Conclusion partielle
Dans ce chapitre, nous venons de mettre en oeuvre
l'infrastructure réseau sur une plateforme virtuelle, grace à la
technologie de l'hyperviseur sous xen.
Cette infrastructure prend en charge les différents
systèmes d'exploitation, c'est-à dire, pour ce cas précis,
Windows 2003 serveur et linux debian 6.0 et les performances de chaque machine
virtuelle sont optimisées, presqu'à l'état natif.
Nous avons installées, deux serveurs sous linux debian 6.0
qui font :
- DNS et DHCP ;
- Web.
Ainsi que deux serveurs sous Windows 2003 serveur, qui font :
- Le contrôleur de domaine primaire d'ista.ac.cd, avec le
service DNS et le service d'accès distant ou VPN ;
- Le contrôleur de domaine secondaire pour ista.ac.cd,
avec le service de messagerie et le DNS en zone de stub23.
Les grandes performances de la machine physique sont alors
optimisées avec cette technique de Virtualisation.
23 Le serveur DNS en zone de stub ne contient que
les enregistrements de ressources de type NS et SOA d'une zone DNS. La
zone stub est automatiquement mise A jour lorsque les paramqtres d'un
enregistrement NS ou SOA sont modifiés.
VI. CONCLUSION GENERALE
La virtualisation est un domaine en pleine croissance, qui
évolue très rapidement. Les entreprises peuvent s'en servir pour
différents usages, aux besoins de leur fin. Les différentes
solutions de virtualisation existantes utilisent des technologies
variées, en fonction des buts du projet. Certaines technologies
permettent de faire cohabiter plusieurs systèmes d'exploitation,
d'autres cloisonnent un unique système en plusieurs compartiments
indépendants. Certaines s'appuient sur les capacités du
matériel pour améliorer les performances alors que d'autres
nécessitent un système d'exploitation modifié pour
cohabiter avec la solution de virtualisation. Ces technologies ont toutes leurs
avantages et inconvénients, et il est important de faire le bon choix en
fonction de l'utilisation que l'entreprise en fera.
En guise de conclusion, nous pouvons affirmer que la mise en
place des serveurs virtuels est possible au sein de l'architecture, tant
actuelle que future, de l'intranet de l'ISTA. Toutefois, bien que possible la
mise en place des serveurs virtuels, dans l'architecture actuelle de
l'intranet, nous avons rencontrés quelques difficultés au niveau
des équipements ou serveurs à utiliser qui n'était pas
disponible à l'ISTA.
L'architecture future de l'intranet ISTA prévoit sans
doute l'accroissement du nombre des serveurs virtuels, vue l'ampleur et la
renommée actuelle de l'Institut Supérieur de Techniques
Appliquées, pour accueillir des nouvelles applications. Nous laissons
donc aux administrateurs de l'intranet de l'ISTA, la charge de gérer,
d'administrer et d'accroitre les serveurs virtuels de leur intranet grace
à l'hyperviseur Xen sous GNU/Linux debian 6.0.
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