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Automatisation de gestion de transport fluvial dans une institution publique cas de commissariat fluvial et lacustre de kisangani

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par Magloire PALUKU
Institut supérieur de commerce de Kisangani - Graduat en Informatique de gestion 2014
  

Disponible en mode multipage

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EPIGRAPHE

« La supériorité de l'architecte le plus maladroit sur l'abeille la plus experte réside en ceci que l'architecte porte d'abord la maison dans sa tête. »

Par Karl Max

DEDICACE

A nos très chers parents KATEMBO KISEKUSEKU Dieudonné et KAHINDO LUHAVO Georgette et à notre oncle KAKULE KASAMBI Prospèrepour les sacrifices consentis.

A nos frères et soeurs, cousins et cousines, neveux et nièces et à toute la famille KISEKUSEKU, KASAMBI et LUHAVO pour leurs soutient tant moral que financier.

Je dédie ce travail.

Magloire PALUKU KISEKUSEKU

REMECIEMENTS

Nous rendons grâce à DIEU, le Maître de notre existence et notre tendre Père, qui, par sa grâce nous a donné gratuitement son souffle et sa force vivante durant le temps passé au banc de l'Université.

Qu'il nous soit permis d'adresser nos sincères remerciements au Professeur UKUMU KHOTLEY UJOCK Boniface et à l'assistant KUTUMBAKANAPhilémon qui ont accepté respectivement de diriger et encadrer tout au long de nos recherches en vue de la formulation de la présente oeuvre scientifique.

Nous remercions tous les agents de Commissariat Fluvial et Lacustre de Kisangani, de nous avoir encadrés durant notre période de collecte des données.

Nos sentiments de gratitude s'adressent plus particulièrement à tous les membres ou personnel académique et administratif et les Enseignants de l'Institut Supérieur de Commerce de Kisangani ISC-KIS en sigle pour leur encadrement scientifique.

Nous tenons à remercient plus particulièrement nos oncles et nos tantes : KAMBALE Thadey, Trésor PALUKU LUHAVO, KAHINDO LUHAVO Claudine et nos grands-parents Modeste KAMBALE LUHAVO et Marie KAVIRA MBALUKANI ainsi que à nos frères et soeurs,cousins et cousine, neveux et nièces KAMBALE KISEKUSEKU Patrick, KASEREKA KISEKUSEKU Elie, KAHINDO KISEKUSEKU Dorcas et SOKI LUHAVODorcas de nous voir soutenu Moralement, Matériellement, Spirituellement que Financièrement durant notre parcours académique.

Il serait ingrat de notre part d'oublier nos compagnons de lutte, les camarades étudiants MBOLITINI MISIONI, IFANGA LOTILOSO, NKANGA MPUTELA, LOLA ESONGA, SABITI NGWE, Julie KIBANGE ainsi que toute la famille de G3 Informatique de Gestion de ISC-KIS tous nos sincères sentiments de gratitude.

En fin, nos sincères remerciements s'adressent à tous ceux qui nous ont apparentés de près ou de loin, qu'ils trouvent ici l'expression de notre gratitude.

Magloire PALUKU KISEKUSEKU

Abréviations, sigles et acronymes

Ø A  : Alphabétique

Ø AB  : Automatisé Batch

Ø AC  :Automatisé Conventionnel

Ø AN  : Alphanumérique

Ø B.D  : Base de Données

Ø B/P.EM : Baleinière ou Petite Embarcation

Ø C  : Calculer

Ø DEPF :Diagramme d'Enchainement des Procédures Fonctionnelles

Ø DGDA   :Direction Général des Douanes et Accise

Ø E  : Elémentaire

Ø GCI  :Le Graphe de Circulation des Informations

Ø GDF  : Graphe de Dépendance Fonctionnel

Ø GTF  :Gestion de Transport Fluvial

Ø M  : Manuel

Ø MCC  :Modèle Conceptuel de Communication

Ø MCD  : Modèle Conceptuel de Donnée

Ø MCT  :Modèle Conceptuel de Traitement

Ø MERISE:Méthode d'Etude et de Réalisation d'Information pour le Système d'Entreprise

Ø MLDR :Modèle Logique de Données Relationnelles

Ø MLT  :Modèle Logique de Traitement

Ø MPD  :Modèle Physique de Données

Ø N  : Numérique

Ø R.F.V.N.M  : Régie Fluvial, Voies Navigable et de Marine

Ø SGBD  : Système de Gestion de Base de données

Ø SI : Système d'Information

Ø SIA  :Système d'Information Automatisé

Ø SII : Système d'Information Informatisé

Ø T.P.F  : Tableau des Procédures Fonctionnelles

Ø UF  : Unité Flottante

Ø ULT : Unité Logique de Traitements

Ø VBA :Visual Basic Application

INTRODUCTION

Selon Wikipédia : « La technologie de l'information et de la communication est l'ensemble des technologies issues de la convergence de l'informatique et des techniques évoluées du multimédia et des télécommunications, qui ont permis l'émergence de moyens de communication plus efficaces, en améliorant le traitement, la mise en mémoire, la diffusion et l'échange des informations. Elle est aussi l'ensemble des ressources techniques nécessaires à la mise en oeuvre des services de l'information et de la communication pour produire, manipuler, convertir, stocker, gérer, transmettre et retrouver l'information et pour communiquer.1(*) »

Pour Wikipédia : « La nouvelle technologie de l'information et de la communication regroupent les techniques principalement de l' informatique, et de la télécommunication qui permettent aux utilisateurs de se communiquer, d'accéder aux sources d'information, de stocker, de manipuler, de produire et de transmettre les informations sous toutes les formes.2(*) »

En tenant compte de l'évolution de la technologie de l'information et de la communication dans ce siècle présent, l'informatique reste l'outil indispensable pour pallier à d'énormes difficultés surgissant dans le secteur socio-économique causés par l'utilisation des systèmes des gestions manuelle, devenus archaïque et qui nécessitent d'être révisé ou soit réaménager en vis de les adapter aux nouvelles technologies de l'information et de la communication.3(*)

C'est ainsi que dans toute organisation, le besoin de recourir à l'outil informatique se fait sentir de plus en plus. Alors nous voulons faire appel à un système automatisé pour la gestion de transport fluvial.

0.1. PROBLEMATIQUE

D'après KIKUNI BUNGULU : «  l'informatique est une science du traitement rationnel, notamment par machines automatiques, de l'information considérée comme le support des connaissances humaines et des communications dans les domaines techniques économiques et sociaux4(*) ». Et l'évolution croissante des nouvelles technologies de l'information et de la communication a donné de nos jours, à toute organisation, la clé de son propre développement en mettant à sa disposition une infinité d'outils tant logiciel que matériel.5(*)

Pour Wikipédia : « Le monde actuel est entré dans le temps de traitement rapide et en grande quantité des informations avec le système d'automatisation de la gestion à travers une base des données, et c'est le système qui fait d'actualité dans la gestion responsable. L'outil informatique est devenu actuellement un véritable fait de société, par ses multiples applications et sa diversité de domaine à couvrir. L'informatique transforme rapidement et profondément la société en mettant à notre disposition des instruments puissants et permet de mieux satisfaire les besoins des utilisateurs. Elle ne remplace pas l'homme, mais le délivre des tâches plus complexes pour lui donner le temps de s'épanouir et de s'occuper des tâches nobles ainsi que de limiter les risques d'erreurs.6(*) »

La découverte de l'informatique et son évolution ont fait à ce qu'on parle du développement scientifique, ou de l'évolution des autres sciences. C'est pour cela que dans beaucoup des domaines, l'informatique n'intervient que pour donner la solution à une quelconque difficulté ou à un problème qui existait afin de donner une bonne marche pour le traitement de l'information.

Selon LOKANGA OTIKEKE Frédéric « La problématique est définit comme un écart constaté entre une situation de départ insatisfaisante et une situation d'arrivée désirable. Dont un processus de recherche est entrepris afin de combler cet écart.7(*) »

En effet, nous avons constaté que la gestion de transport fluvial est comblée des multiples problèmes par rapport à leur système existant qui est manuel,dont l'enregistrement des unités flottantes qui parcourent dans le fleuve Congo se fait avec beaucoup de lenteur, la difficulté de retrouver l'identité d'une unité flottante en cas d'un problème, la difficulté de contrôler le trafic des unités flottante.

C'est de ces problèmes constatés que, nous avons ressorti la grande problématique en nous posant ces questions lesquelles constitueront l'objet de cette étude :

§ Quel mécanisme permet-il au commissariat fluvial et lacustre d'éviter la lenteur dans l'enregistrement des unités flottantes ?

§ Pour obtenir rapidement l'effectif total de la liste complète des unités flottantes enregistrées au cours d'une année à une autre comment le commissariat fluvial et lacustre s'y prend-t-il ?

§ Comment le commissariat fluvial et lacustre contrôle-t-il les trafics des différentes unités flottantes sur le fleuve Congo ?

Tout au long de notre analyse, nous tenterons de répondre à ces interrogations.

0.2. HYPOTHESES

Quant à la Dictionnaire français Larousse « Une hypothèse est une proposition ou une explication que l'on se contente d'énoncer sans prendre position sur son caractère véridique, c'est-à-dire sans l'affirmer ou la nier. Il s'agit donc d'une simple supposition, appartenant au domaine du possible ou du probable. Une hypothèse destinée à être travaillée ou vérifiée au contraire, une hypothèse utilisée sans intention de la vérifier constitue un postulat.8(*) »

Nous avons émis les hypothèses selon lesquelles :

§ Une mise en place d'un système automatisé conviendrait mieux pour assurer la rapidité dans l'enregistrement des unités flottantes.

§ Le commissariat fluvial et lacustre appliquerait la Nouvelle Technologie de l'Information et de la Communication pour obtenir l'effectif total de la liste complète des unités flottantes enregistrées au cours d'une année.

§ L'automatisation de système d'information permettraitd'assurerun contrôle efficace des trafics des différentes unités flottantes sur le fleuve Congo.

0.3. OBJECTIFS

§ Mettre en place un système d'information automatisé qui favorisera un enregistrement rapide des unités flottantes.

§ Concevoir une application de la nouvelle technologie de l'information et de la communication pour la gestion de transport fluvial.

§ Automatiser le système d'information pour assurer le contrôle efficace et aisé des trafics des unités flottantes.

0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET

0.4.1. Choix du sujet

En choisissant ce sujet, nous avons voulu apporter notre modeste contribution quant à la gestion de transport fluvial en rendant facile l'exécution des tâches quotidiennes qui se déroulent de façon manuelle au commissariat fluvial de Kisangani ; ce qui permettra un gain de temps et d'énergie par l'utilisation d'une base des données.

