EPIGRAPHE
Payé l'Impôt est un
devoir de tous citoyens.
ETAT-CIVIL DE LA RDC
Payés
DEDICACES
Nous dédions ce travail à tous les chercheurs
scientifiques et à toute la communauté estudiantine de l'Institut
Supérieure de Commerce.(I.S.C) et à la famille de NUMBI
AVANT - PROPOS
Au seuil de ce travail marquant la fin du
premièrecycle en science informatique, nous voudrions exprimer notre
profonde gratitude à tous ceux qui d'une manière ou d'une
autre, ont contribué à l'élaboration de ce travail et
à notre formation.
Nous profitons de cette occasion pour remercier l'Eternel
Dieu Tout-puissant pour sa vie et sa protection durant la réalisation de
ce travail.
Nos remerciements s'adressent plus particulièrement
au CT DIDIER MBAY à qui il a plus de bien vouloir
assurer la direction de ce travail ; ses conseils suggestion et remarques
nous ont été d'un concours précieux.
A tous les professeurs, autorités
académiques, chef de travaux, assistants du département de
sciences informatiques ainsi que de tout l'institut supérieur de
commerce pour les efforts consentis en vue de faire de nous ce que nous
sommes.
Nos sincères remerciements s'adressent directement
à l'ASS.RUPHIN NYAMI pour votre assistance
intellectuelle dudit travail.
Nous remercions également mes parents :
NUMBI KABUITA Jean Malik et MBAYO Germaine
pour m'avoir soutenu financièrement, matériellement,
spirituellement ou moralement tout au long de notre parcours
estudiantin.
Nous remercions également les frères et
soeurs : KABUITA NUMBI Audry, SONGUE NUMBI Chatty, MUTOMBO NUMBI
Mireille, NGANDU NUMBI Dalik, NGONGOLO NUMBI Jonathan, et KASONGO
Princepour vos conseils et encouragement dans des périodes
très difficiles durant ce parcours académique jusqu'ici.
Enfin, nous ne tournerons jamais cette page sans pour
autant penser à tous mes compagnons de lutte qui dans les montagnes et
vallées nous ont ténu cours :KASONGO MOKET Joseph,
KADIATA MULANGU Eddy, et MWEPU KILUME Théo, ainsi qu'à
toute la communauté estudiantine ; nos sincères
remerciements.
Nos expressions de reconnaissance s'adressent
également d'une manière générale à
laDirection générale des impôts (DGI) pour nous avoir
accepté dans leur institution afin d'y mener nos recherches. Qui en
dépit de leurs multiples préoccupations ont voulu nous aider
à obtenir tous les renseignements nécessaires pour
l'élaboration de ce travail, que Dieu la bénisse.
INTRODUCTION GENERALE
1. CONTEXTE D'ETUDES
Nous rencontrons de millier d'entreprises non
informatisé sur l'entendue de la capitale du cuivre, ceci suscite de
dégâts et pertes de temps à cause de gestion qui s'effectue
toujours manuellement. Une entreprise sérieuse doit être à
la page avec l'outil informatique pour améliorer la qualité de
son travail et sa gestion, mais aussi de faire évaluer la manière
d'être avec les personnels.
2. PHENOMENE OBSERVE
Avant tout investigation, le chercheur doit connaître la
raison de sa recherche pour bien collecter des informations y
afférentes.
Dans le cadre de notre travail, nous avons fait nos
investigations à la direction générale des impôts du
haut Katanga, précisément à la division de recouvrement,
dans sa gestion nous avons voulu décrire quelques difficultés
rencontrées :
A ce jour, la perception de l'IPR entre la DGI et ses
partenaires s'effectuent par supports papier communément appelés
« Déclaration », en amont et en aval, « Note de
perception ». Ces imprimés sont mis à la disposition
des contribuables, gratuitement, sans tenir compte du coût lié
à leur impression.
Cette situation a pour conséquences :
· les frais organisationnels qui pèsent lourd,
avec le poids culturel du papier ;
· la difficulté au niveau de la consultation
fiscale consolidée.
· C'est ainsi que cela nous a réveillé de
proposer un logiciel informatiser qui va aider à bien faire ce travail
aux normes du monde actuel
3. QUESTION DE DEPART
La question de notre recherche se résume en termes
d'ensemble des problèmes anticipatifs que posent une science, un sujet
d'étude dans un contexte idéologique donnée avec une
étape de l'identification d'un ensemble des problèmes faisant
corps avec la question de départ.
Par
conséquent, face à ces difficultés mentionnées
ci-haut, nous nous sommes posé la question suivante :
ü Quel mécanisme pouvons-nous appliquer afin
d'arriver à réorganiser le système de perception
d'impôts professionnels d'une manière rationnelle ?
4. OBJECTIF POURSUIVI
En s'appuyant sur l'analyse de cas de cette entreprise,
l'objectif principal de cette recherche est de comprendre le dysfonctionnement
du système de perception appliqué à la DGI et proposer des
pistes de solution pour résoudre le problème qui crée ce
système pour la performance organisationnelle ainsi que la recherche
automatique des informations liés à la conception d'une
application en cas de réclamation d'une vérification
5. JUSTIFICATION DE LA
RECHERCHE
Dans le cas où il y'a beaucoup d'informations à
traiter et où il faut donner une réponse immédiate,
l'homme est rapidement débordé et il n'arrive plus à
suffire à la tâche. A L'heure actuelle où les
activités des diverses organisations deviennent de plus en plus
complexes, la prise de décision s'avère difficile et importante.
Comme les décisions doivent être efficaces et plus possible
contemporaines aux activités en cours, il incombe souvent aux
responsables dirigeants la lourde tâche de décider dans le
délai très court sans perdre de vu que les contraintes du monde
actuel.
Ainsi il n'est pas permis aux percepteurs de
décidé intuitivement mais ils sont obligés de suivre un
processus rationnel bien agencé basé sur des informations
suffisantes et bien traitées selon les normes requises en vue
d'atteindre les objectifs assignés. D'où la
nécessité inévitable d'utiliser des méthodes
modernes appropriées telle que la technique informatique qui est une
science portant sur la collecte, le stockage, le traitement automatique, et la
diffusion des informations éventuellement au moyen d'une technologie
moderne telle que l'ordinateur en vue de permettre et aider à la prise
de décision ainsi qu'à la conservation moins encombrante des
informations dont l'accès devient fort aisé.
Dans cette même imagination, notre souci majeur est
d'élaborer un travail scientifique pour pallier aux problèmes
liés à la perception d'impôts dans cet établissement
étatique afin de résoudre différentes difficultés
constatées au sein de ce dernier.
Comme nous l'avons dit ci -haut, l'outil informatique
est généralement indissociable à ce travail, car il nous
permet bien à la prise de décision dans toutes les
entreprises.
Avec un oeil d'un analyste, le choix de notre recherche n'est
pas un fait du hasard, entant qu'un finaliste du premier cycle en informatique
de gestion, notre réalisation apportera un souffle nouveau à tout
établissements voulant appliquer le système et aux chercheurs de
trouver nos oeuvres
C'est ainsi que notre recherche se justifie en trois
volets :
· Sur le plan
personnel :ce sujet nous sert de thème pour notre travail
de fin d'étude et nous permet de mettre en pratique ce que nous avons pu
acquérir en ce qui concerne la conception d'un système
d'informations ainsi de prouver de quoi nous sommes capables de travailler
d'une manière scientifique c'est-à-dire circonscrire une
question, soulevé un problème, l'analyser enfin présenter
les résultats.
· Sur le plan
scientifique :nous estimons que notre travail pourra être
une source d'inspiration, un miroir scientifique pour d'autres chercheurs qui
vont s'engagés sur la même voie que nous.
· Sur le plan
social :le produit fini de cette investigation va permettre
à la direction générale d'impôts d'avoir un outil
fiable de perception de ce dernier pour leurs partenaires et pour la bonne de
marche de l'établissement.
6. DELIMITATION D'ETUDES
Pour la réalisation d'un travail scientifique, on exige
du chercheur de faire une délimitation spatio-temporelle dans son champ
d'investigation.
Dans l'espace, notre étude portera sur la perception
d'impôt professionnels à la DPI /Lubumbashi.
Cette étude portera de l'analyse préalable
jusqu'à la programmation, passant par l'analyse conceptuelle, logique et
organisationnelle.
Dans le temps, nous considérons la période
allant du 10 janvier au 12 juin. 2018. Cette période nous fournit des
informations nécessaires pour connaitre la situation actuelle de la
DPI.
7. STRUCTURE DE LA
RECHERCHE
Hormis l'introduction générale et la concision
générale, notre travail se subdivisera en quatre chapitres,
à savoir :
v Chapitre I : la revue de
littérature
Dans ce chapitre, il sera question de présenter des
littératures et les publications sur la perception
d'impôts ;
v Chapitre II : problématique et
hypothèse
Ce chapitre sera consacré à l'analyse de
phénomène observé à l'entreprise, critique et la
proposition des solutions
v Chapitre III : méthodologie de recherche
et champs empirique
Ce chapitre sera consacré à l'étude des
modèles logiques et organisationnels.
v Chapitre IV : implémentation
Dans ce chapitre, seront présentés les aspects
physiques de l'implémentation.
CHAPITRE I REVUE DE
LITTERATURE
I.1 LA GRILLE DE
LECTURE
Elle vise à faire le bilan de ce que l'on sait
déjà sur la question de recherche. Elle est analytique dans la
mesure où elle ne consiste pas à faire une liste des auteurs et
des leurs idées, mais plutôt à identifier des tendances,
des orientations et discutant les conséquences des choix qui fondent ces
orientations, en mettant les auteurs en dialogue entre eux, et
en soumettant leurs idées et leurs travaux à la critique. Elle
démontre que l'on sait ce qui a déjà été
fait, de façon à aller un peu plus loin.
Avant de ressortir l'analogie qui existe
entre la présente étude et celle déjà menées
par nos prédécesseurs, nous passerons en revue des
théories ayant trait directe avec le présent
thème :
NGANDU NUMBI
DALICK « conception et réalisation d'un
système informatique de perception d'impôt dans une entreprise
publique ». Après recherche et analyse des données de
cette investigation, le maitre d'ouvrage est tourmenté par la question
suivante :
De quelle manière la mise au point
d'un système automatiser serait -il à mesure de rationnaliser ce
service ?
