Lutte contre l'excision au Burkina Faso: l'expérience du plan intégré de communication de radio Vénégré( Télécharger le fichier original )par Pagnidemsom Nestor BOULOU Université de Ouagadougou - Maîtrise ès sciences de l'information et de la communication Option: Communication pour le développement 2007 |
1.1.4 Objectifs1.1.4.1 Objectif général Notre étude vise à analyser l'utilisation de l'approche participative dans le cadre du Plan Intégré de Communication. 1.1.4.2 Objectifs spécifiques -Identifier les forces et les faiblesses du PIC. -Recueillir les représentations sociales que les populations ont de l'excision. 1.1.5 Revue de littératureBien que le thème de la communication participative soit d'un intérêt récent, de nombreux chercheurs s'accordent pour reconnaître que son histoire débute vers le milieu du 20ème siècle, depuis les premiers pas de Radio Sutatenza dans une communauté isolée de Colombie en 194713(*). En Afrique, la chute des régimes autoritaires au cours des vingt dernières années y a favorisé l'éclosion de nouvelles expériences de communication pour le développement. La diversité des expériences de communication a été toujours perçue comme un signe de bonne santé de la communication participative. Cependant, son articulation avec des projets de développement ayant pour but la génération de changements économiques et sociaux n'a pas toujours été couronnée de succès. Pour Alfonso G. DAGRON, les communautés à la base ont, certes, ressenti le besoin profond de communication, mais au niveau de la conception et de la mise en oeuvre des projets contrôlés par les bailleurs de fonds et les gouvernements, la prise de conscience n'a pas été suffisante14(*). Il y a donc eu un tel déphasage entre les préoccupations des acteurs dans les processus de développement que, d'une manière générale, la communication a longtemps été en marge des projets de développement. Le déficit d'implication des communautés à la base qui fait que les projets soient généralement aux mains d'économistes et de techniciens empêche la compréhension des thèmes culturels et sociaux indispensables dans l'élaboration d'une stratégie de communication. Alfonso G. DAGRON reconnaît qu' "il n y a pas de modèle idéal pour la communication participative, cependant il y a des caractéristiques communes de la communication participative"15(*). La définition de la communication participative implique la prise en compte des conséquences politiques de la participation communicative dans le processus de développement. Il s'agit en fait d'un problème de pouvoir car les approches participatives contribuent à placer la prise de décision entre les mains des populations concernées. De plus, cela consolide la capacité des communautés de confronter leurs idées sur le développement avec le personnel technique et les planificateurs afin de susciter l'émergence d'un consensus autour des différentes questions. Pour Alfonso G. DAGRON, il s'agit également d'un problème d'identité, car la communication participative favorise le renforcement de l'estime de soi et la fierté de sa culture en particulier dans les communautés qui ont été marginalisées, réprimées ou simplement négligées pendant des années. Elle permet, entre autres, de resserrer le tissu social en renforçant les organisations communautaires et de protéger la tradition et les valeurs culturelles. En somme, l'axe dans lequel s'inscrit la communication participative est horizontal en ce sens que les bénéficiaires en tant qu'acteurs participent au processus du changement social. Pour Paul LACHANCE16(*), il y a nécessairement cinq phases importantes dans toute approche participative. Ø la phase d'apprentissage sociale où les communautés sont concertées pour l'appréciation de la problématique ; Ø la phase d'invention sociale où il faut concevoir l'action ; Ø la phase de contractualisation où chacun se détermine et s'engage sur les responsabilités à assumer ; Ø la phase de mise en oeuvre ou de réalisation de l'action ; Ø et enfin la phase d'évaluation où les leçons et enseignements sont tirés et capitalisés. En outre, l'auteur Alfonso G. DAGRON mène dans son livre une critique sur l'évaluation participative qui