ANNEXES
Annexe 1: Détails de
la méthodologie
Stationnarité :
Avant tout traitement économétrique, il
convient de s'assurer de la stationnarité des variables retenues car la
stationnarité constitue une condition nécessaire pour
éviter les relations fallacieuses. Les tests de racine unitaire
permettent de mettre en évidence le caractère stationnaire ou non
d'une chronique par la détermination d'une tendance déterministe
ou stochastique.
Un processus est dit stationnaire si tous ces moments sont
invariants pour tout changement de l'origine du temps. Il existe deux types de
processus non stationnaires. Les processus TS (Trend Stationnary Process) qui
présentent une non stationnarité de type déterministe et
les processus DS (Difference Stationnary Process) pour lesquels la
stationnarité est de type aléatoire. Ces processus sont
respectivement stationnarisés par écart à la tendance et
par un filtre aux différences permettant de déterminer l'ordre
d'intégration de la variable.
Les tests de Dickey-Fuller, Dickey-Fuller Augmenté et
de Phillips-Perron permettent de rendre compte de la stationnarité ou
non d'une série. Le test de Dickey-Fuller Augmenté a
été proposé pour améliorer le test de Dickey-Fuller
en prenant en compte le fait que les erreurs ne soient pas des bruits blancs
mais puissent être corrélées. Le test de Phillips-Perron
intègre en complément
l'hétéroscédasticité des erreurs.
Afin de discriminer entre les deux types de processus et
d'appliquer la méthode de stationnarité adéquate, nous
utilisons le test de Dickey-Fuller (ADF) (qui permet de déterminer
l'ordre de différentiation d'une série macro-économique
suivant son évolution au cours du temps) et le test de Phillips-Perron
(qui englobe les autres tests). Il faut bien noter que le test d'ADF a
été mené en tenant compte des trois modèles
suivantes :
Modèle (3) modèle avec constante et
avec tendance:
,
Modèle (2) modèle avec constante
et sans tendance:
, et le
Modèle (1) modèle sans constante
et sans tendance :
.
Rappelons que avant tout traitement, il convient de
déterminer le retard p optimal. Il s'agit de celui qui minimise les
critères d'information d'Akaike (AIC) et de Schwartz. La connaissance de
ce retard est en effet nécessaire pour les étapes suivantes.
Test de stationnarité
On teste l'hypothèse nulle ?=o (non
stationnarité) contre l'hypothèse alternative ? < 0 en se
référant aux valeurs tabulées par Dickey et Fuller. Dans
la mesure où les valeurs critiques sont négatives, la
règle de décision est la suivante :
- Si la valeur de la t-statistique associée à ?
est inférieure à la valeur critique, on rejette
l'hypothèse nulle de non stationnarité.
- Si la valeur calculée de la t-statistique
associée à ? est supérieure à la valeur critique,
on accepte l'hypothèse nulle de non stationnarité.
Il est fondamental de noter que l'on n'effectue pas le test
sur les trois modèles. Il convient en effet d'appliquer le test de
Dickey-Fuller à un seul des trois modèles.
Etape 1 : On estime le modèle 3. On
commence par tester la significativité de la tendance. Deux cas peuvent
se présenter :
- Si la tendance n'est pas significative, on passe au
modèle 2.
- Si la tendance est significative, on a deux
possibilités :
- Si l'on accepte l'hypothèse nulle,
c'est-à-dire que est non stationnaire, dans ce cas, il faut la
différencier et recommencer la procédure sur la série de
différence première.
· Si l'on rejette l'hypothèse nulle, est
stationnaire et dans ce cas, la procédure s'arrête. On a donc
à faire à un processus TS (Trend Stationnary).
Etape 2 : Cette étape ne doit
être abordée que si la tendance dans le modèle
précédent n'est pas significative.
On estime le modèle et on commence par tester la
significativité de la constante. Deux cas de figure peuvent se
présenter :
- Si la constante n'est pas significative, on passe au
modèle 1.
- Si la constante est significative, on passe au test.
- Si l'on accepte Ho, est non stationnaire. Dans
ce cas, il faut différencier la série et recommencer la
procédure sur la série en différence première.
- Si l'on rejette Ho, est stationnaire. Dans ce
cas, la procédure de test s'arrête et on peut directement
travailler sur la série.
