EPIGRAPHE
« La supériorité de l'architecte
le plus maladroit sur l'abeille la plus experte réside en ceci que
l'architecte porte d'abord la maison dans sa tête. »
Par Karl Max
DEDICACE
A nos très chers parents KATEMBO KISEKUSEKU
Dieudonné et KAHINDO LUHAVO Georgette et à notre oncle KAKULE
KASAMBI Prospèrepour les sacrifices consentis.
A nos frères et soeurs, cousins et cousines, neveux et
nièces et à toute la famille KISEKUSEKU, KASAMBI et LUHAVO pour
leurs soutient tant moral que financier.
Je dédie ce travail.
Magloire PALUKU KISEKUSEKU
REMECIEMENTS
Nous rendons grâce à DIEU, le Maître de
notre existence et notre tendre Père, qui, par sa grâce nous a
donné gratuitement son souffle et sa force vivante durant le temps
passé au banc de l'Université.
Qu'il nous soit permis d'adresser nos sincères
remerciements au Professeur UKUMU KHOTLEY UJOCK Boniface et à
l'assistant KUTUMBAKANAPhilémon qui ont accepté respectivement de
diriger et encadrer tout au long de nos recherches en vue de la formulation de
la présente oeuvre scientifique.
Nous remercions tous les agents de Commissariat Fluvial et
Lacustre de Kisangani, de nous avoir encadrés durant notre
période de collecte des données.
Nos sentiments de gratitude s'adressent plus
particulièrement à tous les membres ou personnel
académique et administratif et les Enseignants de l'Institut
Supérieur de Commerce de Kisangani ISC-KIS en sigle pour leur
encadrement scientifique.
Nous tenons à remercient plus particulièrement
nos oncles et nos tantes : KAMBALE Thadey, Trésor PALUKU LUHAVO, KAHINDO
LUHAVO Claudine et nos grands-parents Modeste KAMBALE LUHAVO et Marie KAVIRA
MBALUKANI ainsi que à nos frères et soeurs,cousins et cousine,
neveux et nièces KAMBALE KISEKUSEKU Patrick, KASEREKA KISEKUSEKU Elie,
KAHINDO KISEKUSEKU Dorcas et SOKI LUHAVODorcas de nous voir soutenu Moralement,
Matériellement, Spirituellement que Financièrement durant notre
parcours académique.
Il serait ingrat de notre part d'oublier nos compagnons de
lutte, les camarades étudiants MBOLITINI MISIONI, IFANGA LOTILOSO,
NKANGA MPUTELA, LOLA ESONGA, SABITI NGWE, Julie KIBANGE ainsi que toute la
famille de G3 Informatique de Gestion de ISC-KIS tous nos sincères
sentiments de gratitude.
En fin, nos sincères remerciements s'adressent à
tous ceux qui nous ont apparentés de près ou de loin, qu'ils
trouvent ici l'expression de notre gratitude.
Magloire PALUKU KISEKUSEKU
Abréviations, sigles et acronymes
Ø A :
Alphabétique
Ø AB : Automatisé
Batch
Ø AC :Automatisé
Conventionnel
Ø AN :
Alphanumérique
Ø B.D : Base de
Données
Ø B/P.EM : Baleinière ou
Petite Embarcation
Ø C :
Calculer
Ø DEPF :Diagramme d'Enchainement des
Procédures Fonctionnelles
Ø DGDA :Direction
Général des Douanes et Accise
Ø E
: Elémentaire
Ø GCI :Le Graphe de
Circulation des Informations
Ø GDF : Graphe de
Dépendance Fonctionnel
Ø GTF :Gestion de
Transport Fluvial
Ø M : Manuel
Ø MCC :Modèle Conceptuel
de Communication
Ø MCD : Modèle Conceptuel
de Donnée
Ø MCT :Modèle Conceptuel
de Traitement
Ø MERISE:Méthode d'Etude et de
Réalisation d'Information pour le Système d'Entreprise
Ø MLDR :Modèle Logique de
Données Relationnelles
Ø MLT :Modèle
Logique de Traitement
Ø MPD :Modèle
Physique de Données
Ø N :
Numérique
Ø R.F.V.N.M : Régie
Fluvial, Voies Navigable et de Marine
Ø SGBD : Système de
Gestion de Base de données
Ø SI : Système
d'Information
Ø SIA :Système
d'Information Automatisé
Ø SII : Système d'Information
Informatisé
Ø T.P.F : Tableau des
Procédures Fonctionnelles
Ø UF : Unité
Flottante
Ø ULT : Unité Logique de
Traitements
Ø VBA :Visual Basic
Application
INTRODUCTION
Selon Wikipédia : « La technologie de
l'information et de la communication est l'ensemble des technologies issues de
la convergence de l'informatique et des techniques évoluées du
multimédia et des télécommunications, qui ont permis
l'émergence de moyens de communication plus efficaces, en
améliorant le traitement, la mise en mémoire, la diffusion et
l'échange des informations. Elle est aussi l'ensemble des ressources
techniques nécessaires à la mise en oeuvre des services de
l'information et de la communication pour produire, manipuler, convertir,
stocker, gérer, transmettre et retrouver l'information et pour
communiquer.1(*) »
Pour Wikipédia : « La nouvelle
technologie de l'information et de la communication regroupent les
techniques principalement
de l'
informatique, et de la
télécommunication qui permettent aux utilisateurs de se
communiquer, d'accéder aux sources d'information, de stocker, de
manipuler, de produire et de transmettre les informations sous toutes les
formes.2(*) »
En tenant compte de l'évolution de la technologie de
l'information et de la communication dans ce siècle présent,
l'informatique reste l'outil indispensable pour pallier à
d'énormes difficultés surgissant dans le secteur
socio-économique causés par l'utilisation des systèmes des
gestions manuelle, devenus archaïque et qui nécessitent
d'être révisé ou soit réaménager en vis de
les adapter aux nouvelles technologies de l'information et de la
communication.3(*)
C'est ainsi que dans toute organisation, le besoin de
recourir à l'outil informatique se fait sentir de plus en plus. Alors
nous voulons faire appel à un système automatisé pour la
gestion de transport fluvial.
0.1.
PROBLEMATIQUE
D'après KIKUNI
BUNGULU : « l'informatique est une science du
traitement rationnel, notamment par machines automatiques, de l'information
considérée comme le support des connaissances humaines et des
communications dans les domaines techniques économiques et
sociaux4(*) ». Et l'évolution
croissante des nouvelles technologies de l'information et de la communication a
donné de nos jours, à toute organisation, la clé de son
propre développement en mettant à sa disposition une
infinité d'outils tant logiciel que matériel.5(*)
Pour Wikipédia : « Le monde actuel est
entré dans le temps de traitement rapide et en grande quantité
des informations avec le système d'automatisation de la gestion à
travers une base des données, et c'est le système qui fait
d'actualité dans la gestion responsable. L'outil informatique est devenu
actuellement un véritable fait de société, par ses
multiples applications et sa diversité de domaine à couvrir.
L'informatique transforme rapidement et profondément la
société en mettant à notre disposition des instruments
puissants et permet de mieux satisfaire les besoins des utilisateurs. Elle ne
remplace pas l'homme, mais le délivre des tâches plus complexes
pour lui donner le temps de s'épanouir et de s'occuper des tâches
nobles ainsi que de limiter les risques d'erreurs.6(*) »
La découverte de l'informatique et son évolution
ont fait à ce qu'on parle du développement scientifique, ou de
l'évolution des autres sciences. C'est pour cela que dans beaucoup des
domaines, l'informatique n'intervient que pour donner la solution à une
quelconque difficulté ou à un problème qui existait afin
de donner une bonne marche pour le traitement de l'information.
Selon LOKANGA OTIKEKE Frédéric « La
problématique est définit comme un écart constaté
entre une situation de départ insatisfaisante et une situation
d'arrivée désirable. Dont un processus de recherche est entrepris
afin de combler cet écart.7(*) »
En effet, nous avons constaté que la gestion de
transport fluvial est comblée des multiples problèmes par rapport
à leur système existant qui est manuel,dont l'enregistrement des
unités flottantes qui parcourent dans le fleuve Congo se fait avec
beaucoup de lenteur, la difficulté de retrouver l'identité d'une
unité flottante en cas d'un problème, la difficulté de
contrôler le trafic des unités flottante.
C'est de ces problèmes constatés que, nous avons
ressorti la grande problématique en nous posant ces questions
lesquelles constitueront l'objet de cette étude :
§ Quel mécanisme permet-il au commissariat fluvial
et lacustre d'éviter la lenteur dans l'enregistrement des unités
flottantes ?
§ Pour obtenir rapidement l'effectif total de la liste
complète des unités flottantes enregistrées au cours d'une
année à une autre comment le commissariat fluvial et lacustre s'y
prend-t-il ?
§ Comment le commissariat fluvial et lacustre
contrôle-t-il les trafics des différentes unités flottantes
sur le fleuve Congo ?
Tout au long de notre analyse, nous tenterons de
répondre à ces interrogations.
0.2.
HYPOTHESES
Quant à la Dictionnaire français Larousse
« Une hypothèse est une proposition ou une explication que
l'on se contente d'énoncer sans prendre position sur son
caractère véridique, c'est-à-dire sans l'affirmer ou la
nier. Il s'agit donc d'une simple supposition, appartenant au domaine du
possible ou du probable. Une hypothèse destinée à
être travaillée ou vérifiée au contraire, une
hypothèse utilisée sans intention de la vérifier constitue
un
postulat.8(*) »
Nous avons émis les hypothèses selon
lesquelles :
§ Une mise en place d'un système automatisé
conviendrait mieux pour assurer la rapidité dans l'enregistrement des
unités flottantes.
§ Le commissariat fluvial et lacustre appliquerait la
Nouvelle Technologie de l'Information et de la Communication pour obtenir
l'effectif total de la liste complète des unités flottantes
enregistrées au cours d'une année.
§ L'automatisation de système d'information
permettraitd'assurerun contrôle efficace des
trafics des différentes unités flottantes sur le fleuve Congo.
0.3. OBJECTIFS
§ Mettre en place un système d'information
automatisé qui favorisera un enregistrement rapide des unités
flottantes.
§ Concevoir une application de la nouvelle technologie de
l'information et de la communication pour la gestion de transport fluvial.
§ Automatiser le système d'information pour
assurer le contrôle efficace et aisé des trafics des unités
flottantes.
0.4. CHOIX ET INTERET DU
SUJET
0.4.1. Choix du
sujet
En choisissant ce sujet, nous avons voulu apporter notre
modeste contribution quant à la gestion de transport fluvial en rendant
facile l'exécution des tâches quotidiennes qui se déroulent
de façon manuelle au commissariat fluvial de Kisangani ; ce qui
permettra un gain de temps et d'énergie par l'utilisation d'une base des
données.
0.4.2.