0.4.2. Intérêt du sujet

Sur le plan scientifique, « Le résultat de ce travail fera l'objet d'une documentation de référence pour les futurs chercheurs qui s'orienteront dans le secteur de la gestion de transport fluvial. »

Sur le plan pratique, « Ce travail offre aux gestionnaires de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani un outil de travail qui devrait leur servir de guide dans la gestion automatisée de l'enregistrement des Unités Flottantes et le contrôle des trafics de ces différents unités flottantes ainsi que dans la résolution des problèmes liés dans la gestion de transport fluvial. »

0.5. METHODES ET TECHNIQUES

0.5.1. Méthodes

Selon PINTO Robert et Madeleine GRAWITZ la méthode est définie comme étant « un ensemble organisé des procédés mis en oeuvre afin d'atteindre l'objectif qu'on s'est assigné dans une recherche9(*). »

a. Méthode Historique

Pour les auteurs susmentionnés Cette méthode est basée sur la notion « de rapport entre un fait et son histoire ou son passé ainsi que la perspective de l'étude de ce fait étudié pour reconstituer le passé lointain ou récent10(*). »

Cette méthode nousa permis de se référé au passé du système de gestion de transport fluvial pour éclairer les décisions à prendre dans la perspective d'une gestion moderne de transport fluvial.

b. Méthode analytique

Elle consiste à décomposer les éléments d'un système afin de les définir et d'en dégager les spécificités ou à expliquer un phénomène en mettant en évidence les relations de cause à effet11(*).

c. Méthode MERISE

Pour KUTUMBAKA Philémon « c'est une Méthode de la conception et de développement de système d'information d'entreprise12(*). »

En ce qui concerne notre travail, nous a permis d'analyser le système d'information existant et de concevoir un système d'information futur.

0.5.2 Techniques

Selon PINTO Robert et Madeleine GRAWITZ « la technique est un moyen mis en pratique dans le but d'atteindre un objectif, mais elle se situe au niveau des opérations limitées liées à des éléments pratiques adaptées à un but défini13(*). »

Dans le cadre de notre travail, nous avons utilisé deux techniques suivantes :

a) La technique documentation :nous a permis de consulter les documents trouvés à travers les différentes bibliothèques de la ville et particulièrement dans les archives de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani pour y puiser toutes les informations relatives à notre recherche.

b) La technique d'interview libre: nous a permis d'entrer en contact avec les différents responsable de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani pour récolter le complément d'informations liée à nos investigation

0.6. Délimitation du sujet

Tant que tout travail scientifique se limite sur un temps et dans un espace donné, le nôtre se restreint au commissariat fluvial et lacustre de Kisangani, plus particulièrement dans la gestion de transport fluvial. Il s'étant sur la période de deux ans partant de notre formation académique en informatique de gestion, soit de 2013 à 2015.

0.7. Subdivision du travail

Mise à part la présente introduction et la conclusion générale, notre travail comporte quatre chapitres à savoir :

- Le premier chapitre présente notre milieu d'étude qui est le commissariat fluvial de Kisangani et définisse quelques concepts clés liée à notre sujet d'étude.

- Le deuxième chapitre s'articule sur l'analyse du système d'information existant au sein de commissariat fluvial.

Le troisième chapitre concerne la conception du systeme d'information futur.

Le quatrième chapitre est axé sur l'implementation du systeme automatisé et l'application informatique en Ms Access.

0.8. Difficultés Rencontrées

Commetouttravailscientifique est toujours bité par des difficultés et incertitudes pour récolter les données possibles et nécessaires pour enrichir le travail.

En effet, nous nous sommes bités aux difficultés suivantes :

- Manque des données nécessaires qu'on avait besoin au service concerné pour enrichir notre travail;

- La perte des données qu'on avait besoin mais le service en question n'était pas en mesure de fournir ces données ;

- La lenteur dans la recherche des informations demandées.

Chapitre Première. CONSIDERATIONS THEORIQUES

Dans ce chapitre nous définissons quelques concepts clés utilisés dans notre sujet d'étude et présentons notre milieu d'études comme suit : situation géographique, un aperçu historique et la subdivision administrative.

I.1. DEFINITION DES CONCEPTS

v Automatisation : C'est l'exécution et contrôle de tâches techniques par des machines sans qu'il y ait d'intervention humaine. (Encyclopédie Encarta 2009.)

v Gestion : Action d'administrer, d'assurer la rentabilité d'une entreprise. Action de gérer les affaires d'un autre, et par extension ses propres affaires et « gérer » est défini comme : Administrer les intérêts, les affaires d'un autre14(*).

v Transport fluvial : C'est le moyen de déplacement des marchandises ou des personnes par des embarcations flottantes.

v Unité flottante : C'est le matériel qui se maintient à la surface d'eau.

v Armateur : c'est le propriétaire d'une unité flottante.

v Institution :Une institution est un ensemble des formes ou structures sociales, telles qu'elles sont établies par la loi ou la coutume, et celles qui relèvent du droit public.

v Publique : C'est ce qui concerne le peuple pris dans son ensemble, qui appartient à la collectivité sociale, politique et en émane ; qui appartient à l'Etat ou à une personne administrative. Relatif aux collectivités sociales juridiquement définies, et à l'Etat. C'est tout ce qui concerne la fonction plus ou moins officielle qu'on remplit dans la société.

I.2. PRESENTATION DE COMMISSARIAT FLUVIAL ET LACUSTRE

I.2.1. Aperçu historique

L'ancêtre de la régie de voies fluviales fut l'administration de la marine et de voies navigables. Elle a été créée en 1886 et relevait de l'autorité du département des Travaux Publics.

En juin 1900, elle devint service de travaux publics du gouvernement général.

En 1926, le service du voies navigable devient le service de l'ingénieur en chef de travaux publics avec siège à BOMA jusqu'en 1929.

En 1933, il redevient le service des travaux publics du gouvernement général avec siège cette fois-ci à KINSHASA alors Léopoldville.

Lors de l'accession de notre pays à la souveraineté internationale deux services distincts furent créée.

1. Le service de la marine de l'inspection à la navigation sous la tutelle du département des Transports et communication.

2. Le service des voies navigables dépendant du département de travaux publics.

Les deux services précités furent refusionné le 01decembre 1967 pour donner naissance au service de la marine et des voies navigables sous la seule autorité du département des transports et communications.

Avant l'événement de la 2ème République, le service de la marine et des voies navigables connus des jours difficiles pour l'accomplissement de sa tâche. Il y a eu d'abord les événements intérieur qu'a connu le pays, en suite la lenteur administrative. La voie nationale était exposée aux risques de fermeture et l'économie des pays était ipso facto menacée également.

Lors de l'événement de la 2ème république, le président fondateur du M.P.R, président de la république, le citoyen MOBUTU SESE SEKO, décida l'assainissement de la situation.

Dès lors, une grande importante étude menée par les expert du programme des nations unis pour le développement (PNUD) en 1970, et aboutit à la signature des accords de crédit avec la BANQUE MONDIALE et L'USAID. Suite à cette étude et à ces accords de crédit, le service de la marine et des voies navigables fut démembré en trois parties d'où la naissance de :

v La direction de la marine et des voies hydraulique devenus actuellement la direction de transport fluvial, lacustre et maritimes ;

v La régie de voies maritimes avec le siège à Boma ;

v La régie de voies fluviales avec siège à Kinshasa.

I.2.2. Création et Evolution de Commissariat Fluvial et Lacustre

Le commissariat Fluvial et lacustre de Kisangani fut créer par l'arrêté provincial N° 61/41/du 13/03/1951, qui est chapeauté par un commissaire fluvial fonctionnaire de l'Etat nommé par l'inspecteur de la navigation et lacustre ou par le gouverneur de province sur proposition du Ministre de transport et voies de communication.

I.2.3. Situation géographique

Le commissariat fluvial et lacustre de Kisangani est situé au building de l'ONATRA précisément à :

v L'est de la Banque central du Congo

v L'ouest de Bego-Congo

v Nord de l'avenue MONIORORO

v Sud du Fleuve Congo

I.2.4. Subdivision administrative

Le cadre organique prévoit 10 personnels au commissariat fluvial et lacustre dont :

Ø Le commissaire fluvial

Cette poste coordonne tous les activités qui déroule au sein de commissariat fluvial, il est censé d'exécuté les formalités et obligation découlant du code de la navigation fluvial et lacustre.

Ø Le secrétaire

Cette poste est en contact avec les exploitations fluvial et lacustre des ports en vue de faciliter la rotation des bateaux et embarcations aux mouillages et accostage. Il coordonne aussi les travails administratifs.

Ø Le service de statistique

Cette service fait la statistique de la navigation interne, il exploite les documents de bord d'un bateau et fait le rapport mensuels et annuel de mouvements flottante.

Ø Poste des contrôleurs fluviaux

Cette poste est chargé de déployé le reste des personnels prévue par le cadre organique sur terrain pour contrôlé le chargement et déchargement des baleinière et petites embarcations en vue d'élaboré un rapport journalier sur tous les unités flottante qui se accosté aux ports de Kisangani.

I.2.5. Organigramme

I.2.6. Fonction et Attribution de Commissariat Fluvial et Lacustre

Le commissariat fluvial et lacustre s'occupe de la règlementation de la navigation aux unités flottante c'est-à-dire, il est censé de contrôlés :

Ø Les unités flottante (Bateaux, Baleinières, les petites embarcations) ;

Ø Les titres de sécurité (Documents de bord d'un bateau) ;

Ø Les navigations internes ;

Ø Le titre de capacité des personnels navigant ;

Ø L'état d'étanchéité de bâtiment et de salle de machine.

Chapitre Deuxième : ANALYSE DE SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT

Dans ce chapitre nous définissons les concepts liées au système d'information et nous analysons le système existant en utilisant le Modèle Conceptuel de Communication, le Modèle Conceptuel de Traitement, le Modèle Conceptuel de Données et le Modèle Organisationnel de Traitement à la fin nous avons fait le diagnostic de système existant.

II.1. Définition des Concepts

a. Système15(*)

Un système est un ensemble d'éléments matériels (hommes, machines et procédures) en interaction, transformant par un processus, des éléments en entrées pour avoir d'autres en sorties. Les trois éléments recensés à savoir : les entrées, les sorties et les traitements forment les trois composantes interactives du système qui se résume schématiquement comme suit :

Source : Cours MAI

Figure 1: Schéma Composants interactives d'un système

Le système d'une organisation peut se décomposer en trois sous-Systèmes à savoir : Sous-Système de pilotage, Sous-Système opérant etSous-Système d'information.

b. Sous-Système de pilotage

Système de pilotage est appelé aussi système de décision coordonne l'ensemble de l'activité en fonction des objectifs16(*).

c. Sous-Système opérant

Système opérantou technologie active les processus métier de l'entreprise pour créer la valeur ajoutée17(*).

d. Sous-Système d'information18(*)

Système d'information  est composé d'éléments divers (employés, ordinateurs, règles et méthodes, etc.) chargés de stocker et de traité les informations relatives au Système Opérant afin de les mettre à la disposition du Système de Pilotage. Il peut en outre recevoir de celui-ci des décisions destinées à son propre pilotage.

