Thème
Présenté par :
Dirigé par :
> Mr BOUDELLAA YACINE
> Mr BOUGATTOUCHA WALID
> Mr LAYEB MOHAMED
République Algérienne
Démocratique et Populaire
Ministère de la Santé de la
Population et Réforme Hospitalière Ecole de Formation
Paramédicale de Skikda Mémoire de fin étude En vue
de l'obtention d'un diplômé d'état en laboratoire Option
: Laborantin diplômé d'état
Dédicaces
On dédie ce modeste travail a : Tous les
musulmans du monde
A nos familles surtout nos très chers parents qui
ont toujours étaient là pour nous, et qui nous 'ont
donné un magnifique modèle de labeur et
de persévérance. J'espère qu'ils trouveront dans ce
travail toute notre reconnaissance et tout notre amour
Nos collègues de la promotion et tous les
étudiants de l'école paramédicale de Skikda
Tous le personnel du laboratoire de l'EPH de Skikda surtout
mademoiselle REKIOUA NASSIMA
Tous nous amis et a Tous ceux qui ont connus, aimés
apprécies, encouragés de prée ou loin pendant tous
notre cursus
Walid & Yacine
Remerciement
Nous remercient avant tous DIEU de nous
avoir donné la force et la
puissance à accomplir ce modeste travail ; nous
tiendrons aussi à exprimer nos profond remercîments a :
· Monsieur le directeur de l'école
paramédicale de Skikda > Monsieur : AMAR EL
OUAHCHE
· Monsieur le directeur des études : >
Monsieur : HMAIDA SOLTANE
· Notre chef de promotion monsieur :
> Monsieur : ABD SALEM HIOUL
· Les enseignants qui ont collaborés entre eux
afin de nos offrir une formation de qualité en particulier :
> Monsieur : AIT KACI
> Monsieur : AMAR RACHED
> Monsieur : MOHAMED EL AIB >
Monsieur : AHMED MECHOUD
· A tous le personnel du secteur sanitaire de Skikda
surtout le personnel du laboratoire centrale de l'E.P.H de
Skikda.
L'examen cytobactériologique des
urines
SOMMAIRE
Introduction
Problématique
Hypothèses
|
01
02
.02
|
Partie théorique
|
|
|
|
Chapitre 1
|
|
1-1-Définition des concepts
|
03
|
1-1-1-Examen cytobactériologique des urines
|
.03
|
1-1-2-Diagnostique
|
.03
|
1-1-3-Inoculum
|
...03
|
1-1-4-Bactérie
|
..03
|
1-1-5-Infectons
|
04
|
1-1-6-Infection urinaire
|
..04
|
1-1-7-Types d'infections urinaires
|
..04
|
1-1-8-Contamination
|
...05
|
1-1-9-Bactériurie
|
.05
|
1-1-10-Septicémie
|
05
|
Chapitre 2
|
|
2-1-Généralité et physiologie
|
.06
|
2-1-1-L'appareil urinaire
|
...06
|
2-1-2-Formation de l'urine
|
06
|
2-1-3-Définition de l'urine
|
.06
|
2-1-4-Volume
|
.06
|
2-1-5-Aspectes
|
...07
|
2-1-6-Odeur
|
07
|
2-1-7-Couleur
|
.07
|
2-1-8-Densité
|
..07
|
2-1-9-PH urinaire
|
...07
|
Chapitre 3
|
|
3-1-Examen cytobactériologique des urines
|
08
|
3-1-1-Prélèvements
|
08
|
3-1-2-Choix du récipient ou flacon
|
...08
|
3-1-3-Prélèvement des urines
|
08
|
3-2-Cytologie
|
..09
|
3-2-1-Examen cytologique
|
.09
|
3-2-2-Les différents éléments
qui peuvent exister dans les urines
|
..09
|
3-2-2-1-Hématies
|
...10
|
3-2-2-2-Leucocytes
|
.10
|
3-2-2-3-Levures
|
..10
|
3-2-2-4-Trichomonas
|
.10
|
3-2-2-5-Spermatozoïdes
|
.11
|
3-2-2-6-Cellules épithéliales
|
..11
|
3-2-2-7-Cylindres
|
...12
|
3-2-2-8-OEufs et larves parasites
|
...14
|
3-2-2-9-Cristaux
|
14
|
3-3-Bactériologie
|
...18
|
3-3-1-Méthodes de cultures
|
...18
|
3-3-2-Coloration
|
19
|
3-3-3-Identification biochimique
|
..21
|
3-3-4-Principaux germes responsables des infections
urinaires 27
3-3-5-Antibiogramme 30
3-3-6-Bandelette 32
|
Partie pratique
|
|
|
Chapitre 1
|
|
1-1-Méthodologie de recherche
|
...33
|
1-1-1-Objectif de la recherche
|
.33
|
1-1-2-Population cible
|
..33
|
1-1-3-Outil de l'enquête
|
...33
|
1-1-4-Lieu de l'enquête
|
33
|
1-1-5-Outil de l'enquête
|
...33
|
1-1-6-Echantillonnage
|
.33
|
Chapitre 2
2-1-Recueil des données et
interprétation des résultats .35
2-1-1-Recueil des données
...35
2-1-2-Analyse interprétation des
résultats ..42
2-2-Discussion et vérification des
hypothèses 44
Conclusion..... 45
Annexe
Bibliographie
Introduction
1
L'infection urinaire est une des infections les plus
fréquentes. Cela explique que. L'ECBU soit une des analyses
microbiologiques les plus demandées. Son apparente simplicité
d'exécution ne doit pas faire oublier qu'il convient de
respectèrent toute circonstance une méthodologie
rigoureuse.
Problématique
L'examen cytobactériologique des urines (E.C.B.U)
est un examen simple, susceptible de procurer des éminents
renseignements particulièrement utiles pour le diagnostic des maladies
de l'arbre urinaire, et notamment des infections urinaires.
Le rôle du laboratoire est de prouver l'infection
en identifiant la bactérie responsable, et
d'évaluer l'importance de l'inflammation on déterminant la
leucocyturie.
Devant la panoplie des différents procèdes
techniques utilisés au niveau des laboratoires :
> Qu'elle est le bon protocole a suivre dans un E.C.B.U
afin d'obtenir un résultat fiable ?
Hypothèses
3
> La méthode de kass modifiée par
véron est admise comme méthode de
référence.
> Le diagnostic d'une infection urinaire à partir
de bandelettes reste toujours douteux
Partie théorique
Chapitre 1
1-1- Définition des concepts :
1-1-1-Examen cytobactériologique des urines :
L'examen cytobactériologique des
urines, est un examen de biologie médicale,
étudiant l'urine d'un patient et déterminant notamment
la numération des hématies et des leucocytes, la
présence ou non de cristaux et de germes. Il est fréquemment
utilisé pour détecter une infection urinaire.
1-1-2-Diagnostic:
Acte médical et para médical qui permet
d'identifier la nature et la cause dont un patient est atteint.
Un diagnostique différentiel est l'acte par lequel
le médecin, observe des phénomènes révélant
un trouble de fonctionnement ou une lésion, élimine
l'hypothèse de l'existence d'une maladie proche de celle qu'il cherche
à identifier.
