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Mise en place d'une applications web pour la perception d'impôts professionnels sur la rémunération.


par Landry KABEYA NUMBI
ISC - Graduat  2017
  

Disponible en mode multipage

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EPIGRAPHE

Payé l'Impôt est un devoir de tous citoyens.

ETAT-CIVIL DE LA RDC

Payés

DEDICACES

Nous dédions ce travail à tous les chercheurs scientifiques et à toute la communauté estudiantine de l'Institut Supérieure de Commerce.(I.S.C) et à la famille de NUMBI

AVANT - PROPOS

Au seuil de ce travail marquant la fin du premièrecycle en
science informatique, nous voudrions exprimer notre profonde gratitude
à tous ceux qui d'une manière ou d'une autre, ont contribué à
l'élaboration de ce travail et à notre formation.

Nous profitons de cette occasion pour remercier l'Eternel Dieu Tout-puissant pour sa vie et sa protection durant la réalisation de ce travail.

Nos remerciements s'adressent plus particulièrement au CT DIDIER MBAY à qui il a plus de bien vouloir assurer la
direction de ce travail ; ses conseils suggestion et remarques nous ont
été d'un concours précieux.

A tous les professeurs, autorités académiques, chef de
travaux, assistants du département de sciences informatiques ainsi que de
tout l'institut supérieur de commerce pour les efforts consentis en vue de faire de nous ce que nous sommes.

Nos sincères remerciements s'adressent directement à l'ASS.RUPHIN NYAMI pour votre assistance intellectuelle dudit travail.

Nous remercions également mes parents : NUMBI KABUITA Jean Malik et MBAYO Germaine pour m'avoir soutenu financièrement, matériellement, spirituellement ou moralement tout au long de notre parcours estudiantin.

Nous remercions également les frères et soeurs : KABUITA NUMBI Audry, SONGUE NUMBI Chatty, MUTOMBO NUMBI Mireille, NGANDU NUMBI Dalik, NGONGOLO NUMBI Jonathan, et KASONGO Princepour vos conseils et encouragement dans des périodes très difficiles durant ce parcours académique jusqu'ici.

Enfin, nous ne tournerons jamais cette page sans pour autant penser à tous mes compagnons de lutte qui dans les montagnes et vallées nous ont ténu cours :KASONGO MOKET Joseph, KADIATA MULANGU Eddy, et MWEPU KILUME Théo, ainsi qu'à toute la communauté estudiantine ; nos sincères remerciements.

Nos expressions de reconnaissance s'adressent également
d'une manière générale à laDirection générale des impôts (DGI) pour nous avoir accepté dans leur institution afin d'y mener nos recherches. Qui en dépit
de leurs multiples préoccupations ont voulu nous aider à obtenir tous les
renseignements nécessaires pour l'élaboration de ce travail, que Dieu la
bénisse.

INTRODUCTION GENERALE

1. CONTEXTE D'ETUDES

Nous rencontrons de millier d'entreprises non informatisé sur l'entendue de la capitale du cuivre, ceci suscite de dégâts et pertes de temps à cause de gestion qui s'effectue toujours manuellement. Une entreprise sérieuse doit être à la page avec l'outil informatique pour améliorer la qualité de son travail et sa gestion, mais aussi de faire évaluer la manière d'être avec les personnels.

2. PHENOMENE OBSERVE

Avant tout investigation, le chercheur doit connaître la raison de sa recherche pour bien collecter des informations y afférentes.

Dans le cadre de notre travail, nous avons fait nos investigations à la direction générale des impôts du haut Katanga, précisément à la division de recouvrement, dans sa gestion nous avons voulu décrire quelques difficultés rencontrées :

A ce jour, la perception de l'IPR entre la DGI et ses partenaires s'effectuent par supports papier communément appelés « Déclaration », en amont et en aval, « Note de perception ». Ces imprimés sont mis à la disposition des contribuables, gratuitement, sans tenir compte du coût lié à leur impression.

Cette situation a pour conséquences :

· les frais organisationnels qui pèsent lourd, avec le poids culturel du papier ;

· la difficulté au niveau de la consultation fiscale consolidée.

· C'est ainsi que cela nous a réveillé de proposer un logiciel informatiser qui va aider à bien faire ce travail aux normes du monde actuel

3. QUESTION DE DEPART

La question de notre recherche se résume en termes d'ensemble des problèmes anticipatifs que posent une science, un sujet d'étude dans un contexte idéologique donnée avec une étape de l'identification d'un ensemble des problèmes faisant corps avec la question de départ.

Par conséquent, face à ces difficultés mentionnées ci-haut, nous nous sommes posé la question suivante :

ü Quel mécanisme pouvons-nous appliquer afin d'arriver à réorganiser le système de perception d'impôts professionnels d'une manière rationnelle ?

4. OBJECTIF POURSUIVI

En s'appuyant sur l'analyse de cas de cette entreprise, l'objectif principal de cette recherche est de comprendre le dysfonctionnement du système de perception appliqué à la DGI et proposer des pistes de solution pour résoudre le problème qui crée ce système pour la performance organisationnelle ainsi que la recherche automatique des informations liés à la conception d'une application en cas de réclamation d'une vérification

5. JUSTIFICATION DE LA RECHERCHE

Dans le cas où il y'a beaucoup d'informations à traiter et où il faut donner une réponse immédiate, l'homme est rapidement débordé et il n'arrive plus à suffire à la tâche. A L'heure actuelle où les activités des diverses organisations deviennent de plus en plus complexes, la prise de décision s'avère difficile et importante. Comme les décisions doivent être efficaces et plus possible contemporaines aux activités en cours, il incombe souvent aux responsables dirigeants la lourde tâche de décider dans le délai très court sans perdre de vu que les contraintes du monde actuel.

Ainsi il n'est pas permis aux percepteurs de décidé intuitivement mais ils sont obligés de suivre un processus rationnel bien agencé basé sur des informations suffisantes et bien traitées selon les normes requises en vue d'atteindre les objectifs assignés. D'où la nécessité inévitable d'utiliser des méthodes modernes appropriées telle que la technique informatique qui est une science portant sur la collecte, le stockage, le traitement automatique, et la diffusion des informations éventuellement au moyen d'une technologie moderne telle que l'ordinateur en vue de permettre et aider à la prise de décision ainsi qu'à la conservation moins encombrante des informations dont l'accès devient fort aisé.

Dans cette même imagination, notre souci majeur est d'élaborer un travail scientifique pour pallier aux problèmes liés à la perception d'impôts dans cet établissement étatique afin de résoudre différentes difficultés constatées au sein de ce dernier.

Comme nous l'avons dit ci -haut, l'outil informatique est généralement indissociable à ce travail, car il nous permet bien à la prise de décision dans toutes les entreprises.

Avec un oeil d'un analyste, le choix de notre recherche n'est pas un fait du hasard, entant qu'un finaliste du premier cycle en informatique de gestion, notre réalisation apportera un souffle nouveau à tout établissements voulant appliquer le système et aux chercheurs de trouver nos oeuvres

C'est ainsi que notre recherche se justifie en trois volets :

· Sur le plan personnel :ce sujet nous sert de thème pour notre travail de fin d'étude et nous permet de mettre en pratique ce que nous avons pu acquérir en ce qui concerne la conception d'un système d'informations ainsi de prouver de quoi nous sommes capables de travailler d'une manière scientifique c'est-à-dire circonscrire une question, soulevé un problème, l'analyser enfin présenter les résultats.

· Sur le plan scientifique :nous estimons que notre travail pourra être une source d'inspiration, un miroir scientifique pour d'autres chercheurs qui vont s'engagés sur la même voie que nous.

· Sur le plan social :le produit fini de cette investigation va permettre à la direction générale d'impôts d'avoir un outil fiable de perception de ce dernier pour leurs partenaires et pour la bonne de marche de l'établissement.

6. DELIMITATION D'ETUDES

Pour la réalisation d'un travail scientifique, on exige du chercheur de faire une délimitation spatio-temporelle dans son champ d'investigation.

Dans l'espace, notre étude portera sur la perception d'impôt professionnels à la DPI /Lubumbashi.

Cette étude portera de l'analyse préalable jusqu'à la programmation, passant par l'analyse conceptuelle, logique et organisationnelle.

Dans le temps, nous considérons la période allant du 10 janvier au 12 juin. 2018. Cette période nous fournit des informations nécessaires pour connaitre la situation actuelle de la DPI.

7. STRUCTURE DE LA RECHERCHE

Hormis l'introduction générale et la concision générale, notre travail se subdivisera en quatre chapitres, à savoir :

v Chapitre I : la revue de littérature

Dans ce chapitre, il sera question de présenter des littératures et les publications sur la perception d'impôts ;

v Chapitre II : problématique et hypothèse

Ce chapitre sera consacré à l'analyse de phénomène observé à l'entreprise, critique et la proposition des solutions

v Chapitre III : méthodologie de recherche et champs empirique

Ce chapitre sera consacré à l'étude des modèles logiques et organisationnels.

v Chapitre IV : implémentation

Dans ce chapitre, seront présentés les aspects physiques de l'implémentation.

CHAPITRE I REVUE DE LITTERATURE

I.1 LA GRILLE DE LECTURE

Elle vise à faire le bilan de ce que l'on sait déjà sur la question de recherche. Elle est analytique dans la mesure où elle ne consiste pas à faire une liste des auteurs et des leurs idées, mais plutôt à identifier des tendances, des orientations et discutant les conséquences des choix qui fondent ces orientations, en mettant les auteurs en dialogue entre eux, et en soumettant leurs idées et leurs travaux à la critique. Elle démontre que l'on sait ce qui a déjà été fait, de façon à aller un peu plus loin.

