FICHE DE CERTIFICATION DE
L'ORIGINALITE DU TRAVAIL
Je soussigné, Monsieur DEFO
Célestin, atteste que la présente thèse est le
résultat de mes propres travaux de recherche effectués dans la
ville de Bafoussam, chef lieu de la province de l'Ouest Cameroun sous la
direction du MANJELI Yacouba, Professeur
à la FASA et de l'encadrement technique du Dr FONKOU
Théophile, Chargé de cours au
Département de Biologie Végétale à
l'Université de Dschang. Cette thèse est authentique et n'a
jamais été présentée pour l'acquisition de quelque
grade universitaire que ce soit.
NOM ET SIGNATURE DE
L'AUTEUR
M. DEFO Célestin
Date
:............................
VISA DU DIRECTEUR
VISA DE L'ENCADREUR
Date :............................
Date :............................
VISA DU CHEF DE DEPARTEMENT
Date
:............................
FICHE DE CERTIFICATION DES CORRECTIONS APRES
SOUTENANCE
La présente thèse a été revue et
corrigée conformément aux observations du jury.
Visa du Directeur
Visa du Membre du Jury
Date...........................
Date :..................
Visa du Président du jury
Visa du chef de département
Date....................
Date............................
DEDICADE
A :
Mon cher Papa : Sob Valentin qui a consenti tous ses
efforts pour mon éducation, en m'inculquant l'esprit de
persévérance et l'amour au travail.
Ma chère maman Noumsi Marceline : Ceci est le
fruit de ta tendresse
infinie, de ton soutien moral et matériel que tu as
toujours manifesté à mon égard.
REMERCIEMENTS
Ce travail a trouvé sa dimension scientifique
grâce à la contribution d'un certain nombre de personnes qui m'ont
permis d'atteindre mes objectifs de recherche.
J'exprime ainsi ma profonde gratitude :
- Au Pr Manjeli Yacouba qui, malgré ses multiples
occupations, a accepté de diriger ce travail et a entretenu une
collaboration chaleureuse avec l'équipe jusqu'à son terme.
- Au Dr Fonkou Théophile pour l'encadrement chaleureux,
son ardeur au travail et la disponibilité qu'il a toujours
manifesté tout au long de ce travail.
- Aux Dr Kamgaing Théophile, Dr Nono Alexandre et Dr
Omoko Michel pour leur assistance et précieux conseils qui ont
été pour moi de véritables catalyseurs.
- A M. Pounde René pour son assistance permanente, ses
précieux conseils, son apport documentaire et logistique.
- A Monsieur Nguifo Etienne, Chef de service de
l'hygiène à la commune urbaine de Bafoussam pour l'accueil qu'il
m'a réservé dans ses services pendant le stage et pour la
documentation qu'il m'a fourni. Tous ses collaborateurs se trouvent aussi ici
remerciés. Il s'agit de : M. Wabo, Ndji, M. Chembong, Mme Cathy etc.
- Madame Tchekoulong, Chef de service technique à la
commune urbaine de Bafoussam
Je remercie aussi toutes les personnes qui m'ont
apporté une assistance morale et financière. Il s'agit :
- Des familles Nyotué de Garoua, Fotso de Banyo et
Kahkaping de Mayo Darlé, Kuate de Douala et Kamga de Bandjoun et de ma
grand-mère Moche Lucienne de Bafoussam.
- De mon grand frère Mabou Paul Blaise, doctorant en
Géographie à l'université de Yaoundé I pour
l'orientation et le soutien qu'il a toujours manifesté à mon
égard.
- De tous mes frères et soeurs : Léopold
Wabo pour son assistance financière, Valery Kengne, Ruphine Moche,
Kuate. D Guy Simplice, Merlin Foko et Patou.
- Monsieur Adama Philémon pour son hospitalité,
son soutien moral et matériel, son assistance tout au long de la
formation.
