpore.
La croissance d'ordre quantitatif se traduit par
l'augmentation des grandeurs économiques, considérée comme
l'une de multiples composantes du phénomène complexe qui est le
développement, c'est-à-dire même si la croissance demeure
le préalable à tout effort de développement dans la mesure
ou toute a amélioration du niveau de vie ou bien être social,
passé nécessairement par l'augmentation des quantités
produites et l'accroissement correspondant des revenus, il s'avère
important de préciser que le développement est bien plus que la
croissance 27(*).
Toutefois, par développement, nous devons nous attendre
d'une transformation des structures démographiques, économique et
sociales qui généralement accompagnait la croissance28(*)
On insiste ici sur l'aspect structurel (industrialisation,
urbanisation, salarisation, institutionnalisation,...) et qualitatif
(transformation des mentalités, des comportements,...) de
l'évolution à long terme, la croissance économique n'est
pas à confondre avec le développement, c'est pourquoi nous
qualifions la croissance comme un phénomène quantitatif et le
développement comme phénomène qualitatif.
Il faut cependant remarquer qu'à long terme une
croissance de la production implique des modifications structurelles
démographiques, techniques, sectorielles etc. Ainsi ce concept de
développement met l'accent sur la satisfaction des biens fondamentaux,
la réduction des inégalités, du chômage et de la
pauvreté, le développement ne peut s'opérer sans la
croissance, mais une croissance sans développement est envisageable pour
certains.
4.2.4.3 2.4.3 La
Dimension socioculturelle au développement
Le développement devient la projection du désir
et du délire du tiers monde toutes les constructions possibles
pourraient s'abriter désormais derrière ce concepts qui vide de
son contenu réel, rationnel, perd toute rigueur et devient le point de
mirage de toutes les aspirations 29(*)
Il sied de noter que la croissance est un processus
fondamental des économies contemporaines, liée à la
révolution industrielle et à la notion de progrès. Ainsi,
le concept de développement, en intégrant le social et l'humain,
subit une véritable révolution sémantique, au
développement, au développement tout court confirme dans le
contenu schématique exclusivement économique qui le simple fait
totalement la dimension économique des projets.
Elle transforme la vie des populations en
général, elle permet d'accroitre le revenu des indicateurs grave
aux investissements produits, au développement du commerce
extérieur, intérieur à la multiplicité des firmes
locales qui à leur tour absorbe le chômage, Cela va
améliorer les conditions de vie de la population et reculer la
misère.
Par ailleurs, ces qualificatifs accolés au terme de
développement traduisent la nécessite d'intègre de
nouvelles dimension dans le processus de développement qui doit
bénéficier à l'ensemble des populations.
4.2.4.4 2.4.4 La
dimension politique du développement
Partant de l'idée que le développement implique
une politique systématique et cohérente de l'état dans le
but de promouvoir le progrès économique et social d'un peuple, il
devient clair que le contenu ne souriait, en aucun cas, se dissocier des
impôts produits par l'intervention des pouvoir public dans le processus
de développement.30(*)
Selon l'économiste américain Walt ROSTOW dit
ceci : toute dimension économique passe dans cinq étape
développement dont à savoir :
o La société traditionnelle : qui est selon
lui une société agricole stationnaire où la terre
constitue l'unique source de richesse. Les perspectives de changement sont
inexistantes et la structure sociale est très
hiérarchisées ;
o La phase des conditions préalables au
décollage : ici l'agriculture réalise des surplus à
l'aide de techniques nouvelles, ayant pour conséquence, l'ouverture des
marchés mondiaux, la transformation des mentalités des hommes
qui, désormais sont animés de l'esprit d'entreprise et
l'investissement augmente notamment dans le transport ;
o Décollage ou take off : qui est la phase au
cours de laquelle la société obtient les moyens de
réaliser une croissance régulière qui crée un
processus cumulatif, auto-entretenu ;
o Le passage à la maturité : le
progrès techniques et la mondialisation se diffuse à
l'économie dans son ensemble ainsi de nouvelles industries se
substituent aux américain aux anciennes et les productions se
diversifient ;
o L'ère de la consommation de masse : où
les besoins essentiels sont satisfaits et on assiste au développement du
secteur tertiaire en même qu'une remise en cause de la croissance.
Outre les difficultés statistiques dans les
repérages des différentes phases, ce modèle souligne le
fait que pour combler leur retard, les pays industrialisent, une thèse
fortement critiquée par de nombreux spécialistes du
développement pour qui, selon leur culture et leur histoire ; tout
pays en voie de développement doit créer son propre modèle
de développement et non copier les vieille nations
industrielles31(*)
La dimension politique du développement se focalise
autour rôle de l'état au sein du processus de
développement. La contre révolution néoclassique...
implicitement reconnaitre la dimension politique du développement
notamment à travers la bonne gouvernance c'est-à-dire au total,
le développement se présente comme un phénomène
complexe et multidimensionnel
4.2.4.5 2.4.5 Le
Développement Humain
Le programme des nations unies pour le
développement(PNUD) propose la nation de développement humain, le
développement humain ne se limite pas, loin s'en fait à la
progression ou recule du revenu national.32(*)
Il a pour objectif de créer un environnement dans
lequel les individus puissent développer pleinement leur potentiel et
mener une vie productive et créative, en accord avec leurs besoins et
leurs intérêts.
Le rôle du développement consiste donc à
élargir les possibilités, pour chacun de choisir la vie qui lui
convient.
Le développement humain traduit une
préoccupation ancienne : placer l'homme au centre du processus de
développement, c'est-à-dire le rappel prend toute sa valeur dans
un contexte néolibéral ou le respect des grands équilibres
macro-économique reste la priorité pour les pays.
4.2.4.6 2.4.6 Le
Développement Durable/Soutenable
Le développement durable répond aux attentes des
générations présentes à satisfaire leurs besoins
sans compromettre la capacité des générations futures de
répondre aux leurs postules qu'un développements à long
terme n(est viable qu'en conciliant trois aspects :
§ Le respect de l'environnement ;
§ L'équité sociale;
§ La rentabilité économique.
Concrètement, le développement durablement en
lumière la nécessite de maintenir ou améliorer la
qualité de l'environnement naturel, d'assurer la pérennité
des ressources, de réduite les différences de niveaux de vie des
population, de favoriser l'autosuffisance des communauté, et de
permettre le transfert des connaissance ou des richesses y compris les richesse
naturelles d'une génération à l'autre, dont la soutenable
du développement va sur certains aspects de notre modèle
économique de croissance ; voire même de notre mode de vie du
pays.33(*)
5 CHAPITRE
II. PRESENTATION DE L'ENVIRONNEMENT MACROECONOMIQUE DE LA RDC.
Depuis le milieu des années 1980, l'économie
congolaise connait des très difficultés depuis lors la situation
économique de la RDC n'a cessé de s'aggraver malgré
quelques tentative visant à stabiliser et à atténuer les
difficultés auxquelles elle est confrontée.
S'agissant du développement humain, il ya lieu de noter
que la RDC et classé au numéro 187éme place
avec un indice de développement humain de 0,304 sur un total de 187 pays
pris pour échantillon.
Apres une période de relatif dynamique
économique, la RDC a subi une sévère dépression
entre le milieu des années 1980 et le milieu des années 2000
liée à une gestion manquée par la corruption, puis aux
guerres civiles qui ont ravagé le pays.
L'activité économique de la RDC s'est
caractérisée, en 2012 par la poursuite de son expansion dans un
contexte d'austérité et de reprise hésitante de
l'économie mondiale. Le taux de croissance du PIB initialement
estimé à 6,7%, s »est confirmé à 7,2%
venant de 6,9% l'année précédente, traduit par le niveau
de croissance, nettement supérieur à la moyenne africaine de
4,8%, traduit la vigueur de l'activité économique. Cette
croissance a été impulsée par la performance du secteur
minier, du commerce de gros et de détail, des bâtiments et travaux
public et de l'agriculture.
L'analyse de la qualité de cette croissance met en
lumière sa nature faiblement inclusive, en effet elle reste
caractérisée notamment par sa faible capacité à
générer des emplois et à distribuer des revenus
susceptibles de réduire sensiblement la pauvreté, le PIB habitant
a atteint 250,6USD en valeur nominale en 2012 contre 225,2USD et 190,6 USD
respectivement en 2011 et 2010.
Sur les marche des biens et services, il s'est observé
un ralentissement notable du rythme de formation des prix intérieur, en
dépit de pressions inflationnistes survenues au premier moins de
l'année lors de l'instauration de la taxe sur la valeur ajoutée
(TVA). En effet, les prix intérieurs ont connu une progression de 2,72%
sur l'ensemble d'un territoire national face à un niveau
programmé de 9,90% retenu dans le cadre du programme économique
de la RDC.
Comparativement, le taux d'inflation est sensiblement faible
en comparaison à ceux observés dans la plupart des pays de
l'Afrique subsaharienne
5.1 SECTION 1. L'ECONOMIE CONGOLAISE
Dans cette partie, nous allons présenter le tableau
synthétique de la situation économique de 2008 à 2012.
Pour ce faire, nous avons choisi quelques variables clés susceptibles de
refléter en grande ligne, le comportement de l'activité
économique de la RDC durant ce période.
5.1.1 §1. MONNAIE & INFLATION
1. Monnaie
L'économie congolaise est fortement Dola risée,
l'évolution du taux de change entre le dollar américain et le
franc congolais influence en grande partie d'activité économique
congolaise du pays, en transmettant des signaux crédible sur l'Etat de
santé économique. Ainsi, l'un des objectifs de la politique
monétaire est de maintenir la stabilité de la monnaie nationale,
tout en palliant les dépeçages budgétaires, dans le but de
maintenir la stabilité macroéconomique.
a. Les billets à valeur faciale
adaptée.
L'économie congolaise attende une position de d'autres
institution pour élever la présomption de la dite
activité, la BCC sous la jouissante de l'autorité du pays, ont
placé sur l'ensemble de territoire nationale les billets en faciale pour
faire face au différente problème qui se pose sur le commerce,
mais aujourd'hui ces billet se comporte bien.
Plusieurs facteurs, que n'avaient pas pris en compte les
reformes monétaire de la décennie 90, sont à la base du
succès remarquable de cette action, il s'agit principalement
de :
Ø La planification rigoureuse de l'opération,
c'est sont de expérience de la BCC pour accumulée au fil des
tempos en matière monétaire le projet qui
sélectionné la séquence des actions ;
Ø La discipline dans la conduite des politiques
macroéconomiques principalement budgétaire et monétaires,
pour faciliter une bonne cohérerions entre les autorités
monétaires et politico-administrative de ce pays, une cadre de renforce
la vision de l'Etat en bonne fonctionnement du cadre macroéconomique.
Ø La sensibilisation très fort ce fait dans
l'ensemble de la population, pour la passation de ces billets a faciale pour la
valeur de notre économie, dans l'adaptation de l'éventail
fiduciaire et d'autre part, les mesures d'encadrement par les entreprise public
et prive.
Il est important de souligner que l'une des grandes
leçons de réforme : les billets à valeur faciales
adaptée ne sont pas la cause de l'inflation lorsque leur mise en
circulation fait l'objet d'un encadrement idoine, ceci est confirmé par
l'expérience et l'histoire monétaire de plusieurs autres pays
développe comme en développement où ces billets circulent
dans un contexte de stabilité des prix.
b. Politique monétaire
L'année 2012 a globalement été sereine
sur le plan de la conduite de la politique monétaire. En effet,
malgré les incertitudes qui ont affecté l'environnement
économique et financier international, l'objectif principal de la
politique monétaire à savoir la stabilité du niveau
général des prix a été atteinte.
En réaction aux perspectives favorables concernant
l'évolution du cadre macroéconomique, depuis 2008, le cadre
opérationnel de la politique monétaire, un assouplissement est
revu à la reprise des activités et aux éléments
sont place dans cette partie à savoir :
Ø Les taux d'intérêt sur le refinancement
(taux des prêts à court terme qui est aussi le taux directeur de
la banque et le taux des facilites permanentes), ainsi, après une
trentaine d'années marquées particulièrement par des pics,
le taux directeur est revenu au même niveau où il se situait entre
1967 et 1976, soit 4,0%, alors qu'il était de 20,0% à fin
décembre 2011.
Ø Les billets de trésorerie émis par voie
d'adjudication à l'américain ; contribue à un
élargissement de la liquidité de l'ordre de 20,0 milliard de CDF,
contre une ponction cible de 32,8 milliard CDF ;
Ø Le coefficient de la réserve obligatoire
applique sur les dépôts de la clientèle des banques, toutes
monnaies confondues.
v La Masse Monétaire
Pour atteindre ses objectifs, la masse monétaires
représentent en ce moment par les deux années un taux d'inflation
de 0,1% c'est-à-dire 21,6% de 2011 et 21,0% de 2012, un accroissement
plus forts de la liquidité, cette baisse s'explique essentiellement par
le crédit net à l'Etat, mais une projection revient pour
l'année 2013 et 2014 en tenant compte du PIB réel dont 16,1% de
2013 et 16,0% EN 2014.