Avant de ressortir l'analogie qui existe entre la présente étude et celle déjà menées par nos prédécesseurs, nous passerons en revue des théories ayant trait directe avec le présent thème :

NGANDU NUMBI DALICK « conception et réalisation d'un système informatique de perception d'impôt dans une entreprise publique ». Après recherche et analyse des données de cette investigation, le maitre d'ouvrage est tourmenté par la question suivante :

De quelle manière la mise au point d'un système automatiser serait -il à mesure de rationnaliser ce service ?

Soucier de cette problématique, l'auteur fait recours à une solution idéale pour maitriser la perception d'une manière automatisée des clients dans une institution est la conception et la réalisation d'une base de données capable de conserver toute les données en toute sécurité et fiabilité. En plus, cette base de données permettra la recherche rapide de d'éclations antérieures et la mise à jour automatique de la situation générale de toute l'organisation, ainsi cette solution va juger en majeur partie les difficultés soulevée dans la problématique. ( . T F C G3 INFO/I S S/2013)

NGOY KABEYA GEISHA « gestion informatisée de perception d'impôt professionnel »

Dans le présent travail, l'auteur a soulevé la quintessence en posant une question formulée comme suit : comment mettre en place une application de suivi des perceptions afin de faciliter la communication étroite et efficace entre les différents services de notre entreprise

Eu égard au grand nombre de problème à gérer, en effet, pour palier à ses difficultés, nous émettons l'hypothèse selon laquelle une application de suivi informatisée serait capable de gérer notre projet et permettrait à cette entreprise de :

· Mettre en place un dossier de contribuables (résultat d'un flux documentaire qui accompagne le client dans son parcourt). Dans le dossier se trouvant toutes les informations nécessaires de l'ensemble de la prise en charge du client ;

· Rechercher rapidement et efficacement les dossiers des contribuables ;

·  Faciliter l'accès aux informations ;

· Établir rapidement les différents documents (rapports)

· Stocker les informations sur des supports informatiques qui assureront leur sécurité.

SONGE NUMBI CHATTY « essaie de la mise en place d'une plateforme informatique à la direction provinciale d'impôts » » l'auteur se pose la question de savoir comment faire pour ne pas rendre un mauvais service aux clients ?

La lecture de contenus de cet ouvrage nous a ressorti une proposition à cette question, d'après l'auteur, la présence de l'outil informatique dans la perception de cette dernière serait d'un impact capital dans la prise décisions et dans le partage des données soit simultanément fait aux différents postes et éviter les encombrements et perte de temps pour rechercher un dossier. T F C G3 INFORMATIQUE /UPL/2013.

MASANGU NGOY LYDIA « conception et développement d'une application de gestion de perception d'impôt direct »l'auteur veut nous faire voir comment le monde a changé le visage grâce à la conception des programmes informatiques.

Il finit par une conclusion selon laquelle ils nous montrent que Le domaine des programmes informatiques fait l'objet depuis plusieurs années d'investigations ontologiques, l'enjeu étant de disposer de descriptions conceptuelles des programmes pour mieux maîtriser leur conception et leur utilisation.

A l'issue de nos démarches, nous démarquons des auteurs lus dans le sens que notre travail consistera à faire une application des perceptions d'impôts professionnels à la direction provinciale du haut Katanga ; c'est-à-dire enregistrer un nouveau contribuable et l'orienter selon sa déclaration, retrouver à moindre durée les anciens dossiers en cas de besoins, contrôler ces derniers tout au long de leur carrière et facilité la tâche de travail à l'aide de l'outil informatique au sein de la direction provinciale d'impôts du haut Katanga.

I.2.1 LES APPROCHES THEORIQUES

Nous pouvons dire que tous les auteurs précités ci-haut ils ont créé tout le monde une base de données pour la meilleure conservation des informations. Leurs applications sont incomplètes, la base de donnée et le bouton d'enregistrement ne suffisent pas, par ce que les utilisateurs auront besoin d'effectué plusieurs opérations par exemple : faire la recherche s'il y'a réclamation, supprimer les informations non importantes, modifier s'il y'a erreur, imprimer le reçues, etc. dans le but d'en léger les taches des travailleurs.

Pour notre part, à l'issu de nos investigations nous serons appelé d'ajouté ce que nos prédécesseurs n'ont pas pu réaliser dans leurs travaux, surtout au niveau de l'application, nous allons ajouter quelque bouton de commande comme : recherche, supprimer, modifier, imprimer, etc. tous ces boutons vont faciliter aux utilisateurs les traitements des informations a une très grande vitesse.

I.2.2 PARADIGMES MOBILISES

La conception d'un système n'est pas évidente car il faut réfléchir à l'ensemble de l'organisation que l'on doit mettre en place. La phase de conception nécessite des méthodes permettant de mettre en place un modèle sur lequel on va s'appuyer. La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle d'une réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels on s'intéresse. Ce type de modèle est appelé analyse. Il existe plusieurs méthodes d'analyse, la méthode la plus utilisée en France étant la méthode MERISE. Ce dans cette dernière que nous allons nous inspirer dans le but d'arriver à concevoir le système d'information basé sur la séparation des données et des traitements au service de perception d'impôts professionnel.

CHAPITRE II. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE

II.1 PROBLEMATIQUE

Avant toute investigation, le chercheur doit connaitre la raison de sa recherche pour bien collecter les informations y afférentes.

La recherche initie les étudiants aux contraintes de la recherche en pratiquant sur terrain ou dans les bibliothèques et les archives, les méthodes et techniques de recherche bien apprises. le chercheur doit montrer qu'il sait bien délimiter son objet d'étude, trouver et formuler une bonne problématique et des bonnes hypothèses, observer méthodiquement, enregistrer les données qu'il sait classer, interpréter et expliquer les données recueillies.

Le terme problématique est un concept complexe, vu qu'il existe autant des définitions, il y'a autant d'auteurs, mais toutes les définitions ressortent les éléments communs conduisant à une même idée à savoir :

La problématique est donc définie comme un concept qui désigne l'ensemble des problèmes anticipatif que soulèvent une science, un sujet d'études, dans le contexte idéologique donnée avec une étape de l'identification d'un ensemble des problèmes faisant corps avec la question de départ.

D'après le petit Larousse, la problématique est l'ensemble de questions qu'une science ou une philosophie pose dans un domaine particulier dont l'issue, la réalisation, l'action ainsi que la réalité est douteuse, aléatoire et hasardeuse.

C'est ainsi qu'après notre descente sur notre cas de recherche, nous nous sommes rendus compte que le système d'informations appliquer à ce service court derrière quelques problèmes sérieux notamment :

· La perte d'informations ;

· Une certaine lenteur lorsqu'il faut chercher les déclarations d'un ancien partenaire et enregistrer celles du nouveau.

· la perception de l'IPR entre la DGI et ses partenaires s'effectuent par supports papier communément appelés « Déclaration »,

Ceci nous a amené à nous poser une question très importante à savoir :

· Comment réorganiser le système en rapport avecla perception d'impôts professionnel afin de rendre cette tache simple et rapide ? Celle-ci est la question au quelle nous tenterons de répondre tout au long de ce travail.

II.2 HYPOTHESES

Il est donc préférable d'aborder la recherche avec quelques idées préalables.

Dans un travail scientifique, l'hypothèse est définie comme étant une idée directrice, une tentative d'explication des faits formulées au début de la recherche, destinée à guider l'investigation et à être abandonnée ou maintenue d'après les résultats de l'observation ; soit c'est donc une supposition que l'on fait pour un problème, laquelle peut être infirmée ou confirmée après enquête et traitement des données.

D'après LOUIS MPALA MBABULA, l'hypothèse est une réponse provisoire donnée aux questions de la problématique. Elle servira de fil conducteur, car elle est une conjoncture ou une proposition de réponse à la question posée. A dire vrai, l'hypothèse est le point de départ d'une investigation scientifique.

Par rapport à la problématique, plusieurs paramètres sont successibles à la collecte des données et du traitement, étant donné que l'informatique est de nos jours un meilleur outil par excellence qui procure la rapidité et l'automatisation, source de précision et d'exécution, nous pouvons en s'avoir que l'ordinateur s'avère un outil indispensable dans toute gestion d'une organisation actuelle ainsi, nous proposons ici mettre en place une application informatisée qui serait une solution optimale aux méfaits que connait le système de la perception d'impôts au sein de la Direction provinciale du haut Katanga D.P.I.

II.3 DEFINITION DES CONCEPTES

II.3.1 DEFINITION DES CONCEPTES FONDAMENTAUX

· Mise en place :Dans le dictionnaire la mise en place elle est définir comme étant une action de mettre quelque chose à part. Et en informatique elle est défini comme ; étant une suit de mettre en oeuvre un système ou un programme informatique.

· Application :c'est un programme informatique qui fait référence a un jeu d'instructions, exécutants une fonction ou une procédure spécifique

· Informatique :le mot informatique date de 1962 il est tiré de deux mot : information et automatique. L'histoire de l'informatique est justement marquée par la volonté des hommes d'automatiser certaines tâches longtemps réalisé à la main en particulier le calcul. C'est ainsi que l'informatique se définie comme étant une science de traitement automatique de l'information au moyen d'une machine appelée « ordinateur ».

· Perception :Est une recette, recouvrement, mais dans le cadre de notre recherche, la perception est un service mise en place par une organisation qui s'occupe de la perception de tous les impôts lier à une déclaration

· Impôt : c'est un prélèvement obligatoire effectué par voie d'autorité par la puissance publique (L'Etat et ses collectivités territoriales) sur les ressources de personnes vivantes sur son territoire ou y possédant des intérêts.

· Professionnel : celui qui fait profession d'un métier, d'un art ou d'un sport.