Intérêt du sujet
Sur le plan scientifique, « Le résultat de ce
travail fera l'objet d'une documentation de référence pour les
futurs chercheurs qui s'orienteront dans le secteur de la gestion de transport
fluvial. »
Sur le plan pratique, « Ce travail offre aux
gestionnaires de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani un outil de
travail qui devrait leur servir de guide dans la gestion automatisée de
l'enregistrement des Unités Flottantes et le contrôle des trafics
de ces différents unités flottantes ainsi que dans la
résolution des problèmes liés dans la gestion de transport
fluvial. »
0.5. METHODES ET
TECHNIQUES
0.5.1.
Méthodes
Selon PINTO Robert et Madeleine GRAWITZ la méthode est
définie comme étant « un ensemble organisé des
procédés mis en oeuvre afin d'atteindre l'objectif qu'on s'est
assigné dans une recherche9(*). »
a. Méthode Historique
Pour les auteurs susmentionnés Cette méthode est
basée sur la notion « de rapport entre un fait et son histoire
ou son passé ainsi que la perspective de l'étude de ce fait
étudié pour reconstituer le passé lointain ou
récent10(*). »
Cette méthode nousa permis de se
référé au passé du système de gestion de
transport fluvial pour éclairer les décisions à prendre
dans la perspective d'une gestion moderne de transport fluvial.
b. Méthode analytique
Elle consiste à décomposer les
éléments d'un système afin de les définir et d'en
dégager les spécificités ou à expliquer un
phénomène en mettant en évidence les relations de cause
à effet11(*).
c. Méthode MERISE
Pour KUTUMBAKA Philémon « c'est une
Méthode de la conception et de développement de système
d'information d'entreprise12(*). »
En ce qui concerne notre travail, nous a permis d'analyser le
système d'information existant et de concevoir un système
d'information futur.
0.5.2
Techniques
Selon PINTO Robert et Madeleine GRAWITZ « la
technique est un moyen mis en pratique dans le but d'atteindre un objectif,
mais elle se situe au niveau des opérations limitées
liées à des éléments pratiques adaptées
à un but défini13(*). »
Dans le cadre de notre travail, nous avons utilisé deux
techniques suivantes :
a) La technique documentation :nous a
permis de consulter les documents trouvés à travers les
différentes bibliothèques de la ville et particulièrement
dans les archives de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani pour y
puiser toutes les informations relatives à notre recherche.
b) La technique d'interview libre: nous
a permis d'entrer en contact avec les différents responsable de
Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani pour récolter le
complément d'informations liée à nos investigation
0.6. Délimitation
du sujet
Tant que tout travail scientifique se limite sur un temps et
dans un espace donné, le nôtre se restreint au commissariat
fluvial et lacustre de Kisangani, plus particulièrement dans la gestion
de transport fluvial. Il s'étant sur la période de deux ans
partant de notre formation académique en informatique de gestion, soit
de 2013 à 2015.
0.7. Subdivision du
travail
Mise à part la présente introduction et la
conclusion générale, notre travail comporte quatre
chapitres à savoir :
- Le
premier chapitre présente notre milieu
d'étude qui est le commissariat fluvial de Kisangani et définisse
quelques concepts clés liée à notre sujet d'étude.
- Le deuxième chapitre s'articule sur l'analyse
du système d'information existant au sein de commissariat
fluvial.
Le troisième chapitre concerne la conception du
systeme d'information futur.
Le quatrième chapitre est
axé sur l'implementation du systeme automatisé
et l'application informatique en Ms Access.
0.8. Difficultés
Rencontrées
Commetouttravailscientifique est toujours bité par des
difficultés et incertitudes pour récolter les données
possibles et nécessaires pour enrichir le travail.
En effet, nous nous sommes bités aux difficultés
suivantes :
- Manque des données nécessaires qu'on avait
besoin au service concerné pour enrichir notre travail;
- La perte des données qu'on avait besoin mais le
service en question n'était pas en mesure de fournir ces
données ;
- La lenteur dans la recherche des informations
demandées.
Chapitre Première.
CONSIDERATIONS THEORIQUES
Dans ce chapitre nous définissons quelques concepts
clés utilisés dans notre sujet d'étude et
présentons notre milieu d'études comme suit : situation
géographique, un aperçu historique et la subdivision
administrative.
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS
v Automatisation : C'est
l'exécution et contrôle de tâches techniques par des
machines sans qu'il y ait d'intervention humaine. (Encyclopédie
Encarta 2009.)
v Gestion : Action d'administrer,
d'assurer la rentabilité d'une entreprise. Action de gérer les
affaires d'un autre, et par extension ses propres affaires et
« gérer » est défini comme : Administrer
les intérêts, les affaires d'un autre14(*).
v Transport fluvial : C'est le moyen de
déplacement des marchandises ou des personnes par des embarcations
flottantes.
v Unité flottante : C'est le
matériel qui se maintient à la surface d'eau.
v Armateur : c'est le
propriétaire d'une unité flottante.
v Institution :Une institution est un
ensemble des formes ou structures sociales, telles qu'elles sont
établies par la loi ou la coutume, et celles qui relèvent du
droit public.
v Publique : C'est ce qui concerne le
peuple pris dans son ensemble, qui appartient à la collectivité
sociale, politique et en émane ; qui appartient à l'Etat ou
à une personne administrative. Relatif aux collectivités sociales
juridiquement définies, et à l'Etat. C'est tout ce qui concerne
la fonction plus ou moins officielle qu'on remplit dans la
société.
I.2. PRESENTATION DE
COMMISSARIAT FLUVIAL ET LACUSTRE
I.2.1. Aperçu
historique
L'ancêtre de la régie de voies fluviales fut
l'administration de la marine et de voies navigables. Elle a été
créée en 1886 et relevait de l'autorité du
département des Travaux Publics.
En juin 1900, elle devint service de travaux publics du
gouvernement général.
En 1926, le service du voies navigable devient le service de
l'ingénieur en chef de travaux publics avec siège à BOMA
jusqu'en 1929.
En 1933, il redevient le service des travaux publics du
gouvernement général avec siège cette fois-ci à
KINSHASA alors Léopoldville.
Lors de l'accession de notre pays à la
souveraineté internationale deux services distincts furent
créée.
1. Le service de la marine de l'inspection à la
navigation sous la tutelle du département des Transports et
communication.
2. Le service des voies navigables dépendant du
département de travaux publics.
Les deux services précités furent
refusionné le 01decembre 1967 pour donner naissance au service de la
marine et des voies navigables sous la seule autorité du
département des transports et communications.
Avant l'événement de la 2ème
République, le service de la marine et des voies navigables connus des
jours difficiles pour l'accomplissement de sa tâche. Il y a eu d'abord
les événements intérieur qu'a connu le pays, en suite la
lenteur administrative. La voie nationale était exposée aux
risques de fermeture et l'économie des pays était ipso facto
menacée également.
Lors de l'événement de la 2ème
république, le président fondateur du M.P.R, président de
la république, le citoyen MOBUTU SESE SEKO, décida
l'assainissement de la situation.
Dès lors, une grande importante étude
menée par les expert du programme des nations unis pour le
développement (PNUD) en 1970, et aboutit à la signature des
accords de crédit avec la BANQUE MONDIALE et L'USAID. Suite à
cette étude et à ces accords de crédit, le service de la
marine et des voies navigables fut démembré en trois parties
d'où la naissance de :
v La direction de la marine et des voies hydraulique devenus
actuellement la direction de transport fluvial, lacustre et maritimes ;
v La régie de voies maritimes avec le siège
à Boma ;
v La régie de voies fluviales avec siège
à Kinshasa.
I.2.2. Création et
Evolution de Commissariat Fluvial et Lacustre
Le commissariat Fluvial et lacustre de Kisangani fut
créer par l'arrêté provincial N° 61/41/du 13/03/1951,
qui est chapeauté par un commissaire fluvial fonctionnaire de l'Etat
nommé par l'inspecteur de la navigation et lacustre ou par le gouverneur
de province sur proposition du Ministre de transport et voies de
communication.
I.2.3. Situation
géographique
Le commissariat fluvial et lacustre de Kisangani est
situé au building de l'ONATRA précisément
à :
v L'est de la Banque central du Congo
v L'ouest de Bego-Congo
v Nord de l'avenue MONIORORO
v Sud du Fleuve Congo
I.2.4. Subdivision
administrative
Le cadre organique prévoit 10 personnels au
commissariat fluvial et lacustre dont :
Ø Le commissaire fluvial
Cette poste coordonne tous les activités qui
déroule au sein de commissariat fluvial, il est censé
d'exécuté les formalités et obligation découlant du
code de la navigation fluvial et lacustre.
Ø Le secrétaire
Cette poste est en contact avec les exploitations fluvial et
lacustre des ports en vue de faciliter la rotation des bateaux et embarcations
aux mouillages et accostage. Il coordonne aussi les travails administratifs.
Ø Le service de statistique
Cette service fait la statistique de la navigation interne, il
exploite les documents de bord d'un bateau et fait le rapport mensuels et
annuel de mouvements flottante.
Ø Poste des contrôleurs
fluviaux
Cette poste est chargé de déployé le
reste des personnels prévue par le cadre organique sur terrain pour
contrôlé le chargement et déchargement des
baleinière et petites embarcations en vue d'élaboré un
rapport journalier sur tous les unités flottante qui se accosté
aux ports de Kisangani.
I.2.5. Organigramme
I.2.6. Fonction et Attribution
de Commissariat Fluvial et Lacustre
Le commissariat fluvial et lacustre s'occupe de la
règlementation de la navigation aux unités flottante
c'est-à-dire, il est censé de contrôlés :
Ø Les unités flottante (Bateaux,
Baleinières, les petites embarcations) ;
Ø Les titres de sécurité (Documents de
bord d'un bateau) ;
Ø Les navigations internes ;
Ø Le titre de capacité des personnels
navigant ;
Ø L'état d'étanchéité de
bâtiment et de salle de machine.
Chapitre
Deuxième : ANALYSE DE SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT
Dans ce chapitre nous définissons les concepts
liées au système d'information et nous analysons le
système existant en utilisant le Modèle Conceptuel de
Communication, le Modèle Conceptuel de Traitement, le Modèle
Conceptuel de Données et le Modèle Organisationnel de Traitement
à la fin nous avons fait le diagnostic de système existant.
