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De l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans les activités des entreprises de la ville de Goma.

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par Jospin B. MANEGABE THOBISI
Université Libre des Pays des Grands Lacs/Goma - Licence en Economie et Gestion 2014
  

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ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, UNIVERSITAIRE ET RECHERCHE SCIENTIFIQUE

UNIVERSITE LIBRE DES PAYS DES GRANDS LACS

« ULPGL »

BP : 368 /GOMA

FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION

« Cas des Quelques Entreprises de la ville de Goma »

251615744Département de Gestion

Présenté par :

Jospin B. MANEGABE TOBISI

Mémoire présenté et défendu en vue de l'obtention du diplôme de licencié en Sciences Economiques et de Gestion.

Option : Gestion des Entreprises

Directeur : Gaston KIMBUANI MABELA

Professeur Ordinaire

Encadreur : Jean -Pierre KISONIA MUSUBAO

2014

Chef de Travaux

EPIGRAPHE

« Les NTIC, un miroir pour les entreprises modernes »

Jospin B. MANEGABE Tobisi

DEDICACE

A notre Père THOBIS MULEKEZI BIGEGA ;

A notre Mère NAOMIE M'NCHUNGUINKA M;

Au Grand frère John BINEZA et son épouse Stéphanie KOKO ;

A l'assistant 2 Jean- Claude MAPENDANO ;

A toute la famille BIGEGA ;

A toute la famille MUHINDAGIGA.

Jospin B. MANEGABE TOBISI

REMERCIEMENTS

Pour arriver à l'étape où nous sommes aujourd'hui, c'est-à-dire la fin du second cycle de nos études universitaires, il a fallu que DIEU veille sur nous, lui qui est l'intelligence infinie. Nous lui sommes très reconnaissant et n'avons malheureusement pas de mots assez forts pour lui exprimer notre profonde gratitude.

Nos remerciements s'adressent tout d'abord au Professeur Gaston KIMBUANI MABELA, Directeur de ce travail qui, malgré ses multiples occupations, a bien voulu mettre son savoir à notre disposition.

Nous ne saurions taire la contribution du Chef de Travaux Jean-Pierre KISONIA MUSUBAO, notre encadreur, pour les remarques, orientations et suggestions qui ont été d'un grand apport dans la réalisation de ce travail.

Nous adressons nos très sincères remerciements à tout le corps professoral de l'Université Libre des Pays des Grands Lacs en général et celui de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion en particulier, qui s'est usité corps et âme tout au long de notre épanouissement au devenir de ce que nous sommes aujourd'hui.

Il serait injuste de notre part de ne pas évoquer l'apport incommensurable de notre Père THOBIS BIGEGA, notre Mère NAOMI et notre grand frère John BINEZA et son épouse Stéphanie KOKO pour leur soutien tant financier que moral.

Notre reconnaissance est si grande à notre grand-mère M'KISHAMI, à notre Oncle maternel Fidèle MUHINDAGIGA, son épouse Angélique SHAMAVU ainsi que l'Assistant2

Jean-Claude MAPENDANO de nous avoir assisté d'une manière ou d'une autre au cours de notre cursus académique.

Notre sentiment de gratitude s'adresse aussi à notre grande soeur APENDEZA Habamungu et son époux Blaise SINDANI, au grand frère Hercule BAHATI et son épouse, au grand frère HABIRAGI et son épouse ainsi qu'à la famille Philémon.

Hommage aussi à nos frères et soeurs, cousins et cousines, tantes et oncles pour tout ce qu'ils ont été pour nous.

Que tous nos ami(e)s et camarades, compagnons de lutte avec lesquels nous avons enduré toutes les souffrances de la vie estudiantine dont le fruit est ce travail, trouvent en ces quelques lignes l'assurance de notre considération.

Qu'il nous soit permis de présenter également nos très sincères remerciements à tous ceux et toutes celles qui ont contribué d'une manière ou d'une autre à la réussite de notre cursus académique.

Jospin B. MANEGABE TOBISI

SIGLES ET ABREVIATIONS

ASBL: Association Sans But Lucratif

BD: Base des Données

CA : Chiffre d'Affaires

CD: Compact Disc

CD-ROM: Compact Disc Read Only Memory

DAT : Digital Audio Tape

DON : Disque Optique Numérique

e- mail : Electronic-mail ou courrier électronique

ERP : Entreprise Ressource Planning

EURL : Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée

FSEG : Faculté des Sciences Economiques et de Gestion

Go : Giga octet

GRH : Gestion des Ressources Humaines

KM: Kivu Motor

Ko: Kilo octet

Mo : Méga octet

NF : Non Fourni

NTIC : Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication

PAO : Publication Assistée par Ordinateur

PDG : Président Délègue Général

PGI : Progiciels de Gestion Intégrés

ROM: Read Only Memory

SA : Société Anonyme

SARL : Société par Action à Responsabilité Limitée

SGBD : Système de Gestion de Base des Données

SGBDR : Système de Gestion de Base des Données Relationnel

SIG : Système d'Infirmation Générale

SPRL : Société des Personnes à Responsabilité Limitée

SPSS: Statistical Package for Social Sciences

TIC : Technologie de l'Information et de la Communication

ULPGL : Université Libre des Pays des Grands Lacs

Wi-Fi: Wireless- Fidelity

WWW: World Wide Web

RESUME

Cette étude qui a porté sur l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans les activités des entreprises congolaises en général et celles de la ville de Goma en particulier poursuit un triple objectif, à savoir :

· Dégager les infrastructures technologiques utilisées par les entreprises de la ville de Goma ;

· Connaitre les opérations couramment passées au moyen des TIC dans ces entreprises ;

· Evaluer le temps d'exécution des certaines opérations grâce aux TIC.

Les questions suivantes ont servi comme guide de notre étude :

Ø Quelles sont les infrastructures technologiques utilisées par les entreprises de la ville de Goma ?

Ø Quelles sont les opérations couramment passées via les TIC ?

Ø Qu'en est-il des TIC dans la gestion du temps au sein des entreprises de la ville de Goma?

Nos hypothèses de recherche ont été formulées de la manière ci-après :

Ø Les infrastructures technologiques utilisées par les entreprises de la ville de Goma seraient les ordinateurs, les téléphones et le service internet ;

Ø Les opérations couramment exécutées au travers les TIC seraient le stockage des informations ou de données, le contact avec les clients, la commande de fournitures, etc ;

Ø Les TIC permettraient aux gestionnaires/ manager des entreprises et des organisations de la ville de Goma à optimiser le temps d'exécution des certaines opérations au moyen d'un logiciel de gestion intégré dans les activités de ces dernières.

Pour la vérification de nos hypothèses, nous avons fait recours à la technique par questionnaire, à la méthode analytique  ainsi qu'au logiciel SPSS.

Au terme de nos analyses, toutes nos hypothèses ont été confirmées. Nous avons ainsi trouvé que les NTIC sont utilisées dans les entreprises de la ville de Goma pour une gamme d'opérations comme : la facturation, comptabilité des ventes, classement de documents, élaboration des rapports, envoyer et recevoir de courriers, marketing, communication avec les partenaires étrangers etc.

SUMMARY

This survey that was about the impact of new technologies of information and the communication in general on the activities of the Congolese enterprises and those of the city of Goma in particular; pursues an objective triple, to know:

To "clear the technological infrastructures used by the enterprises of the city of Goma;

To "know the operations highly automated in these enterprises;

To "value the time of execution of the some operations thanks to the TIC.

The following questions served as the guide of our survey:

What are the technological infrastructures used by the business (enterprises) of the city of Goma?

What did the operations pass fluently via the twitch?

That is some him of the management to the twitch in the enterprises of the city of Goma?

Our hypotheses of research were formulas of the following manner:

The technological infrastructures used by the enterprises by the enterprises of the city of Goma would be the computers, the telephones or even the service internet;

The operations fluently executed through the twitch would be the storage of the information or data, contact with the customers, the order of supplies, etc; in relation to the management of the time, we only noted thanks to the twitch, the administrators of the enterprises of the city of Goma optimized the time of treatment of the commercial operations strongly and it while resorting to the service internet and the specialized software.

For the verification of our hypotheses we used the technology of investigation by questionnaire, the documentary technique as well as the SPSS software package.

To the descended of our analyses, all our hypotheses have been confirmed. We found that the NTIC have an impact on the activities of the enterprises of the city of Goma as the pictures n° describes it: 9, 10, 11and 18

LISTES DE FIGURES ET DE TABLEAUX

Liste de figures

Figure 1: Document support d'information"Bon de commande" ii

Figure 2: Théorie cybernétique de la communication 23

Figure 3: Pyramide de besoins selon A. MASLOW 34

Liste de tableaux

Tableau 1 : Répartition selon le secteur d'activité ii

Tableau 2: Répartition selon l'activité principale 45

Tableau 3: Répartition selon le type d'entreprise 46

Tableau 4:Outils de TIC par les entreprises. 46

Tableau 5: Répartition des outils de NTIC dans les entreprises 47

Tableau 6: Les avantages apportés par l'utilisation du téléphone dans les entreprises 47

Tableau 7: Les avantages apportés par l'utilisation de l'ordinateur dans les entreprises 48

Tableau 8: Les avantages apportés par l'utilisation de l'internet dans les entreprises 48

Tableau 9: Les tâches exécutées manuellement prises en charge par le téléphone 49

Tableau 10: Les tâches exécutées manuellement prises en charge par l'ordinateur 49

Tableau 11: Les besoins pris en charge par l'internet 50

Tableau 12: De l'existence d'un réseau local dans les entreprises 50

Tableau 13: Possession d'un serveur des données par les entreprises ayant un réseau local 51

Tableau 14: Type de connexion internet dans les entreprises 51

Tableau 15: Existence d'un service informatique 52

Tableau 16: Les charges du service informatique au sein des entreprises 52

Tableau 17: La qualification du service informatique du point de vue performance 53

Tableau 18: Les opérations effectuées à l'aide des outils de TIC 53

Tableau 19: L'évolution des frais affectés au transport dans les entreprises en recourant aux outils de TIC 54

Tableau 20: Accessibilité au réseau de l'entreprise tout en étant hors entreprise 55

Tableau 21: Les moyens d'accéder au réseau 55

Tableau 22: Nécessité d'avoir un site Web pour les entreprises 56

Tableau 23: L'achat sur internet de produits et services par les entreprises 56

Tableau 24: Les moyens de paiement lors de l'achat par internet aux entreprises 57

Tableau 25: Disponibilité des logiciels de gestion dans les entreprises 58

Tableau 26: Les progiciels de gestion disponibles par nos sujets 58

Tableau 27: Utilisation de logiciel spécifique 59

Tableau 28: La disponibilité de logiciels spécifiques dans les entreprises 59

Tableau 29: Les moyens de communication utilisés par les entreprises au plan interne 60

Tableau 30: Les moyens de communication de l'entreprise avec l'extérieur à l'entreprise 60

Tableau 31: La possession d'une adresse mail par les entreprises 61

Tableau 32: Les raisons pour lesquelles les entreprises possèdent l'e-mail 62

Tableau 33: L'outil de TIC le plus utilisé par rapport aux autres 62

Tableau 34: Les capacités de disque dur des ordinateurs disponibles 63

Tableau 35: Les capacités de RAM des ordinateurs dans les organisations 63

Tableau 36: Les programmes les plus usuels dans les entreprises 64

Tableau 37: Les problèmes liés à l'utilisation des ordinateurs 64

INTRODUCTION

0.1. ETAT DE LA QUESTION

Nous avons consulté quelques travaux qui ont déjà traité des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans le secteur économique et cela dans la ville de Goma, notre milieu d'étude. Concernant notre travail, un seul travail nous intéresse à savoir :

« L'appréciation de la NTIC sur la gestion des entreprises : cas de ville de Goma  » de Hendrix LILAMA BOGUMAKI, année universitaire 2003- 2004.