· Rémunération : la rémunération est le prix d'un travail fourni ou des services rendus

II.3.2 DEFINITION DES CONCEPTES LIES AU DOMAINE INFORMATIQUE

INFORMATIQUE DE GESTION : l'informatique de gestion caractérise l'utilisation de l'outil informatique pour simplifier la gestion administrative de l'entreprise, du suivi des clients jusqu'à la fiche de paye de l'employé en passant par les relations avec les fournisseurs (facturation, comptabilité). Elle est étroitement liée au système d'informations de l'entreprise et prend la forme des grandes entreprises d'un progiciel intégré.

a) INFORMATION : une information est un élément de connaissance susceptible d'augmenter le degré de la connaissance d'un individu sur une matière donnée.

b) UNE DONNÉE : une donnée est une représentation d'une information sous une forme conventionnelle (codée) destinée à faciliter son traitement.

c) SYSTÈME D'INFORMATION : l'entreprise est un complexe dans lequel transitent de très nombreux flux d'informations, sans un dispositif maitre de ces flux, l'entreprise peut très vite être dépassés est ne plus fonctionner avec une qualité de service satisfaisante. L'enjeu de toutes entreprises quel que soit de négoce, industrielle ou de service consiste donc à mettre en place un système destiné à collecter, mémoriser, traiter et distribuer l'information. Ce système d'information assurera le lien entre deux autres systèmes de l'entreprise : le système opérant et le système de pilotage.

C'est ainsi qu'on définit le système d'information comme tout l'ensemble d'éléments (matériels ou non) transforment des éléments d'entrée en éléments de sorties que l'on considère comme le flux d'entrés et de sorties.

d) SYSTÈME INFORMATIQUE : un système informatique est un ensemble d'équipements destiné au traitement automatique d'informations.

e) LOGICIEL : c'est un ensemble de programmes constituant les dispositifs de base qui permet de faire fonctionné un ordinateur.

II.3.3 DEFINITION DES CONCEPTES LIES AUX MATERIELS INFORMATIQUE

ORDINATEUR : un ordinateur est l'ensemble des circuits électronique permettant de manipuler des données sous forme binaire, c'est-à-dire sous forme de bit. Le mot « ordinateur » provient de la société IBM France. FRANÇOIS GIRARD, alors, responsable du service promotion générale de publicités de l'entreprise IBM France, eut l'idée de consulter son ancien professeur de lettres à PARIS, afin de lui demander de proposer un mot caractérisant le mieux possible de que l'on appelait vulgairement un « CALCULATEUR » (traduction littérale du mot anglais « COMPUTER »). Ainsi, JACQUES PERRET, agrégé de lettres professeur de philologie latine à la Sorbonne, propose le 16 avril 1955 le mot « ORDINATEUR » en précisant que le mot ordinateur était un adjectif provenant du latin « ORDINARE » signifiant « Dieu mettant de l'ordre dans le monde ».

a. COMMUTATEUR : un commutateur dit encore couramment un SWITCH, est un périphérique permettant de relier des machines au sein d'un même réseau local, il possède d'acheminement sélectif des informations vers certaines machines du réseau en utilisant les adressages correspondant.

b. LE ROUTEUR : un routeur est un périphérique permettant de relier deux ou plusieurs réseaux, il intervient surtout dans la régulation du trafic dans le grand réseau.

c. LE SERVEUR : un serveur est une machine centrale doté de très grande capacité de fonctionnement et qui souvent centralise le fonctionnement d'une entreprise.

d. MODEM : un modem est une abréviation de « modulateur de modulateur » il s'agit d'un périphérique permettant de moduler et de moduler une information.

e. IMPRIMANTE : est un élément périphérique d'un ordinateur qui sert à la reproduction sur papier de documents d'abord enregistre sur un support informatique.

f. CLAVIER : est un périphérique d'entre qui permet la saisie des informations une direction de l'ordinateur.

g. SOURIS : est un outil indispensable. Elle nous permet de piloter notre ordinateur : sélectionner, déplacer manipuler des éléments présents dans notre ordinateur. Elle comprend boutons : Clic gauche ; clic droit.

CHAPITRE III METHODOLOGIE DE RECHERCHE ET CHAMPS EMPIRIQUE

Section 1 champs empirique

III.1.1 PRESENTATION DE L'ENTREPRISE

La décision de lancer une nouvelle application ou de modifier une application qui existe a des conséquences importantes au plan de l'organisation, au plan des méthodes des gestions, au plan des conditions économiques de fonctionnement. Par conséquent, cette décision doit être préparée par une étude préalable qui, à partir d'un diagnostic de la situation actuelle, débauche sur une ébauche des solutions.

Beaucoup d'applications informatiques ont pour origine l'émergence d'un besoin. Ce besoin peut être formulé par un utilisateur ou découler de l'observation d'incident dans une activité de l'entreprise.

C'est ainsi que notre choix d'étude est porté sur la direction provinciale des impôts du haut Katanga qui est pour nous un champ du présent travail, cette direction est situé au croisement des avenues SENDWE N°1575 quartier dans la commune de LUBUMBASHI

III.1.2 BREVE HISTORIQUE DE LA SOCIETE

Dans le temps, il y avait une Direction de contribution qui dépendait du Ministère ayant les finances dans ces attributions. Après comparaison des recettes fiscales, on a pu constater que celle-ci ne contribuait pas comme il fallait dans le budget de l'Etat d'où il fallait un mécanisme pour parer à cette situation.

Après études, il y'a eu création de la Direction Générale des contributions par l'ordonnance n° 88/039 du 10 Mars 1988, cette dernière est devenue souple en faisant sa politique propre entérinée par le Ministre ayant les finances dans ces attributions. Elle a fait sa politique financière dans la motivation des agents et le fonctionnement de sa Direction. Grâce à une allocation budgétaire ne lui allouer que celle de 50% des pénalités fiscales recouvrées.

Vu la nécessité de s'adapter aux nouvelles structures de la DGC (Direction Générale des Contributions) pour une grande efficacité de la mobilisation des recettes et sur proposition du Ministère des finances et budget, du Ministère ayant les finances dans ses attributions, un service doté d'une autonomie administrative et financière dénommée « Direction Générale des Impôts ». La différence entre DGC et DGI consisterait à toutes les missions et prérogatives totales en matière fiscales données à la DGI.

La DGI exerce ses compétences de manière exclusive sur toute l'étendue du territoire national.

A cet effet, la DGI est chargée d'étudier, de soumettre à l'autorité compétente des projets des lois, des décrets et arrêtés en la matière. Elle doit être consultée pour tout texte ou convention à incidence fiscale à tout agrément d'un projet d'investissement à un régime fiscal dérogatoire.

III.1.3 STRUCTURE ADMINISTRATIVE

La DGI étant un service générateur des recettes est représenté dans chaque province par la DPI.

La DPI est chargé dans ses ressorts des tâches non dévolues à l'administration centrale et à la Direction des Grandes Entreprises (DGE). Elle exerce sa compétence en matière des ressources humaines, et services généraux, de contrôle fiscal, de recouvrement, de contentieux, de taxation et documentation, d'informatique. Elle a en son sein des services extérieurs dénommés « centre des impôts » anciennement appelé « ressort ».

Le centre des impôts est chargé de la gestion des contribuables, personnes physiques sans préjudice pour la DPI/Haut Kat. Nous avons les centres ci-après :

§ Centre des impôts de LIKASI : qui gère les contribuables de toutes la commune.

Ces centres s'occupent réellement des contribuables de petite et moyenne entreprises (PME).

Ils sont éparpillés sur toutes l'étendue de la province du Haut-Katanga comme centres des impôts de : LIKASI KASUMBALESA...

· OBJET SOCIAL

La DPI ayant pour mission :

D'exercer dans le cadre des lois et règlement en vigueur, toute prérogative, toute mission en matière fiscale. Les prérogatives concernant l'établissement de l'assiette, de contrôle, le recouvrement et le contentieux des impôts, taxes, redevances à caractère fiscal ;

D'étudier et soumettre à l'autorité compétente les projets d'arrêtés, d'ordonnances et des lois en matières fiscales ;

Etre conseiller pour toute convention à incidence fiscale ou tout agrément d'un projet d'investissement à un régime fiscal dérogatoire ; n'a pour objet social de maximiser les recettes de l'Etat.

III.1.4 ORGANIGRAMME DE L'ENTREPRISE

III.1.5ACTIVITE DE DIFFERENTS POSTES DE L'ORGANIGRAMME

1) Directeur provincial(DP) : Il supervise et coordonne l'ensemble des activités de la DGI. A ce titre, il dispose de tous les pouvoirs nécessaires et reconnus par les lois et règlements en vigueur pour l'accomplissement des tâches lui confier, il gère le personnel, les crédits ainsi que les biens meubles et immeubles présents et à venir, mis à la disposition de la DPI.

2) Division de contentieux : Cette division traite des contestations nées de l'action de service de la Direction Générale à l'encontre des contribuables, relevant de sa compétence. Mais, elle peut aussi être chargée de tout dossier, contentieux sur décision du Directeur général.

3) Division de recouvrement : Dirigé par un chef de division, cette division à pour attribution : La définition de la stratégie ainsi que des objectifs quantitatifs en matière de recouvrement ; L'élaboration, la coordination, l'harmonisation et la supervision des procédures de recouvrement et des poursuites ; Le suivi des statistiques des recettes et du compte du receveur des impôts au regard des encaissements.

4) Division du contrôle fiscal : Dirigé par un chef de division, cette division a pour tâches : La coordination du programme de contrôle fiscal ; La définition de la politique en matière des répressions des infractions et de suivi des relations avec le parquet et les juridictions répressives ;

La fixation des objectifs quantitatifs et qualitatifs de contrôle ;

L'assistance, le cas échéant des services opérationnels dans le traitement des dossiers importants en la matière ;

L'élaboration de coordination et la supervision des procédures, techniques et méthodes de contrôle.