II.1. Définition des
Concepts
a. Système15(*)
Un système est un ensemble d'éléments
matériels (hommes, machines et procédures) en interaction,
transformant par un processus, des éléments en entrées
pour avoir d'autres en sorties. Les trois éléments
recensés à savoir : les entrées, les sorties et les
traitements forment les trois composantes interactives du système qui se
résume schématiquement comme suit :
Source : Cours MAI
Figure 1: Schéma Composants interactives d'un
système
Le système d'une organisation peut se décomposer
en trois sous-Systèmes à savoir : Sous-Système de
pilotage, Sous-Système opérant etSous-Système
d'information.
b. Sous-Système de pilotage
Système de pilotage est appelé aussi
système de décision coordonne l'ensemble de l'activité en
fonction des objectifs16(*).
c. Sous-Système opérant
Système opérantou technologie active les
processus métier de l'entreprise pour créer la valeur
ajoutée17(*).
d. Sous-Système d'information18(*)
Système d'information est composé
d'éléments divers (employés, ordinateurs, règles et
méthodes, etc.) chargés de stocker et de traité les
informations relatives au Système Opérant afin de les mettre
à la disposition du Système de Pilotage. Il peut en outre
recevoir de celui-ci des décisions destinées à son propre
pilotage.
19(*)Schématiquement la structure d'un
système se présente comme suit :
Figure 2: La structure d'un système.
Source : Cours MAI I
e. Système d'information automatisable20(*)
On peut se poser la question de savoir à quelles
conditions un SI est automatisable (informatisable), autrement dit à
quelle condition un SI peut être pris en charge par des ordinateurs.
Pour qu'un SI soit automatisable, il doit être
formalisable. La connaissance des entrées doit permettre de
déterminer les sorties par des règles de transformation
explicitables. Seules seront automatisables les parties du SI qui ne contienne
que des actions programmées(les sous-systèmes formalisables)
Les choix ne sont pas formalisables et donc ils sont non
automatisables. Les choix appartiennent à l'homme. Il est toutefois
possible de transformer les choix en actions programmées en ayant
recours à un modèle.
II.2. MODELE CONCEPTUEL DE
COMMUNICATION (M.C.C)
Autrement appelé le modèle conceptuel de flux ou
diagramme de flux est le résultat de l'expression des besoins des
utilisateurs. Son but est de représenter le flux d'informations
qu'échange le système avec ses partenaires et le flux
d'informations qu'échangent les acteurs internes entre eux21(*).
II.2.1 Définition des
concepts
1. Acteur
Un acteur est une personne ou un groupe de personnes qui
s'échangent des informations (documents et messages) et qui
accomplissent des actions sur ces informations22(*).
2. Acteurs internes23(*)
Les acteurs internes font partie du sous ensemble de
l'organisation étudiée appartiennent au domaine d'activité
considéré.
3. Acteurs externes
Les acteurs externes échangent des informations avec
les acteurs internes du domaine étudié mais n'en font pas
partie24(*).
4. Flux
Le flux symbolise un échange entre deux acteurs du
système d'information étudié. Il est
représenté par une flèche, porte un nom et peut, pour
soucis de lisibilité chronologique, être
numéroté25(*).
5. Diagrammes des flux
Ce diagramme donne une vue d'ensemble (ou cartographie) de la
circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes
qui participent à un domaine d'étude.
6. Domaine d'étude26(*)
Un domaine d'étude délimite le
périmètre précis d'une ou de plusieurs activités au
sein d'une organisation spécifique.
Un Domaine est un système ou sous système qui a
une mémoire et un SI. Un domaine est fonctionnel, il joue un rôle.
Un domaine peut se décomposer en sous domaines.
7. Matrice de Flux
Est une représentation matricielle des acteurs et de
flux des échangés. Elle permet au concepteur de recensé
d'une manière systématique les flux. Elle souvent
représentée par un diagramme de circulation de l'information
traduisant les flux physique et informationnels et /ou par un tableau de
flux.
II.2.2. Description
Textuelle
La gestion de transport fluvial se fait en contrôlant
les unités flottantes qui naviguent dans le fleuve Congo, ce le
commissariat fluvial et lacustre de Kisangani qui est chargé d'inspecter
les unités flottantes qui viennent s'accoster aux ports de Kisangani et
ceux qui quittent de Kisangani à un autre endroit.
Lorsqu'un bateau arrive au port de Kisangani, le capitaine de
ce bateau doit se présenter au commissariat fluvial et lacustre avec les
titres de sécurité ou les documents de bord du bateau, ces titres
de sécurité sont : la lettre de chargement, le certificat de
jaugeage, l'état des inscriptions hypothécaire, le journal de
bord, la liste des passagers, la liste d'équipages, le manifeste ou le
bordereau de douane, les textes de disposition légale et
règlementaire régissant la navigation fluvial, le carte des
régions que le bâtiment fréquente.
Quand le capitaine du bateau amène ces documents, il
les présente au secrétaire pour les faire passer chez le
commissaire, ce dernier va les contrôler et les valider si ces sont de
vrais documents. Le commissaire gardera d'autres documents dans son bureau
jusqu'à leur départ et d'autres documents comme la liste des
passagers, la liste d'équipages et le bordereau de douane seront
passés au service de statistique, pour l'exploitation de bordereau de
douane en calculant les tonnages de marchandises que le bateau a
transporté et enregistré le bateau avec tout détail dans
le registre de mouvement des ports, ce dernier donnera les données
exploité et les deux listes au secrétaire pour l'enregistrement
au registre de mouvement flottant. Après l'exploitation et
l'enregistrement de ces documents, le bordereau de douane sera retourné
chez le commissaire pour la signature de validation.
Au départ du bateau, le capitaine du bateau
amènera le bordereau de douane retiré à la DGDA/Kisangani,
la liste des passagers et la liste d'équipages du bateau au commissariat
fluvial et lacustre afin que ce dernier l'exploite et l'enregistre à la
même procédure d'arrivée et enfin le commissaire signera
leur départ en leur donnant le permis de sortie et les documents qu'il
avait gardé.
Les Baleinières et les petites embarcations sont
enregistrées différemment avec les bateaux, pour elle, à
leur arrivé le responsable ou le gérant va se présenter au
commissariat fluvial avec un document appelé autorisation de
déplacement délivré par le commissariat fluvial de son
provenance pour qu'on l'enregistre, de son départ il doit obtenir ce
document au commissariat fluvial de Kisangani. Le commissariat fluvial a mis en
place les contrôleurs de ports pour contrôler les chargements et
déchargements des marchandises de tous les baleiniers et des petites
embarcations. A chaque fin de la journée, le chef de contrôleur
doit déposer un rapport journalier par rapport à tout ce qui
s'est passé aux ports au secrétaire, celle-ci examinera le
rapport avant de le faire passer chez le commissaire.
L'enregistrement que le service de statistique fait, c'est
pour faire les rapports des tonnages que les bateaux transportent de leur
arrivée et de leur départ, ce rapport se fait chaque mois aux
régies fluviales, voies navigables et de marine (Ministre Provincial de
transport et voies de communication, au Chef de Division Provincial de
Transport et Voies de Communication et au Directeur de la marine et de Voies
Navigables). Le secrétaire à son tour fait l'enregistrement pour
connaitre les mouvements de toutes les unités flottantes qui viennent se
poster aux ports de Kisangani.
Tableau N°1
II.2.3. Recensement des
Acteurs
Recensement des acteurs d'écrit les acteurs de
l'organisation qui intervient dans le domaine d'étude. Nous
précisons les acteurs internes et externes.
N°
|
ACTEURS
|
TYPES
|
INTERPRETATION
|
1
|
Commissaire
|
Interne
|
La personne qui valide les documents et donne des ordres
d'enregistrements.
|
2
|
Secrétariat
|
Interne
|
Le service qui qui réceptionne les documents et enregistre
les bateaux.
|
3
|
Service Statistique
|
Interne
|
Le service qui exploite le bordereau de douane et établi
le rapport de tonnage.
|
4
|
Poste Contrôleurs
|
Interne
|
Le service qui fait le rapport journalier du terrain.
|
5
|
Capitaine
(Bateau)
|
Externe
|
Toutes personnes qui conduisent le bateau et amène les
documents de ce bateau au commissariat fluvial.
|
6
|
Responsables (B/P.EM)
|
Externe
|
Toutes personnes qui sont en tête d'une baleinière
ou d'une petite embarcation.
|
7
|
Régies Fluvial, Voies Navigable et de Marine
|
Externe
|
C'est sont des services fluvial et de marine qui reçoit
le rapport de tonnage des bateaux chaque fin du mois établie au
serv.statistique.
|
II.2.4. Graphe de Flux et
Légende
Ce graphe donne une vue d'ensemble (ou cartographie) de la
circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes
qui participent à un domaine d'étude.
a. Processus d'enregistrements des unités
flottantes
Figure 3: Processus N°1 MCC
Légende
(1) Présentation des documents
(2) Envoi des documents
(3) Transmission de certains documents
(4) Transmission de données exploitées
(5) Accusée de réception
(6) Retour de documents transmis
(7) Validation des documents et remise de permis de sortie
(8) Remise de l'autorisation de déplacement
(9) Accusée de réception
(10) Transmission de l'autorisation de déplacement
(11) Ordre d'enregistrement
b. Processus de rapport journalier
Figure 4: Processus N°2 MCC
Légende
(1) Remise de rapport
(2) Accusée de réception
(3) Transmission de rapport
(4) Retour de rapport et ordre donné
c. Processus de rapport des tonnages
Figure 5: Processus N° 3 MCC
Légende
(1) Présentation de rapport au commissaire
(2) Commissaire retourne le rapport
(3) Dépôt de rapport
(4) Accusés de réception
II.3. LE MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES (MCD)
Le Modèle Conceptuel des Données a pour but de
d'écrire de façon formelle les données utilisées
par le système d'information. Il s'agit donc d'une représentation
des données, facilement compréhensible, permettantde
décrire le système d'information à l'aide
d'entités. La représentation graphique, simple et accessible,
permet à un non informaticien de participer à son
élaboration27(*).
II.3.1. Définition des
concepts28(*)
d. Les entités
Une Entité est la représentation d'un
élémentmatériel ou immatériel ayant un rôle
dans le système que l'on désire décrire. Une entité
est une population d'individus homogènes.Chaque entité
représente un individu-type auquel correspondent une ou plusieurs
occurrences dans le domaine.
e. Les relations
Une relation (appelée aussi parfois association)
représente les liens sémantiques qui peuvent exister entre
plusieurs entités. Une associationest une liaison qui a une
signification précise entre plusieurs entités.
f. Les attributs
Un attribut est une propriété d'une
entité ou d'une association. Les propriétés sont les
informations de base du système d'information.
g. L'Identifiant.
Permet de connaître de façon sûre et unique
l'ensemble des propriétés qui participent à
l'entité.
h. Les cardinalités
Modélisation des participations minimales et maximales
d'une entité à une relation ; c'est le nombre de fois qu'une
entité participe à une relation. La cardinalité d'un lien
entre une entité et une association précise le minimum et le
maximum de fois qu'un individu de l'entité peut être
concerné par l'association.
i. Les occurrences : Sont les valeurs prises
par les propriétés pour spécifier un élément
de la classe.
II.3.2. Dictionnaire des
Données
29(*)Le
dictionnaire des données est un document qui permet de recenser, de
classer et de trier toutes les informations (les données)
collectées lors des entretiens ou de l'étude des documents.
