REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
INSTITUT SUPERIEUR DE STATISTIQUE
DEPARTEMENT DE L'INFORMATIQUE DE GESTION
I.S.S
B.P.2471
Lubumbashi
« Mis en place d'une application
d'enregistrement de mariage dans un bureau communal » (cas de la
commune KENYA)
Présenté par : MULAMBA DIBWE
JOSEPH
Travail présenté et défendu en
vue de l'obtention de grade de gradué en informatique de
gestion.
Option : INFORMATIQUE DE GESTION
SEPTEMBRE 2016
C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa
mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule
chair.
genèse 02 :24
EPIGRAPHE
DEDICACE
A l'Eternel Dieu Tout Puissant, maitre de temps et des
circonstances, sans lui, nous n'arriverions pas à la rédaction de
ce travail qui sanctionne la fin de notre premier cycle universitaire. Soit
béni pour toutes les grâces que nous sommes
bénéficiaire.
A mes très chers parents bien aimés, pour leurs
amours, sacrifices, conseils, éducations et leur volonté de mon
instruction. A vous père MULAMBA DIBWE Jeef et mère ASSIYA
MAYANI, ma très chère mère ; je vous dédie ce
travail. Vos conseils m'ont affermi.
A vous ma famille, piliers de ma personne aujourd'hui, sans
votre contribution et votre volonté, ce travail n'aurait pas
existé : A vous Erick MULAMBA, Shabani MULAMBA, PIKULE MUNGWA
André, Sifa ISIYAKA, Elisabeth MULAMBA, jean MULAMBA, à toi mon
vieux André PIKULE sans oublier Santos ISIDORE umela mon
frère.
A vous mes collègues qui ne sont pas cités,
trouvez mes vifs remerciements les distingués : à MUNGA
Mathieu, TEKELEKE, Franck KITWA, INNOCENT, SAHEL, MARIE...
A ma famille spirituelle, qui mes soutient dans la
prière, le Révérend pasteur papa KASONGO et à toute
l'église PENIEL KALUBWE que l'éternel mon Dieu vous
bénisse.
INTRODUCTION GENERALE
Gérer c'est prévoir dit-on. Fort de cette
conviction, l'Etat de la République Démocratique du Congo (RDC) a
décidé depuis 1885, d'organiser le service de l'état -
civil ; à qui il assigna la mission de s'occuper des mutations qui
interviennent dans la vie d'une personne (naissance, mariage,
décès, changement des noms, etc.). Ce service permettrait entre
autre, à l'Etat congolais en général et à chaque
province en particulier, de maitriser la population effective de sa
juridiction.
Cependant, plus les enregistrements de certificats de mariage
congolais augmente, plus la tâche devient ardue pour l'état -
civil.Surtoutque l'enregistrement s'effectue manuellement puis l'encodage dans
un fichier Publisher qui ne garantit pas une bonne sécurité et un
bon suivi. Le champ de notre étude La commune de la kenya, n'est pas
resté en l'esse par ce constat. Le manque de la maitrise de la
population effective a beaucoup de conséquences pour un état en
plein décentralisation.
Face à cette réalité, il est grand temps
d'aborder la gestion de l'enregistrement des mariages à l'Etat - civil
sous l'approche base de données.
Conscient de cette lourde tache (celle d'informatiser ce
système d'information) dont nous nous sommes donnée, nous avons
formulé notre sujet de recherche comme suite : « mis en place
d'une application informatique pour l'enregistrement de mariage dans un bureau
communal (cas de la commune de la Kenya) »
1. CHOIX ET INTERET DU SUJET
A.CHOIX DU SUJET
Le choix du sujet est une étape qui détermine
les motivations qui ont poussé le chercheur à choisir son
sujet1(*). Nous nous sommes
dit qu'avec une application informatique d'enregistrement de mariage dans un
bureau communal, nous mettrons fin à l'enregistrement manuel de
l'information concernant lemariage et nous éviterons l'enregistrement de
double mariage d'une seul personne dans une commune.
Notre choix porté sur ce sujet se justifie
également pour approfondir les notions de programmation orienté
objet et de la conception à la réalisation d'une base de
donnée qui ne cesse de prendre de l'ampleur dans la révolution
technologique.
B. INTERET DU SUJET
Aujourd'hui les entreprises, les organismes internationaux et
même les Etats recourent aux nouvelles technologies de l'information et
de l'automatisation car les résultats qu'elles produisent sont sans
contestes optimaux et efficaces. Elles procurent donc une rationalisation, une
productivité et une automatisation rassurantes.
Ø sur le plan personnel
L'intérêt que présente ce sujet pour nous
est de concrétiser les connaissances acquises tout au long de notre
parcours estudiantin aux réalités du terrain c'est-à-dire
approfondir les notions sur la conception d'une base de donnée et la
réalisation d'un programme informatique.
Ø sur le plan social
Nous voulons mettre à la disposition de l'état
civil de la commune Kenya une base de données implémentée
dans une application qui permettra de maximiser le temps du client(de
conjoint).
Ø sur le plan scientifique
Ce travail constitue une documentation que de futurs
scientifiques ou chercheurs pourront consulter à la bibliothèque
de la faculté dans l'élaboration de leurs travaux.
2. ETAT DE LA QUESTION
L'état de la question est une transition dans les
méthodes de recherche scientifique.
Ainsi, il nous a semblé judicieux de chercher si notre
préoccupation n'aurait pas fait objet d'un autre travail.
Pour ce faire, nous nous sommes inspirés des travaux de
chercheurs ci-après :
1. DUNIA YAFUNGU Gabriel : sujet « Mise en
place d'une application web pour la gestion des certificats de mariage en
RDC » 2(*)
La consultation des différentes fiches de mariage dans
les communes de la République Démocratique du Congo rend la
tâche ardue au service de l'état-civil du pays et la mise en
commun des informations enregistrées n'est pas si sûre, pas de
suivi en cette matière en ce qui concerne l'enregistrement des
certificats de mariage au pays, car il arrive de remarier quelqu'un qu'il a
déjà était sans pour autant être divorcé
officiellement, le délai de publication ne garanti pas la
sécurité et la loyauté des nouveaux mariés.
Face à ce qui a été posé comme
problème, l'auteur a trouvé comme hypothèse que son
application permettra à l'etat-civil un enregistrement des
différentes fiches rapide et simple à faire, une
réduction de temps de travail à son service, une consultation
très développée des mariages précédents et
une sécurité énorme de différent fiche de
mariage.
2. blaise KABAMBU : sujet « mise en
place d'une application partagée en réseau pour l'enregistrement
des enfants à l'etat-civil. Cas de la ville de
kinshasa/RDC »
Depuis les événements de guerre de jalousie et des
guerres fratricides qui sévissent la RDC et la région des grands
lacs(1998) ; la République Démocratique du Congo a vu ses fils et
filles fuir son territoire pour se refugier dans des pays voisins.
Parallèlement à cette fuite, beaucoup d'étrangers
décident d'élire domicile en RDC pour les mêmes causes.
Aumême moment, Il ya diminution et accroissement de la population de la
RDC.
Du résultat de ces mouvements, beaucoup de congolais
décident de rester dans ces pays de fuite jusqu'à la pacification
de leurs régions d'origine. De même, beaucoup d'étrangers
décident de rester en RDC pour les mêmes raisons.
Un autre motif de l'accroissement de la population congolaise
est son hospitalité et le climat d'affaire. En effet, depuis plus d'une
décennie, la RDC est devenue la cible privilégiée de
beaucoup d'investisseurs. Si les investisseurs blancs se distinguent par la
couleur de leurs peaux, que dire de ceux avec qui les congolais partagent la
même couleur de peau ? Ne pouvons-nous pas envisager un conflit de
nationalité pour tous ces congolais qui fuient leur territoire et pour
tous ces étrangers qui résident longtemps en RDC ?
En effet, l'accroissement non surveillé de la
population s'accompagne des grands dangers sur l'avenir de la nation. Ces
dangers peuvent être : la mise en place d'une politique de
développement ne tenant pas compte de la démographie et/ou le
risque permanent de donner la direction de cette nation entre les mains des
étrangers (présidence de la République par exemple).
Face à ce problème soulevé, l'auteur a
trouvé comme hypothèse que, pour faire éviter aux
générations futures le conflit de nationalité en RDC et
aider le gouvernement provincial de Kinshasa à maitriser sa population
effective au mieux, il faut implémenter une application informatique qui
sera chargée d'enregistrer les naissances qui interviennent sur le sol
et l'espace aérien de la ville de Kinshasa. Le système
d'enregistrement des enfants étant déclaratif, Les naissances qui
seront enregistrées sont bien sûr celles qui seront
présentées au service de l'Etat - civil.
En ce qui nous concerne, nous allons nous atteler à la
conception d'une application d'enregistrement de mariage qui permettra à
l'état civil (de la commune kenya) d'avoir une base de donnée qui
pourra archiver les différents mariages afin d'éviter le doublon
de mariage, de rendre fiable l'encodage des information et de faire une
consultation rapide de données.
3. PROBLEMATIQUE
La problématique réfère
généralement à un ensemble d'éléments ou
d'informations formant un problème, à la structure d'information
dont la mise en relation engendre chez un chercheur un écart se traduit
par un effet de surprise ou de questionnement assez stimulant pour le motiver
à faire une recherche3(*).
La consultation des différentes fiches de mariage dans
les communes de la République Démocratique du Congo rend la
tâche ardue au service de l'état-civil du pays et la mise en
commun des informations enregistrées n'est pas si sûr, pas de
suivi en cette matière en ce qui concerne l'enregistrement de mariage au
pays, car il arrive de remarier quelqu'un qu'il a déjà
était sans pour autant être divorcé officiellement, le
délai de publication ne garantit pas la sécurité et la
loyauté des nouveaux mariés.
La problématique de notre travail tournera autour des
réflexions ci-dessous, lesquelles comportent des questions fondamentales
que voici :
- L'implémentation d'un système d'information
informatisé, pourra-t-elle réduire le risque de double
enregistrement de mariage? En se référant au code de la famille
de l'article 330?4(*)
Voilà les préoccupations principales et
globales, auxquelles nous tenterons de réserver des réponses
provisoires.
4. HYPOTHESE
L'hypothèse selon R. PINTO et M. GRAWITZ est
définie comme étant une proposition de réponses aux
questions que l'on se pose à propos de l'objet de la recherche,
formulée de telles sortes que l'observation et l'analyse puissent
fournir des réponses5(*).
Face à la problématique citée ci-haut
nous supposons que la mise en place d'une application informatique
d'enregistrement de mariage dans un bureau communal de l'état-civil
pourra :
- Réduire le temps de travail au service de
l'état civil, en quittant de l'enregistrement manuel à
l'enregistrement automatisé avec l'outil informatique
- Rendre fiable l'encodage des informations et faire une
consultation rapide des données
- Sécurité et archivage des données.
5. METHODES ET TECHNIQUES
Méthodes
La méthode est défini comme un ensemble des
démarches intellectuelles par la quelle une discipline cherche à
atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontre et
les vérifie6(*).
Pour ce qui est de la méthode informatique, nous
utiliserons la méthode MERISE. Elle est basée sur la
séparation des données et de traitements à effectuer en
plusieurs modèles. La séparation des données et des
traitements assure une longévité au modèle transitant par
des niveaux d'abstractions (conceptuel, logique et physique).
Techniques
PINTO et GRAWITZ définissent les techniques comme
étant des étapes d'opérations limitées et
liées à des éléments pratiques, concrets et
adaptés à un but bien défini.
En ce qui concerne les techniques utilisées, nous avons
utilisé les techniques suivantes pour la collection des informations
:
· Technique d'observation
· Technique d'interview
· Technique documentaire
5.9.1. TECHNIQUE D'OBSERVATION
L'observation est une phase de sélection et de recueil
d'information caractérisée par une interaction minimale avec
l'objet d'étude ou plutôt un échantillon ou
représentant7(*).
Partant de cette technique, nous avons récolté
quelques informations en discrétion, lors de notre passage au
département de l'état-civil de la commune Kenya et avions
rencontré certaines difficultés que rencontre le
département de l'état-civil de ladite commune.
5.9.2. TECHNIQUE D'INTERVIEW
Une interview est une communication personnelle
suscitée dans un but d'information8(*).
Grace à cette technique nous étions au bureau du
chef de département de l'état-civil de la commune Kenya, qui, de
par sa courtoisie nous a accordé une interview qui nous a permis de
recueillir les données dont nous avions besoin afin d'avoir un bon moyen
pour assurer des taux de réponses à nos questions et
inquiétudes.
