CHAPITRE TROISIEME : UNIVERSITE DE LUBUMBASHI ET
GESTION DES
ETUDIANTS INTERNES
Comme nous l'avons déjà signalé ci-haut,
ce présent travail cherche à atteindre les objectifs plus nobles
pour une meilleure gestion des étudiants internes. C'est dans cette
perspective que nous avons dû concevoir ce chapitre pour analyser et
interpréter toutes les données présentées dans le
chapitre précédent pour enfin, confirmer ou infirmer nos
hypothèses soulevées dans ce travail. En effet, ce présent
chapitre est composé de quatre sections, notamment la première
section parle de la sécurité et la protection des
étudiants internes, la deuxième traite sur les conditions
hygiéniques des étudiants internes, la troisième section
est focalisée sur l'efficacité de l'Administration des
étudiants internes et enfin la quatrième section porte sur les
moyens nécessaires et les politiques de gestion rationnelle des
étudiants internes.
SECTION.I : DE LA SECURITE
ET LA PROTECTION DES ETUDIANTS INTERNES
Plusieurs questions ont été formulées autour de
ces deux variables et adressées aux étudiants internes qui ont
fait l'objet notre population d'étude dans le cadre de cette recherche
pour recueillir les informations au sujet de la sécurité et de
leur protection sur le campus. En effet, le campus de Lubumbashi étant
ouvert à tout le monde, c'est-à-dire qui que ce soit y
accède sans restriction suite à la non-clôture de celui-ci,
et cela met en danger la sécurité des étudiants internes.
Plusieurs étudiants ont pu témoigner comment l'université
les gère sur le plan sécuritaire. Mais avant d'aller plus loin,
le tableau N°1 met en évidence les informations liées
à la sécurité des étudiants internes dont 82% des
enquêtés affirment que l'absence de l'éclairage public et
la non-clôture du campus les expose à
l'insécurité.
Un campus comme celui de Lubumbashi réputée
université publique de l'Etat qui devrait être un modèle
pour toutes les restes d'universités du Congo, manque de
l'éclairage public sur ses cités et cela intéresse moins
les autorités académiques. Les étudiants internes sont en
danger sur le plan sécuritaire, le manque de l'éclairage public
et la non-clôture du campus font l'objet des facteurs parmi tant d'autres
qui favorisent l'insécurité sur les cités universitaires
du fait qu'on ne sait pas identifier qui entre et qui sorte sur le campus
à n'importe quelle heure.
Ecoutons cet enquêté étudiant interne nous
raconter : « ici nous sommes vraiment exposés à
l'insécurité, n'importe qui entre sur le campus à
n'importe quelle heure et même les véhicules y accèdent. Un
jour, un chauffeur de transport en commun était pourchassé par
les
éléments de la police de circulation
routière et il est entré ici en toute vitesse et avait failli
tamponner les étudiants ».
Un autre enquêté nous raconte ceci : « nous
sommes exposés à l'insécurité ici, tout le monde
entre sans contrôle parce que le campus n'est même pas
clôturé et la nuit il n'y a pas d'éclairage public sur les
cités universitaires, en tout cas nous sommes déjà
rejetés et oubliés par nos autorités qui nous
gèrent ». Le 03 avril 2016 vers 20H00 un homme armé est
entré sur le campus et a commencé à tirer à balle
réelle et il était parti sans être maitrisé. Tout le
monde était ému de la peur et d'autres, à partir de ce
jour-là, ont dû quitter le campus pour aller habiter à la
cité. Tous ces témoignages renforcent toujours l'hypothèse
selon laquelle l'université n'assure pas réellement sa
responsabilité sur le plan sécuritaire du campus.
Dans le tableau N°2, 52% des enquêté ont
rassuré que la fourniture de l'eau et du courant électrique sur
le campus n'est pas du tout bonne. Par conséquent, l'eau et le courant
électrique font partie des éléments qui contribuent aussi
à la sécurité sur le campus mais ces indicateurs de la
sécurité font l'objet d'un grand problème des Kassapards
vivant sur les cités universitaires. Les autorités
chargées de la gestion de cette institution n'y songent plus. Chaque
jour qui passe il y a coupure du courant et de l'eau non avisée sur le
campus et d'ailleurs dans le tableau N°3, un nombre plus
élevé des enquêtés soit 46% a dit : « Non»
ils ne sont pas informés toutes les fois qu'il y a coupure sur le
campus.
Un enquêté pensionnaire du bloc E nous a
raconté ce qui suit : « nous ne sommes pas informés quand il
y a coupure d'eau et du courant électrique. Il arrive de fois nous
pouvons faire toute la journée ou soit deux jours sans courant
électrique même de l'eau. Souvent quand il y a coupure d'eau, nous
partons nous approvisionner à la cité dans des parcelles d'autrui
».