A ce point, la BCC va faire poursuivi son orientation de la
politique monétaires vue la nécessite qui
représenté la stabilité macroéconomique sur le
niveau de prix et de stimuler le crédit et de soutenir l'activité
économique.
v Marché en Banque et Interbancaire
Le montant cumule du financement s'est chiffre à 7,8
milliard de CDF en 2012 contre 503,8 milliard une année plus tôt,
soit une régression de 85,7%, cette baisse s'explique par aucun
opération n'a été effectuée au guichet des
prêt à court terme au cours de l'année, c'est-à-dire
le guichet permanentes n'est représenté pas la sur
liquidité des banques.
Pour les interbancaires, le volume cumulé des
transactions effectuées sur le marché s'est élève
à 760,6 milliard de CDF en 2012 contre 840,6 milliards une année
plus tôt. Ce recul est dû aux importants assèchements de la
liquidité bancaire, en effet le marché interbancaire a
enregistré une baisse des transactions au cours des moins de mai
à juillet 2012.
v La Base Monétaire
A la fin de l'année 2012, la base monétaire, au
sens large s'est située à 857,1 milliard de CDF contre 809,0
milliards une année auparavant, soit une hausse de 5,9%. Les
réalisations de la base monétaires se sont situées en deca
de la programmation, fixée à 916,7 milliards de CDF.
S'agissant particulièrement de l'offre de monnaie, le
stock monétaires et la base monétaires au sens strict se sont
accrus de façon modérée, respectivement de 12,3% de 2008,
soit 6,3% de 2009, contre des objectifs spécifique de 18,8% à
2010, 14,6% de 2011 et 17,6% de 201234(*)
v Marché Monétaires
Dans l'ensemble, le volume des transactions dans les trois
compartiments du marché à savoir les marchés en banques
l'interbancaire et des billets de trésorerie, a été en
deca de l'année 2011, en effet, les mouvements effectués sur ces
guichets ont perdu 17,4 points de %, passant de 45,3% à 27,9% du PIB. Le
volume tendent les opérations sur ces guichet a diminué de 25,1%,
passant d'une année à l'autre de 6. 392,5 milliards de CDF
à 4.789,4 milliards.
Graphique 1. Volume des Transactions sur les
Marchés Monétaires.
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012.
2. INFLATION
Alimentée par la faible politique monétaires et
fiscale la tension inflationniste observée au début
d'année procède de mauvaise application de la reforme consacrant
la TVA en remplaçant de l'ICA, le taux d'inflation atteint 23000% en
1993 et en 2001, il est toujours de 511% suite à cette phase
d'hyperinflation, l'économie de la RDC est devenue (dol arisée)
et l'intermédiation bancaire s'est effrontée. La FMI a
évalué qu'en 1995, soit 7,5% des devises circulant dans le
système étaient des dollars américains et en 2004, les
dépôts en USD représentaient 85% de M2 atteint 93% en avril
200535(*)
GRAPHIQUE N°2 Evolution des taux d'inflation
mensuel, annualise et en glissement annuel.
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012.
GRAPHIQUE N°3 Evolution des taux d'inflation
mensuel, annualise et en glissement annuel.
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012
a. l'inflation calculée par l'institut national
des statistiques (INS)
L'inflation enregistrée en 2012 sur l'étude du
territoire nationale s'est située à 2,72% contre 10,35%
l'année précédente, le taux d'inflation réalise en
2012 est à plus de 7 points de pourcentage, inférieur à
celui de l'objectif fixé à 9,90%.
b. Inflation calculée par la BCC
La BCC renseigne une inflation de moindre ampleur
comparativement à celle de 2011, soit une baisse de 9,76 points de
pourcentage, en effet, le rythme de formation des prix intérieur s'est
établi à 5,67% contre 15,43% de l'année antérieur,
ainsi la variation des prix de l'année sous analyse se situe en deca de
l'objectif et dans l'intervalle de l'inflation ouverte ( inflation
ouverte : 5 à 10% de hausse avec des pointes à 20%, aussi la
moyenne mensuelle de variation des prix oscille autour de 0,12%
GRAPHIQUE N°4 Evolution du Taux D'inflation en
%
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012
La BCC a réussi à diminuer l'inflation de 554%
en 2000 à 9,9% en 2007. Le cadre macroéconomique a subi de fortes
pressions en 2009 en raison de la récession économique mondiale.
Le taux se situé à 53,4% et lorsque le taux d'inflation
dépasse 50%, on parle de l'hyperinflation. Ce phénomène
reflet une situation économique extrêmes
détériorée.
Ces pressions se sont manifestées par l'augmentation du
déficit commercial, la baisse des recettes publiques et le recours
à la BCC pour financier le déficit budgétaire, le
gouvernement a mène une politique budgétaire restrictive pour
restaurer la stabilité macroéconomique, les prévisions qui
fait aujourd'hui une poursuite de 18,2% de l'année 2012 comme une baisse
du taux d'inflation. Cependant il ya des facteurs qui peuvent mettre en danger
les résultats attendus de l'année 2013.
Le franc congolais est toujours très faible depuis
qu'on n'a lancé les billets à valeur faciale sur le taux de
change avec les dollars. Toute augmentation des dépenses publiques
financée par la devise nationale en faveurs d'USD, causant de
déficit de taux, une dépréciation du franc congolais
n'alimenté pas l'inflation à détériore dans le
contrôle de change.
Le contrôle de la réserve réelle de
monnaie en circulation est encore difficile car presque 70% de la
réserve du franc qui circule à l'extérieur du
système n'est pas fragile à l'acceptation de la BCC, en grande
partie de prêt de dettes qui flottant le remboursement, donc le
mécanisme de transmission de la politique monétaires est toujours
basique affaiblisse l'efficacité de la politique monétaire pour
contrôler l'inflation.
Mais la BCC doit se vise à travers sur ses
activités du marches de change pour la volatilité et à la
réalisation de l'objectif et de mission comme un réserves
officielles de la république.
3. EMPLOIS & SALAIRE
La RDC est en pleine phase de reconstruction de son
économie, la quelle économie, la quelle passe par la restauration
de grands équilibre économiques sur différents
marchés, équilibres rompus depuis plusieurs années. Le
rétablissement des équilibres macroéconomiques
s'avère être le seul cadre susceptibles de permettre à ce
pays que d'aucuns qualifient de « scandale
géologique » de faire face courageusement au déficit de
réduction de la pauvreté.
a. EMPLOI
Le nombre d'emploi crée en 2012 se chiffre à
103.000 contre 65.000 en 2011, soit une augmentation de 58,5% cependant, la
population active s'est accrue de 4,5milliard à 44,3 million d'une
année à l'autre. Ainsi, pour 2012 le flux de demandeur d'emploi
est estimé à 1,8 million d'unîtes, soit un taux de
chômage de 53,2%.
Ø Au niveau d'administration publique.
L'administration publique congolais compte en 2012 un effectif
en augmentation de 2,6%, pour chaque secteur, les nombres est repartie comment
suit :
Ø Secteur prive : 19,5 millions d'unîtes
contre 19,4 millions en 2011, soit une faible augmentation de 0,4%, soit nombre
de nouveaux travailleur dans la sécurité sociale de 8,1% de 326,1
milers d'unîtes à 352,5 milliers d'une année à
l'autres et soit le non affiches des 19.126,6 unîtes en 22012, contre
19.083,4 unité une année auparavant, sur total de 19,5 millions
des travailleurs des secteurs privé, 352,5 milliers (à peine
1,8%) soit sous la couverture de L'INSS.
b. SALAIRE
Soit 9,3% de 2012, et 8,5% de 2011, 8,4% de 2010, soit 5,4% de
2009, 6,4% de 2008. Ce chiffre témoigne un nominal minimum légal
équivalent à 100%, c'est-à-dire celui du salaire
accusé un recul de point qu'une nécessite pas l'augmentation, une
consommation très faible à jamais sur le salaire.
Ø Sur le secteur privé et administration
publique.
Soit 2,6% en 2012, et 9,7% de 2011, après les
ralentissements des activités économique, chaque secteurs s'est
retrouves faible à la consommation.
Soit 100 points en 2012 contre 94,4 points en 2011, soit une
progression de 5,9% de qui recul de d'autre année antérieur au
niveau de l'administration publique, résultats toujours faible
jamais.
Graphique N°5 Evolution de la consommation
privée et du chômage en %
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012
Ce graphique nous montre la position simple que la RDC, s'est
cherché. La lutte n'est cependant demeurée qu'un simple slogan.
Sur terrain, pas de progrès notables en cette matière. En RDC la
pauvreté gagne de plus en plus sur terrain sans action et sans qu'une
action de grande envergure ne freine cette progression.
Le taux de chômage s'est chiffrée à 60,8%
contre 53,2% en 2008, cette situation conjugue à l'inflation des prix
des denrées alimentaires ; conduit à une forte
détérioration du niveau de vie de la population, plusieurs
entreprise publiques y compris les règles financières, ont connu
des retards de paiement des salaires et ont été perturbée
par des grèves en 2009 et 2010.
Dans l'une ou l'autre stratégie à mettre en
place pour résoudre le problème du chômage de masse en RDC,
l'élément pivot doit être l'analyse du marché du
travail, ainsi que de sa dynamique dans ce pays, c'est-à-dire son
évolution dans le temps.
Ce n'est que finalement cette analyse minutieuse qui pourra
donner à l'autorité les éléments clés sur
lesquels elle peut espérer en fin concevoir et mettre en place une
réelle politique de promotion de l'emploie de ce grands pays.
Une bonne politique d'emploi et qui vise à lutter
conjointement contre la pauvreté, doit nécessairement redoubler
pour mettre en place un cadre incitatif qui permet aux entreprises
d'intégrer dans leur profil d'offre d'emploi les caractérises
spécifiques à ces outsiders d'autre part, les pouvoir publics
doivent concevoir des programmes d'investissement qui génèrent
les emploi de masse, qui vont procurer du travail à une fraction
importante de la population et du travail de longue duré
4. LA PRODUCTION
4.1 Le PIB par croissance du revenu réel par
l'habitant en %.
Soit 6,2% de 2008, 2,8% de 2009, 7,1% de 2010, 6,9% de 2011
et 7,2% de 2012, ce chiffre n'est témoigner pas une bonne croissance de
la relance des activités économique, mais l'activité
économique est restée soutenue par le dynamisme affiché
dans les secteurs des mines, du commerce, de l'agriculture ainsi qu'aux travaux
de bâtiment publics. Du point de vue de l'approche de la demande, cette
croissance est tirée essentiellement par l'absorption.
4.2 Croissance économique, chômage et
IDH.
Soit 3,5% du taux de croissance économique et 7,2% de
taux de chômage exprimé en % pendant les cinq années
36(*)
4.3 Contribution de principales branches
d'activités à la croissance du PIB en (%).
Ø Transport, entreposage et communication
0,34% ;
Ø Commerce en gros et de détail 1,59% ;
Ø Construction 1,16% ;
Ø Activités de fabrication 0,07% ;
Ø Activités extraverties et métallurgies
2,30% ;
Ø Agriculture, chasse, sylviculture et pèche
1,04% ;
Ø Droits et taxes à l'importation
0,19% ;
Ø Production et distribution
d'électricité de gaz et eau -0,01% ;
Ø Administration publique et défense,
sécurité sociale, obligation 0,03%
Tableau 1. Taux de croissance réel de
différents secteurs et de leurs composantes en %.
Secteurs d'activités
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
I. secteur des biens
1. Agriculture, sylviculture, élevage, pèche et
chasse
2. activités de fabrication et métallurgiques;
3. activités de fabrication ;
4. construction
5. production et distribution d'électricité, de gaz
et d'eau ;
II. secteur des services ;
1. commerce de gros et de détail.
2. transport, entreposage et communications.
3. service marchands.
4. administration publique et défense,
sécurité sociale obligatoire
|
4,7
3,0
1,4
8,4
2,7
3,8
-4,9
12,3
9,8
4,8
4,2
|
3,5
3,0
2,5
1,4
9,1
-1,6
2,4
4,3
2,9
3,5
-23,0
|
8,2
3,0
24,5
1,6
9,4
0,8
4,1
4,4
5,0
3,1
0,1
|
6,9
3,0
5,6
1,8
0,3
-2,7
5,5
5,3
5,7
6,9
0,3
0,8
|
7,1
3,0
13,7
2,0
13,0
-1,3
7,2
7,8
5,8
7,2
2,6
0,3
|
5. droits et taxes à l'importation
|
5,4
|
8,5
|
12,5
|
17,9
|
5,5
|
Produit intérieur brut
|
3,2
|
2,8
|
7,1
|
6,9
|
7,2
|
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012
Ce chiffre témoigne une décroissance de la part
de chaque produit, mais la croissance a également
bénéficie de l'apport de commerce de gros et de détail
pour alimente ces branches de taux dans chaque secteur d'activités.
TABLEAU N°2. Contribution de différent
secteur au produit intérieur brut en % aux prix de 2000.
(PIB).