19(*)Schématiquement la structure d'un système se présente comme suit :

Figure 2: La structure d'un système.

Source : Cours MAI I

e. Système d'information automatisable20(*)

On peut se poser la question de savoir à quelles conditions un SI est automatisable (informatisable), autrement dit à quelle condition un SI peut être pris en charge par des ordinateurs.

Pour qu'un SI soit automatisable, il doit être formalisable. La connaissance des entrées doit permettre de déterminer les sorties par des règles de transformation explicitables. Seules seront automatisables les parties du SI qui ne contienne que des actions programmées(les sous-systèmes formalisables)

Les choix ne sont pas formalisables et donc ils sont non automatisables. Les choix appartiennent à l'homme. Il est toutefois possible de transformer les choix en actions programmées en ayant recours à un modèle.

II.2. MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION (M.C.C)

Autrement appelé le modèle conceptuel de flux ou diagramme de flux est le résultat de l'expression des besoins des utilisateurs. Son but est de représenter le flux d'informations qu'échange le système avec ses partenaires et le flux d'informations qu'échangent les acteurs internes entre eux21(*).

II.2.1 Définition des concepts

1. Acteur 

Un acteur est une personne ou un groupe de personnes qui s'échangent des informations (documents et messages) et qui accomplissent des actions sur ces informations22(*).

2. Acteurs internes23(*) 

Les acteurs internes font partie du sous ensemble de l'organisation étudiée appartiennent au domaine d'activité considéré.

3. Acteurs externes

Les acteurs externes échangent des informations avec les acteurs internes du domaine étudié mais n'en font pas partie24(*).

4. Flux

Le flux symbolise un échange entre deux acteurs du système d'information étudié. Il est représenté par une flèche, porte un nom et peut, pour soucis de lisibilité chronologique, être numéroté25(*).

5. Diagrammes des flux 

Ce diagramme donne une vue d'ensemble (ou cartographie) de la circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes qui participent à un domaine d'étude.

6. Domaine d'étude26(*)

Un domaine d'étude délimite le périmètre précis d'une ou de plusieurs activités au sein d'une organisation spécifique.

Un Domaine est un système ou sous système qui a une mémoire et un SI. Un domaine est fonctionnel, il joue un rôle. Un domaine peut se décomposer en sous domaines.

7. Matrice de Flux

Est une représentation matricielle des acteurs et de flux des échangés. Elle permet au concepteur de recensé d'une manière systématique les flux. Elle souvent représentée par un diagramme de circulation de l'information traduisant les flux physique et informationnels et /ou par un tableau de flux.

II.2.2. Description Textuelle

La gestion de transport fluvial se fait en contrôlant les unités flottantes qui naviguent dans le fleuve Congo, ce le commissariat fluvial et lacustre de Kisangani qui est chargé d'inspecter les unités flottantes qui viennent s'accoster aux ports de Kisangani et ceux qui quittent de Kisangani à un autre endroit.

Lorsqu'un bateau arrive au port de Kisangani, le capitaine de ce bateau doit se présenter au commissariat fluvial et lacustre avec les titres de sécurité ou les documents de bord du bateau, ces titres de sécurité sont : la lettre de chargement, le certificat de jaugeage, l'état des inscriptions hypothécaire, le journal de bord, la liste des passagers, la liste d'équipages, le manifeste ou le bordereau de douane, les textes de disposition légale et règlementaire régissant la navigation fluvial, le carte des régions que le bâtiment fréquente.

Quand le capitaine du bateau amène ces documents, il les présente au secrétaire pour les faire passer chez le commissaire, ce dernier va les contrôler et les valider si ces sont de vrais documents. Le commissaire gardera d'autres documents dans son bureau jusqu'à leur départ et d'autres documents comme la liste des passagers, la liste d'équipages et le bordereau de douane seront passés au service de statistique, pour l'exploitation de bordereau de douane en calculant les tonnages de marchandises que le bateau a transporté et enregistré le bateau avec tout détail dans le registre de mouvement des ports, ce dernier donnera les données exploité et les deux listes au secrétaire pour l'enregistrement au registre de mouvement flottant. Après l'exploitation et l'enregistrement de ces documents, le bordereau de douane sera retourné chez le commissaire pour la signature de validation.

Au départ du bateau, le capitaine du bateau amènera le bordereau de douane retiré à la DGDA/Kisangani, la liste des passagers et la liste d'équipages du bateau au commissariat fluvial et lacustre afin que ce dernier l'exploite et l'enregistre à la même procédure d'arrivée et enfin le commissaire signera leur départ en leur donnant le permis de sortie et les documents qu'il avait gardé.

Les Baleinières et les petites embarcations sont enregistrées différemment avec les bateaux, pour elle, à leur arrivé le responsable ou le gérant va se présenter au commissariat fluvial avec un document appelé autorisation de déplacement délivré par le commissariat fluvial de son provenance pour qu'on l'enregistre, de son départ il doit obtenir ce document au commissariat fluvial de Kisangani. Le commissariat fluvial a mis en place les contrôleurs de ports pour contrôler les chargements et déchargements des marchandises de tous les baleiniers et des petites embarcations. A chaque fin de la journée, le chef de contrôleur doit déposer un rapport journalier par rapport à tout ce qui s'est passé aux ports au secrétaire, celle-ci examinera le rapport avant de le faire passer chez le commissaire.

L'enregistrement que le service de statistique fait, c'est pour faire les rapports des tonnages que les bateaux transportent de leur arrivée et de leur départ, ce rapport se fait chaque mois aux régies fluviales, voies navigables et de marine (Ministre Provincial de transport et voies de communication, au Chef de Division Provincial de Transport et Voies de Communication et au Directeur de la marine et de Voies Navigables). Le secrétaire à son tour fait l'enregistrement pour connaitre les mouvements de toutes les unités flottantes qui viennent se poster aux ports de Kisangani.

Tableau N°1

II.2.3. Recensement des Acteurs

Recensement des acteurs d'écrit les acteurs de l'organisation qui intervient dans le domaine d'étude. Nous précisons les acteurs internes et externes.

ACTEURS

TYPES

INTERPRETATION

1

Commissaire

Interne

La personne qui valide les documents et donne des ordres d'enregistrements.

2

Secrétariat

Interne

Le service qui qui réceptionne les documents et enregistre les bateaux.

3

Service Statistique

Interne

Le service qui exploite le bordereau de douane et établi le rapport de tonnage.

4

Poste Contrôleurs

Interne

Le service qui fait le rapport journalier du terrain.

5

Capitaine

(Bateau)

Externe

Toutes personnes qui conduisent le bateau et amène les documents de ce bateau au commissariat fluvial.

6

Responsables (B/P.EM)

Externe

Toutes personnes qui sont en tête d'une baleinière ou d'une petite embarcation.

7

Régies Fluvial, Voies Navigable et de Marine

Externe

C'est sont des services fluvial et de marine qui reçoit le rapport de tonnage des bateaux chaque fin du mois établie au serv.statistique.

II.2.4. Graphe de Flux et Légende

Ce graphe donne une vue d'ensemble (ou cartographie) de la circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes qui participent à un domaine d'étude.

a. Processus d'enregistrements des unités flottantes

Figure 3: Processus N°1 MCC

Légende

(1) Présentation des documents

(2) Envoi des documents

(3) Transmission de certains documents

(4) Transmission de données exploitées

(5) Accusée de réception

(6) Retour de documents transmis

(7) Validation des documents et remise de permis de sortie

(8) Remise de l'autorisation de déplacement

(9) Accusée de réception

(10) Transmission de l'autorisation de déplacement

(11) Ordre d'enregistrement

b. Processus de rapport journalier

Figure 4: Processus N°2 MCC

Légende

(1) Remise de rapport

(2) Accusée de réception

(3) Transmission de rapport

(4) Retour de rapport et ordre donné

c. Processus de rapport des tonnages

Figure 5: Processus N° 3 MCC

Légende

(1) Présentation de rapport au commissaire

(2) Commissaire retourne le rapport

(3) Dépôt de rapport

(4) Accusés de réception

II.3. LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)

Le Modèle Conceptuel des Données a pour but de d'écrire de façon formelle les données utilisées par le système d'information. Il s'agit donc d'une représentation des données, facilement compréhensible, permettantde décrire le système d'information à l'aide d'entités. La représentation graphique, simple et accessible, permet à un non informaticien de participer à son élaboration27(*).

II.3.1. Définition des concepts28(*)

d. Les entités

Une Entité est la représentation d'un élémentmatériel ou immatériel ayant un rôle dans le système que l'on désire décrire. Une entité est une population d'individus homogènes.Chaque entité représente un individu-type auquel correspondent une ou plusieurs occurrences dans le domaine.

e. Les relations

Une relation (appelée aussi parfois association) représente les liens sémantiques qui peuvent exister entre plusieurs entités. Une associationest une liaison qui a une signification précise entre plusieurs entités.

f. Les attributs

Un attribut est une propriété d'une entité ou d'une association. Les propriétés sont les informations de base du système d'information.

g. L'Identifiant.

Permet de connaître de façon sûre et unique l'ensemble des propriétés qui participent à l'entité.

h. Les cardinalités

Modélisation des participations minimales et maximales d'une entité à une relation ; c'est le nombre de fois qu'une entité participe à une relation. La cardinalité d'un lien entre une entité et une association précise le minimum et le maximum de fois qu'un individu de l'entité peut être concerné par l'association.

i. Les occurrences : Sont les valeurs prises par les propriétés pour spécifier un élément de la classe.

II.3.2. Dictionnaire des Données

29(*)Le dictionnaire des données est un document qui permet de recenser, de classer et de trier toutes les informations (les données) collectées lors des entretiens ou de l'étude des documents. Le dictionnaire peut être plus ou moins élaboré selon le niveau de granularité souhaité.