Les étudiants se sentent bel et bien en
insécurité à cause de l'instabilité du courant et
par conséquent, cette insécurité se traduit par le vol de
leurs bien en l'occurrence les habits, les téléphones, les
ordinateurs portables et j'en passe, par les voleurs qui viennent de tous les
coins environnant les cités universitaires mais aussi par
eux-mêmes dans des chambres.
Les informations du tableau N°4 nous rassurent encore
d'avantage sur cette question que 74% des enquêtés affirment que
les voleurs arrivent à opérer sur les cités
universitaires.
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Tout compte fait, les informations récoltées au
sujet de la sécurité et de la protection des étudiants
internes nous rassurent à près cette analyse qu'il n'y a pas de
sécurité
Cet enquêté pensionnaire du bloc C nous raconte
ce qui suit : « les voleurs nous font souffrir, ils nous volent tous les
jours et surtout la nuit quand il y a coupure du courant. Si vous lessivez les
habits il faut être là pour les veiller soit charger quelqu'un,
sinon on vole le tout ». Un autre nous dit ceci : « nous avions
attrapé un voleur devant notre bloc ici vers 2 heures du matin et il
avait été tué sur place par les étudiants parce
qu'il avait volé les ordinateurs, les téléphones donc
beaucoup des choses ».
Vu cet état de chose, plusieurs questions traversent
notre esprit et on se demande à qui revient cette charge d'assurer la
sécurité des étudiants internes ? Pourquoi
l'université n'arrive pas à prendre des mesures pour juguler
cette insécurité et protéger les étudiants internes
?
Et pourtant, l'université dispose d'une direction de
sécurité qui est composée des agents de
sécurité de l'UNILU, qui assurent la sécurité de
ses plusieurs patrimoines mais elle ne pense même pas à les
déployer aussi sur le campus afin de protéger les internes. Par
contre, il existe une équipe de sécurité sur les
cités universitaires appelée « brigade de la
sécurité mobile du campus » composée des
étudiants internes nommés par le recteur, prétextant
d'assurer la sécurité de ces derniers, alors que sur le terrain,
ces étudiants, du fait qu'ils sont pris en charge par
l'université, se livrent à donner toutes les informations sur les
étudiants internes au lieu de s'occuper de leur tâche afin de
protéger leurs avantages qu'ils bénéficient auprès
de l'université.
Le tableau N°5 nous donne la lumière sur cette
question de l'équipe de sécurité mobile dont les
résultats nous renseignent que 48% des enquêtés soit le
nombre le plus élevé dans ce tableau a dit que «
l'équipe de sécurité mise à leur disposition par
l'université ne les protège pas réellement ». Cette
équipe est accusée de partialité du fait qu'elle est
beaucoup plus redevable et attachée aux autorités
académiques. Les autorités académiques l'utilisent comme
leurs agents de renseignement pour avoir toutes les informations sur les
étudiants internes en cas de manifestation ou de tout ce que les
étudiants veulent entreprendre. A cause de cela, les étudiants ne
savent plus réclamer leurs droits ni auprès des leurs
autorités qui les gèrent ni encore moins de l'Etat. Cela les
amène à vivre dans un climat de stress au risque de se voir
dénoncé et être chassé de l'université.
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sur le campus pour les étudiants internes. Il sied de
préciser que la responsabilité de l'université n'est pas
assuré sur le plan sécuritaire dans la gestion des
étudiants internes.
SECTION.II : LES CONDITIONS HYGIENIQUES DES ETUDIANTS
INTERNES
Il est question dans ce point d'analyser et
d'interpréter toutes les données relatives aux conditions
d'hygiène des étudiants internes afin de vérifier notre
hypothèse et surtout se rendre compte si bien l'université assure
sa responsabilité sur le plan hygiénique des étudiants
vivant sur le campus.
En effet, lors de notre descente sur terrain, nous avons
été frappés par une très grande inquiétude
du fait que le campus de Lubumbashi affiche une image marrant sur le plan
hygiénique. A cet effet, la cour des cités universitaires donne
l'impression d'un dépotoir public et cela peut s'expliquer par le fait
qu'à l'entrée même du campus, on trouve beaucoup de
remblais d'immondices qui trainent sans être évacués. Alors
on se demande est-ce que l'université n'a-t-elle pas un service
chargé d'assainir le campus ? Or, ce service existe semble-t-il mais ne
remplit plus sa tâche.
Ainsi donc, le tableau N°6 nous renseigne que 92% des
enquêtés ont dit que « c'est eux-mêmes les
étudiants internes qui s'occupent de l'assainissement de leur milieu de
vie ou du campus ». Ce qui est inacceptable dans la gestion des
internats.
