16
CP : . .
Groupe OC P
3
4
6
E.S.T.S
1- REMERCIEMENTS : . . .
2- INTRODUCTION : .. .
3- HISTO RIQUE DE L' O
15
POLE CHIMIE D
3-1-1 -MAROC CHIMI E :
. 3-1 -2- Maroc Ph osphore I :
. 3-1 -3- Maroc Ph osphore II : ...
.
4 - RESE AU ELECTRIQUE DE MPI : .. .
4-1- L E
4-2- LE
4-3 -
4-4-
5- SUJET
6-LA MAI
6-1-D E
6-2-O R
3-1- P
RESEAU ELECTRIQUE HAUTE TENSION : . .
RESEAU ELECTRIQUE MOYENNE
TENSION : .
Le réseau é lectrique Basse
Tension : ...
HIERARCHIE DU SERVICE
ELECTRIQUE DE
DU STAGE : .
RESENTATION DU
FINITION DE LA M
NTENANCE :
IGINE DE LA MA
INTENANCE : . .
AINTENANCE : .
MPI : .
7-2- D E
7-3-DESCRIPTION DU TURBO
ALTERNATEUR : .
7-3 -1-Désignatio
n : . .
7-4- PRINCIPE DU FON
CTIONNEMENT D'UN TURBO ALTERNATEUR :
.
7-5-EXIGENCES GENERALES : .
7-5 -1- Exigences d'exploitatio
n
7-5-2-Exigences
réglementaires et légales : .
7-5 -3- Exigences techniques : . .
7-5 -4- Enjeu et impact
écono mique :
7-6- LA TURBINE A VAPEUR : . .
.
7-6-1
Caractéristiques généra
les :
7-6-2-Vue (Coupe longitudina
le) de la turbine :
7-6-3- Principe : .
7-6-4- Maintenance :
.
7-6-4-1-
Généra
7-6-4-2- Objectif de la
maintenance :
7-6-4-3- Maintenance prévent
ive :
7-7- L E REDUCTEUR A ENGRENAGE
: ... .
7-7-1-Caractéris
tiques Généra les :
FINITION D'UN
TURBO ALTERNATEUR : .
lités :
:
E SAFI : .
7
7
7
10
11
11 11 13 13
maintenance :
6-4-ROLE ET MISSION DE LA
MAINTENANCE :
6-4 -1- La préservation du
patrimoine :
6-4 -2-Intervenir pour
dépann er :
6-4 -3-Coopération
avec la production :
6-4 -4- Objectifs de la
fonction
6-4-4-1- Gagne
7- TURBO ALTERNATE
6-3-TY
POLOGIE DE LA M
AINTENANCE :
vité :
r de la product i UR : .
7-1- IN
TRODUCTION :
16
16
16
17
17
18 19 19 19
21
21
21
22
22
23
24
24
24
24
25
25
25
26
26
27
27
27
28
29
29
E.S.T.S
7-7-2- Maintenance :
.
7-8-L' ALTERNATEUR : . . .
7-8-1-Définition :
.
7-8-2-Description :
.
7-8-3-Dossier Technique :
.
7-8-3-1- Caract
éristiques :
7-8-3-2-Conditions
générales :
7-8-4-Maintenance : .
7-8-4-1-Maintenance
corrective :
7-8-4-2-Maintenance préventi
ve systématiq
u 7-8-4-3-Maintenance préventi
ve conditionne
7-9-EXCITATRICE PRINC IPALE :
7-9-1-Définition :
.
7-9-2-Dossier Technique :
7 -9-2-1-Caractéristiques Gén
érales :
7-9-3-Maintenance :
.
7-10- EXCITATRICE PIL OTE :
.
7-1 0-1-Définitio n
:
7-10-1-Dossier Technique :
7 -10-1-1-Caractéristiques gén
é rales :
Groupe OC P
e : .
29
30
30
30
30
30
31
31
32
32
lle : 32
32
32
32
32
33
33
33
33 33
8- LES T RANSFORMAT EURS : . 34
8-1- G ENERALITES : .... . . .
.
8-1 -1- Définition :
8-1 -2- Principe :
8-1 -3- Intérêt
du transforma teur :
8-1 -4- Caractéris
tiques Générales du
Transformateur : ...
8-1-5-Protection du transformateur :
8-1-5-1- Relai s Buchhloz :
8-1-5-2- Foncti o nnement :
8-1 -6- Maintenance du
transformateur :
|
|
|
|
|
34
34
34
35
35
36
36
37 39
|
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9-CONCL USIONS : 40
10-BIBLIO GRAPHIE : 41
10-1- O UVRAGES : . 41
10-2-S ITES : . 41
11- ANNEXE : 42
1 R emer ciements :
Avant d'Introduire ce modes
te rapport i l est
primordial pour moi de remercier ceux qui ont
contribué de prés ou de loin
à sa rédaction .
Mes re merciements vont
particulièrement à
l'encontre de mon encadrant Mr
Zahrouni Mosta fa qui a su me donne r les
informations indi spensables sur les
équipements é lectrique de la centrale et
aussi m'ac corder son temps si
précieux pour des re
nseignements sur la central e
. Je tiens aussi à honorer
Mr E l Assfouri chef d'ateli er
préventi f pour son expertise et sa
doyenneté qu'il m'a fait part lors de
mon passage au service électri
que sans pour autant oublier le dynamisme de
Mr Maarou fi l'homme qui m'a
fait visiter tout les
équipements électriques de MP
I, et à tous ceux qui
ont amenés l eur pierre à
l'édifice dans l'élabo ration
de ce rapport ça me v a tout droit au
coeur je vous en soit reconnais s
ant.
2 Intro duct ion:
théorie
choisi l cette o c
su acc e
phosph a
Le dép art ement d e fin
d'a nn ée un sta g
qui avait été
'Office Ch
casion pou r remercier pter ma d
emande d e tes et de s es
dérivés, e
Maintena n
e d'initiati o
abordé l o
ce Industri
Safi, je pr
de Safi p o
eader mo n
iaux en ma
e OCP éc o
nal, il rayo
de 1,3 mil
nt le group
ofite de
ur avoir
dial des
tière des ule 95%
nne sur
liard de
e a mis
elle de l'E. S.T fidèle à sa
tradition propose chaque n aux étu
diants de première
année pour mettre en
application la rs des deux semestres
d'études. C'est dans ce contexte que
j'ai érifien des Phosphates à travers son
pôle c himique de la
direction des ressources
humaines du pôle stage. L'
OCP est loin d'être
méconnu, l lle a su
toujours répondre aux be soins mond
phosphate)
s. Opérateur
. Le Group
internati o
res annuel
u classeme
dérivés de phosphates (engrais,
acide pho sphorique, de sa production
en dehors des frontière
s nationale les cinq continents de la pl anète
et réalise un chiffre d'affai dollars. On n'est pas
leader pour rien e t
l'accent sur 6 points essentiel
s :
pour reste
r en-tête d
9 La formation des cadres
'innovati on
A l'O CP l'homm e
9 L
est la sourc e la plus précieuse.
Sans innovation, point de pro
grès.
9 La respon sabilitéSans
moralité, la performance n'a pas lieu
d'être.
9 D iffuser le savoir
Savoir pour faire s avoir
9 Encourager les comp étences
Les jeunes d'aujourd'hui
seront les grands de demain
. 9 La protection de l'environnement
La nature est un p atrimoine
à garder jalo usement.
Le ser vi
hasard
dernièr e c'est c et
essenti el
transfo
Da n
l'évolu t entrepr i
de ren f
mainte n
d'assur e
Aprè s
nouvea ux
les co m
outils e
d'attein dr
ce électri q
puisque je
et Karl M
te passio n
la mainte n
rmateurs(H T
s le cont e
ses nation a orcer leur ance pour r la
qualité
l'optimisation de sa
production et de son o
gains grâce à une
amélioration permanent e
pétences des technici
ens pour ag ir, planifie
r
t les méthodes néces
saires à la fiabilisation
e une certaine maîtri se
économi que de la di
ion des ex igences de
ue de Mar
ne suis p a
arx disait q
qui m'a p
ance des é
/MT,MT/B
xte écono mi
les sont a m compétitiv
i
optimiser totale.
oc Phosph ore I fut m on service
s électrici e
ue « rien d e
la disponib
enées à am té. Une
de
quipements
plus en pl
oussé à b
T) afin de que actu
ien dévelop
el marqué
proposer une mainten
par la mo
us croissante des mar
éliorer la qualité de l
eurs produits et service
s stratégies
employée est d'adopter une
démarche
ilité des moyens de production
n de formation, mai
électrique
grand sur
s de MPI ca
rganisatio n, de la disp o ,
préparer,
des moye
sponibilité
cette terre
per mon s
n'est acco m
ujet de sta
s des turbo
nce préve a n
ndialisatio n
chés intern
l'entrepri s
nibilité de
analyser et
ns de pro du des équipe
m
d'accueil, un
s j'ai une
choix o péré par
passion p our cette
pli sans p assion »,
ge qui a pour but -alternate
urs et des
tive à ces derniers.
e devra ré aliser de son parc
machines, mettre en place les
ction permettront
ents productifs.
des éch anges et
es et exte rnes, les
dont l'obj
s en vue
ectif est
l'O C
opérateur
ori q
phosphates
ue d e
OCP est un
E.S.T.S
3 His t
Le gro upe office c
hérifien des
Groupe OCP
P :
international dans le domaine
de phosphate et ses produits dérivés.
Au début du
vingtième siècle, on a
découvert d'importants gisem ents des
phosphates naturel s au Maroc, et surtout
dans les régions de Khouribga et
Youssoufia. Ce qui a conduit à la
création du Groupe OCP le
7/08/1920.