Etape 3 : Cette étape ne doit
être appliquée que si la tendance et la constante ne sont pas
significatives.
On estime le modèle 1 et on commence le test
- Si l'on accepte l'hypothèse nulle, est non
stationnaire. Dans ce cas, il faut différencier la série et
recommencer la procédure sur la série
différenciée.
- Si l'on rejette Ho, est stationnaire et la
procédure s'arrête. On peut directement travailler sur la
série.
Toutefois, il arrive que l'on souhaite travailler avec des
variables plutôt en niveau qu'en différence première (donc
plutôt avec des variables non stationnaires). Dans ce cas, comment
régresser des variables non stationnaires et savoir si la
régression obtenue n'est pas fallacieuse ?
C'est alors qu'intervient la notion de cointégration.
Nous n'avons pas de régression fallacieuse lorsque les variables sont
cointégrées.
La cointégration:
Engel et Granger ont montré
que si on avait deux variables non stationnaires ( ~> I(1) et ~> I(1)),
on pouvait avoir : - a - b = t ~> I(1) ou - a - b = t
~> I(0).
L'idée sous-jacente de la cointégration est la
suivante : à court terme, et peuvent avoir une évolution
divergente (elles sont toutes les deux non stationnaires) mais elles vont
évoluer ensemble à long terme. Il existe alors une relation
stable à long terme entre et La relation de long terme ou relation de
cointégration est donnée par = a + b.
L'inconvénient de la méthode de Engle et
Granger (1987) est qu'elle ne permet pas de distinguer plusieurs relations de
cointégration. En effet, si on étudie simultanément N
variables avec N > 2, on peut avoir jusqu'à (N-1) relations de
cointégration. La méthode de Engle et Granger (1987) ne nous
permet d'obtenir qu'une seule relation de cointégration.
Afin de pallier cette difficulté, Johansen (1988) a
proposé une approche multivariée de la cointégration
fondée sur la méthode du maximum de vraisemblance.
Cette méthode est intéressante car elle permet
de donner le nombre de relations de cointégration estimés, ce qui
n'était pas le cas dans la précédente méthode. La
séquence du test de Johansen consiste à trouver le nombre de
relations de cointégration (r) ; pour cela on utilise la méthode
de maximum de vraisemblance.
1ére technique: Le test de la
trace: on teste l'hypothèse suivante:
Avec r le nombre de relations de cointégration
Règle de décision: On accepte Ho si
Trcal < Trtab, Sinon on accepte H1.
Si q = 0 et Trcal > Trtab, au seuil de 5%, alors on
accepte H1 qui signifie qu'il y a au moins une relation de
cointégration.
Si q=1 et Trca l < Trtab, au seuil de 5%, alors on accepte
Ho qui signifie qu'il y a une seule relation de cointégration
dans le modèle.
2ème technique: Le test de la
valeur propre maximale: On teste l'hypothèse
suivante :
On respecte la même règle que la
précédente.
La cointégration est donc une notion de relation
à long terme entre plusieurs variables non stationnaires, elle permet
de définir une ou plusieurs tendances stochastiques communes c'est
à dire, il s'agit de trouver une relation statique à long terme
entre les variables étudiées.
Il est possible que deux séries soient divergentes
à court terme mais évoluent d'une façon identique ou
proportionnelle à long terme.
S'il n'existe pas de relation de cointégration, il est
possible d'estimer un modèle VAR. Dans le cas contraire, on ne peut
estimer un modèle ECM.
Ainsi, lorsque tous les coefficients sont significatifs dans
la relation de cointégration, on peut faire une représentation
ECM (Error Correction Model).
Le modèle à correction d'erreurs
Lorsque des séries sont non stationnaires et
cointégrées, il convient d'estimer leurs relations au travers
d'un modèle (ECM : Error Correction Model). Engel et Granger (1987) ont
démontré que toutes les séries cointégrées
peuvent être représentées par un ECM.
Lorsqu'on a décelé que les séries et
sont I (1), il faut donc faire le test proposé par Granger et Engel
avant d'établir la relation entre et . Ce test se fait en deux
étapes :
1ère étape : On
fait la régression de Y sur X et on récupère le
résidu û
2ème étape : On
fait le test de racine unitaire sur û
Si û est stationnaire, alors la relation est bonne.
Si û n'est pas stationnaire, on fait la
régression Dy = â0+
â1 D x avec D, l'opérateur de
différence première et â les
élasticités.