L'un de nos enquêtés nous a raconté ce qui
suit : « nous ne sommes pas à l'internat ici comme dans la plupart
d'autres internats. Je suis étonné vraiment de constater qu'il
n'existe même pas un service d'assainissement au campus, tout c'est
à la charge des étudiants et on se demande quel est le rôle
de la direction des oeuvres estudiantines et pourtant nous payons le loyer
».
La plupart des étudiants internes pensent qu'il
n'existe pas un service d'assainissement sur les cités universitaires,
alors que ce service existe depuis la création du campus mais de nos
jours il n'est plus équipé tant sur le plan matériel
qu'humain.
Madame la comptable de la direction des oeuvres estudiantines
nous a raconté ce qui suit : « au paravent le campus était
propre et il y avait tous les services possibles pour le bien-être des
étudiants internes. Le service d'hygiène et assainissement
travaillait régulièrement mais aujourd'hui ce n'est plus le cas,
si vous regardez l'environnement du campus vous allez vous rendre compte que
c'est trop sale, il y a des ordures partout et ce n'est pas parce que nous
manquons un service d'hygiène mais c'est parce que ce dernier n'est
pas
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équipé en matériel et en personne, les
gens qui y travaillent sont déjà vieux et ils ne sont pas bien
payés par l'université ».
Cette insalubrité du campus se rapporte jusqu'aux
demeures et même aux installations hygiéniques des
étudiants. Les informations nous fournies par notre enquête dans
le tableau N°7 nous rassurent à suffisance que les habitations ou
les demeures des étudiants sur le campus sont dans un état de
délabrement très avancé et ne répondant pas aux
conditions d'hygiène adéquates. Dans cette perspective, 68% des
enquêtés confirment que « l'état de leurs logis est
malpropre ».
Cette malpropreté peut être expliquée par
plusieurs choses notamment les fenêtres sont vide sans vitres ni
lamelles, trop de saleté au balcon pour ceux qui vivent aux homes,
d'autres bloc et homes suintent pendant la période pluvieuse, les
installations électriques apparentes bricolées par les
étudiants, etc. d'ailleurs, le tableau N°19 le prouve par ses
informations qu'il nous fournit que 54% des enquêtés affirment que
le service de maintenance ne fait pas réellement sont travail. Ce qui
veut dire que ce service ne travaille plus sur les cités universitaires
et ce sont les étudiants eux-mêmes qui se débrouillent et
bricolent toutes les installations électriques sur le campus. Du fait de
mauvais état de leurs demeures, les étudiants internes se sentent
exposés également à l'insécurité, le tableau
N°8 nous prouve que 46% des enquêtés a dit nous ne nous
sentons « pas tellement » en sécurité dans nos
habitations.
Quant aux installations hygiéniques sur le campus, cela
constitue également un sérieux problème des
étudiants internes dont la plupart d'entre eux se soulagent dans la
brousse qu'ils appellent dans leur jargon « Home 11 » qui signifie
toilette publique. Alors, nous nous demandons pourquoi ils partent se soulager
en brousse ? Tout cela pour bien comprendre comment les étudiants
internes sont gérés. A cet effet, dans le tableau N°9, un
nombre plus élevé des enquêtés soit 84% rassure que
s'ils partent se soulager en brousse c'est parce que les toilettes sont
malsaines.
Dans cette perspective, il sied de rappeler que tous les Homes
et les blocs sur les cités universitaires ont été
construits avec des toilettes et des douches à l'intérieur mais
suite à la durée et à la mauvaise gestion, elles se
retrouvent aujourd'hui dans un état de délabrement très
avancé avec des cuves détériorées, les fosses
septiques pleines et débordées par les excréments, les
mauvaises odeurs se rependent dans des chambres et personne ne s'y
intéresse. Cela, pousse les étudiants d'aller faire leur besoin
dans la brousse sans tenir compte
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des risques qui peuvent en découler. Le tableau
N°10 présente les données par rapport à cette
question dont 80% des enquêtés confirme que les gestionnaires ne
s'intéressent même pas à leur problème de
toilette.
Un enquêté nous a raconté ceci : « il
y avait une fois nos toilettes et nos douches étaient bouchées et
nous avions dit à l'échevin pensant qu'il va informer sa
hiérarchie afin de trouver la solution, il ne l'a pas fait.
Nous-mêmes les étudiant sommes allés voir le directeur des
oeuvres et lui avions exposé notre problème et rien n'a
été fait jusqu'à lors. Nous nous sommes rendu compte que
nous sommes vraiment négligés et rejetés ».