/03/1921. Après environ cinq stination
de la France.
explique s
|
on exportation vers
|
L'extractio n des
phosphates naturels a
commencé le 0 1 mois, e
xactement on a
commencé à exporter les
phosphates à de n ce temp
E s là, le Maroc
était sous le protectorat, ce
qui
la France pour y être
valorisé.
près son
A indépendance, le Maroc
a toujours cherché l es moyens
pour bien profiter de
ses ric hesses. C'e st pour
ce tte raison qu'il a
adopté une p olitique qui a pour
objectif la valorisation du
phosphate par ses propres
moyens. Le premier projet était :
Maroc Chimie I En 196 5 à Safi
pour produire des engrai s. Le
deuxième pas était en 1975 ,
avec le démarrage de Maroc
chimie II et Maroc phosphore I à
SAFI pour produire et
exporter de l'acide
phosphorique. Pour regroup
er toutes s es filiales (
extraction, traitement et valorisation des
phosphates nature ls), on a
crée le group e OCP au
cours de ce tte année
de 1975. L' année de 1981 a
connu le d émarrage de
Maroc phosphore II à
|
SAFI.
|
fin de
A doubler sa capacité de
transformation des phosphates naturels
en acide
phosphorique, le groupe a co
nstruit les u sines de Maroc
phosp hore III et IV à Jorf
Lasfar prés d'El Jadida. Ils s
ont en marche depuis 1986. Le
groupe est aujourd'hu i présent
dans cinq zones géographi ques du
pays, trois sites d'
exploitation minière : Khourib
ga, Ben Guérir: /Youssoufi
a, Boucraa / Laayoune et deux de
transformation chimiques : SAFI et
Jorf Lasfar. Ce qui a p ermis au groupe
d'atte indre des taux de
valorisation locale de 49%
en 1998 et de 5 0% en 199 7
avec une production d'acide
phosphorique P2O5 DE 2 668
606 tonnes en 1998.
s de phosphates trans
. La part du marché
Les qualité
millions de tonnes niveau de 43.1 %
premier exportateur
formées à SAFI et
à Jorf Las far ont
atteint 10.9 d'acide p hosphorique
du groupe OCP se situe au en 1998 contre 49
% en l'année 2000, c
onservant ainsi sa position
de mondial suivi de la Tunisie.
3-1 - Pré sentation du Pôle chimie de S afi
:
La ville de SAF I
chimique, et ce pour
|
fut retenue dès le
début comme lieu d' les
raisons suivante s:
|
implantation de ce complexe
|
· Existence d'un port doté d'
installation s modernes de stockage et de
manutention de phosphate.
· Existence d'un e voie
ferrée liant la ville de
SAFI à Youssoufia pour l'
approvisionnement en
phosphate.
· Existence d'une ligne
électrique de 60 kv.
· Déce ntralisation de
l'activité relative au
phosphate.
· La vi lle de SAFI est
situé e à proximité de
l'océ an qui favorise l'utilis ation de l'
eau de mer comme eau de
refroidissement.
De ce fait, il y avait la
création du :
· C omplexe c himique de
Maroc C himie (I et II) à dont la capacité
atteint actuellement 360.000t/an d'acide
phosphoriqu e.
· C omplexe de Maroc
Phosphore (I et II) dont la capaci
té de production de c
hacune des deux unités est de
450.000t/an d' acide.
A otentiel global de
production d' acide
phosphorique (
P2O5) de l' ordre
de
vec un p
1.260.0 00t/an, le c omplexe
in dustriel de SAFI est p
armi les plus grands s a
spécialité puisqu'il l'exportati
on de l'acide phosph orique,
tout en satis faisant les
besoins en engrais
assure
composés phosphatés.
3-1-1 -Maroc C himie :
Maroc Chimie a dém
arré en 1965 sur une éléments
suivants :
S itué à 8 Km de
la ville de SAFI, l e complexe superfi cie de
50 h a, il est destiné à la
production des
> L'acide sul furique H2
S O4.
> L'acide phosphorique
H3PO4. > Les engrai s NPK, TSP .
3-1-2- M aroc Pho sphore I :
La divi s ion Maroc
phosphore I est destinée à la
production de l'acide phosphorique et des engrais ,
il se compose des ateliers
suivants :
· Atelier de fusion et de filtration du soufre.
·
chacun est alimenté
avec un
o Atelier de fusion et d e filtration
soufre co mporte quatre fondoirs
C ette atelier convoyeur.
|
de fusion
|
Atelier de production de
l'acide sulfuri que.
· Atelier d'énergi
e et fluide.
· Atelier d'acide p
hosphorique.
· Atelier de production
d'engrais MAP.
P2O5 à30%
tion
Concentra
Fusion
Soufre solide
H2S
O4
Soufre liquide
Filtration
Soufre liqui de pure
sulfu
rique
Ligne
Aci de sulfuriqu e 98
%
ation
Filtr
R é
ch
Broyage
action
imique
Ph brute
Bouillait
Ph broyé
H2SO4
Vers exploitation
Engrais MAP
Vers exploitation
Ligne MAP
Acide phosp
horique à 50%
Chaîne de pro duction de MPI
|
|
|
|
|
|
|
E.S.T.S
|
Le soufre pendu et e n
niv eaux +11m et +16m.
|
totalité re
|
foulé vers
|
six unités
|
de filtration
|
G roupe OC P localisée
s à deux
|
|
dans les ré servoirs
Le soufre fi ltré est transporté
à l' unité d'aci de
sulfurique ainsi que de s tockage existants dans le terrain
du Maroc phosphore I.
Atelier de tion de l'ac
sulfuriqu e
e sur le sou fre liquide.
o
La produ c
Le résultat qui sont dilué
s convertisseur.
production de l'acide
ide sulfuri que est basé
de la combustion du s oufre
est d es gazes c à la concentration e
xigée dans le procédé
ontenant e nviron 11 % du
SO2 avant d'êt re introdui t
dans le
Le procédé de l'oxygène du
SO2 e dan s le convertisseur.
n SO3 a dit
dans le ca talyseur po
sé sur quatr e étapes
des
.
Dans ce procédé la c
haleur augmente brutalement
c'e st pourquo i le refroid
issement gazes aprè s chaque ét
ape dans l'é changeur t hermique e
st très exigé
es gaz qu
L ittent le cat alyseur con
tenant du S O2 vers la t our
d'abso rption ou se passe le
pro cédé d'abs
orption SO3 dans l'acid e
sulfuriqu e concentré .
'acide su
L lfurique fr oid qui est
alors évac uée de la t our
d'abso rption et a près être
refr oidi et stoc ké
dans des réservoirs existant da ns le
chanti er.
o Atelier d' énergie et fluide
Cet at elier a pour vocation l' alimentati
on du comp lexe en éne
rgie électri que en vap
eur d'eau et en e au de procé
dé. Il est c omposé po ur cela,
d' une station de traiteme
nt des eau x à partir d'eau b
rute amené e du barrag
e, d'une st ation de po
mpage e de filtration d' eau de mer et d'une
central e thermique .
La central e thermiqu
e dispose principalem ent
trois g roupes tur boalternate
urs et de cha udière d'u
ne capacité de 100 t/h
de vapeur utilisée au
sein de la c entrale the rmique à troi
s formes es sentielles :
·
|
Vape ur
|
haute pr e
|
ssion (475 °C, 58 bars
).
|
·
|
Vape ur
|
moyenn e
|
pression (250°C, 8,5
bars).
|
·
|
Vape ur
|
basse pr e
|
ssion (200 °C, 4,5bars ).
|
|
o Atelier d' acide phos p horique
Il disp ose de 4 li gnes A, B,
D et F do nt le rôle et la produ ction de l'a cide phosp
horique seulem ent chaque ligne est co
nstituée de trois unités :
· unité de broyage .
· unité de réaction et de
filtration.
· unité de concentration d'aci
de phosphorique.
· unité de stockag e.
o atelier des engrais
Une p artie de l' acide
phosphorique p roduit est transformé
par réacti on l'ammoniac en phosphate mono
ammoniac qui est en fin stocké
sous forme grains.
o Centrale thermique
Elle c omporte trois groupe
s turboalternateurs de puissance 18MVA chacun
; (la fonction princip ale de la ce ntrale
dans l'usine est de:
· Produire l'énergie
électrique nécessaire pour le fonctionnement de
différents ateliers.
· Produire la
quantité de vape ur
nécessaire pour les ateliers de
production. Il y a encore deux groupe
s électrogè nes secour
s (diesel) de puissance 5MVA
et deux chaudi ères qui assurent la
vapeur pour le s turbines des alternateurs.
A ateliers d'e ntretien :
insi des
· Ateli er de
régulation.
· Ateli er de maintenance
élec trique.
· Ateli er d'entreti en
mécanique (sulfurique) et (phosphorique).
soufre imp duction de
quatre ate liers:
981. Ce
orté (de l'acide
313 Maroc Pho sphore II : Sur une
superfici e de 76 he comple
xe utilise l e
phosphate l'Ukraine surtout) et
livré à phosphorique.
Il e st articulé e
n
ctares, le complexe MPII a
été mis en service en 1 humide e
n provenance de Ben
Guérir, et l e l'état
liquide à partir de MPI,
pour la pro
· La laverie.
· L'ate lier sulfuri
que.
· L'ate lier
phosphorique.
· L'ate lier énergie et fluide.
4 Rése au él ectri que d e MP I :
41 L e réseau é
e réseau é
L
de MPI est constitué
principalement de :
lectrique Haute T ension :
lectrique Haute tension
·
KV.
s cellules départs tran
|
sformateur
|
s HT/MT,
|
une cellule arrivée
|
Alimenté par :
· L 'ONE à travers un transformateur
63/6.3 KV
de 10 MVA (23EB1 7).