Le dictionnaire peut être plus ou moins élaboré selon le
niveau de granularité souhaité.
Tableau N°2
Nom de la
Donnée
|
Format
|
Longueur
|
Type
|
Règle de
calcul
|
Règle de
Gestion
|
Document
|
E
|
C
|
*Code Passager
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de passagers
|
Nom Passager
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom Passager
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nationalité Passager
|
A
|
25
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre Passager
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Age Passager
|
N
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Adresse habituelle
|
AN
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Destination Passager
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
A
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Nom Bateau
|
A
|
25
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Registre de mouvement flottant
|
Nombre de barge
|
N
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Provenance
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date d'arrivé
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Tonnage déchargé
|
N
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date de départ
|
AN
|
20
|
×
|
|
|
|
//
|
Tonnage chargé
|
N
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Destination
|
A
|
25
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nature produit
|
A
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Intitulé du document
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
//
|
Date de livraison
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date expiration
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
A
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Numéro matricule Equipage
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche d'équipage
|
Nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Fonction
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date engagement
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Durée d'engagement
|
AN
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Age
|
N
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
A
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Numéro Matricule Statistique
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de personnel
|
Nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
* Numéro Matricule secrétaire
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de personnel
|
Nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Num Identification B/P.EM
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de personnel
|
Type et marque
|
A
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
état technique
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Numéro matricule
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
A
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Nom Armateur
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de manifeste
|
Post nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Adresse
|
AN
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Téléphone
|
N
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nationalité
|
A
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Age
|
N
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Légende
Ø E : Elémentaire
Ø C : Calculer
II.3.3. Graphe de
Dépendance Fonctionnel
30(*)Le
rôle de l'établissement des dépendances fonctionnelles
est de nous aider à comprendre les liens existants entre chaque
donnée. Cette démarche de recherche des dépendances
fonctionnelles est la pierre angulaire de toute l'analyse des données.
En effet, cette activité étant la première dans
l'élaboration de l'analyse, si elle est négligée c'est
tout l'ensemble qui en subira les conséquences.
Figure 6: Schéma de GDF
II.3.4. Règle de
Gestion
Les règles de gestion du MCD précisent les
contraintes qui doivent être respectées par le
modèle.
R.G.1 : Dans un bateau on peut ou ne pas
embarqué les passagers, ou il les embarque plusieurs ; Un passager
est embarqué dans un et un seul bateau
R.G.2 : Dans un bateau il est
engagé un ou plusieurs équipages ; un équipage est
engagé pour un et un seul bateau.
R.G.3 : Un bateau doit posséder
un ou plusieurs documents ; un document est posséder par un et un
seul Bateau.
R.G.4 : Un secrétaire enregistre
un ou plusieurs bateaux ; un bateau est enregistré par un et un
seul secrétaire.
R.G.5 : Un bateau appartient à un
et un seul Armateur ; un armateur doit avoir un ou plusieurs Bateau ou
B/P.EM.
R.G.6 : Un agent de la statistique peut
exploiter un ou plusieurs documents ; un document est exploité par
un et un seul agent de la statistique.
II.2.5. Construction du MCD
Figure 7: Schéma de MCD
II.4. MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT31(*) (M.C.T)
Le MCT permet de traiter la dynamique du système
d'information c'est-à-dire les opérations qui sont
réalisées en fonction d'événements.
Ce modèle permet également de représenter
de façon schématique l'activité d'un système
d'information sans faire référence à des choix
organisationnels ou des moyens. Il exprime ce qu'il faut faire, mais ne vous
indique qui doit le faire, ni quand, ni où il faut le faire.
Source: UML_GL_CM_MERISE.pdf
Figure 8: formalisme utilisé de MCT
II.4.1. Définition des
Concepts32(*)
q Une opération c'est l'ensemble des
activités que le domaine peut effectuer lors de la survenance d'un
événement externe à partir des informations fournies par
cet événement ou celles déjà connues
(mémoire du système).
q Evénement : Circonstance
portée à la connaissance du système et à laquelle
celui-ci doit réagir, c'est-à-dire flux ou fait contribuant
à déclencher une opération ou résultant d'une
opération externe (provenant de l'extérieur), interne
(généré par le système pour poursuivre son
activité), résultat (généré par le
système et émis vers l'extérieur).
q Synchronisation : Ensemble de
conditions sur les événements contributifs déterminant la
situation de déclenchement de l'opération.
q Règle d'émission :
Condition pour laquelle des événements résultants seront
produits par l'opération.
q Un processus : C'est l'ensemble des
opérations qui concourent à la réalisation d'un même
but.
a. Processus d'enregistrements des unités
flottantes
Figure 9: MCT Processus A
Figure 10: MCT Processus A Suite
b. Processus de rapport journalier du
terrain
Figure 11 : MCT Processus B
c. Processus de rapport de tonnage
Figure 12 : MCT Processus C
II.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE
TRAITEMENT (MOT)
33(*)L'étape organisationnelle consiste à la
représentation de données du point de vue traitement manuel ou
automatique. Elle consiste à répondre à la question
Quand ? Qui ? Et Où ? Le traitement se passe ou
s'effectue.
Elle a pour but de décrire le fonctionnement du
système d'information défini au niveau conceptuel ; elle
permet de définir la répartition d'exécution des
traitements décrits dans les opérations de gestion en tenant
compte de l'organisation.
Le MOT modélise les activités du domaine, compte
tenu de l'organisation et des ressources (qui, où, quand, comment).
Ainsi, chaque activité (nommée tâche ou phase) est
homogène en terme de finalité, degré d'informatisation,
poste, instant de réalisation, ressources. Cette exigence conduit
naturellement à la décomposition de l'opération
(conceptuelle) en de nombreuses tâches (organisationnelles). Il y a, de
fait, corrélation entre le changement de niveau (du conceptuel à
l'organisationnel) et l'accroissement du degré de détail.
Le MOT décrit ce que font les gens du métier
(leurs tâches ou phases) dont certaines sont informatisées. Il ne
décrit pas comment marche l'application (partie informatisée) qui
sert les tâches.
II.5.1. Définition des
concepts34(*)
1. Procédure Fonctionnelle (PF)
D'une manière générale, une
opération du niveau conceptuel est transformée en au moins une
Procédure fonctionnelle (PF)au niveau organisationnel.
Une Procédure Fonctionnelle est un ensemble logique
structuré d'actions élémentaires dont l'activation est
provoquée par l'application d'un ou plusieurs événements.
Elle est réalisée par unmême acteur et son
déroulement ne nécessite pas l'intervention d'autres
événements ou acteurs.
2. Poste de Travail
Un poste de travail est une responsabilité au sein de
l'entreprise : P. D. G., directeur commercial, secrétaire... Il est
aussi "casquette" : acheteur, vendeur... Une même personne peut avoir
plusieurs casquettes. Tout dépend de ses capacités et de sa
charge de travail.
3. Diagramme d'Enchainement des Procédures
Fonctionnelles
DEPF met en lumière la transformation des
opérations en procédures fonctionnelles dotées des aspects
organisationnels suivants : le temps (périodicité, temps
début, durée d'exécution), la nature, le poste de travail
avec les ressources qui sont affectées.
4. Nature : la nature d'une procédure
fonctionnelle peut être :
Ø Manuelle (M) : la procédure
fonctionnelle privilégie les initiatives de l'utilisateur. Elle est
indépendante et complètement déconnectée de toute
machine informatique.
Ø Différée ou Automatisé
Conventionnel (AC) : la procédure fonctionnelle dotée
d'algorithmes prédéfinis et automatisables est entièrement
exécuter par l'utilisateur et en traitements par lots. L'intervention
humaine est souvent limitée au seul lancement de procédure
fonctionnelle.
Ø Temps Réel ou Automatisé Batch
(AB) : l'ordinateur doit donner des réponses rapides aux
dialogues qu'il a avec l'utilisateur, il a partage des actions entre l'individu
et l'ordinateur.
Ø Poste de Travail : c'est un centre
de l'organisme dont les activités sont assurées par une ou
plusieurs personnes. Plusieurs postes de travail groupés constituent une
cellule.
Ø Périodicité : elle
permet d'exprimer la fréquence d'exécution des procédures
fonctionnelles.
II.5.2. Règles
d'organisation
R.O1 : Le commissaire fluvial et lacustre
de Kisangani débute le travail de 7h30 et prend fin à
17hOO.
R.O2 : Tous les documents que ça
soit du bateau, baleinière ou petite embarcation sont
réceptionnés au secrétariat pendant les heures du
travail.
R.O3 : Tout document
réceptionné, doit passer directement chez le commissaire pour le
contrôler.
R.O4 : Après le contrôle
certains documents du bateau seront transmis au service statistique pour
l'exploiter, ceux de baleinière ou petite embarcation seront
retournés au secrétariat pour l'enregistrement de ce dernier.
R.O5 : Les données
exploitées au service statistique seront transmis au secrétariat
pour l'enregistrement du bateau.
R.O6 : Les documents déjà
exploités serons retourné chez le commissaire pour le garder
jusqu'au départ du bateau si c'était leur arrivée ;
si c'est leur départ il va leurs délivré le permis de
sortie et tout le reste des documents gardés.
R.O7 :Le chef de poste de contrôleur
rédige le rapport journalier avant la fin du travail et il le
dépose au secrétariat pour l'examiner.
R.O8 : Après l'examen de rapport
journalier sera transmis chez le commissaire pour le validé avec la
signature.
R.O9 : Le rapport validé sera
gardé au secrétaire.
R.O10 :Le service de statistique
établi un rapport de tonnage que les bateaux ont chargé et
décharge au port de Kisangani chaque fin du mois.
R.O.11 : Le rapport établi à
la statistique passe chez le commissaire pour la signature de validation avant
l'envoi.
R.O.12 : L'agent de statistique multiplie
le rapport et dépose chaque copie au lieu destiné.
Tableau N°3
II.5.3. Tableau des
procédures fonctionnelles (T.P.F)
PROCESSUS D'ENREGISTREMENTS DES UNITES
FLOTTANTES
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATURE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
DEBUT
|
DUREE
|
LIEU
|
RESPONSABLE
|
RESSOURCE
|
PF1
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Réception des documents
|
M
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire
|
PF2
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Contrôle des documents
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF3
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Calcul des tonnages
|
M
|
Service Statistique
|
Agent Statistique
|
Agent Statistique
|
PF4
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Enregistrement des unités flottantes
|
M
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire
|
PF5
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Sauvegarde des documents
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF6
|
7h30<t<17h00
|
t
|
livraison le permis de sorti
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PROCESSUS DE RAPPORT JOURNALIER
|
PF7
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Rédaction de rapport journalier
|
M
|
Poste de contrôleur
|
Chef de contrôleur
|
Chef de contrôleur
|
PF8
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Analyse de rapport
|
M
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire
|
PF9
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Validation rapport
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF10
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Enregistrement de rapport
|
M
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire
|
PROCESSUS DE RAPPORT DE TONNAGE
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATURE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
DEBUT
|
DUREE
|
LIEU
|
RESPONSABLE
|
RESSOURCE
|
PF11
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Rédaction de rapport
|
M
|
Service Statistique
|
Agent Statistique
|
Agent Statistique
|
PF12
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Validation de rapport
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF13
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Dépôt de rapport
|
M
|
Service Statistique
|
Agent Statistique
|
Agent Statistique
|
II.5.4. Diagramme
d'enchainement des procedures fonctionnelles
Tableau N°4
Tableau N°5
Tableau N°6
II.6. Diagnostic de l'existant
et Proposition de solution
Toute entreprise ne peut prétendre avoir les
modalités exactes de la gestion de ses activités ; c'est
ainsi que les critiques permettent à certaines d'entre elles
d'améliorer leur système de gestion.