5.9.3. TECHNIQUE DOCUMENTAIRE
Selon GRAWITZ, la technique documentaire consiste en une
fouille systématique de tout ce qui est écrit ayant une liaison
avec le domaine de recherche. Il s'agit des ouvrages, lesmémoires, les
rapports, et les notes de cours ainsi que les sites web, etc.9(*)
Par cette technique, nous avons eu recourt à quelques
documents qui nous a été indispensable pour la rédaction
de notre travail.
6. DELIMITATION DU SUJET
Nous ne prétendons pas étudier l'univers entier
étant un travail en informatique, il nous est difficile de nous
délimiter sur le plan temporaire ; cependant dans le cadre de cette
étude nous avons délimitez notre travail en deux points :
· Délimitation spatiale : Notre
champ d'investigation est la commune de la Kenya ayant son siège dans la
commune portant le même nom sur l'avenue BASILIQUE N°2.
· Délimitation Dans le Temps,
dans le temps, notre travail porte sur la situation actuelle que traverse le
service d'approvisionnement et les résultats obtenus seront utilisable
tant que le système mis au point sera d'application.
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion, notre travail est
reparti de la manière que voici :
v Le premier chapitre :les concepts et
considération théorique du sujet
v Le deuxième chapitre :
v Le troisième chapitre :la conception du nouveau
système.
v Le quatrième chapitre :
Chapitre I: LES
CONCEPTSET CONSIDERATION THEORIQUE DU SUJET
Dans ce premier chapitre de notre travail, nous allons axer
notre attention sur quelques concepts fondamentaux autour desquels va se
focaliser notre étude. L'objectif poursuivi en parlant de ces concepts,
est de permettre à tous nos lecteurs, tendance confondue, de maitriser
les concepts employés en vue de s'imprégner du contenu de notre
travail.
Deux points essentiels composeront ce chapitre. Nous parlerons
d'abord des différents mots qui cadre avec notre sujet et aussi des
théories acquises tout au long de ce cycle de graduat en rapport avec
l'informatique de gestion.
1. LES MOTS CADRANTS AVEC LE SUJET
Mis en place:mettre quelque chose à la
disposition en oeuvre
Application : une application ou un
applicatif est, dans le domaine informatique, un programme (ou un ensemble de
programmes) directement utilisé par l'utilisateur pour réaliser
une tache, ou un ensemble de taches élémentaires d'un même
domaine ou formant un tout. Typiquement, un éditeur de texte, un
navigateur web, un lecteur multimédia, un jeu vidéo, sont des
applications. Les applications s'exécutent en utilisant les services du
système d'exploitation pour utiliser les ressources
matérielles
Enregistrement (en informatique) :
l'action d'écrire une information sur un support matériel.
Concept mariage :Par définition,
le mariage est définit comme un acte civil, public et solennel par
lequel un homme et une femme qui ne sont engagés ni l'un ni l'autre dans
les liens d'un précédent mariage enregistré,
établissent entre eux une union légale et durable dont les
conditions de formation, les effets et la dissolution sont
déterminés par la loi sur le droit de la famille10(*).
Le droit de la famille est l'ensemble des règles de
droit qui régissent les mariages, l'union libre (la vie maritale), les
diverses formes de désunions (séparation, annulation, divorce).
La filiation, l'autorité parentale, la tutelle.
2. DEMARCHE MERISE
Pour ce point, nous parlerons d'abord de quelques concepts
liés à la démarche merise et nous finirons par les
étapes ou processus d'avancement merise.
Propriétés : c'est une
information élémentaire qui représente un
intérêt de l'organisation.11(*)
Entité : est l''objet
réel ou abstrait, le concept que l'on veut décrire à
l'aide d'un ensemble des propriétés .l'entité doit
répondre aussi à un besoin de gestion.
L'identifiant d'une
entité : le plus petit sous ensemble de
propriétés qui identifie de façon unique une occurrence de
l'entité. L'identifiant est unique et il est toujours
soulignés.
Occurrenced'uneentité :(réalisation
ou instance) la réalisation d'un élément de
l'entité.
Unflux : un flux encore être
défini comme un échange d'information entre deux acteurs.
Acteur : un acteur est un intervenant
(personne physique ou service) dans le processus soit en étant
émetteur ou récepteur d'un flux
Evénement : c'est lors qu'un
fait d'éclanche une réaction au sein de l'organisation,
l'occurrence (la réalisation) de l'événement entraine le
déroulement des activités ou d'opérations.
Opération : on appelle
opération toute action (ou ensemble d'action à déclencher
pour réagir à un événement ou plusieurs
événements) elle produite plusieurs résultats.
L'opération est identifiée par un nom.
Résultat : on appelle
résultat ce qui est produit par l'exécution d'une
opération.
Processus : un processus est un
enchainement d'opérations relatives à un même domaine
d'activité .le processus constitue donc un sous -ensemble de
l'organisation dont les limites sont indépendantes des choix de
l'organisation.
Merise est un acronyme signifiant Méthode
d'étude et de la réalisation informatique par les sous-ensembles
ou pour les systèmes d'entreprise.la méthode MERISE a comme
objectifs d'aider, de guider le saï dans leurs phases d'analyse.
MODELE CONCEPTUEL DE
DONNE(MCD)
Démarche de la méthode ascendante par la
définition, le modèle conceptuel de données(MCD) est un
modèle abstrait de la méthode MERISE permettant de
représenté l'information d'une manière
compréhensible aux différents services de l'entreprise.il permet
une description statique du système d'information à l'aide
d'entité et des associations. Pour modéliser les données
au niveau conceptuel, deux démarches sont possibles avec MERISE, il
s'agit de la démarche de la méthode descendante qui
possède du particulier vers le général .le choix est
opéré sur le dernier car il est algorithmique et permet de
construire un modèle fiable en procédant par les étapes
ci-après : 12(*)
· Conception du dictionnaire de données construit
dans le chapitre précédant ;
· Construction de la matrice de dépendance
fonctionnelle à source simple ;
· Construction de la matrice de dépendance
fonctionnelle à source composée ;
· Construction de la matrice des clés ;
· Construction de graphe de clés ;
· Construction de la structure d'accès
théorique ;
· Et enfin, élaboration du schéma
conceptuel de données ;
DESCRIPTION DES DONNEES
La description de données conduit à la
conception d'un dictionnaire de données à l'aide d'une grille
d'analyse autrement dit appelée tableau d'inventaire des rubriques. Ce
qui veut dire qu'elle nous permettra de ressortir les données ainsi que
les documents en circulation dans le présent système.
Décrire les données, c'est recenser et représenter toute
les informations à utiliser dans le système ou dans le domaine
d'étude.
INVANTAIRE LOTS
D'INFORMATION
Un lot d'information est bien défini comme un ensemble
d'informations contenues sur un même support.
DICTIONNAIRE DE DONNEES(DD)
L'analyse du domaine à informatiser aboutit à la
construction d'un dictionnaire de données qui représente les
données évoquées dans le domaine étudié.
Donc un dictionnaire de données est un tableau issu du tableau
d'inventaire des rubriques.13(*)
MATRICE DE DEPENDANCE
FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE
A cette étape, l'identification correspondra au nombre
d'entité la dépendance fonctionnelle dépend d'une
organisation à une autre selon les règles de gestion. C'est aussi
une matrice carrée, les nombres des lignes égales aux nombres des
colonnes égales aux nombres des propriétés de type
numérique calculé retrouvées dans le dictionnaire de
données.
MATRICE DE DEPENDANCE
FONCTIONNELLE A SOURCE COMPOSE
Si toutes les propriétés sont utilisées,
alors la matrice dépendance fonctionnelle à source
composée n'existe pas. Sinon dans dépendance fonctionnelle
à source composée, nous devons commencer par les touchées
et terminé par les non touchées.
MATRICE DES CLES
Est une matrice carrée qui reprend la dépendance
fonctionnelle entre les clés primaires. Elle existe si au moins dans la
dépendance fonctionnelle a source simple qu'il existe un identifiant
qui est identifié.
GRAPHE DES CLES
Il est extrait de la matrice dépendance fonctionnelle
à source composée et matrice des clés .D ou, il convient
les différentes dépendances fonctionnelles.
STRUCTURE SAT (D'ACCES
THEORIQUE)
Elle est construite à partir de la dépendance
fonctionnelle se trouve dans la matrice dépendance fonctionnelle
à source composée et dans la matrice des clés .alors on
peut enfin extraire le modèle conceptuel de données.
MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES
(MCD)
A ce point, il s'établit le principe talque le but
d'identifiant d'ordre N, sont une relation (association) et toutes
dépendance entre source sont une contrainte d'intégrité
fonctionnelle(CIF).
TABLEAU DE CARDINALITE
La cardinalité d'une association permet de
définir les conditions de participation d'une entité dans une
association. Toutefois, une entité peut participer dans une ou plusieurs
associations.
MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT(MCT)
A l'instar du modèle conceptuel de données qui
schématise les données du système d'information, le
modèle conceptuel de traitement (MCT) décrit le traitement
et plus précisément toutes les activités découlant
des échange entre le domaine et le monde extérieur, il exprime
donc ce que fait le domaine sans poser le problème de savoir comment?
C'est ainsi qu'au niveau conceptuel, le modèle de traitement
décrit les opérations et les résultats ainsi que le
déroulement dans le temps des activités du domaine d'organisation
de façon indépendante d'organisation et de moyen utilisé.
Donc l'élaboration du modèle de traitement apparait comme la
phase clé de la conception du système d'information pour y
parvenir, les étapes ci-après seront
développées:14(*)
· Recensement des acteurs ;
· Recherche des flux ;
· Recherche des événements ;
· Construction du tableau des actions induites ;
· Construction du tableau des opérations ;
· Recherche des synchronisations ;
· Recherche des règles d'émission des
résultats ;
· Construction de graphe d'ordonnancement des
événements ;
· Et enfin la construction du schéma conceptuel de
traitement ;
Parmi ces étapes, seule les quatre dernières
serons développées dans cette partie car les autres sont
supposées être évoquées dans le chapitre suivant.
DESCRIPTION DES TRAITEMEMTS
Le traitement des messages, flux d'information
décrivent les tâches à effectuer à la
réception où l'émission d'un flux d'information.la
description des traitements va nous permettre de représenter les
opérations effectuées sur les données du système en
étude. Les points ci-après:15(*)
Tableau des événements ;
Tableau des actions induites ;
Tableau des opérations ;
Tableau des synchronisations ;
Tableau des règles d'émission de
résultats ;
Graphe d'ordonnancement des
événements (GEO)
Construction du modèle conceptuel de
traitements(MCT).
TABLEAU DES EVENEMENTS
Selon Fréderic DIGALLO ; l'événement
matérialiste est un fait qui en se dissent ; doit déclencher
une réaction du système. Cependant ; trois types
d'événement sont possible ; il s'agit donc du type
interne ; externe et temporel. Un événement est du type
interne si son émetteur est un acteur externe, si l'émetteur
correspond est un acteur externe. Le type temporel n'a pas d'émetteur,
il est lié au temps16(*).
TABLEAU DES ACTIONS INDUITES
Une action est toute réaction des acteurs internes
à la réception d'un événement .ce tableau
représenter l'ensemble des actions associer à un
événement.
TABLEAU DES OPERATIONS
Toute action déclenchée pour réagir
à un événement ou à plusieurs
événements, une opération produit un ou plusieurs
résultats et en plus elle doit être identifiée par son
nom
TABLEAU DES SYNCHRONISATIONS
Elle s'exprime sous forme d'une proposition logique, le fait
que l'opération peut être déclenchée ou pas. Elle
est exprimée par une expression booléenne liant les
événements déclenchant l'opération. Elle est
représentée immédiatement au-dessus de l'opération
qu'elle possède par un triangle orientée par
l'opération.
TABLEAU DES REGLES D'EMISSION DE RESULTATS
C'est une forme d'expression logique qui de les conditions
auxquelles est soumise de plusieurs résultats par une opération,
l'existence de RER entraine l'apparition des résultats différents
pour une même opération.
GRAPHE D'ORDONNANCEMENT DES EVENEMENTS (GEO)
C'est un graphe qui ordonne les événements
internes tout en associant les autres événements (temporels et
externes) ainsi que les résultats purs des opérations.Ils'agit
donc d'un ordre chronologique lié à la réalisation des
événements dans le temps.
CONSTRUCTION DU MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS(MCT)
Le modèle conceptuel de traitement est construit
à partir du graphe d'ordonnancement des événements.