Le diagnostic étiologique consiste enfin à
identifier la cause de l'affection identifiée (Identification d'un
germe, mise en évidence d'un dérèglement
hormonale).
1-1-3-Inoculum :
Terme issu du latin inoculare greffer Substance introduite
par inoculation et correspondant à l'introduction dans l'organisme,
après que celui-ci ait subi une lésion ou une brèche de
ses éléments de protection (peau, système immunitaire). Le
mot inoculation s'utilise essentiellement pour traduire la
pénétration dans l'organisme de germes (bactérie, virus,
etc.) ou de toxines (substance libérée par une bactérie
pathogène) par exemple. Exemple d'inoculation
Pour des raisons expérimentales certains
spécialistes en infectiologie ont mis en évidence que pour qu'un
individu attrape la blennorragie (infection par Neisseria gonorrhoeae à
l'origine d'une inflammation de l'urètre appelée la blennorragie)
il était nécessaire d'inoculer à un individu 103 germes
pour obtenir une infection chez la moitié des individus qui se sont
portés volontaires pour être infecté
expérimentalement.
5
1-1-4-Bactérie :
Micro-organisme unicellulaire sans noyau (procaryote) dont le
génome est constitué d'ADN. La bactérie contient un seul
chromosome et éventuellement des plasmides.
1-1-5-Infections :
Une maladie infectieuse est une
maladie provoquée par la transmission d'un microorganisme:
virus, bactérie, parasite, champignon, levure.
L'étude des agents infectieux relève de
la médecine, de la microbiologie, de
l'épidémiologie et de l'éco
épidémiologie.
1-1-6-Infection urinaire :
Une infection urinaire est
définie par la colonisation des voies urinaires par des
bactéries, ce qui se traduit le plus souvent par des signes
infectieux urinaires. Elles sont très fréquentes, en particulier
chez les nourrissons et les jeunes enfants, les femmes enceintes.
Il existe deux tableaux principaux d'infection urinaire : la cystite
(infection de la vessie) et la pyélonéphrite (infection du
rein). Elles se traitent très bien par antibiotiques.
L'insuffisance ou l'absence de traitement de la pyélonéphrite
peut mener à des complications sévères). Les infections
urinaires sont les infections bactériennes les plus fréquentes
quel que soit l'âge.
1-1-7-Types d'infections urinaires :
On distingue trois types d'infections urinaires, selon
la localisation de l'infection. La cystite :
De loin la forme d'infection urinaire la plus courante, la
cystite touche presque uniquement les femmes. Il s'agit de l'inflammation de la
vessie. La plupart du temps l'inflammation est provoquée par la
prolifération de bactéries intestinales de type Escherichia coli,
qui sont nombreuses aux environs de l'anus. Les bactéries passent de la
région vulvaire à la vessie en remontant l'urètre. Tout ce
qui grne la vidange de la vessie augmente le risque de cystite. La cystite
s'accompagne normalement d'une urétrite, l'inflammation de
l'urètre.
L'urétrite :
Si l'infection touche uniquement l'urètre (le
conduit qui relie la vessie au méat urinaire), I on l'appelle
urétrite. Il s'agit d'une infection transmissible sexuellement (ITS)
courante chez les hommes, mais les femmes peuvent aussi en souffrir.
Différents agents infectieux peuvent causer l'urétrite. Les plus
communs sont la chlamydia et le gonocoque (la bactérie responsable de la
gonorrhée).
La pyélonéphrite :
La pyélonéphrite est un état plus
grave. Elle désigne l'inflammation du bassinet et du rein (du grec
puelos = bassin et nephros = reins). Celle-ci résulte
généralement d'une infection bactérienne. Il peut s'agir
d'une complication d'une cystite non traitée ou mal traitée qui
permet la prolifération des bactéries de la vessie vers les
reins. La pyélonéphrite aiguë survient surtout chez la
femme, et principalement la femme enceinte.
1-1-8-Contamination :
Contamination (de la latine souillure) est le terme
médical utilisé pour désigner l'envahissement d'un
organisme vivant ou d'une chose par des micro-organismes
pathogènes.
1-1-9-Bactériurie :
Présence des bactéries dans les urines
1-1-10-Septicémie :
C'est une fièvre continue causée par la
diffusion dans le sang de divers microbes ou des toxines
secrétées par ces microbes
Chapitre 2
7
2-1-Généralité et physiologie
2-1-1-L'appareil urinaire :
Le système ou appareil urinaire est l'un des
principaux système d'organes constitutifs du corps
humain.
Le système urinaire permet l'évacuation des
produits du catabolisme du corps humain sous forme liquide,
l'urine, et assure par conséquent, l'épuration du sang
ainsi que le maintien de l'homéostasie au sein de
l'organisme.
On peut considérer le système urinaire comme
une succession d'organes rétro et souspéritonéaux qui sont
: les deux reins, les deux uretères, la vessie,
l'urètre
2-1-2-Formation de l'urine :
Le rôle essentiel de l'appareil urinaire s est la
formation de l'urine. Il élimine du sang les déchets provenant de
la destruction des cellules de l'organisme et de la digestion des aliments on
démontre le mécanisme de la formation des urines par 3
étapes essentielles :
ü La filtration glomérulaire
ü La réabsorption tubulaire
ü La sécrétion tubulaire
2-1-3-Définition de l'urine :
Liquide organique de couleur jaune plutôt
ambré, d'odeur safranée et légèrement acide.
L'urine est sécrétée par le rein puis emmagasinée
dans la vessie entre les mictions (émissions d'urine) par
l'urètre, qui est le canal transportant les urines de la vessie vers
l'extérieur. Le rein est l'organe qui permet l'élaboration et
l'excrétion de l'urine.
2-1-4-Volume :
Le volume moyen chez la femme est de 1.4 litres/24h.des
variations physiologiques s'observent en fonction du régime (liquides)
de la taille. De l'ge du sujet, l'exercice et de la sudation sont
considérées comme anormaux des volumes inferieurs a 750 ml
(oligurie) dans plusieurs cas parmi les quelles :
- l'état de déshydratation aigue
- certaine affectation rénale
- tubule néphrite aigue d'origine infectieuse au
toxique
- période d'état des malades
infectieuse
- oligurie et supérieurs a 2500 ml (polyurie) dans :
(déficite a PH)
- le diabète insipide post hypophysaire
- diabète sucré d'origine
pondératrice
2-1-5-Aspects :
Il comporte essentiellement l'examen de la couleur,
transparence et de l'odeur : 2-1-6-L'odeur :
Initialement inodore, l'urine dégage une odeur
d'ammoniaque, suite à l'action de bactéries en
réaction avec l'oxygène. Cette odeur caracteristique
immediatement lors de l'emission d'urines est l'un des signes d'infection
urinaire. Et lorsque cette odeur apparaît suite à la conservation
de ce liquide biologique (même après quelques heures), c'est le
signe d'une multiplication microbienne importante dans les urines, ce qui rend
ce liquide vecteur potentiel de maladies ; L'odeur de l'urine peut être
forte après la consommation de certains aliments.