Je voudrais aussi bien payer tribut :
- A Madame Nyotue Clotilde, Madame Fotso Bernadette
et Maman Cécile.
- A tous mes camarades de la troisième promotion du
cycle de Master of Science en Gestion de l'Eau : Aminou Bouba Kaou,
Kamegne Chrestien, Gouafo Casimir, Baok Gisèle, Fomukom Gilbert, Dondji
Fongou, Kum Sylvester Beng.
- A tous mes amis : Noubissi Tagne Samuel, Cyrille Sadeu,
Tanguenang, Sidje Tesso. E, , Jean Rodolphe Chouna, Mamtsaï, Armelle
Dongmo, Henry Ngapout, Nadine Sylvie Nankeu, Cyrille Simo, Nelly Mepah Sielenou
et Felix Meutcheyie.
- M. Wafo Bernard Guy pour son assistance et apport
logistique.
- Maman Massudom Jaqueline, Madame Bopda Suzanne et Madame
Dongmo Agnès pour leur hospitalité.
- Madame Tabouopda. V, M. Defo Moyou et M. Defo Joseph Jules
pour leur assistance et leurs conseils.
Que toutes les personnes qui ont contribué à la
genèse de ce document et dont les noms ne figurent pas sur cette liste
se trouvent ici remerciées !
RESUME
L'étude a été
conduite de juillet à décembre 2005 dans la ville de Bafoussam,
chef lieu de la province de l'Ouest Cameroun. L'objectif global était de
contribuer à l'amélioration de la gestion des boues de vidange
dans cette ville. Il s'agissait plus spécifiquement d'analyser
l'influence des caractéristiques socioéconomiques de la
population sur la gestion des boues de vidange et le rôle des acteurs
intervenant dans la chaîne d'assainissement, d'évaluer les
techniques de gestion actuelle, de caractériser les boues de vidange,
d'apprécier leur impact sur la population du site de décharge,
d'en déduire les principales contraintes et de proposer des solutions.
Pour ce faire, les documents disponibles, les observations directes, les
fiches d'enquête et le laboratoire ont été utilisés.
Les quartiers de la ville de Bafoussam ont été divisés en
trois catégories (aisés, mixtes et défavorisés), en
fonction de leur niveau d'hétérogénéité et
de la densité des populations. Les principaux résultats ont
montré que : la population de Bafoussam est constituée en
majorité des chefs de ménages hommes dans tous les quartiers
(73,6 %), âgés de plus de 40 ans (89,0 %), mariés (81,0 %),
de religion chrétienne dominante (83,0 %), dont plus de 50 % ont
reçu une formation au delà du secondaire. Les activités
professionnelles libérales sont prédominantes dans les quartiers
défavorisés (52,0 %) et le quartier mixte (48,0 %) alors que les
quartiers aisés regorgent beaucoup plus de salariés et de
retraités (80,0 %). L'ethnie Bamiléké est dominante avec
une forte proportion dans le quartier mixte (84,0 %). La taille de la famille
est plus élevée (6 à plus de 12 personnes) dans les
quartiers défavorisés (66,7 %) et mixte (80,0 %), mais plus
faible (0 à 6 personnes) dans les quartiers aisés (91,7 %). Les
revenus mensuels varient du faible (0 à 30000 FCFA) dans les quartiers
défavorisés et le quartier mixte au fort (plus de 90000 FCFA)
dans les quartiers aisés. L'utilisation du matériau local (brique
de terre) est plus caractéristique des quartiers
défavorisés (58,3 %) alors que les logements en dur sont plus
fréquents dans les quartiers aisés et le quartier mixte avec 83,4
% et 72 % respectivement. Plusieurs acteurs
interviennent dans l'assainissement de la ville de Bafoussam : la commune
urbaine, les délégations ministérielles, les Organisations
Non Gouvernementales et les entreprises privées. Dans tous les quartiers
étudiés, les boues de vidange sont gérées de
manière autonome dans deux types d'ouvrages : les fosses septiques
(49 %) et les latrines (59 %). Les latrines peuvent avoir des dalles en ciment
(97 %) ou en bois (3 %). La vidange de ces fosses est effectuée par deux
camions de 6 m3 dont l'un appartient à la commune urbaine et
l'autre à une entreprise privée. Les concentrations
physico-chimiques des boues sont très élevées (Demande
Chimique en Oxygène : 60500 mg/l ; Azote Ammoniacal
(NH4+):1472,92 mg/l ; Phosphate
(PO43- ):1044,85 mg/l). Les boues sont
déversées après vidange sans traitement au bord de la
rivière Noun. Elles constituent une source de plusieurs nuisances
à la population environnante (odeurs, moustiques, maladies...). Les