Les questions de santé des étudiants ne doivent
pas être sous-estimées et on ne peut considérer qu'elles
vont de soi. Un certain nombre des signaux sur la dégradation de la
santé des étudiants internes sont en effet inquiétants
suite aux mauvaises conditions d'hygiène.
Un enquêté pensionnaire du Home 8 nous a dit ceci
: « l'année antérieure (en 2013), nous avions perdu notre
camarade et voisin de notre chambre suite au collera, tout cela par ce que nous
sommes mal gérés avec les immondices et les fosses septiques qui
sont déjà pleines et ça déborde même
».
En effet, par rapport au constat fait, à l'analyse et
l'interprétation des données relatives aux conditions
hygiéniques dans la gestion des étudiants internes sur le campus,
nous nous permettons de déduire que l'université ne veille pas
sur l'hygiène des usagers des Cités Universitaires dans toutes
ses diversités. Ce sont les étudiants qui s'organisent pour
mettre un peu de propreté sur le campus mais les responsables ne s'y
intéressent plus.
§1. Les soins de santé et les conditions
alimentaires des étudiants internes Une question avait
été posée aux étudiants pour savoir si
l'université assure réellement leurs soins de santé et les
résultats obtenus à cette question en guise des informations,
sont vraiment inquiétants. Le tableau N°12 nous montre qu'un nombre
élevé des enquêtés soit 62% a confirmé que
l'université n'assure pas réellement leurs soins de santé
et le centre de santé qui est sur le campus n'assure même pas leur
soins primaires et cela se justifie dans le tableau N°13 qui met en
évidence les données par rapport à cette question et dont
98% des enquêtés affirment que le centre de santé qui est
sur les cités universitaires n'assure pas leurs soins primaires.
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Par contre dans le règlement organique de
l'université de Lubumbashi, il est écrit aux articles 158 que
« dans la mesure du possible, l'université peut mettre à la
disposition des étudiants un ensemble de services sociaux comportant
notamment l'hébergement dans les cités universitaires, la
restauration et les soins médicaux et pharmaceutiques, aux conditions de
prix fixées par le conseil d'administration », l'article 159
enrichit en disant que « le bénéfice des services sociaux
universitaires est restreint à l'étudiant et ne comprend en
aucune façon les personnes éventuellement à charge »
et enfin l'article 160 précise en disant que « l'admission dans les
cités universitaires aux restaurants universitaires, le
bénéfice des soins médicaux et pharmaceutiques et des
autres services sociaux accessibles aux étudiants sont
réservés aux seuls étudiants s'étant
acquittés des droits d'inscription au rôle et aux cours et ayant
payé au préalable les prix fixés par le conseil
d'Administration ».38Mais dans le fait, rien ne se fait en ce
qui concerne les soins médicaux et même la restauration. Les
étudiants préparent eux-mêmes et se font soigner avec leurs
propres moyens contrairement à ce qui est dit dans le règlement
susmentionné.
Un enquêté nous raconte ceci : « ces gens-ci
sont des menteurs, ils nous disent que lorsque vous avez déjà
payé les frais de minerval, vous êtes censé
bénéficier les soins médicaux gratuitement mais quand nous
partons aux clyniques universitaires, il se passe d'autres choses. Seulement la
fiche de consultation qui est prise en charge pour l'étudiant qui a
déjà payé les frais de minerval donc on divise par deux le
montant total de la fiche et l'étudiant paie la moitié, pour les
restes nous payons comme tout particulier qui vient à l'hôpital,
c'est comme si cet hôpital n'est pas pour les étudiants ».
Il en est de même pour les contions alimentaires, le
tableau N°21 nous montre que 90% des enquêtés rassurent
qu'ils ne sont pas pris en charge par l'université sur le plan
alimentaire et dans le tableau N°22, 72% des enquêtés a
répondu que les étudiants internes « préparent
eux-mêmes dans leurs chambres ». Ce qui est contraire aux prescrits
du règlement organique de l'université. Il faut dire
également au sujet de la restauration que les autorités
académiques se contredisent, lorsque nous analysons leur
règlement par rapport à ce qui se passe sur le terrain, il
s'avère qu'il y a un grand problème dans l'exécution de
leur décision et ils ne respectent pas le règlement qui les
régit.
Plus loin dans le guide de l'étudiant, ils informent
à la communauté estudiantine que l'université n'organise
plus la restauration des étudiants. Ceux-ci doivent disposer de
38 www.unilu.ac.cd/?page-id, consulté le
31juin 2016
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leurs propres moyens pour s'approvisionner en denrées
alimentaires sur les marchés locaux et préparer leur nourriture
comme ils l'entendent.39 Alors, on se demande pourquoi elle
n'organise plus ? Et si c'est comme ça, pourquoi gardé les
articles qui parlent de services sociaux dans la gestion des étudiants
?
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