est un maillon essentiel du processus participatif. Il reconnaît que des progrès ont été réalisés bien qu'insuffisants dans l'implication progressive des bénéficiaires dans les étapes de planification et de mise en oeuvre des projets. Cependant, relève t-il, l'étape d'évaluation reste, en général, un exercice réservé aux agences de coopération. L'évaluation est donc de ce point de vue verticale et étrangère aux bénéficiaires. Le fait que les bailleurs ou les agences d'exécution évaluent eux-mêmes leurs projets influence la qualité des résultats. Le degré d'objectivité des auditeurs risque d'être affecté d'autant plus qu'ils dépendent de futurs contrats avec ces mêmes organisations ou d'autres semblables. Pour Alfonso G. DAGRON, "dans ce type d'évaluation, les objectifs répondent généralement à des impératifs institutionnels"17(*), car il est généralement réalisé par des experts étrangers qui ignorent le contexte culturel, politique et social du milieu et parfois méconnaissent même la langue locale. Un autre aspect de la communication participative est sa mise en oeuvre qui nécessite l'utilisation de plusieurs supports de communication traditionnels ou modernes parmi lesquels la radio apparaît comme étant le plus populaire en Afrique. En effet, la radio est un média de masse et de proximité qui a évolué rapidement en Afrique et qui a été très vite approprié par les Africains depuis des décennies, comme l'indique Boubacar SINE plus haut. Devenue populaire et familière aux Africains, la radio peut être un canal favorable à la diffusion d'informations et de messages de développement dans tous les domaines et dans toutes les langues locales permettant ainsi de surmonter toutes sortes de contraintes liées à l'analphabétisme. L'intégration réussie ou l'appropriation de la radio par les Africains tire ses raisons dans l'adéquation de ce médium avec un système de communication traditionnel marqué par l'oralité, comme le soutient André Jean TUDESQ. La capacité d'adaptation de la radio dans un contexte traditionnel où le processus communicationnel est assez complexe lui a valu de remplacer peu à peu les moyens traditionnels de diffusion d'information d'antan que sont les tambours, les sifflets etc. A ce propos, Francis BEBEY notait ceci : « A l'heure qu'il est, la radio est train de s'installer en Afrique, ... elle remplace le message tambouriné », en plus ajoutait-il, « la voix de la radio entre peu à peu dans le domaine de toutes ces choses invisibles, mystérieuses, surnaturels même... ».18(*) Le principe de la participation répond à l'idée d'une radio communautaire rurale de développer sans abîmer et de faire participer les bénéficiaires en prenant comme point de départ ce qu'ils savent, ce qu'ils sont, ce qu'ils vivent, ce qu'ils savent faire et ce qu'ils veulent.19(*) Ce principe implique plusieurs paramètres en termes de communication et de fonctions de la radio. D'abord, la radio se doit d'être un instrument d'échange d'expériences entre les villageois, ceux qui ont une éducation formelle et ceux qui ont une expérience de la vie. Une expérience implique une méthodologie de vérification. Même si le paysan n'a pas été à l'école formelle, il a néanmoins ses méthodes pour formuler une théorie, l'expérimenter et tirer ses conclusions20(*). La radio doit donc de ce point de vue « transmettre des points de vue, véhiculer des arguments, mais laisser les conclusions à son auditoire ».21(*) Toutefois, la crédibilité d'une radio communautaire et son impact sur le public dépendent fortement des personnes qui y émettent des messages. Des recherches ont été menées et qui mettent en question le principe mécaniste lasswellien22(*) de l'effet direct et indifférencié des médias sur le public. Il existe deux études phares qui scandent l'émergence de cette nouvelle théorie sur les intermédiaires. La première, The people's choice a été publiée en 1944. En effet, Paul LAZARSFELD et ses collègues Bernard BERELSON et Hazel GAUDET ont cherché à mesurer l'influence des médias sur 600 électeurs de Erie Country dans l'Ohio lors de la campagne présidentielle de 1940. La seconde, Personal influence: the part played by people in the flow of mass