principales contraintes qui entravent la gestion des boues de vidange sont
nombreuses. Au niveau de la population : faible revenu, ignorance de la
réglementation en matière de vidange des boues, absence de
connexion au réseau d'adduction d'eau, accès difficile aux
quartiers, mauvaise utilisation des ouvrages sanitaires (dépôt
d'objets solides ou plastiques, fermetures des fosses sans vidange...). Au
niveau de la commune urbaine : manque de cadres techniques, contrôle
irrégulier d'hygiène et de salubrité, mauvais entretien
des camions et motivation insuffisante des vidangeurs, procédé
administratif long et compliqué d'octroie du camion. Au niveau des
délégations ministérielles et les Organisations Non
Gouvernementales : conflits de rôles, moyens financiers
limités et manque de personnels techniques. Au niveau de l'entreprise
privée : coûts élevés de vidange et modicité
de logistiques. Des efforts devraient être faits pour lever les
contraintes ci-dessus relevées et la construction d'une station
d'épuration des boues de vidange devrait être envisagée.
ABSTRACT
This study was conducted in Bafoussam, capital of the West
province in Cameroon, and stretched from July to December 2005. The principal
objective of the study is to improve the management of faecal sluge of this
town. Most specially, the study takes an indepth analysis of the influence of
socioeconomic implication of population on issues related to the management of
the feacal sludge. It further examines the role of stakeholders in the domain
of sanitation, evaluate present management techniques, analyse the
physico-chemical characteristics of the the faecal waste, examines their
impact on the population of the dumping site, design of waste disposal system,
deduce the main constraints and propose solutions. Realizing these necessited
the consultation of available documents, direct observations on the field,
administration of questionnaires and laboratory analysis. Quarters in Bafoussam
were divided up into three categories: rich, mixed and slums. This was done in
function of the heterogeneity and population density of the quarters. The main
results revealed that the population of Bafoussam is made up of mostly
men(73.6%) as householdheads, householdheads of more than 40 years constitute
89% of the total population, those married 81%, those who attend the dominant
Christian religion 83% of which more than 50% have attended school beyong
secondary level. Those whose occupation is tertiary sectormostly live in slums
(52%), those in mixed quarters (48%) which the rich quarters mostly host
retired and senior civil servants. The Bamileke people dominate in mixed
quarters (84%). Householde size in slums range from 6 to more than 12 persons
and constitute 66.7%, in mixed quarters this constitute 80%. But, in rich
quarters, household size range between 0 to 6 persons and this constitute
91.7%. Monthly incomes vary from low (0 to 30 000 FCFA) in slums and mixed
to high (>90 000FCFA) to rich quarters. About 58.3%of houses in slums
are constructed with the use of local materials (tricks) while 83.4% and 72% of
houses in the affluent and mixed quarters are constructed with blocks
respectively. There are many stakeholders in the domain of sanitation in
Bafoussam. They include: the urban council, Provincial delegations of
ministries, NGOs and private enterprises. In all the quarters studied, faecal
sludge is managed autonomously in two ways: in septic tanks (49%) and in
latrines (59%). It was observed that, 97% of latrines had cemented floors while
3% had wooden floors. Emptying these pits is done by two tanker vehicles of
6m3 each of which one belongs to the urban council and a private
enterprise. The physic-chemical concentrations of these faeces are so high
(Chemical Demand in Oxygen 60500 mg/l; Amoniacal Nitrogen
(NH4+): 1472.92 mg/l; Phosphate
(PO43- ): 1044.85mg/l). these faeces emptied from pits
are dumped along the banks of river Noun without treatment. They therefore pose
as a threat to the surrounding population in their poor odors, diseases and
breeding ground to mosquitoes.