Dans ce travail, l'analyste a voulu savoir comment les opérateurs économiques de la ville de Goma apprécient l'intégration des NTIC afin d'améliorer la gestion de leurs firmes en s'intéressant surtout à l'outil informatique.

Les résultats lui ont permis de conclure que « Les entreprises de la ville de Goma font recours aux technologies de l'information et de la communication afin de leur assurer une communication rapide et facile et bien donc les outils des NTIC sont très appréciables dans la gestion des entreprises de la ville de Goma ».

Pour notre part, dans le cadre de notre sujet, nous traitons de l'utilisation des technologies de l'information et de la communication dans les activités des Entreprises congolaises en général et en particulier celles de la ville de Goma notamment le téléphone, l'ordinateur et le service Internet en vue de répondre au « pourquoi » et « comment » de cette utilisation.

0.2. PROBLEMATIQUE

Pour se faire connaitre et se maintenir sur un marché fortement concurrentiel, les entreprises quelle qu'en soit la taille doivent entretenir une certaine image. Cette image de marque, c'est-à-dire la perception de l'entreprise par le public, repose sur des critères rationnels (chiffre d'affaires, nombres de salariés, part de marché, coûts de transport, l'information au moment opportun,...) et sur des éléments subjectifs comme l'idée reçue, symbole,...

L'entreprise doit informer sur son savoir- faire : qualité, utilité, performance technique et technologique des produits et procédés. Il lui faut donc être en état d'alerte permanente, surveiller les évolutions techniques et technologiques. Elle doit également informer sur son savoir-vivre : accueil, appel téléphonique, localisation, décoration, panneau publicitaire électronique, logiciels de gestion, ...

Elle ne pourra atteindre ses objectifs qu'en intégrant les moyens favorables à son personnel mais aussi qui permettent les activités viables à sa clientèle1(*).

Depuis, les hommes utilisaient deux grands moyens de transmission de l'information afin de se communiquer à savoir la parole et l'écrit. Bien pendant la période allant du 16e au 17esiècles, l'art de bien parler, autrement dit la «la Rhétorique », a été la technique de communication la plus considérable ou d'excellence. Le monde évolue jour et nuit avec la mondialisation. Elle laisse place petit à petit aux écrits quelle que soit la confiance accordée à l'informateur2(*)

En outre, retenons que la parole et l'écrit n'étaient pas utilisés sur toute l'étendue de l'univers parce qu'on pouvait observer facilement les gens qui communiquaient par les gestes et d'autres signaux.

L'évolution de l'homme a été jalonnée par un certain nombre des termes scientifiques reflétant les préoccupations et l'outillage technologique de chaque époque. Notre ère est celle de la circulation de l'information et son traitement dans tous les domaines. L'homme de la fin du 20e siècle subit une inversion de l'information, il est noyé libéralement dans une masse d'informations provenant en même temps avec décollage dans le temps d'une multitude de sources. Le grand problème qui se pose alors est celui de savoir comment recueillir ces informations, les organiser, les analyser afin d'en tirer le maximum de profit. Nous vivons dans un monde caractérisé par l'omniprésence de l'information. Ceci pose un réel défi pour quiconque veut rester au fait bien de l'actualité que des exigences de la vie sociale et économique. A bien des égards, celui qui ne saura pas gérer cette espace de données, de connaissances et de communication car sera dans une situation de dépendance analogue de ceux qui ne savent pas lire, ne savent pas trouver leur chemin sur une carte ou remplir un formulaire.3(*)

Les entreprises, quels que soient sa taille, son volume représentent une unité économique d'où elles peuvent produire ou distribuer (vendre), mais elles constituent une collectivité en capital humain qui a toujours besoin de se communiquer, de dialoguer afin d'atteindre les objectifs de l'organisation. Ce capital peut être interne ou externe à l'entreprise.

Par communication, les individus reçoivent des messages et ils doivent réagir en retour pour confirmer sa réception. L'importance de la communication dans les entreprises a toujours été un fait réel. Dans l'usage de l'activité actuelle, la communication et l'information acquièrent une place primordiale comme facteur de performance. Ecouter, parler, être connecté avec ou en relation à travers les multiples canaux quel que soit le lieu géographique, voilà l'essentiel du travail de responsable en gestion des entreprises aussi de plus des opérateurs qui ne veulent plus limiter leurs actions à leur poste de travail4(*).

De manière que la capacité humaine est limitée pour la réception et la diffusion ou la transmission des messages, en grande quantité et diverses formes qui soient, les hommes expérimentés à la conception des nouveaux moyens de communication qui soient aptes et efficaces à l'exécution de tâches liées aux activités quotidiennes des organisations s'est avérée important et obligatoire en ce 20e siècle jusqu'à nos jours.

La seconde moitié du 20e siècle a connu un essor sans précédent des moyens de communication au point que l'on parle parfois aujourd'hui de la troisième révolution industrielle. Désormais, les écrits, les sons et les images, peuvent être transmis partout instantanément, marquant l'événement de la communication de masse ou communication ouverte5(*).

La réception et la diffusion des messages nécessitent un traitement qui porte sur l'information. Le traitement de l'information est une activité essentielle dans les sociétés modernes. Une partie importante du moment où des heures actives d'un individu sont consacrées à la recherche, à acquérir, à enregistrer et à manipuler des informations une fois reçues. Les outils de communication appartiennent à notre vie sur la terre et à nos activités, à nos postes de travail.

L'immensité des problèmes à résoudre, l'importance numérique d'informations à brasser, l'étendue de ses domaines d'application sont telles qu'il serait à peine imaginable de concevoir un monde sans ordinateur6(*)

Faut-il spécifier maintenant que chaque jour, beaucoup de millions des personnes empruntent les routes de virtualités partout dans les coins du monde. Elles surfent (adaptent ses comportements aux circonstances du monde informatique) dans les magasins en ligne (achat sur internet), recherchent de l'information se trouvant dans les banques de données, lisent et envoient des messages électroniques,...

De nos jours, la révolution des réseaux sociaux (télécommunication, facebook, twitter, Google,...) étant une des composantes de NTIC, a gagné tous les secteurs de la vie sur la terre, toutes les couches de la population (économique, sociale, politique), les individus pris particulièrement, voire des entreprises.

Les entreprises sont appelées à gérer des informations de diverses natures mais également de diverses sources. Ces informations concernent de prime abord leur fonctionnement, leur environnement (interne : le personnel, externe : les clients et fournisseurs), ou d'autres relations qu'ont les entreprises avec les différents partenaires ou acteurs.

Le monde économique est habitué aux bouleversements technologiques.

Les vagues d'innovations qui se sont succédé durant les dernières décennies dans le domaine des technologies de l'information et de la communication ont profondément modifié les coûts engagés dans les activités économiques. Cette innovation ne passe pas inaperçue par les gestionnaires des entreprises de la ville de Goma.

Certaines Entreprises de la ville de GOMA n'arrivent pas à satisfaire les besoins attendus avant l'utilisation des NTIC suite à la qualité et à la performance de fonctionnement ou au personnel non formés pour l'utilisation de ces outils. 

De ce qui précède, nous formulons la question principale de la manière suivante :

Pour quelles raisons les entreprises de la ville de Goma recourent-t-elles aux outils des NTIC dans leurs activités quotidiennes ?

De cette question principale découlent les questions spécifiques ci-dessous :

1. Quelles sont les infrastructures technologiques utilisées par les Entreprises de la ville de Goma ?

2. Quelles sont les opérations couramment passées via les TIC ?

3. Qu'en est-il des TIC dans la gestion du temps au sein des entreprises de la ville de Goma?

Ces interrogations sont la base principale pouvant nous permettre de savoir les raisons et les causes pour lesquelles les entreprises de la ville de Goma utilisent les outils des NTIC dans leurs activités.

0.3. HYPOTHESE

REZSOHAZY R, indique que « L'hypothèse cherche à établir une vision provisoire du problème soulevé en équivalent la relation supposée entre les faits sociaux dont le rapport constitue le problème en indiquant la nature de ce rapport.7(*) ».

Elle est une proposition de réponses aux questions posées, elle tend à formuler une relation entre les faits significatifs.8(*)

Une entreprise n'est pas délivrée du monde qui l'entoure et ne doit pas non plus limiter ses informations à l'intérieur d'elle-même. Il est nécessaire de s'enquérir de l'environnement extérieur et d'échange avec ce dernier lorsque cela s'avère indispensable. Cet échange, aussi bien en interne qu'en externe peut se faire par l'utilisation des outils des TIC.

C'est ce qui nous pousse à formuler nos hypothèses de la manière suivante :

1. Les infrastructures technologiques utilisées par les Entreprises de la ville de Goma seraient les ordinateurs, les téléphones fixes et portables voire le service internet afin de rendre la communication rapide et disponible.

2. Les opérations couramment exécutées via les TIC seraient le stockage des informations, le contact avec les clients, la commande des fournitures dans le but de rendre les services opportuns.

3. Les TIC permettraient aux gestionnaires/ manager des entreprises et des organisations de la ville de Goma à optimiser le temps d'exécution des certaines opérations au moyen d'un logiciel de gestion intégré dans les activités de ces dernières.

04. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Le monde économique étant en évolution perpétuelle, le présent se diffère du passé, beaucoup de secteurs parlent des nouvelles technologies de l'information et de la communication comme par exemple à la radio, à la télévision, dans les ouvrages et autres sources. C'est dans cette optique que nous voulons, non seulement explorer ce domaine, mais aussi savoir les causes qui poussent les acteurs du secteur économique à utiliser les outils de ce domaine.

L'objectif principal de la présente étude est: « De savoir les infrastructures technologiques en usage dans les entreprises de la ville de Goma afin de connaitre leurs raisons d'être au besoin de son utilisateur ».

Les résultats de notre étude pourront ainsi être profitables aussi bien aux particuliers qu'aux entreprises voire à d'autres scientifiques soucieux d'un thème pareil. De manière pratique, avec l'utilisation des dites technologies, les curieux du savoir pourront mieux exploiter les opportunités qu'offrent les TIC.

Cependant, notre recherche se veut une contribution à l'amélioration de la communication en matière de gestion des entreprises dans la ville de Goma en particulier et en milieu économique Congolais en général.

05. METHODOLOGIE DU TRAVAIL

Toute étude scientifique exige des méthodes et des techniques pour mieux saisir son importance, comprendre son objectif afin d'atteindre le résultat escompté. Notre travail n'a pas échappé à cet impératif.

Pour réaliser cette étude, la récolte des données a été effectuée grâce aux techniques suivantes :

Ø La méthode analytique : elle nous a permis d'analyser systématiquement les données récoltées dans les entreprises de la ville de Goma utilisant l'un ou l'autre outil de communication ;

Ø La technique par questionnaire : elle nous a servi à connaitre les raisons qui motivent les entreprises de la ville de Goma à utiliser les outils des NTIC;

Notre traitement et analyse des données a été rendu possible grâce au logiciel SPSS 14.8 qui nous a permis de représenter nos résultats sous forme d'effectif et de pourcentage.