Soucier de cette problématique,
l'auteur fait recours à une solution idéale pour maitriser la
perception d'une manière automatisée des clients dans une
institution est la conception et la réalisation d'une base de
données capable de conserver toute les données en toute
sécurité et fiabilité. En plus, cette base de
données permettra la recherche rapide de d'éclations
antérieures et la mise à jour automatique de la situation
générale de toute l'organisation, ainsi cette solution va juger
en majeur partie les difficultés soulevée dans la
problématique. ( . T F C G3 INFO/I S S/2013)
NGOY KABEYA
GEISHA « gestion informatisée de perception
d'impôt professionnel »
Dans le présent travail, l'auteur a
soulevé la quintessence en posant une question formulée comme
suit : comment mettre en place une application de suivi des perceptions
afin de faciliter la communication étroite et efficace entre les
différents services de notre entreprise
Eu égard au grand nombre de problème
à gérer, en effet, pour palier à ses difficultés,
nous émettons l'hypothèse selon laquelle une application de suivi
informatisée serait capable de gérer notre projet et permettrait
à cette entreprise de :
· Mettre en place un dossier de contribuables
(résultat d'un flux documentaire qui accompagne le client dans son
parcourt). Dans le dossier se trouvant toutes les informations
nécessaires de l'ensemble de la prise en charge du client ;
· Rechercher rapidement et efficacement les dossiers des
contribuables ;
· Faciliter l'accès aux
informations ;
· Établir rapidement les différents
documents (rapports)
· Stocker les informations sur des supports informatiques
qui assureront leur sécurité.
SONGE NUMBI
CHATTY « essaie de la mise en place d'une
plateforme informatique à la direction provinciale
d'impôts » » l'auteur se pose la question de savoir
comment faire pour ne pas rendre un mauvais service aux clients ?
La lecture
de contenus de cet ouvrage nous a ressorti une proposition à cette
question, d'après l'auteur, la présence de l'outil informatique
dans la perception de cette dernière serait d'un impact capital dans la
prise décisions et dans le partage des données soit
simultanément fait aux différents postes et éviter les
encombrements et perte de temps pour rechercher un dossier. T F C G3
INFORMATIQUE /UPL/2013.
MASANGU NGOY
LYDIA « conception et développement d'une
application de gestion de perception d'impôt direct »l'auteur
veut nous faire voir comment le monde a changé le visage grâce
à la conception des programmes informatiques.
Il finit par une conclusion selon laquelle ils nous montrent
que Le domaine des programmes informatiques fait l'objet depuis plusieurs
années d'investigations ontologiques, l'enjeu étant de disposer
de descriptions conceptuelles des programmes pour mieux maîtriser leur
conception et leur utilisation.
A l'issue de nos démarches, nous
démarquons des auteurs lus dans le sens que notre travail consistera
à faire une application des perceptions d'impôts professionnels
à la direction provinciale du haut Katanga ; c'est-à-dire
enregistrer un nouveau contribuable et l'orienter selon sa déclaration,
retrouver à moindre durée les anciens dossiers en cas de besoins,
contrôler ces derniers tout au long de leur carrière et
facilité la tâche de travail à l'aide de l'outil
informatique au sein de la direction provinciale d'impôts du haut
Katanga.
I.2.1 LES APPROCHES THEORIQUES
Nous pouvons dire que tous les auteurs précités
ci-haut ils ont créé tout le monde une base de données
pour la meilleure conservation des informations. Leurs applications sont
incomplètes, la base de donnée et le bouton d'enregistrement ne
suffisent pas, par ce que les utilisateurs auront besoin d'effectué
plusieurs opérations par exemple : faire la recherche s'il y'a
réclamation, supprimer les informations non importantes, modifier s'il
y'a erreur, imprimer le reçues, etc. dans le but d'en léger les
taches des travailleurs.
Pour notre part, à l'issu de nos investigations nous
serons appelé d'ajouté ce que nos prédécesseurs
n'ont pas pu réaliser dans leurs travaux, surtout au niveau de
l'application, nous allons ajouter quelque bouton de commande comme :
recherche, supprimer, modifier, imprimer, etc. tous ces boutons vont faciliter
aux utilisateurs les traitements des informations a une très grande
vitesse.
I.2.2 PARADIGMES MOBILISES
La conception d'un système n'est pas évidente
car il faut réfléchir à l'ensemble de l'organisation que
l'on doit mettre en place. La phase de conception nécessite des
méthodes permettant de mettre en place un modèle sur lequel on va
s'appuyer. La modélisation consiste à créer une
représentation virtuelle d'une réalité de telle
façon à faire ressortir les points auxquels on
s'intéresse. Ce type de modèle est appelé analyse. Il
existe plusieurs méthodes d'analyse, la méthode la plus
utilisée en France étant la méthode MERISE. Ce dans cette
dernière que nous allons nous inspirer dans le but d'arriver à
concevoir le système d'information basé sur la séparation
des données et des traitements au service de perception d'impôts
professionnel.
CHAPITRE II. PROBLEMATIQUE ET
HYPOTHESE
II.1 PROBLEMATIQUE
Avant toute investigation, le chercheur doit connaitre la
raison de sa recherche pour bien collecter les informations y
afférentes.
La recherche initie les étudiants aux contraintes de la
recherche en pratiquant sur terrain ou dans les bibliothèques et les
archives, les méthodes et techniques de recherche bien apprises. le
chercheur doit montrer qu'il sait bien délimiter son objet
d'étude, trouver et formuler une bonne problématique et des
bonnes hypothèses, observer méthodiquement, enregistrer les
données qu'il sait classer, interpréter et expliquer les
données recueillies.
Le terme problématique est un concept
complexe, vu qu'il existe autant des définitions, il y'a autant
d'auteurs, mais toutes les définitions ressortent les
éléments communs conduisant à une même idée
à savoir :
La problématique est donc
définie comme un concept qui désigne l'ensemble des
problèmes anticipatif que soulèvent une science, un sujet
d'études, dans le contexte idéologique donnée avec une
étape de l'identification d'un ensemble des problèmes faisant
corps avec la question de départ.
D'après le petit
Larousse, la problématique est l'ensemble de questions qu'une science ou
une philosophie pose dans un domaine particulier dont l'issue, la
réalisation, l'action ainsi que la réalité est douteuse,
aléatoire et hasardeuse.
C'est ainsi qu'après notre descente sur notre
cas de recherche, nous nous sommes rendus compte que le système
d'informations appliquer à ce service court derrière quelques
problèmes sérieux notamment :
· La perte d'informations ;
· Une certaine lenteur lorsqu'il faut chercher les
déclarations d'un ancien partenaire et enregistrer celles du nouveau.
· la perception de l'IPR entre la DGI et ses partenaires
s'effectuent par supports papier communément appelés «
Déclaration »,
Ceci nous a amené à nous poser une question
très importante à savoir :
· Comment réorganiser le système en rapport
avecla perception d'impôts professionnel afin de rendre cette tache
simple et rapide ? Celle-ci est la question au quelle nous tenterons de
répondre tout au long de ce travail.
II.2 HYPOTHESES
Il est donc préférable d'aborder la recherche
avec quelques idées préalables.
Dans un travail scientifique, l'hypothèse est
définie comme étant une idée directrice, une tentative
d'explication des faits formulées au début de la recherche,
destinée à guider l'investigation et à être
abandonnée ou maintenue d'après les résultats de
l'observation ; soit c'est donc une supposition que l'on fait pour un
problème, laquelle peut être infirmée ou confirmée
après enquête et traitement des données.
D'après LOUIS MPALA
MBABULA, l'hypothèse est une réponse provisoire
donnée aux questions de la problématique. Elle servira de fil
conducteur, car elle est une conjoncture ou une proposition de réponse
à la question posée. A dire vrai, l'hypothèse est le
point de départ d'une investigation scientifique.
Par rapport à la
problématique, plusieurs paramètres sont successibles à la
collecte des données et du traitement, étant donné que
l'informatique est de nos jours un meilleur outil par excellence qui procure la
rapidité et l'automatisation, source de précision et
d'exécution, nous pouvons en s'avoir que l'ordinateur s'avère un
outil indispensable dans toute gestion d'une organisation actuelle ainsi, nous
proposons ici mettre en place une application informatisée qui serait
une solution optimale aux méfaits que connait le système de la
perception d'impôts au sein de la Direction provinciale du haut Katanga
D.P.I.
II.3 DEFINITION DES
CONCEPTES
II.3.1 DEFINITION DES CONCEPTES
FONDAMENTAUX
· Mise en place :Dans le
dictionnaire la mise en place elle est définir comme étant une
action de mettre quelque chose à part. Et en informatique elle est
défini comme ; étant une suit de mettre en oeuvre un
système ou un programme informatique.
· Application :c'est un
programme informatique qui fait référence a un jeu
d'instructions, exécutants une fonction ou une procédure
spécifique
· Informatique :le mot
informatique date de 1962 il est tiré de deux mot :
information et automatique. L'histoire de l'informatique est justement
marquée par la volonté des hommes d'automatiser certaines
tâches longtemps réalisé à la main en particulier le
calcul. C'est ainsi que l'informatique se définie comme étant une
science de traitement automatique de l'information au moyen d'une machine
appelée « ordinateur ».
· Perception :Est une
recette, recouvrement, mais dans le cadre de notre recherche, la perception est
un service mise en place par une organisation qui s'occupe de la perception de
tous les impôts lier à une déclaration
· Impôt : c'est un
prélèvement obligatoire effectué par voie
d'autorité par la puissance publique (L'Etat et ses collectivités
territoriales) sur les ressources de personnes vivantes sur son territoire ou y
possédant des intérêts.
· Professionnel : celui
qui fait profession d'un métier, d'un art ou d'un sport.