MOT
La démarche consiste à confronter :
D'une part les traitements à faire (Quoi ?) du
niveau conceptuel détaillés en PF ;
D'autres part les règles et contraintes (Qui,
Où, Quand ?) du niveau organisationnel.
MODELE ORGANISATIONNEL DE
DONNEES (MOD) ET MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)
Le MOD est la représentation des données du SI
étudié (et de sa solution), en tenant compte des aspects
organisationnels liés à leurs mise en oeuvre dans le
traitement.
Cette modélisation de données permet:17(*)
· De représenter les données accessibles
par chaque type de poste et par chaque type de site,
· De faire apparaitre de nouvelles données,
reflets des choix organisationnels.
· De distinguer les données des PF manuelles de
celles qui seront informatisées,
· D'élaborer un MOD global pour le MLD.
a. D'où l'objectif du MOD :
· Distinguer les données à informatiser,
· Quantifier les volumes et définir la
durée de vie des données,
· Localiser les données par sites et par poste,
· Définir les niveaux de sécurité
requis
· Définir les entités et associations de
type organisationnel.
b. Modélisation :
On peut représenter le MOD de 3
manières :
· Le MOD général
C'est la structure organisationnelle, on s'attache à la
nature des entités et des associations, au système d'autorisation
et on ajoute des entités ou associations organisationnelles.
· La vue d'un type de site : on précise les
accès aux données à partir d'un type de site ainsi les
besoin locaux d'archivage.
MODELE ORGANISATIONNEL DU
TRAITEMENT (MOT)
Le modèle organisationnel de traitement s'attache de
décrire les propriétés des traitements non traitées
par le modèle conceptuel de traitements.il l'intègre donc la
notion de temps, dedurée, desressources, de lieu et de la nature de
traitement.il précise comment la future solution s'inséra dans
l'organisation de l'entreprise .
Ce modèle constitue une étape très
importante dans la démarche de conception : pour l'utilisateur, il
constitue l'expression complète de la future solution, telle qu'ils la
pratiqueront dans leur situation de travail.
DIAGRAMME DE PROCEDURE
(phases)
C'est un diagramme qui représente au niveau
organisationnel la circulation des informations et l'enchainement des
traitements dans le poste de travail.
DIAGRAAME D'ENCHENEMENT DES PROCEDURES
C'est diagramme qui traduit directement au niveau
organisationnel, le modèle conceptuel de traitement, il est donc
construit à partir du diagramme des procédures.
DIAGRAMME DE REPARTTION DES
TACHES
C'est un diagramme construit à partir du diagramme
d'enchainement des procédures en prenant en compte tous les traitements
interactifs(conventionnels)en abrégé TR.il est
considéré comme un descriptifs des PHASES qui montre la
répartition des tâches entre l'homme et la machine. Une phase est
ensuite non interrompue des taches de même périodicité et
d'exécuté sur un poste de travail.
IMPLEMENTATION
L'implémentation consiste à rendre
opérationnel la base de donnée divisions de notre part qu'elle
permet de représenté la solution trouver sur une configuration
matérielles en tenant compte de contraintes physique et
opérationnel subséquemment ; au niveau de
l'implémentation, le besoins des utilisateurs est répandu sous
une forme accessible et ces derniers peuvent directement utiliser le
matériel (outil) proposé.
LANGAGE DE PROGRAMMATION
Un langage de programmation est un ensemble de
caractères, des symboles et des règles assemblés en vue
d'être interprétés, exécutés par
l'ordinateur portant des exigences (syntaxe et sémantique) propre
à ce langage.
Il est question pour nous de concrétiser la
théorique à la pratique pour notre travail nous avons choisi le
Visual Basic et plus précisément le V.B. 6.0 ou Dot NET pour
facilement et être allégé avec la nouvelle tendance qui est
la programmation orientée objet et une de base de données externe
dite Access.
Langage Visual basic
Le langage utiliser pour apprendre à développer
les applications est Visual basic.
La version la plus récente VB fait partie de la suite
Visual studio19(*).
Classes Et Objets
On appelle classe la structure d'un objet, c'est à dire
la déclaration de l'ensemble des entités qui composeront un
objet.
SYSTEME DE GESTION DE BASE DE
DONNEES (S.G.B.D)
Un système de gestion de base de données est un
logiciel système de stockage et partager des informations dans la base
de données en garantissant la qualité, la confidentialité
des informations tout en cachant la complicité des
opérations.
La base de données
La base de données se définit comme étant
un magasin d'information composé de plusieurs fichiers manipulés
exclusivement par SGBD. Ce dernier cache la complexité de manipulation
de structure de la base de données et met à synthétique du
contenue.
L'accès aux
données
Le SGBD dispose d'outils qui permettent de gérer
l'accès simultané pour partager des données par plusieurs
utilisateurs par répétitions faciles, la mise à
jour20(*).
La requête
Avant de passer au portrait logiciel, il reste à
déterminer les requêtes dont l'utilisateur a besoin pour puiser
des informations de tables. Ces requêtes sont définies à
l'aide des interviews et au recueil des documents manipulés au sein du
système d'information de l'organisation.
Les Relations
Les relations ou associations représentent les liens
existant entre les entités. Contrairement aux entités, les
relations n'ont pas d'existence propre les relations sont
caractérisées, comme les entités par un nom et
éventuellement des attributs.
Les attributs
Un attribut est une caractéristique ou une
propriété d'une entité un attribut peut être
obligatoire ou facultatif et, avoir un domaine de valeurs ; celui-ci est
un ensemble de valeurs qu'un attribut peut prendre.
Clé primaire
C'est l'ensemble minimum d'attributs qui permet de distinguer
chaque n-uplet par rapport à tous les autres .chaque table doit
avoir une clé primaire.
Domaine
Le domaine est l'ensemble de valeur en extension ou en
compréhension. Un domaine peut être simple ou
composé21(*).
ü Domaine simple : Domaine est
simple lorsque tous les éléments sont atomiques ou
indécomposable.
ü Domaine composé : Domaine
est composé lorsque tous les éléments peuvent être
décomposés22(*).
Les aspects de la base de
données
2.1.1.1. Aspect statique :
C'est tous ceux qui ne se changent pas dans une organisation,
les données sont statiques mais le traitement des informations
dépendent d'une organisation à une autre.
CHOIX DU SYSTEME DE BASES DE
DONNEES
Comme nous l'avons signalé dans la première
partie, l'évolution informatique a permis de mettre en marche
différents types de base de données parmi lesquels nous avons
opté le type relationnel qui est le plus rependu et utiliser dans le
monde informatique.
CHAPITRE II ANALYSE DE
L'EXISTANT
1. LA PRESENTATION DU SYSTEME
D'INFORMATION
1.1. Introduction
Dans la vie des entreprises, beaucoup de décideurs
arrivent à entreprendre la modification du système d'information
de leurs entreprises. Entreprendre cette démarche, est une
décision aux conséquences graves si celle-ci n'est pas bien
menée13.
Il est de ce fait conseillé de passer par une
étude d'opportunité avant la modification d'un système
d'information. Pour ce, quelles que soient les motivations qui conduisent
à cette modification et quels que soient les changements à
apporter ; l'étude d'opportunité autrement appelée
pré analyse, aura pour but d'analyser le système d'information
existant, de critiquer son fonctionnement et de présenter des outils
adéquats et nécessaires à la prise de décision sur
l'opportunité de le modifier ou de ne le pas.
Notre étude n'a pas échappé à
cette règle d'or. Pour ce faire, ce chapitre sera composé de
quatre points. En première position, nous présenterons le cadre
qui nous a reçu pour la récolte de données ; en
deuxième position, interviendra l'étude du système
d'information existant ; en troisième position, nous critiquerons ce
système et proposerons des nouvelles solutions et nous finirons par le
choix de la solution optimale.
Présentation du cadre
d'étude
Comme nous l'avons souligné à l'introduction
générale de ce travail, notre objectif consiste à
réunir les informations nécessaires sur l'enregistrement de
mariages à l'état - civil de la commune kenya en vue de concevoir
une application informatique pour cette gestion.
Pour ce faire, nous avons porté notre choix sur la
commune écologique de la kenyacomme commune pilote pour
des raisons de proximité avec le chercheur.
1.2. DE LA SITUATION
GEOGRAPHIQUE
a. Limites territoriales :
1 .naturelle :
A l'Ouest : par la rivièreLubumbashi
Au Sud : par la rivièreKafubu.
2.
géographies :
Au nord : la commune Lubumbashi avec boulevard
katuba ;
Au Nord-Est : la commune de kamalongo avec les rails
SNCC ;
Au Sud : la commune annexe avec la
rivièrekafubu ;
Au Sud-Est : la commune de kampemba avec les rails
SNCC ;
A l'Ouest : la commune de katuba avec la
rivièreLubumbashi
b. Coordonnées géographiques (latitude,
longitude...) :
Latitude Nord = 11° 36' et latitude Sud =
11°49'
Longitude Est = 27° et longitude Ouest=
27°30 `.
c. Altitude :
La commune de Kenya fait partie intégrante de la ville
de Lubumbashi dont l'altitude est de 1.230 m.
d. Superficie : 2,53 km2
1.3. DONNEES GEOGRAPHIQUES
a. Le type de climat
Un climat humide est généralement observé
dans la commune Kenya avec une tendance à la sécheresse.
v Alternance de saisons :
v La saison sèche qui va de fin avril à
septembre avec une particule de deux mois de froid sec sensible de juin
à juillet ;
v La saison de pluie qui va de fin octobre à mi-avril
et une forte chaleur se manifeste aux mois d'aout, septembre et octobre.
v Variation de température :
v La température moyenne annuelle varie entre 25 et
28°C
v Elle varie entre 1.200 et 1.500 mm/an.
b. La nature du sol
Le sol se caractérise par la latérite
rougeâtre (argilo-sablonneux).
c. Le relief
C'est un plateau incliné de l'Est vers Ouest et du Nord
vers le Sud.
d. Renseignements sur le sous-sol :
Sans objet
e. Kilométrage des routes vitales
Six avenues nous intéressent à cause de leur
vitalité. A savoir :
f. La végétation
dominante :
Quelques arbres à essence ornementale laissés
par le colonisateur sont visibles le long des avenues principales et au bureau
communal (eucalyptus,jacaranda,flamboyants, etc.) sans oublier l'effort de
reboisement déployé par la mairie de Lubumbashi.
g. L'hydrographie
Quelques principaux cours d'eau baignent la commune.
v En amont : la rivière Lubumbashi avec ses divers
espèces de poissons tels que les silures, tilapia... sans oublier les
roseaux servant à la fabrication des nattes.
v En aval : la rivière Kafubu dont les
caractéristiques sont pareilles a celles de la rivière
Lubumbashi.
h. La population :
-ethnies et tribus dominantes :
Plusieurs tribus font partie de la commune Kenya dont voici
les plus dominantes :
v Luba/Katanga
v Rund
v Luba/ Kasaï
v Hemba
v Bemba
v Tebwa
ORGANISATION
ADMINISTRATIVE
TITRE 1 : DIVISIONS ET SUBDIVISIONS
ADMINISTRATIVES :
a. La commune
Elle est subdivisée en trois quartiers qui sont :
LUALABA-LUAPULA et LUVUA.
A leur tour, les quartiers sont subdivisés en six (6)
blocs chacun, soit un total de dix-huit(18) blocs.
Ci-dessous le tableau numérique des quartiers au 31
décembre 2011 :
SUBDIVISIONS ADMINISTRATIVES
|
QUARTIERS
|
COLLECTIVITES
|
CITES
|
GROUPEMENTS
|
BLOCS
|
COMMUNE DE KENYA
|
3
|
-
|
-
|
-
|
18
|
TOTAL
|
3
|
-
|
-
|
-
|
18
|
La subdivision des quartiers est ainsi
libellée :
1. LE QUARTIER LUALABA
Créé le 17 octobre 1957 par décret
n°11/160 du gouverneur du Katanga, monsieur Gaston HEENEN, le quartier est
dirigé par monsieur KASONGO Vincent, matricule N.U , grade N.u
affecté par la commission collective n°10.161/BU/FPA/062/VL/2008 de
monsieur le maire de la ville en qualité de chef de quartier.
Dans l'exercice de ces fonctions, il est secondé par
monsieur yumbawamwamba matricule N.U, grade : N.U, affecté par la
lettre de désignation n°K.°12/BUR-BC/245/2009 du 01/09/2009 du
bourgmestre de la Kenya en qualité de chef de quartier adjoint.
Six (6) blocs composent ce quartier. Il s'agit de : BANA
KATANGA-ILUNGA KAKUSU-TANGANIKA-MAKUTANO-KUNDELUNGU-UPEMBA .