Le test de Granger- Engel n'étant pas suffisante pour
prendre des décisions, il faudra faire ce qu'on appelle le modèle
à correction d'erreurs puisque Y et X sont cointégrées,
c'est-à-dire qu'il existe une relation de long terme et
statique16(*) entre Y et
X.
L'erreur û est appelée erreur de long terme ou
erreur d'équilibre. Cependant, l'une des séries peut
s'écarter de cet équilibre. On parle de dynamique à court
terme. C'est la modélisation de cet équilibre à court
terme qui constitue le modèle à correction d'erreurs.
1ère étape : On réalise
un MCO de l'équation :
y = â0+
â1 x
2ème étape : On
récupère le résidu û et on génère le
résidu ût-1. On réalise la
régression :
Dy = â0+
â1 D x + â2
ût-1 + åt avec
åt ~>BB (Bruit
Blanc)
3ème étape : On regarde le
t-student associé à â2 et son signe. Si
â2 < 0 et statistiquement significatif17(*), alors on a un ECM et
l'équation
Dy = â0+
â1 D x + â2
ût-1 + åt avec
åt ~>BB
est appelée dynamique de court terme et
â2 est appelé coefficient de rappel vers
l'équilibre. C'est le coefficient de correction d'erreur.
La variation de Y entre deux périodes est
affectée non seulement par la variation de X mais aussi par un choc de
la période précédente.
Lorsque â2 < 0 et statistiquement significatif,
alors â2 représente la force qu'il faut exercer sur le choc de la
période Pt-1 pour ramener X et Y en équilibre.Annexe 2: Résultats des tests de
stationnarité (test de ADF)
Ø Le PIB réel
Null Hypothesis: D(LPIBR) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 1 (Automatic based on AIC, MAXLAG=6)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-2.031676
|
0.0423
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.653401
|
|
|
5% level
|
|
-1.953858
|
|
|
10% level
|
|
-1.609571
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LPIBR,2)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 11/17/09 Time: 17:07
|
|
|
Sample (adjusted): 1982 2008
|
|
|
Included observations: 27 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(LPIBR(-1))
|
-0.327886
|
0.161387
|
-2.031676
|
0.0529
|
D(LPIBR(-1),2)
|
-0.245925
|
0.185123
|
-1.328446
|
0.1960
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.282417
|
Mean dependent var
|
-0.001344
|
Adjusted R-squared
|
0.253713
|
S.D. dependent var
|
0.041284
|
S.E. of regression
|
0.035665
|
Akaike info criterion
|
-3.758124
|
Sum squared resid
|
0.031799
|
Schwarz criterion
|
-3.662136
|
Log likelihood
|
52.73468
|
Durbin-Watson stat
|
2.070859
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø La production agricole
Null Hypothesis: D(LPIBA) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=12)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-3.429709
|
0.0013
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.650145
|
|
|
5% level
|
|
-1.953381
|
|
|
10% level
|
|
-1.609798
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LPIBA,2)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 09/14/09 Time: 18:00
|
|
|
Sample (adjusted): 1981 2008
|
|
|
Included observations: 28 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(LPIBA(-1))
|
-0.635373
|
0.185256
|
-3.429709
|
0.0020
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.302215
|
Mean dependent var
|
0.006221
|
Adjusted R-squared
|
0.302215
|
S.D. dependent var
|
0.149979
|
S.E. of regression
|
0.125283
|
Akaike info criterion
|
-1.281425
|
Sum squared resid
|
0.423786
|
Schwarz criterion
|
-1.233846
|
Log likelihood
|
18.93994
|
Durbin-Watson stat
|
2.060088
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø La formation brute du capital fixe
Null Hypothesis: D(LFBCF) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=3)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-4.392632
|
0.0001
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.650145
|
|
|
5% level
|
|
-1.953381
|
|
|
10% level
|
|
-1.609798
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LFBCF,2)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 11/17/09 Time: 17:20
|
|
|
Sample (adjusted): 1981 2008
|
|
|
Included observations: 28 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(LFBCF(-1))
|
-0.714037
|
0.162553
|
-4.392632
|
0.0002
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.413826