Dans cette partie, il sera question de relever certaines
failles qui laissent à ce que les différents problèmes que
nous avons citées dans l'introduction surgissent au sein de commissariat
fluvial et lacustre. Nous aurons à définir l'aspect positif et
négatif et enfin de proposer une solution aux points négatifs.
II.6.1. Diagnostic de
l'existant
a. Aspect Positif
Après notre recherche au sein de commissariat fluvial
et lacustre, nous avons constaté le respect de la hiérarchie,
tous les postes de travail ou chaque service exécute les tâches
comme il se doit.
b. Aspect négatif
1. Sur le plan Matériels
Le commissariat fluvial ne possède d'aucun
matériel informatique qui peut lui permettre même de faire la
saisie, l'utilisation de matériel informatique est tout à fait
négligée. Toutes les activités sont manuelles.
2. Sur l'Etude des Données
Après notre analyse du SI existant, nous avons
remarqué bien que toutes les entités sont là mais les
données ne sont pas bien structurées, la redondance des
données compte tenue de l'enregistrement manuel. En tenant compte de nos
objectifs il y aura des entités à supprimer et à
ajouter.
3. Sur le plan traitements
Comme nous avons remarqué, au sein de commissariat
fluvial et lacustre l'outil informatique est purement négligé.
C'est pour cela que tous traitements ce fait manuel à l'exception de
rien, c'est la raison pour laquelle l'exécution des tâches est
trop lente et le temps de traitement de données n'est pas bien
orienté car aucun agent ne connaît plus mieux le temps qu'il doit
utiliser.
II.6.2. Proposition de solution
Aujourd'hui, toute gestion nécessite le traitement
automatique de ses informations (données) compte tenu de volume des
données à gérer du fait que l'information et
l'automatisation nous rendent les tâches faciles. C'est alors nous
suggérons au commissariat fluvial et lacustre des solutions comme
suit :
q Acheter des outils informatiques pour permettre un travail
rapide et efficace en rapport avec la gestion de transport fluvial ;
q Intégrer les tâches automatisées parmi
les tâches manuelles pour permettre la rapidité d'exécution
de certaines tâches ;
q Mettre en place une Base de données qui permettra une
bonne gestion de transport fluvialet très efficace.
q Le service Statistique, le Secrétariat et le Poste de
contrôle soit doté des outils informatiques pour permettre
l'exécution rapide des taches qui lui est attribué.
Chapitre
Troisième : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR
Dans ce chapitre nous parlons de l'objectif du chapitre,
présentons l'étude des données futures en utilisant le MCD
et l'étude de traitement futur en utilisant le MCT et le MOTenfin le
graphe de circulation d'information.
La conception du système d'information se fait par
étape, afin d'aboutir à un système d'information
fonctionnel reflétant une réalité physique. Il s'agit donc
de valider une à une chacune des étapes en prenant en compte les
résultats de la phase précédente. D'autre part, les
données étant séparées des traitements, il faut
vérifier la concordance entre données et traitement afin de
vérifier que toutes les données nécessaires aux
traitements sont présentes et qu'il n'y a pas de données
superflues.
III.1. Objectifs
L'objectif de ce chapitre est de concevoir un nouveau
système d'information en tenant compte despoints
négatifsconstatés au système d'information existant, qui
nous permettrons de concevoir une Base des Données en MS Access pour
simplifier la gestion de transport fluvial au sein de Commissariat fluvial et
lacustre de Kisangani.
III.2. ETUDE DES DONNEES
FUTUR
III.2.1. Modèle
Conceptuel de Données Futur
III.2.1.1. Dictionnaire des Données
Tableau N°7
Nom de la
Donnée
|
Format
|
Longueur
|
Type
|
Règle de
calcul
|
Règle de
gestion
|
Document
|
E
|
C
|
*Code Passagers
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de passagers
|
Nom Passager
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom Passager
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Prénom Passager
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nationalité Passager
|
A
|
25
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre Passager
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date de Naissance Passager
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Adresse habituelle
|
AN
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Provenance
|
A
|
30
|
|
|
|
|
|
Destination Passager
|
A
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
A
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Numéro d'Identification d'unité
flottante
|
A
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Registre de mouvement flottant
|
Nom de marque
|
AN
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nombre de barge
|
N
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Provenance
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date d'arrivé
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Tonnage déchargé
|
N
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Port de déchargement
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Etat technique
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date de départ
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Tonnage chargé
|
N
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Port de chargement
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Destination
|
A
|
25
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nature produit
|
A
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Mois d'enregistrement
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Année d'enregistrement
|
N
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
AN
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Code de catégorie des unités
flottante
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
//
|
Designation
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Code de Document
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
//
|
Intitule de document
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date de livraison
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date expiration
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
A
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Numéro matricule Equipage
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche d'équipage
|
Nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Prénom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre
|
A
|
1
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date de naissance
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nationalité
|
A
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Type d'Equipage
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Fonction
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date engagement
|
AN
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Durée d'engagement
|
AN
|
5
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Observation
|
A
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Numéro Matricule Agents
|
AN
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de personnel
|
Nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Prénom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Fonction
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre
|
A
|
1
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Téléphone
|
N
|
15
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
*Numéro Identification d' Armateur
|
A
|
15
|
×
|
|
-
|
A
Créer
|
Fiche de manifeste
|
Nom Armateur
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Post nom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Prénom
|
A
|
20
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Adresse
|
AN
|
50
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Téléphone
|
N
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Nationalité
|
A
|
30
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Genre
|
A
|
10
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
Date de naissance
|
N
|
15
|
×
|
|
-
|
-
|
//
|
III.2.1.2.Graphe de Dependance
fonctionnelle
Figure 13: DF futur
Source : Nos propres investigations
III.2.1.3. Construction du MCD
Futur
Figure 14: MCD Futur
Source : Nos propres investigations
III.2.1.4. Règle des Gestion
R.G1 : Une unité flottante ne
peut embarquer les passagers ou il peut les embarqué plusieurs
R.G2 : Un passager est embarqué
dans une et une seule unité flottante.
R.G3 : un équipage est
engagé dans une et une seule unité flottante
R.G4 : Une unité flottante engage
un ou plusieurs équipages
R.G5 : Une unité flottante est
enregistrée par un et un seul agent
R.G6 : Un agent enregistre un ou
plusieurs unités flottantes
R.G7 : Une unité flottante
appartient à un et un seul armateur
R.G8 : Un armateur peut avoir au moins
une unité flottante ou plusieurs
R.G9 : Une unité flottante
appartient à une et une seule catégorie
R.G10 : Une catégorie peut avoir
un ou plusieurs unités flottantes
R.G11 : Une unité flottante
possède un ou plusieurs documents
R.G12 : Un document est
possédé par une et une seule unité flottante
R.G13 : Un agent exploite un ou
plusieurs documents
R.G14 :Un
document est exploité par un et un seul agent
II.2.1.5. Quatification du
MCD
Tableau N°7
ENTITES
|
IDENTIFIANTS
|
PROPRIETES
|
LONGEUR
|
NOBRE D'OCCURRENCE
|
Passagers
|
Code Passager
|
CodePassg
Nom
Post Nom
Prénom
Nationalité
Genre
DateNaiss
AdresseHabituelle
Destination
Observation
|
285
|
28500
|
Equipages
|
Numéro Matricule
|
NumMatr
Nom
Post nom
Prénom
Genre
DateNaiss
AdresseHabituelle
Nationalité
Type d'équipage
Fonction
DateEngag
Observation
|
236
|
23600
|
Unités flottante
|
Numéro d'identification
|
NumIdent
Nom
Catégorie
NbreBarge
Provenance
DateArriv
TngDechar
DateDepart
TngCharge
Destination
NatureProduit
EtatTech
Observ
|
315
|
31500
|
Catégorie Unité flottante
|
Code Catégorie
|
CodeCat
Désignation
|
35
|
3500
|
Armateur
|
Numéro d'identification
|
NumIdent
Nom
Post nom
Prénom
Adresse
Tel
Nationalité
Genre
DateNaiss
|
190
|
19000
|
Document
|
Code de Document
|
CodeDoc
IntiDoc
DateLivr
DateExpi
Observ
|
125
|
12500
|
Agents
|
Numéro Matricule
|
NumMatr
Nom
Post nom
Prénom
Fonction
Genre
Tel
|
91
|
9100
|
III.2.1.6.Quantification des
Relations
Tableau N°8
RELATIONS
|
COLLECTION
|
CARDINALITES
|
PROPRIETES
|
LONG
|
NOMBRE D'OCCURRENCE
|
Embarquer
|
Passagers
Unités flottante
|
1,1
0,N
|
-
|
-
|
-
|
Engager
|
Equipages
Unités flottante
|
1,1
1,N
|
-
|
-
|
-
|
Enregistrer
|
Secrétaire
Unités flottante
|
1,N
1,1
|
-
|
-
|
-
|
Posséder
|
Document
Unités flottante
|
1,1
1,N
|
-
|
-
|
-
|
Exploiter
|
Document
Statistique
|
1,1
1,N
|
-
|
-
|
-
|
Appartenir
|
Unités flottante
Catégorie
|
1,1
1,N
|
-
|
-
|
-
|
Appartenir
|
Unités flottante
Armateur
|
1,1
1,N
|
-
|
-
|
-
|
III.3. ETUDE DE TRAITEMENT
FUTUR
III.3.1. Modèle
Conceptuel de Traitement
a. Processus d'enregistrements des unités
flottantes
b. Processus de rapport
journalier du terrain
d. Processus de rapport de
tonnage
III.3.2. Modèle
Organisationnel de Traitement
III.3.2.1. Règles d'organisation
Ø R.O1 : Le commissaire fluvial
et lacustre de Kisangani débute le travail de 7h30 et prend
fin à 17hOO.
Ø R.O2 : Avant d'enregistrer une
unité flottante le responsable doit présenter les documents de
cette unité flottante.
Ø R.O3 : Les documents sont
réceptionnés au secrétariat pour le faire passer chez le
commissaire.