Sa superficie est de 0.8064 km2 ,tandis que sa
population comprend 34.782 habitant, dont 34.718 nationaux et 45
étrangers. La densité est de 4,3 habitants/km2
2. LE QUARTIER LUAPULA
Crée le 17 octobre 1957 par décret n°11/160
du gouverneur du Katanga, monsieur Gaston HEENEN, ce quartier est dirigé
par monsieur TSHIMBOJ YAV M. matricule 575.961, grade 310 affecté par
la commission collective n°10.161/BU/FPA/062/ VL/2008 du 08 aout 2008 de
monsieur le maire de la ville pour exercer les fonctions de chef de
quartier.
Il est secondé par madame Brigitte BUTOMBE,
matricule : N.U, grade : N.U affecté par lettre
n°K.0/02/BUR-BC/207/2011 du 22/08/2011 du bourgmestre.
Le quartier est composé en six (6) blocs qui
sont : MUNAMA - LUBUMBASHI - TSHIKWEJ - LUBUDI - KABONGO - KAFUBU .
La superficie est de 0,3882 km2 ,tandis que sa
population comprend 28.215 habitants dont 28.208 nationaux et 7
étrangers. La densité est de 7,2 hab/km2.
3. LE QUARTIER LUVUA
Crée le 17 octobre 1957 par décret n°11/160
du gouverneur du Katanga, monsieur Gaston HEENEN, ce quartier est actuellement
dirigé par monsieur MBUMB RUFUM, matricule : N.U affecté par
la commission collective n°/10.161/BU/FPA/VL/2008 du 08 aout 2008 de
monsieur le maire de la ville pour exercer les fonctions de chef de
quartier.
Dans l'exercice de ces fonctions, il est secondé par
monsieur MUTOMBO KYABUTWILE, matricule : N.U, grade : N.U,
affecté par une lettre du bourgmestre en qualité de chef de
quartier adjoint.
Le quartier LUVUA est composé de six(6) blocs, a
savoir :
KYUBO-MAMPALA-MOBA-MUSOFI-MABILA-TINGI TINGI
La superficie est de 0,5749 km2, tandis que sa
population est de 46.180 habitants dont 45.157 nationaux et de 23
étrangers. Sa densité est de 8 hab/km2
Commentaires :
Il a été établi que la superficie de
quartiers soit exprimée en mesures agraires.
v Quartier LUALABA=8.064 ares
v Quartier LUAPULA = 3.882 ares
v Quartier LUVUA = 5.749 ares
v Total = 17.695 ares
Etant donné que la superficie s'exprime en
km2, dans ce cas 17.695 ares donnent 0,17.696 km2
Or la superficie réelle de la commune est de 2,53
km2 .donc 2,53 km2 donnent 25.300 ares. Ainsi 25.300 ares
- 17.695 ares ou 0,7605 Km2 qui constituent le manquant.
Ce manquant nous laisse penser à la partie non lotie
par le colonisateur qui, aujourd'hui, abrite les bidonvilles appelés
« BIMBOTOTO ou BRONDO » à l'Ouest et au Sud de la
commune.
2. L'ETAT - CIVIL EN RDC
2.1. LE CONCEPT ETAT -
CIVIL
Le concept état - civil peut avoir deux
compréhensions :
· D'une part, c`est la situation d'une personne dans sa
vie privée, au sein de sa famille et de la société. Il
révèle les qualités juridiques qu'une personne acquiert
dans le cadre de la loi sur les droits civils d'une personne - ensemble de
qualités et droits civils d'une personne (nationalité, nom,
etc.)23(*).
· D'autre part, l'état - civil est un service
public qui s'occupe essentiellement de la rédaction et de la
conservation des actes de l'état-civil des personnes (naissance, mariage
et décès). C`est sous cet angle de compréhension du
concept de l'état - civil que nous allons l'aborder dans cette
section.
2.2. HISTOIRE DE L'ETAT -
CIVIL (ORIGINE)
L'organisation systématique de l'état - civil
telle qu'on la connaît aujourd'hui est relativement récente. Elle
ne date que de la révolution française (1789).
L'histoire nous apprend qu'au moyen âge, ce sont des
prêtres de paroisse qui tenaient trois sortes de registres : registre de
baptême, de mariage et de sépulture (paroissiens qui
décédaient). Cette initiative intéressa l'état
français. Car, malgré son organisation rudimentaire, ce service
organisé par des prêtres catholiques, rendait d'énormes
services. C'est ainsi qu'en 1515, le roi François Ier (France),
réglementa l'état - civil dans son organisation actuelle
(toujours entre les mains des prêtres). Mais, en 1789, la
révolution française qui prônait la séparation nette
de l'église, laïcisa l'état civil24(*).
2.3. L'AVENEMENT DE L'ETAT -
CIVIL EN RDC.
L'organisation du service de l'état - civil fut
introduite dans notre pays (RDC) par le roi belge Léopold II en 1885. A
cette époque, l'actuelle RDC s'appelait Etat Indépendant du
Congo(EIC). Cette introduction fut possible grâce à l'influence
que la Belgique a subie de son amie France.
En effet, c'est le décret du 12 novembre 1885 qui
institua l'organisation de l'état - civil dans les territoires africains
avec comme premier but : constater les naissances et les décès
des européens habitant le Congo. Le décret entra en vigueur une
année plus tard (1886) ; tandis que les premiers bureaux ouvrirent leurs
bureaux à Banana, Boma et Léopoldville en janvier 1886.
Neuf ans plus tard, soit le 04 mai 1895, le roi souverain de
l'état indépendant du Congo signa un autre décret
contenant les dispositions du livre code civil relatif aux personnes. Cette
fois-ci, même les noirs seront concernés par l'Etat - civil.
Ce texte régla de manière durable l'état
- civil en RDC. Et les modifications successives n'étaient que des
aménagements devant tenir compte de l'évolution de la situation
socio-économique du pays.
L'organisation qui abouti de ce texte subsistera pendant
près d'un siècle, jusqu'à la loi du 1er
août 1987 portant code de la famille en RDC.
2.4. ORGANIGRAMME DE L'ETAT CIVILE
Source : Bureau de la commune Kenya,
Officier de L'Etat
OFFICIER DE L'ETA CIVIL
Commis chargé de naissance
PREPOSE A L'ETAT CIVIL
Commis chargé décès
0
Commis chargé de mariage
2.5.1. INTERPRETATION DE L'ORGANIGRAMME
DE L'ETAT-CIVIL
V' Officier de l'état-civil : Qui est
le bourgmestre de la commune, il a le plein pouvoir sur tout dans sa
juridiction et est nommé par le gouvernement central sur proposition du
maire de la vie ou du gouverneur de la province. Il officie les
différents mariages de sa juridiction.
V' Préposé(e) à
l'état-civil : il est chargé de superviser tout ce qui
se passe au niveau du bureau de l'état-civil et en fait rapport à
l'officier de l'état-civil qui en est son chef direct. Il (elle) fait le
suivi de différents actes, encodent, impriment puis remet à
l'officier de l'état-civil pour signature.
V' Commis chargé de naissance : il
(elle) s'occupe des toutes les attestations en rapport avec les naissances. Les
requérants s'adressent directement à lui pour les renseignements
dont ils ont besoin.
V' Commis chargé de mariage : il
(elle) est chargé(e) d'enregistrement de différents mariages
à son niveau dans le registre de mariage remit pour la cause. Et
perçoit en même temps les frais de fiches et des actes qui
composent le mariage.
V' Commis chargé de décès
: il (elle) s'occupe de l'enregistrement des différents
décès signalés dans la commune de Lubumbashi.
En ce qui nous concerne, nous nous sommes plus
intéressés à ce que fait l'officier de
l'état-civil, le préposé à l'état-civil
ainsi que le commis chargé de mariage.
c. DESCRIPTION TEXTUELLE DU SYSTEME ETUDIE
Les différents processus qui entrent en jeu pour
l'enregistrement de mariage sont les suivants :
· Auprès du Commis en charge du mariage : Chez qui
les requérants se présentent pour faire leur proposition de
mariage, ils verseront la somme exigée de 50.000 FC qui est payable soit
à la banque ou sur place c'est-à-dire auprès du commis en
charge de mariage pour obtenir les différentes fiches en rapport avec le
mariage. Le commis chargé de mariage leurs remettra une fiche
appelée PROJET DE MARIAGE qui iront remplir pour la ramener le jour
suivant ou avant la date prévue en y adjoignant quatre photos passeports
dont deux pour l'époux et deux pour l'épouse. En ramenant la
fiche, elle doit comporter les signatures des époux ainsi que de leurs
témoins.
Un délai de publication sera observé avant
l'enregistrement des mariés dans le registre de mariage. Le délai
de publication permet à quiconque ayant un avis contraire à cette
union de s'exprimer, une fois ce délai dépassé aucune
réclamation ne sera acceptée, si réclamation y a, le
bureau de l'état-civil adresse une lettre au tribunal de paix dans les
48 heures suivant la requête.
Le tribunal de paix examinera la plainte en écoutant la
partie plaignante et s'il se rend compte que la requête est recevable ou
fondée, il donne l'ordre à l'officier de l'état-civil
d'annuler le mariage en se référant à l'article 371 du
code de la famille au cas contraire, le processus de mariage suivra son cours
normale. A titre d'information pour les non mariés, le délai de
publication est de 15 jours ; une fois atteint, on passe à
l'enregistrement dans le registre de mariage.
· Chez le Préposé à
l'état-civil : Une fois que le commis chargé du mariage
finit l'enregistrement, il transmet le registre au préposé
à l'état-civil pour vérification et encodage dans la
machine. Cet enregistrement qui du moins reste à déplorer car il
se fait sur un fichier Publisher. Après quoi il transmet les fiches
imprimées à l'officier de l'état-civil pour la signature
et célébration du mariage.
· Officier de l'état-civil : Le
jour de la cérémonie du mariage, l'officier de
l'état-civil après signature sur le registre de mariage par les
deux époux, leurs témoins et l'officier de l'état-civil,
ce dernier passe à la lecture des droits et obligations
réciproques des époux et passe à la
célébration du mariage.
L'officier de l'état-civil, après la lecture et
célébration remet à l'époux un livret de
ménage et à l'épouse un acte de mariage
2.1. DESCRIPTION
DES DONNEES
La description de
donnée est une opération qui nous permet de répertorier
les informations de chaque document étudié.
La description des données comprend les points
suivants :
1.3.1. Etude des Documents
Voici les documents que l'état civil utilise pour
l'enregistrement de mariage :
A. PROJET DE MARIAGE
Est un document que le commis en charge de mariage donne au
requérants pour le remplissage de leurs identités.
Ø Numéro d'étude du document
Ø Nom de l'époux
Ø Date de naissance de l'époux
Ø Nom de père de l'époux
Ø Nom de la mèreDe l `époux
Ø Profession de l'époux
Ø Village originaire de l'époux
Ø Territoire de l'époux
Ø Province de l'époux
Ø Adresse de l'époux
Ø Dot versée
Ø Nom de l'épouse
Ø Date de naissance épouse
Ø Nom de père de l'épouse
Ø Nom de la mère de l'épouse
Ø Province de l'épouse
Ø Territoire de l'épouse
Ø Adresse de l'épouse
Ø Nom du témoin
Ø Adresse du témoin
B. PUBLICATION DE MARIAGE
Est un document qui est constitué par quelques
identités provenant du projet de mariage pour permettre d'afficher les
requérants
Ø Numéro de la publication de mariage
Ø Nom de l'époux
Ø Date de naissance de l'époux
Ø Nom du père de l'époux
Ø Nom de la mère de l'époux
Ø Nom de l'épouse
Ø Date de naissance de l'épouse
Ø Date de la publication
C. ACTE DE MARIAGE
Est un donnent que l'officier donne aux requérants pour
preuve de leurs union passée à l'état-civil
Ø Numéro matricule
Ø Année
Ø Nom de l'époux
Ø Nom de l'épouse
Ø Nom du témoin
Ø Age de l'époux
Ø Age de l'épouse
D. REGISTRE
Le registre de mariage est un document que le
préposé en charge de mariage enregistre tous mariage passé
à la commune, puis le donne à l'officier de l'Etat-civil
Ø Numéro matricule
Ø Année
Ø Nom de l'époux
Ø Nom de l'épouse
Ø Nom du témoin
Ø Age de l'époux
Ø Age de l'épouse
2.2. INVENTAIRE DES RUBRIQUES
C'est une structure qui nous
permet de répertorié les propriétés issues des
différents documents qui nous ont étaient
présenté.