2-1-7- Couleur :
Elle varie du jaune ambre aux jaune citron certain
medicaments et aliments peuvent la modifier à l'état pathologie.
Elle peut se présenter en
-
:
jaune orange dans les maladies febriles aigues.
- et rouge orange : presence de sang hemoglobine.
- brune verdâtre dans certaine affection
hepatovesiculaires
2-1-8- Densité :
La densite urinaire ou poids specifique urinaire donne une
indication sur la concentration de l'urine et donc indirectement sur la
diurèse. Elle permet donc de ponderer un resultat urinaire (numeration
des leucocytes ou hematies, proteinurie, glycosurie, nitriturie) par rapport
à la concentration de l'urine.
2-1-9-PH urinaire :
Le PH de l'urine est utilise pour classer les
urines sous forme soit d'une solution diluee d'acide ou une solution de base ;
Sept est le point de neutralite sur l'echelle de pH. Plus le
pH est bas, plus l'acidite d'une solution est elevee et
vis-versa
PH de l'urine est un test de depistage important
pour le diagnostic des maladies renales, les maladies respiratoires, et de
certains troubles metaboliques
Les bacteries qui causent une infection des voies urinaires
ou de contamination bacterienne, il sera de produire une urine alcaline
Chapitre 3
9
3-1-Examen cytobactériologique des urines :
Schéma des différentes étapes
examen cytobactériologique des urines
3-1-1-Prélèvements :
3-1-2-Choix du récipient ou flacon :
Le flacon doit être en plastique ou en verre, à
vis qui doit être hermétiquement fermé. Ce flacon est
fourni par le laboratoire.
Il faut identifier ce flacon par une étiquette
contenant le nom du Patient et par la date et l'heure du
prélèvement
3-1-3-Prélèvement des urines :
a-Chez l'adulte et le grand enfant : après une
désinfection très soigneuse du méat urinaire, on recueille
les urines du matin (de préférence), en éliminant la
première partie de miction puis on met le milieu du jet dans un flacon
stérile.
b- Chez le petit enfant : on applique une poche collectrice,
qui ne doit pas être laissée en place au delà de 30
minutes.
c- Le porteur de sonde : on ponctionne la tubulure,
après une désinfection
10
3-2-Cytologie :
3-2-1-Examen cytologique :
Aspect quantitatif :
A l'aide d'un dispositif à numération type
cellule de Malassez de préférence à usage unique on
dénombre les différents éléments figurés
contenus dans un volume donné de l'urine à
étudier.
Leur nombre est rapporté au ml. A l'état
physiologique, l'urine contient moins de 10 000 leucocytes
Et 5 000 hématies par ml.
En cas d'infection urinaire, le processus
inflammatoire
Se traduit le plus souvent par la présence de
:
- > 50.000 leucocytes /ml, parfois en amas.
- > 10.000 hématies /ml témoins de
microhémorragies
- cellules du revêtement urothélial. Si la
présence de cylindres leucocytaires s'avère Importante à
prendre en compte, la notion d'altération
Des leucocytes n'amène pas d'élément
séméiologique supplémentaire
Aspect qualitatif :
L'examen du frottis réalisé à partir du
culot de centrifugation et coloré au Gram peut conforter les
données précédentes, permet d'observer les
éventuels micro-organismes présents et oriente le choix des
milieux de culture selon leurs morphologies et leurs Affinités
tinctoriales.
3-2-2-Les différents éléments qui
peuvent exister dans les urines :
On peut trouver dans les culots urinaires les
éléments suivants :
- Hématies
- Leucocytes
- Levures
- Trichomonas
- Spermatozoïdes
- Cellules épithéliales
- Cylindres
- OEufs et larves parasites
- Cristaux
3-2-2-1-Hématies (globules rouges):
Elles peuvent être:
(a) Intactes : petites disque jaunâtres, aux bords
plus colorés (8ìm).
(b) En oursins : bords avec des pointes, diamètre
réduit (5 à 6ìm).
(c) Gonflées : cercles fins, diamètre
élargi (9 à 10ìm).
Normalement, l'urine ne doit pas contenir
d'hématies.
|
|
Note : l'urine des femmes peut contenir des hématies
si l'échantillon est prélevé pendant les
règles.
3-2-2-2-Leucocytes (globules blancs) :
Ils peuvent être :
(a) Intacts : disques clairs, granuleux, de 10 à
15um, dont on peut distinguer le noyau
(b) Dégénérés : formes
altérées, volume réduit, aspect moins granuleux
(c) Sous forme de pus : forme d'amas de très nombreux
leucocytes altérés.
La présence de nombreux leucocytes, notamment en amas,
indique généralement une infection des voies urinaires.
3-2-2-3-Levures
Ne pas les confondre avec des hématies. Taille 5
à 12 um
Forme ronde ou ovale, de dimension variable en groupe.
Certaines portent des bourgeons. Elles ne sont pas solubles dans l'acide
acétique.
Elles accompagnent parfois la présence de glucose dans
les urines. Vérifier que celles-ci sont bien fraîches.
3-2-2-4-Trichomonas
Taille 15um (2 hématies)
Forme ronde, Globulaire
Membrane : Ondulante d'un seul côté Flagelles :
4 flagelles plus ou moins visibles.
Mouvement mobile dans les urines fraîches (tourne,
tourbillonne)
3-2-2-5-Spermatozoïdes :
Parfois trouvés dans les urines d'homme. Tête
très petite (5um)
Flagelle long et souple (50um)
Mouvement mobiles dans les urines très f
II
3-2-2-6-Cellules épithéliales
1. Cellules épithéliales
pavimenteuses :
Grandes cellules rectangulaires de desquamation
(Arrachées aux épithéliums qui
recouvrent Les voies et organes urinaires)
> De l'urètre
Ou du vagin.
2. Cellules de la vessie
12
Grandes cellule souvent en losange, avec un noyau bien
distinct.
3. Cellules du bassinet
Cellules de taille moyenne (comme 3 leucocytes), granuleuses
avec une de queue.
4.
Cellules de l'urètre ou de
bassinet
Cellules moyennes, ovales, à noyau bien distinct. Si
elles sont nombreuses,
accompagnées de Leucocytes et de filaments, elles
peuvent provenir de l'urètre. Si elles sont peu nombreuses, sans
leucocytes, il peut s'agir de cellules du bassinet.
5.
Cellules rénales
Les cellules rénales sont petites.
> Larges comme 1à 2 leucocytes (L)
> Très granuleuses.
Le noyau y est nettement visible, réfringent. Elles
sont presque toujours accompagnées de protéines dans
l'urine.
3-2-2-7-Cylindres
Les cylindres sont en forme de ruban cylindrique. Ils sont
longs et traversent presque le champ à l'objectif 40 x ils sont produits
en cas de maladie dans les tubules du rein qui se remplir de globules, de
cellules, de ou substances chimiques de dépôt.
1. Cylindres hyalins
Transparents et un peu réfringents, bouts ronds ou
effilés. (Ils peuvent être trouvés chez les sujets en bonne
santé, après un violent effort musculaire.)
2.
Cylindres granuleux
Cylindres assez courts, remplis de grosses granulations,
de couleur jaune clair, aux bouts arrondis. (Les granulations proviennent de
cellules épithéliales désintégrées dans les
tubules du rein.)