06. DELIMITATION DU SUJET

Les TIC sont en usage partout dans les entreprises à telle enseigne que les particuliers en profitent. Notre étude a été circonscrite sur l'étendue de la ville de Goma.

Dans le temps, cette étude que nous avons entreprise se réfère aux activités des entreprises conformément à l'utilisation de la TIC, cela à partir de l'année de la première utilisation des outils de la NTIC, qui implique sa délimitation dans le temps. Ce travail s'inscrit dans le domaine de technologie de l'information et de la communication.

07. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Ce travail s'articule sur trois chapitres hormis l'introduction et la conclusion.

Le premier chapitre porte sur l'aspect terminologique des NTIC, le deuxième chapitre traite de l'Entreprise et des secteurs d'Activités des entreprises dans la ville de GOMA alors que le dernier chapitre concerne les Technologies de l'Information et de la Communication dans les Entreprises de la ville de Goma.

CHAPITRE PREMIER : ASPECTS TERMINOLOGIQUES SUR LES NTIC

Dans ce chapitre, nous allons définir des termes ou concepts clés afin de faire comprendre à toute personne (opérateurs économiques, financiers, entrepreneurs,...) l'ampleur de nos recherches au travers ce chapitre. Il est subdivisé en trois sections, notamment les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication, le concept de l'information, la technologie et la communication.

Les coûts liés à la communication dans les organisations sont aussi évoqués dans ce chapitre et suivi des outils ou des infrastructures en NTIC dans les entreprises de la ville de Goma.

I.1.APERÇU SUR LES NTIC

Au regard de ce qui précède, il nous est important de donner une brève notion sur les NTIC et leurs rôles au sein des entreprises.

I.1.1. Notion

Le terme NTIC (Nouvelles Technologie de l'Information et de la Communication) ou TIC (Technologie de l'Information et de la Communication) est une invention des ingénieurs réseaux. C'est l'avènement de l'Internet comme médias de masse et le succès des blogs, des wikis ou technologies P2P qui ont conféré aux NTIC une dimension sociétale9(*).

Par définition, les NTIC désignent tout ce qui relève des techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations, principalement l'informatique, l'Internet et les télécommunications10(*). Les NTIC sont une combinaison de trois domaines: l'Electronique, L'Informatique et Communication11(*)

I.1.2. Avantages de l'investissement dans les TIC

L'investissement, dans les TIC, serait l'un des principaux moteurs de compétitivité des entreprises. Il est d'ailleurs reconnu que le développement des TIC favorise le commerce et l'économie12(*).

· Au niveau du système d'information, il y a : hausse de la productivité du travail pour la saisie de l'information, donc baisse des coûts ; délocalisation de la production (exemple : call centers) ; meilleure connaissance de l'environnement ; amélioration de l'efficacité de la prise de décision permise par une veille stratégique plus performante.

· Au niveau de la structure de l'entreprise et de la gestion du personnel, il y a une organisation moins hiérarchisée, le partage de l'information et une meilleure GRH (recrutement, etc.).

· Au niveau commercial, il y a de nouveaux circuits de production grâce à l'extension du marché potentiel (e-commerce), il y a baisse des coûts d'approvisionnement, développement des innovations en matière de services et réponses aux besoins des consommateurs et amélioration de l'image de marque de l'entreprise.

Il faut quand même noter quelques limites de l'investissement dans les TIC dû au coût du matériel, des logiciels, de la maintenance et du renouvellement, à l'apparition d'un suréquipement par rapport aux besoins et donc une sous-utilisassions des logiciels, au coût de la formation du personnel, de sa résistance aux changements, au coût généré par la modification des structures, par la réorganisation du travail, par la surabondance des informations, à la rentabilité difficilement quantifiable, etc.

I.1.3. Rôles des NTIC13(*)

Dans les changements organisationnels, différents rôles peuvent être assignés à la technologie : facilitateur, transformateur, support, incitant, traducteur ou prétexte.

I.1.3.1. Le rôle facilitateur et support des TIC14(*)

a. Rôle facilitateur

Le cas le plus répandu est sans doute celui où la technologie joue un rôle de facilitateur des changements. Ils permettent en effet une meilleure efficience dans la gestion de la production, la gestion commerciale et dans la gestion des ressources humaines. Dans cette optique, ils offrent une panoplie d'outils, modulables et adaptables à souhait. C'est ce qui se passe, lorsque les TIC sont utilisées pour faciliter la gestion de multiples formes de travail flexible, comme dans le commerce de grande distribution, la gestion comptable.

b. Rôle support des TIC

La technologie peut aussi jouer un rôle plus fort, quand elle fournit une infrastructure de support indispensable au changement organisationnel. C'est le cas du développement des services financiers. Les TIC ne sont pas seulement un facilitateur des restructurations de la banque et de l'assurance, mais elles constituent aussi l'infrastructure de base des nouveaux services tels que monnaie électronique, guichets automatiques, banque et assurance en ligne (sur Internet), centres d'appel, etc.

I.1.3.2. Le rôle incitant, traducteur et prétexte des TIC

a. Rôle incitant des TIC

La technologie peut encore jouer un rôle plus dynamique, quand elle sert d'incitant à l'innovation. Ainsi le livre numérique, la presse en ligne, l'édition multimédia sont des opportunités d'innovation que des entreprises de presse et d'édition ont pu saisir en profitant du développement de l'Internet et en s'emparant de certaines de ses potentialités.

b. Rôle traducteur des TIC

En raison de sa nature systémique, la technologie peut aussi jouer un rôle de traducteur, c'est à- dire matérialiser une stratégie de réorganisation abstraite. Les progiciels de gestion intégrée jouent ce rôle : ils traduisent en procédures de travail et en applications informatiques une stratégie de rationalisation de la gestion comptable, logistique et administrative d'une entreprise.

c. Rôle prétexte des TIC

Enfin, combien de fois la technologie ne joue-t-elle pas simplement un rôle de prétexte, quand elle est accusée d'être la cause de changements organisationnels ratés, de procédures inefficaces ou de dysfonctionnements mal gérés ? Les TIC ont souvent servi de cache-misère à des dirigeants d'entreprises incapables d'envisager et de gérer une réorganisation en profondeur, qui se retranchent alors derrière une informatisation autoritaire.

I.2. Les outils de NTIC, matériels de traitement d'information15(*)

Dans ce point il est question de présenter les matériels nécessaires au traitement, au stockage et à la diffusion des données quelle soit leur nature : chiffre, texte, son, du domaine électronique,...

Nous en avons plus mais nous en citons la calculatrice, le téléphone, l'ordinateur et l'internet.

I.2.1. La calculatrice

Outils incontournable et connait de génération comme d'autres outils informatiques, nous distinguons trois types.

1. La calculatrice de poche 

Recherchée pour son format et son cout réduits, elle présenté les inconvénients d'une mémoire limitée à un nombre, d'une capacité limitée à 8chiffres. En outre, elle ne dispose pas d'un système d'impression.

2. La calculatrice de Bureau

Elle dispose d'un système d'impression, peut être alimentée par secteur et a une capacité de 10 à 12 chiffres. Son clavier, plus et plus ergonomique, en est le meilleur avantage.

3. la calculatrice programmable

Elle dispose d'une mémoire d'une capacité égale ou supérieure à 32Ko permettant la sauvegarde de programmes de calcul longs et complexes qui s'ajoutent aux fonctions intégrées dont elles disposent : fonction graphique, statistique,...

Ces calculatrices sont parfois équipées d'un écran graphique. Si elle présente l'avantage de la programmation : gain de temps dans l'exécution de calcul répétitifs (par exemple devis, métrage,...), elle en a aussi l'inconvénient de nécessité d'une connaissance de la programmation. De plus, tout comme le micro- ordinateur, c'est un matériel qui évolue très vite.

I.2.2. L'Ordinateur

L'ordinateur est un outil de traitement et de stockage des informations, un équipement informatique de traitement automatique de données comprenant les organes nécessaires à son fonctionnement autonome. Ses organes sont matériels d'une part et logiciels d'autre part :

Les matériels sont par exemple le clavier, le moniteur ou écran, unité de disquette, unité de disques magnétiques,...

Le processeur et la vitesse de transmission indiquée en Mhz déterminent la rapidité de traitement et de transmission de données. Lorsque vous avez à choisir un ordinateur, vous tenez compte notamment des indications suivantes :

o Le nom du processeur et sa vitesse de transmission ;

o La capacité de mémoire vive ;

o La capacité des disques durs

Ces capacités déterminent le nombre d'informations qu'il sera de traiter en temps rée (mémoire vive) ou sauvegarder pour un traitement différé (disque dur).

Pour les logiciels : ils nous donnent le pouvoir d'utiliser l'ordinateur grâce à :

o Un système d'exploitation

La création d'interfaces, telles que celle existant sur Macintosh chez Apple ou celle proposée par tout IBM et compatibles, rend l'utilisation du système d'exploitation totalement transparente. Ces interfaces offrent en effet la possibilité de gérer tous les périphériques de manière conviviale.

o Des Logiciels d'Application

Parmi les plus utilisés retenons :

- Le texteur, permettant de traiter les textes courants, allant même jusqu'à la publication assistée par Ordinateur, tel est l'exemple de Word ;

- Le tableur, feuille de calcul électronique permettant de présenter des données sous forme de tableau, combiné souvent à un grapheur ; nous citons l'exemple d'Excel ;

- Le SGBD (système de gestion de base de données) permet de pousser plus simple de gérer des fichiers, et sous sa forme la plus élevée d'établir des relations entre plusieurs fichiers. On parle alors de SGBDR (système de gestion de base de données relationnel ; l'exemple dans ce cas est celui d'Access ;

- Le logiciel de PAO (publication assistée par ordinateur) permet de pousser plus loin la présentation de document en offrant des fonctions de photocomposition, de graphisme très élaborées ; tel est le cas de PowerPoint, Publisher,...

- Le progiciel de Gestion Intégrés (PGI) ou Entreprise Ressource Planning (ERP)16(*)

L'ERP ou PGI est un logiciel intégré dont les divers modules permettent de traiter l'ensemble des fonctions (finances, production, ventes, comptabilité, ressources humaines, etc.) de l'entreprise. Cette démarche n'est pas une nouveauté. A l'instar des bases de données décisionnelles ou le « Data Warehouse », les logiciels d'ERP sont également à même de traiter les données pour planifier, analyser, prévoir et prendre une décision. L'ERP n'est que le dernier nom (il aura sans doute des successeurs) d'une évolution déjà longue.

Dans la mesure où il concerne l'ensemble des fonctions de l'entreprise, le choix d'un logiciel intégré est un choix stratégique majeur d'un gestionnaire. Les gains de productivité attendus concernent également des fonctions, diminutions des coûts tout au long de la chaine logistique, réduction des délais de fabrication et de livraison, réduction des stocks, élargissement de la gamme des produits et des options, amélioration de la qualité et respect des délais, meilleure coordination entre demande, offre et production, amélioration de la maintenance informatique, réduction des coûts de formation, réduction du coût total des logiciel, etc.

La mise en marche d'un logiciel intégré, s'accompagne fréquemment d'une remise à plat de l'ensemble des procédures de l'entreprise. Elle se traduit par une réingénierie des services ou par un calage plus strict de l'organisation à celle spontanément dictée par le logiciel qui bouleverse les habitudes et menace fortement l'emploi.