N°
|
PROPRIETE
|
Projet de mariage
|
Publication de mariage
|
Act. naissance
|
Registre
|
1
|
Num_projet_mariage
|
*
|
|
|
|
2
|
Nom époux
|
*
|
*
|
*
|
*
|
3
|
Date_Naiss_époux
|
*
|
*
|
*
|
*
|
4
|
Nom_père_époux
|
*
|
*
|
|
|
5
|
Nom_mère_époux
|
*
|
*
|
|
|
6
|
Profession_époux
|
*
|
|
|
|
7
|
Village_orig_époux
|
*
|
|
|
|
8
|
Territoire_époux
|
*
|
|
|
|
9
|
Province_époux
|
*
|
|
|
|
10
|
Adresse_époux
|
*
|
|
|
|
11
|
Montant-versée
|
*
|
|
|
|
12
|
Nom_épouse
|
*
|
*
|
*
|
*
|
13
|
Date_naiss_épouse
|
*
|
*
|
*
|
*
|
14
|
Nom_père_épouse
|
*
|
*
|
|
|
15
|
Age_père_épouse
|
*
|
|
|
|
16
|
Nom_mère_épouse
|
*
|
*
|
|
|
17
|
Age_mère_épouse
|
*
|
|
|
|
18
|
Province_épouse
|
*
|
|
|
|
19
|
Territoire_épouse
|
*
|
|
|
|
20
|
Adresse_épouse
|
*
|
|
|
|
21
|
Nom_témoin
|
*
|
|
*
|
*
|
22
|
Adresse_témoin
|
*
|
|
|
|
23
|
Num_public_mariage
|
*
|
|
|
|
24
|
Num_acte_mariage
|
|
|
*
|
*
|
25
|
Année
|
|
|
*
|
*
|
26
|
DateProj
|
*
|
|
|
|
2.3. DESCRIPTION DES TRAITEMENTS
1.3.2. Recensement des acteurs
Un acteur (interne ou externe) est un
système actif intervenant dans le domaine d'étude au moyen de
flux.
Un acteur est une personne physique ou morale jouant un
rôle précis dans l'organisation ou dans le domaine.
N°
|
ACTEUR
|
TYPE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Requérant
|
Externe
|
C'est celui qui lance une requête de mariage
auprès du commis en charge du mariage
|
2
|
Commis chargé du mariage
|
interne
|
C'est chez qui les requérants se présentent pour
faire leur proposition de mariage
|
3
|
Préposé de l'état civil
|
interne
|
Celui qui fait la vérification et l'encodage du
registre dans la machine
|
4
|
Officier de l'état-civil
|
interne
|
C'est celui qui appose sa signature sur l'Acte de mariage
avant de donner aux requérants
|
2.2. GRAPHE DE
FLUX
a. Requérant
Commis
Réception
1
2
6
4
5
3
Processus de demande
1. Requêteémise
2. Requête rejetée
3. Versement
4. Enregistrement
5. Requête transmise
6. Projet transmis
b. Requête
Commis
Officier
Préposé
6
1
4
2
5
3
Processus de validation
1. Dépôt projet
2. Projet non-conforme
3. Publication du projet validée et registre mis
à jour
4. Registre transmis
5. Acte transmis
6. Acte validé transmis
1.4.3. Diagramme de circulation de
l'information
1. Processus de demande de mariage
poste
temps
|
Requérant
|
Réception
|
Commis chargé mariage
|
Préposé état-civil
|
Officier état-civil
|
VERSEMENT
REQUETE REJETEE
REQUETE
REQUETE ENREGISTREE
ENREGISTRER
S1
REQUETE VALIDEE
VERIFIER
REJETEE VALIDEE
PROJET DE MARIAGE
ETABLIR
R1
R2
2. Processus d'activation de l'acte
poste
temps
|
Requérant
|
Réception
|
Commis chargé mariage
|
Préposé état-civil
|
Officier état-civil
|
PROJET REMPLI
CONTRÔLER
NON-CONFORME
CONFORME
PROJET CONFOR
PROJET NO-CONF
PUBLIER
Rejetée
Validée
Validéeee
annuléeee
METTRE A JOUR
Publication validée
EDITER
VALIDER
PROJET validé
PROJET DE MARIAGE
EDITER
PROJET DE PUBLICATION
PROJET DE PUBLICATION
PROJET DE MARIAGE
1.4. Critique est solution
La critique de l'existant est une étape qui consiste
à dégager les points positifs, négatifs ainsi qu'à
proposer une solution face aux faiblesses que présente l'organisation en
étude.
1.4.1. Points positifs
Nous avons constatés en analysant le système
actuel que le déroulement d'enregistrement de mariage est bon et les
responsabilités des taches sont mieux reparties.
1.4.2. Points à améliorer
Le système actuel au sein de l'ETAT-CIVILE est non
informatisé, il présente les faiblesses suivantes :
· Le service d'enregistrement de mariage n'est pas
équipé des matériels informatiques, ce qui rend lent la
tâche d'enregistrement de mariage
· La lenteur et la perte de temps dans
l'établissement de différents documents nuptiaux
· La direction est également dépourvue
d'une base des données capable d'archiver différent mariage
enregistré.
1.4.3. Proposition des solutions
Nous proposons que le bureau de l'état-civile de se
munir de matériel informatique suivie d'un logiciel capable de
répondre aux difficultés énumérées ci-haut,
et une base des données capable de stocker et d'organiser les
données relatives au ditenregistrement qui sera en Microsoft Access et
un langage de programmation appelé Visual Basic dans sa version .NET
pour la réalisation de notre application.
Chapitre IIICONCEPTION DU
NOUVEAU SYSTEME
1. DESCRIPTION DU NOUVEAU SYSTEME
Lorsque le requérant se présentera devant le
réceptionniste pour la demande de mariage, cette dernière
passera à la vérification de la demande pour savoir si elle est
valide, si oui la déclaration sera validée, sinon elle sera
rejetée. Dès que la demande est validée, le
requérant verse la somme demandée et sa requête sera
enregistrée.
Après que la requête soit enregistrée,
elle sera transmise au commis chargé de mariage pour
l'établissement d'un projet de mariage et le donne au requérant
pour le remplissage après le projet être rempli le commis
chargé de mariage le récupère pour contrôler la
conformité ;si le projet non-conforme le commis le retourne au
requérant au cas contraire il fait la publication du projet ; si la
publication est rejeté le projet est annulé et si elle est
validée le registre est mise à jour.
Le registre mise à jour sera transmis au
préposée de l'Etat-civil, qui, à son tour va faire
l'édition de l'Acte de Mariage qui sera validé par l'officier
d'Etat-civil et le donne afin au requérant.
DICTIONNAIRE DES BONNEES
Le dictionnaire de données décrit et
répertorie les informations inscrites sur les documents.
N°
|
Propriété
|
Signification
|
Type
|
taille
|
Règle de gestion
|
1
|
CodeConj
|
Code du conjoint
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
2
|
NomConj
|
Nom du conjoint
|
NC
|
AN-15
|
|
3
|
SexeConj
|
Sexe du conjoint
|
NC
|
AN-10
|
|
4
|
adressConj
|
Adresse du conjoint
|
NC
|
AN-15
|
|
5
|
DateNaissConj
|
Date de naissance du conjoint
|
Date
|
AN-10
|
JJ/mm/aaaa
|
6
|
ProvConj
|
Province du conjoint
|
NC
|
AN-15
|
|
7
|
VilleConj
|
Ville du conjoint
|
NC
|
AN-15
|
|
8
|
TerriConj
|
Territoire du conjoint
|
NC
|
AN-15
|
|
9
|
DateMariage
|
Date de mariage
|
Date
|
AN-10
|
JJ/mm/aaaa
|
10
|
LieuMariage
|
Lieu de mariage
|
NC
|
AN-20
|
|
11
|
IdPerio
|
Numéro de la période
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
12
|
Temps
|
Le mois durant cette période
|
NC
|
AN-10
|
|
13
|
NumAct
|
Numéro de l'acte
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
14
|
Année
|
Année de l'édition de l'acte
|
NC
|
AN-10
|
|
15
|
MontantVersé
|
Montant versé
|
NC
|
AN-15
|
|
16
|
CodeTemoin
|
Code du témoin
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
17
|
NomTemoin
|
Nom du témoin
|
NC
|
AN-15
|
|
18
|
AdressTemoin
|
Adresse du témoin
|
NC
|
AN-20
|
|
19
|
NumPub
|
Numéro de la publication
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
20
|
DatePub
|
Date de la publication
|
Date
|
AN-10
|
JJ/mm/aaaa
|
21
|
DateValidé
|
Date de la validité de la publication
|
Date
|
AN-10
|
JJ/mm/aaaa
|
22
|
NumBuro
|
Numéro bureau
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
23
|
AdressBuro
|
Adresse du bureau
|
NC
|
AN-20
|
|
24
|
NumChef
|
Numéro du chef
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
25
|
NomChef
|
Nom du chef
|
NC
|
AN-15
|
|
26
|
SexeChef
|
Sexe du chef
|
NC
|
AN-10
|
|
27
|
NumPar
|
Numéro de parent
|
NC
|
AN-5
|
UNIQUE
|
28
|
NomPar
|
Nom de parent
|
NC
|
AN-15
|
|
29
|
SexePar
|
Sexe du parent
|
NC
|
AN-10
|
|
30
|
ProfConj
|
La profession du conjoint
|
NC
|
AN-15
|
|
2. STRUCTURE DES DONNEES
MATRICE DE DEPENDANCE
FONTIONNELLE A SOURCE SIMPLE
C'est une matrice qui se fait dans un tableau carré
dont le nombre de lignes ou nombre de colonne.
N°
|
Source
But
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
7
|
8
|
9
|
10
|
11
|
12
|
13
|
14
|
15
|
16
|
17
|
18
|
19
|
20
|
21
|
22
|
23
|
24
|
25
|
26
|
27
|
28
|
29
|
30
|
31
|
1
|
CodeConj
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2
|
NomConj
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3
|
SexeConj
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
4
|
adressConj
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
5
|
DateNaissConj
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
6
|
ProvConj
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
7
|
VilleConj
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
8
|
TerriConj
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
9
|
DateMariage
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
10
|
LieuMariage
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
11
|
IdPerio
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
13
|
NumAct
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
14
|
Année
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
15
|
MontantVersé
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
16
|
CodeTemoin
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
17
|
NomTemoin
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
18
|
AdressTemoin
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
19
|
NumPub
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
20
|
DatePub
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
21
|
DateValidé
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
22
|
NumBuro
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
23
|
AdressBuro
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
24
|
NumChef
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
25
|
NomChef
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
26
|
SexeChef
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
27
|
NumPar
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
28
|
NomPar
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
29
|
SexePar
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
DF1 :
CodeConjNomConj,DateNaissConj,ProvConj,TerriConj,AdressConj,VilleConj,ProfConj
DF2 :
NumActAnnée,MontantVersé
DF3 : CodeTemoinNomTemoin,AdressTemoin
DF4 : NumPubDatePub
DF5 : NumParNomPar,SexePar
DF6 : NumChefNomChef
DF7 : NumBuroAdressBuro
DF8 : NumParNomPar, SexePar
DF9 : IdPerio
MATRICE DE DEPENDANCE A SOURCE COMPOSEE
N°
|
SOURCE/BUT
|
DF10
|
DF11
|
1
|
CodeConj
|
G
|
|
2
|
IdPerio
|
G
|
|
3
|
NumAct
|
G
|
|
4
|
DateMariage
|
D
|
|
5
|
LieuMariage
|
D
|
|
6
|
NumPub
|
|
G
|
7
|
NumBuro
|
|
G
|
8
|
DateValide
|
|
D
|
DF10 :
CodeConj,IdPerio,NumAct- >DateEtMariage,LieuMariage
DF11 : NumBuro,NumPubDateValide
MATRICE DE CLES
N°
|
NOM PROPRIETE
|
DF11
|
DF12
|
DF13
|
DF14
|
1
|
NumPar
|
D
|
|
|
|
2
|
CodeConj
|
G
|
|
|
|
3
|
NumActe
|
|
G
|
G
|
|
4
|
CodeTemoin
|
|
D
|
|
|
5
|
NumPub
|
|
|
D
|
|
6
|
NumBuro
|
|
|
|
G
|
7
|
NumChef
|
|
|
|
D
|
|
|
|
|
|
|
DF11 : NumParCodeConj
DF12 : NumActeCodeTemoin
DF13 : NumActNumPub
DF14 : NumBuroNumChef
- NomTemoin
- AdresseTemoin
-DatePub
- NomEpouse
- DateNaissEpouse
- NomPereEpouse
- NomMereEpouse
- VilleEpouse
- TerriEpouse
- ProvEpouse
- AdressEpouse
GRAPH DE CLES
NumPerio,CodeConj,NumAct
NumAct
IdPerio
CodeConj
NumPubli
NumPub,NumBuro
NumPar
CodeTemoin
NumBuro
NumChef
C'est un graphe qui relie par les flèches les
dépendances fonctionnelles à source composée à
celle à source simple ainsi que les dépendances entre
clés.