3. Cylindres semi-granuleux
Les granulations sont plus fines et ne remplissent pas tout
le cylindre. Ne pas confondre avec des cylindres hyalins (H), partiellement
recouverts de cristaux de phosphates amorphes.
14
4. Cylindres
hématiques
Cylindres remplis d'hématies plus ou moins
altérées, de couleur brun~tre.
5. Cylindres leucocytaires
Cylindres remplis de leucocytes altérés.
Lorsqu'il s'agit de pus, les cylindres sont totalement remplis de leucocytes
(a).
Les cylindres hyalins peuvent ne contenir que quelques
leucocytes (b).
6. Cylindres
épithéliaux
Cylindres remplis de cellules épithéliales
de couleur jaune pâle.(Pour mieux voir les cellules, ajouter au culot 1
goutte d'acide acétique à 10%)
7.
Cylindres graisseux (rares)
Cylindres très réfringents,
jaunâtres, aux bords nets et dentelés, aux bouts bien arrondis,
ils sont solubles dans l'éther mais pas dans l'acide acétique.
(Ils sont trives dans les cas d'affection grave du rein.)
8. Faux cylindres
Ne pas prendre pour des cylindres :
Ø Des amas de grains de phosphates, courts et
coupés nets(a)
Ø Des amas de mucus clair, aux
extrémités filamenteuses (b)
9. Corps étrangers
Si l'on utilise des récipients ou des lames
souillées, ou si les urines ont été laissées
à l'air libre, on peut y trouver divers corps étrangers :
(a) Gouttes d'huiles (réfringentes)
(b) Grains d'amidon (colorés en bleu-noir par le
lugol)
(c) Grains de pollen des fleurs
(d) Poils
(e) Fibres de coton
(f) Bulles d'air
3-2-2-8-OEufs et larves de parasites
1.
OEufs de schistosoma haematobium : trouvés
avec des hématies.
2. Microfilaires de W. bancrofti : les urines
sont blanchâtres et troubles.
3-2-2-9-Cristaux
Les cristaux ont des formes géométriques
précises (A), à la différence des sédiments
amorphes, constitués par de petites
granulations agglomérées, sans forme bien
définie (B)
|
|
a) SEDIMENTS CRISTALLISES NORMAUX
1. Oxalate de calcium (urine
acide)
(a) Forme en enveloppe de lettre Taille 10 à 20 ,um
(1 à 2 hématies) Ou
(b) Forme en arachide
Taille environ 50,um, très réfringent.
|
|
2. Acide urique (urine acide)
Forme variable (carrée, en losange, cubique ou en
fleur).
Taille 30 à 150,um
Couleur jaune ou brun-rougeâtre.
|
|
3. Phosphates triples (urine neutre ou alcaline)
16
Forme rectangulaire (1) ou en feuille de fougère, en
étoile (2)
Taille 30 à 150,um
Couleur incolore, réfringent.
|
|
4. Urates (urine alcaline)
Forme en cactus (1) ou comme un paquet d'aiguilles
(2)
Taille environ 20um (2 à 3 hématies).
Couleur jaune, réfringent.
5. Cristaux plus rares
A. Phosphate bi calcique (urine neutre ou
alcaline)
Forme en étoile Taille 30 à 40 um Couleur
incolore
|
|
B. Carbonate de calcium (urine neutre ou alcaline)
Cristaux très petits, en forme de grain de mil, de
blés, groupés par 2
Couleur incolore.
(Si ou ajoute de l'acide acétique à 10%, ils se
dissolvent en dégageant des bulles de gaz.)
C. Sulfate de calcium (urine acide)
Forme prismes longs ou lames plates, isolés ou en
paquet
Taille 50 à 100 um
(On peut les différencier des cristaux de phosphate
bi calcique en mesurant le PH de l'urine.)
|
|
b) sédiments amorphes
1. Phosphates amorphes (urine
alcaline)
Granulations petites, blanchâtres, souvent
dispersées.
Ils sont solubles dans une solution
d'acide acétique à 10% (1 goutte par goutte de culot).
2. Urates amorphes (urine acide)
|
|
Granulations très fines, jaunâtres,
rassemblées en paquets compacts.
Ils ne sont pas solubles dans l'acide acétique
à 10%, mais ils se dissolvent si l'urine est faiblement
chauffée.
(L'urine conservée au réfrigérateur
présente souvent un précipité abondant d'urates.)
c) autres sédiments
cristallins:
Ils sont rarement rencontrés les urines, mais
lorsqu'il s'en trouve, ils sont en grande quantité.
1. Cystine (urine acide)
Forme plaques hexagonales
Taille 30 à 60um
Couleur incolore, très réfringente.
Trouvées dans l'ammoniaque. (Trouvées en cas de cystinurie,
maladie héréditaire.)
18
2. Cholestérol (urine acide)
Forme plaques plus ou moins carrées, avec un
côté en escalier
Taille 50 à 100um
Couleur incolore, réfringent.
Solubles dans l'éther.
|
|
3. Bilirubine (très rare)
Forme très petits cristaux de forme variable, petites
boules, carrés ou aiguilles
Taille 5um (environ1/2 hématie)
Couleur brune.
(La recherche chimique des pigments biliaires est
positive.)
|
|
4. Sulfamides (urine neutre ou acide) :
Chez les malades traies aux sulfamides.
Cristaux de forme très variable, mais le plus
souvent comme des faisceaux d'aiguilles. Si l'on observe de grandes
quantités de cristaux non identifiés, s'informer si le malade est
traité aux sulfamides.
Leur présence doit être signalée, car ils
peuvent endommager le rein.
20
3-3-Bactériologie :
3-3-1-Méthodes de cultures :
Choix des milieux :
Milieux non
chromogènes
Les milieux les plus usuels étaient adaptés
à la croissance des entérobactéries + indicateur de
l'attaque du lactose permettant une différenciation des colonies
*non sélectifs: CLED, milieu lactose au
bromocrésol pourpre BCP
OU
*sélectifs: géloses Mac Conkey / GS+ANC
Milieux chromogènes :
Utilisation des substrats synthétiques qui sont des
analogues structuraux d'une molécule naturellement clivée par une
enzyme caractéristique d'une espèce bactérienne ou d'un
groupe d'espèces bactériennes
Le substrat clivé acquiert des
propriétés chromogéniques et précipite en colorant
la colonie sans diffuser dans la gélose
La plupart des milieux chromogènes utilisent un jeu
de différents substrats permettant une bonne différenciation des
colonies et une identification présomptive de ou des espèces
bactériennes présentes dans l'urine
Mode d'ensemencement :
L'ensemencement doit répondre au double but de
dénombrer les
Bactéries et d'isoler la ou les bactéries en
cause en obtenant des colonies bien Distinctes les unes des autres.
Méthode originale de KASS
:
On fait des dilutions en série de 10 en 10, Un volume
connu de Chaque dilution est étalé sur une boîte de
pétri
Méthode simplifiée de Veron :
L'urine est diluée au 1/100 en eau distillée
stérile. On étale 0,1 ml de Cette dilution. Une colonie
correspond à 1000 bactéries par ml.