·
Rémunération : la rémunération
est le prix d'un travail fourni ou des services rendus
II.3.2 DEFINITION DES CONCEPTES
LIES AU DOMAINE INFORMATIQUE
INFORMATIQUE DE GESTION : l'informatique
de gestion caractérise l'utilisation de l'outil informatique pour
simplifier la gestion administrative de l'entreprise, du suivi des clients
jusqu'à la fiche de paye de l'employé en passant par les
relations avec les fournisseurs (facturation, comptabilité). Elle est
étroitement liée au système d'informations de l'entreprise
et prend la forme des grandes entreprises d'un progiciel
intégré.
a) INFORMATION : une information est un
élément de connaissance susceptible d'augmenter le degré
de la connaissance d'un individu sur une matière donnée.
b) UNE DONNÉE : une donnée
est une représentation d'une information sous une forme conventionnelle
(codée) destinée à faciliter son traitement.
c) SYSTÈME D'INFORMATION :
l'entreprise est un complexe dans lequel transitent de très nombreux
flux d'informations, sans un dispositif maitre de ces flux, l'entreprise peut
très vite être dépassés est ne plus fonctionner avec
une qualité de service satisfaisante. L'enjeu de toutes entreprises quel
que soit de négoce, industrielle ou de service consiste donc à
mettre en place un système destiné à collecter,
mémoriser, traiter et distribuer l'information. Ce système
d'information assurera le lien entre deux autres systèmes de
l'entreprise : le système opérant et le
système de pilotage.
C'est ainsi qu'on définit
le système d'information comme tout l'ensemble d'éléments
(matériels ou non) transforment des éléments
d'entrée en éléments de sorties que l'on considère
comme le flux d'entrés et de sorties.
d) SYSTÈME INFORMATIQUE : un
système informatique est un ensemble d'équipements destiné
au traitement automatique d'informations.
e) LOGICIEL : c'est un ensemble de
programmes constituant les dispositifs de base qui permet de faire
fonctionné un ordinateur.
II.3.3 DEFINITION DES CONCEPTES LIES AUX MATERIELS
INFORMATIQUE
ORDINATEUR : un ordinateur est l'ensemble
des circuits électronique permettant de manipuler des données
sous forme binaire, c'est-à-dire sous forme de bit. Le mot
« ordinateur » provient de la société IBM
France. FRANÇOIS GIRARD, alors, responsable du service promotion
générale de publicités de l'entreprise IBM France, eut
l'idée de consulter son ancien professeur de lettres à PARIS,
afin de lui demander de proposer un mot caractérisant le mieux possible
de que l'on appelait vulgairement un « CALCULATEUR »
(traduction littérale du mot anglais « COMPUTER »).
Ainsi, JACQUES PERRET, agrégé de lettres professeur de philologie
latine à la Sorbonne, propose le 16 avril 1955 le mot
« ORDINATEUR » en précisant que le mot ordinateur
était un adjectif provenant du latin « ORDINARE »
signifiant « Dieu mettant de l'ordre dans le monde ».
a. COMMUTATEUR : un commutateur dit
encore couramment un SWITCH, est un périphérique permettant de
relier des machines au sein d'un même réseau local, il
possède d'acheminement sélectif des informations vers certaines
machines du réseau en utilisant les adressages correspondant.
b. LE ROUTEUR : un routeur est un
périphérique permettant de relier deux ou plusieurs
réseaux, il intervient surtout dans la régulation du trafic dans
le grand réseau.
c. LE SERVEUR : un serveur est une
machine centrale doté de très grande capacité de
fonctionnement et qui souvent centralise le fonctionnement d'une entreprise.
d. MODEM : un modem est une
abréviation de « modulateur de modulateur » il
s'agit d'un périphérique permettant de moduler et de moduler une
information.
e. IMPRIMANTE : est un
élément périphérique d'un ordinateur qui sert
à la reproduction sur papier de documents d'abord enregistre sur un
support informatique.
f. CLAVIER : est un
périphérique d'entre qui permet la saisie des informations une
direction de l'ordinateur.
g. SOURIS : est un outil indispensable.
Elle nous permet de piloter notre ordinateur : sélectionner,
déplacer manipuler des éléments présents dans notre
ordinateur. Elle comprend boutons : Clic gauche ; clic droit.
CHAPITRE III METHODOLOGIE
DE RECHERCHE ET CHAMPS EMPIRIQUE
Section 1 champs empirique
III.1.1 PRESENTATION DE L'ENTREPRISE
La décision de lancer une nouvelle application ou de
modifier une application qui existe a des conséquences importantes au
plan de l'organisation, au plan des méthodes des gestions, au plan des
conditions économiques de fonctionnement. Par conséquent, cette
décision doit être préparée par une étude
préalable qui, à partir d'un diagnostic de la situation actuelle,
débauche sur une ébauche des solutions.
Beaucoup d'applications informatiques ont
pour origine l'émergence d'un besoin. Ce besoin peut être
formulé par un utilisateur ou découler de l'observation
d'incident dans une activité de l'entreprise.
C'est ainsi que notre choix
d'étude est porté sur la direction provinciale des impôts
du haut Katanga qui est pour nous un champ du présent travail, cette
direction est situé au croisement des avenues SENDWE N°1575
quartier dans la commune de LUBUMBASHI
III.1.2 BREVE HISTORIQUE DE LA
SOCIETE
Dans le temps, il y avait une Direction de contribution qui
dépendait du Ministère ayant les finances dans ces attributions.
Après comparaison des recettes fiscales, on a pu constater que celle-ci
ne contribuait pas comme il fallait dans le budget de l'Etat d'où il
fallait un mécanisme pour parer à cette situation.
Après études, il y'a eu création de la
Direction Générale des contributions par l'ordonnance n°
88/039 du 10 Mars 1988, cette dernière est devenue souple en faisant sa
politique propre entérinée par le Ministre ayant les finances
dans ces attributions. Elle a fait sa politique financière dans la
motivation des agents et le fonctionnement de sa Direction. Grâce
à une allocation budgétaire ne lui allouer que celle de 50% des
pénalités fiscales recouvrées.
Vu la nécessité de s'adapter aux nouvelles
structures de la DGC (Direction Générale des Contributions) pour
une grande efficacité de la mobilisation des recettes et sur proposition
du Ministère des finances et budget, du Ministère ayant les
finances dans ses attributions, un service doté d'une autonomie
administrative et financière dénommée
« Direction Générale des Impôts ». La
différence entre DGC et DGI consisterait à toutes les missions et
prérogatives totales en matière fiscales données à
la DGI.
La DGI exerce ses compétences de manière
exclusive sur toute l'étendue du territoire national.
A cet effet, la DGI est chargée d'étudier, de
soumettre à l'autorité compétente des projets des lois,
des décrets et arrêtés en la matière. Elle doit
être consultée pour tout texte ou convention à incidence
fiscale à tout agrément d'un projet d'investissement à un
régime fiscal dérogatoire.
III.1.3 STRUCTURE ADMINISTRATIVE
La DGI étant un service générateur des
recettes est représenté dans chaque province par la DPI.
La DPI est chargé dans ses ressorts des tâches
non dévolues à l'administration centrale et à la Direction
des Grandes Entreprises (DGE). Elle exerce sa compétence en
matière des ressources humaines, et services généraux, de
contrôle fiscal, de recouvrement, de contentieux, de taxation et
documentation, d'informatique. Elle a en son sein des services
extérieurs dénommés « centre des
impôts » anciennement appelé
« ressort ».
Le centre des impôts est chargé de la gestion des
contribuables, personnes physiques sans préjudice pour la DPI/Haut Kat.
Nous avons les centres ci-après :
§ Centre des impôts de LIKASI : qui gère les
contribuables de toutes la commune.
Ces centres s'occupent réellement des contribuables de
petite et moyenne entreprises (PME).
Ils sont éparpillés sur toutes l'étendue
de la province du Haut-Katanga comme centres des impôts de : LIKASI
KASUMBALESA...
· OBJET SOCIAL
La DPI ayant pour mission :
D'exercer dans le cadre des lois et règlement en
vigueur, toute prérogative, toute mission en matière fiscale. Les
prérogatives concernant l'établissement de l'assiette, de
contrôle, le recouvrement et le contentieux des impôts, taxes,
redevances à caractère fiscal ;
D'étudier et soumettre à l'autorité
compétente les projets d'arrêtés, d'ordonnances et des lois
en matières fiscales ;
Etre conseiller pour toute convention à incidence
fiscale ou tout agrément d'un projet d'investissement à un
régime fiscal dérogatoire ; n'a pour objet social de
maximiser les recettes de l'Etat.
III.1.4 ORGANIGRAMME DE L'ENTREPRISE
III.1.5ACTIVITE DE DIFFERENTS
POSTES DE L'ORGANIGRAMME
1) Directeur provincial(DP) : Il
supervise et coordonne l'ensemble des activités de la DGI. A ce titre,
il dispose de tous les pouvoirs nécessaires et reconnus par les lois et
règlements en vigueur pour l'accomplissement des tâches lui
confier, il gère le personnel, les crédits ainsi que les biens
meubles et immeubles présents et à venir, mis à la
disposition de la DPI.
2) Division de contentieux : Cette
division traite des contestations nées de l'action de service de la
Direction Générale à l'encontre des contribuables,
relevant de sa compétence. Mais, elle peut aussi être
chargée de tout dossier, contentieux sur décision du Directeur
général.
3) Division de recouvrement :
Dirigé par un chef de division, cette division à pour
attribution : La définition de la stratégie ainsi que des
objectifs quantitatifs en matière de recouvrement ;
L'élaboration, la coordination, l'harmonisation et la supervision des
procédures de recouvrement et des poursuites ; Le suivi des
statistiques des recettes et du compte du receveur des impôts au regard
des encaissements.
4) Division du contrôle fiscal :
Dirigé par un chef de division, cette division a pour
tâches : La coordination du programme de contrôle
fiscal ; La définition de la politique en matière des
répressions des infractions et de suivi des relations avec le parquet et
les juridictions répressives ;
La fixation des objectifs quantitatifs et qualitatifs de
contrôle ;
L'assistance, le cas échéant des services
opérationnels dans le traitement des dossiers importants en la
matière ;
L'élaboration de coordination et la supervision des
procédures, techniques et méthodes de contrôle.
5) DIVISION DE TAXA & DOCUMENTATION
Cette Division à comme tâche :
· La tenue de l'actualisation du suivi de
répertoire des contribuables ;
· La gestion du système d'attribution du
numéro impôt ;
· L'identification des contribuables.
Cette division contient deux bureaux :
ü Bureau taxation : qui s'occupe de
déterminer, d'évaluer, de calculer l'impôt
c'est-à-dire asseoir l'impôt et de tout dépôt des
déclarations à l'échéance.