SAT
DatePub
C'est graphe de clés sur lequel on associe les
propriétés en dépendance fonctionnelle directe avec
l'identifiant.
NomPar
sexePar
nomConj
sexeConj
adressConj
datenaissConj
ProvConj
VilleConj
TerriConj
Année
DateActe
Montant versé
NomTemoin
AdressTemoin
Date mariage
Lieu mariage
NumPerio,CodeConj,NumAct
NumAct
IdPerio
CodeConj
NumPubli
NumPub,NumBuro
NumPar
CodeTemoin
NumBuro
NumChef
DateValidée
Adresse
NomChef
SexeChef
Règles de passage de la structure d'accès
théorique au modèle entité association
RG1 : A un identifiant d'ordre 1(simple)
correspond à une entité. Les propriétés en
dépendance directe avec cette identifiant sont des
propriétés de l'entité,
RG2 : A un identifiant d'ordre n
(n>1) ou composé correspond à une association. Cette
association lie des entités dont les identifiants participent à
la formation de l'identifiant de l'ordre n. les propriétés en
dépendance fonctionnelle totale sont de propriétés de
l'association,
RG3 : Une dépendance
fonctionnelle entre deux identifiants d'ordre 1 correspond à une
association hiérarchique (CIF) non porteuse de propriétés
entre les deux entités correspondantes.
MCD
NumPar
NomPar
sexePar
PARENT
IdPerio
PERIODE
CodeConj
nomConj
sexeConj
adressConj
datenaissConj
ProvConj
VilleConj
TerriConj
CONJOINT
NumAct
Année
DateActe
Montant versé
ACTE
CodeTemoin
NomTemoin
AdressTemoin
TEMOIN
NumBuro
AdresseBuro
BUREAU
Numpub
DatePub
PUBLICATION
Numchef
NomChef
SexeChef
CHEF
AVOIR
CIF
MARIER
Date mariage
Lieu mariage
CONCERNER
CIF
VALIDER
Date mariage
DIRIGER
CIF
CONCERNER
CIF
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
TABLEAU DES CARDINALITES
La cardinalité d'une association permet de définir
les conditions de participation d'uneentité à une association.
N°
|
ENTITE
|
ASSOCIATION
|
CARDINALITE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
PARENT
|
AVOIR
|
(1,n)
|
Un papa peut avoir un ou plusieurs conjoints
|
2
|
CONJOINT
|
AVOIR
|
(1,1)
|
Un conjoint ne peut avoir qu'un seul parent
|
3
|
CONJOINT
|
MARIER
|
(1,n)
|
Un conjoint peut être marié à un ou plusieurs
conjointes à des dates différentes
|
4
|
CONJOINT
|
MARIER
|
(1,n)
|
Une conjointe peut êtremarier à un ou plusieurs
conjoints à de date différentes
|
5
|
PERIODE
|
MARIER
|
(1,n)
|
Dans une période on peut marier un ou plusieurs
conjoints
|
6
|
ACTE
|
MARIER
|
(1,1)
|
Un acte ne peut concerner un et un seul témoin
|
7
|
ACTE
|
CONCERNER
|
(1,1)
|
Un acte peut concerner une et une seule publication
|
8
|
TEMOIN
|
FIGURER
|
(1,n)
|
Un témoin peut figurer dans un ou plusieurs actes
|
9
|
ACTE
|
CONCERNER
|
(1,1)
|
Un acte concerne un et un seul temoin
|
10
|
PUBLICATION
|
CONCERNER
|
(1,n)
|
Une publication peut concerner un ou plusieurs actes
|
11
|
PUBLICATION
|
VALIDER
|
(1,n)
|
Une publication peut être validée par un ou
plusieurs bureaux
|
12
|
BUREAU
|
VALIDER
|
(1,n)
|
Un bureau peut validé un ou plusieurs publications
|
13
|
BUREAU
|
DIRIGER
|
(1,1)
|
Un bureau ne peut être dirigé que un et un seul
chef
|
14
|
CHEF
|
DIREGER
|
(1,n)
|
Un chef peut diriger un ou plusieurs bureaux
|
CHOIX ET TYPE DE BASE DE
DONNEE
Pour notre travail, Vu que la représentation
conceptuelle de données ne peut pas être directement
manipulée et acceptée par un système informatique, il est
donc nécessaire de passer du niveau conceptuel au niveau plus proche de
capacités des systèmes informatiques qui est le niveau
logique.
La représentation de données au niveau logique
abouti à la construction du modèle logique de données. Ce
dernier représente la base de données pour le système
informatique. Notons que les techniques de gestion de base de données
prévoient les types de base de données qui peuvent être mis
en marche. Parmi les types de base de données nous avons : la base
de données hiérarchique, le type réseau, la base de
données relationnelle, la base de données déductive ainsi
que la base de données objet.
Donc, parmi les types de bases de données cité
ci-haut, nous utiliserons un système de gestion de base de
données (SGBD) Access, parce qu'il s'adapte au type de base de
données relationnelle (BDR).
2.1.1. REGLES DE TRANSFORMATION DU MCD
EN MLD-R
Les règles de transformation du modèle conceptuel
de données (MCD) en modèle logique de données relationnel
(MLD-R) sont :
Ø Toutes les entités du modèle conceptuel de
données (MCD) deviennent de Tables en MLD-R (Modèle logique de
Données-relationnelle) et leurs propriétés deviennent les
champs de la table et cette dernière admettra comme clé primaire
l'identifiant de l'entité ;
Ø Pour une relationnelle non hiérarchique, cette
relation devient une table et admettra comme champs, les
propriétés de la relation ; S'il y en a et comme clé
primaire la clé composée des identifiants des entités qui
la compose.
Ø Pour une relation hiérarchique, l'identifiant de
l'entité Père sera placé dans la table issue de
l'entité Fils comme clé étrangère.
2.1.2. CONSTRUCTION DU MODELE CONCEPTUEL
DE DONNEE (MLDR)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
PARENT
NumPar
NomPar
SexePar
CONJOINT
CodeConj
NomConj
SexeConj
AdressConj
ProvConj
profConj
VilleConj
TerriConj
NumPar#
MARIER
CodeConj#,NumPerio#,NumActe#
DateMariage
LieuMariage
PERIODE
IdPerio
ACTE
NumActe
Année
DateActe
MontantVersé
CodeTemoin#
NumPub#
TEMOIN
NumTemoin
NomTemoin
AdressTemoin
PUBLICATION
NumPub
DatePub
VALIDER
NumPub#,NumBuro#
DateValidée
BUREAU
NumBuro
AdresseBuro
NumChef#
CHEF
NumChef
NomChef
SexeChef
2.8.3. MESURE D'ENCOMBREMENT
La mesure d'encombrement permet de déterminer le volume
d'occupation de données dont les critères de quantification sont
les suivantes.
v La détermination de la taille occupée par un
tuple ;
v La détermination de nombre moyen des tuples dans une
table logique et la valorisation des cardinalités de liaison ainsi que
la construction du modèle logique de données relationnel (MLDR)
quantifié.
2.8.3.1. QUANTIFFICATION STATIQUE
a. Détermination des longueurs (Li)
v PARENT : 5+15+10=30 octets
v CONJOINT :5+15+10+20+15+15+15+15= 110 octets
v MARIER : 5+5+5+20=35 octets
v PERIODE :5+10=15 octets
v ACTE :5+10+20+10=25 octets
v TEMOIN : 5+15+20=40 octets
v PUBLICATION : 5+20=25 octets
v VALIDER :5+5+5+20=35 octets
v BUREAU :5+20=25 octets
v CHEF : 5+15+10=30 octets
b. Détermination du tuples (Ni)
v PARENT : 200
v CONJOINT :50
v MARIER : 20
v PERIODE :5
v ACTE :500
v TEMOIN : 200
v PUBLICATION :30
v VALIDER :20
v BUREAU :3
v CHEF :500
2.8.3.2. ENCOMBREMENT MOYEN
Le calcul de l'encombrement : Enc = ? (Li * Ni) avec n
qui est égal au Nombre des Tables.
Enc = (Li * Ni) (30x200)+(110x50)+(35x20)+
(15x5)+(25x500)+(25x30)+(35x20)+(25x3)+(30x500)= octets
2.1.3. CONJOINT
ASPET DYNAMIQUE
PERIODE
MARIER
N=110
L=50
N=15
L=5
N=35
L=20
PARENT
N=30
L=200
ACTE
N=25
L=500
TEMOIN
N=25
L=20
VALIDER
PUBLICATION
N=20
L=35
N=25
L=30
BUREAU
N= 30
L=500
N= 3
L=26
CHEF
(1,n)
(1,n)
DESCRIPTION DE TRAITEMENT
Le modèle conceptuel de traitements (MCT) décrit
les traitements et plus précisément toutes les activités
découlant des échanges entre le domaine étudié et
le monde externe. Il exprime ce que fait le domaine sans se poser le
problème de savoir qui fait, quand et comment ? Ce modèle
décrit les opérations ainsi que les résultats des
activités du domaine d'organisation de façon indépendante
du choix d'organisation et des moyens utilisés. Il constitue la phase
clé de la conception d'un système d'information.
i. Tableau de flux
a. Le flux de demande
N°
|
NOM
|
EMETEUR
|
RECEPTEUR
|
DONNEES
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Requêteémise
|
Requérant
|
Réception
|
- Nom
- Adresse
- N° tel.
|
Le requérant demande la requête de mariage
auprès de réceptionniste
|
2
|
Requête rejetée
|
réception
|
requérant
|
- Idem 1
|
La réception rejeté la requête
|
5
|
Versement
|
Requérant
|
réception
|
- montant
|
Le requérant verse l'argent auprès de la
réception
|
6
|
Requête Transmise
|
Réception
|
Commis
|
- idem 1
- idem 5
|
La requête est transmis au commis en charge de mariage
|
7
|
Projet transmis
|
Commis
|
Requérant
|
- Idem 1
- Photopasseport
- Date de naissance
- Lieu de nais
|
Le commis donne le projet de mariage au requérant pour le
remplissage
|
N°
|
NOM
|
EMETEUR
|
RECEPTEUR
|
DONNEES
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Dépôt projet
|
Requérant
|
Commis
|
- Nom
- adress
- Photo passeport
- Date de naissance
Lieu de nais
|
Le requérantdépose le projet de mariage au
commis
|
2
|
Projet no-conforme
|
Commis
|
Requérant
|
- Idem1
|
Le commis remet le projet au requérant pour la
non-conformité
|
3
|
Publication du projet validé
|
Commis
|
Commis
|
- Idem1
|
Le commis publie le projet
|
4
|
Registre transmis
|
Commis
|
Préposé
|
- Idem1
|
Le commis transmet le registre au préposé pour
l'établissement de l'acte
|
5
|
Acte transmis
|
Préposé
|
Officier
|
- Idem1
- Année
|
Le préposé transmet l'acte à l'officier pour
la validation
|
6
|
Acte validé transmis
|
Officier
|
Requérant
|
- Idem5
|
L'officier transmet l'acte chez le requérant
|
b. Le flux de validation
ii. TABLEAU DES EVENEMENTS
a. Evénements de demande
N°
|
NOM EVENEMENT
|
TYPE
|
EMETEUR
|
RECEPTEUR
|
DONNEES
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Requêteémise
|
externe
|
Requérant
|
Réception
|
- Nom
- Adresse
- N° tel.