Méthode de la lame immergée
:
Dans l'urine préalablement diluée
Au 1/1000.
Elle permet l'ensemencement des urines dès
l'émission. L'urine
Fraîchement émise est versée dans un pot
a spatule (pot a selles). La spatule (Qui retient 40 ul d'urine environ) est
agitée dans un flacon-diluant contenant 40 ml d'eau stérile. La
lame est immergée dans cette dilution. Une colonie Correspond a 4.104
bactéries par ml.
3-3-2-Coloration :
Réalisation du frottis :
ü sur une lame bien dégraissée a la
chaleur ou a l'alcool :
ü déposer une goutte d'eau
distillée
ü Ajouter a l'anse de platine
stérilisée une goutte d'une colonie isolée
ü Étaler et fixer a la chaleur a environ
40°C pendant 10 a 15 minutes
ü Poser la lame séchée sur le portoir
reposant sur un bac de coloration
Coloration de Gram :
La coloration de gram doit son nom au
bactériologiste danois Hans Christian Gram qui mit au point le
protocole en 1884. C'est une coloration qui permet de mettre en évidence
les propriétés de la paroi bactérienne, et
d'utiliser ces propriétés pour les distinguer et les classifier.
Son avantage est de donner une information rapide sur les bactéries
présentes dans un produit ou un milieu tant sur le type que sur la
forme.
Voici successivement les différentes étapes de
cette coloration :
ü Coloration par le violet de gentiane ou
cristal violet. Laisser agir de 30 seconds
ü Rincer a l'eau
déminéralisée
ü Mordançage au luge (solution
d'iode iodo-iodurée): étaler le lugol et laisser agir 1
munite
ü Rincer a l'eau
déminéralisée
ü Décoloration (rapide) à
l'éthanol (95%) verser goutte à goutte, et surveiller la
décoloration (5 a 10 secondes). Le filet doit être clair a la fin
de la décoloration.
ü Rincer a l'eau
déminéralisée
ü Recoloration a la safranine ou a la
fuchsine. Laisser agir de 30 secondes a 1 minute
ü Laver doucement a l'eau
déminéralisée. Sécher la lame sur une platine
chauffante a 40°C, 10 a 15 minutes.
ü Observer avec une goutte d'huile a immersion objectif
100 (grossissement x1000).
Schéma représentant la coloration de
gram
22
3-3-3-Identification biochimique :
L'identification biochimique est un examen qui permet
d'identifier une bactérie en s'appuyant sur ces caractères
biochimiques.
Les galeries d'identification biochimique permettent une
identification rapide des bactéries.
question
Pour notre recherche on site :
La galerie classique : Le milieu TSI :
Le milieu TSI est un milieu glucosé saccharose,
contenant du citrate de fer ammoniacal. C'est un milieu que permet la recherche
de plusieurs caractères biochimiques. Il est très utilisé
dans l'indentification des enterobacteriaceae.
Ensemencement
|
Mode d'action
|
Caractères
recherchés
|
Résultats
|
ensemencer
|
mettre à l'étuve
|
utilisation du
|
le lactose a fermenté :
la
|
abondamment la surface par stries
|
24h à 37°C.
|
glucose, utilisation du
|
surface inclinée vire au jaune. Dans le cas
|
serrées ou par inondation, puis
|
|
lactose, utilisation du
|
contraire, sa couleur reste inchangée.
|
le culot par
|
|
saccharose,
|
Le glucose a fermenté :
|
simple piqûre, à l'aide de la
méme
|
|
production de gaz, production
|
le culot vire au jaune, dans le cas contraire, sa
|
pipette boutonnée.
|
|
??2?? .
|
couleur reste inchangée.
|
Il est important de ne pas oublier de
dévisser
partiellement la capsule afin de permettre les
échanges gazeux
|
|
|
S'il y à production de gaz, il est possible
d'observer, soit
seulement quelques bulles, soit une poche gazeuse qui
décolle complètement le milieu de fond du tube.
|
|
|
|
La production d'?????? se
traduit par un noircissement du milieu dans la zone joignant
le culot à la pente.
|
|
24
Le milieu citrate de Simmons
:
Ce milieu permet de mettre en évidence
l'utilisation du citrate comme seule source de carbone et d'énergie. Ce
caractère est intéressant pour discriminer les bactéries
entre-elles et ainsi de les identifier.
Le milieu de mannitol mobilité
:
Milieu d'ONPG :
Ce test permet de rechercher la présence d'une enzyme
intracellulaire
â-galactosidase (ONPG hydrolase) qui permet
l'hydrolyse du lactose en glucose et galactose.
Une bactérie lactose- peut l'~tre pour 2 raisons
:
ü Absence de â-galactosidase.
ü Absence de â-galactoside
perméase
Le test ONPG permet de recherche directement la
présence de â-galactosidase en fournissant à la
bactérie un substrat de cette enzyme :
L'orthonitrophényl-
â-D-galactopyranoside.
26
Milieu de clarck et lubs :
Réaction de vosges-proskauer(VP)
: au cours de la fermentation butène glycolique, les
bactéries produisent de l'acétine. En présence base forte
et á-naphtol, l'acétoine donne une coloration rouge en milieu
très oxygéné.
Réaction ou rouge de méthyle (RM)
: c'est la mise en évidence de l'acidification finale
d'un milieu glucosé après fermentation des mixtes.
Milieu gélatinase :
Principe : la gélatinase est une protéase :
c'est une enzyme qui hydrolyse le collagène (gélatine) en acides
aminés ou en peptides. On met en présence des bactéries et
un morceau de gélatine renfermant de petites partiales.
La liquéfaction d'un morceau de gélatine
lorsqu'il est mis en présence de bactéries traduit donc la
synthèse d'une gélatinase.
Milieu urée-indole :
Le milieu urée-indole ou urée-tryptophane est
un milieu synthétique complexe fournissant un ensemble de
résultats utiles à l'densification des
entérobactéries et autre bactéries.
Il permet la recherche de 3 activités
enzymatique
> L'uréase
> Le tryptophane désaminase (TDA)
> La production d'indole gr~ce à un
tryptophane
Recherche de l'uréase :
28
NB : les bactéries ne
se multiplient pas dans ce milieu car il n'y a pas de source de carbone. Il est
donc nécessaire de l'ensemencer abondamment comme il n'y a pas de
peptones, l'alcalinisation du milieu est due à l'hydrolyse de
l'urée.
Recherche de la TDA :
Répartir le milieu urée-indole dans 2 tubes
à hémolyse distincts : > L'un servira à la recherche de
la TDA.
> L'autre servira pour la recherche de la production
d'indole.
Recherche de l'indole :
Prendre le tube à hémolyse restant et effectuer
la recherche :
La galerie Api 20
E:
La galerie API 20E compote 20 microtubes contenant des
substrats sous forme déshydratée, Les tests sont inoculés
avec une suspension bactérienne qui reconstitue les milieux. Les
réactions produites pendant la période d'incubation se traduisent
par des virages colorés spontanées ou
révélés par l'addition de réactifs
Micro tube contenant le milieu
déshydraté
Image de la galerie Api 20 E
Technique :
Préparation de l'inoculum :
Faire une suspension bactérienne, dans une ampoule de
Suspension Medium ou dans un tube
D'eau distillée stérile, d'opacité
légère avec une seule colonie prélevée sur un
milieu L gélosé.