Secteurs d'activités
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
1. agriculture, sylviculture, élevage, pèche et
chasse
|
18,8
|
40,6
|
15,8
|
15,7
|
14,5
|
2. industrie
|
30,0
|
39,8
|
57,9
|
49,0
|
49,1
|
a. activités extractives et métallurgiques
|
23,7
|
12,1
|
45,9
|
35,3
|
32,0
|
b. activités de fabrication
|
1,8
|
2,0
|
0,9
|
1,0
|
1,0
|
c. production et distribution d'électricité, de gaz
et d'eau
|
-0,6
|
26,2
|
0,1
|
0,2
|
0,1
|
d. construction
|
5,0
|
26,2
|
1,9
|
12,9
|
16,2
|
3. service
|
53,5
|
30,6
|
19,9
|
26,6
|
33,2
|
a. commerce de gros et détail
|
39,5
|
32,2
|
13,1
|
15,9
|
22,2
|
b. transport, entreposage et communications
|
8,0
|
6,3
|
4,2
|
4,8
|
4,7
|
c. service marchand (1)
|
4,7
|
7,6
|
2,6
|
5,8
|
5,8
|
-Dont service financier
|
0,3
|
4,2
|
0,1
|
-4,2
|
0,0
|
4. administration publique et défense,
sécurité sociale, obligatoire
|
1,3
|
-15,5
|
0,0
|
0,1
|
0,4
|
S/Total valeurs ajoutée aux couts des facteurs
|
102,4
|
111,0
|
93,5
|
91,3
|
96,8
|
Production intérieur et imputée des services
bancaires
|
-8,9
|
-19,7
|
1,2
|
0,5
|
0,5
|
Droits et taxes à l'importation
|
6,6
|
8,7
|
5,3
|
8,2
|
2,7
|
Produit intérieur brut au prix du marché
|
100,0
|
100,0
|
100,0
|
100,0
|
100,0
|
Source : BCC Rapport annuelle 2008-2012.
Par contre, les autres branches d'activités ont
enregistré de contribution faible. Il s'agit des services marchand (0,4
point de pourcentage) de transports et communications (0,3 point) et les
industries manufacturières (0,1 point), les contributions des branches
« production et distribution d'électricité, d'eau et
de gaz » et « services non marchand ont été
négative pour la première et nulle pour la seconde.
Ø indices de production des biens de
communication face aux industries.
Les industries des biens de consommation ont affiché un
bon comportement par rapport à l'année précédente.
En effet, son indice de production a connu un accroissement de 1,5% en 2012
contre une contraction de 18,3% en 2011, et d'autre année
antérieur.
Cet accroissement a été essentiellement
impulsé par évolution des industries de fabrication des papiers,
cartions et d'articles en papier et carton 4,0%, de l'édition
l'imprimerie et reproduction 3,5% des produits alimentaires 3,0% ; des
boissons 1,0% de tabacs 1,4% de plastique 1,5%.
GRAPHIQUE N°6. Indice de Production des Biens de
Consommation
Source : BCC Rapport annuelle 2008-2012.
Par contre, les industries de tissu, confection et bonneteries
ainsi que des chaussures et cuirs ont réalisé des croissances
négatives, cette baisse résulte principalement de la concurrence
des produits similaires importes.
Ø Indice de développement humain (IDH)
Le programme des nations unies pour le développement PNUD,
positionne la RDC au bas du classement avec un TDH de 0, 304 contre 0,286
une année plus tôt 37(*)
Ø Pour la mollesse de L'IDH
congolaisest en grande partie justifie par le revenu national brut
(RNB) par habitants qui se chiffre à 319,0$ suivant la partie du pouvoir
d'achat (PPA). Il convient de relever que le niveau minimum correspond à
2.035,0$ PPA pour l'IDH de faible niveau à 1.651,0$ PPA pour l'Afrique
subsaharienne.
Tableau N°3 Synthétique de L'indice de
Développement Humain Selon leur Type de Croissance
Catégorie d'IDH
|
IDH en 2012
|
Indice de santé, taux d'alphab des
adultes
|
lED, DP en % du PIB
|
IDH sur le plan mondial.
|
IDH
|
IDH monétaire
|
sperance de naissance
|
Efts insff pdère % d'efts moins de 5
ans
|
IPP DP la santé % PIB
|
E1.000 personnes
|
D. (DA)
|
P.E (PIB)
|
PPA constant 2005
|
Développement humain très élevé
|
1,565
|
1,927
|
0,1
|
nul
|
1,2
|
1,9
|
0,0
|
1,1
|
3,384
|
Développement humain élevé
|
1,757
|
1,781
|
73,4
|
nul
|
1,6
|
1,3
|
2,7
|
1,7
|
1,579
|
Développement humain moyen
|
1,639
|
1,661
|
9,9
|
2,7
|
2,0
|
2,0
|
2,3
|
2,6
|
1,479
|
Développement humain très faible
|
1,66
|
1,487
|
9,1
|
6,1
|
4,8
|
5,3
|
3,0
|
3,2
|
1,035
|
Afrique subsaharienne
|
1,475
|
1,479
|
4,9
|
1,2
|
1,0
|
3,2
|
0,8
|
4,5
|
1,651
|
RDC
|
130,4
|
140,4
|
8,7
|
4,2
|
3,4
|
5,1
|
6,8
|
4,5
|
19
|
Source : PNUD sur la BCC Rapport annuelle 2012.
Commentaire :
v Indice de santé : bien que la
part en %du PIB des dépenses publiques de la RDC affectées
à la santé est supérieur à la moyenne africaine,
son indice renseignant son état sanitaire reste bas, l'espérance
de vie pour un pour un congolais n'est en moyenne que de 48,7% ans ;
v Indice d'éducation :
malgré la faiblesse des dépenses publiques affectées
à l'éducation qui ne représentent que 2,5% du PIB, la RDC
présente néanmoins un taux d'alphabétisation des adultes
de 66,8%, taux supérieur à celui de l'Afrique subsaharienne
chiffre à 63%ou encore à celui des pays à
développement humain faible situé à 60,8%.
5. développement des compétences techniques
et professionnelles
Le retard économique de la RDC tient en partie à
son faible taux d'accumulation et à la mauvaise gestion du capital
humain à la bancarisation de paie des agents.
Cette situation résulte de la mauvaise organisation de
son système éducatif qui ne répond plus aux
problèmes et biens sociaux économiques du pays.
En général, bien que les indices de la
santé de l'éducation, de l'économie et du
développement on présente une accroissance dans le fonctionnement
de la dite service de l'Etat au projet du gouvernement, mais la
récession du système éducatifs congolais a
évolué au cours de ces décennies vu toute mécanisme
placé par le gouvernement.
6. Dysfonctionnement du monde du travail
Le dysfonctionnement du marché du travail découle
principalement de l'absence d'une structure appropriée, d'organisation
et e gestion du marché du travail. En matière d'embauche des
critères subjectifs ont supplanté aux critères objectifs
comme compétence de la qualification, parmi les plus pertinents de ces
subjectifs, nous notons généralement le clientélisme, la
régionalisation, le militantisme politique,...
5.2 SECTION 2. LA RD CONGO ET SON
INTEGRATION ECONOMIQUE EN AFRIQUE
On peut renchérir qu'un mécanisme
d'intégration est un accord préférentiel entre un groupe
des pays visant à réduire les obstacles aux transactions
économiques et non économiques entre ces pays. Ce
mécanisme peut revêtir des formes aussi diverses que la zone de
libre-échange, l'union douanière, le marché commun et
l'union économique.
La question centrale qui intéresse les
économistes et les comptables est celle de l'impact effectif de
l'intégration, régional sur le bien-être, sur la
modification de la structure tant de consommation que de production des pays
membres ainsi qui les flux d'investissement directs entre ces pays
eux-mêmes et en provenance de l'étranger. Pourquoi un pays
tiendrait-il à être membre dans plusieurs organisations sous
régionales ?
Les raisons les plus immédiates et susceptibles
d'expliquer l'adhésion à une communauté donnée
sont : la proximité géographique, l'indépendance
économique, une culture ou une langue commune, des relations des
coopérations historiques et le partage des ressources communes. A cela,
peuvent s'ajouter des raisons politiques et sécuritaires, plus
subtilement, ce serait aussi une question de positionnement stratégique,
des pays se livreraient ainsi à une certaine
« géométrie variable » en fonction de
circonstances du moment, autrement dit, appartenir à plusieurs
communautés donné la possibilité d'une part de maximiser
le bénéfice découlant du dynamisme de certains groupement
et d'autre part de se désengager éventuellement des organisation
les moins performantes.
L'appartenance à plusieurs communautés n'est pas
sans inconvénients en termes d'efforts et d'argent, les pays membres se
prêtent malgré eux à un nombre croissant
d'obligations ; paiement des cotisations, participation aux
réunions incessantes à divers niveaux, adoption et ratification
des protocoles d'accords, etc. en outre, les pays concernés s'exposent
à la duplication, au chevauchement et à l'incohérence des
programmes sous régionaux ; ce qui est de nature à diminuer
l'efficacité de ces programmes ou à ralentir le processus
même d'intégration économique. A ce sujet, il a
été constaté que, sur une échelle allant de 0
à 1, le non-paiement des cotisations apparait comme le problème
fondamental de la paralysie des communautés, suivi par la faible
exécution des programmes.
La transformation des communautés en unions
douanières constitue une étape intermédiaire vers la
réalisation de l'objectif principal visé par l'union africaine,
à savoir : la création d'une communauté,
économique africaine.
Quelques progrès ont été accomplis en
matière de facilitation et de libéralisation des échanges
notamment au sein de marché commun de l'Afrique oriental et australe
(COMESA), de la libre circulation des personnes au sein de la communauté
économiques des Etats d'Afrique de l'ouest (CEDEAO) et du
développement des infrastructures dans le pays de la communauté
de développement de l'Afrique australe (SADC).
La communauté d'Afrique de l'Est (CAE) s'est
transformée en union douanière en janvier 2005. Le COMESA vient
de lancer son union douanière lors du sommet des chefs d'Etats tenu en
juin 2009 au Zimbabwe, tandis que la SADC met en place son union
douanière en 2011.
Cependant, dans bien des cas, tous les pays n'ont pas abaisse
les tarifs aux niveau envisagés par leur communautés, certains
pays en sont toujours à la mise en oeuvre de réduction tarifaires
qui auraient du être effectuées depuis longtemps38(*) des données plus
récentes confirment que la communautés des Etas
sahélo-sahariens (CEN-SADC), la CEDEAO, le COMESA et SADC sont les
quatre communautés économiques régionales (CER) les plus
performantes en termes d'exportations et d'importations intracommunautaires. De
nombreux obstacles subsistent certes liés aux facteurs tels que des
structures, économiques assez semblables, la faiblesse des
infrastructures l'étroitesse des marchés financiers et des
capitaux, l'incapacité à mettre en oeuvre les protocoles
commerciaux, des systèmes de paiement et d'assurance embryonnaires,
l'inconvertibilité des monnaies39(*)
Généralement de bons comportements en
matière d'objectifs de réduction de l'inflation, des
déficits budgétaire et de l'endettement extérieur, ces
objectifs figurent souvent parmi les critères dits « de
premier rang » d'autres critères « de second
rang » se rapportent notamment au taux de croissance réelle,
au montant de la masse salariale, de l'investissement public et des recettes
fiscales ainsi qu'à la stabilité du taux de change
réel.
Bien qu'il y ait des performances divergentes au niveau des
CER, l'indice d'intégration monétaire et financière s'est
amélioré dans l'ensemble au cours de la période 1994-1999,
couverte par une étude de la commission économique pour l'Afrique
40(*)
5.2.1 1. LA RD CONGO DANS LES MOUVANCES ECONOMIQUE
SOUS-REGIONALES
Des pare sa situation géographique, la RDC est le seul
pays en Afrique qui partage ses frontières avec 9 autres Etats voisin,
singulièrement, cet immense territoire est à la fois un atout au
plan externe.
Comme à tout, la RDC a l'avantage
précisément d'être au coeur de l'Afrique et donc à
la croisée de plusieurs influences et possibilités de rayonnement
vers différentes régions du continent. Ainsi la RDC est
adossée à des mouvances d'échanges extérieurs,
à savoir :
Ø La mouvance de l'Afrique australe dans laquelle
s'insèrent les provinces du Katanga et des deux Kasaï ;
Ø La mouvance de l'outre-mer et de l'Afrique centrale qui
intéressent la capital Kinshasa et les provinces du Bas-Congo et de
l'équateur ;
Ø La mouvance de l'Afrique orientale dans laquelle
s'inscrivent le grand Kivu et la province orientale.
Ces traits géographiques expliquent sans doute que la
RDC puisse appartenir à quatre communautés économiques
régionales, la CEEAC, la CEPGL, la COMESA et la SADC. Des
considérations d'ordre politique et sécuritaire fondement
également l'appartenance initiales de la RDC à la CEPGL et son
récent retour au sein de celle-ci, après une langue
périodes d'inactivité de cette communautés
économique régionale, c'est aussi le cas de l'attachement que la
RDC manifeste à l'égard de la SADC dont l'appui militaire de deux
pays membres le Zimbabwe et la Namibie-a été très
déterminant dans le conflit armé qui l'opposait au Rwanda et
à l'Ouganda, en 1998-199, sur le plan diplomatique, l'Afrique du sud a
pesé de tout son poids pour faire aboutir les processus de prix et de
démocratisation, notamment en organisation sur son sol l'essentiel des
négociations entre les belligérants et en finançant en
partie les élections présidentielle et législatives en
2006.
La RD CONGO a été moins performante en
matière d'intégration économique, au regard de
l'évolution de son indice global d'intégration, ainsi que du rang
qu'elle occupe à cet effet au sein de chacune des CER ou elle est
membres.