|
Mean dependent var
|
-0.010219
|
Adjusted R-squared
|
0.413826
|
S.D. dependent var
|
0.146082
|
S.E. of regression
|
0.111844
|
Akaike info criterion
|
-1.508371
|
Sum squared resid
|
0.337742
|
Schwarz criterion
|
-1.460792
|
Log likelihood
|
22.11719
|
Durbin-Watson stat
|
2.100169
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Le trafic portuaire
Null Hypothesis: D(LTP,2) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 3 (Automatic based on AIC, MAXLAG=11)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-6.543842
|
0.0000
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.664853
|
|
|
5% level
|
|
-1.955681
|
|
|
10% level
|
|
-1.608793
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LTP,3)
|
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 09/14/09 Time: 18:19
|
|
|
Sample (adjusted): 1985 2008
|
|
|
Included observations: 24 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(LTP(-1),2)
|
-3.421849
|
0.522911
|
-6.543842
|
0.0000
|
D(LTP(-1),3)
|
1.696643
|
0.402218
|
4.218212
|
0.0004
|
D(LTP(-2),3)
|
1.133528
|
0.278238
|
4.073945
|
0.0006
|
D(LTP(-3),3)
|
0.584374
|
0.168455
|
3.469018
|
0.0024
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.841527
|
Mean dependent var
|
-0.014919
|
Adjusted R-squared
|
0.817756
|
S.D. dependent var
|
0.279730
|
S.E. of regression
|
0.119417
|
Akaike info criterion
|
-1.261376
|
Sum squared resid
|
0.285209
|
Schwarz criterion
|
-1.065034
|
Log likelihood
|
19.13652
|
Durbin-Watson stat
|
2.237288
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Les recettes fiscales
|
|
Null Hypothesis: D(LR_F) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=12)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-3.018083
|
0.0039
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.650145
|
|
|
5% level
|
|
-1.953381
|
|
|
10% level
|
|
-1.609798
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LR_F,2)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 09/14/09 Time: 18:23
|
|
|
Sample (adjusted): 1981 2008
|
|
|
Included observations: 28 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(LR_F(-1))
|
-0.505729
|
0.167566
|
-3.018083
|
0.0055
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.252259
|
Mean dependent var
|
0.000239
|
Adjusted R-squared
|
0.252259
|
S.D. dependent var
|
0.166322
|
S.E. of regression
|
0.143822
|
Akaike info criterion
|
-1.005416
|
Sum squared resid
|
0.558491
|
Schwarz criterion
|
-0.957837
|
Log likelihood
|
15.07582
|
Durbin-Watson stat
|
2.119602
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø L'importation
Null Hypothesis: D(LIMP) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=3)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-4.779721
|
0.0000
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.650145
|
|
|
5% level
|
|
-1.953381
|
|
|
10% level
|
|
-1.609798
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LIMP,2)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 09/25/09 Time: 22:15
|
|
|
Sample (adjusted): 1981 2008
|
|
|
Included observations: 28 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(LIMP(-1))
|
-0.916262
|
0.191698
|
-4.779721
|
0.0001
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.458328
|
Mean dependent var
|
-0.000512
|
Adjusted R-squared
|
0.458328
|
S.D. dependent var
|
0.370868
|
S.E. of regression
|
0.272953
|
Akaike info criterion
|
0.276027
|
Sum squared resid
|
2.011591
|
Schwarz criterion
|
0.323606
|
Log likelihood
|
-2.864378
|
Durbin-Watson stat
|
1.786920
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Le taux de change effectif réel
Null Hypothesis: D(TCER) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on SIC, MAXLAG=7)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-7.480322
|
0.0000
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.650145
|
|
|
5% level
|
|
-1.953381
|
|
|
10% level
|
|
-1.609798
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(TCER,2)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 09/30/09 Time: 14:38
|
|
|
Sample (adjusted): 1981 2008
|
|
|
Included observations: 28 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(TCER(-1))
|
-1.349240
|
0.180372
|
-7.480322
|
0.0000