Inoculation de la galerie
:
Remplir les tubes et les cupules des tests : CIT, VP, GEL
avec la suspension bactérienne.
Remplir uniquement les tubes des autres tests.
Créer une anaérobiose dans les tests : ADH,
LDC, ODC, URE, H2S en remplissant leur Cupule d'huile de paraffine.
Refermer l boîte d'incubation et la placer à
35-37°C pendant 18 à 24 heures.
Lecture :
La lecture de ces réactions se fait à l'aide du
Tableau de lecture et l'identification est obtenue à l'aide du tableau
d'identification ou gr~ce a un logiciel d'identification.
30
3-3-4-Principaux germes responsables des infections
urinaires :
Les entérobactéries :
La famille des entérobactéries se
définit par les caractères suivants :
V' bacilles à Gram négatif (2 à 4
microns de long sur 0,4 à 0,6 microns de large),
V' mobiles avec ciliature péritriche ou
immobiles,
V' poussant sur milieux de culture ordinaires,
V' aérobies - anaérobies facultatifs,
V' fermentant le glucose avec ou sans production de
gaz,
V' réduisant les nitrates en nitrites,
V' oxydase négatif.
Les entérobactéries sont une famille
très hétérogène pour ce qui est de leur
pathogénie et de leur
Écologie. Les espèces qui composent cette
famille sont en effet soit parasites (Shigella, Yersinia
pestis), soit commensales (Escherichia coli, Proteus
mirabilis, Klebsiella sp), soit encore saprophytes
(Serratia sp, Enterobacter sp).
Les entérobactéries concernées par
l'infection urinaire sont :
E. coli :
Escherichia coli (bacille Gram négatif) est une
entérobactérie mobile caractérisée par :
· Fermentation du glucose ++
· Production d'indole ++
· Ne possède pas d'uréase
· Ne produit pas d' H2S ;
· Incapable d'assimiler le citrate comme
seul source de carbone en aérobiose
(citrate -)
· Pas de test ONPG car lactose +
· TDA -
· Indole +++
· VP-
Proteus :
Bacille en forme de bâtonnet, à Gram
négatif, mobile, aérobie, envahissement caractéristique
des cultures; fait partie de la flore normale du tube digestif
· fermentation des sucres : glucose+
· réduction des nitrates en nitrites : NO3+ (NR
+)
· métabolisme du tryptophane en indole :
ind-
· ONPG-
· ornithine décarboxylase : ODC+
· H2S+
· uréase+
· TDA+
· VP- donc RAI +
· Lactose-
· Saccharose -
· PADA +
· LDA +
· LDC -
Klebsiella spp :
Les Klebsiella sont des Enterobacteriaceae
· bacilles gram négatif, immobiles
· Capsulées (sauf 6 % des souches de K.
pneumoniaesubsp. pneumoniae). Elles font partie du groupe "KESH"
(Klebsiella, Enterobacter, Serratia
et Hafnia mais rare.),
· Elles fermentent le glucose par la voie du
butan-2,3-diol avec production de gaz.
· ODC négative,
· ADH négative,
· TDA négative
· PDA négative.
· VP positif caractère
clé.
· Antibiotiques actifs contre klebsiella
Sulfapyridine
32
Enterobacter spp :
Les Enterobacters sont des Enterobacteriaceae a VP (+),
voisines des Klebsiella dont
Elles se distinguent par leur mobilité, par la
présence d'une ODC, parfois d'une ADH Et par l'absence d'uréase.
La TDA, la DNase, la production d'indole et sont Négatives
L'espèce des entérobacters responsable des
infections urinaires est enterobacter aérogènes il est
caractérisé par : LDC, ODC, SORBITOL positive
A part les
entérobactéries on trouve d'autres
bactéries concernées par l'infection urinaire.
Staphylococcus :
(Surtout chez la femme jeune)
Les bactéries du genre Staphylococcus sont des coques
(cocci) à Gram positif, groupés en amas
Ayant la forme de grappes de raisin, immobiles, non
sporulés, catalase positive et oxydase négative.
Parmi les 27 espèces du genre actuellement
répertoriées, les principales sont Staphyloccus aureus.
Pseudomonas :
Les bactéries du genre
Pseudomonas peuvent être définies par :
· Bacilles à Gram négatif,
oxydase + ;
· Aérobies stricts (Respiration nitrate
chez certaines espèces) ;
· Dégradant le glucose par respiration
aérobie ou inerte vis-à-vis du glucose. Ils
n'attaquent pas les sucres ou les attaquent par voie oxydative et non
fermentative ;
· Généralement mobiles par ciliature
polaire (monotriche ou lophotriche).
· Peu exigeantes, cultivant à 30 °C
;
· Indole - ;
· Asporulés ;
· Colonies souvent pigmentées
Ce genre comprend plus d'une centaine
d'espèces ubiquitaires (dont l'espècetype est
Pseudomonas aeruginosa généralement dénommé
Bacille pyocyanique) cependant de nombreuses espèces sont en cours
d'exclusion
(De par les progrès de la
phylogénétique) et réduire leur nombre à une
soixantaine d'espèces.
Entérocoques spp :
Les entérocoques sont des cocci à Gram
positif, disposés en diplocoques, commensaux du tube digestif.
Ils sont responsables d'infections urinaires et
d'endocardites. Les plus fréquemment isolés
Sont Enterococcus faecalis et à un moindre
degré Enterococcus faecium.
Les entérocoques poussent sur milieu ordinaire, sur
milieu hostile (NaCl 6,5 %, bile) et appartiennent
Au groupe D de Landefeld. Ils sont bien moins sensibles aux
antibiotiques que les autres streptocoques
Et en 1986 les premières souches
d'entérocoques résistant aux glycopeptides (Vancomycine,
téicoplanine) ont été isolées.
3-3-5-Antibiogramme :
Définition : Un
antibiogramme est une technique de laboratoire visant à tester la
sensibilité d'une bactérie vis-à-vis d'un ou plusieurs
antibiotiques.
Principe :
Le principe consiste à placer la culture de
bactéries en présence du ou des antibiotiques et à
observer les conséquences sur le développement et la survie de
celle-ci.
Il existe trois types d'interprétation selon le
diamètre du cercle qui entoure le disque d'antibiotique : souche ou
bactérie sensible, intermédiaire ou résistante.
Technique :
34
Fiche Technique d'Antibiogramme
3-3-6-Bandelette :
Les bandelettes urinaires permettent de détecter
l'activité leucocyte estérase traduisant la présence de
leucocytes et la production de nitrites traduisant une
acti bactérienne elles recueillent donc des signes indirects
d'infection et ont une bonne valeur d'orientation.
Elément
|
Principe de la méthode
|
Seuil de détection
|
Leucocytes
|
Mise en évidence de l'activité des II
estérases granulocytaires. 11
|
10 leucocytes / ìl
11
|
Nitrites
|
Mise en évidence des nitrites donc
indirectement des germes nitrites
positifs (Entérobactéries). 11
|
0,3 mg/l (7 ìmol/l) 11
|
PH
|
Mise en évidence du pH par la
présence de 2 indicateurs : le rouge
de méthyle et le bleu de bromothymol.