|
Le requérant demande la requête de mariage au
près de réceptionniste
|
2
|
Requête rejetée
|
interne
|
réception
|
requérant
|
- Idem 1
|
La réception rejette la requête
|
3
|
Versement
|
externe
|
Requérant
|
réception
|
- montant
|
Le requérant verse l'argent auprès de la
réception
|
4
|
Requête Transmise
|
interne
|
Réception
|
Commis
|
- idem 1
- idem 5
|
La requête est transmise au commis en charge de mariage
|
5
|
Projet transmis
|
interne
|
Commis
|
Requérant
|
- Idem 1
- Photo passeport
- Date de naissance
- Lieu de nais
|
Le commis donne le projet de mariage au requérant pour le
remplissage
|
b. Evénement de validation
N°
|
NOM EVENEMENT
|
TYPE
|
EMETEUR
|
RECEPTEUR
|
DONNEES
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Dépôt projet
|
externe
|
Requérant
|
Commis
|
- Nom
- adress
- Photo passeport
- Date de naissance
Lieu de nais
|
Le requérant dépose le projet de mariage au
commis
|
2
|
Projet no-conforme
|
interne
|
Commis
|
Requérant
|
- Idem1
|
Le commis remet le projet au requérant pour la
non-conformité
|
3
|
Publication du projet validé
|
interne
|
Commis
|
Commis
|
- Idem1
|
Le commis publie le projet
|
4
|
Registre transmis
|
interne
|
Commis
|
Préposé
|
- Idem1
|
Le commis transmet le registre au préposé pour
l'établissement de l'acte
|
5
|
Acte transmis
|
interne
|
Préposé
|
Officier
|
- Idem1
- Année
|
Le préposé transmet l'acte à l'officier pour
la validation
|
6
|
Acte validé transmis
|
interne
|
Officier
|
Requérant
|
- Idem5
|
L'officier transmet l'acte chez le requérant
|
iii. TABLEAU DES
ACTIONS INDUITES
a. Les actions induites pour la demande
N°
|
Non-événement
|
Actions induites
|
Récepteur
|
Résultat
|
1
|
Requête émise
|
- Vérifier la requête
- Comparer les identités
|
Réception
|
- Requête rejetée
- Requête validée
|
4
|
Requête Transmise
|
- Remplir les identités
|
Requérant
|
- Projet rempli
|
5
|
Projet transmis
|
- Vérifier le projet
|
Commis
|
- Non-conforme
- Conforme
|
b. Les actions induites pour la validation
N°
|
Non-événement
|
Actions induites
|
Récepteur
|
Résultat
|
1
|
Dépôt projet
|
- Vérifier laprojet
- Comparer les identités
|
commis
|
- conforme
- non conforme
|
4
|
Publication du projet
|
- affichage du projet
|
commis
|
- validé
- annulé
|
5
|
registretransmis
|
- Vésication du registre
|
Préposé
|
- Acte de mariage
|
6
|
Acte transmis
|
- Validation de l'acte
|
Officier
|
- Acte validé
|
|
Acte validé transmis
|
- Donner l'acte
|
Requérant
|
- Acte validé
|
iv. TABLEAU DES OPERATIONS
a. Les opérations de demande
N°
|
Nom-opération
|
Actions induites
|
Evénementdéclenché
|
Résultats
|
Signification
|
1
|
VERIFICATION
|
- Comparer
- Vérifier
|
Requête mariage
|
- Requête rejetée
- Requête validée
|
Vérifier si la requête est valide ou non.
|
2
|
ENREGISTREMENT
|
- Ecrire les identités dans le registre
|
- Requête validée
- Versement
|
- Requête enregistre
|
L'enregistrement de la requête
|
3
|
ETABLISSEMENT
|
- Ecrire projet
|
- Requête enregistre
|
- Projet mariage
|
On établidu projet de mariage
|
b. Les opérations de validation
N°
|
Nom-opération
|
Actions induites
|
Evénement déclenché
|
Résultats
|
Signification
|
1
|
CONTROLE
|
- Vérifier
- Elaborer
|
Projet rempli
|
- Conforme
- Non conforme
|
Vérification du projet si il est bien rempli ou non.
|
2
|
EDITION
|
- Etablir
|
projet conforme
|
- Projet de publication
|
Edition du projet de publication
|
3
|
PUBLIER
|
- Afficher
|
Projet publié
|
- Validé
- annulé
|
La publication du projet de publication
|
4
|
MIS A JOUR
|
- Ecrire dans le cahier
|
Publication validé
|
- Registre mis a jour
|
Le registre est mis à jour
|
5
|
EDITION
|
- Etablir
|
- Registre mis à jour
|
- Acte de mariage
|
Edition de l'acte de mariage
|
6
|
VALIDATION
|
- Confirmer
|
- Acte mariage
|
- Acte validé
|
L'officier valide l'acte de mariage
|
v. TABLEAU DE SYNCHRONISATION
N°
|
Non synchronisation
|
Opération
|
Synchronisation
|
Evénement
|
Signification
|
1
|
S1
|
Enregistrement
|
A et B
|
A= versement
B= requête valide
|
Avant l'enregistrement il faut que la requête soit
validé et le requérant verse l'argent
|
vi. TABLE DES REGLES D'EMISSION DES
RESULTATS (RER)
a. RER de demande
N°
|
Nom RER
|
Opération
|
RER
|
Résultats
|
signification
|
1
|
R1
|
Vérification
|
Si la requête est validée
|
Vrai : requête validée
Faux : requête rejetée
|
On vérifie la requête
|
b. RER de validation
N°
|
Nom RER
|
Opération
|
RER
|
Résultats
|
signification
|
1
|
R1
|
contrôle
|
Si le projet est conforme
|
Vrai : projet conforme
Faux : projet non conforme
|
On vérifie lala conformité du
projet
|
2
|
R2
|
Publication
|
Si la publication est valide
|
Vrai : publication validée
Faux : publication annulée
|
Verification de la publication
|
G.O.E
a. G.O.E pour la demande
Requête émise
Requête enregistrée
Rejetée
Validée
Versement
Projet mariage
Non-conforme
conforme
Projet de publication
Annulée
Validée
Registre mis à jour
Acte mariage
Acte validé
Projet remplis
b.G.O.E pour la validation
vii. MCT
a. REQUETE EMISE
R1
R2
VERIFIER
VALIDEE
REJETEE
VERSEMENT
S1
ENREGISTRER
PROJET MARIAGE
REQUETE ENREGISTRE
ETABLIR
MCT de demande
b. ETABLIR
R1
R2
CONTROLER
CONFORME
NON-CONFORME
PROJET DE PUBLICATION
METTRE A JOUR
REGISTRE MIS A JOUR
R1
R2
PUBLIER
VALIDEE
ANNULEE
PROJET REMPLI
MCT de validation
EDITER
ACTE DE MARIAGE
VALIDER
ACTE VALIDE
CHOIX DE L'ORGANISATION
N°
|
OPERATION
|
PHASE
|
DEGRE DE FORMALISATION
|
VOLUME REPETITIVE
|
DEGRE D'URGENCE
|
TYPE DE TRAITEMENT
|
1
|
VERICATION
|
COMPARER
|
PEU FORMALISABLE
|
- VOLUME FAIBLE
- REPETITIF
|
URGENT
|
INTERACTIF
|
2
|
ENREGISTREMENT
|
ECRIRE
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
- Répétitivité variable
|
URGENT
|
INTERACTIF
|
3
|
ETABLISSEMENT
|
ECRIRE
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
- Répétitivité variable
|
URGENT
|
INTERACTIF
|
5
|
CONTROLE
|
VERIFIER
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
Répétitivité variable
|
URGENT
|
MANUEL
|
ELABORER
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
- Répétitivité variable
|
URGENT
|
INTERACTIF
|
|
ETABLISSEMENT
|
ECRIRE
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
- Répétitivité variable
|
URGENT
|
INTERACTIF
|
6
|
MIS A JOUR
|
ECRIRE
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
- Répétitivité variable
|
URGENT
|
INTERACTIF
|
7
|
EDITION
|
ETABLIR
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
- Répétitivité variable
|
URGENT
|
INTERACTIF
|
8
|
VALIDATION
|
CONFIRMER
|
PARTIELLEMENT FORMALISABLE
|
- Volume variable
- Répétitivité variable
|
URGENT
|
MANUEL
|
viii. DIAGRAMME DE PROCEDURE
1. Début : émission de la
requête du mariage
Durée : 5'
Processus de demande de mariage
poste
temps
|
Requérant
|
Réception
|
Commis chargé mariage
|
Préposé état-civil
|
Officier état-civil
|
VERSEMENT
REQUETE REJETEE
REQUETE
REQUETE ENREGISTREE
ENREGISTRER
S1
REQUETE VALIDEE
VERIFIER
REJETEE VALIDEE
PROJET DE MARIAGE
ETABLIR
R1
R2
Début : au versement du
requérant
Durée : 3'
Début : à l'enregistrement de
la requête
Durée : 1'
2. Processus d'activation de l'acte
poste
temps
|
Requérant
|
Réception
|
Commis chargé mariage
|
Préposé état-civil
|
Officier état-civil
|
Début : remplissage du projet
Durée : 6'
Début : la publication
validée
Durée : 2'
Début : à
l'établissement de projet de publication
Durée : 4'
Début : la conformité du
projet
Durée : 3'
Début : remplissage du projet
Durée : 6'
PROJET REMPLI
CONTRÔLER
NON-CONFORME
CONFORME
PROJET CONFOR
PROJET NO-CONF
PUBLIER
Rejetée
Validée
Validéeee
annuléee
METTRE A JOUR
Publication validée
EDITER
VALIDER
PROJET CONFOR VALID2
PROJET DE MARIAGE
EDITER
PROJET DE PUBLICATION
PROJET DE PUBLICATION
PROJET DE MARIAGE
|
|
|
|
|
|
N°
|
TEMPS
|
TRAITEMENT
|
NATURE DE TRAITEMENT
|
POSTE DE TRAVAIL /RESSOURCES
|
REQUETE EMISE
VERIFIER
R1
R2
REJETEE
VALIDEE
|
INTERACTIF
|
POSTE : réception
RESSOURCES :
- Ordinateur
- Stylo
- Papier A4
|
|
|
VALIDEE
VERSEMENT
S1
ENREGISTRER
REQUETE ENREGISTREE
|
INTERACTIF
|
POSTE : réception
RESSOURCE :
- Un agent
- PC
- Papier A4
|
|
|
REQUETE ENREGISTREE
ETABLIR
PROJET MARIAGE
|
INTERACTIF
|
POSTE : réception
RESSOURCE :
- Un agent
- stylo
- Papier A4
- imprimante
|
|
|
2.10.2. DIAGRAMME
D'ENCHAINEMENT DE PROCEDURE
C'est un diagramme qui traduit directement, au niveau
organisationnel le modèle conceptuel de traitement. Il est construit
à partir du diagramme des procédures. Ce diagramme est
constitué des événements, les opérations, les
résultats associant le type de traitement, les postes de travail
concernés et la chronologie des traitements.
1. PROCEDURE DE DEMANDE
N°
|
TEMPS
|
TRAITEMENT
|
NATURE DE TRAITEMENT
|
POSTE DE TRAVAIL /RESSOURCES
|
CONTROLER
R1
R2
NON CONFORME
CONFORME
PROJET REMPLI
|
MANUEL
|
POSTE : commis
RESSOURCE :
- Un agent
- stylo
- Papier A4
|
|
|
ETABLIR
CONFORME
PROJET DE PUBLICATION
|
INTERACTIF
|
POSTE : commis
RESSOURCE :
- Un agent
- stylo
- Papier A4
- Pc
- imprimante
|
|
|
PROJET DE PUBLICATION
PUBLIER
R1
R2
ANNULEE
VALIDEE
|
MANUEL
|
POSTE : réception
RESSOURCE :
- Un agent
- stylo
- Papier A4
plancard
|
|
|
METTRE A JOUR
REGISTRE MIS A JOUR
VALIDEE
|
INTERACTIF
|
POSTE : réception
RESSOURCE :
- Un agent
- stylo
- Papier A4
- pc
|
|
|
REGISTRE MIS A JOUR
EDITER
ACTE DE MARIAGE
|
INTERACTIF
|
POSTE : réception
RESSOURCE :
- Un agent
- stylo
- Papier A4
- Imprimante
- pc
|
|
|
ACTE DE MARIAGE
VALIDER
ACTE VALIDE
|
MANUEL
|
POSTE : officier
RESSOURCE :
- Un agent
- stylo
- Papier A4
|
|
|
2. PROCEDURE D'ACTIVATION
Chapitre IV :
IMPLEMENTATION
INTRODUCTION
L'implémentation consiste à représenter
la solution trouvée sur une configuration matérielle en tenant
compte des contraintes physiques et matérielles ainsi que
opérationnelles. Elle permet de rendre opérationnel la base de
données construite à partir du MCD.
En d'autres termes, l'implémentation est la
réponse aux besoins de l'utilisateur sous une forme accessible et
utilisable directement.
Cependant, lors de l'implémentation de la solution,
plusieurs critères entrent en jeux, il s'agit des critères de
choix du système de gestion de base de données (SGBD), du choix
du système d'exploitation sur lequel l'application sera
installée, du choix de langage de programmation à utiliser,
...