Ø R.O4 : Le commissaire
vérifie la date de livraison et d'expiration de ces documents.
Après certains documents seront transmis au service statistique pour
l'exploiter, ceux de baleinière ou petite embarcation seront
retournés au secrétariat pour enregistrer ces coordonnés
à la base des données.
Ø R.O5 : Les données
exploitées au service statistique sont enregistrés dans ce
service et transmis au secrétariat pour enregistré tous les
coordonnés de l'unité flottante à la base des
données.
Ø R.O6 : Les documents
exploités seront retournés chez le commissaire pour le garder
jusqu'au départ de l'unité flottante, si c'était leur
arrivée ; si c'est leur départ il va leur délivrer le
permis de sortie et tout le reste de documents.
Ø R.O7 : Le chef de poste de
contrôleur rédige le rapport journalier avant la fin du travail et
il le dépose au secrétariat pour l'examiner.
Ø R.O8 : Après l'examen,le
rapport journalier est transmis chez le commissaire pour le validé avec
la signature.
Ø R.O9 : Le rapport validé
sera gardé au secrétariat.
Ø R.O10 : Le service de
statistique établi un rapport de tonnage que les bateaux ont
chargé et décharge au port de Kisangani chaque fin du mois.
Ø R.O.11 : Le rapport
établi à la statistique passe chez le commissaire pour la
signature de validation avant l'envoi.
Ø R.O.12 : L'agent de statistique
multiplie le rapport et dépose chaque copie au lieu destiné.
III.3.2.2. Tableau des Procédures Fonctionnelles
(T.P.F)
Processus d'enregistrements des unités
flottantes
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATURE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
DEBUT
|
DUREE
|
LIEU
|
RESPONSABLE
|
RESSOURCE
|
PF1
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Réception documents
|
M
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire
|
PF2
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Vérification de dates et de sceaux
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF3
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Lecture des événements rencontrés en cour de
navigation
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF4
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Calcul de tonnage
|
AC
|
Service Statistique
|
Agent Statistique
|
Agent Statistique et Ordinateur
|
PF5
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Saisie des données calculées
|
AC
|
Service Statistique
|
Agent Statistique
|
Agent Statistique et Ordinateur
|
PF6
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Saisie des coordonnés d'unité flottante
|
AC
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire et Ordinateur
|
PF7
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Conservation des documents
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF8
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Livraison de permis de sorti
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
Processus de rapport journalier
|
NATURE
ACTIONS
|
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
|
DEBUT
|
DUREE
|
LIEU
|
RESPONSABLE
|
RESSOURCE
|
PF9
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Saisie de rapport journalier
|
AC
|
Poste de contrôle
|
Chef de contrôleur
|
Chef de contrôleur et Ordinateur
|
PF10
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Vérification de rapport
|
M
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire
|
PF11
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Signature de validation
|
M
|
Commissariat
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF12
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Enregistrement de rapport
|
AC
|
Secrétariat
|
Secrétaire
|
Secrétaire
|
Processus de rapport de tonnage
|
NATURE
ACTIONS
|
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
|
DEBUT
|
DUREE
|
LIEU
|
RESPONSABLE
|
RESSOURCE
|
PF13
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Elaboration de rapport
|
AC
|
Service Statistique
|
Agent Statistique
|
Agent Statistique et Ordinateur et Imprimante
|
PF14
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Vérification de rapport
|
M
|
Commissaire
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF15
|
7h30<t<17h00
|
t
|
validation de rapport
|
M
|
Commissaire
|
Commissaire
|
Commissaire
|
PF16
|
7h30<t<17h00
|
t
|
Transmission de rapport
|
M
|
Service Statistique
|
Agent Statistique
|
Agent Statistique
|
III.3.2.3. Diagramme
d'enchainement des processus
III.4. GRAPHE DE CIRCULATION D`INFORMATIONS
35(*)Le
Graphe de Circulation des Informations (GCI) met en évidence les
échanges entre les différents postes de travail. C'est une
repensassions qui fournit une bonne perception de la transformation progressive
des informations. Elle permet également de déceler les
procédures fonctionnelles, chacune de celle-ci étant
affectées de sa périodicité et éventuellement de sa
durée d'exécution.
C'est l'une des méthodes utilisées pour
présenter ou analyser les flux d'informations entre service Donc c'est
une étude qui analyse comment les informations circulent d'un poste
à l'autre, d'un traitement à l'autre.
Legende
Traitement automatisée Conversationnelle
(Ressources: homme+machine)
Enregistrement des données au Disque
magnétique
Traitement manuel de l'information
Acteur externe qui déclenche
l'opération
Périphérique de sortie permet d'imprimer
les données
Réception de rapport
Réception de rapport
Support papier qui permet de faire circuler les
informations
Commanda ou Responsable de U.F
|
Secrétaire
|
Statistique
|
Chef Contrôleur
|
Commissaire
|
Régie F.V.N.M
|
Dépôt des documents
Transmission documents
Réception documents
Contrôle Documents
Exploitation Documents
m
Calcul Tonnage
n
Transmission des données
Classement documents
m
Saisie des coordonnés
Remise de permis de sortie
Réception de permis de sortie
Dépôt rapport journalier
Rédaction de rapport
Impression de rapport journalier
o
p
Dépôt Rapport
Réception de rapport
n
Impression de somme des tonnages
Rédaction Rapport Tonnage
Lecture de rapport de tonnage
Signature de validation
Retour Rapport
Validation Rapport
Analyse rapport
Annotation de validation
Classement Rapport
o
p
Enregistrement de rapport
Fin
Chapitre Quatrième :
IMPLEMENTATION DU SYSTEME AUTOMATISE ET PRESENTATION DE L'APPLICATION
Dans ce chapitre nous définissons le SIA et
présentons le MLD, MPD et MLT enfin nous présentons l'application
conçu en MS Access à l'aide de langage VBA.
IV.1. SYSTEME D'INFORMATION
AUTOMATISE
36(*)Un
SIA est un sous-système d'un SI dans lequel toutes les transformations
significatives d'informations sont effectuées par des ordinateurs. Il
permet la conservation et le traitement automatique des informations.
Ø Un SIA doit être :
q intégré : une même
information n'est saisie qu'une fois en un point du système et est
récupérée dans tous les fichiers concernés.
q durable et adaptable : les logiciels de
traitement des données (programmes) sont indépendant des
données.
IV.2. MODELE LOGIQUE DES
DONNEES
37(*)Le
modèle logique de données (MLD) décrit les structures de
données indépendamment de la gestion physiquedes bases de
données. Il est une étape intermédiaire,
intellectuellement très satisfaisante, vers le modèle physique de
données.
Il contient les données et traitements venant de
l`étape organisationnelle, pour le mémoriser et choisir la mise
en place, en spécifiant le choix de logiciel de langage de programmation
qui facilitera cette mémorisation.
Le MLD est une représentation issue de modèle
conceptuel et organisationnel. Elle consiste à concevoir la solution
informatique par rapport au système existant
IV.2.1.Règle de
transformation du MCD en MLDR38(*)
a. Transformation des entités :
toute entité devient une table dans laquelle les attributs
deviennent les colonnes. L'identifiant de l'entité constitue alors la
clé primaire.
b. Transformation des associations non
hiérarchiques : Autrement appelé l'association
porteuse, devient une table supplémentaire dont la clé primaire
est composée de deux clés étrangères (qui
référencent les deux clés primaires des deux tables en
association). Les attributs de l'association deviennent des colonnes de cette
nouvelle table.
c. Transformation de contraintes
d'intégrité fonctionnelle (CIF) : Une association
binaire de type 1 : N disparait au profit d'une clé
étrangère dans la table fils 0, 1 ou 1, 1 qui
référence la clé primaire de l'autre table. Cette
clé étrangère ne peut pas recevoir la valeur vide si la
cardinalité est 1, 1.
IV.2.2. Elaboration du MLDR
- T-Unités Flottantes
(NumIdUF,Nom, Catégorie, NbreBarge, Provenance, DateArriv,
TngDechar, DateDep, TngCharge, Destination, NatureProd, EtatTech, Observ,
#NumIdArm, #CodeCat)
- T-Passager (CodePassag,
Nom, Postnom, Prénom, Nation, Genre, DateNaiss, AdresseHabit,
Destination, Observation, #NumIdUF)
- T-Equipages (NumMatrEqu, Nom,
Postnom, Prénom, Genre, DateNaiss, AdresseHabit, Nationalité,
Type d'équipage, Fonction, DateEngag, Observation, #NumIdUF)
- T-Documents (CodeDoc, IntiDoc,
DateLivr, DateExpi, Observ, #NumIdUF, #NumMatrAg)
- T-Agents (NumMatrAg, Nom, Post nom,
Prénom, Fonction, Genre, Tel)
- T-CatégorieUnité Flottante
(CodeCat, Désignation)
- T-Armateur (NumIdArm, Nom, Postnom,
Prénom, Adresse, Tel, Nationalité, Genre, DateNaiss)
IV.3. MODELE PHYSIQUE DES
DONNEES
39(*)Un
Modèle Physique de Données ou la conception de base de
données est une représentation d'un dessin de données qui
prend en compte les installations et les constances d'une donnée,
système de gestion de base de données.
Cette étape consiste à implémenter le
modèle dans le système de gestion de base de données
c'est-à-dire traduire dans un langage de définition de
données. Autrement dit, transférer la base de données dans
un SGBD. Ce transfert consiste à créer la structure de la base de
données, à indiquer les champs, à implémenter des
contraintes d'intégrités destinées à garantir la
cohérence des données mémorisées
IV.3.1. Passage du MLD au
MPD40(*)
Ø Implémentation physique de chaque table du MLD
dans le SGBD utilisé.
Ø Pour chaque table, indiquer au SGBD quel champ
constitue la clé primaire.
Ø Pour chaque table, indiquer au SGBD la (les)
clé(s)étrangère(s), et la (les) clé(s) primaire(s)
correspondante(s).
IV.3.2. Présentation du
MPD
IV.4. MODELE LOGIQUE DES
TRAITEMENTS
41(*)Le
Modèle Logique des Traitements (MLT) concerne la description,
en unités de traitements, des taches automatisables définies dans
le MOT. Les taches automatisables sont traduites en traitements, et
cela par la description des différents algorithmes de ces unités
jusqu'à leur aboutissement au résultat. Ces unités feront
l'objet de la programmation.
Donc, l'objectif du passage du MOT au MLT est de
décomposer les tâches en Unité Logique de Traitements
(ULT), mais aussi de faire en sorte qu'une ULT puisse servir
à plusieurs tâches possibles. Ainsi, une ULT peut
être utilisée pour la réalisation de plusieurs
tâches, mais seulement sur une seule machine logique.