La SADC et le COMESA figurent parmi les CER les plus
performances en Afrique, comme déjà indique plus haut. Au sein de
la SADC, l'Afrique du sud s'est arrogé 64% des exportations
intracommunautaire, en 2000 et 2007. Pour ce qui est du COMESA, 81% des
exportations proviennent des pays suivants : Kenya 29%, Libye 15%, Egypte
13%, Zambie 11%, Zimbabwe 8%, et Ouganda 6%.
Certains auteurs ne considèrent que le processus
d'intégrations régionales risque d'être fragilisé,
si les pays membres n'ont pas le même niveau de développement
économique. Par exemple, au sein de la SADC, il ya d'énormes
disparités : « d'un cote le Mozambique, le Malawi et la
Tanzanie font partie des sport pays les plus pauvres du monde ; de
l'autre, l'Ile Maurice et l'Afrique du sud sont en passe d'entrer dans la
catégorie des pays industriels, seule l'Afrique du sud dispose d'un
marché intérieur suffisamment grand et au pouvoir d'achat
suffisamment élevé, pour que les investissements directs dans les
secteurs des biens de consommation et des biens d'investissement y soient
jugés rentables »41(*)
La réussite du processus d'intégration
régionale dépend dans une grande mesure du degré
d'harmonisation des politiques économique des pays membres, notamment en
matière de tarifs, de taux d'inflation, de taux de change, de ratios de
la dette publique, etc. la réalisation de la stabilité
macroéconomique et de la convergence des agrégats
macroéconomique clés est une condition nécessaire pour la
création d'une union monétaire. De toutes les CER auxquelles
appartient la RDC, il n'ya que la SADC et le circulation à terme une
monnaie unique à l'usage de leur Etats pays.
De ce fait, elles ont édicté une série de
critère de convergence macroéconomique devant être remplis
préalablement à la création de leurs zones
monétaires respectives, par contre, au sein de la CEEAC, hormis la RDC
et Sao-tomé et principe les autres pays membres font partie
déjà de la communauté économique et
monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC). Néanmoins, ils sont tous
soumis au respect des critères de convergence macroéconomique
applicables dans le cadre du programme de coopération monétaire
en Afrique (PCMA).
2. vers quelle stratégie d'intégration
régionale en RDC ?
D'après ces propositions, la RDC ne devrait appartenir
qu'à la CEEAC en vertu, visiblement, du critère
géographique, est- ce suffisant ?
La question ainsi posée ne manque pas
d'intérêt, comme l'atteste ce point de vue du gouverneur de la
BCC ; « il faudrait que nous poussions choisir à quelle
Afrique, nous voulons appartenir, notamment pour réaliser les objectifs
d'union monétaire et douanière posés par l'union
africaine, en nous appuyant sur notre situation géographique au centre
du continent... il faut donc choisir entre une appartenance pleine à la
CEEAC ou la SADC » 42(*)
L'intégration monétaire est un puissant facteur
de soutien des échanger commerciaux pour autant que l'usage d'une
monnaie commune comporte des avantages en termes de réduction des couts
de transaction et de discipline collective en matière de gestion
monétaire et budgétaire. Cependant, outre la perte de sa
souveraineté, lors de l'abandon de sa monnaie, « un pays
renonce aussi à un instrument de sa politique économique,
c'est-à-dire que ce pays perd sa capacité à conduire une
politique monétaire nationale » 43(*)
D'après la théorie des zones monétaires
optimales, ces couts peuvent être minimisés si l'économie
jouit d'une certaine flexibilité lui permettant de réagir
à des chocs asymétriques par le biais notamment de la
mobilité du facteur travail, de l'ajustement des salaires et des prix
ainsi que des transferts fiscaux. Cependant, une telle
éventualité dépend du degré de similarité
entre les structures de production et d'exportation d'un pays et celles de ses
partenaires dans l'union monétaire.
D'après l'ex-gouverneur de la BCC Masangu Mulongo JC
« A long terme, le Congo en toute objectivité, devrait
être l'Etat moteur de la zone Afrique centrale, par ailleurs
déjà homogène d'un point de vue monétaire. En
revanche, ses intérêt à court terme le poussent davantage
vers les pays de la SADC, plus dynamique d'un point de vue économique...
il est tout à fait envisageable pour le Congo de continuer pour un temps
de s'arrimer au dynamisme de l'Afrique australe... avant de rejoindre
pleinement l'Afrique centrale 44(*)
C'est bien là une position qui ne tranche pas
clairement sur la question du choix unique qu'exige l'union africaine de ses
Etats membres, le maintien de la CEEAC dans la course ne serait justifié
que par le fait que c'est vers elle que nous portent naturellement des
critères linguistiques, culturels et géographiques.
Nous estimons que l'appartenance à la zone SADC
plutôt qu'à la CEEAC peut être réellement
bénéfique à la RDC du fait de la présence, d'une
part, de nombreux autres pays qui ne sont dotés de ressources
minières ( et donc présentant une certaine similarité de
réaction aux chocs exogènes comme celui de la récente
crise financière internationale donc la RDC présente dans son
sein de ce jour une bonne gestion dans les ressources de l'économie
diverse, et dotée d'une part, la présence de l'Afrique du sud qui
est dotée d'une économie plus diversifiée que celle de la
RDC. Ce qui présente des possibilités de complémentaire
pouvant attirer des investissements directs étrangers en RDC.
Les investissements sud-africaines tels
qu'Anglo-américain, de Beers, stanbic Bank,Engen, Vodacom y sont des
« précurseurs très actifs » et susceptibles
de servir d'exemples à biens d'autres, en fin, l'appartenance à
la SADC offre surement un vaste marché potentiel pour l'exportation, des
économies d'échelle, un marché qui pourrait
s'étendre bien au-delà de l'Afrique australe, car la RDC avec son
commerce extérieur et intérieur fera face au défi dans la
grand région centrale de l'Afrique.
6 CHAPITRE
III. LE COMMERCE EXTERIEUR ET LE DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DE LA RDC
La RDC a pour capital Kinshasa, elle est le troisième
du continent après le soudan et l'Algérie, en ce qui concerne sa
grandeur, il s'étend sur 2.345.095 km2, il s'ouvre sur l'atlantique
à étroite fenêtre qui coïncide avec les embouchures du
fleuve du Congo , elle revanche 9.165 km2 de frontière qui le
sépare du nord-est du soudan, à l'est de l'Ouganda du Congo, du
Burundi et de la Tanzanie au nord-est de la république du Congo, au nord
de la république centrafricaine, au sud de la Zambie, et au sud-est de
l'Angola.
Vu sa capacité interne et externe, la RDC
présente sur la scène internationale les produits agricole et
minière de la manière suivante :
1. Or ; 2. Diamant ; 3. Cuivre,
cobalt, Zinc ; 4. Cassitérite, wolfram, Colomb-tantalite ;
5. Charbon, 6. Manganèse ; 7. Chemin de fer ; 8. Fibre ;
9. Copal ; 10. Herveas ; 11. Tabac ; 12. Pèche ; 13.
Élevage ; 14. Bois ; 15. Coton ; 16. The ; 17.
Palmeraies ; 18. Café-arabica ; 19.
café-robusta ; 20. Cacao.
Dans ce chapitre, nous allons chercher à évaluer
les possibilités extérieures ouvertes à la RDC en
examinant le comportement des exportations et des importations congolaise dans
les passé récent. L'analyse repose essentiellement sur des
chiffres provenant de la banque centrale du Congo. Et encore sur les chiffres
des paiements de différentes taxes et impôts frappé sur le
commerce extérieur. Le chapitre se divise en trois sections ;
· La première porte sur une description du
commerce extérieur de la RDC et son analyse ;
· La deuxième seconde porte sur les effets pervers
du commerce extérieur de la RDC ;
· La troisièmes portera sur les pistes des
redressements du commerce extérieurs de la RDC avec le lancement de
billets en faciale.
6.1 SECTION 1. LEC COMMERCE EXTERIEUR DE
LA RDC
6.1.1 § 1. LES EXPORTATIONS
Les exportations congolaises se distinguent de celles de la
plupart des pays moins avancés en ce qu'elles sont diversifiées
tant bien en matières premières qu'en produits semi-finis, cet
avantage met la RDC à l'abri de banques variations des recettes propres
à un seul produit. Aussi, bien que les cours sur les marchés
mondiaux restent fluctuants, des recettes obtenues apparaissent-elles
relativement plus stables que les pays mono-exportations. En
conséquence, la réalisation des projets d'investissements y
est-elle plus aisée théoriquement que s'autre régions en
voie de développement.
Tableau N°4 Structure des exportations (En
millions d'USD)
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
valeurs
|
%
|
valeurs
|
%
|
Valeurs
|
%
|
valeurs
|
%
|
valeurs
|
%
|
I. Produit miniers et hydrocarbure
|
6623,9
|
96,4
|
4240,1
|
97,0
|
8335,2
|
98,3
|
8583093,4
|
98,6
|
7746115,1
|
98,7
|
produits GECAMINE
|
211,9
|
3,1
|
112,6
|
2,6
|
191,4
|
2,3
|
3772693,0
|
43,3
|
3989904,0
|
50,9
|
Autres sociétés
|
4958,3
|
96,4
|
4240,1
|
0,3
|
77,7
|
7171,0
|
84,6
|
339522,4
|
2338456,0
|
29,8
|
Or
|
6,9
|
72,2
|
395,7
|
11,1
|
5,9
|
0,1
|
9225,6
|
0,1
|
93865,1
|
1,2
|
Diamants
|
12,8
|
0,1
|
11,5
|
|
18,3
|
7,3
|
335241,2
|
1,1
|
269742,1
|
11,1
|
Pétrole brut
|
772,2
|
2,6
|
77,3
|
1,8
|
656,3
|
7,7
|
903940,1
|
3,8
|
870129,1
|
1,1
|
II. Produit Agricole
|
179,4
|
11,2
|
486,5
|
1,8
|
111,0
|
1,3
|
97256,4
|
10,4
|
82972,4
|
0,2
|
Café
|
89,0
|
2,6
|
77,3
|
0,9
|
46,1
|
0,6
|
28885,6
|
1,1
|
16667,1
|
0,1
|
Caoutchouc
|
16,3
|
1,3
|
37,3
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
8251,0
|
0,3
|
4799,4
|
0,8
|
Bois
|
73,0
|
1,3
|
0,0
|
0,4
|
13,4
|
0,8
|
59960,0
|
0,1
|
61458,4
|
0,0
|
Autres
|
0,2
|
0,2
|
15,7
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
159,0
|
0,7
|
47,4
|
0,2
|
III. Produits industriels énergétique
|
67,5
|
0,2
|
1,1
|
1,2
|
31,4
|
0,4
|
28499,0
|
0,0
|
16904,1
|
0,1
|
Ciment
|
12,3
|
1,0
|
53,7
|
0,4
|
13,4
|
0,2
|
11627,1
|
0,3
|
7553,6
|
0,1
|
Produits
chimiques
|
0,8
|
0,2
|
15,7
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
-
|
0,1
|
-
|
-
|
Electricité
|
31,0
|
0,0
|
0,8
|
0,6
|
18,4
|
0,2
|
16871,1
|
0,2
|
4184,2
|
01
|
Autres
|
23,3
|
0,3
|
25,3
|
0,3
|
0,0
|
0,0
|
-
|
-
|
5166,3
|
0,1
|
Total
|
6869,8
|
100
|
4371,0
|
100
|
8477,8
|
100
|
8708848,8
|
100
|
7845991,6
|
100
|
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012.
Nous constatons que les recettes d'exportations
minières sont passés de 6.623,9 millions d'USD en 2008 à
4.240,1 en 2009, soit une baisse de 2383,8 millions d'USD soit 23,8% qui
résulté une baisse de ce deux années 2008 et 2009, ces
baisse nous avons vu sur le mouvement de l'année sur toute les produits
d'hydrocarbure et minières, car cette enregistrement dans le centres du
cuivre du cobalt et du Zinc des sociétés partenaires à la
GECAMINES. En suite 8.583 093,4 millions de CDF de 2011, contre un recul de
8.335,2 de 2010 et de 7.746.115,1 de 2012, qui représente dans
l'ensemble des opérations de ce cinq un pourcentage atteignant de 97,0
de 2012, soit une baisse contractées dans OR, DIAMANT et de produits
GECAMINES par rapport aux autres produits.
Cette évolution s'explique par la baisse de cours
observée sur le marché international suite aux effets de la crise
financière internationale qui continué jusqu'à ce jour le
prix de produit.
Les recettes d'exportations agricoles sont passées de
179,4 millions d'USD en 2008 à 77,3 millions d'USD de 2009 et à
111,0 millions d'USD de 2010. 97.256,4 millions de CDF de 2011 et 82.972,4
millions de CDF, soit un accroissement moyen de 1,1% de l'année 2011 et
2012 ; par rapport à d'autre années intérieurs.
Les recettes d'exportations industrielles se sont
contractées de 1,2 atteignant 53,7 millions d'USD en 2009 contre 31,4
millions d'USD de 2012 contre 28,4 millions d'USD de 2011 contre 67,5
millions d'USD de 2008, suite à la contraction des autres produits.