Tableau N°2

Nom de la

Donnée

Format

Longueur

Type

Règle de

calcul

Règle de

Gestion

Document

E

C

*Code Passager

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche de passagers

Nom Passager

A

20

×

 

-

-

//

Post nom Passager

A

20

×

 

-

-

//

Nationalité Passager

A

25

×

 

-

-

//

Genre Passager

A

10

×

 

-

-

//

Age Passager

N

5

×

 

-

-

//

Adresse habituelle

AN

50

×

 

-

-

//

Destination Passager

A

20

×

 

-

-

//

Observation

A

50

×

 

-

-

//

*Nom Bateau

A

25

×

 

-

A

Créer

Registre de mouvement flottant

Nombre de barge

N

5

×

 

-

-

//

Provenance

A

20

×

 

-

-

//

Date d'arrivé

AN

20

×

 

-

-

//

Tonnage déchargé

N

10

×

 

-

-

//

Date de départ

AN

20

×

 
 
 

//

Tonnage chargé

N

10

×

 

-

-

//

Destination

A

25

×

 

-

-

//

Nature produit

A

30

×

 

-

-

//

*Intitulé du document

A

20

×

 

-

A

Créer

//

Date de livraison

AN

20

×

 

-

-

//

Date expiration

AN

20

×

 

-

-

//

Observation

A

50

×

 

-

-

//

*Numéro matricule Equipage

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche d'équipage

Nom

A

20

×

 

-

-

//

Post nom

A

20

×

 

-

-

//

Fonction

A

20

×

 

-

-

//

Date engagement

AN

20

×

 

-

-

//

Durée d'engagement

AN

5

×

 

-

-

//

Genre

A

10

×

 

-

-

//

Age

N

5

×

 

-

-

//

Observation

A

50

×

 

-

-

//

*Numéro Matricule Statistique

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche de personnel

Nom

A

20

×

 

-

-

//

Post nom

A

20

×

 

-

-

//

Genre

A

10

×

 

-

-

//

* Numéro Matricule secrétaire

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche de personnel

Nom

A

20

×

 

-

-

//

Post nom

A

20

×

 

-

-

//

Genre

A

10

×

 

-

-

//

*Num Identification B/P.EM

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche de personnel

Type et marque

A

30

×

 

-

-

//

état technique

A

10

×

 

-

-

//

Numéro matricule

AN

15

×

 

-

-

//

Observation

A

50

×

 

-

-

//

*Nom Armateur

A

20

×

 

-

A

Créer

Fiche de manifeste

Post nom

A

20

×

 

-

-

//

Adresse

AN

50

×

 

-

-

//

Téléphone

N

10

×

 

-

-

//

Nationalité

A

30

×

 

-

-

//

Genre

A

10

×

 

-

-

//

Age

N

5

×

 

-

-

//

Légende

Ø E  : Elémentaire

Ø C : Calculer

II.3.3. Graphe de Dépendance Fonctionnel

30(*)Le rôle de l'établissement des dépendances fonctionnelles est de nous aider à comprendre les liens existants entre chaque donnée. Cette démarche de recherche des dépendances fonctionnelles est la pierre angulaire de toute l'analyse des données. En effet, cette activité étant la première dans l'élaboration de l'analyse, si elle est négligée c'est tout l'ensemble qui en subira les conséquences.

Figure 6: Schéma de GDF

II.3.4. Règle de Gestion

Les règles de gestion du MCD précisent les contraintes qui doivent être respectées par le modèle.

R.G.1 : Dans un bateau on peut ou ne pas embarqué les passagers, ou il les embarque plusieurs ; Un passager est embarqué dans un et un seul bateau

R.G.2 : Dans un bateau il est engagé un ou plusieurs équipages ; un équipage est engagé pour un et un seul bateau.

R.G.3 : Un bateau doit posséder un ou plusieurs documents ; un document est posséder par un et un seul Bateau.

R.G.4 : Un secrétaire enregistre un ou plusieurs bateaux ; un bateau est enregistré par un et un seul secrétaire.

R.G.5 : Un bateau appartient à un et un seul Armateur ; un armateur doit avoir un ou plusieurs Bateau ou B/P.EM.

R.G.6 : Un agent de la statistique peut exploiter un ou plusieurs documents ; un document est exploité par un et un seul agent de la statistique.

II.2.5. Construction du MCD

Figure 7: Schéma de MCD

II.4. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT31(*) (M.C.T)

Le MCT permet de traiter la dynamique du système d'information c'est-à-dire les opérations qui sont réalisées en fonction d'événements.

Ce modèle permet également de représenter de façon schématique l'activité d'un système d'information sans faire référence à des choix organisationnels ou des moyens. Il exprime ce qu'il faut faire, mais ne vous indique qui doit le faire, ni quand, ni où il faut le faire.

Source: UML_GL_CM_MERISE.pdf

Figure 8: formalisme utilisé de MCT

II.4.1. Définition des Concepts32(*)

q Une opération c'est l'ensemble des activités que le domaine peut effectuer lors de la survenance d'un événement externe à partir des informations fournies par cet événement ou celles déjà connues (mémoire du système).

q Evénement : Circonstance portée à la connaissance du système et à laquelle celui-ci doit réagir, c'est-à-dire flux ou fait contribuant à déclencher une opération ou résultant d'une opération externe (provenant de l'extérieur), interne (généré par le système pour poursuivre son activité), résultat (généré par le système et émis vers l'extérieur).

q Synchronisation : Ensemble de conditions sur les événements contributifs déterminant la situation de déclenchement de l'opération.

q Règle d'émission : Condition pour laquelle des événements résultants seront produits par l'opération.

q Un processus : C'est l'ensemble des opérations qui concourent à la réalisation d'un même but.

a. Processus d'enregistrements des unités flottantes

Figure 9: MCT Processus A

Figure 10: MCT Processus A Suite

b. Processus de rapport journalier du terrain

Figure 11 : MCT Processus B

c. Processus de rapport de tonnage

Figure 12 : MCT Processus C

II.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT)

33(*)L'étape organisationnelle consiste à la représentation de données du point de vue traitement manuel ou automatique. Elle consiste à répondre à la question Quand ? Qui ? Et Où ? Le traitement se passe ou s'effectue.

Elle a pour but de décrire le fonctionnement du système d'information défini au niveau conceptuel ; elle permet de définir la répartition d'exécution des traitements décrits dans les opérations de gestion en tenant compte de l'organisation.

Le MOT modélise les activités du domaine, compte tenu de l'organisation et des ressources (qui, où, quand, comment). Ainsi, chaque activité (nommée tâche ou phase) est homogène en terme de finalité, degré d'informatisation, poste, instant de réalisation, ressources. Cette exigence conduit naturellement à la décomposition de l'opération (conceptuelle) en de nombreuses tâches (organisationnelles). Il y a, de fait, corrélation entre le changement de niveau (du conceptuel à l'organisationnel) et l'accroissement du degré de détail.

Le MOT décrit ce que font les gens du métier (leurs tâches ou phases) dont certaines sont informatisées. Il ne décrit pas comment marche l'application (partie informatisée) qui sert les tâches.

II.5.1. Définition des concepts34(*)

1. Procédure Fonctionnelle (PF)

D'une manière générale, une opération du niveau conceptuel est transformée en au moins une Procédure fonctionnelle (PF)au niveau organisationnel.

Une Procédure Fonctionnelle est un ensemble logique structuré d'actions élémentaires dont l'activation est provoquée par l'application d'un ou plusieurs événements. Elle est réalisée par unmême acteur et son déroulement ne nécessite pas l'intervention d'autres événements ou acteurs.

2. Poste de Travail

Un poste de travail est une responsabilité au sein de l'entreprise : P. D. G., directeur commercial, secrétaire... Il est aussi "casquette" : acheteur, vendeur... Une même personne peut avoir plusieurs casquettes. Tout dépend de ses capacités et de sa charge de travail.

3. Diagramme d'Enchainement des Procédures Fonctionnelles

DEPF met en lumière la transformation des opérations en procédures fonctionnelles dotées des aspects organisationnels suivants : le temps (périodicité, temps début, durée d'exécution), la nature, le poste de travail avec les ressources qui sont affectées.

4. Nature : la nature d'une procédure fonctionnelle peut être :

Ø Manuelle (M) : la procédure fonctionnelle privilégie les initiatives de l'utilisateur. Elle est indépendante et complètement déconnectée de toute machine informatique.

Ø Différée ou Automatisé Conventionnel (AC) : la procédure fonctionnelle dotée d'algorithmes prédéfinis et automatisables est entièrement exécuter par l'utilisateur et en traitements par lots. L'intervention humaine est souvent limitée au seul lancement de procédure fonctionnelle.

Ø Temps Réel ou Automatisé Batch (AB) : l'ordinateur doit donner des réponses rapides aux dialogues qu'il a avec l'utilisateur, il a partage des actions entre l'individu et l'ordinateur.

Ø Poste de Travail : c'est un centre de l'organisme dont les activités sont assurées par une ou plusieurs personnes. Plusieurs postes de travail groupés constituent une cellule.

Ø Périodicité : elle permet d'exprimer la fréquence d'exécution des procédures fonctionnelles.

II.5.2. Règles d'organisation

R.O1 : Le commissaire fluvial et lacustre de Kisangani débute le travail de 7h30 et prend fin à 17hOO.

R.O2 : Tous les documents que ça soit du bateau, baleinière ou petite embarcation sont réceptionnés au secrétariat pendant les heures du travail.

R.O3 : Tout document réceptionné, doit passer directement chez le commissaire pour le contrôler.

R.O4 : Après le contrôle certains documents du bateau seront transmis au service statistique pour l'exploiter, ceux de baleinière ou petite embarcation seront retournés au secrétariat pour l'enregistrement de ce dernier.

R.O5 : Les données exploitées au service statistique seront transmis au secrétariat pour l'enregistrement du bateau.

R.O6 : Les documents déjà exploités serons retourné chez le commissaire pour le garder jusqu'au départ du bateau si c'était leur arrivée ; si c'est leur départ il va leurs délivré le permis de sortie et tout le reste des documents gardés.

R.O7 :Le chef de poste de contrôleur rédige le rapport journalier avant la fin du travail et il le dépose au secrétariat pour l'examiner.

R.O8 : Après l'examen de rapport journalier sera transmis chez le commissaire pour le validé avec la signature.

R.O9 : Le rapport validé sera gardé au secrétaire.

R.O10 :Le service de statistique établi un rapport de tonnage que les bateaux ont chargé et décharge au port de Kisangani chaque fin du mois.

R.O.11 : Le rapport établi à la statistique passe chez le commissaire pour la signature de validation avant l'envoi.

R.O.12 : L'agent de statistique multiplie le rapport et dépose chaque copie au lieu destiné.

Tableau N°3

II.5.3. Tableau des procédures fonctionnelles (T.P.F)

PROCESSUS D'ENREGISTREMENTS DES UNITES FLOTTANTES

PF

DEROULEMENT

ACTIONS

NATURE

POSTE DE TRAVAIL

DEBUT

DUREE

LIEU

RESPONSABLE

RESSOURCE

PF1

7h30<t<17h00

t

Réception des documents

M

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire

PF2

7h30<t<17h00

t

Contrôle des documents

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF3

7h30<t<17h00

t

Calcul des tonnages

M

Service Statistique

Agent Statistique

Agent Statistique

PF4

7h30<t<17h00

t

Enregistrement des unités flottantes

M

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire

PF5

7h30<t<17h00

t

Sauvegarde des documents

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF6

7h30<t<17h00

t

livraison le permis de sorti

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PROCESSUS DE RAPPORT JOURNALIER

PF7

7h30<t<17h00

t

Rédaction de rapport journalier

M

Poste de contrôleur

Chef de contrôleur

Chef de contrôleur

PF8

7h30<t<17h00

t

Analyse de rapport

M

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire

PF9

7h30<t<17h00

t

Validation rapport

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF10

7h30<t<17h00

t

Enregistrement de rapport

M

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire

PROCESSUS DE RAPPORT DE TONNAGE

PF

DEROULEMENT

ACTIONS

NATURE

POSTE DE TRAVAIL

DEBUT

DUREE

LIEU

RESPONSABLE

RESSOURCE

PF11

7h30<t<17h00

t

Rédaction de rapport

M

Service Statistique

Agent Statistique

Agent Statistique

PF12

7h30<t<17h00

t

Validation de rapport

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF13

7h30<t<17h00

t

Dépôt de rapport

M

Service Statistique

Agent Statistique

Agent Statistique

II.5.4. Diagramme d'enchainement des procedures fonctionnelles

Tableau N°4

Tableau N°5

Tableau N°6

II.6. Diagnostic de l'existant et Proposition de solution

Toute entreprise ne peut prétendre avoir les modalités exactes de la gestion de ses activités ; c'est ainsi que les critiques permettent à certaines d'entre elles d'améliorer leur système de gestion.