Un jeu de barres de 63
· Cinq cellules HT (tro
i NE, une
4-2- Le
O cellule de mesure).
réseau éle ctrique M oyenne Tension
:
our satisf
P aire la demande en
énergie électrique, le co
mplexe Maroc Phosphore I est
doté d' une central
e thermiqu e équipée de
trois groupes turboalternateurs
dont la puissance est de 18
MVA et qui entraînée par trois
turbines à vapeur qui
provient des l ignes
sulfuriques et de deux chaudière
s d'appoint l'une princ ipale et
l'autre auxiliaire.
fin de co
A mpenser tout manque ou
excédent éventuel de l'énergi
e électriqu e et pour
des raisons de stabilité
du réseau, le co mplexe est doté d'un e
liaison avec l'ONE via trois
transformateurs HT/MT dont
les puissan ces unitaire s
sont les suivantes : 1 0, 10, 17.5
MVA. MPI est de type radial
et est composé de :
· Trois tableaux de 6.3
KV à double jeu de b
arres le sys tème 1 dan
s lequel débitent les ransforma
t teurs HT/MT et le sys
tème 2 dan s lequel
débitent les
turboalternateurs. Ces
eux systè
d mes sont liés en
permanence via un coupl age
transversal par c ontre les
ableaux s
t ont liés mo yennant
un couplage longitudinal équipé de
limiteurs de courant
ui per
q mettent d'i soler ces
tableaux en cas de dé faut pour
é viter les dégâts qui
euvent su
p rvenir au niveau des
jeux de barres, vu la
puissance de court circuit
très
levée qui
é dépasse la
valeur pour laquelle ce s jeux de b
arres sont dimensionné
s.
es transf
L ormateurs HT/MT o nt un
couplage éto ile/triangle avec
un neutre
dire ctement
lié à la terre au
primaire.
·
à simple j eu de barre arts trans
formateurs
s contenants des cellul MT/BT,
des cellules
es départs moteurs de mesure et des
Huit tableaux 6.3 KV T, des
M cellules dép
ellules de
c réserve.
n note qu
O e les transformateurs
MT/BT sont couplés e
n triangle/étoile, avec un neutre
solé au se
i condaire par
l'intermé diaire d'un
microshunteur pour garder la
continuité de
service et évacuer les
surtensions.
trois station s comme suit :
es postes
L de distribution sont
branchés aux
? Jeu de barres 23EF21 :
· de 18 MVA.
distribution suivants :
Le turboalternateur
TAI (21E1 ) l permet l
I a desserte des postes
de
> PD1A (23 EF22)
et la filtration +16 m en
bass e tension de 1250 KVA et 4
moteurs électriques.
Ce poste alimente deux
lignes sulfuriques (A, B)
moyennant 5 trans formateurs
MT/BT (6. 3KV/500V)
> PDIIA (0 3EF23)
d'autres
départs
Ce poste alimente les ligne
s A et B phosphorique,
l'atelie r MAP ligne A plus
installations comme le
stockage d'acide
phosphorique. Il alime nte
12 moteurs MT et 6 transformateurs MT/BT.
> PD sec A (23EF24)
Assure la desserte de la
réaction (A, B , D), le
TED, la c entrale, l'é
clairage et certains équipe ments
névralgiques basse tension s
ecouru par un groupe diesel 2.5 MVA.
Il alimente 8 départs transformateurs
MT/BT.
? Jeu de barres 23EF25 :
Alimenté par :
·
63/6.3 KV de 17.5 MVA (23EB
1) de 18 MVA.
postes de distribution
|
suivants :
|
L'ONE à travers un tr
ansformate ur
· Le turboalternateur
TAII (21EC3 2 Cette
sous-station permet d'al
imenter les
> PD1B (23 EF24)
Il assure l'alimentation de la quatrième ligne TED via 2
transformateurs MT/BT. Il des sert directe
01).
sulfurique et de certains équipements du
ment 2 mo teurs MT.
> PDIIB (03EF26) limente l
A a ligne D de
éléments du stock
age d'acide moteur s MT.
|
l'atelier phosphorique et la
ligne B MAP, phosphorique. 3
transformateurs MT/BT y
|
ainsi que quelques sont inst
allés et 9
|
|
? Jeu de barres 23EF27 :
sec C (23E F28)
par un disjoncteur de
un groupe
longitudin al dont une tranche 5 MVA.
>
Partagé
PD1C/PD
couplage
diesel de 2.
en deux p arties liées
peut être alimentée, en cas de besoin, par
Alimenté par :
·
60/6 KV de 10 MVA (23EB27) .
L'ONE à travers un tr
ansformate ur
· Le turboalternateur
TAIII (21EC 421) de 18 MVA.
Il assure l'alimentation de
:
(X,Y,Z), plus des
G roupe OC P
sulfurique, les équipe ments 6.3
KV de la équipements de la
filtration d'eau de mer.
formateur s MT/BT dont l'un
est destiné
Il assure l a
quatrième ligne de l alimente
I
pour l' éclairage.
> PDIIC (0 3
la centrale
5 moteurs
desserte d e la quatri ème ligne
électrique et quelques
MT et 7 départs trans
EF29)
Il dessert la quatrième
li gne phosphorique, les
lignes de concentration
installations auxiliaires c
omme le pompage d'e au de
mer.
E.S.T.S
Il alimente 4 cellul es départs t ransformate urs MT/BT et
14 moteurs MT. > PDIID (0 3 EF30)
Il dessert la CAP V via deux tr ansformate urs
MT/BT et alimente un moteur MT. 43 L e réseau él
ectrique Ba sse Tension:
e réseau
C utilise diffé rents
seuils de tension :
· 5
· 3
· 2
de courant...
00 V pour 80 V pour 20
V, 110
les moteur s électriqu e
l'éclairage et les pris e
V, 48 V, 24 V pour l a
4-4- Hiérarchie d Le ser
vice électri qu bonne
productivit é
particul ière qui m'
service
Ce r
certa
(Tab
· L
r
· C
p
· L
s
avec les no ms des agen ts et aussi
éseau est d
ins tablea ux
leaux BT s
es tablea ux elève en c
as haque ta ble remier dé
fau
ectionneur
es cellul
es départs
s, des relai s
u service é
e de MP I
a étonné
econdaires
u type ra dia sont ali m
e MPI :
ement str ucturé et ce
ntralisé ce
. Une bo nne cohab itation des agents e
st vraimen t
ans ce ser
d vice, la list e ci jointe
représente
leur matric ule de trav ail.
BT son t de probl è
au est d
t qui est
).
de faible in
secourus p me sur l'al im
oté d'un co
moteurs thermiqu e
lectrique d
est parfai t
l et com p entés à t
ra
tensité dans
contiennen
s et des bou
rend 50 t a vers d'au
ar des tra nsformateu r
entation ntrôleur
bleaux BT
tres tableaux
du tableau. d'isolement
permanent pour dé
tecter le
du neutre.
t général ement des
tons de marche/arrêt.
ce régime
alimentant 1050 mote
BT via des départs
s de réserve qui prennent la
qui lui permet une la chose la plus
l'organigramme du
contacteur
urs BT, fusibles
s, des
s et les prises de courant.
s de courant.
signalisation, les chargeurs
de batteries et le s prises
5 Suje t du stage:
La maintenance des équipe
ments électriques de
MPI cas des turbo alternateur s
et des transformateurs (HT/MT, MT/BT) afin
d'élab orer une
maintenance
préventive à ces derniers.
6-La main tena nce :
La fonction main te nance a f
or tement év olué depui s une
déce nnie sous l' effet des co
ntraintes
de pro ductivité, d' o
ptimisatio n des coûts et sous l'in
fluence d es modèles
industriels j aponais.
Si le te rme foncti on est empl
oyé à la pl ace de serv ice,
c'est parce que l a maintena
nce n'est plus ré servée
à l'a ct ivité d'un groupe d'h ommes sur
lesquels o n se déchar gerait de to
ut ce qui
n'est p as producti o n, financ
e ou comme rcial. À l' inverse, m
aintenir n' est plus de la seule
respons abilité d'u n service d e
maintenance. La main tenance s
uit une évol ution qui l' amène
à
modifi er ses mod e s de fonc
tionnement et sa com position,
voire mêm e à s'inté
grer à la
fonction production. Ainsi, c
ertaines entreprises n' ont plus de magasini
ers de mai ntenance,
d'autre s ont réduit leurs effec
tifs de techniciens remp lacés par
des sous-tra itants.
e la maintenance:
de l'AFNOR, la maintenance
vise
sure d'assur
et de répara
processus i n
de nom b
nes, véhic u aintenance dustriel, e
t reuses co nt
à mainten ir ou à réta
blir un bie n dans un er un serv
ice détermi né. La mai
ntenance
tion, de ré
glage, de ré vision, de
les, objets m peut égal em doit, com
m
raintes co mme la qualité, la
anufactu r ent être
e d'autres
contrôle és, etc.) amené
à services
6-1-Définition d Selon l
a définition état sp
écifié afin que celui-ci soit
en me regroupe ainsi les actions de
dépannage et de vérification
des équipe ments
matériels (machi ou mê
me immatériels (logiciels). Un
service de m participer à des
études d'amélioration du
de l'entreprise, prendre en c
onsidératio n sécurité,
l'environnement, le c oût, etc.
6-2-Origine de l a maintenance:
Les activités de
maintenance, au sens de
dépannage d'un équipement, ont
toujours existé. Mais c es activités
étaient au départ peu
ou non formalisées : ell
es n'étaient pas nécess
airement assurée s par du
personnel spé cialisé, ni e
ncadrées par des
méthodes spécifiques. De
plus, elles consistaient
essentiellement à réparer
un équipement une fois que
celui-ci était défaillant, mais
n' intégraient que peu la notion de <<
préventi f », c'est-à-
dire des interventions visant à
prévenir une panne.