ü Bureau Documentation : qui
s'occupe des dossiers uniques de contribuables et la gestion de
répertoires, la constitution et la conservation des dossiers ouverts au
nom de
Chaque contribuable dont la gestion relève de la
Direction Générale
6) DIVISION DE L'INFORMATIQUE
Dirigé par un chef de Division, elle a pour
attribution :
L'élaboration des cahiers de charges des projets
informatiques ;
L'analyse, le développement, l'implantation et la
maintenance des applications et des équipements ; La gestion des
systèmes d'exploitation.
III.1.6 DESCRIPTION DE
DOCUMENTS
Nous allons présenter tous les documents utilisés
dans l'entreprise et en suite en faire une étude afin de proposer une
solution.
Chaque document émis,
reçu ou conservé à un poste doit être
enregistré et analysé.
A partir de chaque document, on procède à la
reconstruction du graphe de circulation et on obtient ainsi une bonne
représentation des procédures. De ce fait, nos recherches nous
ont conduits aux documents suivants :
1 RELEVE DE ENCAISSEMENTS JOURNALIERS /DGI
Ce document contient les informations suivantes :
ü Identité Bank
ü Nom de la Bank
ü Numéro contribuable
ü Dénomination contribuable
ü Numéro impôt contribuable
ü Nature de paiement
ü Montant
ü Référence de paiement
ü Numéro attestation
ü Date de paiement
2 BORDEREAU DE VERSEMENT
Sur ce document nous avons trouvés les informations tel
que :
ü Numéro contribuable
ü Nom contribuable
ü Post nom contribuable
ü Adresse contribuable
ü Montant à peyer
ü Coupure
ü Nombre
ü Date
3 DECLARATION MENSUELLE DES IMPOTS
PROFESSIONNELLES
Ce document contient des informations entre autre :
ü IdDGI
ü Numéroimpôt
ü Adresse postale
ü Numérotéléphone
ü Adresse E-mail
ü Nom contribuable
ü Adresse physique contribuable
ü Catégorie salariale
ü Mode de paiement
ü Montant à paie
ü Date de paiement
v INVENTAIRE DES RUBRIQUES
L'inventaire des rubriques autrement appelé «
inventaire des données » c'est un tableau qui répertorie un
ensemble de données prises sur les documents utilisés dans le
système ou domaine étudié.13 C'est une étape dans
l'analyse qui permet d'inventorier les rubriques (d'information atomique) qui
proviennent des documents existants en les représentant dans le tableau
dont le nombre des colonnes correspond au nombre des documents et le nombre
des lignes correspond à celui des rubriques se trouvant sur les
documents. Lorsqu'une information est trouvée sur le document on place
un astérisque (*) à l'intersection de la ligne
représentant l'information et la colonne représentant le
document
N°
|
PROPRIETES
|
RELEVE DES ENCAISSEMENTS JOURNALIERS/DGI
|
BORDEREAU DE VERSEMENT
|
DECLARATION MENSUELLE DES IMPOTS
|
1
|
Idcontribuable
|
*
|
*
|
*
|
2
|
Nom contribuable
|
*
|
*
|
*
|
3
|
PostNomContribuable
|
*
|
*
|
*
|
4
|
Adresse contribuable
|
|
*
|
|
5
|
Montant
|
*
|
*
|
*
|
6
|
Coupure
|
|
*
|
|
7
|
Nombre
|
|
*
|
|
8
|
date paiement
|
*
|
*
|
*
|
9
|
Num_Impot
|
*
|
*
|
*
|
10
|
libelle
|
*
|
|
*
|
11
|
échéance
|
|
|
*
|
12
|
taux
|
|
|
*
|
13
|
Num_bord
|
|
|
*
|
14
|
Numcompt
|
*
|
*
|
*
|
15
|
montant
|
|
|
*
|
16
|
nom banque
|
|
|
*
|
III.1.7 DICTIONNAIRE DE
DONNEES
Le dictionnaire de données est un tableau qui est
construit à partir des informations ou données recensées
sur les différents documents. La structure de données va
être constituée par les données élémentaires
de base (non calculées). Chaque donnée sera :
· Identifier par un nom,
· Définie par un type,
· Caractérisée par un domaine de
définition (alphanumérique(AN) ou numérique(N),
· Caractérisée par une taille,
· Associée à une règle de
gestion.
|
PROPRIETES
|
DESIGNATION
|
TYPE
|
TAILLE
|
DOMAINE
|
REGLE
|
1
|
Idcontribuable
|
Identité contribuable
|
NC
|
15
|
AN
|
|
2
|
Nomcontribuable
|
Nom contribuable
|
NC
|
20
|
AN
|
|
3
|
PostNomCcontribuable
|
Post nom contribuable
|
NC
|
12
|
AN
|
|
4
|
Adressecontribuable
|
Adresse contribuable
|
CN
|
12
|
AN
|
|
5
|
Montant
|
Montant à paie
|
NC
|
10
|
AN
|
|
6
|
Coupure
|
Coupure
|
NC
|
5
|
AN
|
|
7
|
Nombre
|
Nombre
|
NC
|
6
|
N
|
|
8
|
Datepaiement
|
Date de paiement
|
NC
|
10
|
DATE
|
Jj/mm/aaaa
|
9
|
Num_impot
|
Numéroimpôt
|
NC
|
9
|
AN
|
|
10
|
Libelle
|
Libellé
|
NC
|
12
|
AN
|
|
11
|
Echeance
|
Echéance
|
NC
|
8
|
AN
|
|
12
|
Taux_impot
|
Taux impôt
|
NC
|
9
|
N
|
|
13
|
Num_bord
|
Numéro bordereau
|
NC
|
6
|
AN
|
|
14
|
Num_compt
|
Numéro banque
|
NC
|
10
|
AN
|
|
15
|
Montant
|
Montant
|
NC
|
15
|
N
|
|
16
|
Nom_banque
|
Nom de la banque
|
NC
|
16
|
AN
|
|
III.1.8 MODELE CONCEPTUEL DE
COMMUNICATION
Le modèle conceptuel de communication appeler autrement
graphe des flux, nous facilite la démonstration d'une
manière graphique les échanges des informations entre les
différents acteurs. Ce diagramme donne une vue d'ensemble (la
cartographie) de la circulation des informations (les flux) entre les acteurs
internes ou externes qui participent à un domaine d'étude.
· DESCRIPTION TEXTUELLE
La description des traitements est une partie dans laquelle
nous présentons les personnes qui entrent en jeux pour le processus des
perceptions d'impôts professionnels, les liens entre eux, et de quelle
manière ilscommuniquent.
Voici comment circule le flux d'information
à ce qui concerne la perception d'impôts professionnels : le
contribuable se présente avec ses documents devant le banquier, puis le
banquier procède au contrôle des documents. Si les documents sont
complets ; le banquier donne au contribuable le formulaire de choix du
mode de paiement et ensuite le bordereau lui sera remis dont il
présentera son impôt. Apres la présentation de son
impôt un reçu lui est donner pour garantir le paiement. Enfin le
banquier transmettra une copie de preuve de paiement à la DGI.
· Tableau des acteurs
Ici, il s'agit d'un tableau répertoriant les personnes
physiques qui interviennent lorsqu'il faut percevoir l'impôt
professionnel dans cette entreprise publique.
N°
|
NOM ACTEUR
|
TYPE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
CONTRIBUABLE
|
EXTERNE
|
Acteur qui verse l'impôt à la DGI
|
2
|
BANQUIER
|
INTERNE
|
Acteur qui reçoit l'impôt payé par le
contribuable
|
3
|
AGENT DGI
|
INTERNE
|
Acteur au service de la déclaration d'impôt
à la DGI
|
GRAPHE DE FLUX
Dans ce chapitre de notre travail, le graphe de flux nous
permet de représenter schématiquement la communication entre les
acteurs et la circulation des informations au sein de cette entreprise
8
5
4
2
.
CONTRIBUABLE
6
1
BANQUIER
3
7
8
9
AGENT DGI
LEGENDE
1 Documents présenté
2 Vérification documents
3 Mode de paiement présenté
4 Choisir mode de paiement
5 Bordereau présenté
6 Remplir
7 Paiement
8 Reçu remis
9 Preuve de paiement
DIGRAMME DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
Le diagramme de circulation des informations est un tableau,
d'une manière graphique entre les postes de travail. Dans cette
représentation les nombre des colonnes équivaut au nombre des
postes de travail
N°
|
CONTRIBUABLE
|
BANQUIER
|
AGENT DGI
|
Reçu
Remplir
Bordereau présenté
Choisir mode de paiement
Mode de paiement
Arriver contribuable
Vérification
Paiement
Vérification
Mode de paiement remis
Vérification documents
Documents présenté
Preuve de paiement
Section 2 méthodologie de recherche
III.2.1 CONCEPTION DUSYSTEME D'INFORMATION
INTRODUCTION
Ce point intitulé conception du nouveau système
est une partie où la solution proposée vers la fin de notre
deuxième chapitre est bel et bien présentée et
expliquée ; c'est-à-dire qu'il est ici question d'un nouveau
système d'informations approprié pour la perception d'impôt
et les explications sur celui-ci : la manière dont il faut l'utiliser,
les éléments et les documents qu'il faut pour l'utiliser, les
acteurs qui entre en jeux pour son utilisation, et la manière dont il
faut faire circuler les informations entre ces acteurs.