Les exportations de la RDC demeurent pour l'essentiel
tournées vers l'union européenne, l'Amérique du nord, le
japon et quelques pays de l'OCDE et de SADC. Cette tendance se poursuit depuis
1973, traduisant le fait que globalement depuis 2000, les exportations sont
destinées plus de 60% à l'union européenne, à plus
de 20% à l'Amérique du nord et à un peu moins au japon et
aux pays de l'OCDE. Ceci montre très clairement l'aspect
« trop étroit » du réseau des exportations du
pays deviennent très sensibles aux fluctuations de la demande de ces
quelques pays importateurs, c'est cette position de dépendance qui
justifie les différentes baisses de cours de principaux produits
exportés par la RDC.
En effet, le nombre des demandeurs étant très
réduit, ceux-ci ont les possibilités de faire des coalitions afin
d'imposer les prix qui leurs semblent les plus avantageux. Ce qui, en
définitive, justifie les baisses qui se répercutent sur les
recettes d'exportations et par ricochet sur la politique budgétaire et
les disponibilités en devises du pays, rendant les pays plus que
dépendant des programmes d'ajustement structurel et de l'aide
extérieurs, car incapable de mener sa politique économique,
surtout ses sous composantes : la politique monétaire et
budgétaire en vue de stabiliser le taux de change et les prix
intérieurs.
6.1.2 § 2. LES IMPORTATIONS
Comme tout pays en développement, la RDC couvre tous
ses besoins d'importations par les articles de provenance
étrangère. Ceux-ci présentent une gamme aussi
variée que les produits exportés eux-mêmes. La liste
ci-dessous en dit long, mais ces produits très variés ne peuvent
être saisie que par groupe d'utilisation.
Tableau N° 5 Structure des Importations (en
millions d'USD)
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
valeurs
|
%
|
valeurs
|
%
|
valeurs
|
%
|
valeurs
|
%
|
Valeurs
|
%
|
A. Biens de consommation
|
1 450,6
|
21,6
|
1 303,9
|
26,3
|
1342,2
|
16,7
|
1860951,0
|
22,7
|
1 720 603,0
|
22,4
|
B. Energie
|
1 094,2
|
16,3
|
678,9
|
13,7
|
755,1
|
9,4
|
934951,7
|
11,4
|
269 3569,7
|
35,0
|
C. Matières premières et semi-produits
|
306,8
|
4,6
|
203,4
|
4,1
|
235,3
|
2,9
|
331772,1
|
4,0
|
712888,7
|
9,3
|
D. Bien d'équipements
|
3 874,3
|
57,6
|
2762,8
|
55,8
|
5709,7
|
71,0
|
5069681,9
|
61,9
|
227439,0
|
33,3
|
E. Autres
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
0,0
|
Total
|
6 725,8
|
100
|
4949,0
|
100
|
8042,5
|
100
|
8197364,0
|
100
|
768193,8
|
100
|
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012.
En 2008, les importations ont été en hausse de
57,6% contre 55,8 de 2009. Et la rubrique de 2010, on connut une hausse de
71,0% par rapport à d'autre rubrique, comme celle de 2011 qui se trouve
sur une baisse de 61,9% sur les biens d'équipement et même 2012
pressente 33,3%. Mais par rapport à d'autre rubrique comme
l'énergie, biens de consommation et matières premières et
semi-produits montre toujours une baisse très lourde qui atteint
même 2.9% de l'année 2012.
En 2012, les importations se sont situées à
7.681.913,8% millions d'USD contre 81.97364, 0 millions en 2011, soit un recul
de 51.545,1millions d'USD contre une diminution de 22,2% une année
auparavant. A l'instar des exportations, toutes les rubriques des produits
importés ont enregistrés des diminutions à la suite de
l'amenuisement de consommation de 16,7%, énergie 9,4%, matières
premières et semi-produits de 2,9% et biens d'équipements de
33,3%. Les biens d'équipement occupe toujours une part importante dans
toutes les rubriques, suivis des biens de consommation, énergie et en
fin matières premières.
a. Les biens des consommations
Nous savons que la plupart des biens de consommation
importés par les PVD figurent parmi leurs productions
intérieures. La RDC n'échappe pas à cette critique. Le
sucre, le tabac, les chaussures, le coton et les tissus, le riz, les poissions
et les bois, et font partie de la production locale, et ce sont ces produits
qui engloutissent la grosse partie des devises encaissées. Malgré
ces dépenses, leur demande est loin d'être satisfaite, l'offre
intérieure étant insuffisante. Le blé est exclusivement du
blé importé, le riz est surtout d'origine asiatique. Ces
principales productions ont entrainé un recul sensible de principales
productions locales.
Le manioc, le maïs ou encore d'autres productions comme
le riz, le sucre, l'arachide, l'huile végétale.
b. Les biens d'approvisionnement et matières
premières
Les critiques formulées contre le commerce des biens
denrées alimentaires valent tout autant pour les biens
d'approvisionnement que pour les matières premières. En effet,
rien n'est transformé sur place pour l'alimentation des industries
locales étrangères biens qu'il en existe de plus capables. Tout
se traite en fonction des besoins à l'étranger, par contre tout
doit avoir de l'Europe ou d'ailleurs pour approvisionner les firmes
d'exportations. Vendu en nature brute ou semi-brutes, le cuivre revient au
Congo sous diverses formes ; Câbles, fils etc. puisque les usines
existantes travaillent, bien que capables en dessous de leur moyenne. Et les
besoins vont sans cesse croissant car les nouvelles industries du genre de
celles existantes, se créent pat multitude.
a. Les besoins d'équipement
Les besoins en matériels lourd vont en augmentation,
allant de 3.874,3millions d'USD en 2008 à 5.709,7 millions d'USD en
2010, la courbe garde la même allure que du tonnage, cette hausse
simultanée serait due à la mise en marche de nouvelles
unités de production étrangère.
Dans l'ensemble, les importations congolaises ont
accusé en valeurs une tendance à la hausse de 7681 913,8 millions
d'USD en 2012 contre 6.725,8 millions d'USD en 2008, soit une augmentation
moyenne annuelle de 33,3%.
1.1 LES COMPTES COURANTS DE LA BALANCE DES
PAIEMENTS
Tableau N°6 Balance Générale des
Paiements (millions CDF)
Compte de transactions courantes
|
Débit
|
crédit
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
A.Biens et services
|
8 825,4
|
6 766,1
|
10 705,2
|
11 804,9
|
10 644,7
|
7 697,9
|
5 021,0
|
8 866,5
|
10 211,3
|
8 821,9
|
Balance commerciale
|
6 725,8
|
4 949,0
|
8 042,5
|
8 915,6
|
8 355,7
|
6 869,8
|
4 371,0
|
8 477,9
|
9 471,9
|
8 534,2
|
1. Marchandises
|
6 725,8
|
4 949,0
|
8 042,5
|
8 915,6
|
8 355,7
|
6 869,8
|
4 371,0
|
8 477,9
|
9 471,9
|
8 534,2
|
2. Or non monétaire
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Services
|
2 099,6
|
1 817,0
|
2 662,7
|
2 889,3
|
2 289,0
|
828,1
|
650,0
|
388,6
|
739,4
|
287,7
|
3. Transport
|
995,2
|
800,0
|
1 513,1
|
1 412,6
|
919,6
|
37,0
|
52,4
|
88,7
|
114,7
|
91,3
|
4. Voyage
|
126,7
|
121,2
|
149,6
|
298,3
|
107,5
|
0,7
|
24,0
|
10,7
|
11,4
|
6,9
|
5. Services de communications
|
1,4
|
33,5
|
0,9
|
1,2
|
3,0
|
101,4
|
92,5
|
67,4
|
74,4
|
44,5
|
6. Services de bâtiments et travaux
publics
|
28,1
|
51,2
|
14,1
|
18,8
|
47,2
|
-
|
27,2
|
-
|
-
|
-
|
7. Service d'assurance
|
249,6
|
197,1
|
326,1
|
338,3
|
398,5
|
-
|
5,8
|
-
|
5,8
|
-
|
8. Service financiers
|
46,7
|
72,0
|
33,3
|
42,4
|
74,1
|
67,9
|
69,7
|
45,1
|
49,6
|
29,8
|
9. Service d'informatique et d'information
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
10. Redevances et droits de licence
|
2,6
|
34,3
|
0,0
|
-
|
-
|
125,0
|
108,5
|
-
|
-
|
-
|
11. Autres services aux entreprises
|
402,7
|
348,5
|
458,1
|
519,1
|
376,7
|
117,0
|
103,1
|
77,7
|
69,8
|
51,4
|
12. Services personnel, culturel et relatifs aux
loisirs
|
2,9
|
34,5
|
1,9
|
2,5
|
6,3
|
1,8
|
24,8
|
1,2
|
1,0
|
|
13. Sces fournis ou reçus par les adm
publics
|
243,7
|
124,8
|
165,6
|
255,9
|
356,2
|
377,4
|
127,7
|
97,8
|
43,2
|
|
B.Revenus
|
935,8
|
505,0
|
1 095,5
|
1 266,1
|
1 057,9
|
17,7
|
26,0
|
48,3
|
168,2
|
18,2
|
14. Rémunération des salaires
|
37,4
|
30,9
|
57,2
|
39,6
|
55,3
|
14,7
|
19,5
|
15,7
|
114,6
|
12,2
|
15. Revenus des investissements
|
898,4
|
774,1
|
1 037,3
|
1 226,5
|
1 002,6
|
3,1
|
6,5
|
32,6
|
53,6
|
6,1
|
C.Transfert courants
|
742,5
|
303,2
|
845,2
|
1 019,5
|
1 667,8
|
1 738,3
|
1 704,2
|
1 688,0
|
2 430,4
|
2 844,0
|
16.Transfert public
|
202,9
|
76,0
|
212,7
|
246,5
|
660,6
|
1 243,0
|
1 385,9
|
906,5
|
1 417,5
|
1 706,8
|
17.Transfert privés
|
539,6
|
227,2
|
632,6
|
773,0
|
1 017,2
|
495,4
|
318,4
|
781,5
|
1 012,9
|
1 137,2
|
Total A+B+C
|
10 503,7
|
7 874,2
|
12 645,0
|
14 090,5
|
13 380,4
|
9 453,9
|
6 751,3
|
10 602,8
|
12 809,9
|
11 684,1
|
Compte de capital et d'opération
financière
|
|
|
D. Capital
|
60,5
|
259,8
|
492,2
|
307,9
|
158,7
|
|
|
|
|
|
D.1.Transfert des capitaux
|
59,9
|
259,6
|
493,1
|
260,8
|
151,4
|
|
|
|
|
|
Capitaux public
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
18. Remise de dettes
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
19. Autres transferts
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Capitaux privés
|
59,39
|
259,9
|
493,1
|
260,8
|
151,4
|
|
|
|
|
|
20. Transfert des migrants
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
21. Remise de dettes
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
22. Autres transferts
|
59,39
|
259,9
|
493,1
|
260,8
|
151,4
|
53,5
|
174,0
|
255,9
|
327,1
|
252,7
|
D.2.Acquisitions et cession d'actifs non fin non
produits
|
0,6
|
0,3
|
1,2
|
47,0
|
7,3
|
-
|
-
|
-
|
-
|
0,0
|
E. Opération financières
|
2 983,0
|
2 240,5
|
4 341,7
|
3 100,1
|
3 126,0
|
3 274,6
|
-
|
-
|
-
|
-
|
23.Investissements directs
|
54,1
|
34,8
|
7,2
|
90,9
|
420,5
|
1 726,8
|
-
|
-
|
-
|
-
|
24.Investissement de portefeuille
|
1 575,0
|
1 189,4
|
3 237,1
|
2 139,8
|
1 942,6
|
0,1
|
174,0
|
255,9
|
327,1
|
257,7
|
25. Autres investissements
|
1 353,9
|
1 016,3
|
1 425,6
|
869,4
|
762,9
|
1 547,7
|
2,9
|
-
|
0,4
|
0,1
|
Total (D+E)
|
3 043,5
|
2 500,4
|
4 845,5
|
3 407,9
|
3 284,8
|
3 445,1
|
2 958,4
|
5 514,0
|
4 733,7
|
5 737,8
|
Erreurs et omissions
|
-
|
247,0
|
-
|
-
|
148,4
|
16,0
|
-
|
166,1
|
30,10
|
-
|
Total A à F
|
13 547,2
|
10 621,6
|
17 485,9
|
17 498,4
|
16 813,6
|
12 915,0
|
9 709,6
|
10 545,7
|
17 573,7
|
17 421,9
|
Pour mémoire de taux de change moyen
CDF/1USD
|
561,1
|
806,5
|
905,4
|
919,4
|
919,4
|
561,1
|
806,5
|
905,4
|
919,4
|
919,4
|
Source : Banque centrale du Congo, Rapport Annuels
2008-2012.
La RDC a un énorme potentiel d'exportation en raison de
ses richesses en ressources naturelles (agriculture, production
d'électricité, métaux précieux et pétrole)
mais aucune de ces ressources n'est à l'heure actuellement
entièrement exploitée.
Depuis 2000, la valeur des exportations a grandi plus
rapidement que la valeur des exportations, créant un solde
déficitaire de la balance des paiements. Cette tendance devrait se
maintenir à l'avenir, malgré une prévision
d'amélioration et de stabilisation du déficit commercial autour
du PIB.