La notion formalisée de <<
maintenance » (à
l'origine, on parlait d' << entre
tien ») est née dans
l'industrie de production de b
iens vers la fin des années 1970.
Puis, dans l es années 1
990, elle commença à
gagner le secte ur de
production de services. Auj
ourd'hui ell e est
susceptible de concerner tous les
secteurs d' activité :
services généraux,
immobilier, transport, logici
el, etc.
e la main tenance :
6-3-Typologie d
Il exist e 2 façons
complémentaires d'org aniser les
actions de maintenance :
La maintenance corrective, qui
consiste à interve nir sur un é
quipement une fois qu e
celui-ci est défaillant. Elle se subdivis
e en :
1' Maintenance palliative :
dépannage (provi soire) de l'é
quipement, permettant à celuic
r tout ou p artie d'une fonction re
quise ; elle doit toutefois
être suivie d'une i d'assure
ction cura
a tive dans les plus brefs
délais.
1' Maintenance curative : consistan t en une re
mise en l'ét at initial.
La ma in tenance p réventive, qui consis
te à interve nir sur un équipement avant qu e
celui-ci
ne soit défaillant, a fin de tent er de
préve nir la pan n e. On inter v
iendra de manière pr éventive
soit po ur des rais on s de
sûre té de fonct ionnement (les consé qu
ences d'u n e défaillan ce sont
inaccep tables), soi t pour des raisons é conomiqu
e s (cela re v ient moin s cher) ou parfois
pratiqu e s (l'équipe m ent n'est
disponible pour la m a intenance q u'à
certain s moments précis).
La mai n tenance pr
év entive se subdivise à son
tour e n :
> M aintena nce systéma tique, pé r
iodique o u progra m mée : Ces trois ter m es
sont s ynonymes . Ils désign ent des op érations
e ffe ctuées sy stématique m
ent, soit se lon un
c alendrier (à
périodici t é temporel le fixe), soi t selon une
périodicit é d'usage ( he ures
de
f onctionne m ent, nom
br e d'unités p roduites, n ombre de m
ouvement s effectués, etc.) ;
> M aintena nc e conditi o nnelle : r
é alisée à la suite de rel evés,
de me sures, de c ontrôles r évélateurs de
l'état de dégradation de l'équi
pement.
> M aintena n ce prévisi o nnelle :
ré alisée à la suite d'une analyse de
l'évolution de l'état
d e dégrada ti on de
l'éq u ipement.
Divers e s méthode s
permetten t d'améliore r la planific ation et
l'o rdonnancem ent des ac tions de mainte n ance :
? R éseau PE RT
? D iagramm e de Gantt
? M éthode MERIDE
? An alyse A MDEC
Par aill e urs, il exis te des
logi ciels de ges tion de mai
ntenance as sistée par ordinateur (
GMAO), spécial e ment conç
us pour ass ister les ser
vices de m aintenance dans
leurs a ctivités.
Notre s uj et va plut ôt
se consa crer sur un e mainten
ance préven tive qui est très
capit al au sein d'une i n dustrie.
64Rô
le et mi ssion de l a mainte n
641 a
L préserv ation du pa trimoine : Produir
e ou assur er un servi ce
exige de s plus so phistiqués
et coûteux. La mission
ance :
équipem ents, install
ations ou machines d e de
la mai ntenance v is-à-vis de
ces investi s
plus en sements
est en p riorité :
9 De les conserver en ét
at de marche le plus longtemps
possible au moindre
coût
9 De permettre une
production ou une
exploitation maximales dans
les temps requis ; la eule noti
s on de disp onibilité
n' est plus su ffisante, el
le est remplacée par celle de
endement
r plus exigeante et plus
complète ;
9 De contrôl er
régulièrement que l e coût de
maintenance, qui croît
avec la vétusté du atériel, n
m 'excède pas celui de r
emplacement. Cela inc lut de
conn aître l'évolution des
oûts d'ac
c hat des matériels
équivalents et de maîtrise
r tous les facteurs de
coûts en
ontrôlant
c leur affectation
(main-d'oeuvre, pièces de
rechange). Un suivi des
coûts
umulés d
c oit exister pour chaque
matériel et il doit être
examiné ré
gulièrement ;
la conception des
9 De veiller aux aspects de
maintenabilité des équip ements
dès nstallation
i s. L'équilibre de ce
s exigences peut être
représent é
édagogiq
p ue, par la figure démo
ntrant bien que :
à celui du produit final par le b
iais du coût unitaire
e contribu e à repouss
er le moment économi
que de changement,
l'équipement (fig-1)
maintenan c on ;
maintenanc
1' Le coût de de
producti
1' Une bonne
donc prolonge la vie de
e contribue
Fig.1
642Intervenir our
de production ou
p dépanner :
La maintenance doit
remettre en état ans un d
d élai minimal les bien
s
d'exploitation. Elle le réalisera par ses propres moyens
ou en faisant agir des entreprises
externes
maintenance appelé à la «
. C'est b ien là l'image traditi
onnelle du service d e
rescous
'équipeme nts. Mais l
es pannes n'ont pas l a
même importance
se » lors de pannes d
selon le s entreprise
s. Pour ce rtaines, c'e st une
véritable « calamité » qui doit
être éradiquée. autres, moi
ns soumise s à la
concurrence ou aux
impératifs de qual ité, c'est
devenu un
Pour d'
de fond » auquel on s'est
habitué avec un certain fatalism
e jusqu'au jour où
« bruit
l'entre prise
découvre qu'elle s induisent un
coût non négligeable sur le
produit et qu'il faut réagir
très vite. Ce qui fait le ur
différence est un ensemble de
méthodes, de
comportement, de moyen s et
d'organisation qui seront
décrits dans les articles suivants de
ce tte rubrique .
· De suivre la
conception, d'y participer, ainsi que
de collabor er au montage
des i s
nstallation
· D'assurer l eur mise e
n place et le ur
démarrage.
Elle évaluera, avec le
service Méthod es, la
charge de travail
supplémentaire créé par la
maintenance de ce nouvel équipement ;
elle apportera un regard
critique sur sa maintenabilité
(facilité de maintenance) et sa
fiabilité. Dès que possible,
les pièce s de rechange, les
documents techniques seront approvisi
onnés et la formation des techniciens
planifiée. Le service de maintenance
aura à collaborer aux travaux de mise
en oeuvre o u même à l
es diriger en fonc tion de la
structure des sociétés et de
l'existence ou non de service d'ingéni
erie et de méthod es centrale
s.
6-4-3-C
La relation traditi o
concrétisée par un
nombre d'entrepri
automatisées, théo r
cela ne
oopération avec la pr
nnelle de l a
ordre de
ses qui on
oduction :
maintena n
ravail (O t T
t engagé d
apables d e
atteindre l e
nts obten a
n soutenus
ction fix é
périeurs s
de prod u dements su ce,
exploi ta ion perfo rm
production est la dem ande d'inte
choses o nt beaucou p
évolué :
sements i mportants dans
des m
r vention, en effet,
achines vert que n même
on sache
tion ou co nception.
antes abo utissent sou vent au
ce avec la ). Mais le s es investi
s
suffisait
iquement c
rythmes d e productio
pas pour
investis
sement, le urs concurr e
exacteme nt ce qui ét
ait en cause
ervations effectuées s
ur les unité
s objecti fs ient des re n
toujours
Les ob s
: maintena n s de fabric at
, ont déco u s. Pour u ans que l'
constat
que :
L'amélior ation de la
conception des moyens et des pro
cédés pour a mener des gains de productivi
té est bien comprise et les entrep
rises frança ises ont am
é lioré la fi abilité,
la maintenab ilité, le ren dement intr
insèque de leurs machi
nes ;
La produc tivité de c
es installati ons, une f ois en plac
e dans leu r environne ment de productio
n, est moins bien maîtr isée, du
fai t de plusie urs facteurs se combin
ant entre eux et rel evant plus de l'orga
nisation et du manag ement des
hommes q ue de la maîtrise te
chnique.
6-4-4- O
bjectifs d e
6441 G n claire et
la fonction maintena nce :
a productiv
ité :
rvice de m sseur/ clie nt
agner de l
De faç o reste de
mois sa
l'entrepris
e selon le m
sans ambi
guïté, un se
ode fourn i
ose :
formances
aintenanc e doit fonc tionner
vis -à-vis du et lui per mettre d'au
gmenter m ois après
> U
'
d
n
e
r p e r T
> L
u a r p u q
r p a f éq
productivit
ne vérité
un indic a
core pro d
atiqués. D
levé à c h
RS, les ré s
a créati o
ultats et le s pannes si gnificatives
n d'un tableau d e bord
j
tomatiqu ement san s possibilit
és de modi
oduction et de la m aintenance. Ces
gains
i prend e n compte l e rendemen
t réel des b
oduits. L a plupart des entrepri
ses soumis
sous pei ne de disp
teur simila ire. Les rati o
uction eff ective acce pt ans bon n
ombre d'en aque fin d e poste pa
r
é. Cela im p
sur les pe r
réelles de
s nombre
ée/produ c
treprises, l e
les opéra
la producti on avec la
mesure du TRS ou de produits acceptés/t
emps d'ouv erture ou tion théori
quement p ossible sont souvent TRS (tau
x de rende ment synthét
ique) est teurs de ch aque
mach ine. L'évol ution du sont analy
sés par le s ervice Mét
hodes ; ournalier de la pr
oduction, alimenté
fication pa r les infor
mations iss ues de la de produc
tivité sont mesurés pa
r le TRS iens de production
ain si que la qualité des
es à forte concurrence l'applique
nt d'une rition. Il
çon ou d'une autr e
uipemen ts, donc im p
a calcule le rendement
réel des
lique tous les acteurs
de la production.
La formule de base est :
:
temps brut temps de ch
de fonctio nn ement), t
angement d' outil ;
erture dim inué des
emps d'ouv
Avec l es définitions
suivantes
· Temps de marche (ou
emps de p
t anne et des
·
mps pend an
d'accompl
ps de cy c
t lequel l ir une fonct
'utilisateur ion requise
du bien e x ;
rication s 'i
ige que le bien de l n'y avait pas eu
Temps d'o uverture, te
roduction
p soit en état
·
le, temps i
déal de fab
Quantité
réalisée x tem 'aléas
ou
de fonctionnement
d de pannes ;
·
ou temps net de fonct
ionnement) , temps bru t
croarrêts et des ralentissements;
ntité de produits
fabriqués sans défauts ;
antité totale de
produits fabriqués
conformes ou non
iantes de cette formule. L'une d
emps d'ouverture.
Temps de marche net (
iminué de
d s temps de mi
· Quantité a
cceptée, qu a
·
'elles cons
iste à calcu ler le ratio
produits
. Il y a
Quantité f
abriquée, q u lusieurs v p
ar onformes/ c t
7 Tu rbo a ltern ateu r :
s turbo-alt
les chaud
ernateurs
ières de détend
procédé
71 Introduction:
vapeur s e apeur de
La centrale
thermoélectrique de Maroc Phosphore
1 dispose d e 3 group e de
cap acité 18 MVA chacun
utilisant la vapeur haute pression produite
par récupération dans l'atelier
de production de l'acide
sulfuri que, cette partiell ement ou
totalement pour produire l'Ene
rgie électri q ue et la v
nécess aires au
fonctionnement du compl
exe.
Chaque
Groupe turbo-alternateur
comprend :
9 Un e turbine
multicellulaire à condensation et
soutirage 9 Un alternateur
avec accoup
Huile pour
lement rig ide
la régulation et le grai
principal muni d'un
système de création du vide
de l'ONE qui fournit
ssage
9 Un e centrale d ' 9 Un
condenseur
l'énergie né
cessaire pour le démarrage du
'énergie
Le rése au MP1 est
lié à celui comple xe et en c
as de déficit de
production locale. Par co
ntre tout l' excédent d produite par
les Groupes
turbo-alternateurs est évac
ué sur le rés eau de l'ONE.
72 D éfinition d'un turb
o altern ateur :
Un turb dire en Lenz et
oalternateur est un di spositif pe rmettant
de produire de l'énergi e
électrique ,
c'est-àgénéral la conversion de l'énerg
ie mécanique en
énergie électrique grâce
à l a loi de de faraday sur le
magnétisme.
On a : e = - dø /dt avec Ø =? B ds
Avec :
> Ø =le Flux magnétique
> B=Champ Magnétique
> E = l'Energi e Electrique Dégagée
7-3-1-Designation :
Numero
|
Nom
|
1
|
La turbine a vapeur
|
2
|
Reducteur de vitesse a engrenage
|
3
|
Alternateur
|
4
|
Excitatrice principale
|
5
|
Excitatrice Pilote
|
|
74 Principe du fonction nement d'un turb o alterna
teur :
Il faut sa l'intérie ur engend
re stator ( pa magnét
iqu dans le continu . C par l'ex cit (puissa
nc entraîn er
voir que d'un ma té un cham p
rtie fixe),
l'on peut g riau cond u
magnétiq ue
énérer un cteur et in
on d'un c hamp mag
nétique à
d'un cour ant dans co
nducteur électrique sera génér
é dans le bile), les variations d
u champ
t être un simple aim
ant, mais
ées par u n courant é
lectrique
du couran t électrique
générée urant pro duit par l'al
ternateur
tournant e » pour à eau (
centrales
, fioul, inc inération
courant pa r la variati
versement
(le passage
le champ m agnétique
par le roto son nom).
). Dans un alternateu r le courant
e par la cas de l'al
rotation du ternateur, i
l est compo sé de bob
rotor (d'où
r (partie m o Le rotor p
eu ines traver s
e coura nt est génér
é par l'excit atrice. Sel on
l'intensit é atrice o n pourra fai
re varier le s caractéris
tiques du c o e réactiv
e, tension) . Il reste plus
qu'à t rouver une
« machine
l'altern ateur. Cel a peut
êtr e une éo lienne, u ne turbine hydroél
ectriques, marémotric es), à
vape ur (chaudièr es à charbo
n, biomass e
d'ordur es, usines
géothermiq ues, central
es nucléair es), à gaz (
gaz fossile s, fioul, ou biogaz). On va
développer le cas de la machine
à vapeur. La turbine est compo
sée elle au ssi d'une partie f
ixe (stator) et d'une pa
rtie mobile (rotor). Ell e
comprend une admis sion de vap eur
et un échapp ement. La vapeur entr
e dans la p artie admis sion
avec u ne tempéra ture
élevée (jusqu'à 680°C pour certa
ines machi nes) et un e
pression élevée (ju squ'à 250
bars pour les plus "grosse s" turbines ).
C'est ce que l'on appelle la " source cha
ude". Le rotor de l a turbine possèd
e une ou pl usieurs rou es.
Ces rou es portent d es "ailettes "
qui vont ê tre traversé es par la nt les
aile
vapeur. En travers
rotatio n. La vape ur
donc b aisser en p ression
et e n températ ure. Donc
à
pressio n et la tem
pérature la plus basse.
Et plus elle s seront bas
l'énergi e mécaniq
ue nécessai re à faire t
ourner l'alt ernateur au q
peut fonct ionner en é
vacuant la vapeur sort ie turbine
à
a ttes la vape ur va les p
ousser et le ur imprime r un
mouv ement de
turbine
uel il est c l'atmosph è
l'on appell e
ses, plus le
va fourn ir une parti e de l'éner
gie thermi que qu'elle
possède au rotor et la sortie de la
derni ère roue, o n aura la rotor
aura récupéré ouplé. M
ême si la re, généra
lement à
récupérer l a
un circuit fe
a vapeur. G l'énergie m sa puissa
nc le stator de ugmenter
le
ne install ati denseur per
peut mê m
sitif récupé
on indus
mettra d e
e desce n
vapeur s o
rmé. Pou r cela il de
énérale me écanique
e active. P l'altern ate
courant d'e
rant cette v
rielle utilis t
baisser a u
dre en de s
us forme li
nt les c o fournie à l
our cela i l ur soit b i
xcitation.
a nt de la va p
maximu m
quide pour
vra évacu e
ndenseurs
a turbine à faut que l
e
en assuré.
apeur que
sous de l
a pression la renvoyer
r l'énergie fonctionn e
l'alternate
couplage m
Plus l'on m
eur dans s la pressio
on processu
n et la te m
atmosphé
dans le g
correspon
nt avec d
ur qui per m
agnétiqu e
source froide. Ce
s, ou un pérature rique) Il
énérateur ant à la d
es tours ettra à entre le
l'échap p ement on a un dispo disposi
t if peut être u conden s eur. Le c
on d'échap p ement (o n
permet tr a aussi de de vap e ur,
créant conden s ation de l
réfrigér a ntes. C'es
t
celui-ci de produir e rotor a
lternateur e t active,
plus il faut a
onte en puissance
E.S.T.S G roupe OC P
Dans c e qui suit on va
analyser les princ ipaux systè
mes du turboalternateur tout
en précisant ses
caractéristique s,
énumérer les pièces défaillante
s de chaque système afin d'envis
ager une maintenance
préventive du turboaltern
ateur en g énéral, des
systèmes qui comp osent ce dernier en particul
ier .cette analyse
débutera avec l a turbine,
puis le réducteur de
vitesse en passant par la pi èce
maitre sse du turbo altern ateur c'es
t-à-dire l'alternateur , ensuite
l'excitatrice principale et
enfin par l'exc itatrice pilo
te.
7-5-Exigences gén érales :
L'arrêt d'un groupe
turbo-alternateur s ignifie
l'arrêt de la production d
'énergie él ectrique nécess aire
pour alimenter les différents c
onsommateurs de l'usine.
Il est donc évident que ces gro upes
sont c à la hauteur de cette criticité.
ritiques et p
ar conséquent, leur maintenance
doit être
Cette maintenance
une suite de révisions
périodiques mens élec
a triques et
mécaniques.
sister en
e à des ex
loitation :
s doivent
que nécess ateur est pr
devrait con
timum grâ c
7 Les gr o produc
tio de cha qu suivant es
-5-1- Exig e upes turb
o n de l'én er e groupe
:
nces d'ex p -alternate ur
gie électri turbo-alter n
destinées à assurer
pour la . L'arrêt
ions systématiques
être disponibles et en service continu
aire aux di fférents co nsommateurs de
l'usine ogrammé pour
effectuer les révi s
> Vis ite annuelle (VA)
> Ré vision partie lle ou min
eure à 3 ans (RP)
> Ré vision génér
ale ou maj eure à 6 ans (RG)
Des tra vaux de m aintenance
d'un arrêt
corrective sont effect ués en cas
imprévu suite à un
dysfon ctionnement du groupe
turbo-alter nateur.
7 ences réglementaires et légales
:
-5-2-Exig
9 Respect rigoureux des rec
ommandati ons et des
exigences du constructeur 9
Respect des normes
9 Exigences environnement ales
et de s écurité
9 Consignation du groupe
turbo-alternateur
9 Aut orisation de travail
9 Port des équip ements
de protection individuels par les
intervenants 9 Nettoyage de l
a zone de travail après fin des
travaux
selon les exigences du
|
constructeur et le contrat de
|
|
-5-3-
7 Exigences techniques:
> Révision de l'
alternateur maintenance
E.S.T.S
G r oupe OCP onstructeur
> Respect des co nsignes de
maintenance objet du manuel du c
> Dé montage et remontage
suivant manuel du con
structeur
7-5-4- Enje u et impact économi que :
'un alternateur cause
L'arrêt ou l'indisp
électrique pouvant du rése
au ONE.
onibilité d
aller jusqu'à 26 MW,
une diminution de production
d représentant un
déficit en énergie qu'il
faut
'énergie soutirer
0 DH / MWH
Le prix
d'achat moyen de l'é
nergie reçu de l'ONE e
st de : 662, 0 our un dé
un alternateur, le coût
|
est de :
|
|
P ficit d'énergie de 26
MW, suite à un arrêt d
'
26 x 66 2 = 17212, 00 DH / he
ure.
7-6- La turbine à vapeur :
7-6-1 Ca ractéristi ques générales
:
Marque
|
Siemens (Alle magne)
|
Numér o
|
521- 5637-2-EK 11002- 2
|
Vitesse
|
6500 tr/min
|
Vitesse provoqua nt la fermeture rapid e
|
7150 tr/min
|
Puissance nomin ale
|
1510 0 KW
|
Pression vapeur d'échappe ment
|
Pe = 0.922 Bars (DaN/cm 2)
|
Pression au souti rage
|
Pe=4 ,4 Bars (DaN/cm2)
|
Pression de vape ur vive
|
56.8 6 Bars (D aN/cm2)
|
Température de Vapeur
|
490° C
|
|
7-6-2-Vue (Coupe longitudin ale) de la
turbine:
; dans la turbine hydraulique, c'est la
pesanteur est néglig eable ; l'origine
de fluide ; la chute d'e nthalpie re mplace
la
7-6-3- Principe:
Les turbines sont des
machines qui transforment l'énergie d'
un fluide en énergie mécanique
de rotation disponible sur un arbre et p
ermettant d'entraîner
une autre machine,
alternateur pour la production
d'électricité, compres seur,
etc. Le fluide p eut être
incompressible, c'est le cas des turbines hydrauliques, ou
compre ssible avec les deux grandes familles
: turbines à gaz et turbines à
vapeur. Ces turbines à fluide
compre ssible se distinguent
essentielle ment des
turbines hydrauliques par
deux aspects :
> par l'origine de
l'énergie du fluide moteur p
pour les gaz, l'énergie
liée à l a esanteur ;
'énergie e
l st la pressi on et la
température du
auteur de
h la chute d' eau
E.S.T.S
G roupe OC P
> la variation de la
masse volumique, ce qui,
lorsque la vitesse atteint
la vitess e du son, eut entraî
p ner des modifications
importantes dans l'é coulement avec en
p articulier
'apparitio
764 M
e :
l n d'ondes d e choc.
aintenan c
Généralités :
urbine à
t vapeur est un des
matériels stratégiques de
d'énergie électrique. Son
indisponibil ité entraîn
e la perte
'autres matériels (po mpes
alimentaires, p o
t la redondance permet de
poursuivre l'expl o
éventuelle ment à
charge partiell e. Par
ailleur
7-6-4-1 -
destructio n de la ents, heur
eusement et l'inté grité
des
revêt un ca ractère i mportant
qui vise les
mpes de c
itation de s
s, la turbi n
és par la
. Ces acci d
s installat ions de pr
oduction de la pr oduction d
'énergie,
irculation assistée, installatio ns
soit à
e peut être le siège
d'accide nts majeurs , caractéri
s
projectiles des parties tournante s
pour la s écurité des
La contrairement à d
ventilateurs...) don pleine
charge, soit d'incid ents
graves, qualifiés machine, voire
l'é mission de rares,
présentent des risque s
installations. La maintenance deux o
bjectifs suivants :
notables des turbine
s à vapeur
personnes
d'assurer l
a sécurité des personn es et des
s par les rotors ;
économiques. Plus
n des acci dents maje urs.
Il s'agit
nant les di spositions pour
éviter l'émission de projectil
e
des indis ponibilités
fortuites et de leurs co nséquences
nt, cette p réoccupatio n
d'éviter l'accident majeur est
également prise en
s la cond uite des gr oupes
turb oalternateu rs par la
mise en o euvre de
et la réali sation d'es
sais périodi ques.
9 la préventi o iens
en pr
b e
9 la limitation
énéralem g e ompte da
surveillance
c n oyens de m
7-6-4-2-
vention de s sinée dan
s ts majeurs d e la fabric
at bilité d'ap p et par an
).
ents majeu r
tement br u
ndré, lors
rifuges su t p
uration tra n
tive.
ture brutal e
e de rui n
latement d
loppent :
uissance. L
de la ma i
bre d'un r ot groupe t ur
sistance d u tor sous l 'e
la mainten ance :
ajeurs :
est à l'or
|
igine des
|
|
e produise nt parfois
es potenti e
ions prises
majeur à un niveau
très faible tructions p
artielles ou totales de trale (actu
ellement deux sur 3
fférentes causes.
e mode de
ur, par les
fatigue par flexion
en survitesse ou à
vitesse nominale. Ce
une vites se
inférieure à la survitesse
origine la présence de défaut s qui se
Objectif d e
7- 6- L'éner gi
graves d de la c on mainte
ni 1*10-4 p turboal
te marche ).
4-2-1- Pr é e emmag a
es accide n ception, d r la prob
a ar tranch e rnateurs s Les
acci d
9 Écl a
eng e cen
9 Fis s
rot a
9 Ru p
mo d d'é c
dév e
accidents m les rotor s e
turbines ion, de l a arition d' un
de grande p conduite et
accident t, des des sur la cen ésulter de
di
Cependa n
s peuvent r
esse de l' ar llement d u
érieurs à la
sverse à l'
tal en surv it de l'emb a
limite de r é axe d'un r
o
de l'arbr e d'un roto r e,
qui in tervient à u rotor sa in, a
pour
conséquen c es précau
t
ntenance d es turbines
or sain : c boalternat e
matériau. ffet de la
llement au stade visent à (environ groupes sont en
ruine est efforts
Dans l e nocivit é
transition avec le défauts critiques
cherche dévelop
en prio ri
7-6-4-2 -2-Limitati on En
co mplément d nécess
aires pour corresp ondantes, s i
général ement des
analyse
> sous l'acti on de la fati
> sous l'effe t > sous l'effe
t > sous l'effe t
s statistique
à limite r pement de s
té sur :
l'état et le f l'état et le
f le bon fon ct la recherc
he
de fatigue - de la corr o
du fluage p
cas de tu rbines aya
n
de certai ns de ces p h
t accumul é
énomènes
vieillisse ment du m a
inférieures. Afin d'é v
onctionne m onctionne m
ionnemen t et la surv e
des indis p
es actions
onibilités ortuites
f :
destinées à éviter l 'accident
majeur, de s
limiter l es indispo
nibilités f ortuites de
s turbines.
elles ne r emettent p as en
cause indisponi bilités long ues et de
s s montre nt que les
principales
défauts po uvant affec
les risqu es d'emba
gue (en pa rticulier lor s
fretting, fa tigue-corro s
sion sous contrainte ;
our les rot ors « haute
ent des or ganes d'ad mission
va p ent des cl apets de so
utirage
des dispo sitifs de séc
urité contre illance de s
défauts su r les rotors
llement d
tériau en te iter l'app
ar
un grand
est accrue
ter l'intégr
dispositions sont Les
défaillances
l'intégrité de la ligne
d'arbres, e
ntraînent réparations lourdes
et onéreuses. Les causes
d'indisponibil ité
concernent trois
températur e ».
nombre d
mpératur e ition d'a c
e la ligne ité des roto
par l'augm
des cycles ion ;
'heures de
eur
les survitesses
démarrage
fonctionne ment, la
entation d e la
température de
qui conduit à des
tailles de cidents majeurs, l'e
xploitant
d'arbres et à maîtriser le
rs. Il doit porter son
attention
- arrêt) ;
grands ensembles :
v' les parties mobiles (r
otors équipé s de leurs a
ilettes) ;
articulier de
|
la maintenance préventive et
|
|
v' les organe s d'admissi on
vapeur ;
v' les paliers et la butée
de la ligne d'arbres ;
Ces co nsidération s
ont amen é un dével oppement p
de la s urveillance dans ces do
maines.
7 643 Mai ntenance p réventive
:
Si la su rveillance permet
de mettre en oe uvre certai
nes actions de mainten ance
condit ionnelle, la plup art des dég
radations o bservées s
ur les com posants de la
turbine restent diffi cilement détecta
bles et cont rôlables lor sque la ma
chine est e n exploitati on
ou à l'ar rêt corps fe
rmé. Par ailleurs , le temps
d'incubati on avant a morçage e
t la cinéti que des ph
énomènes sont très
variabl es et dépen dent de no
mbreux para mètres. On peut citer
par exempl e :
la fabric ation des pièces (c
onception, hétérogén
éité des matériaux, qualité
d'usinage.. .) ;
le montag e du groupe turboalter
nateur ;
· l'historiqu e de l'expl
oitation de la tranche (cycles ar
rêt/démarr age, caracté
ristiques chimiques de la vape ur, tempéra
ture de la vapeur, con
ditions de vide, humi
dité de la
E.S.T.S
G roupe OC P vapeur bas se pression,
conditions de conservation à
l'arrêt, incidents de type
pollution ou choc thermique...). L'entreti
en des turbines s'appuie
donc principalement sur un programme de
maintenance préventive
systématique ré alisé
lors d e visites périodiques dites
révisions. Selon le mode d'exploit
ation des installations, la
fréquence des révisions est
déterminée de façon
calendaire ou en fonctio n
de critè res de fonctionne ment. On
détermine, pour les
installations qui ne foncti
onnent pas en base, les « heur es
équivale ntes de marche »
représentatives des heures de marche
réelles et du nombre de
démarrages à froid et à
chaud du groupe. Ce rtains
proc essus de dégradation connus c
onduisent à la
réalisation de visites partielles dont
la fréquence est liée à la
cinétique d'évolution de la
dégradation correspo ndante.
Suivant les résultats, des expertis
es réalisées lors des
révisions, des analyses
et des contrôles plus
approfondis sont al ors à
engager pour préciser l'état de s
anté des matériels.
L'exploitant sera particulièreme
nt vigilant quant à
l'application des programmes
de maintenance relatifs aux organes dont la défaillance
peut entrainer un accident majeur.
· A tous ces points évo
qués il est important
d'ajouter l a maintenance des
équipements qui perme t le bon guidage
en rotation de l a turbine à savoir :
le s bagues, le s paliers lisses, les
roulements , les coussinets
etc. Pour ces de rniers en
fonction des charges appliquées on peut
déterminer la durée de vie
approximative comme ca on peut planifier le
planning de maintenance pour
bien entrete nir la
turbine.
7-7- L e réducteur à eng renage
:
Le rôle du réducteur est ess
entiellement
mécanique, il permet de
réduire la vite s moteur vers un
ré cepteur, pour ce derni
er il réduit la vitesse transmise
par la turbine tr/min : soit un rapport
de réduction de 0.23 sachant
que la vite sse d'entré e
6500tr/min.
|
se d'un à 1500 est de
|
|
7-7-1-C aractéristi ques Générales
:
Marque
|
Siemens (Alle magne)
|
Numér o de série
|
534 6/982
|
|
Puissance
|
176 50 KW
|
|
Vitesse
|
650 0/1500
|
tr/ min
|
|
7-7-2- Maintenance:
Le réducteur n'exi
ge pas un e grande
maintenance, mais il faut de temps en temps
vérifier le niveau d'huile et aussi sa
viscosité afin de
pouvoir la renouveler c'est
la seule méthode préventive
fiable au réducteur. L'effet
vibratoire provoque le desse
rrage des boulots mécani ques qui
maintient c e dernier
d'où le serrage de ce système
lors des révisions effectu és
au sein des autres blocs du
turbo alternateur.
car c'est dans ce dernier qu'il
7-8-L'alternateur:
7-8-1-Définition:
L'alternateur demeure la
piè ce maitress e du turbo
alternateur
y'a conversion d '
énergie : l 'énergie mécanique
des turbines est trans formée en énergie
électrique grâce à l'induit produit par
les excitatrice s.
7-8-2-Description:
L'alternateur est un
générate ur à courant
alternatif refroidi à l 'air par un
e circulation fermée sur
réfrigérant eau/air. Son s
ens de rotation est inverse
de ce lui des aiguilles
d'une montre pour un observate
ur regardant l'alternat eur
le dos tourné à la turbine. L e
rotor est accouplé rigide
ment à la turbine et
supporté par le palier avant.
L'extré mité du rotor
côté excitateur est supportée par
le p alier arrière. L'alternateur est
dimensionné de telle sorte que les
contraintes demeur ent dans l
es limites raisonnabl es lors du
fonctionnement en survitesse
à 120%. L'alternateur peut sans
dommage foncti onner à
toutes les charges et
supporter des variations
soudaines de charges, quelle
que soit le ur importance,
entre se s limites extrêmes de
capacité. L'ouve rture
soudaine du circuit extérieur à
l'alternateur ne provoque pas de dommag
e à celuici. La
construction de
l'alternateur est telle qu'il
ne peut êtr e
endommagé par des défauts
biphasé s ou triphasés dus à
des courts-circuits extérieurs
aux enroulements du stator
si la durée de ces dé fauts est
suffisamme nt courte pour ne
pas provoquer
d'échauffement préjudi
ciable.
7-8-3- D ossier Technique: 7831
Caractéristiques :
Marque
|
Siemens(Allemagne)
|
Numér o de série
|
1DT 4046 - 6EE02-Z
|
Année de Fabrication et de mise en
service
|
1978
|
Référe nce
|
A 22605501
lt 32-D78
|
Tension /Couplage
|
6 3000V/ Y
|
Intensité
|
1650 A
|
Puissance nomin ale
|
18 000 KVA
|
Facteu r de puissance
|
Cos ø =0.8
|
Vitesse de rotation
|
1500tr/min
|
Fréquence du rés eau
|
5 0 Hz
|
Excitat ion
|
1 A
22V / 577
|
|
|
|
E.S.T.S
|
Gr oupe OCP
|
Classe d'isoleme nt
|
F -IP44
|
Débit de refroidissement
|
00l/min d'
9 eau 18 C
|
Référe nce de la notice
|
V 72
DE 0530/
|
|
7832
Conditions générales
:
Les tro i
s alternateurs sont ins
tallés dans
s sont co mme suit :
u ne salle de
s machines
dont les co nditions de
service
général e
Température de la
salle : 30 °C à 45 °C
Humidité relative de l'air
Humidité relative maximale : 100 %
ilation en c
ircuit fermé
e par deux ventilateu rs
par l'abs orption des des compa
rtiments lat é
les faisc eaux tubul ai cle de
ve ntilation. Le
à chaque e
xtrémité du
s la partie
supérieure
ouverture s dans le t
o être refroi di nt dispos
és rnateur. Ils
s
passe alor
ence un
lement l'un ués par un
t fa
lais pour
effectuer la
Humidité relative normale: 7
Humidité relative minimale:
axiaux calories
raux du
res des s deux
ot situé eau. En
les plus ciale de
alternate ur
r. L'air ai n
de l'autre ulaire et d e
Une interv e
. Une ven t
alarme se d éclenche.
d'une pa rtie de l'ai r de
ventil ation de directeme nt l'excitati on
au trav ers d'une
socle. L'a ir chaud es t
refoulé
buse d' dans le
e même ch emin.
des réfrig érants, une
réparatio n est alors
nécessair e
eur est pr évue avec une circul
ation forcé e
teur. Une faible parti e de
l'air f roid ventile
entrée d'ai r, par un s
ystème de chicanes, si
tué dans le circuit d'ai r principal
du circuit magnétique
dont il suit l
0 %
30 %
de chaqu e fût du rot o
situées d an it. Cet ai
r
et reco mm
horizonta
ont consti
La vent montés
est évac
circuit m
réfrigér a
réfrigér a
au dess u
cas de fu
brefs d é
l'excita t
l'altern a
est assur é
si réchauf fé
ué par deu x agnétiqu e
nts pour nts d'air so s de l'alte ite de l'u
n
s à traver s
nouveau c y
au dessu s
isceau tu b
dans le ca p ux boites
à
ntion dans
ilation sp é
784 M aintenanc e :
Le plan de maintenance
préventive des alternateurs est
déterminé suivant les
recommandations du construc
teur et le c ontrat de
maintenance avec ce
dernier.
Trois types de
révisions systématiques s
ont prévus :
· Visite annuelle (VA)
· Révision p
artielle ou mineure à 3 ans (RP)
· Révision g
énérale ou majeure à 6
ans (RG)
E.S.T.S G roupe OC P
Toutes les pièces de
rechange nécessaires sont prévu es selon le type de
révision à ré aliser sur
l'alternateur.
7-8-4- 1-Maintenance corrective:
Le suivi des alternateurs
est assuré d'une faç on rigoure
use et pe rmanente, ainsi la maintenance
corrective est évitée.
Cependant, le rec ours à une m ce
conditio nnelle est
aintenan
dans c ertains cas nécessaire. Cette dern
ière est d éclenchée g uivi et au
contrôle
râce au s quotidi en de tous l
es paramètres de marc
he et de leurs évolution s.
7-8-4-2 -Maintena nce préven tive
systém a tique :
u, la maintenance préventive
systém a
service s de mai n
tique est l a
de mainte n
tenance.
tructeur s uivant la co
nvention
assistés en permanenc e par les
Afin d' optimiser les coûts
de mainten ance, et sa c
hant l'enj e plus adapt ée.
En effe t , les alter n ateurs sont ance et
d' exploitation de MP et par le con s
7-8-4-3 -Maintena nce préven tive conditi
onnelle :
systémati ques défini
s dans le déclenche ment des
actions de
sés pour
être mobili
les ressources doivent s
conditions.
Cette a pproche de maintenan
ce se fait s ur la base d e
s contrôle s plan de maintenan ce
préventi f, et en s'é tant fixé d
e s seuils de rempla cement et/o
u de remise en état, le s moyens et
réaliser les prestati ons nécessa ires dans le s meilleur
e
7-9-Ex citatrice principal e :
7-9-1- D éfinition :
Comm e son nom désigne, l' excitatrice
excite l'alternateur en injectant du courant continu dans ce dernier.
7-9-2-D
ossier Te chnique :
Caractéri stiques Gén
érales :
7-9-2-1-
Marque
|
Sie mens(Alle magne)
|
Type
|
1JG -2423-1- BU-04-7
|
Numér o de série
|
GAN-CC /D 82-561-017 01
|
Tension
|
123 V / 172V
|
Intensité
|
582 A / 815A
|
Puissance active
|
71. 5 KW / 14 0KW
|
Service Continu
|
10 secondes
|
Vitesse de rotation
|
150 0 tr/min
|
|
|
E.S.T.S
|
Groupe OCP
|
Classe d'isoleme nt
|
F-IP-20
|
Excitatrice indép endante (tension)
|
113 V / 159V
|
Excitatrice indép endante (i
ntensité)
|
3.7 A/5.2A
|
Excitatrice indép endante (service
continu)
|
10 secondes
|
Numér o de référ ence
|
138 2
|
Fréquence
|
50 Hertz
|
7-9-3- M aintenanc e :
Un co ntrat de
maintenance unit Maroc phosp
hore I à Siemens, la maintenance des
excitatrices est ex écutée
à 10 0% par le groupe
Allemand ; sau f quelques
entretiens majeurs à savoir l
e dépoussi érage, le
serrage des pièces
mécaniques due à la
vibration.
7-10-Excitatrice pilote :
:
à le même principe
que la principale sau f qu'elle exc
ite l'excitatrice de
7-10-1- Définition
L'excitatrice pilot e
l'alternateur.
7-10-1-
Dossier Te chnique :
Caractéristiques gén
érales :
71011
Marque
|
Sie mens(Alle magne)
|
Type
|
1F U3167-6TV20-160L
|
Numér o de série
|
878 4-6990-100 1 BAUF-B3
|
Tension
|
220 V
|
Intensité
|
3.95A
|
puissance
|
1.5 KVA
|
Facteu r de puissance
|
Cos ø =0.90
|
Vitesse de rotation
|
150 0tr/min
|
Fréquence
|
75 Hz
|
|
|
E.S.T.S
|
Groupe OCP
|
8- Les tran sform ateu rs :
8-1- Gé néralité s :
8-1-1- D éfinition :
Un tran sformateur électrique
est un c onvertisseur
permettant de modifier les valeurs de tension et d'intens
ité du courant délivré
es par une source
d'énergie électrique
alternative, en un système de
tension et de courant de valeurs di
fférentes, mais de mê
me fréque nce et de même
forme. Il e ffectue cette
transformation avec un
excellent rendeme nt. Il est
analogue à un engrenage en
mécanique (le couple sur chacune des
roues dentées étant l'anal ogue du courant et la
vitesse de rotation é tant l'anal
ogue de la tension).On
distingue les transformateurs
statiques et l es
commutatrices. Dans un
transformateur s tatique,
l'énergie est transfé
rée du primaire au sec
ondaire par l'intermédi
aire du circuit magnéti
que que constitue la carcass e
du transformateur. C es deux
circuits sont alors
magnétiquement couplés. Ce
ci permet de réali ser un isol ement
galvanique entre les deux
circuits. Dans une co
mmutatrice, l'énergie est tran smise
de manière méc anique
entre une génératrice et un
moteur éle ctrique.
8-1-2- Principe:
Un transformateur est construit à partir
d'un circuit magnétique sur lequel sont bobinés deux enroule
ments :
> Un enroul ement primaire
(appel é simplement primaire )
qui reçoit l'énergie é lectrique
et la transforme en énergie magn
étique par induction
> Un enroulement se
condaire ( ou secondaire)
qui, étant traversé par l
e champ magnétique produit
par le primaire, fournit un
courant alternatif de même
fréquence mais de tension qui p
eut être plus supérieure ou
inférieure à la tens ion primaire.
Un transformateur qui produit
une tension plus grande est dit
élévateur d e tension, à
l'inverse il est dit abaisseur de tension. Vu du sec
ondaire un transformateur peut être
considéré comme
E.S.T.S
un générateur de
courant alternatif de
tension U et
compo rter plusieurs
enroulements secon daires.
8-1-3-
courant alternati
voire trè
Intérêt d u transfor mateur :
Pour diminuer la tension d'un
signal, c' est relative ment facile : un
diviseur potentiomètrique suffit.
Une résistance en séri
e dans le circuit permet de
faire chuter la tension en
diminuant l'intens ité du
courant. Cette solution
fonctionne en courant alte
rnatif ou c ontinu mais
présente l'inconvénient de
provoquer des pertes par effet
Joule dans la résistan
ce chutrice. Pour le
n'y a pas de solution pour
élever une tension. Par co
ntre pour le courant transformateur qui
permet d'abaisser ou d'é lever une
tension ave c un bon
continu il f existe le
s bon rendement.
de fréquence f. Un
G roupe OC P ransforma
t teur peut
Le trans formateur a d'autres applications :
Séparation composante "continue " de la
composante "alternative" Transformation d'imp
édances en BF ou en HF
Isolement des circuits.
Il est possible de convertir
un courant continu de basse
tension en courant continu de plus haute
tension à l'aide d'une c ommutatric
e, machine composée
d'un moteur électrique couplé à une
génératrice. C e n'est pas
notre sujet, nous ne verrons
ici qu e le transformateur statique.
8-1-4- aractérist
C iques Gén érales du T ransforma teur
:
Rapport de transformation
|
|
Le rapport de
transformation dépend du rapport du nom bre de
spires Np/Ns
|
rende ment transformateur
|
du
|
|
le rendement du
transformateur est t oujours inférieur à
1, C 'est le
rapport de la puissance
fournie par la puissance
absorbée
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Facteu r de puissance
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il est ég al à la puissance active
divisée par le produit des vale urs effica ces du courant et de la
tension. Il est toujo urs compris entre 1 et 0.
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Puissance Active
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la puissance moyenne
consomm ée sur une période
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E.S.T.S
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Groupe OCP
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815Protection du transform ateur:
8151 Relais Buchhloz :
Relais Buchhloz
Le relais buchhloz est monté
essentielle ment sur l es gros tran
sformateurs à bain d' huile sur la
tubu laire reliant le
réservoir d'expan sion et la c
uve du transformateur .
C'est un relais de protection contre les
incidents internes aux tran
sformateur s. Il détecte
les dég agements gazeux dus aux c
laquages internes HT/Masse
ou entre enroul ements.
8152 Fonction nement :
Le corp s du relais renferme
deux flotteur s :
· Lor s d'une avarie de
mo indre importance, le dégagement
gazeux s e produit du flotteur A
qui s'abaiss e alors. L'al
arme se met en foncti
onnement.
· Un dégagement gazeux
violent, résultants des
défauts graves à l'inté
rieur du
transformateur provoquent un
mouvement d'huile du
transformateur vers le con servateur et donc
un picotement du flo tteur
B. L »action du contact
pro voque l'activation du r
elais de coupure du di
sjoncteur.
A tout ces dispos itifs de protection il est
important de m entionner l e
s autres relais de
protection à savoir ;
> Les relais contre les
surcharges électriques
> Les relais contre les é
chauffements (Arc électrique) >
Les relais de
régulation d'intensité et de
tension
Le service électrique de
Maroc Phospho re I dispose
des transformateurs HT /MT et
MT/BT qui permet l'abai s sement de
tension pour le bon fonctionne
ment des é quipements entrant dans la
production .
La liste ci-dessous montre les différents c
aractéristiques des transformate urs HT /MT
La liste ci-des sous montre les différe nts
caractéristiques de s transformateurs MT /BT
816 M
est l'un de
aintenan c
s équipe m
ents électri
ques docil e
'il faut ch a
er sur la m
:
, sage ca r ce dernie r
n'exige nger de t emps en te mps et
le aintenance des transfos sauf
e du trans formateur
Le transformateu
r
A part le
silikagel qu
solument rien à ajout
intenance.
pas un e grande ma
glé, y'a a b ble de :
niveau d'huile à
ré
r le trans formateur
s isolants
huile serva nt de diélec
trique niveau d'h uile
solement
l'huile
qu'il es t indispens a
Dépoussiér e
Nettoyer le Analyser l'
Mesurer le Mesurer l'i
Régénérer
9Conclus ions:
Ce moi s de stage au sein de
MAROC-P HOSPHORE I,
troisième expérience profess
i onnelle, m'a pe rmis de pre
ndre connai ssance du fonctionne
ment du travail en
équipe afin de prendre goût à l
a vie d'entreprise.
pouvoir
se. Tout d'abord, l'importance
En travaill ant aux co
tés de per sonnes
expérimentées , on a la chance
de approc her de près la réalité
du travail dans une grande
entrepri et la co mplexité du travail
en équipe.
J'ai ég alement pu
perfectionner mon apprentissage, et élargir ma
compétence, autant de choses
qui se révèlent crucial es au
moment d'entrer dans le monde du travail.
Un sujet de stage bien
abordé, parfaitement
développé grâce à l'expertise de
l'encadrant, une solution de
maintenance préventive
des turboalternateurs et des trans
formateurs (HT/MT MT/BT) proposé
bénéfique au service é
lectrique sur le plan é c
onomique qu'humaine sont là les points
culminants d'un stage réussi. Leader
mondial incontesté du phosphate et de
ses dérivés l'OCP es t toujours c
onsciente du rôle de l
a maintenance au sein des ses unités,
une bonne maintenance assure la
longévité des moyens de
production et permet un bon amortis
sement des matériels. La
non-disponibilité des moye ns de
production entraine une perte
importante e t dans un monde
concurrentiel : y'a des ris
ques de fail lite. Pour
rester ce qu'elle est l'OCP élabore
des politiques de maintenance au se in des
ses ateliers et utilise les dernière s
technologies pour résoudre les
problè mes de maintenance
je fais allusion au GMAO, AMDEC ...
.etc.
10Bib liogr aphi e :
101Ouvrages :
9 T 9
L 9 C
echnique
de l'ingén ieur
(Edition Duno d) Paris 2
0005
atalogue
a fonction
maintenance (collection
technologies) édition Masson ; Paris ;
1990. Siemens (Groupe Siemens) 1
995
102Sites:
> Http// Hc
Online.com >
Http// Wikipe
dia.com >
Politique de maintenance (Groupe O CP)
11 Annexe:
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