Dans cette partie, il sera question de relever certaines failles qui laissent à ce que les différents problèmes que nous avons citées dans l'introduction surgissent au sein de commissariat fluvial et lacustre. Nous aurons à définir l'aspect positif et négatif et enfin de proposer une solution aux points négatifs.

II.6.1. Diagnostic de l'existant

a. Aspect Positif

Après notre recherche au sein de commissariat fluvial et lacustre, nous avons constaté le respect de la hiérarchie, tous les postes de travail ou chaque service exécute les tâches comme il se doit.

b. Aspect négatif

1. Sur le plan Matériels

Le commissariat fluvial ne possède d'aucun matériel informatique qui peut lui permettre même de faire la saisie, l'utilisation de matériel informatique est tout à fait négligée. Toutes les activités sont manuelles.

2. Sur l'Etude des Données

Après notre analyse du SI existant, nous avons remarqué bien que toutes les entités sont là mais les données ne sont pas bien structurées, la redondance des données compte tenue de l'enregistrement manuel. En tenant compte de nos objectifs il y aura des entités à supprimer et à ajouter.

3. Sur le plan traitements

Comme nous avons remarqué, au sein de commissariat fluvial et lacustre l'outil informatique est purement négligé. C'est pour cela que tous traitements ce fait manuel à l'exception de rien, c'est la raison pour laquelle l'exécution des tâches est trop lente et le temps de traitement de données n'est pas bien orienté car aucun agent ne connaît plus mieux le temps qu'il doit utiliser.

II.6.2. Proposition de solution

Aujourd'hui, toute gestion nécessite le traitement automatique de ses informations (données) compte tenu de volume des données à gérer du fait que l'information et l'automatisation nous rendent les tâches faciles. C'est alors nous suggérons au commissariat fluvial et lacustre des solutions comme suit :

q Acheter des outils informatiques pour permettre un travail rapide et efficace en rapport avec la gestion de transport fluvial ;

q Intégrer les tâches automatisées parmi les tâches manuelles pour permettre la rapidité d'exécution de certaines tâches ;

q Mettre en place une Base de données qui permettra une bonne gestion de transport fluvialet très efficace.

q Le service Statistique, le Secrétariat et le Poste de contrôle soit doté des outils informatiques pour permettre l'exécution rapide des taches qui lui est attribué.

Chapitre Troisième : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR

Dans ce chapitre nous parlons de l'objectif du chapitre, présentons l'étude des données futures en utilisant le MCD et l'étude de traitement futur en utilisant le MCT et le MOTenfin le graphe de circulation d'information.

La conception du système d'information se fait par étape, afin d'aboutir à un système d'information fonctionnel reflétant une réalité physique. Il s'agit donc de valider une à une chacune des étapes en prenant en compte les résultats de la phase précédente. D'autre part, les données étant séparées des traitements, il faut vérifier la concordance entre données et traitement afin de vérifier que toutes les données nécessaires aux traitements sont présentes et qu'il n'y a pas de données superflues.

III.1. Objectifs

L'objectif de ce chapitre est de concevoir un nouveau système d'information en tenant compte despoints négatifsconstatés au système d'information existant, qui nous permettrons de concevoir une Base des Données en MS Access pour simplifier la gestion de transport fluvial au sein de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani.

III.2. ETUDE DES DONNEES FUTUR

III.2.1. Modèle Conceptuel de Données Futur

III.2.1.1. Dictionnaire des Données

Tableau N°7

Nom de la

Donnée

Format

Longueur

Type

Règle de

calcul

Règle de

gestion

Document

E

C

*Code Passagers

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche de passagers

Nom Passager

A

20

×

 

-

-

//

Post nom Passager

A

20

×

 

-

-

//

Prénom Passager

A

20

×

 

-

-

//

Nationalité Passager

A

25

×

 

-

-

//

Genre Passager

A

10

×

 

-

-

//

Date de Naissance Passager

AN

15

×

 

-

-

//

Adresse habituelle

AN

50

×

 

-

-

//

Provenance

A

30

 
 
 
 
 

Destination Passager

A

30

×

 

-

-

//

Observation

A

50

×

 

-

-

//

*Numéro d'Identification d'unité flottante

A

15

×

 

-

A

Créer

Registre de mouvement flottant

Nom de marque

AN

30

×

 

-

-

//

Nombre de barge

N

5

×

 

-

-

//

Provenance

A

20

×

 

-

-

//

Date d'arrivé

AN

20

×

 

-

-

//

Tonnage déchargé

N

10

×

 

-

-

//

Port de déchargement

A

20

×

 

-

-

//

Etat technique

A

20

×

 

-

-

//

Date de départ

AN

20

×

 

-

-

//

Tonnage chargé

N

10

×

 

-

-

//

Port de chargement

A

20

×

 

-

-

//

Destination

A

25

×

 

-

-

//

Nature produit

A

30

×

 

-

-

//

Mois d'enregistrement

AN

15

×

 

-

-

//

Année d'enregistrement

N

5

×

 

-

-

//

Observation

AN

50

×

 

-

-

//

*Code de catégorie des unités flottante

AN

15

×

 

-

A

Créer

//

Designation

A

20

×

 

-

-

//

*Code de Document

AN

15

×

 

-

A

Créer

//

Intitule de document

A

20

×

 

-

-

//

Date de livraison

AN

20

×

 

-

-

//

Date expiration

AN

20

×

 

-

-

//

Observation

A

50

×

 

-

-

//

*Numéro matricule Equipage

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche d'équipage

Nom

A

20

×

 

-

-

//

Post nom

A

20

×

 

-

-

//

Prénom

A

20

×

 

-

-

//

Genre

A

1

×

 

-

-

//

Date de naissance

AN

15

×

 

-

-

//

Nationalité

A

30

×

 

-

-

//

Type d'Equipage

A

20

×

 

-

-

//

Fonction

A

20

×

 

-

-

//

Date engagement

AN

20

×

 

-

-

//

Durée d'engagement

AN

5

×

 

-

-

//

Observation

A

50

×

 

-

-

//

*Numéro Matricule Agents

AN

15

×

 

-

A

Créer

Fiche de personnel

Nom

A

20

×

 

-

-

//

Post nom

A

20

×

 

-

-

//

Prénom

A

20

×

 

-

-

//

Fonction

A

20

×

 

-

-

//

Genre

A

1

×

 

-

-

//

Téléphone

N

15

×

 

-

-

//

*Numéro Identification d' Armateur

A

15

×

 

-

A

Créer

Fiche de manifeste

Nom Armateur

A

20

×

 

-

-

//

Post nom

A

20

×

 

-

-

//

Prénom

A

20

×

 

-

-

//

Adresse

AN

50

×

 

-

-

//

Téléphone

N

10

×

 

-

-

//

Nationalité

A

30

×

 

-

-

//

Genre

A

10

×

 

-

-

//

Date de naissance

N

15

×

 

-

-

//

III.2.1.2.Graphe de Dependance fonctionnelle

Figure 13: DF futur

Source : Nos propres investigations

III.2.1.3. Construction du MCD Futur

Figure 14: MCD Futur

Source : Nos propres investigations

III.2.1.4. Règle des Gestion

R.G1 : Une unité flottante ne peut embarquer les passagers ou il peut les embarqué plusieurs

R.G2 : Un passager est embarqué dans une et une seule unité flottante.

R.G3 : un équipage est engagé dans une et une seule unité flottante

R.G4 : Une unité flottante engage un ou plusieurs équipages

R.G5 : Une unité flottante est enregistrée par un et un seul agent

R.G6 : Un agent enregistre un ou plusieurs unités flottantes

R.G7 : Une unité flottante appartient à un et un seul armateur

R.G8 : Un armateur peut avoir au moins une unité flottante ou plusieurs

R.G9 : Une unité flottante appartient à une et une seule catégorie

R.G10 : Une catégorie peut avoir un ou plusieurs unités flottantes

R.G11 : Une unité flottante possède un ou plusieurs documents

R.G12 : Un document est possédé par une et une seule unité flottante

R.G13 : Un agent exploite un ou plusieurs documents

R.G14 :Un document est exploité par un et un seul agent

II.2.1.5. Quatification du MCD

Tableau N°7

ENTITES

IDENTIFIANTS

PROPRIETES

LONGEUR

NOBRE D'OCCURRENCE

Passagers

Code Passager

CodePassg

Nom

Post Nom

Prénom

Nationalité

Genre

DateNaiss

AdresseHabituelle

Destination

Observation

285

28500

Equipages

Numéro Matricule

NumMatr

Nom

Post nom

Prénom

Genre

DateNaiss

AdresseHabituelle

Nationalité

Type d'équipage

Fonction

DateEngag

Observation

236

23600

Unités flottante

Numéro d'identification

NumIdent

Nom

Catégorie

NbreBarge

Provenance

DateArriv

TngDechar

DateDepart

TngCharge

Destination

NatureProduit

EtatTech

Observ

315

31500

Catégorie Unité flottante

Code Catégorie

CodeCat

Désignation

35

3500

Armateur

Numéro d'identification

NumIdent

Nom

Post nom

Prénom

Adresse

Tel

Nationalité

Genre

DateNaiss

190

19000

Document

Code de Document

CodeDoc

IntiDoc

DateLivr

DateExpi

Observ

125

12500

Agents

Numéro Matricule

NumMatr

Nom

Post nom

Prénom

Fonction

Genre

Tel

91

9100

III.2.1.6.Quantification des Relations

Tableau N°8

RELATIONS

COLLECTION

CARDINALITES

PROPRIETES

LONG

NOMBRE D'OCCURRENCE

Embarquer

Passagers

Unités flottante

1,1

0,N

-

-

-

Engager

Equipages

Unités flottante

1,1

1,N

-

-

-

Enregistrer

Secrétaire

Unités flottante

1,N

1,1

-

-

-

Posséder

Document

Unités flottante

1,1

1,N

-

-

-

Exploiter

Document

Statistique

1,1

1,N

-

-

-

Appartenir

Unités flottante

Catégorie

1,1

1,N

-

-

-

Appartenir

Unités flottante

Armateur

1,1

1,N

-

-

-

III.3. ETUDE DE TRAITEMENT FUTUR

III.3.1. Modèle Conceptuel de Traitement

a. Processus d'enregistrements des unités flottantes

b. Processus de rapport journalier du terrain

d. Processus de rapport de tonnage

III.3.2. Modèle Organisationnel de Traitement

III.3.2.1. Règles d'organisation

Ø R.O1 : Le commissaire fluvial et lacustre de Kisangani débute le travail de 7h30 et prend fin à 17hOO.