Feacal sludge management is compounded by many constraints in
Bafoussam. At the level of the population, low incomes, ignorance in the
regulation of faecal sludge, the absence of pipe borne water, difficult
accessibility into the quarters, poor use of sanitation equipment (use of
solids or plastic objects, closing the toilette without flushing...) all render
the management of faecal sludge difficult. At the level of the urban council,
we have lack of technical expertise, irregular control of hygiene and
salubrity, poor maintenance of tanker vehicles and no motivation (no risk
allowance) to the workers, administrative bottlenecks in the release of tanker
vehicles. At the level of provincial delegations of ministries and NGOs, we
have conflicts of interest, limited financial means and inadequate technical
personnel. At the level of private enterprises: high cost of of emptying pits,
out moded logistics. There are continuous efforts to overcome above mentioned
constraints. More over a project of construction of a station of treatment
would be erected.
SOMMAIRE
FICHE DE CERTIFICATION DE L'ORIGINALITE DU
TRAVAIL................................
|
i
|
FICHE DE CERTIFICATION DES CORRECTIONS APRES SOUTENANCE
...................
|
ii
|
DEDICACE......
.............................................................................................
|
iii
|
REMERCIEMENTS..........................................................................................
|
iv
|
RESUME.......................................................................................................
|
vi
|
ABSTRACT....................................................................................................
|
viii
|
LISTE DES
ABREVIATIONS..............................................................................
|
x
|
SOMMAIRE...................................................................................................
|
xi
|
LISTE DES FIGURES, DES TABLEAUX ET DES
FIGURES.......................................
|
xiv
|
CHAPITRE I : INTRODUCTION
|
|
1.1 Généralités
...............................................................................................
|
1
|
1.2 Position du problème
...................................................................................
|
1
|
1.3
Objectifs....................................................................................................
|
2
|
1.3.1 Objectif
global......................................................................................
|
2
|
1.3.2 Objectifs
spécifiques........................................................................
|
2
|
CHAPITRE II : REVUE DE LA LITTERATURE.
|
|
2.1 ESSOR DES VILLES DANS LES PAYS EN VOIE DE
DEVELOPPEMENT.................
|
3
|
2.1.1 Explosion
urbaine....................................................................................
|
3
|
2.1.2 Causes de l'explosion
urbaine......................................................................
|
3
|
2.1.3 Crise
urbaine..........................................................................................
|
3
|
2.2 ASSAINISSEMENT URBAIN AU
CAMEROUN..................................................
|
3
|
2.2.1 Contexte
général......................................................................................
|
3
|
2.2.2 Contexte
légal........................................................................................
|
5
|
2.3 EAUX
USEES.............................................................................................
|
6
|
2.3.1 Origine des eaux
usées..............................................................................
|
6
|
2.3.2 Traitement des eaux
usées...........................................................................
|
6
|
2.3.2.1 Méthodes
conventionnelles..................................................................
|
6
|
2.3.2.2 Méthodes
naturelles..........................................................................
|
6
|
2.4 BOUES
D'EPURATION................................................................................
|
7
|
2.4.1 Origine des
boues....................................................................................
|
7
|
2.4.2 Différents types de
boues...........................................................................
|
8
|
2.4.2.1 Boues
physico-chimiques...................................................................
|
8
|
2.4.2.2 Boues
biologiques............................................................................
|
8
|
2.4.2.3 Boues de
vidange.............................................................................
|
8
|
2.4.2.3.1 Composition des boues de
vidange.................................................
|
8
|
2.4.2.3.2 Mode de transmission des maladies par les boues de
vidange..................
|
10
|
2.4.2.3.3 Contexte de gestion des boues de vidange au
Cameroun........................
|
11
|
2.4.2.3.4 Mode de gestion de boues de
vidange.............................................
|
11
|
2.4.2.3.5 Conséquences de rejet des boues de
vidange......................................
|
18
|
2.5 INSTALLATIONS
SANITAIRES.....................................................................
|
19
|
2.5.1 Assainissement
collectif.............................................................................
|
19
|
2.5.2 Assainissement individuel ou
autonome..........................................................
|
19
|
2.5.2.1 Types de
latrines..............................................................................
|
19
|
2.5.2.2 Installations
septiques........................................................................
|
19
|
CHAPITRE III: MATERIELS ET METHODES
|
|
3.1 PRESENTATION DE LA ZONE
D'ETUDE.........................................................
|
21
|
3.2 CARACTERISTIQUES SOCIO-ECONOMIQUES DE LA
POPULATION....................
|
23
|
3.2.1 Délimitation et définition
des quartiers
échantillonnés..........................................
|
23
23
|
3.2.2 Choix des ménages
.................................................................................
|
24
|
3.2.3 Collete des donnees
.................................................................................
|
25
|
3.3 ROLES DES ACTEURS DE LA CHAINE
D'ASSAINISSEMENT.............................
|
25
|
3.3.1 Identification des acteurs de la chaine d'assainissement
à Bafoussam.......................
|
25
|
3.2.2 Roles des acteurs dans
l'assainissement.........................................................
|
25
|
3.4 EVALUATION DES TECHNIQUES DE GESTION DES
BV....................................
|
25
|
3.4.1 Prise de contact avec les services de
vidange...................................................
|
25
|
3.4.2 Techniques de vidange et collecte des
donnees.............................................
|
25
|
3.5 CARACTERISTIQUES PHYSICO-CHIMIQUES DES
BV.......................................
|
25
|
3.6 IMPACT DES BV SUR LES POPULATIONS DU SITE DE
DECHARGE...................
|
26
|
3.7 CONCEPTION D'UNE STATION
D'EPURATION............................................
|
26
|
3.7.1 Bassin de
reception.................................................................................
|
26
|
3.7.2 Bassins de
sédimentation/épaaississement.......................................................
|
27
|
3.7.3 Lits de
séchage.......................................................................................
|
28
|
3.8 ANALYSE
STATISTIQUE.............................................................................
|
28
|
CHAPITRE IV: RESULTATS ET DISCUSSIONS
|
|
4.1 CARACTERISTIQUES SOCIO-ECONOMIQUES DES
POPULATIONS....................
|
29
|
4.2 ROLE DES PRINCIPAUX ACTEURS DE LA CHAINE
D'ASSAINISSEMENT............
|
31
|
4.2.1 Commune
urbaine...............................................................................
|
32
|
4.2.2 Délégations ministérielles et
ONG.................................................................
|
32
|
4.2.3 Etablissement
KINMO..............................................................................
|
33
|
4.3 TECHNNIQUES DE GESTION DES BOUES DE
VIDANGE....................................
|
33
|
4.3.1 Les ouvrages d'assainissement
autonome.........................................................
|
33
|
4.3.2 Techniques, fréquences et coûts de vidange
des boues à Bafoussam.........................
|
34
|
4.3.2.1 Techniques de
vidange.......................................................................
|
34
|
4.3.3.2 Fréquences de
vidange.......................................................................
|
36
|
4.3.3.3 Coûts de
vidange.............................................................
|
36
|
4.3.3.4 Quantités de boues pompées par les
camions par an.................................
|
37
|
4.4 CARACTERISTIQUES PHYSICO-CHIMIQUES DES BOUES DE
VIDANGE...............
|
37
36
|
4 .5 IMPACT DES BOUES DE VIDANGE SUR LES POPULATIONS DE LA
DECHARGE .