5) DIVISION DE TAXA & DOCUMENTATION

Cette Division à comme tâche :

· La tenue de l'actualisation du suivi de répertoire des contribuables ;

· La gestion du système d'attribution du numéro impôt ;

· L'identification des contribuables.

Cette division contient deux bureaux :

ü Bureau taxation : qui s'occupe de déterminer, d'évaluer, de calculer l'impôt c'est-à-dire asseoir l'impôt et de tout dépôt des déclarations à l'échéance.

ü Bureau Documentation : qui s'occupe des dossiers uniques de contribuables et la gestion de répertoires, la constitution et la conservation des dossiers ouverts au nom de

Chaque contribuable dont la gestion relève de la Direction Générale

6) DIVISION DE L'INFORMATIQUE

Dirigé par un chef de Division, elle a pour attribution :

L'élaboration des cahiers de charges des projets informatiques ;

L'analyse, le développement, l'implantation et la maintenance des applications et des équipements ; La gestion des systèmes d'exploitation.

III.1.6 DESCRIPTION DE DOCUMENTS

Nous allons présenter tous les documents utilisés dans l'entreprise et en suite en faire une étude afin de proposer une solution.

Chaque document émis, reçu ou conservé à un poste doit être enregistré et analysé.

A partir de chaque document, on procède à la reconstruction du graphe de circulation et on obtient ainsi une bonne représentation des procédures. De ce fait, nos recherches nous ont conduits aux documents suivants :

1 RELEVE DE ENCAISSEMENTS JOURNALIERS /DGI

Ce document contient les informations suivantes :

ü Identité Bank

ü Nom de la Bank

ü Numéro contribuable

ü Dénomination contribuable

ü Numéro impôt contribuable

ü Nature de paiement

ü Montant

ü Référence de paiement

ü Numéro attestation

ü Date de paiement

2 BORDEREAU DE VERSEMENT

Sur ce document nous avons trouvés les informations tel que :

ü Numéro contribuable

ü Nom contribuable

ü Post nom contribuable

ü Adresse contribuable

ü Montant à peyer

ü Coupure

ü Nombre

ü Date

3 DECLARATION MENSUELLE DES IMPOTS PROFESSIONNELLES

Ce document contient des informations entre autre :

ü IdDGI

ü Numéroimpôt

ü Adresse postale

ü Numérotéléphone

ü Adresse E-mail

ü Nom contribuable

ü Adresse physique contribuable

ü Catégorie salariale

ü Mode de paiement

ü Montant à paie

ü Date de paiement

v INVENTAIRE DES RUBRIQUES

L'inventaire des rubriques autrement appelé « inventaire des données » c'est un tableau qui répertorie un ensemble de données prises sur les documents utilisés dans le système ou domaine étudié.13 C'est une étape dans l'analyse qui permet d'inventorier les rubriques (d'information atomique) qui proviennent des documents existants en les représentant dans le tableau dont le nombre des colonnes correspond au nombre des documents et le nombre des lignes correspond à celui des rubriques se trouvant sur les documents. Lorsqu'une information est trouvée sur le document on place un astérisque (*) à l'intersection de la ligne représentant l'information et la colonne représentant le document

PROPRIETES

RELEVE DES ENCAISSEMENTS JOURNALIERS/DGI

BORDEREAU DE VERSEMENT

DECLARATION MENSUELLE DES IMPOTS

1

Idcontribuable

*

*

*

2

Nom contribuable

*

*

*

3

PostNomContribuable

*

*

*

4

Adresse contribuable

 

*

 

5

Montant

*

*

*

6

Coupure

 

*

 

7

Nombre

 

*

 

8

date paiement

*

*

*

9

Num_Impot

*

*

*

10

libelle

*

 

*

11

échéance

 
 

*

12

taux

 
 

*

13

Num_bord

 
 

*

14

Numcompt

*

*

*

15

montant

 
 

*

16

nom banque

 
 

*

III.1.7 DICTIONNAIRE DE DONNEES

Le dictionnaire de données est un tableau qui est construit à partir des informations ou données recensées sur les différents documents. La structure de données va être constituée par les données élémentaires de base (non calculées). Chaque donnée sera :

· Identifier par un nom,

· Définie par un type,

· Caractérisée par un domaine de définition (alphanumérique(AN) ou numérique(N),

· Caractérisée par une taille,

· Associée à une règle de gestion.

 

PROPRIETES

DESIGNATION

TYPE

TAILLE

DOMAINE

REGLE

1

Idcontribuable

Identité contribuable

NC

15

AN

 

2

Nomcontribuable

Nom contribuable

NC

20

AN

 

3

PostNomCcontribuable

Post nom contribuable

NC

12

AN

 

4

Adressecontribuable

Adresse contribuable

CN

12

AN

 

5

Montant

Montant à paie

NC

10

AN

 

6

Coupure

Coupure

NC

5

AN

 

7

Nombre

Nombre

NC

6

N

 

8

Datepaiement

Date de paiement

NC

10

DATE

Jj/mm/aaaa

9

Num_impot

Numéroimpôt

NC

9

AN

 

10

Libelle

Libellé

NC

12

AN

 

11

Echeance

Echéance

NC

8

AN

 

12

Taux_impot

Taux impôt

NC

9

N

 

13

Num_bord

Numéro bordereau

NC

6

AN

 

14

Num_compt

Numéro banque

NC

10

AN

 

15

Montant

Montant

NC

15

N

 

16

Nom_banque

Nom de la banque

NC

16

AN

 

III.1.8 MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION

Le modèle conceptuel de communication appeler autrement graphe des flux, nous facilite la démonstration d'une manière graphique les échanges des informations entre les différents acteurs. Ce diagramme donne une vue d'ensemble (la cartographie) de la circulation des informations (les flux) entre les acteurs internes ou externes qui participent à un domaine d'étude.

· DESCRIPTION TEXTUELLE

La description des traitements est une partie dans laquelle nous présentons les personnes qui entrent en jeux pour le processus des perceptions d'impôts professionnels, les liens entre eux, et de quelle manière ilscommuniquent.

Voici comment circule le flux d'information à ce qui concerne la perception d'impôts professionnels : le contribuable se présente avec ses documents devant le banquier, puis le banquier procède au contrôle des documents. Si les documents sont complets ; le banquier donne au contribuable le formulaire de choix du mode de paiement et ensuite le bordereau lui sera remis dont il présentera son impôt. Apres la présentation de son impôt un reçu lui est donner pour garantir le paiement. Enfin le banquier transmettra une copie de preuve de paiement à la DGI.

· Tableau des acteurs

Ici, il s'agit d'un tableau répertoriant les personnes physiques qui interviennent lorsqu'il faut percevoir l'impôt professionnel dans cette entreprise publique.

NOM ACTEUR

TYPE

SIGNIFICATION

1

CONTRIBUABLE

EXTERNE

Acteur qui verse l'impôt à la DGI

2

BANQUIER

INTERNE

Acteur qui reçoit l'impôt payé par le contribuable

3

AGENT DGI

INTERNE

Acteur au service de la déclaration d'impôt à la DGI

GRAPHE DE FLUX

Dans ce chapitre de notre travail, le graphe de flux nous permet de représenter schématiquement la communication entre les acteurs et la circulation des informations au sein de cette entreprise

8

5

4

2

.

CONTRIBUABLE

6

1

BANQUIER

3

7

8

9

AGENT DGI

LEGENDE

1 Documents présenté

2 Vérification documents

3 Mode de paiement présenté

4 Choisir mode de paiement

5 Bordereau présenté

6 Remplir

7 Paiement

8 Reçu remis

9 Preuve de paiement

DIGRAMME DE CIRCULATION DES INFORMATIONS

Le diagramme de circulation des informations est un tableau, d'une manière graphique entre les postes de travail. Dans cette représentation les nombre des colonnes équivaut au nombre des postes de travail

CONTRIBUABLE

BANQUIER

AGENT DGI

Reçu

Remplir

Bordereau présenté

Choisir mode de paiement

Mode de paiement

Arriver contribuable

Vérification

Paiement

Vérification

Mode de paiement remis

Vérification documents

Documents présenté

Preuve de paiement

 
 
 
 

Section 2 méthodologie de recherche

III.2.1 CONCEPTION DUSYSTEME D'INFORMATION

INTRODUCTION

Ce point intitulé conception du nouveau système est une partie où la solution proposée vers la fin de notre deuxième chapitre est bel et bien présentée et expliquée ; c'est-à-dire qu'il est ici question d'un nouveau système d'informations approprié pour la perception d'impôt et les explications sur celui-ci : la manière dont il faut l'utiliser, les éléments et les documents qu'il faut pour l'utiliser, les acteurs qui entre en jeux pour son utilisation, et la manière dont il faut faire circuler les informations entre ces acteurs.