Dans le besoins et moyens de financement, l'excédent de
la balance de paiement en ce jours compte au moins 559,3millions de CDF, cette
augmentation a permis la RDC à confronter davantage les avoirs
extérieurs nets du système bancaire, et l'évolution
réside sur le capital et d'opération financières.
1. Analyse de la balance
commerciale
La balance commerciale enregistre les flux des marchandises
entre la RDC et le reste du monde, c'est-à-dire les exportations (vente
à l'étranger de marchandises produites par les entreprises
installées en RDC) et les importations (achats par les agents
économiques installes en RDC de marchandises fabriquées à
l'étranger).
Tableau N°7 Evolution des exportations et des
importations (millions d'USD)
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
Les exportations
|
6.869,8
|
4.371,8
|
8.477,8
|
8.708,8
|
7.845,9
|
Les importations
|
6.725,8
|
4.949,0
|
8.042,5
|
8.197,3
|
7.681,9
|
Solde commerciale
|
1440,0
|
-5780,0
|
4353,3
|
5115,0
|
1640,0
|
Source : nous même à partir de tableau
N° 4 et N°5
Graphique N°7 Evolution des exportations et des
importations
Source : nous même à partir de tableau
N°4 et 5.
a. Le solde commercial
Le solde commercial est la différence entre les
exportations et les importations des marchandises.
Solde commercial = exportations - importations
La balance commerciale et le solde commercial permettent de
faire la compétitivité d'un pays en précisant la place que
celui-ci occupe au sein de la division internationale du travail.
Le compte commercial s'est soldée par un
excèdent de 164,1millions de CDF en 2012 contre 511,5 milliard en 2011,
cette détérioration d'un solde se justifié par une
contraction plus importante des exportations comparativement aux importations,
mais la conjoncture actuelle poussé la RDC à s'expliquée
dans la vente des produits minières et hydrocarbure.
Apres avoir analysé ce tableau et ce graphique nous
avons constaté ce qui suit :
Ø De 2008 à 2009, la balance commerciale
présente un solde négatif, ceci veut dire que la RDC exporte plus
les biens un solde en valeurs faible qu'elle importe. Ce déficit est
dû à l'accroissement plus important des importations qui
s'expliquent par les biens de consommation ainsi que ceux
d'équipement ;
Ø De 2010 à 2102 elle présente un solde
excédentaire en raison principalement des effets des élections
libre et transparente et certaine tensions financières dans une zone
euro, on pesé sur le commerce internationale qui fait à
l'amenuisement des moyens de paiements.
b. Le taux de couverture
Représenté par le rapport entre la valeur des
exportations et celle des importations pouvant être établi pour un
pays, un groupe des pays ;... ce taux indique dans quelle mesure les
importations sont couvertes par les exportations, si le taux de couverture est
de 100%, le commerce extérieur est en équilibre.
En se référant aux données
indiquées dans le tableau N° nous avons :
Tableau N° 8 Calcul du taux
Ouverture
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
Les exportations
|
6.869,8
|
4.371,0
|
8.477,8
|
8.708,8
|
7.845,9
|
Les importations
|
6.725,8
|
4.949,0
|
8.042,5
|
8.197,3
|
7.681,9
|
Taux de couverture
|
102,0
|
88,3
|
106,0
|
106,2
|
102,1
|
Source : nous même sur base de tableau
En 2008, les importations ont été couvertes par
les exportations de 102,0% en 2008 de 88,3% de 2009, de 106,0% de 2010, de
106,2% de 2011 et de 2012. En moyenne ce chiffre, le taux de couverture nous
pouvant que le commerce extérieur n'est pas équilibre.
Graphique N°8 Calcul du taux
Ouverture
Source : nous même à partir de tableau
N°
c. Les termes de l'échange
Les termes de l'échange s'intéressent aux prix
des produits importés et exportés.
Tableau N°9 Calcul des termes de
l'échange
(Base 2009 = 100)
Période
|
Données exprimes en XDC
|
Données exprimes en CDF
|
indices
|
Termes de l'échange
|
indices
|
Termes de l'échange
|
A l'export
|
A l'import
|
A l'export
|
A l'import
|
2008
2009
2010
2011
2012
|
157,2
100,0
194,0
216,7
195,2
|
135,9
100,0
162,0
180,1
168,8
|
115,6
100,0
119,4
120,3
115,6
|
109,4
100,0
217,9
247,1
222,6
|
94,6
100,0
182,0
205,4
192,5
|
115,6
100,0
119,4
120,3
115,6
|
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012.
Nous constatons que l'évolution de terme de
l'échange pouvez une détérioration relativement
élevée dans le pays et donne une vision d'ensemble concernant les
échanger effectues par l'affectation des produits sur la scène
internationale, ces termes de l'échange sont restes à
l'évolution positifs sur le marché c'est-à-dire au de la
de 100%, trouvant ainsi une position très virtuel sur ses produits biens
chers par rapport à ceux qu'il à achetés.
Tableau N° 10 Balance Commerciale
Période
|
Millions de CDF courants
|
Millions d'USD
|
Exportations
F.O.B
|
Importations
F.O.B
|
solde
|
Exportation
F.O.B
|
Importation
F.O.B
|
solde
|
2008
2009
2010
2011
2012
|
3854778,4
3525028,7
7679712,6
8708848,8
7845991,6
|
3773998,6
3991167,0
7285305,1
8197364,0
7681913,8
|
80778,8
-466138,3
394407,4
511484,8
164077,8
|
869,8
371,0
477,9
471,9
534,2
|
6725,8
4949,0
8042,5
8915,6
8355,7
|
44,0
578,0
35,4
56,3
78,5
|
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012.
L'étude de la balance commerciale relevée un
caractère extraverti dont les principaux produits d'exportations demeure
les matières premières et ceux d'importations des produits finis.
Les exportations restent dominées par les produits miniers qui apportent
des grosses valeurs des exportations congolaises.
Par ailleurs, soulignons que tous les pays au monde ne sont
pas également sensibles aux fluctuations extérieurs, certains les
ressentent moins par le fait qu'ils importent peu et d'autres par contre sont
sensibles car leurs échanger internationaux sont importants, tel est cas
de notre pays.
Tableau N°11 Répartition des paiements
d'importation de marchandises par mode de financement (en millions de
CDF)
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
A. Ressource propres
|
2279 889,3
|
2919405,5
|
6628862,5
|
7273695,2
|
6636988,9
|
Ressource extérieur
|
1494109,3
|
1071761,5
|
658442,6
|
929668,8
|
1044925,0
|
1. Dons et contributions assimilables
|
465271,2
|
321528,4
|
-
|
142063,5
|
143089,7
|
Etat
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Particulier et organisations bénévoles
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
2. Prêts à des conditions spéciales
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Etats
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Entreprises
|
1028838,1
|
750233,0
|
656442,6
|
781605,3
|
901835,3
|
3. Capitaux
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Crédits fournisseurs
|
990517,1
|
725797,8
|
640432,7
|
753723,7
|
890892,3
|
Investissement en nature
|
38320,4
|
24435,2
|
16009,3
|
27881,6
|
10943,2
|
Apports non contrôles
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Total
|
3773998,6
|
3991167,0
|
7285305,1
|
8197364,0
|
7681913,8
|
Pour mémoire de taux de change moyen CDF/1USD
|
561,1
|
806,5
|
905,4
|
919,4
|
919,4
|
Source : Banque centrale du Congo, Rapport Annuels
2008-2012
Tableau N°12 Répartition des recettes
d'exportations de marchandises par produits (en millions de CDF)
|
2008
|
2009
|
2010
|
2011
|
2012
|
Produits miniers et hydrocarbure
|
3716787
|
3434884
|
7550445
|
8583094
|
7746115
|
Cuivre
|
1379308
|
1335570
|
2814497
|
3772693
|
3989901
|
Cobalt
|
1425734
|
1385504
|
3436324
|
3395224
|
|
Zinc
|
13961
|
25343
|
25343
|
18504
|
38182
|
Diamant
|
378484
|
189337
|
281246
|
335241
|
269743
|
Argent
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Or
|
3866
|
4907
|
5342
|
9256
|
93865
|
Autres
|
5661
|
8170
|
278674
|
4925
|
71421
|
Produit agricole
|
100132
|
62609
|
100549
|
97246
|
82972
|
Produit du règne animal
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Café
|
49918
|
30215
|
|
|
|
Thé
|
1
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Cacao
|
120
|
24
|
38
|
159
|
47
|
Rauwolfia
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Huile de palme, Tourteaux (palmistes, coton
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Caoutchouc
|
9133
|
-
|
-
|
8251
|
4799
|
Bois
|
40941
|
32370
|
58231
|
59961
|
61458
|
Quinquina
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Autres
|
19
|
-
|
18
|
-
|
-
|
Produits industriels
|
37860
|
27535
|
28718
|
28499
|
16904
|
Ciment
|
6890
|
12722
|
12096
|
11627
|
7554
|
Produits chimiques
|
474
|
689
|
-
|
-
|
-
|
Sucre de canne
|
4360
|
6294
|
-
|
-
|
-
|
Divers
|
26136
|
7834
|
16622
|
16872
|
9351
|
Total
|
3854778
|
3525029
|
7679713
|
8708849
|
7845992
|
Pour mémoire de taux de change moyenne en CDF/1USD
|
561,1
|
806,5
|
905,4
|
919,4
|
919,4
|
Source : Banque centrale du Congo, rapport annuel
2008-2012
Tableau N°13 Projection de la Balance de
Paiements
|
2013
|
2014
|
Compte courant
|
-9,2
|
-7,8
|
Balance commerciale
|
3,1
|
5,0
|
Export des biens
|
45,1
|
46,1
|
Dont minerais
|
43,9
|
45,0
|
Import des biens
|
-41,9
|
-41,1
|
Dont d'équipe
|
-28,9
|
-29,1
|
Compte capital et financier
|
12,7
|
11,9
|
Solde global
|
3,5
|
4,1
|
Source : Banque centrale du Congo, Rapport Annuels
2012
La balance du compte courant montre sa position sur le
déficit du compte courant de la balance des paiements qui pourrait se
situer à 9,6% du PIB en 2013, s'atténuerait en se chiffre
à 7,8% en 2014.
La bonne tenue attendue du commerce des biens,
l'évolution favorable que laisse présager les exportations et le
niveau assez modère du cout des importations auraient un impact positif
sur l'amélioration du compte courant. En moyenne annuelle, le
déficit de la balance courante en pourcentage du PIB serait de 8,5%
entre 2013 en 2014. Cette situation rencontrerait le critère de
convergence des pays de la SADC (moins de 9,0% du PIB).
La balance du compte de capital et d'opérations
financières sur le période prévisionnelle, le compte de
capital enregistrerait des excédents de 12,7% du PIB en 2013 et 11,9% en
2014. Cette bonne tenue de ce compte serait consécutive à
l'amélioration des capitaux publics et des capitaux privés qui
serait fortement tirés par la progression des investissements directs
étrangers sur les fonds de l'amélioration progressive du climat
des affaires.
Graphique N° 10 Evolution des termes de
l'échange
Base 2009= 100
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012
Graphique N°11 Cours de principes produits
végétaux exportés
Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012
Apres avoir fait quelques analyses sur l'ensemble des
activités économiques de la RDC, on remarque que
l'économie congolaise est extravertie. Etant l'une des indicateurs de la
performance économique d'Afrique centrale est au monde, le commerce
extérieur doit préalablement provoquer des changements profonds
au sein de l'économie d'une nation, c'est pourquoi par le commerce
extérieur, les fluctuations économiques se transmettent d'un pays
à l'autre dans ce sens que les nations sont reliées par des
opérations commerciales.
Concernant les exportations, les recettes des toutes ces
ventes à l'étranger sont constituées des devises qui
devraient du reste être utilisées dans les importations des biens
pour l'investissement des entreprises locales soient manufacturières,
textiles etc.
Dans ce cas, il s'agira là du gain obtenue de
l'échange international, lorsqu'un pays vend en exportation, il permet
l'épanouissement de son économie, tel était le cas de
notre pays les années 1965 période durant la qu'elle tous les
secteurs d'activités économique ont rapporté des devises
au pays. Il y eu ouverture de la production nationale suivie par la
création de l'emploi.
En RDC, les importations ont tendances à la hausse,
cependant qu'elles affectent les entreprises nationales et
particulièrement les petites et moyennes naissances, lorsqu'elles sont
confrontées à une forte concurrence venant de l'extérieur,
ceci conduit à la diminution de la production intérieure
certaines entreprises de la place et à la fermeture des certaines
d'entre elles.
Ainsi donc, le déficit économique
extérieur est un choc grave pour notre économie, d'autant plus
que le pays va s'endetter ou épuiser ses réserves de change, et
par conséquent, le déséquilibre macroéconomique.
6.2 SECTION 2. LES EFFETS PERVERS DU
COMMERCE EXTERIEUR
Nul n'ignore que l'exploitation coloniale avait cantonne les
pays sous développes dans le rôle de « réservoirs
de matières premières » à l'usage des nations
industrielles. Pour importes : machines, moteurs, camions, appareils de
transport, engrais chimiques, médicaments et dans d'autres biens.
Son industrie alimentaire étant de plus
défavorisée, il est obligé d'acheter à
l'étranger même le jus de tomate qu'il sait produire sur place. Ce
ne sont pas les terres qui sont infertile pour repousser toute culture
vivrière.
