CHAPITRE II. LES TECHNIQUES ET LES MÉTHODES
UTILISÉES.
II.1.LES TECHNIQUES UTILISÉES
II.1.1. LA TECHNIQUE D'OBSERVATION DIRECTE ET
PARTICIPATIVE.
Dans l'élaboration de ce travail, nous avons
utilisé la technique observation qui nous a permis d'observés les
différents problèmes que pause la cimenterie dans
l'aménagement de la cité de Kimpese, d'observé la
direction du vent pour voir la direction de la fumée provenant de
l'usine par rapport aux habitations, aux champs et à l'hôpital
(I.M.E).
Cette méthode nous a permis aussi de cerner
différents problèmes d'aménagement et d'assainissement qui
se posent dans la cité de Kimpese.
Enfin, nous avons élaboré 120 fichet
d'enquêtes dont certaines ont été distribuées
auprès de la population de Kimpese qui ont un certains niveaux
d'instructions. Pour une autre partie, nous avons aidés la population
enquêtée pour la compréhension du contenue, nous l'avons
assistée pendant les remplissages de ces fichets.
Pour cela, nous étions obligés de circuler dans
tous les quartiers de la cité, dans les champs, dans des écoles
et université, enfin dans dans différents secteurs
d'activités que l'on rencontre dans la cité de Kimpese cela pour
recueillir des informations chez presque toutes les catégories des
personnes actives dans la cité.
Cette technique nous a permis de bien comprendre les besoins
de la population face à l'implantation de la cimenterie dans la
cité, de bien cerner les problèmes d'aménagement et
d'assainissement que pose la cimenterie nationale de Kimpese, et de recueillir
certaines propositions auprès de la population pour remédier aux
problèmes d'aménagement et d'assainissement suite à la
présence de la cimenterie.
II.1.2. LA TECHNIQUE EXPÉRIMENTALE.
Nous avons aussi utilisé la technique
expérimentale, qui nous a permis évalué la teneur en Plomb
dans les sols utilisés pour l'agriculture situés aux entours de
la cimenterie nationale de Kimpese.
Pour cela, nous avons récoltés les
échantillons des sols en suivant les directions de la fumée
provenant de l'usine S-N et SW-NE et en mesurant les distances partant de 500
mètres à 1000 mètres. Ces distances ont été
choisies par le faite que ce dans ces site nous a été accessible
et ces dans cette partie que nous avons trouvés des cultures de champs.
Chaque échantillon a été codé, de
chiffre un à six, donc de un à quatre pour les sols et de cinq
à six pour le fuel.
Pour évaluer la teneur en CO2 que la
cimenterie envoie dans l'atmosphère lors de la combustion de la farine
du ciment, nous avons prélevés puis analysés deux
échantillons des fuels provenant de différent pays. Cette
quantité de CO2 est exprimée en mg/litre.
II.2. LES MÉTHODES
UTILISÉES.
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