Sans plus tarder, voici comment les données sont
présentées et traitées dans ce nouveau scénario
:
III.2.2CONCEPTS FONDAMENTAUX
a. PROPRIETE : est le plus petit
élément d'information ou information atomique. C'est
-à-dire non décomposable qui répond à un besoin de
gestion dans l'organisation. Elle est une information de base du système
d'information, caractérisée par un nom et un domaine, elle
dispose d'un type, elle peut être numérique, leur longueur peut
être aussi définie
b. OCCURRENCE : une occurrence est une
valeur d'une propreté. Donc c'est un contenu d'une
propriété.
c. ENTITE OU OBJET : c'est un objet
concret ou abstrait de la réalité pour laquelle on souhaite
connaitre et enregistrer des informations. C'estenfin une représentation
d'un élément matériel ou immatériel du monde
réel ayant un rôle dans le système où l'on
voudraitopérer.Elle est définie par un nom, et une liste de
propriétés (rubriques), qui la caractérise. Elle doit
avoir au moins une propriété. L'identification des entités
à modéliser constitue la première étape de
représentation logique des données.
d. ATTRIBUT : un attribut est une
propriété caractéristique d'une entité qui est
utile ou nécessaire, mais pas forcément pertinente pour
décrire la réalité perçue. Il prend une valeur bien
précise pour chaque occurrence d'une entité.
e. CARDINALITE : c'est un lien entre une
entité et une association, elle est minimum et maximum, de fois une
occurrence de l'entité peut être concernée par
l'association. Selon MICHELE DIVINE, la cardinalité d'une occurrence
d'individu dans une relation donnée est le nombre d'occurrence de
relations que possède cette occurrence d'individu (entité) via la
relation.
f. IDENTIFIANT OU CLE PRIMAIRE :
l'identifiant est un attribut (ou le plus petit sous ensemble d'attribut)
permettant de repérer de manière unique une occurrence parmi
toutes les occurrences possibles d'une entité. C'est en d'autre terme
une propriété particulière d'un objet. Ainsi, chaque
individu d'une entité doit être indentifiable de manière
unique. Elle permet de connaitre de façon sûre et unique
l'ensemble des propriétés qui participent à
l'entité.
g. CLE ETRANGERE : un attribut X est une
clé étrangère d'une relation R1 s'il existe une relation
R2 possédant X comme clé primaire.
h. ASSOCIATION : elle est un lien
sémantiquequi existe entre une ou plusieurs entités. à la
différence d'entités, une association n'a pas d'existence propre,
elle n'existe qu'en fonction des entités qu'elle relie. Elle est
caractérisée souvent par une forme verbale, symbolisée par
un ovale ou un cercle. Elle doit répondre à un besoin de gestion
(ce qui veut dire, elle doit être utile et utilisable dans
l'organisation).
i. DEPENDANCE FONCTIONNELLE : cette
dépendance fonctionnelle fut introduite par le père du
modèle relationnel (CODD) afin de caractériser des relations qui
peuvent être décomposées sans perde d'informations. Un
attribut (ou groupe d'attributs) y dépend fonctionnellement d'un
attribut (un groupe d'attributs) X si la connaissance d'une valeur de X lui
fait correspondre une valeur unique de Y. en d'autre terme, la connaissance de
X entraine la connaissance de Y. ceci veut dire « Y dépend
fonctionnement de X »ou « X détermine
Y ».
j. FORMES NORMALE : la forme normale est
une opération qui consiste à examiner dans quelle condition une
relation R souffrant des quelques anomalies peut être remplacée
par deux relations normales R1 et R2 soit plus petit que celui de R et que R1
et R2 contiennent les mêmes informations que R. elle comprend trois
formes normales qui sont présentée ci-dessous :
· Première forme normale (1FN)
Une relation R est en 1FN si tout attribut contient une
valeur atomique (élémentaire) en fixant la clé. Ce qui
veut dire qu'il existe au moins une clé caractérisant chaque
occurrence de l'objet représenté.
· Deuxième forme normales
(2FN)
Une relation R est en 2FN si
elle est en 1FN toutes les dépendances qui portent de la clé vers
les autres attributs sont totales.
· Troisièmes forme normales
(3FN)
Une relation R est en 3FN, toutes les
dépendances de la clé vers les autres attributs sont directes, ce
qui veut dire, tout attribut n'appartenant pas à la clé ne
dépend pas d'un attribut non clé.
III.2.3 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
Le
modèle conceptuel de données est une représentation
statique du système d'information, il est une représentation de
la sémantique de données qui sont utilisées par le
système. Le MCD c'est un modèle ayant comme but de
d'écrire de façon formelle les données qui seront
utilisées par le système d'information ; c'est une
représentation des données, facilement compréhensible,
permettant de décrire le système d'information à l'aide
d'entités (représentation d'un élément
matériel ou immatériel ayant un rôle dans le système
que l'on désire décrire).14 Le MCD est l'élément le
plus connu de MERISE et certainement le plus utile. Il permet d'établir
une représentation claire des données du SI. Avant de
réfléchir au schéma d'une application, il est bon de
modéliser la problématique à traiter d'un point de vue
conceptuel et indépendamment du logiciel utilisé.
III.2.4 MATRICE DE DEPENDENCE
FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE
Dans cette matrice, on définit les
dépendances entre les identifiants mono- propriété (source
simple) et les autres propriétés. Elle est une matrice
carrée dans laquelle sont représentées toutes les
dépendances fonctionnelles dont la source (clé primaire) est
constituée d'un seul attribut. On représente la clé par le
caractère « * » et la dépendance par le
chiffre « 1 ».
N°
|
SOURCE
BRUTE
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
7
|
8
|
9
|
10
|
11
|
12
|
13
|
14
|
15
|
16
|
1
|
Idcontrib
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2
|
Nomcontrib
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3
|
Postnomcontri
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
4
|
Adressecontrib
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
5
|
Montantpaie
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
6
|
Coupure
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
7
|
Nombre
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
8
|
Datepaiement
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
9
|
Num_impot
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
10
|
libelle
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
11
|
echeance
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
12
|
Taux_impot
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
13
|
Num_bord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
14
|
Num_compt
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
15
|
montant
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
16
|
Nom_banque
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
III.2.5MATRICE DE DEPENDANCE
FONCTIONNELLE A SOURCE COMPOSEE.
La matrice de dépendances fonctionnelles à
source composée est un tableau spécifique composée des
sources des dépendances fonctionnelles simples ou mono-
propriété et des propriétés non utilisées
dans la matrice de dépendance fonctionnelle à source simple ;
c'est une étape qui existe lorsqu'il y a les propriétés
non utilisés dans la matrice de dépendance fonctionnelle à
source simple. Et comme il n'existe pas des propriétés
indépendantes dans notre matrice de dépendance
fonctionnelleà source simple, cette étape ne peut pas avoir
lieu
III.2.6 MATRICE DES CLES
Il s'agit ici d'un tableau rempli à partir des
propriétés identifiants dans la matrice de dépendance
fonctionnelle à source simple, tout en observant une
propriété qui peut identifier l'autre. Nous mettons
l'Astérix (*) sur la propriété identifiant l'autre, et un
(1) sur la propriété identifiée tout en respecter les
colonnes de ces propriétés
N°
|
PROPRIETES
|
1
|
2
|
3
|
1
|
Idcontribu
|
*
|
|
|
2
|
NUM_IMPOT
|
|
1
|
|
3
|
NUM_bord
|
|
|
*
|
III.2.7GRAPHE DES CLES
Le graphe de clés, à la suite de la matrice de
clés, représente graphiquement les relations entre les
identifiants.
IdcontribNumbord
I
Num_Impot
III.2.8 STRUCTUTE D'ACCES THEORIQUE (S.A.T)
Numbord
La structure d'accès théorique est une
représentation du graphe des identifiants. Elle est établie en
ajoutant au graphe des clés les différentes
propriétés en dépendance fonctionnelle avec les
identifiants.
-num_bord
-num_compt
-montant
-nom_banque
-Nomcontrib
-Postnom
-Adresse
-Montant
-Coupure
-Nombre
-date
Idcontri
-libelle
-echeance
-taux_impot
Num_Impot
III.2.9 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
On transforme la structure d'accès théorique en
modèle entité-association. Ce modèle estensuite
complété par la notion des cardinalités.
Declarer
Detedec
Montant
Periode
IMPOT
Num_Impot
Libellé
Échéance
Taux Impôt
CONTRIBUABLE
-Idcontrib
-Nomcontrib
-Postnom
-Adresse
-Montant
-Coupure
-Nombre
-date
(1, n)
(1, n)
(1, n)
Appartenir
BORDEAU
-num_bord
-num_compt
-montant
-nom_banque
(1, 1)
III.2.10 TABLEAU DE CARDINALITES
Les règles des gestions et/ou le bon sens
permettant de préciser les cardinalités des liens entre les
entités et les associations en donnant le minimum et le maximum de la
participation d'une entité dans une association
N°
|
ASSOCIATION
|
ENTITE
|
CARDINALITE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
DECLARER
|
CONTRIBUABLE
|
(1, n)
|
Le contribuable peut déclarer un ou plusieurs
impôts à la DGI
|
IMPOT
|
(1, n)
|
Un impôt peut être Peyer par un ou plusieurs
contribuable
|
2
|
APPARTENIR
|
CONTRIBUABLE
|
(1, n)
|
Le contribuable peut appartenir à un ou plusieurs
bordereaux
|
BORDEREAU
|
(1, 1)
|
Un bordereau appartient à un et un seul contribuable
|
III.3.1 MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT
INTRODUCTION
Les traitements constituent la partie dynamique du
système d'information. Il décrit les opérations à
effectuer sur les données pour les transformer en résultats
attendus par les utilisateurs.
Dans la construction du système
d'informations, l'aspect de traitement est le plus sensible pour les
gestionnaires. L'articulation des opérations, leurs enchainements dans
le temps, la définition des règles de gestions à appliquer
traduit directement leurs activités quotidiennes.
Ainsi, l'élaboration du modèle
de traitement apparait comme la phase clé de la conception des
systèmes d'information. Le modèle de traitement a pour objectif
de décrire le contenu (quelle opération ? quels
résultats ?) et la dynamique (déroulement dans le temps) des
activités d'un domaine de l'organisation d'une manière
indépendante des choix d'organisation (lieu d'exécution et
durée de l'opération) et des moyens utilisés. Ce
modèle va exprimer à travers une représentation
schématique (langage graphique) un accord des personnes
concernées sur les principes fonctionnels du traitement.