IV.4.1. Définition des
concepts
a. Outils informatiques
Dans la pratique, l'outil est informatique et peut être
de deux types : transactionnel ou interactif, traitement immédiat ou "en
temps réel" ou en traitement différé ou par lot, calcul
sans intervention directe de l'utilisateur. Dans le deuxième cas, le
programme s'enclenche et effectue ses calculs et ses mises à jour
éventuelles sur les données à un moment
prédéterminé.
b. Outil interactif
Un outil interactif permet un dialogue entre l'utilisateur et
l'ordinateur via un écran et un clavier. Il comprend des écrans
se succédant où l'utilisateur tape des informations ou des
commandes au clavier et obtient immédiatement la réponse. Il
enchaîne les traitements sans arrêt.
c. Unité Logique de Traitement
ULT modélise un ensemble des traitements informatique
perçus comme homogènes en termes de pénalité.
L'unité logique de traitement définit également le rapport
à la cohérence des données du SII.
d. Procédure logique
Est un enchainement logique de traitement réalisant
l'information d'une tache ou phase de modèle organisationnel de
traitement ;
e. La machine logique
Est définie comme un ensemble des ressources
informatiques (matériel et logiciel) capable d'exécuter le
trainement informatique de façon autonome bien que confondu dans la
grande majorité de cas, mais nous pouvons signaler qu'il Ya une machine
logique et physique ;
f. L'événement/résultat
message
Dans le formalise général de modélisation
de traitement proposé par la méthode MERISE
événement et résultat représente l'échange
de stimulus et de réponse par rapport au système ;
g. Etat
La modélisation des Etats reste identique à
celle utilisée au niveau conceptuel et organisationnel, ils expriment
les conditions préalables ou des résultats conditionnels d'une
unité logique d'un traitement (ULT).
IV.3.2. Elaboration des MLT
IV.4. PRESENTATION DE
L'APPLICATION
Cette étude a mis point à la conception d'un
progiciel GTF 0.1conçu en MS Access à l'aide de langage de
programmation VBA.
a. Les MS Access 2010
Microsoft Access est un programme de gestion de base de
données relationnelle (SGBDR). Il offre un ensemble d'outils permettant
de saisir, de mettre à jour, de manipuler, d'interroger et d'imprimer
des données. La particularité des Base de Données
relationnelles est pouvoir mettre en relation des fichiers (appelés ici
Tables) différents en établissant des liens entre eux.
b. Le VBA 6.0
Visual Basic for Applications (VBA) est une
implémentation de Microsoft Visual Basic qui est intégrée
dans toutes les applications de Microsoft Office, dans quelques autres
applications Microsoft comme Visio et au moins partiellement dans quelques
autres applications comme AutoCAD, WordPerfect, Micro Station, Solidworks ou
encore ArcGIS.
Il remplace et étend les capacités des langages
macro spécifiques aux plus anciennes applications comme le langage Word
Basic intégré à une ancienne version du logiciel Word, et
peut être utilisé pour contrôler la quasi-totalité de
l'IHM des applications hôtes, ce qui inclut la possibilité de
manipuler les fonctionnalités de l'interface utilisateur comme les
menus, les barres d'outils et le fait de pouvoir personnaliser les boîtes
de dialogue et les formulaires utilisateurs.
IV.4.1. Quelque concepts de
base
Ø Logiciel : C'est un ensemble
des programmes qui couvre un domaine.
Ø Progiciel : C'est l'ensemble
complet de programmes informatiques, conçu pour les différents
utilisateurs en vue d'une même application, généralement
professionnelle, et commercialisé avec une documentation.
Ø Programme : C'est une suite
d'instructions permettant de réaliser une ou plusieurs tâches, de
résoudre un problème, de manipuler des données.
Ø Application : C'est un
programme destiné à aider un utilisateur à effectuer une
tâche déterminée.
IV.4.2. Brève
Présentation
Après avoir démarré l'ordinateur, nous
choisissons le Menu « Démarrer » pour
accéder au sous menu « Programme » qui nous
permettra de chercher le logiciel de « Microsoft Access »
dans lequel nous avons conçu notre application.
Nous accédons à notre application par une page
d'accueil qui téléchargera la page d'authentification qui est une
page de sécurité ne permet pas à n'importe quelle personne
d'accéder à l'application.
Après avoir nous authentifier nous accédons au
Menu principal de Saisies et desétats de sortie.Sur l'onglet
de « Saisie » du menu principal, nous trouvons
plusieurs étiquettes qui représentent les noms de
différents formulaires. Un cliquer sur une, nous ouvre le formulaire
pour la saisie des données.Sur l'onglet « états de
sortie» du Menu principal, nous trouvonsles étiquettes qui
reprennent les états de sorties de notre application qui sont le reflet
des objectifs poursuivis par notre application.
Page d'accueil
Page d'authentification
Menu principal
a. Formulaire de saisie
IV.4.3. Présentation de
quelques états de sortie
Le rapport des bateaux enregistré dans un mois.
Liste des passagers enregistrés pour une unité
flottante.
Liste des équipages
enregistrés pour une unité flottante.
CONCLUSION
Au terme de ce travail, Intitulé « AUTOMATISATION
DE GESTION DE TRANSPORT FLUVIAL DANS UNE INSTITUTION PUBLIQUE. Cas de
Commissariat Fluvial et Lacustre de Kisangani ».
Notre problématique s'articule sur les questions
ci-après :
- Quel mécanisme permet-il au commissariat fluvial et
lacustre d'éviter la lenteur dans l'enregistrement des unités
flottantes ?
- Pour obtenir rapidement l'effectif total de la liste
complète des unités flottantes enregistrées au cours d'une
année à une autre comment le commissariat fluvial et lacustre s'y
prend-t-il ?
- Comment le commissariat fluvial et lacustre
contrôle-t-il les trafics des différentes unités flottantes
dans le fleuve Congo ?
De ce qui précède nous avons émis les
hypothèses selon lesquelles :
- Une mise en place d'un système automatisé
conviendrait mieux pour assurer la rapidité dans l'enregistrement des
unités flottantes.
- Le commissariat fluvial et lacustre appliquerait la
Nouvelle Technologie de l'Information et de la Communication pour obtenir
l'effectif total de la liste complète des unités flottantes
enregistrées au cour d'une année.
- L'automatisation de système d'information
permettraitd'assurer un contrôle efficace des trafics des
différentes unités flottantes sur le fleuve Congo.
Les objectifs fixés dans cette étude est
de :
- Mettre en place un système d'information
automatisé qui favorisera un enregistrement rapide des unités
flottantes.
- Concevoir une application de la nouvelle technologie de
l'information et de la communication pour la gestion de transport fluvial.
- Automatiser le système d'information pour assurer le
contrôle efficace et aisé des trafics des unités
flottantes.
Pour vérifier nos hypothèse nous avons
utilisé les méthodes et techniques suivants :
- Méthode Historique :
nousa permis de se référé au passé du
système de gestion de transport fluvial pour éclairer les
décisions à prendre dans la perspective d'une gestion moderne de
transport fluvial.
- Méthode
analytique : nous a été utile de
décomposer les éléments de système afin de les
définir et d'en dégager les spécificités ou
à expliquer un phénomène en mettant en évidence les
relations de cause à effet
- Méthode MERISE : nous
a permis d'analyser le système d'information existant et de concevoir un
système d'information futur.
- La technique documentation :
nous a permis de consulter les documents trouvés à travers les
différentes bibliothèques de la ville et particulièrement
dans les archives de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani pour y
puiser toutes les informations relatives à notre recherche.
- La technique
d'interview libre:nous a permis d'entrer en contact avec les
différents responsable de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani
pour récolter le complément d'informations liée à
nos investigation.
Après l' analyse au système existant nous avons
abouti aux résultats ci-après :
- La lenteur dans l'enregistrement des unités
flottantes
- La lenteur dans l'élaboration de rapport des
unités flottantes enregistré
- La perte des fiches qui contiennent les données
nécessaire à la gestion de transport fluvial
- Difficulté de contrôler les trafics des
unités flottantes dans le fleuve Congo.
Considérons que, la gestion de transport fluvial au
sein de Commissariat Fluvial et Lacustre de Kisangani est manuel avec toutes
les conséquences que cela engendre, il est d'une impérieuse
nécessité d'automatiser cette gestion par la mise en oeuvre d'un
système de base de données et que ce système soit
géré par des personnes qualifiées et formées pour
la gestion de base de données. C'est ainsi que nous avons conçu
et proposé une base de données en MS Access pour permettre une
bonne gestion des mouvements des unités flottantes au Commissariat
Fluvial et Lacustre de Kisangani. Sans cela, le système de gestion
actuel produirait toujours des conséquences citées ci-haut.
Enfin, nous pouvons affirmer ici que nous n'avons pas
mené une étude exhaustive dans ce domaine ni avoir abordé
tous les contours de l'automatisation de gestion de transport fluvial dans une
Institution Publique. Puissent cette étude, dont nous ne dissimulons pas
les lacunes, apporter aux lecteurs des thèmes de réflexion et
quelques lumières sur un des problèmes qui affecte le monde
actuel. Aucun progrès n'est possible, en matière de gestion, sans
de lourds sacrifices financiers, humains, matériels...
Nous pensons donc qu'un pas est franchi, un autre pourrait
suivre. C'est ainsi que nous sollicitons l'indulgence de tous les lecteurs sur
d'éventuelles failles qui seraient constatées dans ce travail.
Des remarques et suggestions pour son amélioration prochaine seront les
bienvenues.
BIBLIOGRAPHIE
I. Ouvrage.
· F F. JOLIVET&G. REBOUL, Informatique
Appliquée à la gestion, Tome 2 Ed. Dunod, Paris, 1996.
· PINTO R. et GRAWITZ M., Méthodes des
sciences sociales, Paris Dalloz, 1971
· VUILLEMIN A., L'informatique et traitement de
l'information en lettres et sciences humaines, Masson, Paris, (1987).
. II. Note du Cours, Dictionnaires et
Encyclopédies
· Dictionnaire français Larousse
· KAKULE MILANDO E., Cours d'analyse Informatique
II, Inédit, G3 ISIG-Goma, 2008-2009
· KIKUNI BUNGULU, J.,Informatique
Général « L'avenir est aux
ordinateur », Cours dispenser en G1 Informatique de Gestion,
ISC-KIS 2012-2013, (Inédit)
· KIKUNI BUNGULU, J.,TECHNIQUES DES BANQUES DES DONNES,
Cours dispensé en G3 Informatique de Gestion, ISC-KIS,
2014-2015,(Inédit)
· KUTUMBAKANA P,Méthode d'Analyse Informatique
I, Cours dispensé en G2 Info de Gestion, ISC-Kis, 2013-2014.
(inédit)
· KUTUMBAKANA P, Méthode d'Analyse
Informatique II, Cours dispensé en G3 INFO de Gestion, ISC-Kis,
2014-2015,(inédit)
· LOKANGA OTIKEKE, F., de Méthodes de
Recherche Scientifique, Notes ronéotypées, Cours dispensé
en G2 Info de Gestion, ISC-KIS, 2013-2014, (Inédit).
