EPIGRAPHE
Quand les grandes puissances veulent mettre
une jeune économie à genoux, elles commencent par avilir sa
monnaie, c'est ainsi qu'il y a une devise étrangère circulant
parallèlement à une devise nationale. C'est un crime
économique que les nations doivent condamner tout en demandant les
réparations pour les préjudices subis.
Mgr
BAKAFWA KWASHIKONA Placide
DEDICACE
A notre Dieu
miséricordieux, plein de sagesse et de bonheur pour ta bonté, toi
qui prends soin de ce travail de génération en
génération.
A notre père André ETAMBELA
BASANGA LOMASE qui avait travaillé, semé sans
récolté qui na pas vu le succès de ce présent
travail, que votre âme se repose en paix ;
A notre mère Denise ASANGA NDOWA,
mère pleine d'amour, nous demandons à l'Eternel Dieu de vous
accorder longue vie ici sur terre :
A notre père cadet Doctorant ECIKE EWANGA
et ma grande Soeur Jeannette ETAMBELA pour votre soutient tant moral et
matériel que le Dieu tout-puissant vous bénisse.
Thomas LOKUNDA ETAMBELA
AVANT PROPOS
La formation universitaire a pour objectif de doter
l'étudiant des connaissances et aptitudes lui permettant d'être
utile à la société, et de résoudre les
problèmes majeures qui surgissent au cours de la civilisation.
Ainsi, ce travail qui marque la fin du premier cycle
à la faculté des sciences économiques et de gestion est le
fruit d'une formation assidue sur le plan intellectuel. Sa
concrétisation ainsi que sa rédaction est le résultat de
beaucoup d'efforts consentis par plusieurs personnes envers lesquelles nous
voudrions adresser nos remerciements.
L'obligation nous incombe à tout premier lieu
d'exprimer notre gratitude à Dieu créateur de toutes choses
visible et invisible, le Dieu de Joseph OLANGI et Elisabeth WOSHO, pour
l'intelligence et la sagesse qu'il nous a donné tout au long de notre
parcours dans le monde de la science, surtout pour sa volonté et le don
de la vie.
Notre reconnaissance va aux professeurs Berthold OYANGANJI
DIMANDJA Recteur de l'UNILOD pour sa sollicitude paternelle, et son
encouragement, ainsi que Lambert OKUNDJI LUTOLA, Secrétaire
Général Académique de l'UNILOD qui, nonobstant leurs
innombrables occupations, ne ménagent aucun effort pour notre
formation.
Nous saluons de vive voix ceux qui se sont donné la
peine d'assurer la direction et l'encadrement de ce travail de fin de cycle en
Sciences Economiques et de Gestion ; le Professeur Jean-Pierre NGANDA
AFUMBA dont ses remarques ont été constructives ainsi que le
Doctorant Puis LUTOLA qui , en dépit de leurs multiples occupations ont
accepté d'apporter leurs touches de maitre à la rédaction
de ce travail , qu'ils trouvent ici l'expression de notre profonde gratitude et
de notre parfaite considération.
Nous adressons nos remerciements au corps professoral de
la faculté des sciences économiques et de gestion ainsi qu'aux
cadres scientifiques dont les enseignements nous ont permis d'atteindre ce
niveau, nous adressons particulièrement à l'Assistant Emmanuel
OSEPE qui a toujours disposé du temps nécessaire pour
répondre à nos questions.
Nos remerciements sont également adressés
à la grande famille du Ministère Chrétien du Combat
Spirituel, ceux avec qui nous partageons le même pain spirituel,
particulièrement à la Jeunesse Chrétienne Combattante dont
nous sommes membre (JCC en Sigle).
Nous tenons à remercié nos encadreurs
spirituels, tous les missionnaires avec qui nous avons passé de
très bons moments ; Qu'ils trouvent ici l'expression de notre
affection.
Nous pensons à nos compagnons de lutte avec qui
nous avons sué sang et eau pour atteindre ce but : Gustave EMONGO,
Barthélémy TSHEBUE, Albert ASELO, Béatrice MANGA, Pauline
ASHINGO et les autres pour l'amitié que nous avons tissée dans
notre parcours universitaire.
En fin, Que soient remerciés tous nos
frères et soeurs, cousins et cousines : Irène ETAMBELA,
Abethy ETAMBELA, Dieudonné ETAMBELA, Stanis ETAMBELA, Dido ETAMBELA,
Médard IKALA, Nelly KOSSO, pour leur amour profond à notre
égard.
Que tous ceux qui nous portent dans leurs coeurs
ne nous tiennent pas rigueur car ils ne sont pas cités cela ne veut pas
dire qu'ils ne sont pas aimés ou sont oubliés, c'est plutôt
faute de temps et d'espace.
Thomas LOKUNDA ETAMBELA
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