I.3. L'INFORMATION

Dans ce point qui concerne l'information, nous allons d'abord procède par les définitions retenues et tirées dans différents ouvrages selon différents auteurs. Après ces définitions nous avons scindé ce point en quatre étapes ou temps :

I .3.1 Définitions

Une multitude de définitions du terme « Information » a été énoncée. Retenons que pour ARDOINO17(*), l'information au sens général du mot (in- former, mettre forme dans, donner former à) représente soit une opération (l'action d'informer) soit le contenu (une donnée qui informe).

Ce terme « information » peut être utilisé pour décrire des réalités différentes. La définition proposée ici décrit l'information comme un écrit, c'est-à-dire comme un objet matériel qui est susceptible d'abriter une connaissance. Cet objet, cet écrit, peut avoir diverses formes (mots, sons, images) ou supports (papier, bande magnétique, puce électronique18(*)...).

Pour les Economistes américains, l'information en Anglais est l'ensemble des activités qui consistent dans la collecte, le traitement ou la communication de nouvelles d'activités, de renseignement divers ou d'élément de connaissance.

I .3.2. Sources d'information dans les Entreprises

Les besoins d'information ayant multiple sources, par exemple les besoins d'information d'ordre technique pour l'amélioration d'une procédure informatique ou encore le besoin d'information d'ordre juridique pour réduire le coût de recrutement,... ; il s'agit maintenant de trouver l'information le plus rapidement possible et pour cela nous devons savoir où le trouver. A la disposition des Entreprises il ya d'information d'origine externe mais également d'information d'origine interne19(*).

I .3.2.1. Les sources d'information Externes20(*)

Elles sont nombreuses et d'origines diverses, comme par exemple l'étude de marché, l'information d'ordre technologique,...

Pour mieux choisir une bonne source d'information Externe, il faut tenir compte de trois éléments :

§ Le coût : est un montant exprimé en monnaie, des charges nécessaires à l'acquisition ou à la production d'un bien ou d'un service.

§ La pertinence : les informations proposées doivent être exploitables par l'entreprise.

§ La mise à jour : en effet, une information périmée n'est d'aucun intérêt pour l'entreprise. De ce point de vue les banques de données sont plus fiables.

Les banques des données BD en sigle, est un moyen d'accès à l'information plus facilement. Les banques des données permettent à l'utilisateur d'accéder directement au texte ou à l'information plus particulièrement recherchée.

Elles ont comme modes de consultation ; soit par Menu, par Mots clés ou soit par Hyper document.

· Par Menu : la BD est structurée sous forme d'arbre. A chaque branche correspond un Menu. L'utilisateur sélectionne une option qui lui ouvre un autre menu,... et ainsi de suite jusqu'à l'accès de l'information.

· Par Mots clés : l'utilisateur saisit un ou plusieurs mots clés qui lui permettent d'accéder directement à l'information. La liste de mots clés doit être connue par l'utilisateur ou proposée à l'écran.

· Par Hyper document : on parle d'hyper document lorsqu'il suffit de cliquer sur une zone ou un mot appartenant à un document pour obtenir un autre écran affichant à son tour un document en rapport avec la sélection effectuée. Ce deuxième document est constitué également de zones ou des mots sur lesquels il suffit de cliquer, ce qui affine à chaque fois la recherche.

I .3.2.2. Les sources d'Information Internes21(*)

L'entreprise dispose par ailleurs d'un flot d'informations émanant de ses différents services :

· Les informations chiffrées (production, CA réalisé, taux d'absentéisme du personnel,...) ;

· Les informations sociales (le climat dans l'entreprise à l'annonce d'une restructuration, réaction face à l'acquisition des nouveaux matériels,...) ;

· Informations juridiques communiquées par le service du personnel,....

Notons que le centre de documentation reste cependant l'organe le plus diffuseur de l'information. Sa place est prépondérante et son activité est nécessaire à l'entreprise.

I.3.3. Supports d'Information

Les informations collectées doivent être organisées de manière à être exploitées par tous. On organisera tout d'abord le support destiné à recevoir l'information collectée, puis le stockage de ces différents supports. On distingue :

I.3.3.1. Les Supports Papier 

Ces sont les supports les plus couramment utilisés ; le support papier est destiné à recevoir l'information collectée, est appelée imprimé. Il peut être utilisé pour transmettre une information ; on parle alors d' « imprimé de liaison » ou pour conserver l'information ; il s'agit alors d' « imprimé de position ».

· L'imprimé de liaison

L'objectif de ce document n'étant que de transmettre une information, sa durée de vie est très courte. Il est rarement consulté à la fin du processus. Sa structure ou les éléments constituant de sa structure sont les suivants :

ü Un titre ;

ü Identification de l'Emetteur ;

ü Identification du destinataire ;

ü Eléments variables servant à l'identification du document ;

ü Zone de saisie des informations faisant l'objet du document ;

ü Zone indiquant toutes les informations relatives à son utilisation

Nous retiendrons l'attention de lecteur sur un exemple d'un bon de commande.

TELECOPIE

A : DE :

M. ANDRE A. MOSES

NUMERO DE TELECOPIE : DATE :

27 FEVRIER 2014

SOCIETE : NOMBRE DE PAGE :

Soit 1 ou plus

NUMERO DE TELEPHONE NUMERO DE REF. EXPEDITEUR

OBJET : VOTRE NUMERO DE REFERENCE

COMMANDE

251616768251620864251619840251618816251617792 URGENT POUR AVIS COMMANTAIRES REPONSE CONFIDENTIEL

NOUS AVONS BESOIN DE TOUTE URGENCE DE :

1 Imprimante laser LBP Réf. LBP 312568 (460euros)

1 Scanner ADNT Réf. Scan 456987 (670euros)

Nous souhaiterions que l'installation soit faite par l'un de vos spécialistes. Une démonstration de l'utilisation de ces matériels à nos secrétaires sera également nécessaire.

Cordialement, votre

Michael GUIDINI

Figure 1: Document support d'information "Bon de commande"

· L'imprimé de Position

Il s'agit d'un document interne destiné à être conservé et consulté fréquemment. Sa structure est la suivante :

ü Un indicatif de classement ;

ü Présentation dans un ordre logique des informations collectées ;

ü Aucune information concernant son utilisation.

Les rubriques ci - après doivent réellement figurent dans sa structure : Nom du client, adresse, téléphone, mode de paiement, de livraison, date de commande, chiffre d'affaires réalisé.

I.3.3.2. Les Supports Film22(*)

Ces supports se présentent sous la forme de la microforme ou de microfiches. Ils offrent des avantages de gain de place, de diffusion facile, facilement duplicables et présentent du coût d'exploitation faible. Cependant, le coût d'installation est très élevé, les mises à jour sont impossibles et les supports ne sont pas directement lisibles par l'homme.

Le matériel nécessaire consiste en une caméra, une développeuse ainsi qu'un lecteur. Aujourd'hui, avec le système COM, vous pouvez grâce à un ordinateur et un micro- imprimante, obtenir des microfiches. Un lecteur de microfiche ou de film est cependant toujours nécessaire. Pour l'animation de vos réunions, vous pouvez également utiliser un rétroprojecteur permettant de projeter des informations inscrites sur un transparent. Vous pouvez de même, au moyen d'un projecteur de données (Datashow) projeter l'affichage à l'écran de votre ordinateur.

I.3.3.3. Les Supports Magnétiques23(*)

Les plus couramment utilisés sont comme suit :

ü Les disquettes (d'une capacité de 1,44 à plus de 120 Mo suivant le type de lecteur), qui permettent la sauvegarde de petits fichiers ;

ü Les disques durs d'une capacité moyenne de 2 Mo à plus de 9 Go, en constante évolution ; d'accès plus rapide que la disquette, ils peuvent être fixes ou amovibles, ils seront plus particulièrement utilisés pour l'installation des logiciels et des fichiers systèmes ;

ü Les Digital Audio Tape (DAT) d'une capacité de 2Go à 4Go et les bandes magnétiques d'une capacité de 800Mo à 3,2Go ; d'accès séquentiel, elles sont plus particulièrement utilisé pour l'archivage et le sauvegarde des disques durs.

Ces supports, bien que non lisibles directement par l'homme, présentent l'avantage d'être effaçables et réinscriptibles. Ils offrent la possibilité de mises à jour fréquemment immédiate. Notons que leur capacité évolue constamment.

I.3.3.4. Les Supports Optiques24(*)

La technologie en ce domaine ne cesse de progresser. Les produits les plus courants et les plus fréquemment utilisés sont ceux qui suivent :

ü Le Disque Optique Numérique (DON), d'une capacité de 680 Mo et plus, est inaltérable. Cependant, il est ineffaçable et nécessité un équipement couteux.

ü Le Compact Disc Read Only Memory (CD-ROM), d'une capacité de 680 Mo et plus, est semblable à un compact disc audio. Il présente les mêmes avantages que son précédant mais il est toujours ineffaçable. Utilisé essentiellement pour la consultation de Banques des données. Notons par ailleurs qu'il existe de CD réinscriptibles.

· Le Multimédia

Un support temporaire, une configuration multimédia permet la combinaison, dans un même document informatique, de texte, graphique, image, vidéo et son.

Une configuration multimédia se compose donc de : d'un scanner, d'un lecteur DON, d'une carte de son, de haut- parleurs, d'un microphone, d'une camera, d'un logiciel de gestion électroniques des documents (stockage de l'information).

I .3.4. Formes d'Information25(*)

Selon les formes d'information, nous avons retenu quatre apparences d'informations : l'information écrite, l'information orale ou sonore, l'information picturale ainsi que d'autres formes d'informations qui soient :

a. Information écrite : elle est le plus souvent représentée sur le support papier comme nous l'avons énuméré mais aussi sur le moniteur d'un ordinateur. Exemple une lettre de motivation à un poste vacant dans une entreprise, une fiche de gestion de stocks consultable sur un écran d'ordinateur,...

b. Information picturale : cette information peut directement provenir d'autres informations. Exemple d'un bâtiment comportant les issues de secours, le dessin d'un prototype de nouvelles voitures,...

c. Information Orale ou sonore : cette forme d'information est plus couramment rencontrée. La majeure partie des communications dans les organisations s'effectuent oralement. Exemple d'une discussion dans le couloir de l'entreprise entre les salariés, la rumeur sur la réputation de l'entreprise,...

d. Les autres formes d'information : information tactile (les différents touchers), information olfactive,... exemple une odeur dans un atelier de production.

I.4. TECHNOLOGIE

Etymologiquement, le mot technologie vient du grec « technologia » dérivé du vieux mot « Tekhnologia », qui veut dire : art, compétence, ou artisanat, l'étude de quelque chose, ou d'une branche de connaissance d'une discipline. « Tekhnologia » veut dire traité ou dissertation sur un art, exposé des règles d'un art.

C'est un terme qui se réfère à tout ce qui peut être dit à plusieurs périodes historiques particulières, concernant l'état de l'art dans tous les domaines des savoir-faire pratiques et d'utilisation des outils26(*)

Il est de même un discours ou une science de technique ; étude des techniques, des outils, des machines, de matériaux, des composants électroniques. C'est donc un « savoir-faire » qui résulte de cette étude des techniques. Ce concept est souvent confondu à tort avec technique ; qui soit le procédé de travail méthodique et organisé résultant de l'application de la connaissance théorique et scientifique à la production d'un bien ou d'un service27(*)

1.4.1. Technologie de l'information

Les notions de technologies de l'information et de la communication (TIC) et de nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) regroupent les techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations, principalement de l'informatique, de l'internet, du multimédia et des télécommunications ; elles désignent leur secteur d'activité économique.