11
|
5,0
11
|
Protéines
|
Mise en évidence de l'albumine gr ce
au virage d'un indicateur de pH 11
11
|
60 mg/l (albumine) 11
|
Glucose
|
Mise en évidence du glucose par la
méthode glucoseoxydase/
|
0,4 g/l (2,2 mmol/l) 11
|
|
36
peroxydase.
|
|
Corps cétoniques
|
Mise en évidence des corps
cétoniques par le principe de la
réaction de Légal (détection de
l'acide acétylaétique).
|
0,05 g/l (0,5 mmol/l)
|
Urobilinogène
|
Mise en évidence de l'urobilinogène
grâce à un sel de diazonium stable
qui forme un dérivé azoïque
rouge.
|
4 mg/l (7 ìmol/l)
|
bilirubine
|
Mise en évidence d'un sel de
diazonium avec la bilirubine.
|
84 mg/l (14 ìmol/l)
|
Sang (2échelles, une pour érythrocytes, une
pour hémoglobine)
|
Mise en évidence de l'hémoglobine et
de la myoglobine par l'oxydation de
l'indicateur par l'hydroperoxyde
organique.
|
érythroc ytes
|
> 5 érythrocyte-s ytes /
ìl
|
|
> 10 érythrocytes /
ìl
|
|
Partie pratique
Chapitre 1
1-1-Méthodologie de recherche
1-1-1-Objectif de la recherche :
Notre étude vise à atteindre les objectifs
suivant :
- Mesurer l'importance des bonnes pratiques de l'E.C.B.U
afin de donner un résultat fiable
· Les bonnes étapes
1-1-2-Population cible :
En tenant compte des résultats de certains
laborantins exerçant dans l'établissement public hospitalier de
Skikda au service de laboratoire unité de bactériologie. Le choix
de service a été sur leur dotation en moyens humaines et
matériels et état le service on fait mon stage.
1-1-3-Outil de l'enquête :
Pour réaliser notre étude, il nous a
été nécessaire de choisir des utiles les plus
adaptés au recueil des informations utile étude. Le document
questionnaire élaboré comporte des questions fermées et
des questions semi ouvertes.
1-1-4-Lieu de l'enquête :
Notre étude, a été effectuée
dans l'établissement public hospitalier de Skikda au service de
laboratoire unité de bactériologie.
· Le choix se service est base sur notre thème
de recherche
38
1-1-5-Echantillonnage :
Parmi les 27 questionnaires que j'ai les adressés aux
personnels de laboratoire j'ai
enquête. Informati
Service
|
Grade
|
Expérience
|
Labo
|
L.D.E
|
24 ans
|
Labo
|
L.D.E principale
|
20 ans
|
Labo
|
L.D.E principale
|
27 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
05 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
03 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
03 ans
|
Labo
|
D.E.S en biochimie
|
03 ans
|
Labo
|
T.S.S
|
26 ans
|
Labo
|
T.S.S
|
16 ans
|
Labo
|
T.S.S
|
26 ans
|
Labo
|
D.E.S
|
14 ans
|
Labo
|
D.E.S
|
18 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
14 ans
|
Labo
|
L.D.E principale
|
24 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
05 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
05 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
03 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
05 ans
|
Labo
|
D.E.S
|
05 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
03 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
03 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
05 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
03 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
27 ans
|
Labo
|
L.D.E
|
05ans
|
Labo
|
L.D.E
|
03 ans
|
Labo
|
T.S.S
|
15 ans
|
Chapitre 2
2-1-Recueil des données et interprétation
des résultats :
2-1-1-Recueil des données :
Question N°01 : Quel est la conduite
à tenir devant un prélèvement contaminé ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
|
|
Refaire
|
26
|
96%
|
Numération et prise en considération des
bactéries les plus dominantes
|
01
|
04%
|
4%
96%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 01
Question N°02 : La
numération des leucocytes et des bactéries est t'elle
indispensable dans un E.C.B.U ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Oui
|
24
|
88%
|
Non
|
03
|
12%
|
88%
12%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 02
Question N°03 : Quand on peut dire
qu'il ya une infection bactérienne dans un
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Présence de leucocytes
|
00
|
00%
|
Présence de bactéries
|
00
|
00%
|
Présence de leucocytes et bactéries
|
13
|
48%
|
Bactéries > 105 /ml, leucocytes >103
|
14
|
52%
|
prélèvement urinaire ?
0% 0% 48% 52%
40
Diagramme circulaire représentant les
résultats de la question 01
Question N°04 : La coloration de
gram est t'elle indispensable dans un E.C.B.U ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
|
Pourcentage
|
Oui
|
19
|
70%
|
Non
|
11
|
30%
|
70%
30%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 04
Question N°05 : Combien de milieu
de culture utilise tant dans un E.C.B.U ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
1
|
08
|
30%
|
2
|
03
|
11%
|
3
|
16
|
59%
|
|
|
|
30% 11% 59%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 05
Question N°06 : Qu'elle est le
milieu ou les milieux de cultures utilisées dans E.C.B.U ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Gélose nutritive
|
27
|
Gélose au sang
|
03
|
Héctoen
|
14
|
Chapman
|
17
|
BCP
|
03
|
MH
|
01
|
Maconkey
|
01
|
Gélose nutritive
Gélose au sang
Héctoin Chapman BCP
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 06
Question N°07 : En cas de
contamination la culture est t'elle nécessaire?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Oui
|
04
|
17%
|
Non
|
19
|
83%
|
83%
17%
42
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 07
Question N°08 : En cas d'obtenir
une galerie biochimique a cheval qu'elle la conduite à tenir ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
5efEIreIlJefEPIQ
|
19
|
73%
|
Repiquage
|
07
|
27%
|
73%
27%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 08
Question N°09 : La galerie
classique est t'elle suffisante pour identifier une bactérie ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Oui
|
16
|
59%
|
Non
|
11
|
41%
|
41%
59%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 09
Question N°10 : Qu'elle la
conduite a tenir devant un conflit d'identification entre la galerie classique
et l'antibiogramme (résistance naturelle d'une bactérie a un
antibiotique) ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Refaire la galerie
|
07
|
25%
|
Prendre en considération que l'antibiogramme
|
09
|
33%
|
Refaire l'examen
|
11
|
41%
|
25% 33% 41%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 10
Question N°11 : La
compétence technique vous parait t'elle une condition essentielle pour
un résultat fiable ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Oui
|
26
|
96%
|
Non
|
01
|
04%
|
4%
96%
44
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 11
Question N°12 : Est ce que Les
bandelettes urinaires permettent de détecter l'activité
leucocytaire ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Oui
|
23
|
88%
|
Non
|
03
|
12%
|
88%
12%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 12
Question N°13 : Est-ce que une
bandelette négative nous permet de dire que l'infection urinaire est
très peu probable ?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Oui
|
15
|
56%
|
Non
|
12
|
44%
|
44%
56%
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 13
Question N°14 : En revanche est ce
qu'une bandelette positive ne suffit pas à affirmer l'infection urinaire
?