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.674495
|
Mean dependent var
|
0.008762
|
Adjusted R-squared
|
0.674495
|
S.D. dependent var
|
0.962333
|
S.E. of regression
|
0.549040
|
Akaike info criterion
|
1.673770
|
Sum squared resid
|
8.139015
|
Schwarz criterion
|
1.721349
|
Log likelihood
|
-22.43278
|
Durbin-Watson stat
|
2.040946
|
Ø La population active
Null Hypothesis: LPA has a unit root
|
|
Exogenous: Constant, Linear Trend
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=7)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-19.39079
|
0.0000
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-4.309824
|
|
|
5% level
|
|
-3.574244
|
|
|
10% level
|
|
-3.221728
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LPA)
|
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 10/29/09 Time: 12:20
|
|
|
Sample (adjusted): 1980 2008
|
|
|
Included observations: 29 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPA(-1)
|
-0.687414
|
0.035451
|
-19.39079
|
0.0000
|
C
|
9.736106
|
0.498971
|
19.51237
|
0.0000
|
@TREND(1979)
|
0.021185
|
0.001180
|
17.95054
|
0.0000
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.945789
|
Mean dependent var
|
0.038775
|
Adjusted R-squared
|
0.941619
|
S.D. dependent var
|
0.031114
|
S.E. of regression
|
0.007518
|
Akaike info criterion
|
-6.845384
|
Sum squared resid
|
0.001469
|
Schwarz criterion
|
-6.703940
|
Log likelihood
|
102.2581
|
F-statistic
|
226.8041
|
Durbin-Watson stat
|
2.096730
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
|
|
Ø Le taux de change effectif réel
Null Hypothesis: D(TCEN) has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on SIC, MAXLAG=7)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-7.480322
|
0.0000
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.650145
|
|
|
5% level
|
|
-1.953381
|
|
|
10% level
|
|
-1.609798
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(TCER,2)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 09/30/09 Time: 14:38
|
|
|
Sample (adjusted): 1981 2008
|
|
|
Included observations: 28 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(TCER(-1))
|
-1.349240
|
0.180372
|
-7.480322
|
0.0000
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.674495
|
Mean dependent var
|
0.008762
|
Adjusted R-squared
|
0.674495
|
S.D. dependent var
|
0.962333
|
S.E. of regression
|
0.549040
|
Akaike info criterion
|
1.673770
|
Sum squared resid
|
8.139015
|
Schwarz criterion
|
1.721349
|
Log likelihood
|
-22.43278
|
Durbin-Watson stat
|
2.040946
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Résultats des tests de causalité de
Granger
Pairwise Granger Causality Tests
|
Date: 09/18/09 Time: 14:55
|
Sample: 1979 2008
|
|
Lags: 3
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Null Hypothesis:
|
Obs
|
F-Statistic
|
Probability
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LR_F does not Granger Cause LTP
|
27
|
1.66985
|
0.20544
|
LTP does not Granger Cause LR_F
|
4.60111
|
0.01320
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPIBT does not Granger Cause LTP
|
27
|
0.93955
|
0.44010
|
LTP does not Granger Cause LPIBT
|
1.03413
|
0.39879
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPIBS does not Granger Cause LTP
|
27
|
0.63191
|
0.60300
|
LTP does not Granger Cause LPIBS
|
7.17474
|
0.00186
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPIBR does not Granger Cause LTP
|
27
|
2.25274
|
0.11351
|
LTP does not Granger Cause LPIBR
|
3.43676
|
0.03654
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPIBC does not Granger Cause LTP
|
27
|
0.89313
|
0.46181
|
LTP does not Granger Cause LPIBC
|
3.81817
|
0.02591
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPIBB does not Granger Cause LTP
|
16
|
0.62471
|
0.61680
|
LTP does not Granger Cause LPIBB
|
3.21570
|
0.07573
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Résidu issu de l'estimation des recettes
fiscales
Null Hypothesis: RESID1 has a unit root
|
|
Exogenous: None
|
|
|
Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=7)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-6.178257
|
0.0000
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-2.647120
|
|
|
5% level
|
|
-1.952910
|
|
|
10% level