communication, cosigné par Paul LAZARSFELD et Elihu KATZ parait en 1955, mais exploite des enquêtes effectuées dix ans auparavant.23(*) En étudiant les processus de décision individuels d'une population féminine de 800 personnes dans une ville de 60 000 habitants, ils redécouvrent comme dans la précédente étude l'importance du groupe primaire. Ils appréhendent alors le flux de la communication comme un processus à deux étages où le rôle des leaders d'opinions se révèle décisif. C'est la théorie du two - step - flow selon laquelle la communication se présente comme un flux à deux temps. « Son influence est indirecte plutôt que directe, médiate ou médiatisée et non immédiate ».24(*) Au premier palier de cette communication à deux étages, il y a les personnes relativement bien informées parce qu'exposées directement aux médias. Au second palier, il y a celles qui fréquentent moins les médias et qui dépendent des autres pour obtenir l'information.25(*) Dans le contexte traditionnel africain, on peut tirer deux conclusions de cette théorie. D'abord, il est important de chercher des individus, des personnes relais ou des couches sociales qui puissent servir d'éléments dynamiques dans la communauté. Ensuite, il s'avère, au regard de cette théorie, que si les interventions médiatiques n'arrivent pas à capter ce groupe primaire, la communication n'aura pas d'impact sur le comportement des populations. Il faut donc d'abord toucher les personnes clefs.26(*) L'avantage de la radio dans une telle situation est qu'elle permet d'amener le leader d'opinion de la communauté au micro pour parler directement à tous ceux qui le connaissent et l'estiment. Cet aspect met en relief le caractère oral et direct de la radio. Pour Jean CAUVIN, la tradition orale désigne le fait qu'un groupe humain, même s'il connaît l'écriture fonde la plus grande partie de ses échanges de messages sur la parole.27(*) Les textes de tradition orale requièrent certaines conditions pour leur prolifération. D'abord, il faut la présence de l'émetteur certes, mais aussi celle du récepteur pour qu'il soit en quelque sorte témoin de la parole proférée. Cette présence du récepteur est importante d'autant plus que dans la tradition orale, « on ne dit pas un proverbe pour soi même, de même on ne dit pas un conte sans auditoire ».28(*) Une autre condition est l'interactivité. Au-delà du fait que le récepteur entretient la communication, sa présence peut modifier le message en ce sens que l'émetteur tient compte de la pensée et des sentiments de son interlocuteur. Jean CAUVIN confirme cette réalité en soutenant que « celui qui chante les louanges d'un chef sera porté à enjoliver ou à écourter sa prestation selon l'attitude qu'il perçoit chez le chef »29(*). Des conditions socioculturelles sont également requises pour la prolifération d'informations dans la tradition orale. Elles varient pour chaque genre de la tradition orale. Ainsi, les contes et les devinettes ne sont dits qu'à la veillée. Tel texte religieux n'est proféré qu'une fois par an selon le calendrier liturgique. La culture d'une communauté apporte obligatoirement une connotation particulière au type de développement dont a besoin celle-ci. Il existe, de ce fait, une relation très importante entre la culture et le développement30(*). Pour Malinowski, la culture est la forme d'organisation que chaque société invente pour satisfaire ses besoins élémentaires. Il estime que les besoins culturels sont évolutifs et qu'ils correspondent à trois domaines différents de la réalité sociale à savoir les impératifs instrumentaux, issus d'activités de nature économique, normative, pédagogique et politique ; les impératifs intégrants comme le savoir, la religion et la magie ; les activités artistiques et récréatives. Il conclut que l'évolution de ces besoins sur le plan de la forme et de la quantité démontre les liens directs entre la culture et le développement, puisque ce dernier doit normalement satisfaire les besoins à une étape donnée de l'évolution historique de telle ou telle société. 