Sans plus tarder, voici comment les données sont présentées et traitées dans ce nouveau scénario :

III.2.2CONCEPTS FONDAMENTAUX

a. PROPRIETE : est le plus petit élément d'information ou information atomique. C'est -à-dire non décomposable qui répond à un besoin de gestion dans l'organisation. Elle est une information de base du système d'information, caractérisée par un nom et un domaine, elle dispose d'un type, elle peut être numérique, leur longueur peut être aussi définie

b. OCCURRENCE : une occurrence est une valeur d'une propreté. Donc c'est un contenu d'une propriété.

c. ENTITE OU OBJET : c'est un objet concret ou abstrait de la réalité pour laquelle on souhaite connaitre et enregistrer des informations. C'estenfin une représentation d'un élément matériel ou immatériel du monde réel ayant un rôle dans le système où l'on voudraitopérer.Elle est définie par un nom, et une liste de propriétés (rubriques), qui la caractérise. Elle doit avoir au moins une propriété. L'identification des entités à modéliser constitue la première étape de représentation logique des données.

d. ATTRIBUT : un attribut est une propriété caractéristique d'une entité qui est utile ou nécessaire, mais pas forcément pertinente pour décrire la réalité perçue. Il prend une valeur bien précise pour chaque occurrence d'une entité.

e. CARDINALITE : c'est un lien entre une entité et une association, elle est minimum et maximum, de fois une occurrence de l'entité peut être concernée par l'association. Selon MICHELE DIVINE, la cardinalité d'une occurrence d'individu dans une relation donnée est le nombre d'occurrence de relations que possède cette occurrence d'individu (entité) via la relation.

f. IDENTIFIANT OU CLE PRIMAIRE : l'identifiant est un attribut (ou le plus petit sous ensemble d'attribut) permettant de repérer de manière unique une occurrence parmi toutes les occurrences possibles d'une entité. C'est en d'autre terme une propriété particulière d'un objet. Ainsi, chaque individu d'une entité doit être indentifiable de manière unique. Elle permet de connaitre de façon sûre et unique l'ensemble des propriétés qui participent à l'entité.

g. CLE ETRANGERE : un attribut X est une clé étrangère d'une relation R1 s'il existe une relation R2 possédant X comme clé primaire.

h. ASSOCIATION : elle est un lien sémantiquequi existe entre une ou plusieurs entités. à la différence d'entités, une association n'a pas d'existence propre, elle n'existe qu'en fonction des entités qu'elle relie. Elle est caractérisée souvent par une forme verbale, symbolisée par un ovale ou un cercle. Elle doit répondre à un besoin de gestion (ce qui veut dire, elle doit être utile et utilisable dans l'organisation).

i. DEPENDANCE FONCTIONNELLE : cette dépendance fonctionnelle fut introduite par le père du modèle relationnel (CODD) afin de caractériser des relations qui peuvent être décomposées sans perde d'informations. Un attribut (ou groupe d'attributs) y dépend fonctionnellement d'un attribut (un groupe d'attributs) X si la connaissance d'une valeur de X lui fait correspondre une valeur unique de Y. en d'autre terme, la connaissance de X entraine la connaissance de Y. ceci veut dire « Y dépend fonctionnement de X »ou « X détermine Y ».

j. FORMES NORMALE : la forme normale est une opération qui consiste à examiner dans quelle condition une relation R souffrant des quelques anomalies peut être remplacée par deux relations normales R1 et R2 soit plus petit que celui de R et que R1 et R2 contiennent les mêmes informations que R. elle comprend trois formes normales qui sont présentée ci-dessous :

· Première forme normale (1FN)

Une relation R est en 1FN si tout attribut contient une valeur atomique (élémentaire) en fixant la clé. Ce qui veut dire qu'il existe au moins une clé caractérisant chaque occurrence de l'objet représenté.

· Deuxième forme normales (2FN)

Une relation R est en 2FN si elle est en 1FN toutes les dépendances qui portent de la clé vers les autres attributs sont totales.

· Troisièmes forme normales (3FN)

Une relation R est en 3FN, toutes les dépendances de la clé vers les autres attributs sont directes, ce qui veut dire, tout attribut n'appartenant pas à la clé ne dépend pas d'un attribut non clé.

III.2.3 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)

Le modèle conceptuel de données est une représentation statique du système d'information, il est une représentation de la sémantique de données qui sont utilisées par le système. Le MCD c'est un modèle ayant comme but de d'écrire de façon formelle les données qui seront utilisées par le système d'information ; c'est une représentation des données, facilement compréhensible, permettant de décrire le système d'information à l'aide d'entités (représentation d'un élément matériel ou immatériel ayant un rôle dans le système que l'on désire décrire).14 Le MCD est l'élément le plus connu de MERISE et certainement le plus utile. Il permet d'établir une représentation claire des données du SI. Avant de réfléchir au schéma d'une application, il est bon de modéliser la problématique à traiter d'un point de vue conceptuel et indépendamment du logiciel utilisé.

III.2.4 MATRICE DE DEPENDENCE FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE

Dans cette matrice, on définit les dépendances entre les identifiants mono- propriété (source simple) et les autres propriétés. Elle est une matrice carrée dans laquelle sont représentées toutes les dépendances fonctionnelles dont la source (clé primaire) est constituée d'un seul attribut. On représente la clé par le caractère « * » et la dépendance par le chiffre « 1 ».

SOURCE

BRUTE

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

1

Idcontrib

*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

2

Nomcontrib

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

3

Postnomcontri

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

4

Adressecontrib

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

5

Montantpaie

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

6

Coupure

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

7

Nombre

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

8

Datepaiement

1

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

9

Num_impot

 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 
 
 
 
 

10

libelle

 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 

11

echeance

 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 

12

Taux_impot

 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 
 
 
 
 

13

Num_bord

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*

 
 
 

14

Num_compt

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 

15

montant

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 

16

Nom_banque

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1

 
 
 

III.2.5MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE COMPOSEE.

La matrice de dépendances fonctionnelles à source composée est un tableau spécifique composée des sources des dépendances fonctionnelles simples ou mono- propriété et des propriétés non utilisées dans la matrice de dépendance fonctionnelle à source simple ; c'est une étape qui existe lorsqu'il y a les propriétés non utilisés dans la matrice de dépendance fonctionnelle à source simple. Et comme il n'existe pas des propriétés indépendantes dans notre matrice de dépendance fonctionnelleà source simple, cette étape ne peut pas avoir lieu

III.2.6 MATRICE DES CLES

Il s'agit ici d'un tableau rempli à partir des propriétés identifiants dans la matrice de dépendance fonctionnelle à source simple, tout en observant une propriété qui peut identifier l'autre. Nous mettons l'Astérix (*) sur la propriété identifiant l'autre, et un (1) sur la propriété identifiée tout en respecter les colonnes de ces propriétés

PROPRIETES

1

2

3

1

Idcontribu

*

 
 

2

NUM_IMPOT

 

1

 

3

NUM_bord

 
 

*

III.2.7GRAPHE DES CLES

Le graphe de clés, à la suite de la matrice de clés, représente graphiquement les relations entre les identifiants.

IdcontribNumbord

I

Num_Impot

III.2.8 STRUCTUTE D'ACCES THEORIQUE (S.A.T)

Numbord

La structure d'accès théorique est une représentation du graphe des identifiants. Elle est établie en ajoutant au graphe des clés les différentes propriétés en dépendance fonctionnelle avec les identifiants.

-num_bord

-num_compt

-montant

-nom_banque

-Nomcontrib

-Postnom

-Adresse

-Montant

-Coupure

-Nombre

-date

Idcontri

-libelle

-echeance

-taux_impot

Num_Impot

III.2.9 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)

On transforme la structure d'accès théorique en modèle entité-association. Ce modèle estensuite complété par la notion des cardinalités.

Declarer

Detedec

Montant

Periode

IMPOT

Num_Impot

Libellé

Échéance

Taux Impôt

CONTRIBUABLE

-Idcontrib

-Nomcontrib

-Postnom

-Adresse

-Montant

-Coupure

-Nombre

-date

(1, n)

(1, n)

(1, n)

Appartenir

BORDEAU

-num_bord

-num_compt

-montant

-nom_banque

(1, 1)

III.2.10 TABLEAU DE CARDINALITES

Les règles des gestions et/ou le bon sens permettant de préciser les cardinalités des liens entre les entités et les associations en donnant le minimum et le maximum de la participation d'une entité dans une association

ASSOCIATION

ENTITE

CARDINALITE

SIGNIFICATION

1

DECLARER

CONTRIBUABLE

(1, n)

Le contribuable peut déclarer un ou plusieurs impôts à la DGI

IMPOT

(1, n)

Un impôt peut être Peyer par un ou plusieurs contribuable

2

APPARTENIR

CONTRIBUABLE

(1, n)

Le contribuable peut appartenir à un ou plusieurs bordereaux

BORDEREAU

(1, 1)

Un bordereau appartient à un et un seul contribuable

III.3.1 MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT

INTRODUCTION

Les traitements constituent la partie dynamique du système d'information. Il décrit les opérations à effectuer sur les données pour les transformer en résultats attendus par les utilisateurs.

Dans la construction du système d'informations, l'aspect de traitement est le plus sensible pour les gestionnaires. L'articulation des opérations, leurs enchainements dans le temps, la définition des règles de gestions à appliquer traduit directement leurs activités quotidiennes.

Ainsi, l'élaboration du modèle de traitement apparait comme la phase clé de la conception des systèmes d'information. Le modèle de traitement a pour objectif de décrire le contenu (quelle opération ? quels résultats ?) et la dynamique (déroulement dans le temps) des activités d'un domaine de l'organisation d'une manière indépendante des choix d'organisation (lieu d'exécution et durée de l'opération) et des moyens utilisés. Ce modèle va exprimer à travers une représentation schématique (langage graphique) un accord des personnes concernées sur les principes fonctionnels du traitement.