1.4.2. Communication28(*)

De ses origines, le terme communication vient du latin « communicare » qui signifie mettre en commun. Elle est l'action de communiquer, de transmettre des informations ou des connaissances à quelqu'un ou, s'il y a échangé, de les mettre en commun. Elle désigne aussi le contenu de ce qui est communiqué ou le fait d'être en relation avec quelqu'un. C'est donc l'ensemble des phénomènes qui peuvent intervenir lorsqu'un individu transmet une information à un ou plusieurs autres individus et vis versa à l'aide d'un langage articulé ou d'autres codes.

De ce qui précède, la science de la communication a pour objet de conceptualiser et de rationaliser les processus de traitement, d'échange, de transmission d'information entre deux entités. La chaine de communication est constituée des éléments ci-après :

· L'émetteur (ou expéditeur),

· Le récepteur (ou destinataire),

· Le canal de transmission,

· Le message qui est transmis de l'un à l'autre,

· Le contexte.

1.4.2.1. Communication d'entreprise29(*)

Dans une organisation /ou entreprise, la communication est l'ensemble des techniques et des moyens lui servent à se présenter elle-même, son activité ou ses produit et services, la communication est pour l'entreprise un moyen d'accéder à une plus grande notoriété et, en règle générale, elle ne s'en prive pas.

L'entreprise communique donc beaucoup et avec beaucoup de monde, comme ses clients, ses partenaires, ses dirigeants, ses employés et les institutions, voire tous les acteurs de celle-ci. La communication devient aujourd'hui un réel investissement qui, pour être crédible, doit jouer sur un plan de transparence et une homogénéité dans ses différents discours.

La communication de l'entreprise peut être interne ou externe. Une vision schématique oppose généralement ces deux plus grandes branches de la communication de l'entreprise pourtant toutes deux sont étroitement liées puis que toute communication externe commence d'abord en une communication interne.

a) La communication Externe30(*)

Dans le but de bien comprendre les limites entre les deux notions sur la communication de l'entreprise, nous allons nous présenter les composantes de la communication externe dans les quelques phrases comment suit.

La communication externe s'adresse à tous les intervenants qui ne sont pas des membres directs de l'entreprise. Elle se divise en plusieurs parties en fonction du destinataire du message. Par la communication de marché, ou la communication de produit, qui s'adresse au client effectif ou potentiel dans l'objectif de lui faire connaitre un produit et d'essayer d'exciter la consommation et ainsi d'autres communication.

b) La communication Interne

La communication interne s'attache à créer un dialogue avec ceux qui font la société tous les jours, c'est-à-dire les salariés.

D'une manière synthétique, nous pouvons rassembler la communication interne de l'entreprise autour des actions suivantes : écouter, produire de l'information, distribuer cette information, animer, conseiller, planifier et coordonner31(*).

Ecouter le salarié, produire de l'information pour répondre à une attente, distribuer l'information à l'aide de différents médias de l'entreprise comme le journal de l'entreprise, note de service, note flash, revue de presse, communication électronique, les affiches, les plaquettes et brochures, réunions, entretiens, ateliers, conventions et séminaires, etc), animer les débats afin d'aider à intégrer l'information et à la rendre crédible, conseiller ceux qui, tous les jours, ont pour mission de transmettre cette information, et enfin planifier et coordonner toutes ces actions pour convaincre mieux et confronter ce travail au réel32(*).

Il est nécessaire de souligner que l'entreprise n'est pas la seule à communiquer, au sein de l'entreprise, d'autres acteurs sont également présents et n'oublient pas de se manifester. Un certain nombre d'instances représentatives ont des moyens variés pour informer les salariés de l'entreprise.

Les comités de l'entreprise, les syndicats, les délégués du personnel distribuent très souvent des prospectus ou des journaux destinés à entrer en contact avec les employés33(*).

Le manager doit comprendre que la communication de l'entreprise, qu'elle soit interne ou externe, occupe une position magistrale dans une organisation.

1.4.2. Les processus de la communication dans les 0rganisations34(*)

Dans ce cadre, deux théories sont citées à savoir la théorie cybernétique de la communication et les théories psychologiques de la communication :

1. Théorie cybernétique de la communication

Cette théorie introduit les notions d'Emetteur, de Récepteur, de code, de canal, de bruit en partant de la communication réelle.

Selon Norbert WIENER, la cybernétique peut être définie comme l'étude des systèmes de commande et de communication dans les machines et les animaux. La cybernétique est une théorie qui consiste en étude des mécanismes de communication et de contrôle dans les machines et chez les êtres vivants. En cybernétique, les différentes entités d'un système sont considérées comme des fonctions de transformation de l'information, c'est-à-dire des automates abstraits.

Pour ce qui précède dans le processus de la communication au sein des organisations, nous représentons ci- après le schéma de la théorie cybernétique de la communication

Codage

Décodage

Décodage

Codage

Transmission de

Emetteur l'information Récepteur

(Boite noire) CANAL (boite noire)

Information en

en retour

Figure 2: Théorie cybernétique de la communication

Source : JB. TSHIMPANGA, Psychologie des Organisations, cours inédit, ULPGL, L1 Gestion des Entreprises, 2012-2013

La circulation des informations est complexe car elle peut utiliser différents supports et elle concerne de multiples acteurs. Les supports ou documents les plus utilisés sont ceux basés sur la transmission orale ou écrite (fax, vois postale, e-mail,...), avec plusieurs modes possibles : un émetteur et un récepteur ; un émetteur et plusieurs récepteurs ; plusieurs émetteurs et un récepteur ; plusieurs émetteurs et plusieurs récepteurs.

Compte tenu de cette circulation des informations, les irrégularités consécutives à la diffusion et à la transmission des informations sont nombreuses :

- Une mauvaise circulation de l'information liée à des erreurs sur les destinataires ;

- Une vitesse de transmission de l'information trop lente ou trop rapide ;

- Une transmission des informations qui arrivent trop tard pour être pertinents.

2. Théories psychosociologiques de la communication

Les boites noires sont, dans la communication sociale, une personne appelée un locuteur (qui parle) et une autre, un allocuté (qui écoute).

Ces personnes interviennent avec leur propre champ de conscience (motivation, niveau culturel, système de référence,...). Deux catégories des bruits vont résulter lors de la communication sociale :

o Des bruits d'attitude qui provoquent un filtrage de l'information ;

o Des bruits sémantiques (compréhension du code) qui entrainent des distorsions de l'information35(*).

I.5. COÜT LIE A L'INFORMATION DANS LES ENTREPRISES

A toute activité correspond un coût à supporter par l'utilisateur. Les entreprises s'alimentent de ce qu'il puise dans l'environnement et de ce qui elles transforment ; cela conduit bien évidemment à un certain nombre de coût. Tel est le cas pour l'obtention d'une information.

Le coût de l'information, correspond à l'ensemble des sommes engagées par l'entreprise pour sa recherche, son traitement, son stockage et même sa destruction ou sa consommation36(*).

Par exemple : la sauvegarde de donnée comptables, la mise en place d'une politique de veille technologique pour s'informer sur les produits que peuvent lancer les concurrents, la gestion de la production par filiales d'activité,...

Il est important pour le gestionnaire des Entreprises de diffuser l'information produite ou recueillie avec d'autres personnes qui en ont besoin pour assurer la performance de l'entreprise. Pour ce qui précède, certains moyens de communication de l'information aux acteurs de l'entreprise sont mieux placés, en raison de l'abondance des informations, de la rapidité pour la transmission de données,

On classe ces moyens en deux catégories selon leur génération, d'où les moyens de communication traditionnels comme la presse, l'affichage, la radio, la télévision, le cinéma et les moyens modernes que l'on qualifie de la technologie de l'information et de la communication intéressant notre attention.

I.6. LES OUTILS OU LES INFRASTRUCTURES DANS LES NTIC

Dans notre sujet, les outils ou les infrastructures technologiques peuvent être compris comme un ensemble d'éléments sur lesquels les NTIC s'étalent pour former un système d'information nécessaire à la mise en oeuvre et au fonctionnement d'une organisation. C'est donc l'ensemble des ressources technologiques partagées par les applications et les systèmes d'information spécifiques d'une entreprise.

L'infrastructure technologique inclut des éléments matériels, immatériels ainsi qu'un ensemble de service qui comprend du personnel, des compétences et des ressources techniques. Parmi ces infrastructures nous pouvons citer : les appareils et machines, les applications informatiques, les services de gestion et de stockage de données, les services de recherche et développement, le service télématiques, le réseau et service de télécommunication, etc.

I.6.1. La télécopie37(*)

La télécopie appelée encore fax est un système de transmission à distance de documents graphiques en fac- simulé. La transmission par télécopie s'effectue par radio ou par téléphone.

Pendant plusieurs années, la télécopie servait essentiellement à la transmission des photographies de presse, mais l'augmentation de sa vitesse et la réduction de son coût ont contribue à étendre son utilisation auprès d'autres entreprises dans les années 70 et 80. La télécopie 38(*) permet la transmission à distance de documents écrits ou graphiques via le réseau téléphonique. La transmission s'effectue selon le mode fac-similé (fax en abréviation)

Aux jours d'aujourd'hui, il fait appel à cette technologie pour transmettre des images satellites météorologiques ainsi que pour imprimer à un endroit donné des journaux et des magazines entiers à partir de fax de haute qualité.

I.6.2. La télévision

Bien évidemment, nous sommes sans ignore que la télévision permet au particulier de regarder des émissions. Mais la télévision connait aujourd'hui des applications plus techniques et plus scientifiques, telles que l'exploration de l'espace (analyse des phénomènes météorologiques, espionnage industriel ou militaires. A la diffusion hertzienne vient s'ajouter actuellement la distribution par satellite, qui permet de multiplier le nombre de programmes transmis. La télévision par satellite reçoit les données et images numériques directement par satellite39(*).

I.6.3. Le téléphone

L'origine du téléphone est à situer en 1854 par l'inventeur français Charles BOURSEUL. En effet, celui-ci fut le premier à imaginer un système de transmission électronique de la parole. Quelques années plus tard, l'allemand Philipps REIS inventa un instrument capable de transmettre des sons, mais qui demeurent inadapté à la reproduction de la parole.

C'est en1877 que l'inventeur américain Alexander GRAHAL BELL construisit le premier téléphone capable de transmettre la voix humaine et la réception de la parole entre deux ou plusieurs individus distants.

On retrouve sur le marché des téléphones fixes et mobiles ; les premiers utilisent les fils de raccordement jusqu'au central téléphonique, alors que pour les seconds les fils de raccordement ont été remplacés par une liaison radio. Ce genre de téléphone est en théorie utilisable n'importe où : en voiture, en train, à pied, etc. Des stations radioélectriques raccordées au réseau classique sont à cet effet déployées sur l'ensemble du territoire ; chacune couvrant une petite zone géographique appelée cellule40(*).