Ø R.O2 : Avant d'enregistrer une unité flottante le responsable doit présenter les documents de cette unité flottante.

Ø R.O3 : Les documents sont réceptionnés au secrétariat pour le faire passer chez le commissaire.

Ø R.O4 : Le commissaire vérifie la date de livraison et d'expiration de ces documents. Après certains documents seront transmis au service statistique pour l'exploiter, ceux de baleinière ou petite embarcation seront retournés au secrétariat pour enregistrer ces coordonnés à la base des données.

Ø R.O5 : Les données exploitées au service statistique sont enregistrés dans ce service et transmis au secrétariat pour enregistré tous les coordonnés de l'unité flottante à la base des données.

Ø R.O6 : Les documents exploités seront retournés chez le commissaire pour le garder jusqu'au départ de l'unité flottante, si c'était leur arrivée ; si c'est leur départ il va leur délivrer le permis de sortie et tout le reste de documents.

Ø R.O7 : Le chef de poste de contrôleur rédige le rapport journalier avant la fin du travail et il le dépose au secrétariat pour l'examiner.

Ø R.O8 : Après l'examen,le rapport journalier est transmis chez le commissaire pour le validé avec la signature.

Ø R.O9 : Le rapport validé sera gardé au secrétariat.

Ø R.O10 : Le service de statistique établi un rapport de tonnage que les bateaux ont chargé et décharge au port de Kisangani chaque fin du mois.

Ø R.O.11 : Le rapport établi à la statistique passe chez le commissaire pour la signature de validation avant l'envoi.

Ø R.O.12 : L'agent de statistique multiplie le rapport et dépose chaque copie au lieu destiné.

III.3.2.2. Tableau des Procédures Fonctionnelles (T.P.F)

Processus d'enregistrements des unités flottantes

PF

DEROULEMENT

ACTIONS

NATURE

POSTE DE TRAVAIL

DEBUT

DUREE

LIEU

RESPONSABLE

RESSOURCE

PF1

7h30<t<17h00

t

Réception documents

M

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire

PF2

7h30<t<17h00

t

Vérification de dates et de sceaux

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF3

7h30<t<17h00

t

Lecture des événements rencontrés en cour de navigation

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF4

7h30<t<17h00

t

Calcul de tonnage

AC

Service Statistique

Agent Statistique

Agent Statistique et Ordinateur

PF5

7h30<t<17h00

t

Saisie des données calculées

AC

Service Statistique

Agent Statistique

Agent Statistique et Ordinateur

PF6

7h30<t<17h00

t

Saisie des coordonnés d'unité flottante

AC

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire et Ordinateur

PF7

7h30<t<17h00

t

Conservation des documents

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF8

7h30<t<17h00

t

Livraison de permis de sorti

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

Processus de rapport journalier

NATURE

ACTIONS

 
 

POSTE DE TRAVAIL

 
 

DEBUT

DUREE

LIEU

RESPONSABLE

RESSOURCE

PF9

7h30<t<17h00

t

Saisie de rapport journalier

AC

Poste de contrôle

Chef de contrôleur

Chef de contrôleur et Ordinateur

PF10

7h30<t<17h00

t

Vérification de rapport

M

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire

PF11

7h30<t<17h00

t

Signature de validation

M

Commissariat

Commissaire

Commissaire

PF12

7h30<t<17h00

t

Enregistrement de rapport

AC

Secrétariat

Secrétaire

Secrétaire

Processus de rapport de tonnage

NATURE

ACTIONS

 
 

POSTE DE TRAVAIL

 
 

DEBUT

DUREE

LIEU

RESPONSABLE

RESSOURCE

PF13

7h30<t<17h00

t

Elaboration de rapport

AC

Service Statistique

Agent Statistique

Agent Statistique et Ordinateur et Imprimante

PF14

7h30<t<17h00

t

Vérification de rapport

M

Commissaire

Commissaire

Commissaire

PF15

7h30<t<17h00

t

validation de rapport

M

Commissaire

Commissaire

Commissaire

PF16

7h30<t<17h00

t

Transmission de rapport

M

Service Statistique

Agent Statistique

Agent Statistique

III.3.2.3. Diagramme d'enchainement des processus

III.4. GRAPHE DE CIRCULATION D`INFORMATIONS

35(*)Le Graphe de Circulation des Informations (GCI) met en évidence les échanges entre les différents postes de travail. C'est une repensassions qui fournit une bonne perception de la transformation progressive des informations. Elle permet également de déceler les procédures fonctionnelles, chacune de celle-ci étant affectées de sa périodicité et éventuellement de sa durée d'exécution.

C'est l'une des méthodes utilisées pour présenter ou analyser les flux d'informations entre service Donc c'est une étude qui analyse comment les informations circulent d'un poste à l'autre, d'un traitement à l'autre.

Legende

Traitement automatisée Conversationnelle (Ressources: homme+machine)

Enregistrement des données au Disque magnétique

Traitement manuel de l'information

Acteur externe qui déclenche l'opération

Périphérique de sortie permet d'imprimer les données

Réception de rapport

Réception de rapport

Support papier qui permet de faire circuler les informations

Commanda ou Responsable de U.F

Secrétaire

Statistique

Chef Contrôleur

Commissaire

Régie F.V.N.M

Dépôt des documents

Transmission documents

Réception documents

Contrôle Documents

Exploitation Documents

m

Calcul Tonnage

n

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Transmission des données

 
 
 
 
 
 

Classement documents

m

Saisie des coordonnés

Remise de permis de sortie

Réception de permis de sortie

Dépôt rapport journalier

Rédaction de rapport

Impression de rapport journalier

o

p

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Dépôt Rapport

Réception de rapport

n

Impression de somme des tonnages

Rédaction Rapport Tonnage

Lecture de rapport de tonnage

Signature de validation

Retour Rapport

Validation Rapport

Analyse rapport

Annotation de validation

Classement Rapport

o

p

 
 
 
 
 
 

Enregistrement de rapport

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Fin

Chapitre Quatrième : IMPLEMENTATION DU SYSTEME AUTOMATISE ET PRESENTATION DE L'APPLICATION

Dans ce chapitre nous définissons le SIA et présentons le MLD, MPD et MLT enfin nous présentons l'application conçu en MS Access à l'aide de langage VBA.

IV.1. SYSTEME D'INFORMATION AUTOMATISE

36(*)Un SIA est un sous-système d'un SI dans lequel toutes les transformations significatives d'informations sont effectuées par des ordinateurs. Il permet la conservation et le traitement automatique des informations.

Ø Un SIA doit être :

q intégré : une même information n'est saisie qu'une fois en un point du système et est récupérée dans tous les fichiers concernés.

q durable et adaptable : les logiciels de traitement des données (programmes) sont indépendant des données.

IV.2. MODELE LOGIQUE DES DONNEES

37(*)Le modèle logique de données (MLD) décrit les structures de données indépendamment de la gestion physiquedes bases de données. Il est une étape intermédiaire, intellectuellement très satisfaisante, vers le modèle physique de données.

Il contient les données et traitements venant de l`étape organisationnelle, pour le mémoriser et choisir la mise en place, en spécifiant le choix de logiciel de langage de programmation qui facilitera cette mémorisation.

Le MLD est une représentation issue de modèle conceptuel et organisationnel. Elle consiste à concevoir la solution informatique par rapport au système existant

IV.2.1.Règle de transformation du MCD en MLDR38(*)

a. Transformation des entités : toute entité devient une table dans laquelle les attributs deviennent les colonnes. L'identifiant de l'entité constitue alors la clé primaire.

b. Transformation des associations non hiérarchiques : Autrement appelé l'association porteuse, devient une table supplémentaire dont la clé primaire est composée de deux clés étrangères (qui référencent les deux clés primaires des deux tables en association). Les attributs de l'association deviennent des colonnes de cette nouvelle table.

c. Transformation de contraintes d'intégrité fonctionnelle (CIF) : Une association binaire de type 1 : N disparait au profit d'une clé étrangère dans la table fils 0, 1 ou 1, 1 qui référence la clé primaire de l'autre table. Cette clé étrangère ne peut pas recevoir la valeur vide si la cardinalité est 1, 1.

IV.2.2. Elaboration du MLDR

- T-Unités Flottantes (NumIdUF,Nom, Catégorie, NbreBarge, Provenance, DateArriv, TngDechar, DateDep, TngCharge, Destination, NatureProd, EtatTech, Observ, #NumIdArm, #CodeCat)

- T-Passager (CodePassag, Nom, Postnom, Prénom, Nation, Genre, DateNaiss, AdresseHabit, Destination, Observation, #NumIdUF)

- T-Equipages (NumMatrEqu, Nom, Postnom, Prénom, Genre, DateNaiss, AdresseHabit, Nationalité, Type d'équipage, Fonction, DateEngag, Observation, #NumIdUF)

- T-Documents (CodeDoc, IntiDoc, DateLivr, DateExpi, Observ, #NumIdUF, #NumMatrAg)

- T-Agents (NumMatrAg, Nom, Post nom, Prénom, Fonction, Genre, Tel)

- T-CatégorieUnité Flottante (CodeCat, Désignation)

- T-Armateur (NumIdArm, Nom, Postnom, Prénom, Adresse, Tel, Nationalité, Genre, DateNaiss)

IV.3. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES

39(*)Un Modèle Physique de Données ou la conception de base de données est une représentation d'un dessin de données qui prend en compte les installations et les constances d'une donnée, système de gestion de base de données.

Cette étape consiste à implémenter le modèle dans le système de gestion de base de données c'est-à-dire traduire dans un langage de définition de données. Autrement dit, transférer la base de données dans un SGBD. Ce transfert consiste à créer la structure de la base de données, à indiquer les champs, à implémenter des contraintes d'intégrités destinées à garantir la cohérence des données mémorisées

IV.3.1. Passage du MLD au MPD40(*)

Ø Implémentation physique de chaque table du MLD dans le SGBD utilisé.

Ø Pour chaque table, indiquer au SGBD quel champ constitue la clé primaire.

Ø Pour chaque table, indiquer au SGBD la (les) clé(s)étrangère(s), et la (les) clé(s) primaire(s) correspondante(s).