· MBOYO, Méthode d'analyse informatique,
Cours dispensé en G2 Info de Gestion, ISP/Kisangani,
2012-2013,(inédit)
III. Site Web
· www.google.com
· www.larouse.fr/dictionnairefrançais/
· www.mémoireonline.com
·
www.wikipedia.org/wiki/gestion
· www. Comment ça marche.net
TABLE DES MATIERES
0. INTRODUCTION
1
0.1. PROBLEMATIQUE
2
0.2. HYPOTHESE
4
0.3. OBJECTIFS
4
0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
5
0.4.1.
Choix du sujet
5
0.4.2.
Intérêt du sujet
5
0.5. METHODES ET TECHNIQUES
5
0.5.1.
Méthodes
5
0.5.2
Techniques
6
0.6. Délimitation du
sujet
7
0.7. Subdivision du travail
7
0.8. Difficultés
Rencontrées
7
Chapitre Première.
CONSIDERATIONS THEORIQUES
9
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS
9
I.2. PRESENTATION DE COMMISSARIAT
FLUVIAL ET LACUSTRE
10
I.2.1. Aperçu historique
10
I.2.2. Création et
Evolution de Commissariat Fluvial et Lacustre
11
I.2.3. Situation
géographique
11
I.2.4. Subdivision administrative
12
I.2.5. Organigramme
13
I.2.6. Fonction et Attribution de
Commissariat Fluvial et Lacustre
14
Chapitre Deuxième : ANALYSE DE
SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT
15
II.1. Définition des
Concepts
15
II.2. MODELE CONCEPTUEL DE
COMMUNICATION (M.C.C)
17
II.2.1 Définition des
concepts
17
II.2.2. Description Textuelle
19
II.2.3. Recensement des Acteurs
21
II.2.4. Graphe de Flux et
Légende
22
II.3. LE MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES (MCD)
24
II.3.1. Définition des
concepts
24
II.3.2. Dictionnaire des
Données
25
Légende
27
II.3.3. Graphe de
Dépendance Fonctionnel
27
II.3.4. Règle de Gestion
28
II.2.5. Construction du MCD
28
II.4. MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT (M.C.T)
29
II.4.1. Définition des
Concepts
29
II.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE
TRAITEMENT (MOT)
34
II.5.1. Définition des
concepts
35
II.5.2. Règles
d'organisation
36
II.5.3. Tableau des
procédures fonctionnelles (T.P.F)
37
II.5.4. Diagramme d'enchainement
des procedures fonctionnelles
39
II.6. Diagnostic de l'existant et
Proposition de solution
43
II.6.1. Diagnostic de l'existant
43
Chapitre Troisième : CONCEPTION
DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR
45
III.1. Objectifs
45
III.2. ETUDE DES DONNEES FUTUR
45
III.2.1. Modèle Conceptuel
de Données Futur
45
III.2.1.2. Graphe de Dependance
fonctionnelle
48
III.2.1.3. Construction du MCD
Futur
49
R.G14 : Un document est
exploité par un et un seul agent
50
II.2.1.5. Quatification du MCD
51
III.2.1.6.Quantification des
Relations
53
III.3. ETUDE DE TRAITEMENT FUTUR
54
III.3.1. Modèle Conceptuel de
Traitement
54
b. Processus de rapport
journalier du terrain
56
d. Processus de rapport de
tonnage
57
III.3.2. Modèle
Organisationnel de Traitement
58
III.3.2.3. Diagramme
d'enchainement des processus
61
III.4. GRAPHE DE CIRCULATION
D`INFORMATIONS
65
Chapitre Quatrième : IMPLEMENTATION
DU SYSTEME AUTOMATISE ET PRESENTATION DE L'APPLICATION
69
IV.1. SYSTEME D'INFORMATION AUTOMATISE
69
IV.2. MODELE LOGIQUE DES DONNEES
69
IV.2.1. Règle de
transformation du MCD en MLDR
70
IV.2.2. Elaboration du MLDR
70
IV.3. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
71
IV.3.1. Passage du MLD au MPD
71
IV.3.2. Présentation du
MPD
72
IV.4. MODELE LOGIQUE DES
TRAITEMENTS
72
IV.4.1. Définition des
concepts
73
IV.3.2. Elaboration des MLT
75
IV.4. PRESENTATION DE
L'APPLICATION
77
a. Les MS Access 2010
77
b. Le VBA 6.0
77
IV.4.1. Quelque concepts de base
77
IV.4.3. Présentation de
quelques états de sortie
82
CONCLUSION
84
BIBLIOGRAPHIE
88
ANNEXE
PRESENTATION DE QUELQUES CODE DE CONNEXION
Code de Suppression d'un enregistrement
PrivateSub Commande10_Click()
On Error GoTo Err_Command17_Click
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acEditMenu, 8, , acMenuVer70
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acEditMenu, 6, , acMenuVer70
Exit_Command17_Click:
Exit Sub
Err_Command17_Click:
MsgBoxErr.Description
Resume Exit_Command17_Click
End Sub
Code de l'enregistrement
précèdent
PrivateSub Commande11_Click()
On ErrorGoTo Err_Commande9_Click
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, ,
acMenuVer70
DoCmd.GoToRecord , , acPrevious
Exit_Commande9_Click:
Exit Sub
Err_Commande9_Click:
MsgBoxErr.Description
End Sub
Code de l'enregistrement suivant
Private Sub Commande12_Click()
On Error GoTo Err_Commande9_Click
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, ,
acMenuVer70
DoCmd.GoToRecord , , acNext
Exit_Commande9_Click:
Exit Sub
Err_Commande9_Click:
MsgBoxErr.Description
End Sub
Code de recherche des enregistrements
Private Sub Commande13_Click()
On Error GoTo Err_Command16_Click
Screen.PreviousControl.SetFocus
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acEditMenu, 10, , acMenuVer70
Exit_Command16_Click:
Exit Sub
Err_Command16_Click:
MsgBoxErr.Description
End Sub
Code de retour
PrivateSub Commande14_Click()
If 6 = MsgBox("Souhaitez-vous fermer le formulaire?", 4)
Then
DoCmd.Close
DoCmd.OpenForm "SAISIE DES DONNEES"
End If
End Sub
Code de premier enregistrement
Private Sub Commande15_Click()
On Error GoTo Err_Commande9_Click
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, ,
acMenuVer70
DoCmd.GoToRecord , , acFirst
Exit_Commande9_Click:
Exit Sub
Err_Commande9_Click:
MsgBoxErr.Description
End Sub
Code de dernier enregistrement
Private Sub Commande16_Click()
On Error GoTo Err_Commande9_Click
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, ,
acMenuVer70
DoCmd.GoToRecord , , acLast
Exit_Commande9_Click:
Exit Sub
Err_Commande9_Click:
MsgBoxErr.Description
End Sub
Code d'enregistrement
PrivateSub Commande9_Click()
On ErrorGoTo Err_Commande9_Click
DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, ,
acMenuVer70
DoCmd.GoToRecord , , acNewRec
Exit_Commande9_Click:
Exit Sub
Err_Commande9_Click:
MsgBoxErr.Description
End Sub
* 1
http://Technologies de l'information et de la
communication-Wikipedia.htm, 23/03/2015, 15h13
* 2 Idem
* 3
http://fr.NTIC-Nouvelles technologies de
l'information et de la communication.htm, 23/03/2015, 15h19
* 4 KIKUNI, B.,Informatique
Général « L'avenir est aux ordinateur »,
Cours dispensé en G1 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2012-2013,
(Inédit),p.1
* 5
http://Wikipédia-Evolution de l'Informatique, 24/03/2015, 19h15
*
6http://fr.Wikipédia.Org/Wiki/Informatique# la programmation,
24/03/2015, 19h19
* 7 LOKANGA, OTIKEKE, F.,
Méthodes de Recherche Scientifique, Cours dispensé en G2
Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2013-2014, (Inédit), p.10
* 8 http://Définitions
hypothèse - Dictionnaire de français
Larousse-Wikipédia.mht, 28/03/2015, 10h02
* 9 PINTO,R. et GRAWITZ, M.,
Méthodes des sciences sociales, Paris Dalloz, 1971, p.145
* 10PINTO,R. et GRAWITZ,
M.,Op. cit., p.147
* 11 Idem, P.148
* 12 KUTUMBAKANA, P.,
METHODOLOGIE D'ANALYSE INFORMATIQUE I (M.A.I, I), COURS dispensé en G2
Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2013-2014, (Inédit),P.5
* 13 PINTO,R. et GRAWITZ,
M.,Op. cit.,, p.155
* 14 KUTUMBAKANA, P., Cour
déjà cité, p.8
* 15
http://cours système d'information de
gestion.pdf
* 16KUTUMBAKANA, P., Cour
déjà cité, p.17
* 17 Idem, p.17
* 18 Idem, p.18
* 19 Idem, p.20
* 20 KUTUMBAKANA, P., Cour
déjà cité, p.20
* 21 KAKULE MILANDO E.,
Analyse Informatique II, Cours dispensé en G3 Informatique de Gestion,
ISIG-Goma, 2008-2009,(Inédit),p.20
* 22
http://fdigallo.online.fr/cours/UML_GL_CM_MERISE.pdf
* 23 Idem
* 24
http://fdigallo.online.fr/cours/UML_GL_CM_MERISE.pdf
* 25 KUTUMBAKANA
Philémon, METHODOLOGIE D'ANALYSE INFORMATIQUE II (M.A.I, II), Cours
dispensé en G3 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2014-2015,
(Inédit),p.14
* 26Idem, p.15
* 27 KUTUMBAKANA, P.,
METHODOLOGIE D'ANALYSE INFORMATIQUE II (M.A.I, II), Cours dispenséen G3
Informatique de Gestion, ISC-KIS 2014-2015(Inédit),p.14
* 28 Idem
* 29 KUTUMBAKANA, P., Cours
déjà cité, p.36
* 30KUTUMBAKANA, P., Cours
déjà cité, p.46
* 31 http://www. Comment
ça marche.net
* 32 Idem
* 33KAKULE MILANDO E., Cours
déjà cité, p.51
* 34 KUTUMBAKANA, P., Cours
déjà cité, p.67
* 35 KUTUMBAKANA, P., Cours
déjà cité, p.69
* 36 KUTUMBAKANA, P., Cours
déjà cité, p.20
* 37KIKUNI, BUNGULU, J.,
TECHNIQUES DES BANQUES DES DONNES, Cours dispensé en G3 Informatique de
Gestion, ISC-KIS, 2014-2015,(Inédit), p.15
* 38 KAKULE MILANDO, E., Cours
déjà cité, p.25
* 39KAKULE MILANDO E., Cours
d'analyse Informatique II, déjà cité p.56
* 40 Idem
* 41 KUTUMBAKANA, P., MAI II,
Cours déjà cité, p.96
|