31(*) J.C SANCHEZ ARNAU, après ses analyses, aboutit à la conclusion que la prise en considération de la culture des éventuels bénéficiaires d'un projet revient tout simplement à tenir compte des besoins qu'eux-mêmes ressentent, et non pas de ceux que les planificateurs leur attribuent comme c'est très souvent le cas. Il précise que cela ne suppose pas la prise en compte d'un ensemble de « coûts » considérés comme immatériels dans la mesure où ils ont trait essentiellement à des aspects qualitatifs et subjectifs mais aussi importants, sinon plus, que les aspects matériels ou quantitatifs. J.C SANCHEZ ARNAU suggère enfin que tous les organismes donnent la priorité, dans leurs projets de développement et programmes de travail, à l'étude de la dimension culturelle du développement afin de promouvoir l'identification des besoins réels des peuples du Tiers Monde et de leur potentiel d'autosuffisance et de s'assurer que ces peuples participent à la définition de leurs propres objectifs économiques et sociaux et à la sauvegarde de leurs valeurs culturelles.32(*)Cela est valable, par exemple, dans la lutte contre l'excision dont la pratique est avant tout un rituel culturel même s'il n'est pas question de la préserver. L'historique de cette pratique permet de comprendre que, contrairement à ce que l'on pourrait penser aujourd'hui, l'excision a existé dans certains pays occidentaux. Selon certains chercheurs telle que Marie Claire GIAGOMETTI, l'excision aurait même connu ses débuts en Grèce. En effet, la mythologie grecque évoque un mariage entre la terre et le ciel. Mais ce mariage n'a jamais connu de bonheur du fait de sa stérilité. Cette stérilité serait due au fait qu'une colline s'est interposée entre les deux partenaires. Dans cette mythologie grecque, la colline équivaut au clitoris. Ainsi, la nécessité de raser cette colline s'impose afin que le couple Terre-Ciel puisse procréer. Toujours en Occident, jusqu'au 20ème siècle, des médecins estimaient que par la clitoridectomie, certaines maladies comme la nymphomanie et l'épilepsie pouvaient être vaincues33(*). D'autres chercheurs attribuent, par ailleurs, l'origine des mutilations sexuelles féminines à l'Egypte car elle est considérée comme le berceau de la circoncision. Ces pratiques auraient été instituées par des pharaons. Les activités des hommes à cette époque34(*) les auraient obligés à prendre des « mesures de sécurité » vis-à-vis de leur « bien » ; la femme. Ainsi, les femmes étaient infibulées à l'épine pendant que leurs maris guerroyaient pour la conquête de nouveaux territoires ou pour sauvegarder ceux déjà conquis35(*). Certaines sources font croire que l'excision provient originellement du Coran. Une croyance populaire allant en faveur de cette thèse se fonde sur l'histoire d'Ibrahim (Abraham) et de Sarata (Sarah). Sarata est censée avoir fait exciser Hadiara (Hagar), l'autre femme de son mari quand les rapports se sont détériorés entre elles. Et depuis cet instant, l'excision s'est étendue chez les musulmans36(*). Il convient à présent de lever le doute de cette version du problème en s'attachant à ce que disent les religions. Dans la religion musulmane, les différents devoirs et obligations se classent par ordre d'importance décroissant : - les « farilas » : obligations, devoirs catégoriques relevant du Saint Coran ; - les « sunnas » : recommandations découlant des règles de vie et habitudes du Prophète Mahomet et consignées dans les hadiths37(*) ; - Les « mustahabs » : règles musulmanes de bonne conduite conseillées par certains hadiths. Si la circoncision masculine est une « sunna », donc une obligation vivement recommandée pour le musulman pour raison d'hygiène mais aussi pratiquée depuis le Patriarche Abraham38(*) et tous les autres prophètes, l'excision n'est qu'officieusement et très partiellement tolérée. Elle n'est même pas une « sunna » a fortiori une farila. Elle est tout au plus tolérée comme une « mustahab » chez une très infime minorité musulmane39(*). Du temps du Prophète Mahomet, l'excision était une pratique courante. Il ne l'avait pas interdite, mais il n'en conseilla pas non plus sa pratique. D'où l'ambiguïté de sa formule, seule trace ayant trait à l'excision, que l'on retrouve dans les hadiths et que Benoît GROULT rappelle dans son livre Ainsi soit-elle : « N'intervient pas de façon radicale, c'est préférable pour la femme ».40(*) Quant à la religion chrétienne, nulle part dans la bible, il n'est fait allusion à l'excision des femmes. L'Ecriture Sainte n'ignore pas la circoncision des garçons. Elle fait mention de cela pour la première fois dans l'histoire d'Abraham à propos de l'alliance conclue entre Dieu et le Patriarche, Père des croyants. La circoncision des garçons consiste en l'ablation du prépuce, cette sorte de capuchon qui couvre le gland de l'homme sans rien toucher de la verge ni du gland lui-même. Si la circoncision demandée par Dieu à Abraham était un signe matériel à l'alliance, elle était aussi un signe préventif, une aide à la santé de tous les mâles issus d'Abraham. De toutes les façons, Dieu ne mentionne aucunement une quelconque opération pour les femmes. Pour l'église catholique, Dieu a créé l'homme et la femme à son image. Tout ce qu'il fit en eux était bon et nul n'a le droit d'y toucher pour parfaire ou corriger. De plus, l'église reconnaît que le clitoris de la femme est une zone érogène. En somme, les deux religions citées ont en commun la pratique de la circoncision, mais nulle part, il est écrit que l'excision féminine est une pratique obligatoire ou recommandée. Cependant, il faut noter qu'au delà du fait que l'excision soit un rituel culturel, elle est aussi et surtout un ensemble d'expressions de facteurs sociaux. Pratique ancestrale répandue dans les sociétés africaines, l'excision fait partie intégrante des rites d'initiation marquant la puberté sociale. A. Van GENNEP, dans son livre Les rites de passage, détaille la signification de ces rites (maturité de la femme, féminité, propreté, puberté sociale, beauté, harmonie, etc.). De nos jours, aucune étude n'a permis apparemment de préciser l'origine exacte de l'excision. Cependant, pour le cas du Burkina Faso, il semblerait que l'excision se soit implantée plus précisément chez les Moosé par le canal de l'Islam dans les années 1784 à 179140(*). * 13 Alfonso Gumucio DAGRON, Ondes de choc, éd, 2001 * 14 Alfonso Gumucio DAGRON, op cit * 15 Alfonso Gumucio DAGRON, op cit, p 37 * 16 Cité dans un article de Bernard ZONGO, paru dans Le Pays n° 3388 du vendredi 03 juin 2005, intitulé : Approche participative: mode ou réalité? * 17 Alfonso Gumucio DAGRON, op cit * 18 Francis BEBEY cité par André Jean TUDESQ dans son livre La radio en Afrique Noire, éd. Pedone, paris, 1983 * 19 La fédération des unions de groupement Naam, La voix du paysan, (études et dossier de projet), Copenhague, 1994, 82p * 20 La fédération des unions de groupement Naam, idem * 21 La fédération des unions de groupement Naam, op cit * 22 Selon Lasswell, l'audience est envisagée comme une cible amorphe qui obéit aveuglement au schéma stimulus-réponse. Le média est supposé agir selon le modèle de « l'aiguille hypodermique ». * 23 Armand et Michèle MATTERLART, Histoire des théories de la communication, éd La Découverte, Paris, 1995, 125p * 24 Francis BALLE, Médias et sociétés, 11ème édition Montchrestien, Paris, 2003, p639 * 25 Armand et Michèle MATTERLART, op. cit. p27 * 26 La fédération des unions de groupement Naam, op cit * 27 Jean CAUVIN, Comprendre la parole traditionnelle, éd Saint-paul, 1980, p6 * 28 Idem, p8 * 29 Idem, p9 * 30 Idem, p9 * 31 MALINOWSKI cité par J.C SANCHEZ ARNAU et D. DESJEUX, La culture clé du développement, éd L'Hamarttan, Paris, 1994, p23 * 32 Juan Carlos SANCHEZ-ARNAU et Dominique. DESJEUX, La culture clé du développement, éd L'Hamarttan, Paris, 1994, p194 * 33 Marie Claire GIAGOMETTI, Sera-t-elle la prochaine victime ?, 1998, p21 * 34 Constamment et régulièrement partis pour la guerre * 35 Giagometti Marie Claire, Sera-t-elle la prochaine victime ?, 1998, p22 * 36 Idem * 37 Recueil des actes et des paroles du Prophète Mahomet et de ses compagnons à propos de commentaires du Coran ou de règles de conduite- définition du Petit Larousse. * 38 Selon la Bible, la circoncision masculine est le signe de l'alliance de Dieu avec les hommes. * 39 Marie Claire GIAGOMETTI, op cit, p25 * 40 Giagometti Marie Claire, Sera-t-elle la prochaine victime ?, 1998, p23 |
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