IV.3.2. Présentation du MPD

IV.4. MODELE LOGIQUE DES TRAITEMENTS

41(*)Le Modèle Logique des Traitements (MLT) concerne la description, en unités de traitements, des taches automatisables définies dans le MOT. Les taches automatisables sont traduites en traitements, et cela par la description des différents algorithmes de ces unités jusqu'à leur aboutissement au résultat. Ces unités feront l'objet de la programmation.

Donc, l'objectif du passage du MOT au MLT est de décomposer les tâches en Unité Logique de Traitements (ULT), mais aussi de faire en sorte qu'une ULT puisse servir à plusieurs tâches possibles. Ainsi, une ULT peut être utilisée pour la réalisation de plusieurs tâches, mais seulement sur une seule machine logique.

IV.4.1. Définition des concepts

a. Outils informatiques

Dans la pratique, l'outil est informatique et peut être de deux types : transactionnel ou interactif, traitement immédiat ou "en temps réel" ou en traitement différé ou par lot, calcul sans intervention directe de l'utilisateur. Dans le deuxième cas, le programme s'enclenche et effectue ses calculs et ses mises à jour éventuelles sur les données à un moment prédéterminé.

b. Outil interactif

Un outil interactif permet un dialogue entre l'utilisateur et l'ordinateur via un écran et un clavier. Il comprend des écrans se succédant où l'utilisateur tape des informations ou des commandes au clavier et obtient immédiatement la réponse. Il enchaîne les traitements sans arrêt.

c. Unité Logique de Traitement

ULT modélise un ensemble des traitements informatique perçus comme homogènes en termes de pénalité. L'unité logique de traitement définit également le rapport à la cohérence des données du SII.

d. Procédure logique 

Est un enchainement logique de traitement réalisant l'information d'une tache ou phase de modèle organisationnel de traitement ;

e. La machine logique

Est définie comme un ensemble des ressources informatiques (matériel et logiciel) capable d'exécuter le trainement informatique de façon autonome bien que confondu dans la grande majorité de cas, mais nous pouvons signaler qu'il Ya une machine logique et physique ;

f. L'événement/résultat message

Dans le formalise général de modélisation de traitement proposé par la méthode MERISE événement et résultat représente l'échange de stimulus et de réponse par rapport au système ;

g. Etat

La modélisation des Etats reste identique à celle utilisée au niveau conceptuel et organisationnel, ils expriment les conditions préalables ou des résultats conditionnels d'une unité logique d'un traitement (ULT).

IV.3.2. Elaboration des MLT

IV.4. PRESENTATION DE L'APPLICATION

Cette étude a mis point à la conception d'un progiciel GTF 0.1conçu en MS Access à l'aide de langage de programmation VBA.

a. Les MS Access 2010

Microsoft Access est un programme de gestion de base de données relationnelle (SGBDR). Il offre un ensemble d'outils permettant de saisir, de mettre à jour, de manipuler, d'interroger et d'imprimer des données. La particularité des Base de Données relationnelles est pouvoir mettre en relation des fichiers (appelés ici Tables) différents en établissant des liens entre eux.

b. Le VBA 6.0

Visual Basic for Applications (VBA) est une implémentation de Microsoft Visual Basic qui est intégrée dans toutes les applications de Microsoft Office, dans quelques autres applications Microsoft comme Visio et au moins partiellement dans quelques autres applications comme AutoCAD, WordPerfect, Micro Station, Solidworks ou encore ArcGIS.

Il remplace et étend les capacités des langages macro spécifiques aux plus anciennes applications comme le langage Word Basic intégré à une ancienne version du logiciel Word, et peut être utilisé pour contrôler la quasi-totalité de l'IHM des applications hôtes, ce qui inclut la possibilité de manipuler les fonctionnalités de l'interface utilisateur comme les menus, les barres d'outils et le fait de pouvoir personnaliser les boîtes de dialogue et les formulaires utilisateurs.

IV.4.1. Quelque concepts de base

 

Ø Logiciel : C'est un ensemble des programmes qui couvre un domaine.

Ø Progiciel : C'est l'ensemble complet de programmes informatiques, conçu pour les différents utilisateurs en vue d'une même application, généralement professionnelle, et commercialisé avec une documentation.

Ø Programme : C'est une suite d'instructions permettant de réaliser une ou plusieurs tâches, de résoudre un problème, de manipuler des données.

Ø Application : C'est un programme destiné à aider un utilisateur à effectuer une tâche déterminée.

IV.4.2. Brève Présentation

Après avoir démarré l'ordinateur, nous choisissons le Menu « Démarrer » pour accéder au sous menu « Programme » qui nous permettra de chercher le logiciel de « Microsoft Access » dans lequel nous avons conçu notre application.

Nous accédons à notre application par une page d'accueil qui téléchargera la page d'authentification qui est une page de sécurité ne permet pas à n'importe quelle personne d'accéder à l'application.

Après avoir nous authentifier nous accédons au Menu principal de Saisies et desétats de sortie.Sur l'onglet de « Saisie » du menu principal, nous trouvons plusieurs étiquettes qui représentent les noms de différents formulaires. Un cliquer sur une, nous ouvre le formulaire pour la saisie des données.Sur l'onglet « états de sortie» du Menu principal, nous trouvonsles étiquettes qui reprennent les états de sorties de notre application qui sont le reflet des objectifs poursuivis par notre application.

Page d'accueil

Page d'authentification

Menu principal

a. Formulaire de saisie

IV.4.3. Présentation de quelques états de sortie

Le rapport des bateaux enregistré dans un mois.

Liste des passagers enregistrés pour une unité flottante.

Liste des équipages enregistrés pour une unité flottante.

CONCLUSION

Au terme de ce travail, Intitulé « AUTOMATISATION DE GESTION DE TRANSPORT FLUVIAL DANS UNE INSTITUTION PUBLIQUE. Cas de Commissariat Fluvial et Lacustre de Kisangani ».

Notre problématique s'articule sur les questions ci-après :

- Quel mécanisme permet-il au commissariat fluvial et lacustre d'éviter la lenteur dans l'enregistrement des unités flottantes ?

- Pour obtenir rapidement l'effectif total de la liste complète des unités flottantes enregistrées au cours d'une année à une autre comment le commissariat fluvial et lacustre s'y prend-t-il ?

- Comment le commissariat fluvial et lacustre contrôle-t-il les trafics des différentes unités flottantes dans le fleuve Congo ?

De ce qui précède nous avons émis les hypothèses selon lesquelles :

- Une mise en place d'un système automatisé conviendrait mieux pour assurer la rapidité dans l'enregistrement des unités flottantes.

- Le commissariat fluvial et lacustre appliquerait la Nouvelle Technologie de l'Information et de la Communication pour obtenir l'effectif total de la liste complète des unités flottantes enregistrées au cour d'une année.

- L'automatisation de système d'information permettraitd'assurer un contrôle efficace des trafics des différentes unités flottantes sur le fleuve Congo.

Les objectifs fixés dans cette étude est de :

- Mettre en place un système d'information automatisé qui favorisera un enregistrement rapide des unités flottantes.

- Concevoir une application de la nouvelle technologie de l'information et de la communication pour la gestion de transport fluvial.

- Automatiser le système d'information pour assurer le contrôle efficace et aisé des trafics des unités flottantes.

Pour vérifier nos hypothèse nous avons utilisé les méthodes et techniques suivants :

- Méthode Historique : nousa permis de se référé au passé du système de gestion de transport fluvial pour éclairer les décisions à prendre dans la perspective d'une gestion moderne de transport fluvial.

- Méthode analytique : nous a été utile de décomposer les éléments de système afin de les définir et d'en dégager les spécificités ou à expliquer un phénomène en mettant en évidence les relations de cause à effet

- Méthode MERISE : nous a permis d'analyser le système d'information existant et de concevoir un système d'information futur.

- La technique documentation : nous a permis de consulter les documents trouvés à travers les différentes bibliothèques de la ville et particulièrement dans les archives de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani pour y puiser toutes les informations relatives à notre recherche.

- La technique d'interview libre:nous a permis d'entrer en contact avec les différents responsable de Commissariat fluvial et lacustre de Kisangani pour récolter le complément d'informations liée à nos investigation.

Après l' analyse au système existant nous avons abouti aux résultats ci-après :

- La lenteur dans l'enregistrement des unités flottantes

- La lenteur dans l'élaboration de rapport des unités flottantes enregistré

- La perte des fiches qui contiennent les données nécessaire à la gestion de transport fluvial

- Difficulté de contrôler les trafics des unités flottantes dans le fleuve Congo.

Considérons que, la gestion de transport fluvial au sein de Commissariat Fluvial et Lacustre de Kisangani est manuel avec toutes les conséquences que cela engendre, il est d'une impérieuse nécessité d'automatiser cette gestion par la mise en oeuvre d'un système de base de données et que ce système soit géré par des personnes qualifiées et formées pour la gestion de base de données. C'est ainsi que nous avons conçu et proposé une base de données en MS Access pour permettre une bonne gestion des mouvements des unités flottantes au Commissariat Fluvial et Lacustre de Kisangani. Sans cela, le système de gestion actuel produirait toujours des conséquences citées ci-haut.

Enfin, nous pouvons affirmer ici que nous n'avons pas mené une étude exhaustive dans ce domaine ni avoir abordé tous les contours de l'automatisation de gestion de transport fluvial dans une Institution Publique. Puissent cette étude, dont nous ne dissimulons pas les lacunes, apporter aux lecteurs des thèmes de réflexion et quelques lumières sur un des problèmes qui affecte le monde actuel. Aucun progrès n'est possible, en matière de gestion, sans de lourds sacrifices financiers, humains, matériels...

Nous pensons donc qu'un pas est franchi, un autre pourrait suivre. C'est ainsi que nous sollicitons l'indulgence de tous les lecteurs sur d'éventuelles failles qui seraient constatées dans ce travail. Des remarques et suggestions pour son amélioration prochaine seront les bienvenues.

BIBLIOGRAPHIE

I. Ouvrage.

· F F. JOLIVET&G. REBOUL, Informatique Appliquée à la gestion, Tome 2 Ed. Dunod, Paris, 1996.

· PINTO R. et GRAWITZ M., Méthodes des sciences sociales, Paris Dalloz, 1971

· VUILLEMIN A., L'informatique et traitement de l'information en lettres et sciences humaines, Masson, Paris, (1987).

. II. Note du Cours, Dictionnaires et Encyclopédies

· Dictionnaire français Larousse

· KAKULE MILANDO E., Cours d'analyse Informatique II, Inédit, G3 ISIG-Goma, 2008-2009

· KIKUNI BUNGULU, J.,Informatique Général « L'avenir est aux ordinateur », Cours dispenser en G1 Informatique de Gestion, ISC-KIS 2012-2013, (Inédit)

· KIKUNI BUNGULU, J.,TECHNIQUES DES BANQUES DES DONNES, Cours dispensé en G3 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2014-2015,(Inédit)

· KUTUMBAKANA P,Méthode d'Analyse Informatique I, Cours dispensé en G2 Info de Gestion, ISC-Kis, 2013-2014. (inédit)

· KUTUMBAKANA P, Méthode d'Analyse Informatique II, Cours dispensé en G3 INFO de Gestion, ISC-Kis, 2014-2015,(inédit)

· LOKANGA OTIKEKE, F., de Méthodes de Recherche Scientifique, Notes ronéotypées, Cours dispensé en G2 Info de Gestion, ISC-KIS, 2013-2014, (Inédit).