Ces différents choix dépendent d'une part du
concepteur et d'autre part des utilisateurs. Le concepteur devrait au
préalable étudier et voir les avantages de choisir ou d'utiliser
soit tel langage de programmation ou tel système d'exploitation et quant
aux utilisateurs le concepteur devrait étudier le système auquel
ces derniers peuvent adopter facilement et penser au coût de
l'entreprise.
D'où nous avons jugé bon de porter notre choix
tout en tenant compte des différents critères cités
ci-haut
1. CHOIX DU SYSTEME DE GESTION DE
BASES DE DONNEES
L'évolution de l'informatique a permis de mettre en
marche les différents types de système de gestion des bases de
données. Parmi lesquels nous avons opté le type relationnel qui
est le plus rependu et utilisé dans le monde informatique. Les bases de
données sont accessibles grâce au système de gestion des
bases de données SGBD.
La base données est définit par Richard GRIN
comme un ensemble structuré de données enregistrées dans
un ordinateur et accessibles de façon sélective par
l'utilisateur. Un logiciel qui permet d'interagir avec une base de
données s'appelle un système de gestion des bases de
données25(*). Parmi
les SGBD nous pouvons citer : Access, SQL serveur, MySQL, oracle,
Paradons, Sybase ; ...
Pour bien gérer les données et développer
notre application nous avons opté le SGBD relationnel Access 2010 de
l'entreprise Microsoft. Access est un SGBD permettant de manipuler les bases de
données relationnelles et manipulable facilement grâce à
son environnement. Il intègre à son sein deux langages :
§ Le langage SQL (structedquerylanguage) incorporé
dans chaque SGBD afin de manipuler des données de chaque SGBD en
créant des tables et des requêtes.
§ Le langage QBE (query by exemple) inventé par
IBM pour faciliter la construction de requêtes relationnelles grâce
à un aspect graphique.
Donc, le SGBD permet à un utilisateur de communiquer
avec une base de données.
2. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION
Un langage est une forme de communication servant à
exprimer des idées, à informer ou à donner des
instructions.
En informatique, le mot « programme »
signifie une suite d'instructions (ou ordres) préalablement
enregistrées sous une forme donnée (codes) ; à la
lecture des quelles la machine effectue automatiquement une suite
d'opérations.
Comme l'ordinateur n'est qu'une machine, il faudrait pouvoir
communiquer avec lui pour arriver à donner des instructions. Donc la
machine fait ce que l'homme lui demande en utilisant un langage qui lui est
propre, c'est-à-dire un langage compréhensible par un ordinateur
ou qu'il est capable d'interpréter, c'est ainsi que sont nés des
langages de programmation, qui permettent de donner des ordres à
l'ordinateur.
Parmi les langages de programmation nous pouvons
citer :
§ Le langage Pascal ;
§ Le langage Basic ;
§ Le langage Delphi (dérivé de
Pascal) :
§ Le langage Visual Basic ;
§ Le langage java ;
§ Le langage PHP ;
§ Le langage C et C++
§ Etc.
Parmi ces langages énumérés ci-haut,
notre choix porte sur le langage de programmation Visual Basic qui est un
environnement descendant du langage structuré Basic.
Le langage Visual Basic est un langage visuel
événementiel et orienté objet.
3. CHOIX DU SYTEME D'EXPLOITATION
Didier FOURT définit le système d'exploitation
comme étant le logiciel qui contrôle l'affectation et
l'utilisation des ressources matérielles telles que la mémoire,
le temps, l'espace disque et les périphériques. Un système
d'exploitation est la base sur laquelle s'exécutent les
logiciels.26(*)
Voici quelques systèmes d'exploitation : Windows,
Mac os et Unix (Linux).
Pour le cas de notre travail, notre choix porte sur le
système d'exploitation Windows 7. Pour les raisons suivantes ; il
est le plus utilisé en Afrique particulièrement au Congo, il est
compatible avec le VB 6.0 et enfin il est facile à utiliser
c'est-à-dire il y a facilité de s'adopter.
4. ACTEURS DU SYSTEME INFORMATIQUE ET
LEURS ROLES
Le système informatique est l'ensemble de moyens et des
méthodes se rapportant au traitement automatisé des informations
de l'organisation. Il s'intéresse aux informations collectives qui
concernent un ensemble d'entités importantes et voici les acteurs du
système informatique et leurs rôles :
· CELIDE : C'est la cellule d'identification, elle
s'occupe de l'identification des contribuables et leurs biens.
· CELTAX : C'est la cellule de taxation, elle
s'occupe des calculs c'est-à-dire la taxation de l'impôt selon la
nature et celle du bien.
· CELORD : C'est la cellule d'ordonnancement, elle
s'occupe de l'ordonnancement c'est-à-dire elle donne l'ordre au
contribuable d'aller verser à la banque.
· CELAP : C'est la cellule qui s'occupe de
l'apurement ou la vérification de l'acquittement des contribuables.
CONCLUSION GENERALE
A l'issue de notre travail que nous avons eu à
réaliser dont le sujet s'intitule `' mis en place d'une application
d'enregistrement de mariage dans un bureau communal : cas de la commune
KENYA ''.
En effet, voici la question relative à notre sujet que
nous nous somme posée :L'implémentation d'un système
d'information informatisé, pourra-t-elle réduire le risque de
double enregistrement de mariage?
Nous avions émis l'hypothèse qu'avec la part que
l'informatique va apporter au moyen de l'ordinateur et une application
d'enregistrement de mariage que nous avions doté à l'Etat civil
(commune KENYA) ; nous arriverons à décanter le
problème lié à l'enregistrement de double mariage et
permettre à l'Etat civil de maximiser le temps ainsi que la
sécurité de ses données.
Hormis l'introduction et la conclusion notre travail
était subdivisé en 4 chapitres que nous avons :
- Le premier chapitre : concepts et considération
théorique du sujet
- Le deuxième chapitre :l'analyse de l'existant
- Le troisième chapitre : conception du nouveau
système
- Le quatrième chapitre implémentation
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
1
1. CHOIX ET INTERET DU SUJET
1
2. ETAT DE LA QUESTION
2
3. PROBLEMATIQUE
3
4. HYPOTHESE
3
5. METHODES ET TECHNIQUES
4
6. DELIMITATION DU SUJET
5
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
5
Chapitre I: LES CONCEPTS ET
CONSIDERATION THEORIQUE DU SUJET
6
1. LES MOTS CADRANTS AVEC LE SUJET
6
2. DEMARCHE MERISE
6
1.1.1 MODELE CONCEPTUEL DE DONNE(MCD)
7
1.1.2 DESCRIPTION DES DONNEES
7
1.1.3 INVANTAIRE LOTS D'INFORMATION
7
1.1.4 DICTIONNAIRE DE DONNEES(DD)
8
1.1.5 MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A
SOURCE SIMPLE
8
1.1.6 MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A
SOURCE COMPOSE
8
1.1.7 MATRICE DES CLES
8
1.1.8 GRAPHE DES CLES
8
1.1.9 STRUCTURE SAT (D'ACCES THEORIQUE)
8
1.1.10 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES
(MCD)
8
1.1.11 TABLEAU DE CARDINALITE
8
1.1.12 MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT(MCT)
8
2.1.1. DESCRIPTION DES TRAITEMEMTS
9
c. Tableau des opérations
9
2.2. MOT (A)
10
2.3. Modèle Organisationnel de
Données (MOD) et Modèle Logique de Données (MLD)
10
2.4. MODELE ORGANISATIONNEL DU TRAITEMENT
(MOT)
11
2.5. DIAGRAMME DE PROCEDURE (phases)
11
2.6. DIAGRAMME DE REPARTTION DES TACHES
11
2.7. IMPLEMENTATION
11
2.8. LANGAGE DE PROGRAMMATION
11
1.1.13 Langage Visual basic
11
1.1.14 Classes Et Objets
12
2.9. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
(S.G.B.D)
12
1.1.15 La base de données
12
1.1.16 L'accès aux données
12
1.1.17 La requête
12
1.1.18 Les Relations
12
1.1.19 Les attributs
12
1.1.20 Clé primaire
12
1.1.21 Domaine
12
1.1.22 Les aspects de la base de
données
13
1.1.23 CHOIX DU SYSTEME DE BASES DE
DONNEES
13
CHAPITRE II ANALYSE DE L'EXISTANT
14
2. LA PRESENTATION DU SYSTEME D'INFORMATION
14
2.1.1. Introduction
14
1.1.24 Présentation du cadre
d'étude
14
2.1.2. IDE LA SITUATION
GEOGRAPHIQUE
14
2.1.3. ORGANISATION
ADMINISTRATIVE
16
2.1.4. L'ETAT - CIVIL EN RDC
17
2.1.4.1. Le concept état -
civil
17
2.1.4.2. Histoire de l'état -
civil (origine)
18
2.1.4.3. L'avènement de
l'état - civil en RDC.
18
La description de donnée est une
opération qui nous permet de répertorier les informations de
chaque document étudié.
21
1.1.25 C'est une structure qui nous permet
de répertorié les propriétés issues des
différents documents qui nous ont étaient
présenté.
22
Chapitre III CONCEPTION DU NOUVEAU
SYSTEME
28
1. DESCRIPTION DU NOUVEAU SYSTEME
28
1.1. DICTIONNAIRE DES BONNEES
28
1.2. REGLE DE GESTION
Erreur ! Signet non
défini.
2. STRUCTURE DES DONNEES
30
2.1. MATRICE DE DEPENDANCE
FONTIONNELLE A SOURCE SIMPLE
30
2.2. MATRICE DE DEPENDANCE A SOURCE
COMPOSEE
31
2.3. MATRICE DE CLES
31
2.4. GRAPH DE CLES
31
2.5. SAT
32
2.6. MCD
33
2.7. TABLEAU DES CARDINALITES
34
2.8. CHOIX ET TYPE DE BASE DE DONNEE
34
2.9. DESCRIPTION DE TRAITEMENT
38
2.10. CHOIX DE L'ORGANISATION
44
Chapitre IV : IMPLEMENTATION
49
1. INTRODUCTION
49
2. CHOIX DU SYSTEME DE GESTION DE BASES DE
DONNEES
49
3. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION
49
4. CHOIX DU SYTEME D'EXPLOITATION
50
5. ACTEURS DU SYSTEME INFORMATIQUE ET LEURS
ROLES
50
* 1 Daniel K. Schneider,
introduction à la recherche et le choix d'un sujet,2004, pIV4
* 2 DUNIA YAFUNGA Gabriel,
« Mise en place d'une application web pour la gestion des certificats
de mariage en RDC »,UPL,Ed.2013
* 3Dictionnaire Petit ROBERT de
poche, page 565.
* 4 Code de la famille, art.
388
* 5R. PINTO & M. GRAWITZ
Méthode de science sociale, éd. Dalloz, Paris 1975, P. 20.
* 6R. PINTO & M. GRAWITZ
Méthode de science sociale, éd. Dalloz, Paris 1975, P. 20.
* 7 GUSTAVE Le Bon, psychologie
des temps nouveaux, 1920 ,p142
* 8 Selon le dictionnaire
PETIT ROBERT
* 9 GRAWITZ,Z . :
méthodes des sciences sociales, 4eme éd. Paris, 1979,p.571
* 10 Source, code la famille,
art.330
* 11CT ELIE LOUIS KABWE Cours
de méthode d'analyse informatique2014 -2015
* 12 MICHEL divine :
parlez- vous merise? Les éditions du phénomène, France
1994
* 13Jac Munda -
Questions approfondies d'IG L1
* 14 MICHEL divine :
parlez- vous merise? Les éditions du phénomène, France
1994
* 15 CT ELIE LOUIS KABWE Cours
de méthode d'analyse informatique2014 -2015
* 16 PROFESSEUR Daniel BAVUEZA
MUSANA 2015-2016
* 17 CT ELIE LOUIS KABWE Cours
de méthode d'analyse informatique2014 -2015
18 PROFESSEUR Daniel BAVUEZA MUSANA 2015-2016
* 19 CT DAILY KALOMBO NSHIMBA
vidje cous de l.p.o.o 2015-2016
* 20 CT LUCID BULA cours de
bases de données 2015-2016
* 21 CT LUCID BULA cours de
bases de données 2015-2016
* 22 CT LUCID BULA cours de
bases de données 2015-2016
* 23Code civil, Tome II,
section 3, 1987
* 24Source : Bureau de
l'Etat-civil de la commune de la kenya
* 25 Richard Grin, introduction
aux bases de données, modèle relationnel, université de
Nice Sophia-An-liplis 1999, P.3
* 26 Didier FOURT :
définition sur le système d'exploitation
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