A travers le modèle conceptuel de traitement, on cherche à répondre à la question « QUOI FAIRE ? », on espère ainsi obtenir un modèle stable, invariant par rapport aux choix d'organisation et aux choix techniques

DEFINITION DE CONCEPTS DE BASE

Evènement : on appelle évènement un fait dont l'apparition va déclencher une réaction au sein de l'organisation ou dans le domaine. L'occurrence (la réalisation) de l'évènement entraine le déroulement d'activités ou d'opération.

a) Opération : on appelle opération un ensemble d'actions exécutées par le système suite à un évènement ou à une conjonction d'évènements. Soit une opération est toute action (ou ensemble d'action) déclenchée pour réagir à un évènement ou plusieurs évènements. Une opération produit un ou plusieurs résultats. Elle est identifiée par un nom.

b) Résultat : on appelle résultat ce qui est produit par l'exécution d'une opération. Un résultat peut être un document, un message externe, un nouvel état du système d'information (nouvelle situation, nouvelle données) crée par une opération qui peut être lui-même les rôles d'évènement.

c) Synchronisation : la synchronisation exprime sous forme d'une propriété logique le fait que l'opération peut être déclenchée ou non. Elle est exprimée par une expression booléenne (logique) liant les évènements déclenchant l'opération. Les opérations logiques de base sont : ET, OU, et NON

Règle d'émission des résultats (R.E.R) : Une règle d'émission des résultats est une forme d'expression logique qui définit les conditions auxquelles est soumise l'émission de plusieurs résultats par une opération. Donc une règle d'émission des résultats est une condition définie dans une opération pour produire plusieurs résultats alternatifs

d) Graphe de flux :

· Flux : un flux est un échange entre un acteur avec lui-même ou entre deux acteurs. Par formalisation graphique, tout flux sera représenté par une flèche orientée de l'émetteur vers le récepteur. Il est toujours porteur d'un message, c'est-à-dire il est toujours porteur d'information du système

e) Matrice de flux : c'est une matrice carrée, en lignes et colonnes on a des acteurs et une intersection entre ligne et colonnes continent un ou plusieurs échanges.

f) Tableau de flux : c'est un tableau qui contient tous les flux, et uneligne décrit en détail un flux (nom, émetteur, récepteur, données, explication).

g) Graphe d'ordonnancement des évènements : c'est un graphe qui ordonne les évènements internes. Un G.O.E est orienté horizontalement ou verticalement. Dans un G.O.E un segment va représenter une opération et un arc représente un évènement déclenchant l'opération ou un résultat produit par l'opération.

III.3.2 TABLEAU DE FLUX

NOM FLUX

EMETTEUR

RECEPTEUR

DONNEE

SIGNIFICATION

1

Documents présentés

contribuable

banquier

document

Le contribuable présente les documents au banquier

2

Vérification documents

banquier

banquier

Identité contribuable

Le banquier vérifieles documents du contribuable

3

Mode de paiement présenté

banquier

contribuable

-cheque

-virement

-espèce

Le banquier présente le mode de paiement au contribuable

4

Choisir mode de paiement

contribuable

contribuable

-cheque

-virement-espèce

Le contribuable fait le choix du mode de paiement

5

Bordereau présenter

banquier

contribuable

-idcontrib

-nom

-postnom

Le banquier donne au contribuable le bordereau de paiement

6

remplir

contribuable

contribuable

-idcontrib

-nom

-Postnom

Le contribuable rempli le bordereau de paiement

7

paiement

contribuable

banquier

billets

Le contribuable paiement l'impôt

8

reçu

banquier

contribuable

-idcontrib

-nom

-Postnom

Le banquier donner le reçu de paiement au contribuable

9

Preuve de paiement

banquier

DGI

-idcontrib

-nom

-postnom

Le banquier transmet la preuve de paiement à la DGI

III.3.3 TABLEAU DES EVEMENTS

Par définition, un évènement est un fait qui déclenche une réaction à son apparition dans le système. Tout le flux dont les récepteurs sont des acteurs interne automatiquement ils deviennent des évènements, ainsi le type d'un évènement dépend de son émetteur.

NOM FLUX

EMETTEUR

RECEPTEUR

TYPE

DONNEE

SIGNIFICATION

1

Documents présentés

contribuable

banquier

externe

document

Le contribuable présentées documents au banquier

2

Vérification documents

banquier

banquier

interne

Identité contribuable

Le banquier vérifieles documents du contribuable

3

paiement

contribuable

banquier

externe

billets

Le contribuable paiement l'impôt

4

Preuve de paiement

banquier

DGI

 

-idcontrib

-nom

-Postnom

Le banquier transmet la preuve de paiement à la DGI

III.3.4 TABLEAU DES ACTIONS INDUITES

La construction de ce tableau est comme suite : à partir du tableau des évènements, considérons un évènement, pour chaque évènement, chercher les actions induites par cet évènement et les résultats produits par l'exécution de ces actions à partir des règles de gestion et du bon sens.

NOM EVENEMENT

RECEPTEUR

ACTION

RESULTAT

1

Documents présentés

banquier

vérifier

-documente complet

-document incomplet

2

Vérifier documents

banquier

payer

-payement effectué

-paiement nom effectué

3

paiement

banquier

Etablir reçu

Reçu remis

4

Preuve de paiement

DGI

transmettre

Preuve transmise

III.3.5 TABLEAU DES OPERATIONS

Une opération est l'ensemble de traitement effectué pour réagir à un évènement, c'est un regroupement d'actions induites dont les évènements déclencheurs et le résultat sont les même.

NOM OPERATION

EVENEMENT

ACTION

RESULTAT

SIGNIFICATION

1

vérification

Document présenté

vitrifier

-Documents complets

-documents incomplets

Le banquier vérifie les documents du contribuable

2

paiement

Vérifier

payer

-paiement effectué

-paiement non effectué

Le contribuable paie son impôt

3

Etablissement reçu

paiement

Etablir reçu

Reçuétablis

Le banquier établis le reçu pour le contribuable

4

transmission

Preuve de paiement

transmettre

Preuve transmise

Le banquier transmet la preuve de paiement à la DGI

III.3.6 TABLEAU DE SYNCHRONISATION

NOM SYNCHRO

NOM OPERATION

EVENEMENT

SYNCHO

SIGNIFICATION

1

S1

PAIEMENT

vérifier

A et B

Le paiement s'effectue lors ce que les documents et le montant à payer sont complets

III.3.7 GRAPHE D'ORDONNANCEMENT D'EVENEMENT

Documents présenté

Documents complets

Documents incomplets

Mode de paiement présenté

Bordereau présenté

Bordereau mal remplis

Bordereau bien remplis

Paiement

Reçu

Preuve de paiement

III3.8 CONSTRICTION DU M C T

Documents présenté

vérifier

Documents incomplets

Documents complets

Mode de paiement présenté

Choisir

Bordereau présenté

Vérifier

Bien rempli

Mal rempli

ET

Paiement

Preuve de paiement

Reçu

III.4.1 MODELE LOGIQUE DE DONNEES (M L D)

INTRODUCTION

A ce point, nous parlerons de l'analyse logique qui est enfin le dernier pas vers le modèle physique de données (MPD) s'est-il- dire la description de la base de données qui va être créée. Cette base de données est créé à partir du M C D ,qui précise le mode de stockage de données (fichier de données , hiérarchique ,base de données réseau, bases de données relationnelle ) et nous parlerons du modèle organisationnel de traitement (MOT), il est créé à partir du MCT qui précise le choix de l'organisation(lieu d'exécution des opérations et date début, date fin des opérations ) et enfin nous parlerons du modèle physique de données (M P D), il est créé à partir du MLD et va indiquer les ressources(matériels et logiciels) nécessaires pour le stockage et la restitution des informations

Le modèle logique de données a été inventé en 1970 et il repose sur la théorie ensembliste. Il est indépendant du matériel et du logiciel, il ne fait que prendre en compte l'organisation des données. C'est d'ailleurs le point primordial de la modélisation.

L'objectif du modèle logique de données est la définition des moyens informations à la disposition des postes de travail (utilisateurs) afin d'effectuer les opérations organisées.

Le modèle logique de données décrit la structure des données indépendamment de la gestion physique des bases de données. il est une étape intermédiaire, intellectuellement très satisfaisante vers le modèle physique de données. Nous avons donc deux systèmes logiques dans lequel nous pouvons traduire un M C D : le système par fichier et les bases de données.

La description conceptuelle a permis les réalisations de l'univers à l'informatiser. Mais cette représentation ne peut pas être directement manipulée et accepter par un système informatique. Il est donc nécessaire de passer du niveau conceptuel au second niveau qui n'est rien d'autre qu'un niveau plus proche de la capacité des systèmes informatique. Ce niveau appelé niveau logique, consiste à choisir l'un de quatre modèle suivants :

- Modèle hiérarchique

- Modèle réseau

- Modèle relationnel

- Modèle fichier

Chacun de ces modèles reposent sur des techniques d'organisation des données particulières dans lequel des logiciels seront capables de gère.

III.4.2 CHOIX DU TYPE DE BASE DE DONNEES

Lorsqu'on crée une application qui repose sur une base de données, le concepteur a l'obligation d'opérer son choix sur un type de base de données lui permettant de mettre sa conception idéologique en une réalité physique.

En rapport avec notre travail ; nous avons adopté la base de données relationnelle comme étant notre choix, pace qu'elle organise les données sous forme de tables qui sont exploitée à l'aide d'un langage déclaratif

III.4.3 TRANSFORMATION DU MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES EN MODELE CONCEPTUEL LOGIQUE DES DONNEES

Pour transformer le modèle conceptuel des données en modèle logique des données, il faut passer par des règles permettant à le faire, les règles de la transformation du concepteur consistent à faire de choix du type de base de données et traduire ce modèle en système de gestion des bases des données utilisées.

Les règles des gestions de transformation se présentent comme suit :

v Une entité se transforme en relégation ou table

Toute entité du M C D devient une relation du MLDR, et donc une table de la base de données. Chaque propriété de l'entité devient un attribut de cette relation, l'identifiant de l'entité devient la clé primaire de la relation (elle est donc soulignée).

v Relation binaire aux cardinalité (X ,1) - (X, n), X=0 ou X=1

La clé de la table à cardinalité (X, n) devient une clé étrangère dans la table à cardinalité (X, 1)

v Relation binaire aux cardinalité (X, n) - (X, n), X= o ou X=1

Il y a création d'une table supplémentaire ayant comme clé primaire les identifiants des deux entités qui la relie c'est-à-dire la concaténation des clés primaires de deux tables.si la relation est porteuse de données, celle-ci devient des attributs pour la nouvelle table.

