CONCLUSION
Aujourd'hui le secteur la coiffure est plus envahi par les
réseaux sous enseigne où les indépendants et les salons
de coiffures traditionnels souffrent de d'une image de marque vieillissante.
Les succès de ces salons de coiffures reposent sur leurs
capacités à s'adapter à l'évolution des modes de
consommation qui touche la coiffure ce dernier temps.
Vu l'influence de la modernisation dans le secteur la
coiffure, nous avons jugé impérieux d'articuler notre sujet sur
« la modernisation de salon de coiffures et l'évolution leurs
chiffres d'affaires à Goma : cas du salon de coiffure
BAKAGAPE de 2011 à 2013».
Cette étude a couvert la période allant de 2011
à 2013 soit trois ans d'étude subdivisée en deux grandes
phases : la phase d'avant modernisation allant de janvier 2011 en juin
2012 et celle d'après modernisation de juillet 2012 en décembre
2013. En effet, notre interrogation majeure s'est résumée en
deux grandes questions à savoir :
· Quelle motivation, qui a poussée le salon de
coiffure BAKAGAPE à se moderniser ?
· Quel est l'impact de cette modernisation sur
l'évolution de son chiffre d'affaires ?
Cependant, les réponses provisoires nous les avons
résumées comme étant, l'attraction de la clientèle
par le salon de coiffures BAKAGAPE serait la principale cause qui lui aurait
poussée à se moderniser.
La seconde reformulée, dès la phase de la
modernisation de ce salon de coiffure, il serait remarqué une
croissance importante de son chiffre d'affaires.
Pour ce faire, les techniques documentaire et d'interview
nous ont aidé à récolter des données et la
méthode statistique de comparaison deux moyenne par deux
échantillons appareillés nous a servi pour l'analyse et la
vérification de nos hypothèses.
Eu égard à l'analyse des données, les
résultats qui en sont résultés, nous montrent clairement
que l'hypothèse nulle (H2.0) est affirmée du fait qu'avec un
seuil d'erreur de á=5% soit un degré de confiance de 95%, la
statistique calculée est apparue inférieure par rapport à
celle du tableau de distribution de Student ; mais aussi la confirmation
à quatre vingt dix pourcent du responsable de ce salon de
coiffure ; soutenu par le résultat obtenu au tableau N°5
d'où la statistique tcalculéapparaisant supérieure
à celle du tableau de distribution de student nous a également
servi pour l'affirmation de l'hypothèse H1.
Ainsi, sur un chiffre d'affaires de vingt trois millions neuf
cent soixante et un milles cinq cent vingt et un francs congolais
(23961521fc), seulement la phase d'avant modernisation n'a enregistré
que des recettes se levant à dix millions huit cent septante cinq mille
quatre cent onze francs congolais (10875411fc).
Enfin, nous n'avons pas la prétention d'avoir
réalisé une analyse exhaustive, ainsi nous sollicitons
l'indulgence de tous lecteurs pour les imperfections qui s'y seraient
glissées.
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