I.6.4. L'ordinateur et l'informatique41(*)

L'informatique est une contraction « d'information » et de « technique ». Science de la recherche et du traitement de l'information par ordinateur. Il s'agit en réalité d'un ensemble d'activités qui consiste à collecter, à organiser et à traiter de façon automatique les données par ordinateur. Ce traitement n'est rendu possible que par la combinaison des logiciels et du matériel mais aussi du réseau. Les deux premières combinaisons sont traitées précédemment ;

I.6.4.1. Les réseaux informatiques

Le développement des réseaux et des outils informatiques n'a pas connu le même essor que celui des services de télécommunications pour diverses raisons. Un réseau est un ensemble de moyens informatiques et physiques d'interconnexion des ordinateurs autonomes ou des terminaux réalisés dans le but de partager les mêmes ressources. Dans un réseau on trouve des ordinateurs, des équipements de commutation et de transmission. En fonction de l'utilisation souhaitée, le type d'architecture peut être choisi :

Centralisée : les terminaux sont connectés sur une ou plusieurs machines centrales; Maillée : il existe une interconnexion complète de toutes les machines du réseau; Répartie : la charge ou la puissance de calcul est répartie sur plusieurs machines ; Client-serveur : utilise aussi la configuration centralisée avec des terminaux intelligents (micro-ordinateurs).

I.6.4.2. Internet

Internet est un réseau qui interconnecte à l'échelle mondiale des systèmes informatiques selon un jeu de protocoles (langage de communication entre ordinateurs) de communication communes. L'origine du réseau et la décentralisation qu'il permet est militaire et avait pour objectif de pouvoir fonctionner en cas de destruction partielle. Devenu un réseau public, Internet a connu un développement fulgurant en standardisant et en simplifiant les échanges d'informations électroniques ainsi que l'accès à celles-ci.

Internet offre de nombreux services (émulation de terminal permettant d'utiliser à distance un ordinateur, transfert de fichiers) mais aux yeux du grand public, il s'identifie avec deux grands services phares : le courrier électronique (e-mail) et le World Wide Web (Web, 3w ou La Toile).

I.6.4.3. Le courrier électronique (e-mail)

Créé par deux universitaires américains, Ray Tomlissom et Dan Murphy, le courrier électronique (courriel ou mail) est un système de messagerie entre les ordinateurs connectés à l'Internet. C'est un système de communication rapide et moins coûteux que les systèmes classiques comme le téléphone (notamment pour les communications à longue distance). Il permet d'envoyer et de recevoir des messages. Les messages envoyés ou reçus ne se limitent pas seulement à du texte mais à tout genre de fichier. L'adresse électronique est assimilable à une boite aux lettres hébergée sur un serveur de messagerie. L'accès au Courier électronique se fait par un logiciel de messagerie électronique comme Eudora ou Outlook.

Dans sa structure, l'adresse électronique comporte : la partie locale qui est le nom de l'utilisateur ; le symbole @; le nom du serveur de la messagerie et l'extension qui désigne les initiales d'un pays ou d'un domaine.

I.6.4.4. Le World wide Web42(*)

Développé en 1989 au centre européen pour la recherche nucléaire(CERN) par Tim Bernerc-Lee et R. Caillau, le wold wide web est l'un des services le plus récents d'Internet et celui qui aura le plus contribué à sa popularisation. Le Web est un système de représentation et d'organisation de l'information sur Internet, basé sur le principe de l'hypertexte. L'hypertexte est l'interconnexion des informations se trouvant sur un même document ou sur des documents différents (localisés au même ou à des endroits différents) au moyen des mots, des textes ou des images appelées hypertextes. Le web forme donc un ensemble de documents disséminés sur des milliers de serveur à travers le monde et reliés entre eux à l'image d'une toile d'araignée par des liens hypertextes. Un document sur le web est appelé un site web. Il est à son tour constitué des autres documents reliés entre-eux et appelés des pages web. Chaque page est identifiée par une adresse.

Ce service permet une navigation (ou «surf ») d'une page d'information à l'autre et d'un site à l'autre, d'un clic de souris, avec des coûts de communication réduits quel que soit l'endroit du monde ou se situe l'ordinateur.

I.6.4.4. Intranet et Extranet43(*)

Ø Intranet

Un intranet est un réseau informatique local c'est-à-dire utilisé uniquement à l'intérieur d'une entreprise ou d'une organisation/ d'un groupe quelconque. Ce réseau local utilise les mêmes technologies de communication que l'internet à la seule différence que celui-ci est uniquement interne à une organisation bien distincte. Plus précisément, il s'agit d'un système « client-serveur ». La technologie d'Intranet est principalement utilisée en tant que système d'information générale d'entreprise « SIG ». Il permet de regrouper en un seul endroit, à la disposition des employés, une quantité suffisante de données, que ce soit des informations sur les clients, sur les fournisseurs, une gestion de stock, un centre de documentation, une messagerie électronique ; le tout commun à l'ensemble de l'entreprise et cela permet d'avoir un accès centralisé et cohérant à la mémoire de l'entreprise, ainsi le gestionnaire parle de la capitalisation de connaissances44(*)

Notons à cet fait que celles les personnes autorisées ont accès à cet type de réseau

Ø L'Extranet

L'extranet est une extension du système d'information de l'entreprise à des partenaires situés au-delà de son réseau local. L'accès à l'Extranet doit être sécurisé dans la mesure où cela offre un accès au système d'information à des personnes situées en dehors de l'entreprise.

Il n'est ni intranet, ni un site internet. Il s'agit d'un système supplémentaire offrant par exemple aux clients d'une entreprise, à ses partenaires ou à des filiales et succursales, un accès privilégié à certaines ressources informatique de l'entreprise par l'intermédiaire d'une interface Web.

I.6.4.5. Le télétravail45(*)

D'après Pascal Alix, le télétravail peut être défini comme l'exécution d'un travail commandé par l'employeur ou son délègue, hors des murs de l'entreprise (travail à distance) qui l'emploie et de la présence physique des personnes chargées de contrôler sa production et c'est par la réception et l'envoie régulier de données au moyen de l'outil informatique et des nouvelles technologies de la communication.

CHAPITRE DEUXIEME : ENTREPRISE ET SECTEURS D'ACTIVITES DANS LA VILLE DE GOMA

Au fil de ce deuxième chapitre de notre travail, il nous a été question d'évoquer deux notions qui font essentiel de ce dernier ; d'où nous avons d'une part l'entreprise et d'autre part les secteurs d'activités des entreprises de la ville de Goma.

II.1. ENTREPRISE

Dans ce paragraphe, il est question de donner quelques définitions du terme « Entreprise » selon certains auteurs, les différentes approches des Entreprises, ainsi que la diversité des classifications des Entreprises.

II.1.1. Définition

L'entreprise est une structure productive qui crée des biens et des services marchands. Elle est aussi un groupement humain qui cherche à mettre en évidence le rôle de l'homme dans son fonctionnement, une organisation intégrant son environnement.46(*)

Le concept « entreprise » est définie comme étant une entité autonome de production de biens matériels et de services vendus sur un marché, en vue de la satisfaction des besoins humains. Elle vise à réaliser un bénéfice par une gestion saine de son patrimoine et une utilisation rationnelle du travail.47(*)

Elle est un système qui a à son sein des êtres humains et moyens (financiers, physique, informationnels,...) réunis en vue de produire de biens ou des services et de répartir des richesses. Elle est organisée par un centre de décision (dirigeants) disposant d'une certaine autonomie et orientant les activités de manière à dégager un excédent.

En fin, compte tenu de ce qui précède, l'entreprise est une organisation réunissant des ressources naturelles, techniques, financières et humaines dans la production de biens et services afin de réaliser les objectifs escomptés.

II.1.2. Différentes approches de l'Entreprise48(*)

Il sera question, ici de montre les différentes manières d'envisager la notion de l'entreprise dans l'esprit quotidien.

A. L'Entreprise, une notion multiforme et pluridimensionnelle49(*)

1) Unité de production

L'entreprise est un agent économique dont la fonction essentielle est de produire et ou de distribuer les biens et des services qui ont vocation à être vendus. L'entreprise se différencie des agents économiques qui proposent de services non marchands.

A. Quelles sont les entreprises qui produisent ?

Nous retenons d'abord les entreprises non financières qui sont aussi celles qui contribuent le plus à la valeur ajoutée et dont la totalité de la production est marchande. On trouve ensuite les institutions financières qui vivent de la différence entre les revenus tirés de prêts et les intérêts versés aux déposants. Les compagnies d'assurances ont, quant à elles une activité dont le produit émane de la différence entre les primes acquises et les indemnités.

B. Que produisent les Entreprises ?

Les entreprises en général, produisent des biens et services. Ces biens et services achetés dans un lieu géographiquement connu par l'offreur et le demandeur sont appelés des biens marchands. Parmi ces biens, on catégorise les biens industriels tels que le composant de parc informatique d'une entreprise et les biens de la consommation courante ; par opposition à ceux qui sont offerts gratuitement ou à un prix de vente qui serait inférieur à leur coût de production comme par exemple les biens fournis par les administrations publiques. Il en va de même pour les services ; certains sont marchands tel que le service financier des banques.

C. De quoi l'entreprise a-t-elle besoin pour produire ?

Les produits et services de l'entreprise sont, en effet, réalisés à partir des biens et services produits par d'autres entreprises, exemple des machines, des outils, des bâtiments, de l'information,...

Pour produire l'entreprise a besoin de facteurs de production, parmi lesquels nous distinguons classiquement le facteur capital et le facteur travail. Le facteur capital correspond à la somme des biens qui sont utilisés durablement, à savoir les machines, l'énergie, les terrains, les capitaux investis, les informations qui sont utiles à la production d'autres biens et le facteur travail est apprécié de manière quantitative et qualitative. On en mesure la quantité par le temps de travail des salariés mais aussi des propriétaires participant effectivement à la direction de leur entreprise et la qualité par la qualification professionnelle des membres et par leur motivation au travail.

2. Une unité de répartition

L'entreprise génère des flux physique de biens et de travail et reçoit des flux financiers. La différence entre la production et la consommation intermédiaires s'appelle la Valeur Ajoutée.

L'entreprise répartit cette valeur ajoutée entre plusieurs partenaires. Les impôts et les taxes vont à l'Etat et aux collectivités locales. Les charges du personnel se répartissent entre ce qui revient aux salariés et ce qui est versé aux organismes de la sécurité sociale. Les charges financières servent à payer les prêteurs. Les amortissements et provisions permettent de remplacer les équipements touchés par une usure matérielle ou technologique. Les bénéfices sont eux-mêmes répartis en trois postes : l'impôt sur les sociétés versées à l'Etat ; la part du bénéfice distribué aux propriétaires de l'entreprise et, en fin, celle qui étant mise en réserve contribuera à l'autofinancement de l'entreprise et permettra le remplacement des équipements par d'autres équipements plus modernes.

3. Une cellule sociale

L'entreprise dispose de deux fonctions :

ü La fonction économique de production de biens et de services, pour la satisfaction des besoins des consommateurs ;

ü La fonction sociale parce qu'elle emploie des individus qui ont des aspirations à exaucer.

Il est important donc que l'entreprise assure la satisfaction d'un certain nombre des besoins de ses membres.

4. Une Organisation dans son environnement

La connaissance de l'environnement de l'entreprise est une démarche importante car les dirigeants des entreprises, avant de prendre certaines décisions stratégiques, ont besoin d'avoir une idée aussi précise que possible de l'état de l'environnement dans lequel ils évoluent. Comprendre de quoi sera fait l'environnement futur ou, à tout au moins, le prévoir, est une obligation pour le décideur.

B .L'Entreprise, objet d'analyses complémentaires

1° L'Ecole classique des organisations

L'Ecole classique des organisations part l'hypothèse d'une rationalité parfaite des agents et de l'objectif d'une maximisation du profit pour les firmes.