L'Inde et le Pakistan ont déjà prouvé que
leurs terres sont
Capables d'assurer autosubsistance que leurs terres sont
Capables d'assurer autosubsistance par la production du riz
qui peut dépasser toute prévision ; le Brésil est
devenu exportateur des voitures par construction sur place de ses propres
chaines de montage. Les exemples sont multiples, inutile de les
énumérer tous. Ce qui est important c'est de montrer que la
majorité dits « sous-développés »
après être libère de la colonisation, sont retombés
dans un autre beaucoup plus violente et difficile à briser. Celui de
blocage de leur économie par les pays les quels ils nouent des relations
commerciales.
Ainsi apparait l'une des caractéristiques essentielles
de la situation des pays sous-développés, celle de leur
dépendance se manifeste à deux niveaux : politique
économique, ce sont ces deux niveaux qui feront l'objet de deux
paragraphes suivants de cette section.
6.2.1 §1. LA DEPENDANCE POLITIQUE OU NEO-COLONIALE
L'évolution des économistes des PVD a
été pendant longtemps freinée par l'exploitation
coloniale. La forme la plus absolue de cette exploitation a été
constituée par ce que CH. BETTELHEM appelle « la
dépendances coloniale »45(*)
En effet, la plupart d'Amérique latine, d'Afriques et
d'Asie de l'Est et sud-est sont reste longtemps sous la domination coloniale,
d'une part parce que le faible niveau de leur économie ne leur
permettent pas de faire face à l'agression européenne d'autre
part, parce que dotes de métiers premières immenses. L'Europe
avait tout intérêt à s'y cramponner par tous les moyens y
compris la violence pour la suivie de ses industrie. Mais ce qui est important
à saisir dans cet asservissement colonial 46(*)
C'est qu'il a été le moyen violent d'une
exploitation sans merci des pays dominés et l'origine, soit de la ruine
de leurs forces production antérieures, soit de la traumatisassions de
leurs économies, car ces pays ont été soumis aux
intérêts de colonisateurs. En fait le travail du cuivre en
Afrique, de l'or et du fer déjà connu exploitation intense des
minerais et par l'acheminement de ceux-ci vers les capitales
européennes. Ce pendant après que les régimes coloniaux
furent liquidés dans la plupart des pays aujourd'hui
sous-développés, il est apparu une autre forme moins absolue que
la dépendance coloniale.
Cette nouvelle forme de dépendance économique
ou sur la corruption d'une partie du personnel politique dirigeant des pays
dépendants, les pays soumis à cette forme sont
caractérises par l'instabilité politique ou par l'existence de
dictature actuelle à designer ce type de relations semi-coloniales par
le terme de néo-colonisation qui permet aux classes dominantes des pays
impérialistes de soumettre à leurs intérêt
propres.
Les classes dominantes développent l'exploitation des
mines, les grandes plantations, les banques, les ports et les voies de
communications, ces derniers devant faciliter l'expédition rapide des
produits qui risquerait de priver leurs usines du ravitaillement en
matières premières obtenues à bon marché.
6.2.2 § 2. LA DEPENDANCE ECONOMIQUE
La dépendance économique d'un pays ç a
l'égard d'un autre est souvent, le fruit de la dépendance
politique antérieure à l'égard de ces pays. Cependant,
cette dépendance peut s'être établie sans que le pays
dépendant économiquement de l'autre ait été
antérieurement une colonie de ce dernier. Pour la RD, la
dépendance politique avec la Belgique été
relâchée, mais elle a servi de base à
l'établissement des liens économiques, tels que la
commercialisation séculaire de cuivre et d'autres produits congolais. En
ce qui concerne la dépendance économique envers d'autres pays, la
RDC offre un très bel exemple après s'être politiquement
libérée de la Belgique, elle tient actuellement sa survie
économique et financier de la Chine, des USA, de l'UE,...
Cette dépendance s'exerce sous diverses formes qui ne
s'excluent pas mutuellement. CH. BETTELHEIM en distingue deux
principales : la dépendance commerciale et la dépendance
financières. 47(*)
a) La dépendance commerciale
En voulant faire des PVD leurs tributaires économiques,
les puissances capitalistes cherchent avant tout a faire fructifier le capital
qu'ils y ont investi. Cette dépendance commerciale se manifeste par le
fait que le commerce extérieur des PVD est étroitement lié
aux exportations des matières premières brutes ou semi-finies
vers un nombre très limité des pays. Aussi, et ceci est
important, ces exportations portent-elles généralement sur un ou
deux produits d'exportation. Il est évident que l'économie d'un
tel pays soit dominée principalement par des facteurs extérieurs
qui en déterminent la structure, l'ampleur de la production ainsi que
celle des investisseurs.
Pour cette forme d'activité, le cas le plus typique est
le développement comme nous l'avons dit plus haut des industries
extractives des entreprises bancaires et des plantations en RD Congo. La
dépendance commerciale est également le résultat d'un
échange non équivalent. Les pays industrialisés,
avons-nous vu vendent plus chers leurs produits aux PVD qu'ils dominent en
incluant dans leurs prix de vente un taux de profit supérieur au prix
moyen.
La dépendance commerciale est elle aussi
conséquence de la dépendance financière,
c'est-à-dire de la pénétration dans l'économie du
pays dépendant des capitaux en provenance étrangère. Ces
capitaux développent en priorité telle branche d'activité
jugée indispensable à l'expansion des profits des
investissements, ainsi la RDC qui réalise l'essentiel de ses
exportations avec les pays développés et négligeant soit
les pays voisin du continent africain n'est pas du reste.
b) La dépendance financière
Cette forme d'exportation se manifeste à
première vue par l'ampleur des prélèvements que le capital
monopoleur étranger opère sur les produits des pays dans lesquels
il est placé. Ces prélèvements sont constitués par
les profits réalises et par les profits perçus.
Une partie de ces prélèvements est
transférée dans le pays d'où est venu le capital est une
autre réinvestie sur place, non pour contribuer à l'accumulation
intérieure du pays de placement mais accroitre le montant de sa dette
par les nouvelles royalties.
6.3 SECTION 3. PISTES DE REDRESSEMENT DU
COMMERCE EXTERIEUR
Le commerce extérieur est l'un des facteurs de
développement socio-économique d'un pays. Le développement
d'un pays est un phénomène qui inclut la croissance
économique et la libération de l'homme des diverses contraintes
de la nature.
Si à certains moments l'histoire a parlé du
commerce extérieur de la RDC, c'est notamment grâce aux bonnes
dotations naturelles du pays résultant de la
générosité divine, et par la suite des ouvrages
lèguent par le passage du colonisateur belge sur le sol congolais.
Depuis de départ de ce dernier, nous ne savons percevoir l'effort de
l'homme congolais pour rénover ce secteur.
En effet, pendant près de trois décennies
après l'indépendance, le commerce extérieur a joué
un rôle crucial dans les finances publiques et dans la stabilité
monétaire. Plus de 50% en moyennes des recettes de l'Etat provenait du
commerce extérieur. Par ailleurs, la stabilité du taux de change
de la monnaie et celle des prix intérieurs était assurée
particulièrement grâce aux rétrocessions en devises
effectuées auprès de la banque centrale du Congo, des recettes
d'exportations.
Aujourd'hui, l'instabilité dans les secteurs
susmentionnés (finances publiques et monétaire) trouve entre
autres raisons, la débâcle du commerce extérieur. Ce
dernier n'assure plus, ni devises suffisantes à la BCC pouvant l'aider
à faire face aux turpitudes qui caractérisent sa monnaie, ni des
ressources à même de relever le niveau des recettes publiques.
Comme la plupart des PVD recourent à un marché
très étroit pour ses exportations des biens et services, et reste
fortement dépendante d'un circuit limite pour ses importations. Par
conséquent, elle subit des prix mondiaux à la fois, des produits
qu'elle exporte et des biens importés dans la mesure où elle
demeure fortement tributaire de l'extérieur pour les biens
d'équipement, les produits de consommation, les services, etc.
Par conséquent l'un des principales pistes de
redressement devient « la correction de cette forte dépendance
à un circuit resserré » et cela en européenne
(Asie, Amérique latine,...)
Les échanges commerciaux ont gardé la structure
traditionnelle (exportation des produits à l'état brut ou
légèrement transformes ; importations de biens de
consommation) à une exception près, fort importation au
demeurant, la part croissante prise par les produits alimentaires. Celle-ci
qui, mesure la dépendance alimentaire.
Par conséquent, il serait souhaitable qu'avec les
minerais ou les produits agricoles, notre pays se lance véritablement
dans le processus de transformation qui aboutira à le doter d'un tissu
industriel indispensable au développement économique. Ainsi
exprimée, la contrainte au commerce extérieur découle de
la structure de l'appareil productif.
Le pétrole en Est et en meilleur exemple. Aux
Koweït et Emirats du Golfe persique, l'on a très vite compris qu'il
faut dépasser le simple stade de la vente de brut. En transformant l'or
sur place, on pouvait en effet multiplier les richesses. Ces pays ont
commercé par créer des raffineries produisant des produits de
base et des produits intermédiaires, comme les matières
plastiques ou acides. Puis, ils ont construit en aval une large palette
d'industries connexes fabricants des textiles, des produits chimiques, des
médicaments ainsi qu'un nombre illimité d'articles
ménagers en plastiques 48(*)
Pour le bois, certains pays africains, comme le Cameroun, le
Gabon, commencent à comprendre qu'il est plus avantageux de transformer
ce produit du foret plutôt que de l'expédier à
l'étranger sous la forme de grumes. Aussi ont-ils interdit qu'on exporte
des produits bruts afin de stimuler l'implantation de scieries, usine de
déroulage et de contre plaqués, manufactures de mobiliers, etc.
intégrant plus de valeur ajoutée, leurs produits finis pourront
alors être vendus à l'étranger et rapporter davantage au
pays exportateur.
Le même mouvement en cours dans le pays producteurs de
cacao, de café, d'ananas ou la transformation commence à se
développer à un rythme intéressant, faisant
progressivement évoluer le secteur primaire vers un secteur
agro-industriel annonciateur d'emploi et de revenus supplémentaires pour
les pays qui s'en font les promoteurs.
Certains pays, notamment ceux du Maghreb (le Maroc ou la
Tunisie) ou comme l'Afrique du sud, ont déjà ouvert la voie et
possèdent un outil industriel performant et fortement diversifié.
Des exemples à méditer et à suivre, tout en tenant compte
des spécificités de notre pays.
La suppression des biens des importations de biens de
consommation d'origine manufacturière et des produits alimentaires sera
admise comme concevable. Cela suppose une transformation radicale du monde de
consommation, y compris dans les zones rurales et implique un retour brutal aux
cultures vivrière partout. Cette transformation définit la
fonction du commerce extérieur dans le processus d'industrialisation et
elle le fait en termes de production.
Ainsi, le pays qui amorce son développement assure sa
consommation sur base de la part de la production nationale, conservée
à l'intérieur des frontières, exporte son surplus et
consacre les biens qu'il en retire à l'importation des biens
d'équipements industriels. Ceci accéléra cette
transformation des structures sociales internes en même temps qu'elle
renforcera progressivement le pouvoir de négociation du pays et lui
permettra obtenir de meilleurs termes de l'échange. Encore ce
progrès ne sera-t-il possible que si le commerce extérieur est
véritablement intègre au processus global de la planification.
L'intégration du commerce extérieur à la
planification constitue donc l'une des articulations essentielles de la
sphère des échanges à la sphère de la
production.
L'objectif, c'est la maximisation à long terme du
degré de satisfaction des besoins, dans leur ordre et hiérarchie,
de tous les groupes de la population. Ce qui passe par la modernisation de
l'agriculture et la construction d'un appareil productif reposant sur une base
interne d'accumulation.
Compte tenu des débouches potentiels des produits
nationaux sur le marché international et des prix imposés sur ce
marché, et sous-réserve du degré jugé acceptable
d'endettement international, la contrainte résulte de la règle de
« rien pour rien » au sens abstrait le fait que le commerce
soit équilibré.
7 CRITIQUES
ET SUGGESTIONS
I. CRITIQUES
Apres avoir étudié ce phénomène
qui parle sur le commerce extérieur et le développement
socio-économique de la RDC ;
Ø Nous constatons que la demande des produits des biens
et service, n'est présente pas un accroissement au profit de la
population, c'est-à-dire les biens d'équipement présente
toujours un taux réel par rapport aux autres biens, le deux tableau des
recettes d'importations et d'exportations ne montre pas grand-chose, dans
chaque résultat nous constatons toujours une faiblesse dans l'ensemble
des opérations économique et commerciales ;
Ø Le mal fondamental de l'économie congolaise
vient à son extraversion c'est-à-dire son maintien se fait dans
l'ensemble de l'économie sociale et culturelle qui ne conçu pas
ex travestisme sur la composition des recettes de l'Etat ;
Ø Manque de la gestion comptable sur la passation de
chaque mouvement qui se fait sur les frontières en cas de la sortie des
marchandises.
