Analyse environnementale du capital biologique du jardin botanique de Kinshasa et possibilité de réhabilitation( Télécharger le fichier original )par Eugène-Blaise MVUMBI BAMUENEKO Université de Kinshasa RDC - Licence en sciences 2012 |
IV. JUSTIFICATION DU CHOIX ET INTERET DE L'ETUDECe travail constitue un terme de référence pour toute nécessité sur le jardin botanique de Kinshasa. Le jardin botanique de Kinshasa, organisé en 2010 pour une fois depuis sa création, après des longues années d'abandon et d'utilisation inappropriée de l'espace n'a pas encore été réhabilité. A terme, l'analyse va consister à ressortir sa situation actuelle générale afin d'arriver à capitaliser les besoins et opportunités pour une planification pouvant faciliter aux décideurs toute fin de réhabilitation technico-scientifique suivant les critères modèles suggérés. L'étude indique en même temps des directives au jardin botanique de Kinshasa à promouvoir la Stratégie Nationale de la Biodiversité et les recommandations issues de l'Agenda International pour la Conservation dans les jardins botaniques pour assurer efficacement ses missions. V. DELIMITATION DE L'ETUDEIl existe trois jardins botaniques en République démocratique du Congo : Le jardin botanique de Kisantu (province du Bas-Congo), le jardin botanique d'Eala (province de l'Equateur), le jardin botanique de Kinshasa à Kinshasa. Mémoire présenté et défendu en Sciences de l'Environnement/UNIKIN/2012-2013 Par Blaise MVUMBI, Tél: 00243 824 244 864/999
240 591 -Email: 5 Cependant, notre étude porte sur le jardin botanique de Kinshasa vu qu'il n'y a presque pas de travaux d'étude exclusivement consacrés sur ce dernier. Alors qu'il devrait constituer un socle de documentation sur sa collection vivante, vu sa position en pleine capitale, ouvert sur un monde scientifique important. VI. METHODOLOGIE DE L'ETUDENous avons recouru : ? A une étude documentaire qui nous a fourni une gamme
d'autres ? A des descentes multiples sur le terrain, site du jardin
botanique ? Ensuite nous avons ensemble évalué la
situation actuelle du ? Evidemment, l'observation directe a été utilisée lors des visites in situ. VII. DIFFICULTES RENCOTREESLes plus grandes difficultés rencontrées sont d'ordre ci-après : - La lourdeur administrative sur l'accord d'affectation qui ne nous a pas permis d'effectuer nos recherches pendant le temps prévu ; - Manque de maîtrise de quelques données de la part du personnel de service botanique faute de disponibilité des documentations sur les collections végétales du jardin ; - Les coûts élevés pour nos déplacements tout au long de l'année, et ceux alloués à l'herbarium pour l'identification de nos plantes. |
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