Frederick Taylor (1856- 1915), ingénieur sidérurgique, fut l'inspirateur de l'organisation du travail à la chaine, une spécialisation rigoureuse censée inciter l'ouvrier au rendement et éliminer les gestes inutiles. Cette méthode favorise l'augmentation de la production, elle faisait cependant abstraction du fait que l'homme n'est pas un simple outil, et, à ce titre, contribua à déshumaniser le travail. Taylor est l'auteur notamment des Etudes sur l'organisation du travail dans l'usine en 1907 et des principes d'organisations scientifique des usines en 1912.

Henri Fayol (1841-1925) incite sur la nécessité de l'usine de commandement et avance l'idée de l'importance d'une organisation hiérarchique des diverses fonctions (administrative, technique, commercial, comptable) au sein de l'entreprise. Pour lui, la fonction administrative est particulièrement importante.50(*)

Max Weber (1864-1920) incite sur la rationalisation économique caractérisant le monde capitaliste contemporain. La bureaucratie est selon lui fondée sur l'importance des réglementations et du droit du chef à donner des ordres.

2° Les apports du mouvement des relations humaines

L'école des relations humaines propose une remise en cause de l'école classique et incite sur la prise en compte de l'individu en tant que tel.

Elton, à partir de ses expérimentations au western Electrique d' Hawthorne, de 1924 à 1932, souligne l'importance à accorder à la motivation, à la considération des individus. A l'inverse, il constate que les modifications des conditions matérielles de travail influent peu sur la productivité.

Abraham Maslow (1908-1970) définit, en 1954, la pyramide des besoins qui porte son nom. Il en distingue cinq types besoins : le besoin physiologique, le besoin de sécurité, le besoin d'appartenance, le besoin d'estime et de reconnaissance, le besoin d'accomplissement. Il est un célèbre psychologue américain d'origine juive, considéré comme le principal meneur de l'approche humaniste, surtout connu pour son explication de la théorie des motivations qui repose sur la hiérarchie des besoins humains. Cette approche peut se résumer en deux points51(*)

1. 251622912On peut hiérarchiser les besoins humains en cinq niveaux, comme le présente la pyramide dite des besoins d'A. Maslow ci- dessus :

Figure 3: Pyramide de besoins selon A. MASLOW

2. Un individu cherche d'abord à satisfaire le besoin qui lui semble le plus vital. Dès que celui-ci est satisfait, il cherche à satisfaire le second besoin le plus important. Ainsi, dès qu'un besoin est satisfait, il cesse d'être essentiel pour l'individu et un autre besoin apparait, alors il sera persistant aussi longtemps qu'il n'est pas satisfait.

3° Les formalisations récentes

Herbert Simon conçoit la firme comme constituée de différents groupes qui doivent coopérer bien que leurs objectifs ne soient pas le même. Le modèle classique du choix rationnel est battu en brèche par la mise en évidence de l'importance des notions d'incertitude de l'information, de rationalité limitée du fait même des capacités de calcul limitées des agents.

James MARCH et Richard CYERT sont les inventeurs de l'analyse « béhavioriste » ; ils insistent sur la complexité de l'organisation, sur la notion de firme en tant que pôle d'apprentissage collectif, lieu de pourparlers ce qui crée l'information pour l'entreprise.

Alfred CHANDLER analyse les incidences de la technologie et du changement des conditions de fabrication sur les structures de l'entreprise.

II.1.3. La diversité des classifications des Entreprises

Les typologies des entreprises présentent l'avantages de pouvoir faire des comparaisons, d'analyser l'évolution de l'appareil productif, de dégager des tendances. Les entreprises peuvent être classées selon des critères économiques ou juridiques.

A. Les critères économiques de classification des Entreprises

Les notions de branche et de secteur renvoient à une classification des entreprises d'après leur production.

1° La classification par branche52(*)

Une branche regroupe les entreprises fabriquant le même produit:

ü Agriculture ;

ü Industries agroalimentaires ;

ü Energie ;

ü Biens de consommation courante ;

ü Bâtiment et génie civil

ü Commerce ;

ü Transport et télécommunication ;

ü Services marchands ;

ü Services d'assurance ;

ü Services des organismes financiers ;

ü Services non marchands ;...

Nous remarquons que ces différentes branches se ramènent aux éléments suivants : agriculture, industrie, bâtiment et les travaux publics, commerce, services marchands, services non marchands et services bancaires non repartis.

2° La classification des Entreprises par taille53(*)

Nous les classons en trois sortes mais aussi variables d'un ouvrage à un autre:

Ø Les Grandes Entreprises ; celles dont le Chiffre d'Affaires est supérieur à 400 000Ff et le nombre du personnel est supérieur à 200 personnes ;

Ø Les Moyennes Entreprises ; Chiffre d'Affaires est inférieur à 400 000Ff, le nombre du personnel est évidemment inférieur à 200 personnes et la valeur du Bilan est inférieur à 1500 000Ff ;

Ø Les Petites Entreprises ; celles réalisant un Chiffre d'Affaires de 80 000 Ff.

Notons que ce critère de classification des entreprises reste très variable d'un pays à un autre.

B. Les critères juridiques de classification des entreprises54(*)

On distingue les entreprises du secteur public et celle du secteur privé.

1° Le secteur privé

Les sociétés privées qui bénéficient de la personnalité juridique, et d'autres peuvent exister sans personnalité juridique et sont donc des succursales aux sociétés mères.

Les sociétés privées disposent de plusieurs régimes juridiques.

ü Les sociétés de capitaux ; comprennent notamment la société anonyme (SA) dont les titres de propriété sont librement cessibles et dont les actionnaires ne sont responsables des pertes qu'à hauteur de leurs apports, et la société à responsabilité limitée (SARL) dont le régime juridique de la responsabilité des dettes sociales est le même que dans la société anonyme, mais dont les actions ne sont pas librement cessibles ;

ü Les sociétés de personnes ; incluent la société en nom collectif et la société en commandité simple. Dans la première, les associés sont responsables sur leurs biens propres des pertes de la société (il n'y a pas de dissociation des patrimoines de l'entreprise et de l'entrepreneur) ; dans la seconde, les commandités obéissent au régime de responsabilité que dans le cas de la société en nom collectif et les commanditaires obéissent au même régime juridique de la responsabilité des dettes sociales que dans la société de capitaux.

ü Les sociétés individuelles ; elles se caractérisent par le fait qu'une même personne fournit le capital, le travail et la direction, et est responsable sur ses biens personnels. En adoptant la forme juridique d'une entreprise unipersonnelle à responsabilité limite (EURL), l'entrepreneur voit sa responsabilité individuelle limitée aux seuls actifs de l'entreprise.

3° Le secteur Public

Les entreprises du secteur public disposent des structures juridiques qui suivent :

ü Les sociétés d'économie mixte ; ce sont des entreprises semi-publiques (dont les capitaux sont publics et privés ;

ü Les Entreprises nationales ; ce sont d'anciennes sociétés privées dont l'actionnaire unique est l'Etat qui en nomme le PDG ;

ü Les établissements publics administratifs, les établissements publics industriels et commerciaux ; sont dirigés par un conseil d'administration et un directeur général nommé par l'Etat ; les établissements publics disposent de l'autonomie financière et possèdent une personnalité morale, ce qui les distinguent des régies directes.

Notons que les mutuelles, nombreuses de branches des assurances et de banques ou de coopératives sont classées dans le secteur d'économie sociale ; fondées sur des valeurs comme la solidarité, les rapports sociaux et humains et non sur la recherche exclusive de profits.

C. Les critères Organisationnels des Entreprises55(*)

1. Type de structure formelle

a) La structure organique ou structure formelle

La structure organique dans une entreprise est caractérisée par une répartition claire des rôles aux membres et une participation de ceux -ci aux contrôles, aux responsabilités et aux prises de décision.

Le terme organique est employé pour désigner des structures dynamiques adaptables par rapport aux structures mécaniques des organisations traditionnelles caractérisées par une stricte rigidité de division du travail parmi les membres d'une organisation constitue les deux caractéristiques les plus avancées de la hiérarchie. Cette théorie du terme organique s'exprime à travers la charte de l'organisation dénommée « Organigramme » où la place de chaque emploi est nettement définie ainsi que les relations de dépendance et de subordination entre les postes.

Les organisations bureautiques présentent une structure pyramidale ayant une seule position au sommet et au nombre croissant des positions à mesure que l'on descend vers le bas.

Stayces et Strauss décrivent les structures et les remarques qu'il y a une augmentation du nombre du personnel vers le bas de la hiérarchie accroissement des revenus vers le haut, élévation du statut vers le bas56(*).

Toute fonction dans l'entreprise est à la fois de direction et de gestion mais plus on monte vers le sommet de la hiérarchie plus la part de la direction prédomine dans la fonction. Plus l'entreprise est grande plus la différenciation et la spécification dans la fonction de direction et de la fonction de gestion sont accusées.

L'élaboration d'une structure organique doit tenir compte des éléments ci-après : le type d'organisation, ses buts et objectifs, les motivations du personnel, les conditions et la relation du travail, le budget à allouer au travail.

b) Les modèles d'organisation

La structure organisationnelle est l'arrangement de sous-système ou sous unité d'une organisation et de la division de la main d'oeuvre qui l'accompagne en une hiérarchie de relation d'autorité. Les organisations différentes dans leur structure pour diverses raisons notamment les organisations différentes quant à leurs besoins d'échange d'information en fonction du degré d'incidence de leur tâche. Elles choisissent leur structure organisationnelle ainsi que les fonctions de traitement de l'information en conséquence. Parler des modèles d'organisation, c'est en d'autres termes relever les différents éléments qui fondent la structure organisationnelle. Il s'agit notamment de la hiérarchie d'autorité, la spécialisation, la formation et la centralisation.

Ø La hiérarchie d'autorité

La structure organisationnelle traditionnelle peut être décrite comme un ensemble des positions hiérarchiques où chaque position est associée à un pouvoir d'autorité ou le droit de commandement. L'autorité est reconnue par le contrôle qu'elle exerce sur les ressources, les récompenses et les taches et par la latitude dans la prise des décisions à leurs sujets. D'une manière générale, l'autorité est repartie selon le niveau de la hiérarchie c'est-à-dire que plus la position est élevée plus grande est son autorité.

Direction Générale

Direction du marketing

Direction de la recherche

Direction de la production

Figure : n° I.4: Hiérarchie d'autorité

Source : KISANGANI E. ABC de Management, cours inédit, G2 FSEG, ULPGL/GOMA 2012-2013

Ø La Spécialisation

Elle concerne la division du travail à l'intérieur de l'organisation. L'organisation typique se divise selon les lignes fonctionnelles (Marketing, production, comptabilité,...) qui encourage la spécialisation à l'intérieur de chaque fonction. Distinguons deux façons différentes de diviser les tâches :

La première consiste à les confier à des spécialistes possédant des vastes qualifications et compétences tandis que la seconde propose de subdiviser les taches en activités plus simples pour lesquels des non- spécialistes peuvent être formés facilement. Illustrons l'exemple de la manipulation de l'outil informatique par tous les agents de l'entreprise. Les organisations peuvent être plus ou moins spécialisées selon les produits ou les services qu'elles fournissent et aussi selon leur philosophie de gestion.