Catégorie des réponses
|
Répartition des réponses
|
Nombre
|
Pourcentage
|
Nécessite une uroculture
|
25
|
93%
|
Ne nécessite pas une uroclture
|
02
|
7%
|
93%
7%
46
Diagramme circulaire représentas les
résultats de la question 14
2-1-2-Analyse et interprétation des résultats
:
1- Quel est la conduite à tenir devant un
prélèvement contaminé ? o Refaire
o Numération et prise en considération des
bactéries les plus dominantes Correspondant à
Hypothèses N°1
2- La numération des leucocytes et des bactéries
est t'elle indispensable dans un E.C.B.U ?
o Oui
o Non
Correspondant à Hypothèses
N°1
3- Quand on peut dire qu'il ya une infection bactérienne
dans un prélèvement urinaire ?
o Présence de leucocytes
o Présence de bactéries
o Présence de leucocytes et bactéries o
Bactéries > 105 /ml, leucocytes
>103 Correspondant à Hypothèses
N°1
4- La coloration de gram est t'elle indispensable dans un E.C.B.U
? o OUI
o NON
Correspondant à Hypothèses
N°1
5- Combien de milieu de culture utilise tant dans un E.C.B.U ?
o 1
o 2
o 3
Correspondant à Hypothèses
N°1
6- Qu'elle est le milieu ou les milieux de cultures
utilisées dans E.C.B.U ?
Correspondant à Hypothèses
N°1
7- En cas de contamination la culture est t'elle
nécessaire? o Oui
o Non
Correspondant à Hypothèses
N°1
48
8- En cas d'obtenir une galerie biochimique a cheval qu'elle la
conduite à tenir ?
o Refaire l'examen
o Repiquage
9- La galerie classique est t'elle suffisante pour identifier
une bactérie ?
o Oui
o Non
Correspondant à Hypothèses
N°1
10- Qu'elle la conduite a tenir devant un conflit
d'identification entre la galerie classique et l'antibiogramme
(résistance naturelle d'une bactérie a un antibiotique) ?
o Refaire la galerie
o Prendre en considération que l'antibiogramme
o Refaire l'examen Correspondant à
Hypothèses N°1
11- La compétence technique vous parait t'elle une
condition essentielle pour un résultat fiable ?
o Oui
o Non
Correspondant à Hypothèses
N°1
12- Est ce que Les bandelettes urinaires permettent de
détecter l'activité leucocytaire ?
o Oui
o Non
Correspondant à Hypothèses
N°2
13- Est-ce que une bandelette négative nous permet de
dire que l'infection urinaire est très peu probable ?
o Oui
o Non Correspondant à Hypothèses
N°2
14- En revanche est ce qu'une bandelette positive ne suffit pas
à affirmer l'infection urinaire ?
o Nécessite une uroculture
o Ne nécessite pas une uroclture
Correspondant à Hypothèses N°2
2-3-Discussion et vérification des
hypothèses :
La recueil des réponse aux questions N°
:1,2,3,4,5,6,7,8,9,10,11
> Vise l'importance de l'application de la technique
standard en vue des laborantins
Le recueil des réponses aux questions N° :12,
13,14
> Vise l'importance du teste de la bandelette urinaire en
qualité d'examen de orientation et confirmation
Conclusion
50
Durant notre stage pratique au sein de l'hôpital de Skikda
on a conclue que :
> La bonne application des étapes du protocole
standard de L'E.C.B.U conduite surement a un résultat fiable, rapide et
efficace.
> La bonne application du protocole standard consiste a :
- Une excellente manipulation du laborantin
- Une bonne connaissance théorique et technique.
- Apporter au laborantin les conditions et les moyens afin qu'il
peut donner le mieux de lui-même dans son travail
> Enfin ; dans notre étude on a pris comme exemple
l'examen cytobactériologique des urines mais on peut faire une
projection de cette étude sur tous les examens du laboratoire, on
affirme que pour un résultat fiable il faut une bonne application du
protocole ou la fiche technique.
Annexe
Questionnaire
Corps : laborantins Grade :
Expérience :
Dans le cadre de notre travail de recherche pour l'obtention
du diplôme d'état en laboratoire médicale, on vous
sollicite de bien vouloir répondre à ces questions dans
l'anonymat avec nos sinc~res remercîment pour votre collaboration
15- Quel est la conduite à tenir devant un
prélèvement contaminé ?
o Refaire
o Numération et prise en considération des
bactéries les plus dominantes
16- La numération des leucocytes et des bactéries
est t'elle indispensable dans un E.C.B.U ?
o Oui
o Non
17- Quand on peut dire qu'il ya une infection bactérienne
dans un prélèvement urinaire ?
o Présence de leucocytes
o Présence de bactéries
o Présence de leucocytes et bactéries
o Bactéries > 105 /ml, leucocytes
>103
18- La coloration de gram est t'elle indispensable dans un
E.C.B.U ?
o OUI
o NON
19- Combien de milieu de culture utilise tant dans un E.C.B.U
?
20-
52
Qu'elle est le milieu ou les milieux de cultures utilisées
dans E.C.B.U ?
21- En cas de contamination la culture est t'elle
nécessaire?
o Oui
o Non
22- En cas d'obtenir une galerie biochimique a cheval qu'elle la
conduite à tenir ?
o Refaire l'examen
o Repiquage
23- La galerie classique est t'elle suffisante pour identifier
une bactérie ?
o Oui
o Non
24- Qu'elle la conduite à tenir devant un conflit
d'identification entre la galerie classique et l'antibiogramme
(résistance naturelle d'une bactérie a un antibiotique) ?
o Refaire la galerie
o Prendre en considération que l'antibiogramme
o Refaire l'examen
25- La compétence technique vous parait t'elle une
condition essentielle pour un résultat fiable ?
o Oui
o Non
26- Est ce que Les bandelettes urinaires permettent de
détecter l'activité leucocytaire ?
o Oui
o Non
27- Est-ce que une bandelette négative nous permet de
dire que l'infection urinaire est très peu probable ?
o Oui
o Non
28- En revanche est ce qu'une bandelette positive ne suffit pas
à affirmer l'infection urinaire ?
o Nécessite une uroculture
o Ne nécessite pas une uroclture
Schéma des différentes étapes examen
cytobactériologique des urines dans la page 08 Schéma
représentant la coloration de gram dans la page 20
Image de la galerie Api 20 E dans la page 26
) IFh1-111-11CiUX1- ASCtiEiRILLPP1- dans la page 30
Bibliographic
54
v' Bactériologie médicale 2eme édition
/léon le minor & michel véron/1989 v' Microbiologie
pratique pour le laboratoire médicale /delaras c/2007
V' Bactériologie clinique /avril j.l/1992
v' Mémoire de fin d'étude « l'examen
cytobactériologique des urines »/achouche charazed & bouchazia
sassia/université mentouri -Constantine -/2006
V' Larousse médicale /édition 2000
V' bactériologie/université paris-vi pierre et
marie curie-faculté de médecine
Pitié-Salpêtrière/2002-2003
|