II. SUGGESTIONS
Ø Aux autorités politico-administratives de la
RDC de mieux placé un objectif précis sur la loi de finance en
fin de faire face au défi qui se montre maintenant dans chaque mouvement
des activités commerciale
Ø Toutes choses égales restant égales par
ailleurs, un pays qui veut se développer a intérêt à
maintenir le volume de son commerce extérieur au plus bas niveau
comptable avec le rythme désiré d'accumulation interne, et encore
les seul moyen de minimiser les prélèvements de valeur
opérés à son détriment grâce au
système des prix mondiaux d'une part et de cherche à valoriser au
mieux l'ensemble des ressources potentielles du pays d'autre part ;
Ø Le premier critère d'une bonne gestion
extérieure d'une économie fondée sur les besoins internes,
c'est donc le critère des importations réduites au strict
nécessaire ;
Ø La seconde n'est que l'application du prix aux
clients réels étrangers. Ce qui vaut pour nous vaut pour les
autres, c'est pourquoi la matrice des besoins de l'extérieur doit
être établie en même temps que celle de l'intérieurs,
certain de ces secteurs de production ouverts à la fois au marché
extérieur et au marché intérieur ;
Ø Ainsi, la RDC doit ensuite améliorer ses
infrastructures en construisant des routes de desserte agricoles dans le but
d'assurer l'acheminement des produits vivriers vers les centres de consommation
et faire parvenir aux agriculteurs des matériels nécessaires pour
leurs activités agricoles, les activités commerciales ne pourront
escompter sur un progrès si les routes ne sont pas construites
étant donné qu'une production n'a de sens économique que
si elle est écoulée sur le marché ;
Ø Pour faciliter cette échange commerciaux, la
RDC doit encore place une politique nationale qui doit servir les
étranger en fin qu'elle puisse bien effectuée leurs commerce dans
ce pays.
8
CONCLUSIONS GENERALES
Nous voici arrive au terme de notre travail qui s'intitule
« le commerce extérieur et le développement
socio-économique de la RDC » il nous revient de résumer
les faits saillants aux quels son analyse a conduit.
Notre problématique repose sur les interrogations
ci-après :
Ø Est-ce que le commerce extérieur contribue-
t-il au développement socio-économique de la RDC ?
Ø Qu'est ce qui contraint le commerce extérieur
de la RDC, et comment peut-on atteindre l'équilibre du cadre
macroéconomique dans le commerce extérieur ?
A l'issue de nos analyses, il s'est dégagé ce
qui suit :
Notre économie est extravertie d'autant plus que
importons plus que nous exportons, cette situation met le pays en
difficulté, créa la capacité de paiement d'un pays
dépend de son commerce extérieur. Quand un pays exporte plus
génère des surplus en devises, ce qui servira en lui comme
étant les moyens de paiements internationaux, alors notre pays a de
problèmes de devises, des liquidations internationales qui son
constituées par des réserves de change.
Ceci aboutit à ce que le commerce extérieur
n'arrive pas, dans les conditions actuelles de financement de
développement, à remettre le pays dans la voie de progrès
économiques, ce qui assureront à chaque membre de la
société déterminée, le bien être le plus
grand possible.
Les difficultés qu'éprouve la RDC pour
développer harmonieusement son économie par le commerce
extérieur tiennent au fait que le commerce porte essentiellement sur
les produits de base exportes à l'Etat brut ou semi-finis ; que le
commerce est concentre sur un ou deux produits et qu'il est limité
à un nombre de pays pour la plus part anciennes métropoles
coloniales. A ces obstacles s'ajoute encire la dépendance politique et
économique, sous-produits de la dépendance coloniale.
Au cours de ce travail, il a été
démontré que le rôle du commerce extérieur n'est pas
seulement de compenser la demande du marché intérieur, ni
d'offrir les possibilités plus grandes de productions, d'emploi et
d'équilibre budgétaire, mais de permettre au pays de
l'importation d'équipements nécessaires à leurs
industrialisation.
Cet objectif ne semble atteint qu'unilatéralement par
les pays déjà industrialisées avec qui le pays entretient
des relations commerciales. Les importations coutent deux trois fois plus cher
que les matières exportées par notre pays.
Cette inégalité résulte de la
détérioration d'un terme de l'échange, et le rythme est
loin d'être arrête.
Loin de nous l'idée de supprimer le commerce entre les
riches et les pauvres, il importe à ces derniers de distinguer le
nécessaire de l'accessoire. Comme beaucoup des biens, notamment les
biens de consommation, peuvent être produits sur place, il est un devoir
pour nous de concentrer nos importations sur les biens d'équipement, la
RDC doit modifier sa production au lieu de se spécialiser dans une seule
ou deux branches, exporter des articles plus élabores par la
création des industries de transformation locale, élargir ses
échanges à d(autres pays et intensifier le commerce entre eux.
C'est dans l'accomplissement intégral de ces
conditions que l'indépendance économique d'une nation devient
certaine surtout lorsque le pays se trouve doté d'un appareil de
production industrielle en mesure de couvrir ses besoins essentiel. En outre,
ce commerce doit être conclu en fonction des besoins intérieurs et
non en fonction des besoins extérieurs.
Ce qui étonne plus, c'est que dans notre pays, que ce
soit les industries extractives, des entreprises commerciales et
financières qui abondent est qu'aucune d'elles ne sont
entièrement nationale, on croirait à première vue, que
toutes ces entreprise contribuent au développement
socio-économique du pays, loin de là, ces entreprises sont
tournées dans leur totalité vers les marchés
extérieurs, car filiale étrangers, elles ne servent que les
intérêt de ceux-ci, elles constituent par contre, un goulot
d'étranglement pour l'économie du pays que l'on croit être
servi.
Notre pays doit créer les entreprises parallèles
sous la responsabilité des entrepreneurs nationaux, capables et imbus,
de nationalisme. C'est à cette condition qu'un vrai développement
pourra être amorcé.
Les pays sous développes doivent être conscients
que des accords entre eux pourraient contribuer à permettre à
chacun ses propres termes de l'échange, ce qui revient à
élever le rythme d'accumulation et du procès
d'industrialisation.
L'intégration économique à l'heure de la
mondialisation des échanger devient un impératif pour tous.
L'Afrique ne peut pas se replier sur elle-même, elle doit s'ouvrir. Ainsi
la RDC s'unir, la part relative des échanges avec ses voisins est en
train de s'accroitre sensiblement avec l'essor de la communauté de
développement des pays d'Afriques australe (SADC).
L'accession à l'indépendance économique
n'exclue pas le maintien des rapports commerciaux avec les divers pays
développés, ni éventuellement l'acception des
crédits provenant de ces pays, mais elle implique que le nouveau rapport
commerciaux se développent désormais sur un pied d'Egalite.
C'est dans cette optique qu'on peut concevoir un plan de
développement et étudier alors les possibilités
d'intégrations du commerce extérieur dans le plan national pour
permettre un développement socio-économique.
En effet, nous ne croyons pas épuise tous les points
essentiels relatifs à notre recherche, nous suggérons donc aux
autre chercheurs de poursuivre ces mêmes recherches en poussant leurs
investigations.
9
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d'économie politique » éd, de Boeck a lorries S.A
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commerce internationale » L2 SCOFI/ ISC, RDC, L'sh.
4. YASHISO NGONGO « cours de question
spéciale de la comptabilité » L1 CPTE, ISC, L'sh,
RDC
5. KAPOND « notes de cours de document
commerciaux » G1 économie, UNILU, 2007- 2008
IV. MEMOIRE ET TFC
1. ASUMANI RADJABU « l'étude de
l'amélioration de la balance commerciale et son impact sur la croissance
économique de la RDC » TFC 2008, UNILU
2. YAV KATSHING « l'analyse évolutive du
commerce extérieur et leur incidence sur la croissance économique
en RDC » Mémoire UNILU, économie publique 2009.
3. NTUMBA MWAMBA Patrick « le commerce
extérieur face défit de banques commerciales en RDC »
TFC économie 2010, UNILU RDC.
V. SITE INTERNET
1. In site :
www.goolgle.com
2. In site web « rapport mondial sur le
développement humain» 2001
VI. CONSULTATION DE RAPPORT
1. Source : BCC Rapport Annuelle 2008-2012.
* 1 ASUMANI RADJABU «
l'étude de l'amélioration de la balance commerciale et son impact
sur la croissance économique de la RDC » TFC 2008, UNILU
* 2 YAV KATSHING «
l'analyse évolutive du commerce extérieur et leur incidence sur
la croissance économique en RDC » Mémoire UNILU,
économie publique 2009.
* 3 NTUMBA MWAMBA Patrick
« le commerce extérieur face défit de banques
commerciales en RDC » TFC économie 2010, UNILU RDC.
* 4 Didier KILONDO «
cours de méthode de recherche en science économique »
G2 Economie
2008
* 5 RONGERE «
méthodes en sciences sociales » éd, Dalloz,
Paris 1971, Page 10.
* 6 MOVA SAKANYI «
renouer avec la RDC : nouveau visages du pays et nouvelles
possibilité économiques » In journal le potentiel
du 04 septembre 2009, page 13.
* 7 PINTO & GRAWITZ
« méthode des sciences sociale » éd,
Dalloz, paris, 1997, page 76.
* 8 GRAWITZ
M « méthode des sciences sociales » 11eme
éd, Dalloz, paris, 2001, page 351.
* 9 NTUMBA
NGANDU « guide de rédaction d'un travail de recherche
scientifique » éd, de l'ISP/KANANGA, page 18, RDC
* 10 MULUMBATI NGASHA
Adrien « Manuel de sociologie
générales » 2éme éd,
africa Lubumbashi, page 26.
* 11 Dictionnaire
encyclopédique, paris, éd, 1971, page 24.
* 12 In site :
www.goolgle.com
* 13 In site :
www.goolgle.com
* 14 In site :
www.goolgle.com
* 15 KAPOND « notes
de cours de document commerciaux » G1 économie, UNILU, 2007-
2008.
* 16 MADRY Pascal «
Dictionnaire pratique du commerce » éd, 2003,
Bruxelles, page 69.
* 17 MADRY Pascal, op, cite,
page 8.
* 18 CAVIS R & JHON R.
« économie international » I. et II. Ed, cation,
paris 1981, page 28.
* 19 KAPANGA « cours
de théorie pratique du commerce internationale » L2 SCOFI/
ISC, RDC, L'sh , Page 23.
* 20 TEULOF. F «
vocabulaire économique » PUF, paris, 1991, page 73.
* 21 KINDELBERG
« économie international » paris,
économisa 1996, page 86.
* 22 EMILE W. «
principe d'économie politique » procure
n'amure », paris 1988, page 43.
* 23 YASHISO NGONGO
« cours de question spéciale de la
comptabilité » L1 CPTE, ISC, L'sh, RDC.
* 24 Alexis J & Henry
T « fondements d'économie politique »
éd, de Boeck a lorries S.A paris, Bruxelles 1996,
(2éme éd, et 6émé tirage)
page 135.
* 25 GUITTON H
« économie politique » Dalloz, paris 1962,
page 89.
* 26François PERROUX
« l'économie du 20éme
siècle » paris, PUF, 1964, page 155.
* 27
HATER, « dissertation économique et social»
Paris, PUF, 1990, P.156
* 28 ECHAUDE MAISON
« économique et social » C-D et All, paris,
Page 124.
* 29 Jean RONALD
LEGOUTE « définir le développement historique
et dimension d'un concept plurivoque» Paris, PUF, 2001, P.17 &
18
* 30 Jean RONALD
LEGOUTE « définir le développement historique
et dimension d'un concept plurivoque» Paris 2001, P.17 & 18
* 31 MPIRI BEN OPINE
« cours de l'économie de
développement » G2 ISC, L'sh, 2011.
* 32 In site
web « rapport mondial sur le développement
humain» 2001
* 33 Serge LATOUCHE
« bas de développement durable» Paris
2001, P.17
* 34 Banque centrale du Congo,
Rapport Annuelle 2102
* 35 EKWA Martin
« économie de développement et financement de PME et
des micros entreprises en RDC » éd, CADICEC 2005, page
99.
* 36 BCC Rapport Annuelle
2012.
* 37 Rapport mondiale de la
PNUD 2009.
* 38 Commission
économique pour l'Afrique « prise en compte de
l'intégration régionale au niveau national »
E/ECA/CTRCI/6/7/27 juillet 2009.
* 39 MARTIN S.
« les communautés économiques régionales au
sein de NEPAD quelles perspectives pour un développement durable en
Afrique » conférence économique africaine, Addis-
Abeba.s
* 40 Commission
économique pour l'Afrique, op, cit, juillet 2009.
* 41 Commission
économique pour l'Afrique, op, cit, juillet 2009
* 42 MARX M.T et PETER-BERRIES
« SADC : difficultés dès l'intégration
régionale » D+C développement et coopération,
N°2, Marc-Avril 1998,P.16-23.s
* 43 MASANGU MULONGO J.C
« pourquoi je crois au progrès de l'Afrique, credo d'un
africain, Kinshasa, prestige communication 2009, p.140.
* 44 DE GRAUWE P.
« économie de l'intégration
monétaire » de Boeck université, Bruxelles,
p,12.
* 45 CH. BETTELHEM
« planification et croissance
accélérée » paris, éd, MASPERO 1967,
p.28
* 46 CH.BETTELMEN, op, cit,
p.29
* 47 CH BETTELHEIM op, cit,
p.31
* 48 KLOTCHKOFF J.C
« import-export » in jeune Afrique
économique, n°281, février 1999, p.18
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