|
|
-1.610011
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(RESID1)
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 11/17/09 Time: 00:02
|
|
|
Sample (adjusted): 1980 2008
|
|
|
Included observations: 29 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
RESID1(-1)
|
-1.146471
|
0.185565
|
-6.178257
|
0.0000
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.576597
|
Mean dependent var
|
-0.001875
|
Adjusted R-squared
|
0.576597
|
S.D. dependent var
|
0.077564
|
S.E. of regression
|
0.050471
|
Akaike info criterion
|
-3.100980
|
Sum squared resid
|
0.071324
|
Schwarz criterion
|
-3.053832
|
Log likelihood
|
45.96421
|
Durbin-Watson stat
|
2.021411
|
|
|
|
|
|
Ø Le Pib nominal
Null Hypothesis: LPIBN has a unit root
|
|
Exogenous: Constant, Linear Trend
|
|
Lag Length: 7 (Automatic based on AIC, MAXLAG=8)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
t-Statistic
|
Prob.*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Augmented Dickey-Fuller test statistic
|
-4.485693
|
0.0091
|
Test critical values:
|
1% level
|
|
-4.440739
|
|
|
5% level
|
|
-3.632896
|
|
|
10% level
|
|
-3.254671
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
|
|
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
|
|
Dependent Variable: D(LPIBN)
|
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 11/17/09 Time: 23:29
|
|
|
Sample (adjusted): 1987 2008
|
|
|
Included observations: 22 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPIBN(-1)
|
-0.464411
|
0.103532
|
-4.485693
|
0.0007
|
C
|
2.495711
|
0.559471
|
4.460839
|
0.0008
|
@TREND(1979)
|
0.039991
|
0.008354
|
4.787122
|
0.0004
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.842444
|
Mean dependent var
|
0.074754
|
Adjusted R-squared
|
0.724277
|
S.D. dependent var
|
0.084660
|
S.E. of regression
|
0.044454
|
Akaike info criterion
|
-3.085747
|
Sum squared resid
|
0.023714
|
Schwarz criterion
|
-2.589819
|
Log likelihood
|
43.94322
|
F-statistic
|
7.129256
|
Durbin-Watson stat
|
2.467529
|
Prob(F-statistic)
|
0.001249
|
|
|
|
|
|
Annexe 3 :
Résultats des tests de cointégration
Ø Estimation du modèle des recettes fiscales
Date: 10/16/09 Time: 18:26
|
|
|
Sample (adjusted): 1980 2004
|
|
|
Included observations: 25 after adjustments
|
|
Trend assumption: Linear deterministic trend
|
|
Series: LR_F LTP LPIBR LIMP TCEN
|
|
|
Lags interval (in first differences): No lags
|
|
|
|
|
|
|
Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Hypothesized
|
|
Trace
|
0.05
|
|
No. of CE(s)
|
Eigenvalue
|
Statistic
|
Critical Value
|
Prob.**
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
None *
|
0.714091
|
75.50690
|
69.81889
|
0.0164
|
At most 1
|
0.587772
|
44.20483
|
47.85613
|
0.1057
|
At most 2
|
0.423727
|
22.05037
|
29.79707
|
0.2957
|
At most 3
|
0.268914
|
8.271032
|
15.49471
|
0.4369
|
At most 4
|
0.017463
|
0.440443
|
3.841466
|
0.5069
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Trace test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05
level
|
* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05
level
|
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
|
|
|
|
|
|
|
Ø Estimation du modèle de la croissance
Date: 10/16/09 Time: 17:54
|
|
|
Sample (adjusted): 1981 2008
|
|
|
Included observations: 28 after adjustments
|
|
Trend assumption: Linear deterministic trend
|
|
Series: LPIBR LFBCF LTP
|
|
|
Lags interval (in first differences): 1 to 1
|
|
|
|
|
|
|
Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Hypothesized
|
|
Trace
|
0.05
|
|
No. of CE(s)
|
Eigenvalue
|
Statistic
|
Critical Value
|
Prob.**
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
None
|
0.469688
|
24.81179
|
29.79707
|
0.1683
|
At most 1
|
0.222633
|
7.051687
|
15.49471
|
0.5716
|
At most 2
|
2.96E-06
|
8.30E-05
|
3.841466
|
0.9936
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Trace test indicates no cointegration at the 0.05
level
|
* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05
level
|
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
|
|
|
|
|
|
|
Annexe 4 :
Résultats de l'estimation du modèle MCE
Ø La croissance économique
Dependent Variable: LPIBR
|
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 10/26/09 Time: 09:59