A travers le modèle
conceptuel de traitement, on cherche à répondre à la
question « QUOI FAIRE ? », on espère ainsi
obtenir un modèle stable, invariant par rapport aux choix d'organisation
et aux choix techniques
DEFINITION DE CONCEPTS DE BASE
Evènement : on appelle
évènement un fait dont l'apparition va déclencher une
réaction au sein de l'organisation ou dans le domaine. L'occurrence
(la réalisation) de l'évènement entraine le
déroulement d'activités ou d'opération.
a) Opération : on appelle
opération un ensemble d'actions exécutées par le
système suite à un évènement ou à une
conjonction d'évènements. Soit une opération est toute
action (ou ensemble d'action) déclenchée pour réagir
à un évènement ou plusieurs évènements. Une
opération produit un ou plusieurs résultats. Elle est
identifiée par un nom.
b) Résultat : on appelle
résultat ce qui est produit par l'exécution d'une
opération. Un résultat peut être un document, un message
externe, un nouvel état du système d'information (nouvelle
situation, nouvelle données) crée par une opération qui
peut être lui-même les rôles d'évènement.
c) Synchronisation : la synchronisation
exprime sous forme d'une propriété logique le fait que
l'opération peut être déclenchée ou non. Elle est
exprimée par une expression booléenne (logique) liant les
évènements déclenchant l'opération. Les
opérations logiques de base sont : ET, OU, et NON
Règle d'émission des résultats
(R.E.R) : Une règle d'émission des résultats
est une forme d'expression logique qui définit les conditions auxquelles
est soumise l'émission de plusieurs résultats par une
opération. Donc une règle d'émission des résultats
est une condition définie dans une opération pour produire
plusieurs résultats alternatifs
d) Graphe de flux :
· Flux : un flux est un
échange entre un acteur avec lui-même ou entre deux acteurs. Par
formalisation graphique, tout flux sera représenté par une
flèche orientée de l'émetteur vers le récepteur. Il
est toujours porteur d'un message, c'est-à-dire il est toujours porteur
d'information du système
e) Matrice de flux : c'est une matrice
carrée, en lignes et colonnes on a des acteurs et une intersection entre
ligne et colonnes continent un ou plusieurs échanges.
f) Tableau de flux : c'est un tableau
qui contient tous les flux, et uneligne décrit en détail un flux
(nom, émetteur, récepteur, données, explication).
g) Graphe d'ordonnancement des
évènements : c'est un graphe qui ordonne les
évènements internes. Un G.O.E est orienté horizontalement
ou verticalement. Dans un G.O.E un segment va représenter une
opération et un arc représente un évènement
déclenchant l'opération ou un résultat produit par
l'opération.
III.3.2 TABLEAU DE FLUX
N°
|
NOM FLUX
|
EMETTEUR
|
RECEPTEUR
|
DONNEE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Documents présentés
|
contribuable
|
banquier
|
document
|
Le contribuable présente les documents au banquier
|
2
|
Vérification documents
|
banquier
|
banquier
|
Identité contribuable
|
Le banquier vérifieles documents du contribuable
|
3
|
Mode de paiement présenté
|
banquier
|
contribuable
|
-cheque
-virement
-espèce
|
Le banquier présente le mode de paiement au
contribuable
|
4
|
Choisir mode de paiement
|
contribuable
|
contribuable
|
-cheque
-virement-espèce
|
Le contribuable fait le choix du mode de paiement
|
5
|
Bordereau présenter
|
banquier
|
contribuable
|
-idcontrib
-nom
-postnom
|
Le banquier donne au contribuable le bordereau de paiement
|
6
|
remplir
|
contribuable
|
contribuable
|
-idcontrib
-nom
-Postnom
|
Le contribuable rempli le bordereau de paiement
|
7
|
paiement
|
contribuable
|
banquier
|
billets
|
Le contribuable paiement l'impôt
|
8
|
reçu
|
banquier
|
contribuable
|
-idcontrib
-nom
-Postnom
|
Le banquier donner le reçu de paiement au
contribuable
|
9
|
Preuve de paiement
|
banquier
|
DGI
|
-idcontrib
-nom
-postnom
|
Le banquier transmet la preuve de paiement à la DGI
|
III.3.3 TABLEAU DES EVEMENTS
Par définition, un évènement est
un fait qui déclenche une réaction à son apparition dans
le système. Tout le flux dont les récepteurs sont des acteurs
interne automatiquement ils deviennent des évènements, ainsi le
type d'un évènement dépend de son émetteur.
N°
|
NOM FLUX
|
EMETTEUR
|
RECEPTEUR
|
TYPE
|
DONNEE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Documents présentés
|
contribuable
|
banquier
|
externe
|
document
|
Le contribuable présentées documents au
banquier
|
2
|
Vérification documents
|
banquier
|
banquier
|
interne
|
Identité contribuable
|
Le banquier vérifieles documents du contribuable
|
3
|
paiement
|
contribuable
|
banquier
|
externe
|
billets
|
Le contribuable paiement l'impôt
|
4
|
Preuve de paiement
|
banquier
|
DGI
|
|
-idcontrib
-nom
-Postnom
|
Le banquier transmet la preuve de paiement à la DGI
|
III.3.4 TABLEAU DES ACTIONS INDUITES
La construction de ce tableau est comme suite :
à partir du tableau des évènements, considérons un
évènement, pour chaque évènement, chercher les
actions induites par cet évènement et les résultats
produits par l'exécution de ces actions à partir des
règles de gestion et du bon sens.
N°
|
NOM EVENEMENT
|
RECEPTEUR
|
ACTION
|
RESULTAT
|
1
|
Documents présentés
|
banquier
|
vérifier
|
-documente complet
-document incomplet
|
2
|
Vérifier documents
|
banquier
|
payer
|
-payement effectué
-paiement nom effectué
|
3
|
paiement
|
banquier
|
Etablir reçu
|
Reçu remis
|
4
|
Preuve de paiement
|
DGI
|
transmettre
|
Preuve transmise
|
III.3.5 TABLEAU DES OPERATIONS
Une opération est l'ensemble de traitement
effectué pour réagir à un évènement, c'est
un regroupement d'actions induites dont les évènements
déclencheurs et le résultat sont les même.
N°
|
NOM OPERATION
|
EVENEMENT
|
ACTION
|
RESULTAT
|
SIGNIFICATION
|
1
|
vérification
|
Document présenté
|
vitrifier
|
-Documents complets
-documents incomplets
|
Le banquier vérifie les documents du contribuable
|
2
|
paiement
|
Vérifier
|
payer
|
-paiement effectué
-paiement non effectué
|
Le contribuable paie son impôt
|
3
|
Etablissement reçu
|
paiement
|
Etablir reçu
|
Reçuétablis
|
Le banquier établis le reçu pour le
contribuable
|
4
|
transmission
|
Preuve de paiement
|
transmettre
|
Preuve transmise
|
Le banquier transmet la preuve de paiement à la DGI
|
III.3.6 TABLEAU DE
SYNCHRONISATION
N°
|
NOM SYNCHRO
|
NOM OPERATION
|
EVENEMENT
|
SYNCHO
|
SIGNIFICATION
|
1
|
S1
|
PAIEMENT
|
vérifier
|
A et B
|
Le paiement s'effectue lors ce que les documents et le montant
à payer sont complets
|
III.3.7 GRAPHE D'ORDONNANCEMENT
D'EVENEMENT
Documents présenté
Documents complets
Documents incomplets
Mode de paiement présenté
Bordereau présenté
Bordereau mal remplis
Bordereau bien remplis
Paiement
Reçu
Preuve de paiement
III3.8 CONSTRICTION DU M C T
Documents présenté
vérifier
|
Documents incomplets
|
Documents complets
|
Mode de paiement présenté
Choisir
Bordereau présenté
Vérifier
Bien rempli
Mal rempli
ET
Paiement
Preuve de paiement
Reçu
III.4.1 MODELE LOGIQUE DE DONNEES (M L D)
INTRODUCTION
A ce point, nous parlerons de l'analyse logique qui est
enfin le dernier pas vers le modèle physique de données (MPD)
s'est-il- dire la description de la base de données qui va être
créée. Cette base de données est créé
à partir du M C D ,qui précise le mode de stockage de
données (fichier de données , hiérarchique ,base de
données réseau, bases de données relationnelle ) et nous
parlerons du modèle organisationnel de traitement (MOT), il est
créé à partir du MCT qui précise le choix de
l'organisation(lieu d'exécution des opérations et date
début, date fin des opérations ) et enfin nous parlerons du
modèle physique de données (M P D), il est créé
à partir du MLD et va indiquer les ressources(matériels et
logiciels) nécessaires pour le stockage et la restitution des
informations
Le modèle logique de données a
été inventé en 1970 et il repose sur la théorie
ensembliste. Il est indépendant du matériel et du logiciel, il ne
fait que prendre en compte l'organisation des données. C'est d'ailleurs
le point primordial de la modélisation.
L'objectif du modèle
logique de données est la définition des moyens informations
à la disposition des postes de travail (utilisateurs) afin d'effectuer
les opérations organisées.
Le modèle logique de
données décrit la structure des données
indépendamment de la gestion physique des bases de données. il
est une étape intermédiaire, intellectuellement très
satisfaisante vers le modèle physique de données. Nous avons donc
deux systèmes logiques dans lequel nous pouvons traduire un M C D :
le système par fichier et les bases de données.
La description conceptuelle a
permis les réalisations de l'univers à l'informatiser. Mais cette
représentation ne peut pas être directement manipulée et
accepter par un système informatique. Il est donc nécessaire de
passer du niveau conceptuel au second niveau qui n'est rien d'autre qu'un
niveau plus proche de la capacité des systèmes informatique. Ce
niveau appelé niveau logique, consiste à choisir l'un de quatre
modèle suivants :
- Modèle hiérarchique
- Modèle réseau
- Modèle relationnel
- Modèle fichier
Chacun de ces modèles reposent sur des techniques
d'organisation des données particulières dans lequel des
logiciels seront capables de gère.
III.4.2 CHOIX DU TYPE DE BASE
DE DONNEES
Lorsqu'on crée une application qui repose sur une
base de données, le concepteur a l'obligation d'opérer son choix
sur un type de base de données lui permettant de mettre sa conception
idéologique en une réalité physique.
En rapport avec notre travail ;
nous avons adopté la base de données relationnelle comme
étant notre choix, pace qu'elle organise les données sous forme
de tables qui sont exploitée à l'aide d'un langage
déclaratif
III.4.3 TRANSFORMATION DU MODELE
CONCEPTUEL DES DONNEES EN MODELE CONCEPTUEL LOGIQUE DES DONNEES
Pour transformer le modèle conceptuel des
données en modèle logique des données, il faut passer par
des règles permettant à le faire, les règles de la
transformation du concepteur consistent à faire de choix du type de base
de données et traduire ce modèle en système de gestion des
bases des données utilisées.