· MBOYO, Méthode d'analyse informatique, Cours dispensé en G2 Info de Gestion, ISP/Kisangani, 2012-2013,(inédit)

III. Site Web

· www.google.com

· www.larouse.fr/dictionnairefrançais/

· www.mémoireonline.com

· www.wikipedia.org/wiki/gestion

· www. Comment ça marche.net

TABLE DES MATIERES

0. INTRODUCTION 1

0.1. PROBLEMATIQUE 2

0.2. HYPOTHESE 4

0.3. OBJECTIFS 4

0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET 5

0.4.1. Choix du sujet 5

0.4.2. Intérêt du sujet 5

0.5. METHODES ET TECHNIQUES 5

0.5.1. Méthodes 5

0.5.2 Techniques 6

0.6. Délimitation du sujet 7

0.7. Subdivision du travail 7

0.8. Difficultés Rencontrées 7

Chapitre Première. CONSIDERATIONS THEORIQUES 9

I.1. DEFINITION DES CONCEPTS 9

I.2. PRESENTATION DE COMMISSARIAT FLUVIAL ET LACUSTRE 10

I.2.1. Aperçu historique 10

I.2.2. Création et Evolution de Commissariat Fluvial et Lacustre 11

I.2.3. Situation géographique 11

I.2.4. Subdivision administrative 12

I.2.5. Organigramme 13

I.2.6. Fonction et Attribution de Commissariat Fluvial et Lacustre 14

Chapitre Deuxième : ANALYSE DE SYSTEME D'INFORMATION EXISTANT 15

II.1. Définition des Concepts 15

II.2. MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION (M.C.C) 17

II.2.1 Définition des concepts 17

II.2.2. Description Textuelle 19

II.2.3. Recensement des Acteurs 21

II.2.4. Graphe de Flux et Légende 22

II.3. LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD) 24

II.3.1. Définition des concepts 24

II.3.2. Dictionnaire des Données 25

Légende 27

II.3.3. Graphe de Dépendance Fonctionnel 27

II.3.4. Règle de Gestion 28

II.2.5. Construction du MCD 28

II.4. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT (M.C.T) 29

II.4.1. Définition des Concepts 29

II.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT) 34

II.5.1. Définition des concepts 35

II.5.2. Règles d'organisation 36

II.5.3. Tableau des procédures fonctionnelles (T.P.F) 37

II.5.4. Diagramme d'enchainement des procedures fonctionnelles 39

II.6. Diagnostic de l'existant et Proposition de solution 43

II.6.1. Diagnostic de l'existant 43

Chapitre Troisième : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR 45

III.1. Objectifs 45

III.2. ETUDE DES DONNEES FUTUR 45

III.2.1. Modèle Conceptuel de Données Futur 45

III.2.1.2. Graphe de Dependance fonctionnelle 48

III.2.1.3. Construction du MCD Futur 49

R.G14 : Un document est exploité par un et un seul agent 50

II.2.1.5. Quatification du MCD 51

III.2.1.6.Quantification des Relations 53

III.3. ETUDE DE TRAITEMENT FUTUR 54

III.3.1. Modèle Conceptuel de Traitement 54

b. Processus de rapport journalier du terrain 56

d. Processus de rapport de tonnage 57

III.3.2. Modèle Organisationnel de Traitement 58

III.3.2.3. Diagramme d'enchainement des processus 61

III.4. GRAPHE DE CIRCULATION D`INFORMATIONS 65

Chapitre Quatrième : IMPLEMENTATION DU SYSTEME AUTOMATISE ET PRESENTATION DE L'APPLICATION 69

IV.1. SYSTEME D'INFORMATION AUTOMATISE 69

IV.2. MODELE LOGIQUE DES DONNEES 69

IV.2.1. Règle de transformation du MCD en MLDR 70

IV.2.2. Elaboration du MLDR 70

IV.3. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES 71

IV.3.1. Passage du MLD au MPD 71

IV.3.2. Présentation du MPD 72

IV.4. MODELE LOGIQUE DES TRAITEMENTS 72

IV.4.1. Définition des concepts 73

IV.3.2. Elaboration des MLT 75

IV.4. PRESENTATION DE L'APPLICATION 77

a. Les MS Access 2010 77

b. Le VBA 6.0 77

IV.4.1. Quelque concepts de base 77

IV.4.3. Présentation de quelques états de sortie 82

CONCLUSION 84

BIBLIOGRAPHIE 88

ANNEXE

PRESENTATION DE QUELQUES CODE DE CONNEXION

Code de Suppression d'un enregistrement

PrivateSub Commande10_Click()

On Error GoTo Err_Command17_Click

DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acEditMenu, 8, , acMenuVer70

DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acEditMenu, 6, , acMenuVer70

Exit_Command17_Click:

Exit Sub

Err_Command17_Click:

MsgBoxErr.Description

Resume Exit_Command17_Click

End Sub

Code de l'enregistrement précèdent

PrivateSub Commande11_Click()

On ErrorGoTo Err_Commande9_Click

DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, , acMenuVer70

DoCmd.GoToRecord , , acPrevious

Exit_Commande9_Click:

Exit Sub

Err_Commande9_Click:

MsgBoxErr.Description

End Sub

Code de l'enregistrement suivant

Private Sub Commande12_Click()

On Error GoTo Err_Commande9_Click

DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, , acMenuVer70

DoCmd.GoToRecord , , acNext

Exit_Commande9_Click:

Exit Sub

Err_Commande9_Click:

MsgBoxErr.Description

End Sub

Code de recherche des enregistrements

Private Sub Commande13_Click()

On Error GoTo Err_Command16_Click

Screen.PreviousControl.SetFocus

DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acEditMenu, 10, , acMenuVer70

Exit_Command16_Click:

Exit Sub

Err_Command16_Click:

MsgBoxErr.Description

End Sub

Code de retour

PrivateSub Commande14_Click()

If 6 = MsgBox("Souhaitez-vous fermer le formulaire?", 4) Then

DoCmd.Close

DoCmd.OpenForm "SAISIE DES DONNEES"

End If

End Sub

Code de premier enregistrement

Private Sub Commande15_Click()

On Error GoTo Err_Commande9_Click

DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, , acMenuVer70

DoCmd.GoToRecord , , acFirst

Exit_Commande9_Click:

Exit Sub

Err_Commande9_Click:

MsgBoxErr.Description

End Sub

Code de dernier enregistrement

Private Sub Commande16_Click()

On Error GoTo Err_Commande9_Click

DoCmd.DoMenuItemacFormBar, acRecordsMenu, acSaveRecord, , acMenuVer70

DoCmd.GoToRecord , , acLast

Exit_Commande9_Click:

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MsgBoxErr.Description

End Sub

* 1 http://Technologies de l'information et de la communication-Wikipedia.htm, 23/03/2015, 15h13

* 2 Idem

* 3 http://fr.NTIC-Nouvelles technologies de l'information et de la communication.htm, 23/03/2015, 15h19

* 4 KIKUNI, B.,Informatique Général « L'avenir est aux ordinateur », Cours dispensé en G1 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2012-2013, (Inédit),p.1

* 5 http://Wikipédia-Evolution de l'Informatique, 24/03/2015, 19h15

* 6http://fr.Wikipédia.Org/Wiki/Informatique# la programmation, 24/03/2015, 19h19

* 7 LOKANGA, OTIKEKE, F., Méthodes de Recherche Scientifique, Cours dispensé en G2 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2013-2014, (Inédit), p.10

* 8 http://Définitions hypothèse - Dictionnaire de français Larousse-Wikipédia.mht, 28/03/2015, 10h02

* 9 PINTO,R. et GRAWITZ, M., Méthodes des sciences sociales, Paris Dalloz, 1971, p.145

* 10PINTO,R. et GRAWITZ, M.,Op. cit., p.147

* 11 Idem, P.148

* 12 KUTUMBAKANA, P., METHODOLOGIE D'ANALYSE INFORMATIQUE I (M.A.I, I), COURS dispensé en G2 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2013-2014, (Inédit),P.5

* 13 PINTO,R. et GRAWITZ, M.,Op. cit.,, p.155

* 14 KUTUMBAKANA, P., Cour déjà cité, p.8

* 15 http://cours système d'information de gestion.pdf

* 16KUTUMBAKANA, P., Cour déjà cité, p.17

* 17 Idem, p.17

* 18 Idem, p.18

* 19 Idem, p.20

* 20 KUTUMBAKANA, P., Cour déjà cité, p.20

* 21 KAKULE MILANDO E., Analyse Informatique II, Cours dispensé en G3 Informatique de Gestion, ISIG-Goma, 2008-2009,(Inédit),p.20

* 22 http://fdigallo.online.fr/cours/UML_GL_CM_MERISE.pdf

* 23 Idem

* 24 http://fdigallo.online.fr/cours/UML_GL_CM_MERISE.pdf

* 25 KUTUMBAKANA Philémon, METHODOLOGIE D'ANALYSE INFORMATIQUE II (M.A.I, II), Cours dispensé en G3 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2014-2015, (Inédit),p.14

* 26Idem, p.15

* 27 KUTUMBAKANA, P., METHODOLOGIE D'ANALYSE INFORMATIQUE II (M.A.I, II), Cours dispenséen G3 Informatique de Gestion, ISC-KIS 2014-2015(Inédit),p.14

* 28 Idem

* 29 KUTUMBAKANA, P., Cours déjà cité, p.36

* 30KUTUMBAKANA, P., Cours déjà cité, p.46

* 31 http://www. Comment ça marche.net

* 32 Idem

* 33KAKULE MILANDO E., Cours déjà cité, p.51

* 34 KUTUMBAKANA, P., Cours déjà cité, p.67

* 35 KUTUMBAKANA, P., Cours déjà cité, p.69

* 36 KUTUMBAKANA, P., Cours déjà cité, p.20

* 37KIKUNI, BUNGULU, J., TECHNIQUES DES BANQUES DES DONNES, Cours dispensé en G3 Informatique de Gestion, ISC-KIS, 2014-2015,(Inédit), p.15

* 38 KAKULE MILANDO, E., Cours déjà cité, p.25

* 39KAKULE MILANDO E., Cours d'analyse Informatique II, déjà cité p.56

* 40 Idem

* 41 KUTUMBAKANA, P., MAI II, Cours déjà cité, p.96






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"Soit réservé sans ostentation pour éviter de t'attirer l'incompréhension haineuse des ignorants"   Pythagore