|
|
|
Sample: 1979 2008
|
|
|
Included observations: 30
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LTP
|
0.184806
|
0.025700
|
7.190778
|
0.0000
|
LFBCF
|
0.398842
|
0.044767
|
8.909229
|
0.0000
|
D84
|
0.272880
|
0.030954
|
8.815612
|
0.0000
|
C
|
14.16794
|
0.824986
|
17.17356
|
0.0000
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.988646
|
Mean dependent var
|
27.12710
|
Adjusted R-squared
|
0.987336
|
S.D. dependent var
|
0.329690
|
S.E. of regression
|
0.037101
|
Akaike info criterion
|
-3.626770
|
Sum squared resid
|
0.035789
|
Schwarz criterion
|
-3.439944
|
Log likelihood
|
58.40155
|
F-statistic
|
754.6618
|
Durbin-Watson stat
|
1.259388
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Test de validité du modèle
White Heteroskedasticity Test:
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F-statistic
|
0.823158
|
Probability
|
0.545462
|
Obs*R-squared
|
4.391612
|
Probability
|
0.494515
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Breusch-Godfrey Serial Correlation LM Test:
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F-statistic
|
2.137740
|
Probability
|
0.139835
|
Obs*R-squared
|
4.536241
|
Probability
|
0.103507
|
|
|
|
|
|
Ø Les recettes fiscales (modèle de long
terme)
Dependent Variable: LR_F
|
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 11/05/09 Time: 10:30
|
|
|
Sample: 1979 2008
|
|
|
Included observations: 30
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LPIBN
|
0.959664
|
0.118847
|
8.074790
|
0.0000
|
LTP
|
0.384924
|
0.053602
|
7.181089
|
0.0000
|
TCEN
|
-0.012279
|
0.013460
|
-0.912265
|
0.3707
|
LIMP
|
0.141162
|
0.048906
|
2.886430
|
0.0081
|
C
|
-11.09674
|
1.126166
|
-9.853550
|
0.0000
|
D84
|
-0.090842
|
0.033096
|
-2.744775
|
0.0113
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.997301
|
Mean dependent var
|
4.585839
|
Adjusted R-squared
|
0.996739
|
S.D. dependent var
|
0.974134
|
S.E. of regression
|
0.055632
|
Akaike info criterion
|
-2.763265
|
Sum squared resid
|
0.074278
|
Schwarz criterion
|
-2.483026
|
Log likelihood
|
47.44898
|
F-statistic
|
1773.556
|
Durbin-Watson stat
|
2.269260
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Test de validité du modèle de long
terme
Breusch-Godfrey Serial Correlation LM Test:
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F-statistic
|
0.283637
|
Probability
|
0.755752
|
Obs*R-squared
|
0.754110
|
Probability
|
0.685878
|
|
|
|
|
|
White Heteroskedasticity Test:
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F-statistic
|
1.805421
|
Probability
|
0.129976
|
Obs*R-squared
|
13.44772
|
Probability
|
0.143371
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ø Les recettes fiscales (Modèle de court
terme)
Dependent Variable: D(LR_F)
|
|
|
Method: Least Squares
|
|
|
Date: 11/10/09 Time: 12:37
|
|
|
Sample (adjusted): 1980 2008
|
|
|
Included observations: 29 after adjustments
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(LTP)
|
0.296436
|
0.138884
|
2.134421
|
0.0432
|
RESID1 (-1)
|
-0.926597
|
0.320500
|
-2.891099
|
0.0080
|
D(LIMP)
|
0.267227
|
0.064754
|
4.126842
|
0.0004
|
D(TCEN)
|
0.001180
|
0.015693
|
0.075179
|
0.9407
|
D84
|
0.060990
|
0.022737
|
2.682342
|
0.0130
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
R-squared
|
0.635730
|
Mean dependent var
|
0.098426
|
Adjusted R-squared
|
0.575019
|
S.D. dependent var
|
0.130173
|
S.E. of regression
|
0.084860
|
Akaike info criterion
|
-1.940031
|
Sum squared resid
|
0.172831
|
Schwarz criterion
|
-1.704290
|
Log likelihood
|
33.13045
|
Durbin-Watson stat
|
1.727110
|
|
|
|
|
|
Ø Resultats des tests de validités du
modèle de court terme
White Heteroskedasticity Test:
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F-statistic
|
0.829719
|
Probability
|
0.597762
|
Obs*R-squared
|
8.181992
|
Probability
|
0.515915
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Breusch-Godfrey Serial Correlation LM Test:
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F-statistic
|
0.293353
|
Probability
|
0.748630
|
Obs*R-squared
|
0.737057
|
Probability
|
0.691751
|
|
|
|
|
|
* 16 _ Résultat du
test de Granger- Engel.
* 17 _ Significativement
différent de zéro au seuil statistique de 5%.
|