Les règles des gestions de transformation se
présentent comme suit :
v Une entité se transforme en relégation ou
table
Toute entité du M C D devient une relation du MLDR, et
donc une table de la base de données. Chaque propriété de
l'entité devient un attribut de cette relation, l'identifiant de
l'entité devient la clé primaire de la relation (elle est donc
soulignée).
v Relation binaire aux cardinalité (X ,1) - (X,
n), X=0 ou X=1
La clé de la table à cardinalité (X, n)
devient une clé étrangère dans la table à
cardinalité (X, 1)
v Relation binaire aux cardinalité (X, n) - (X, n), X=
o ou X=1
Il y a création d'une table supplémentaire ayant
comme clé primaire les identifiants des deux entités qui la relie
c'est-à-dire la concaténation des clés primaires de deux
tables.si la relation est porteuse de données, celle-ci devient des
attributs pour la nouvelle table.
III.4.4 PRESENTATION DU MLDR
CONTRIBUABLE(Idcontrib, Nomcontrib,
Postnom, Adresse, Montant, Coupure, Nombre, date)
impot(Num_Impot,
libellé,echeance,taux_Impot)
Bordereau(num_bord , num_compt
,montant, nom_banque ,Numcontrib#)
DECLARER(Idcontrib#, Num_impot#,
Detedec,Montant,periode)
III.5.1 MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT)
S'organiser consiste aussi à
prévoir les réactions ou les réflexes à
acquérir face à des évènements extérieurs.
Ces reflexes normalisés au sein de l'entreprise sont décrit sous
forme de procédures, les MOT.
Après avoir défini qui est qui, comment il se
situe dans un organigramme ; nous allons représenter qui fait quoi,
quel poste de travail qui effectue, quelle opération au moyen de
procédure.
Une
procédure est un choix d'organisation face à un
évènement (message) externe (venant d'un partenaire)
III.5.2 DIAGRAMME DES
PROCEDURES
Ce diagramme donne une vue d'ensemble (cartographie) de la
circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes
qui participent à un domaine d'étude. Ce diagramme nous
présente la circulation des informations et l'enchainement des
traitements dans le poste de travail. Le tableau ci-dessous représente
les différentes informations dans les colonnes. Chaque colonne
représente un poste de travail.
TEMPS
|
PROCEDURE FONCTIONNELLE
|
NATUREE
|
LIEU
|
RESPONSABLE
|
RESSOURCE
|
Documents présenté
Mode de paiement présenté
Choisir
Bordereau présenté
Vérifier
Bien rempli
Mal rempli
ET
Paiement
Preuve de paiement
Reçu
interactif
Manuelle
Manuelle
-manuelle
-interactif
|
banque
Banque
Banque
banque
|
banquier
Contribuable
Banquier
contribuable
|
-ordinateur
-tablette
-papiers
-stylo
-papiers
-stylo
-papiers
-stylo
-ordinateur
-tablette
|
|
|
III.5.3 DIAGRAMME DE PHASES
TEMPS
|
CONTRIBUABLE
|
BANQUE
|
DGI
|
Mode de paiement
Choisir
Phase 2
recu
Documents présenté
Bordereau présenté
Paiement
ET
Mal rempli
Bien remplit
Vérifier
Phase 3
Phase 1
Preuve de paiement
III.5.4 DIAGRAMME DE REPARTION DES TACHES HOMME -
MACHINE
N°
|
NOM PHASE
|
HOMME
|
MACHINE
|
Commande d'arrêt
Fermer la page
Tapez les coordonnées du contribuable
Tapez le mot de passe
Fermer page de resultat
Saisir les coordonnées du contribuable et lancer la
recherche
Recherche en cours
Résultat affiché
Afficher page d'accueil
Enregistrer
Paiement effectué
Fermeture en cours
CHAPITRE IV : RESULTAT DE
D'ETUDE
La programmation est la description opérationnelle du
futur système qui consiste à la prise en compte des contraintes
physique liées aux matériels de traitement choisi et la rendre
opérationnel.
Elle est une étape très importante
et elle ne peut jamais se faire par un simple hasard. Selon le cosmologiste
PAUL DAVIES : dans la programmation il j a un ordre des choses
cohérent, et ajoute-t-il que la programmation n'est pas une
juxtaposition arbitraire d'évènements, mais la manifestation des
codes ingénieusement imbriqués. Cette dernière doit
impérieusement être intelligente et non un processus purement
aveugle.
IV.1 DISCUTIONS
IV.1.1 RECOMMANDATIONS ET
SUGGESTIONS
Afin de pallier aux points négatifs nous
osons croire que l'informatique est la solution optimale face aux asticotes que
la gestion manuelle des organisations entraine, par conséquent, nous
suggérons dans ce travail de concevoir une application informatique
(logiciel de perception d'impôt) et une base de données qui
contiendra en son sein toutes les données nécessaires pour
l'avancement ou la bonne marche de cette dernière.
IV.1.2 CHOIX DE L'OUTIL TECHNOLOGIQUE
Langage de programmation
Le monde informatique nous offre plusieurs langages
de programmation afin de répondre et exécuter les tâches
appropriées, car la finalité d'une analyse informatique est de
produire un code qui répond aux spécifications fonctionnelles et
aux besoins des utilisateurs.
Pour la mise en place de notre application, nous avons
porté notre choix sur le langage de programmation visuel basic dans sa
version 6.0.
Visuel basicest un outil
développé par Microsoft pour développer facilement des
applications fonctionnant sous Microsoft Windows. Visuel basic est, comme son
nom l'indique, un outil visuel permettant de créer sans notion de
programmation l'interface graphique (GUI graphical user interface) en disposant
à l'aide de la souris des évènements graphiques (boutons,
images, champs de texte, menus déroulants,).
L'intérêt de ce langage
est de pouvoir associer aux évènements de l'interface des
portions de code associées à des évènements (clic
de la souris, appui sur une touche,). Pour cela, visuel basic utilise un petit
langage de programmation dérivé du BASIC (signifiant :
Beginners All-purpose Symbolic Instruction Code, soit code d'instruction
symboliques multi-usager pour les débutants). Le langage de script
utilisé par visuel basic est nommé à juste titre VB
SCRIPT, Il s'agit ainsi d'un sous-ensemble de visuel basic.
· Système de gestion des bases de
données (DGBD)
Une base de données (data base
en anglais) est une entité dans laquelle il est possible de stocker des
données de façon structurée et avec moins de redondance
possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par
des programmes et par des différents utilisateurs. Ainsi, pour pouvoir
mettre en commun les informations de la direction provinciale d'impôt du
haut KATANGA, nous connecterons notre programme à une base de données
MICROSOFT ACCESS
· Architecture du système
Pour qu'un ordinateur soit capable de
faire fonctionner un programme informatique, appelé par fois application
ou logiciel, la machine doit être en mesure d'effectuer un certain nombre
d'opérations préparatoires afin d'assurer les échanges
entre le processeur, la mémoire, et les ressources physiques
(périphériques)
Le système d'exploitation noté SE ou OS
en anglais, est chargé d'assurer la liaison entre les ressources
matérielles, l'utilisateur et les applications (traitement de texte, jeu
vidéo,...). Ainsi lorsqu'un programme désire accéder
à une ressource matérielle, il ne lui est pas nécessaire
d'envoyer des informations spécifiques au périphérique, il
lui suffit d'envoyer les informations au système d'exploitation, qui se
charge de les transmettre au périphérique concerné via son
pilote. Au regard de notre logiciel nous avons opté notre choix sur le
système d'exploitation WINDOXS dans sa huitième version 8.1
· Architecture logiciel
Le software est la partie intellectuelle de la
machine, appelée en d'autre terme logiciel. Elle est l'ensemble de
programmes, des fonctions destinées à un ordinateur. Pour le
software nous proposons :
a) Le système d'exploitation Windows 8 professionnel 64
bits
b) Capacité mémoire RAM 4 Go
c) Capacité disque dur 500 Go
d) Processeur 2.16 GHz
· Architecture matériel
Le hardware est la partie matérielle ou
physique d'un ordinateur. Pour le hardware nous proposons
a) L'ordinateur pentium 4
b) L'unité centrale
c) Le clavier
d) Le moniteur
e) Le clavier et
f) Tous les autres périphériques qui lui sont
connectés
IV
1.3 CAPTURE DES FORMULAIRES DE L'APPLICATION
FORMULAIRE DE LANCEMENT DE L'APPLICATION
FORMULAIRE MOT DE PASSE DE L'APPLICATION
FORMULAIRE MENU PRINCIPAL DE L'APPLICATION
FORMULAIRE CONTRIBUABLE
FORMULAIRE IMPOT
FORMULAIRE BORDEREAU
QUELQUES CODE DE
L'APPLICATION
Bouton enregistrement
If Text1.Text = "" And Text2.Text = "" And Text3.Text
= "" And Text4.Text = "" And Text5.Text = "" And Text6.Text = "" And Text7.Text
= "" And Text8.Text = "" And Text9.Text = "" And Text10.Text = ""
Then
MsgBox "veuillez d'abord remplir tous les champs", ,
"LES CHAMPS SONT VIDES"
ElseIf Text1.Text = "" Or Text2.Text = "" Or
Text3.Text = "" Or Text4.Text = "" Or Text5.Text = "" Or Text6.Text = "" Or
Text7.Text = "" And Text8.Text = "" And Text9.Text = "" And Text10.Text = ""
Then
MsgBox "veuillez remplir les champs qui sont vides", ,