III.4.4 PRESENTATION DU MLDR

CONTRIBUABLE(Idcontrib, Nomcontrib, Postnom, Adresse, Montant, Coupure, Nombre, date)

impot(Num_Impot, libellé,echeance,taux_Impot)

Bordereau(num_bord , num_compt ,montant, nom_banque ,Numcontrib#)

DECLARER(Idcontrib#, Num_impot#, Detedec,Montant,periode)

III.5.1 MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT)

S'organiser consiste aussi à prévoir les réactions ou les réflexes à acquérir face à des évènements extérieurs. Ces reflexes normalisés au sein de l'entreprise sont décrit sous forme de procédures, les MOT.

Après avoir défini qui est qui, comment il se situe dans un organigramme ; nous allons représenter qui fait quoi, quel poste de travail qui effectue, quelle opération au moyen de procédure.

Une procédure est un choix d'organisation face à un évènement (message) externe (venant d'un partenaire)

III.5.2 DIAGRAMME DES PROCEDURES

Ce diagramme donne une vue d'ensemble (cartographie) de la circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes qui participent à un domaine d'étude. Ce diagramme nous présente la circulation des informations et l'enchainement des traitements dans le poste de travail. Le tableau ci-dessous représente les différentes informations dans les colonnes. Chaque colonne représente un poste de travail.

TEMPS

PROCEDURE FONCTIONNELLE

NATUREE

LIEU

RESPONSABLE

RESSOURCE

Documents présenté

Mode de paiement présenté

Choisir

Bordereau présenté

Vérifier

Bien rempli

Mal rempli

ET

Paiement

Preuve de paiement

Reçu

interactif

Manuelle

Manuelle

-manuelle

-interactif

banque

Banque

Banque

banque

banquier

Contribuable

Banquier

contribuable

-ordinateur

-tablette

-papiers

-stylo

-papiers

-stylo

-papiers

-stylo

-ordinateur

-tablette

 
 

III.5.3 DIAGRAMME DE PHASES

TEMPS

CONTRIBUABLE

BANQUE

DGI

Mode de paiement

Choisir

Phase 2

recu

Documents présenté

Bordereau présenté

Paiement

ET

Mal rempli

Bien remplit

Vérifier

Phase 3

Phase 1

Preuve de paiement

 
 
 
 

III.5.4 DIAGRAMME DE REPARTION DES TACHES HOMME - MACHINE

NOM PHASE

HOMME

MACHINE

Commande d'arrêt

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Tapez les coordonnées du contribuable

Tapez le mot de passe

Fermer page de resultat

Saisir les coordonnées du contribuable et lancer la recherche

Recherche en cours

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Paiement effectué

Fermeture en cours

 
 
 
 

CHAPITRE IV : RESULTAT DE D'ETUDE

La programmation est la description opérationnelle du futur système qui consiste à la prise en compte des contraintes physique liées aux matériels de traitement choisi et la rendre opérationnel.

Elle est une étape très importante et elle ne peut jamais se faire par un simple hasard. Selon le cosmologiste PAUL DAVIES : dans la programmation il j a un ordre des choses cohérent, et ajoute-t-il que la programmation n'est pas une juxtaposition arbitraire d'évènements, mais la manifestation des codes ingénieusement imbriqués. Cette dernière doit impérieusement être intelligente et non un processus purement aveugle.

IV.1 DISCUTIONS

IV.1.1 RECOMMANDATIONS ET SUGGESTIONS

Afin de pallier aux points négatifs nous osons croire que l'informatique est la solution optimale face aux asticotes que la gestion manuelle des organisations entraine, par conséquent, nous suggérons dans ce travail de concevoir une application informatique (logiciel de perception d'impôt) et une base de données qui contiendra en son sein toutes les données nécessaires pour l'avancement ou la bonne marche de cette dernière.

IV.1.2 CHOIX DE L'OUTIL TECHNOLOGIQUE

Langage de programmation

Le monde informatique nous offre plusieurs langages de programmation afin de répondre et exécuter les tâches appropriées, car la finalité d'une analyse informatique est de produire un code qui répond aux spécifications fonctionnelles et aux besoins des utilisateurs.

Pour la mise en place de notre application, nous avons porté notre choix sur le langage de programmation visuel basic dans sa version 6.0.

Visuel basicest un outil développé par Microsoft pour développer facilement des applications fonctionnant sous Microsoft Windows. Visuel basic est, comme son nom l'indique, un outil visuel permettant de créer sans notion de programmation l'interface graphique (GUI graphical user interface) en disposant à l'aide de la souris des évènements graphiques (boutons, images, champs de texte, menus déroulants,).

L'intérêt de ce langage est de pouvoir associer aux évènements de l'interface des portions de code associées à des évènements (clic de la souris, appui sur une touche,). Pour cela, visuel basic utilise un petit langage de programmation dérivé du BASIC (signifiant : Beginners All-purpose Symbolic Instruction Code, soit code d'instruction symboliques multi-usager pour les débutants). Le langage de script utilisé par visuel basic est nommé à juste titre VB SCRIPT, Il s'agit ainsi d'un sous-ensemble de visuel basic.

· Système de gestion des bases de données (DGBD)

Une base de données (data base en anglais) est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée et avec moins de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des programmes et par des différents utilisateurs. Ainsi, pour pouvoir mettre en commun les informations de la direction provinciale d'impôt du haut KATANGA, nous connecterons notre programme à une base de données MICROSOFT ACCESS

· Architecture du système

Pour qu'un ordinateur soit capable de faire fonctionner un programme informatique, appelé par fois application ou logiciel, la machine doit être en mesure d'effectuer un certain nombre d'opérations préparatoires afin d'assurer les échanges entre le processeur, la mémoire, et les ressources physiques (périphériques)

Le système d'exploitation noté SE ou OS en anglais, est chargé d'assurer la liaison entre les ressources matérielles, l'utilisateur et les applications (traitement de texte, jeu vidéo,...). Ainsi lorsqu'un programme désire accéder à une ressource matérielle, il ne lui est pas nécessaire d'envoyer des informations spécifiques au périphérique, il lui suffit d'envoyer les informations au système d'exploitation, qui se charge de les transmettre au périphérique concerné via son pilote. Au regard de notre logiciel nous avons opté notre choix sur le système d'exploitation WINDOXS dans sa huitième version 8.1

· Architecture logiciel

Le software est la partie intellectuelle de la machine, appelée en d'autre terme logiciel. Elle est l'ensemble de programmes, des fonctions destinées à un ordinateur. Pour le software nous proposons :

a) Le système d'exploitation Windows 8 professionnel 64 bits

b) Capacité mémoire RAM 4 Go

c) Capacité disque dur 500 Go

d) Processeur 2.16 GHz

· Architecture matériel

Le hardware est la partie matérielle ou physique d'un ordinateur. Pour le hardware nous proposons

a) L'ordinateur pentium 4

b) L'unité centrale

c) Le clavier

d) Le moniteur

e) Le clavier et

f) Tous les autres périphériques qui lui sont connectés

IV 1.3 CAPTURE DES FORMULAIRES DE L'APPLICATION

FORMULAIRE DE LANCEMENT DE L'APPLICATION

FORMULAIRE MOT DE PASSE DE L'APPLICATION

FORMULAIRE MENU PRINCIPAL DE L'APPLICATION

FORMULAIRE CONTRIBUABLE

FORMULAIRE IMPOT

FORMULAIRE BORDEREAU

QUELQUES CODE DE L'APPLICATION

Bouton enregistrement

If Text1.Text = "" And Text2.Text = "" And Text3.Text = "" And Text4.Text = "" And Text5.Text = "" And Text6.Text = "" And Text7.Text = "" And Text8.Text = "" And Text9.Text = "" And Text10.Text = "" Then

MsgBox "veuillez d'abord remplir tous les champs", , "LES CHAMPS SONT VIDES"

ElseIf Text1.Text = "" Or Text2.Text = "" Or Text3.Text = "" Or Text4.Text = "" Or Text5.Text = "" Or Text6.Text = "" Or Text7.Text = "" And Text8.Text = "" And Text9.Text = "" And Text10.Text = "" Then

MsgBox "veuillez remplir les champs qui sont vides", , "D'AUTRES CHAMPS SONT VIDES"

Else

If MsgBox("VOULEZ-VOUS ENREGISTRER?", vbOKCancel, "ENREGISTREMENT") = vbOK Then

Adodc1.Refresh

With Adodc1.Recordset

.AddNew

!NUM_BANK = Text1.Text

!NOM_BANK = Text2.Text

!NUMCONTRI = Text3.Text

!NOM_CONTRI = Text4.Text

!NUM_IMPO_CONTRI = Text5.Text

!NATURE_PAIE = Text6.Text

!MONTANT = Text7.Text

!REFFERNCE_PAIE = Text8.Text

!NUM_ATTEST = Text9.Text

!DATE_PAIE = Text10.Text

.Update

MsgBox "LES INFORMATIONS ONT ETE SAUVEGARDEES DANS LA BASE DES DONNEES"

Text1.Text = ""

Text2.Text = ""

Text3.Text = ""

Text4.Text = ""

Text5.Text = ""

Text6.Text = ""

Text7.Text = ""

Text8.Text = ""

Text9.Text = ""

Text10.Text = ""

End With

End If

End If

Boutonrecherche

Privat Sub Label26_Click ()

invite = InputBox(" SAISISSEZ LE NUMERO ETUDIANT", , "rechercher")

Adodc1.Refresh

With Adodc1.Recordset

While Not .EOF

If invite = "" Then

ElseIf invite = (!NUM_BANK) Then

MsgBox " VOICI LES INFORMATIONS DE VOTRE RECHERCHE ", , "RESULTA DE LA SORTIE"