DECHARGE..............................................................................................
|
39
37
|
4.6 STATION
D'EPURATION............................................................................
|
40
|
4.6.1 Dimensionnement des
ouvrages................................................. ..................
|
40
|
4.6.1.1 Bassin de
sédimentation/épaaississement...............................................
|
40
|
4.6.1.2 Lits de
séchage..............................................................................
|
40
|
4.6.3 Fontionnement de la
station...........................................................................
|
41
|
4.7 PRINCIPALES
CONTRAINTES......................................................................
|
43
|
4.7.1 Au niveau de la
population.........................................................................
|
43
|
4.7.2 Au niveau des
acteurs................................................................................
|
45
|
4.7.2.1 Commune
urbaine...........................................................................
|
45
|
4.7.2.2 Délégations ministérielles et
ONG.........................................................
|
46
|
4.7.2.3 Etablissement
KINMO......................................................................
|
47
|
4.7.3 Au niveau des techniques de gestion des boues de
vidange....................................
|
47
|
CHAPITRE IV: CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
|
|
CONCLUSION................................................................................................
|
48
|
RECOMMANDATIONS....................................................................................
|
49
|
BIBLIOGRAPHIE.............................................................................................
|
51
|
ANNEXES
|
|
Annexes 1 : Fiche d'enquête socio-économique
sur la gestion des Boues de Vidange à
Bafoussam.......................................................................................
|
54
|
Annexes 2 : Questionnaire adressé aux populations du site de
décharge..............................
|
59
|
Annexes 3 : Tableaux de
dénombrement..................................................................
|
60
|
LISTE DES ABREVIATIONS
BV
|
: Boues de Vidange
|
CIPCRE
|
: Cercle International pour la Promotion de la
Création
|
CEREHT
|
: Centre de Recherche et d'Etude sur les
Hautes Terres
|
ERA
|
: Environnement Recherche Actions
|
DCO
|
: Demande Chimique en Oxygène
|
FASA
|
: Faculté d'Agronomie et des
Sciences Agricoles
|
FIDEPE
|
: Fondation Internationale pour le
Développement, l'Education, l'Entrepreunariat et
la Protection de l'Environnement.
à la Saisie.
|
IAGU
|
: Institut Africain de Gestion Urbaine
Endogène et Rural.
|
MEF
|
: Ministère de l'Environnement et de
la Faune
.
|
MES
|
: Matières En Suspension
|
MAETUR
|
: Mission d'Aménagement et
d'Equipement des Terrains Urbains et Ruraux
|
MINDUH
|
: Ministère du Développement
Urbain et de l'Habitat
|
MINUH
|
: Ministère de l'Urbanisme et de
l'Habitat
.
|
MINEE
|
: Ministère de l'Eau et de
l'Energie
de la province de l'Ouest.
|
MINMEE
|
: Ministère des Mines, de l'Eau et
de l'Energie
et des Hauts plateaux
|
MINPLADAT
|
: Ministère de la planification, du
Développement et de l'Aménagement du
Territoire
.
|
MINPRONAT
|
: Ministère de l'Environnement et de
la Protection de la Nature.
|
MS
|
: Matières Sèches
|
MVS
|
: Matières Volatiles Sèches
|
NT
|
: Azote Total
des Synergies d'Action de Développement.
|
OCALUCH
|
: Organisation Sociale d'Appui aux
Processus de Développement et de la
Communication.
.
|
ORISAD
|
: Organisation Internationale pour la
Santé et le Développement.
|
PACCDU
|
: Programme d'Appui aux Capacités
Décentralisées et du Développement Urbain
|
PM
|
: Premier Ministre
|
PR
|
: Pas de Réponse
.
|
SANDEC
|
: Département Suisse pour l'Eau et
Assainissement dans les Pays en Voies de
Développement
|
STD
|
: Solids Total Dissolved
|
|