"D'AUTRES CHAMPS SONT VIDES"
Else
If MsgBox("VOULEZ-VOUS ENREGISTRER?", vbOKCancel,
"ENREGISTREMENT") = vbOK Then
Adodc1.Refresh
With Adodc1.Recordset
.AddNew
!NUM_BANK = Text1.Text
!NOM_BANK = Text2.Text
!NUMCONTRI = Text3.Text
!NOM_CONTRI = Text4.Text
!NUM_IMPO_CONTRI = Text5.Text
!NATURE_PAIE = Text6.Text
!MONTANT = Text7.Text
!REFFERNCE_PAIE = Text8.Text
!NUM_ATTEST = Text9.Text
!DATE_PAIE = Text10.Text
.Update
MsgBox "LES INFORMATIONS ONT ETE SAUVEGARDEES DANS LA
BASE DES DONNEES"
Text1.Text = ""
Text2.Text = ""
Text3.Text = ""
Text4.Text = ""
Text5.Text = ""
Text6.Text = ""
Text7.Text = ""
Text8.Text = ""
Text9.Text = ""
Text10.Text = ""
End With
End If
End If
Boutonrecherche
Privat Sub Label26_Click ()
invite = InputBox(" SAISISSEZ LE NUMERO ETUDIANT", ,
"rechercher")
Adodc1.Refresh
With Adodc1.Recordset
While Not .EOF
If invite = "" Then
ElseIf invite = (!NUM_BANK) Then
MsgBox " VOICI LES INFORMATIONS DE VOTRE RECHERCHE ", ,
"RESULTA DE LA SORTIE"
Text1.Text = (!NUM_BANK)
Text1.Text = (!NUM_BANK)
Text2.Text = (!NOM_BANK)
Text3.Text = (!NUMCONTRI)
Text4.Text = (!NOM_CONTRI)
Text5.Text = (!NUM_IMPO_CONTRI)
Text6.Text = (!NATURE_PAIE)
Text7.Text = (!MONTANT)
Text8.Text = (!REFFERNCE_PAIE)
Text9.Text = (!NUM_ATTEST)
Text10.Text = (!DATE_PAIE)
End If
.MoveNext
Wend
End WithEnd Sub
Bouton modifier
Private Sub Picture5_Click()
If Text1.Text = "" And Text2.Text = "" And Text3.Text = "" And
Text4.Text = "" And Text5.Text = "" And Text6.Text = "" And Text7.Text = "" And
Text8.Text = "" And Text9.Text = "" And Text10.Text = "" Then
MsgBox ("VEUILLEZ SAISIR LES INFORMATONS DANS LES CHAMPS")
ElseIf Text1.Text = "" Or Text2.Text = "" Or Text3.Text = ""
Or Text4.Text = "" Or Text5.Text = "" Or Text6.Text = "" Or Text7.Text = "" Or
Text8.Text = "" Or Text9.Text = "" Or Text10.Text = "" Then
MsgBox "CERTAINS CHAMPS SONT VIDE VEUILLEZ LE REMPLIR",
vbInformation + vbOKOnly, "INFORMATION"
ElseIf MsgBox("VOULEZ-VOUS METTRE LES INFORMATIONS A JOUR?",
vbQuestion + vbOKCancel, "ENREGISTREMENT") = vbOK Then
Adodc1.Refresh
With Adodc1.Recordset
While Not .EOF
If Text1.Text = !NUM_BANK Then
!NUM_BANK = Text1.Text
!NOM_BANK = Text2.Text
!NUMCONTRI = Text3.Text
!NOM_CONTRI = Text4.Text
!NUM_IMPO_CONTRI = Text5.Text
!NATURE_PAIE = Text6.Text
!MONTANT = Text7.Text
!REFFERNCE_PAIE = Text8.Text
!NUM_ATTEST = Text9.Text
!DATE_PAIE = Text10.Text
Else
End If
.MoveNext
Wend
End With
End If
MsgBox "les informations ont été mises à
jour"
Text1.Text = ""
Text2.Text = ""
Text3.Text = ""
Text4.Text = ""
Text5.Text = ""
Text6.Text = ""
Text7.Text = ""
Text8.Text = ""
Text9.Text = ""
Text10.Text = ""
End Sub
CONCLUSION GENERALE
Nous voici arrivés au terme de la réalisation de
notre travail de fin d'étude du premier cycle en science informatique,
pour y parvenir, nous avons recensé les besoins des utilisateurs en
décrivant le système d'information existant et expliquer les
attentes des commanditaires par quelques spécifications
fonctionnelles.
Ensuite la méthode MERISE, nous a permis
à la modélisation de ces besoins par le modèle conceptuel
des données (MCD) et le modèle conceptuel des traitements (MCT).
Ces deux modèles n'étant pas proche de l'aspect technique, nous
sommes passés au niveau logique. Ce dernier, nous a amenés au
modèle logique des données (MLD), au modèle
organisationnel des traitements (MOT) et au modèle physique des
traitements (MPD).
Enfin, l'architecture du système
étant présentée, nous avons décrit la logique de
l'application et matériel où l'implanter. Pour élaborer
une base donnée très cohérent et fiable au soutien de
notre finale application, nous avons fait les différentes analyses
suivant la méthode MERISE :
Ø Analyse de l'existant qui a étudié le
système existant en décrivant les données et les
traitements en donnant une critique ;
Ø Analyse conceptuelle qui a décrit les
données et les traitements envie de concevoir le modèle
conceptuel de données (MCD) et le modèle conceptuel de traitement
(MCT) ;
Ø Analyse organisationnelle et logique où il
était question de faire une structure de la nouvelle solution en ayant
les contraintes organiques ;
Ø La programmation qui rend physique notre application
de nouvelle solution.
Nous estimons que le produit finit de cette étude
apportera un remède à la DGI, celui d'améliorer le
système de la perception d'impôt des anciens que nouveaux
partenaires
Cette informatisation présentera une
sécurité suffisante pour éviter la fraude, la perde de
temps pour rechercher les dossiers antérieurs. Afin, nous pensons que le
présent ouvrage n'a pas l'intention d'avoir complètement
touché tous les problèmes de la perception d'impôt,
néanmoins, nous avons posé un jalon pour les recherches
futures.
BIBLIOGRAPHIE
FROGER, J., conception et réalisation d'un
système informatique de perception d'impôt dans une entreprise
publique, Paris, Dunod, 1968.
HUBERMAN, A., MENEAU, J.C., conception et développement
d'une application de gestion de perception d'impôt direct, Paris,
Eyrolles, 1983.
LALLICH-BOIDIN, G., Communication homme-machine et recherche
d'information fondées sur le traitement automatique de la langue :
applications, bilan, perspectives, Mémoire HdR, Université
Stendhal Grenoble 3, 1998.
ZARRI, G. P., IRIGOIN, J., La pratique des ordinateurs dans la
critique des textes, Paris, CNRS, 1979.
GINSBERG, M., « L'intelligence des jeux», Pour la
Science, n. 254, 1998, pp.172-177.
LA METTRIE, J. O., L'homme machine, Leyde, E. Luzac, 1748
CHOUEKA, Y., Statistique et dynamique dans le traitement
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ZAMPOLI, A. (éd.) L'ordinateur et les recherches littéraires et
linguistiques, Actes de la XIe conférence internationale, 2-6 avril,
1984, Paris, Champion-Slatkine, 1985, pp. 115-20.
FERRAND, N. (éd.), Banques de données et
hypertextes pour l'étude du roman, Paris, PUF, 1997.B. Costales, G.
Jansen et C. Assmann, "Sendmail ", O'Reilly, Etats Unis d'Amérique
, 2007.
Jim Conallen, "Concevoir des applications Web avec
UML", Eyrolles, Septembre 2000.
Julie Denouël-Granjon, "Les interactions
médiatisées en messagerie instantanée", s.n, 2008.
Meredith G. Farkas, "Social software in libraries :
building collaboration, communication, and community Online", Information
Today, Inc., 2007.
Knut Andreas Ruud, " mise en place d'une plateforme
informatique à la direction provinciale d'impôts ", K.A.
Ruud, 2009.
Table des matières
EPIGRAPHE
Erreur ! Signet non
défini.
DEDICACES
2
1. AVANT - PROPOS
3
INTRODUCTION GENERALE
5
1. CONTEXTE D'ETUDES
5
2. PHENOMENE OBSERVE
5
3. QUESTION DE DEPART
5
4. OBJECTIF POURSUIVI
6
5. JUSTIFICATION DE LA RECHERCHE
6
6. DELIMITATION D'ETUDES
7
7. STRUCTURE DE LA RECHERCHE
7
CHAPITRE I REVUE DE LITTERATURE
8
I.2.1 LES APPROCHES THEORIQUES
9
I.2.2 PARADIGMES MOBILISES
10
CHAPITRE II. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE
10
II.1 PROBLEMATIQUE
10
II.2 HYPOTHESES
11
II.3 DEFINITION DES CONCEPTES
12
II.3.1 DEFINITION DES CONCEPTES FONDAMENTAUX
12
CHAPITRE III METHODOLOGIE DE RECHERCHE ET CHAMPS
EMPIRIQUE
14
III.1.1 PRESENTATION DE L'ENTREPRISE
14
III.1.2 BREVE HISTORIQUE DE LA SOCIETE
15
III.1.3 STRUCTURE ADMINISTRATIVE
15
III.1.4 ORGANIGRAMME DE L'ENTREPRISE
17
III.1.5 ACTIVITE DE DIFFERENTS POSTES DE
L'ORGANIGRAMME
18
III.1.6 DESCRIPTION DE DOCUMENTS
19
III.1.7 DICTIONNAIRE DE DONNEES
20
III.1.8 MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION
21
DIGRAMME DE CIRCULATION DES INFORMATIONS
23
III.2.1 CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
24
INTRODUCTION
24
III.2.2 CONCEPTS FONDAMENTAUX
24
III.2.3 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
25
III.2.4 MATRICE DE DEPENDENCE FONCTIONNELLE A
SOURCE SIMPLE
26
III.2.5MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE
COMPOSEE.
26
III.2.6 MATRICE DES CLES
26
III.2.8 STRUCTUTE D'ACCES THEORIQUE (S.A.T)
27
III.2.9 MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
28
III.2.10 TABLEAU DE CARDINALITES
29
III.3.1 MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT
29
INTRODUCTION
29
III.3.3 TABLEAU DES EVEMENTS
31
III.3.5 TABLEAU DES OPERATIONS
32
III.3.7 GRAPHE D'ORDONNANCEMENT D'EVENEMENT
33
III.4.1 MODELE LOGIQUE DE DONNEES (M L D)
35
INTRODUCTION
35
III.4.3 TRANSFORMATION DU MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES EN MODELE CONCEPTUEL LOGIQUE DES DONNEES
36
III.4.4 PRESENTATION DU MLDR
36
III.5.1 MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS
(MOT)
37
III.5.3 DIAGRAMME DE PHASES
39
CHAPITRE IV : RESULTAT DE D'ETUDE
41
IV.1 DISCUTIONS
41
IV.1.2 CHOIX DE L'OUTIL TECHNOLOGIQUE
41
IV 1.3 CAPTURE DES FORMULAIRES DE L'APPLICATION
43
CONCLUSION GENERALE
50
BIBLIOGRAPHIE
51
|