Text1.Text = (!NUM_BANK)

Text1.Text = (!NUM_BANK)

Text2.Text = (!NOM_BANK)

Text3.Text = (!NUMCONTRI)

Text4.Text = (!NOM_CONTRI)

Text5.Text = (!NUM_IMPO_CONTRI)

Text6.Text = (!NATURE_PAIE)

Text7.Text = (!MONTANT)

Text8.Text = (!REFFERNCE_PAIE)

Text9.Text = (!NUM_ATTEST)

Text10.Text = (!DATE_PAIE)

End If

.MoveNext

Wend

End WithEnd Sub

Bouton modifier

Private Sub Picture5_Click()

If Text1.Text = "" And Text2.Text = "" And Text3.Text = "" And Text4.Text = "" And Text5.Text = "" And Text6.Text = "" And Text7.Text = "" And Text8.Text = "" And Text9.Text = "" And Text10.Text = "" Then

MsgBox ("VEUILLEZ SAISIR LES INFORMATONS DANS LES CHAMPS")

ElseIf Text1.Text = "" Or Text2.Text = "" Or Text3.Text = "" Or Text4.Text = "" Or Text5.Text = "" Or Text6.Text = "" Or Text7.Text = "" Or Text8.Text = "" Or Text9.Text = "" Or Text10.Text = "" Then

MsgBox "CERTAINS CHAMPS SONT VIDE VEUILLEZ LE REMPLIR", vbInformation + vbOKOnly, "INFORMATION"

ElseIf MsgBox("VOULEZ-VOUS METTRE LES INFORMATIONS A JOUR?", vbQuestion + vbOKCancel, "ENREGISTREMENT") = vbOK Then

Adodc1.Refresh

With Adodc1.Recordset

While Not .EOF

If Text1.Text = !NUM_BANK Then

!NUM_BANK = Text1.Text

!NOM_BANK = Text2.Text

!NUMCONTRI = Text3.Text

!NOM_CONTRI = Text4.Text

!NUM_IMPO_CONTRI = Text5.Text

!NATURE_PAIE = Text6.Text

!MONTANT = Text7.Text

!REFFERNCE_PAIE = Text8.Text

!NUM_ATTEST = Text9.Text

!DATE_PAIE = Text10.Text

Else

End If

.MoveNext

Wend

End With

End If

MsgBox "les informations ont été mises à jour"

Text1.Text = ""

Text2.Text = ""

Text3.Text = ""

Text4.Text = ""

Text5.Text = ""

Text6.Text = ""

Text7.Text = ""

Text8.Text = ""

Text9.Text = ""

Text10.Text = ""

End Sub

CONCLUSION GENERALE

Nous voici arrivés au terme de la réalisation de notre travail de fin d'étude du premier cycle en science informatique, pour y parvenir, nous avons recensé les besoins des utilisateurs en décrivant le système d'information existant et expliquer les attentes des commanditaires par quelques spécifications fonctionnelles.

Ensuite la méthode MERISE, nous a permis à la modélisation de ces besoins par le modèle conceptuel des données (MCD) et le modèle conceptuel des traitements (MCT). Ces deux modèles n'étant pas proche de l'aspect technique, nous sommes passés au niveau logique. Ce dernier, nous a amenés au modèle logique des données (MLD), au modèle organisationnel des traitements (MOT) et au modèle physique des traitements (MPD).

Enfin, l'architecture du système étant présentée, nous avons décrit la logique de l'application et matériel où l'implanter. Pour élaborer une base donnée très cohérent et fiable au soutien de notre finale application, nous avons fait les différentes analyses suivant la méthode MERISE :

Ø Analyse de l'existant qui a étudié le système existant en décrivant les données et les traitements en donnant une critique ;

Ø Analyse conceptuelle qui a décrit les données et les traitements envie de concevoir le modèle conceptuel de données (MCD) et le modèle conceptuel de traitement (MCT) ;

Ø Analyse organisationnelle et logique où il était question de faire une structure de la nouvelle solution en ayant les contraintes organiques ;

Ø La programmation qui rend physique notre application de nouvelle solution.

Nous estimons que le produit finit de cette étude apportera un remède à la DGI, celui d'améliorer le système de la perception d'impôt des anciens que nouveaux partenaires

Cette informatisation présentera une sécurité suffisante pour éviter la fraude, la perde de temps pour rechercher les dossiers antérieurs. Afin, nous pensons que le présent ouvrage n'a pas l'intention d'avoir complètement touché tous les problèmes de la perception d'impôt, néanmoins, nous avons posé un jalon pour les recherches futures.

BIBLIOGRAPHIE

FROGER, J., conception et réalisation d'un système informatique de perception d'impôt dans une entreprise publique, Paris, Dunod, 1968.

HUBERMAN, A., MENEAU, J.C., conception et développement d'une application de gestion de perception d'impôt direct, Paris, Eyrolles, 1983.

LALLICH-BOIDIN, G., Communication homme-machine et recherche d'information fondées sur le traitement automatique de la langue : applications, bilan, perspectives, Mémoire HdR, Université Stendhal Grenoble 3, 1998.

ZARRI, G. P., IRIGOIN, J., La pratique des ordinateurs dans la critique des textes, Paris, CNRS, 1979.

GINSBERG, M., « L'intelligence des jeux», Pour la Science, n. 254, 1998, pp.172-177.

LA METTRIE, J. O., L'homme machine, Leyde, E. Luzac, 1748

CHOUEKA, Y., Statistique et dynamique dans le traitement automatique des banques de données textuelles, in HAMESSE, J. et ZAMPOLI, A. (éd.) L'ordinateur et les recherches littéraires et linguistiques, Actes de la XIe conférence internationale, 2-6 avril, 1984, Paris, Champion-Slatkine, 1985, pp. 115-20.

FERRAND, N. (éd.), Banques de données et hypertextes pour l'étude du roman, Paris, PUF, 1997.B. Costales, G. Jansen et C. Assmann, "Sendmail ", O'Reilly, Etats Unis d'Amérique , 2007.

Jim Conallen, "Concevoir des applications Web avec UML", Eyrolles, Septembre 2000.

Julie Denouël-Granjon, "Les interactions médiatisées en messagerie instantanée", s.n, 2008.

Meredith G. Farkas, "Social software in libraries : building collaboration, communication, and community Online", Information Today, Inc., 2007.

Knut Andreas Ruud, " mise en place d'une plateforme informatique à la direction provinciale d'impôts  ", K.A. Ruud, 2009.

Table des matières

EPIGRAPHE Erreur ! Signet non défini.

DEDICACES 2

1. AVANT - PROPOS 3

INTRODUCTION GENERALE 5

1. CONTEXTE D'ETUDES 5

2. PHENOMENE OBSERVE 5

3. QUESTION DE DEPART 5

4. OBJECTIF POURSUIVI 6

5. JUSTIFICATION DE LA RECHERCHE 6

6. DELIMITATION D'ETUDES 7

7. STRUCTURE DE LA RECHERCHE 7

CHAPITRE I REVUE DE LITTERATURE 8

I.2.1 LES APPROCHES THEORIQUES 9

I.2.2 PARADIGMES MOBILISES 10

CHAPITRE II. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE 10

II.1 PROBLEMATIQUE 10

II.2 HYPOTHESES 11

II.3 DEFINITION DES CONCEPTES 12

II.3.1 DEFINITION DES CONCEPTES FONDAMENTAUX 12

CHAPITRE III METHODOLOGIE DE RECHERCHE ET CHAMPS EMPIRIQUE 14

III.1.1 PRESENTATION DE L'ENTREPRISE 14

III.1.2 BREVE HISTORIQUE DE LA SOCIETE 15

III.1.3 STRUCTURE ADMINISTRATIVE 15

III.1.4 ORGANIGRAMME DE L'ENTREPRISE 17

III.1.5 ACTIVITE DE DIFFERENTS POSTES DE L'ORGANIGRAMME 18

III.1.6 DESCRIPTION DE DOCUMENTS 19

III.1.7 DICTIONNAIRE DE DONNEES 20

III.1.8 MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION 21

DIGRAMME DE CIRCULATION DES INFORMATIONS 23

III.2.1 CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION 24

INTRODUCTION 24

III.2.2 CONCEPTS FONDAMENTAUX 24

III.2.3 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD) 25

III.2.4 MATRICE DE DEPENDENCE FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE 26

III.2.5MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE COMPOSEE. 26

III.2.6 MATRICE DES CLES 26

III.2.8 STRUCTUTE D'ACCES THEORIQUE (S.A.T) 27

III.2.9 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD) 28

III.2.10 TABLEAU DE CARDINALITES 29

III.3.1 MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT 29

INTRODUCTION 29

III.3.3 TABLEAU DES EVEMENTS 31

III.3.5 TABLEAU DES OPERATIONS 32

III.3.7 GRAPHE D'ORDONNANCEMENT D'EVENEMENT 33

III.4.1 MODELE LOGIQUE DE DONNEES (M L D) 35

INTRODUCTION 35

III.4.3 TRANSFORMATION DU MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES EN MODELE CONCEPTUEL LOGIQUE DES DONNEES 36

III.4.4 PRESENTATION DU MLDR 36

III.5.1 MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT) 37

III.5.3 DIAGRAMME DE PHASES 39

CHAPITRE IV : RESULTAT DE D'ETUDE 41

IV.1 DISCUTIONS 41

IV.1.2 CHOIX DE L'OUTIL TECHNOLOGIQUE 41

IV 1.3 CAPTURE DES FORMULAIRES DE L'APPLICATION 43

CONCLUSION GENERALE 50

BIBLIOGRAPHIE 51






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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius