I.2.3.8 L'agriculture
Faute d'espace cultivable suite à la concentration de
la population d'une part et d'autre part le relief et le sol qui ne supporte
pas l'érosion. L'agriculture est quasi inexistante à cimpunda.
Mais compte tenu de la conjoncture actuelle, cette activité est
pratiquée dans certaines cellules comme Nymulagira, Elila, et les
cultures les plus pratiquées sont le manioc, le haricot et la patate
douce. L'agriculture pratiquée sur de terrains accidentés est le
principal facteur de l'érosion qui bouche les collecteurs par le sol et
les débris.
I.2.3.9
L'élevage
En ce qui concerne l'élevage, il est de type familial.
Les animaux élevés sont : la poule, la chèvre, le
lapin etc.
Cet élevage est moins prospère et rentable.
Cela est dû au fait que les techniques d'élevage sont moins
exploitées.
Les différents ménages se forcent
d'élever certains oiseaux de basse-cour.
Ces derniers sont victimes de problèmes et des maladies
qui ravagent leurs animaux par manque de médicaments et de vaccins pour
leurs entretiens. Certains animaux d'élevage contribuent à leur
manière au bouchage des collecteurs par exemple les porcs qui y
cherchent leurs aliments et les vaches et chèvres qui broutent les
herbes et remuent le sol par leurs sabots.
I.2.3.10 transport et
communication
L'état défectueux de la route et l'absence
d'attraction est autant des facteurs qui mettent en péril le transport
à Cimpunda mais malgré cet état, la route continue
à être utilisée et à travers elle ce quartier est
approvisionné en denrées alimentaires comme le manioc et la
bière, etc.
La communication à cimpunda est effective pour la
population de cimpunda., cela grâce à multiplicité de
petites maisons appelées « shop » ou l'on
s'approvisionne en cartes prépayées de téléphone
portable. L'érosion et la détérioration des routes
contribuent aussi au bourrage des collecteurs car le phénomène
de lessivage aggravé par le passage régulier des véhicules
érodent les routes, bouches les caniveaux et
c
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