Activités agricoles des migrants de retour
Plantation de Banane plantain issue du financement des
fonds PPTE
Culture de la banane
plantain
La bananeraie de M. Ta'a Missac à Poutswe. Les rejetons
ont été plantés il y a juste un mois en A). Ce monsieur
bénéficie de l'aide du MINADER pour ses cultures. C'est le cas de
ces 400 rejetons de bananiers plantains qui sont en train de pousser. En B),
nous avons exactement la même parcelle 9 mois plus tard.
a) LE maïs
Il occupe une bonne partie des cultures pratiquée au
village et se cultive sous plusieurs forme partant de la forme la plus
traditionnel à la forme la plus moderne et avec une diversification de
variété comme celle de Z290, importé d'Amérique via
Kenya et introduite vers les années 1971-1975, et vulgarisé en
1977 qui a bénéficié des services de (l'Institut de
Recherche Agronomique de Dschang : IRAD) et de la délégation
départementale de la MIFI. On a aussi les variétés MEXICAN
5 et Amarillo de Cuba.
La culture traditionnelle de mas est pratiquée par les
mamans épuisées, ignorantes des techniques nouvelles et
renfermées à eux même.
La culture moderne pratiquée à plus de 60% de
nos jours est initiée par le PNVERA qui a formé les femmes et
hommes du village à la pratique d'une nouvelle agriculture plus rentable
et pour une bonne commercialisation.
Culture intensive du mas
Mise en friche pour la culture du haricot
A Baloumgou, on cultive plus le mas à Gwetcha,
Gwetchè et Pokeheu qui ont des terres naturellement propices à la
culture du mas
Culture de contre saison : haricot
A B
BIBLIOGRAPHIE
Abbé Thomas Ketchoua, les peuples de l'ouest Cameroun en
diaspora depuis 3000 ans
Plaine Tikar (journal) Directeur de publication : Mgbe
Koum
Pouala Culture (journal N° 15 septembre 2001)
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