Deux raisons au moins justifient une spécialisation fonctionnelle :

· Les fonctions en présence requièrent une formation spécifique fonctionnelle et une capacité intellectuelle particulière,

· La séparation des fonctions améliore le contrôle interne parce que la conception des procédures est dissociée de leur exécution.

Ø La formation

La forme de la hiérarchie d'autorité est affectée à tous les niveaux par l'étendue des contrôles. Chaque position possède une étendue de contrôle qui se mesure par le membre de subordonnées immédiates sur le responsable d'un gestionnaire occupant cette position. Illustrons l'exemple du directeur marketing qui peut être l'un de cinq gestionnaires rendant compte au directeur général. Ce premier à son tour peut avoir directement sous ses compétences d'autres personnes. L'étendue du contrôle se limite sous la supervision directe. Une organisation peut avoir des étendues de contrôle très étroites à certains niveaux et très larges à d'autres selon la nature du travail, le degré de surveillance directe, le nombre des procédures, etc.

Ø La centralisation

Souvent, les organisations aux prises avec des domaines sensibles se réservent le droit de restreindre les échelons qui peuvent traiter un certain nombre d'informations. On arrive alors à la centralisation, celle-ci offre certains des avantages mais aussi des désavantages évidents. Illustrons l'exemple des pertes de temps et donc le blocage du processus si les domaines à contrôler sont importants.

2) Type de Structure Informelle57(*)

A cote d'une structure formelle se développe dans beaucoup des situations une autre structure communément appelée structure informelle existe dans les entreprises. Celle-ci n'a aucun sous bassement officiel ou légal consigné dans des documents pouvant justifient sa présence ou son fonctionnement.

Bref, une structure informelle est une structure qui ne transmet pas dans la charte de l'organisation qui est l'organigramme. La présence d'une structure informelle au sein des organisations formelles est une interpellation pour les gestionnaires.

En effet, souvent les filaires formelles sont caractérisées par une certaine rigidité ne permettant pas aux individus en situation de travail de répondre de façon adéquate à un certain nombre de problèmes concrets. Devant cette difficulté, les membres d'une organisation ont tendance à recourir à des voies informelles c'est-à-dire non prescrit dans la structure de l'organisation.

Le développement des structure informelles ai sein de l'entreprise est un « couteau à double tranchant ». En effet, la structure informelle peut doubler la structure formelle et paralyser le fonctionnement du système en ce sens qu'elle méconnait l'autorité légalement établie (autorité fonctionnelle) et instaure des règles de conduite difficile à interpréter par des non-initiés ou des individus étrangers au système ; bref, une sous culture qui peut faire écraser à l'exercice harmonieux du travail.

Bien compris et bien gérées, les relations informelles devraient contribuer à l'efficacité de l'organisation. En effet, elles facilitent les communications, ce qui constitue une contribution d'autant plus précieuse que les membres sont nombreux et que l'organisation formelle est complexe. S'appuyant sur les affinités individuelles, les relations individuelles maintiennent la cohésion entre les membres. En fait, la plus grande partie du travail est tout simplement impossible sans minimum des communications informelles.

Des nombreuses études relatives à l'encadrement dans l'Enterprise ont montré que le manager préfère le circuit informel et les communications directes aux documents formels. Ils passent 65 à 80% de leur temps en contact verbaux et ils consacrent en moyenne environ 45% de temps en contact hors hiérarchie. Les informations verbales reçues en dehors des flux régalés sont riches en signification. Le gestionnaire peut lire les expressions faciales, les gestions, les mimiques, le ton de la voix et s'en servir comme sources pour rechercher une information approfondie dans certaine direction car tout est porteur de la communication58(*).

II.2. SECTEUR D'ACTIVITES DES ENTREPRISES DE LA VILLE DE GOMA

En c'est terme, nous entendons par secteur d'activités l'ensemble des activités réalisées par les entreprises.

II.2.1. Secteur primaire59(*)

Le secteur primaire : il comprend l'agriculture, la sylviculture (les forêts) et la pêche. La ville de Goma en particulier ne produit pas des activités significatives en ce qui concerne le secteur primaire (agricoles, pêche et élevages). L'agriculture est insignifiante c'est-à-dire à une faible importance.

En générale, les produits vivriers consommés dans la ville de Goma proviennent des territoires tels que Minova, Masisi, Nyirangongo, Rutshuru et Idjwi.

La pêche qui est encore traditionnelle et de moindre importance se pratique sur le Lac Kivu par un petit groupe de gens n'ayant pas des moyens suffisants pour cette activité et ils se trouvent souvent en insécurité. Ils utilisent les pirogues et des petits filets appelés « filets maillant » pour la pêche de fretins (petits poissons appelés communément « Sambaza» et d'autres en provenance de Gisenyi au Rwanda (surtout les poissons), les « Tilapia » en provenance de Vitsumbi et Kanyabayonga ainsi que les « Tomsone » en provenance de l'Afrique du Sud via Kinshasa.

II.2.2. Le secteur Secondaire 

C'est secteur comprend les industries de transformation des produits (comme les métiers du textile qui produisent du tissu à partir de fibres végétales ou les activités pétrolières qui transforment le pétrole brut en essence) et le bâtiment (le BTP, ou bâtiment et travaux publics). Il est l'ensemble des activités, des métiers qui produisent des richesses par la mise en oeuvre des matières, par l'exploitation des mines, des sources d'énergie60(*).

Les industries de la ville de Goma assurent la production des articles divers ne couvrant que quelques besoins de la population. Parmi ces industries, nous pouvons citer : les usines comme celles de production des ciments « Nyirangongo ciment », Mbinza foam pour la production de matelas, Super match pour la fabrication de cigarettes, Société Nationale d'Electricité (SNEL) pour la production et distribution d'électricité, Régideso pour la distribution d'eau, Office de routes pour la sulfatage de routes,...

II .2.3. Le Secteur Tertiaire

Le secteur tertiaire est le plus fréquenté dans la ville de Goma. Il est celui qui regroupe les services de l'administration publique, le commerce général et la recherche. Compte tenu de l'insuffisance du secteur secondaire, les entreprises de la ville de Goma parviennent à importer les produits afin d'essayer de couvrir les besoins de la population.

Remarquons aussi que des grands établissements et sociétés exploitent et oeuvrent dans divers domaines mieux adaptés sur l'étendue de la ville. Citons par exemple :

· Des institutions financières et Bancaires comme MECREGO, AKIBA YETU, TMB, RAW BANK, etc ;

· Des compagnies de distribution de pétrole : Station La confiance, Ihusi, Mbinga nord, etc ;

CHAPITRE TROISIEME

LES TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION DANS LES ENTREPRISES DE LA VILLE DE GOMA

Dans le même cadre de réaliser ce travail, nous avons scindé ce chapitre en ces points suivants :

· Cadre méthodologie ou méthodologie du travail,

· La présentation, l'interprétation et analyse des résultats à partir des données recueillies par questionnaire,

· La discussion des résultats.

III.1. Cadre méthodologique

Pour l'atteinte de nos objectifs et la vérification de nos hypothèses, nous avons utilisé certaines méthodes et techniques. La méthode est définie comme le guide de la pensée dans la poursuite de la connaissance vraie61(*).

Pour Madeleine GRAWITZ : « La méthode est constituée de l'ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontrer et les vérifier ».

La technique quant à elle est utilisée par le chercheur dans la collecte des données dont il aura besoin pour la réalisation de son travail.

Pour ce qui est de notre travail, nous avons choisi les méthodes et les techniques ci-après :

III.1.1. Technique de collecte des données

Ø La méthode analytique : elle nous a permis d'analyser systématiquement les données récoltées dans les entreprises de la ville de Goma utilisant l'un ou l'autre outil de communication ;

Ø Technique par questionnaire : elle nous a servi à connaitre les raisons qui motivent les entreprises de la ville de Goma à utiliser les outils des NTIC;

Notre traitement et analyse des données ont été possibles grâce au logiciel SPSS 14.8 qui nous a permis de représenter nos résultats sous forme d'effectif et de pourcentage.

Notons que notre questionnaire d'enquête est scindé en trois thèmes à part la quotité concernant l'identification de l'entreprise :

Thème 1 : Indentification des Infrastructures : ce thème contient 5 questions (de la première à la cinquième question);

Thème 2 : Les outils de Communication et les Opérations dans les Entreprises (de la question 6 à la question 10) ;

Thème 3 : Les Nouvelles technologies face à la gestion du temps (de la question 11 à la question 18).

III.1.2. Population et échantillon d'étude

Le terme « population » désigne un ensemble dont les éléments sont choisis parce qu'ils possèdent tous une même propriété et qu'ils sont de même nature. Il peut s'agir d'un ensemble de personnes classées suivant un critère donné soit social, national, étranger62(*), etc.

La population de notre étude comprend toutes les entreprises de la ville de Goma utilisant les outils des NTIC, quels que soient leur statut juridique, leur activité principale, leur secteur d'activité, etc. Etant donné qu'un travail scientifique exige du temps et de moyens, cela pris en considération nous avons fait recours à un échantillon d'étude.

L'échantillon est défini comme étant un groupe d'individus ou d'objets qui sont supposés représenter l'ensemble de tous les individus ayant des caractéristiques communes concernées par l'étude63(*).

Ainsi pour le choix des individus de notre travail, nous avons fait usage de l'échantillonnage typique qui nous a permis de prélever certains éléments exemplaires de notre étude. Nous avons retenu un échantillon de 45 entreprises dont 32 proviennent du secteur tertiaire et 13 entreprises du secteur secondaire.

Tableau 1 : Répartition selon le secteur d'activité

Secteur d'activité

Effectif

Pourcentage

 

Secondaire

Tertiaire

13

32

28,9

71,1

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes Août 2014

Il ressort de ce tableau que la plupart des entreprises enquêtées soit 71,1% oeuvrent dans le secteur tertiaire, contre 13 entreprises soit 28,9% dans le secteur secondaire.

Au vu de ce tableau, aucune entreprise oeuvrant dans le secteur primaire n'a été enquêtée car ce sont des entreprises travaillant d'une manière informelle et sans aucune adresse sociale.

Tableau 2: Répartition selon le type d'entreprise

Entreprise

Effectif

Pourcentage

 

Privées

41

91,1

 

Publiques

4

8,9

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes Août 2014

De ce tableau, nous avons enquêté 41 entreprises soit 91,1% des entreprises privées et 4 entreprises du secteur public soit 8,9 %. Les entreprises du secteur privé ont constitué la majorité de nos sujets sur les technologies de l'information et de la communication.

III.2. PRESENTATION ET INTERPRETATION DES RESULTATS

Cette section consiste à interpréter les résultats tels qu'obtenus après traitement à l'aide du logiciel SPSS 14.8. Cette étape est l'exploration de ces trois thèmes constituant notre questionnaire d'enquête.

III. 2.1. L'Identification des infrastructures

Il est ici question d'identifier les équipements et matériels technologiques disponibles dans les entreprises de Goma favorisant ainsi la communication ainsi que les usagers de ces matériels au sein de ces dernières.

Q1.a. Votre entreprise utilise-t-elle des outils repris dans le tableau ci-après :

Tableau 3:Outils et l'internet de TIC par les entreprises.

Outils

Oui

Non

Total

n

%

n

%

n

%

Téléphone

45

100,00

0

0,00

45

100,00

Ordinateur

45

100,00

0

0,00

45

100,00

Internet

35

77,78

10

22,22

45

100,00

Source : Nos enquêtes Août 2014

Ce tableau nous fournit les informations telles que 45 entreprises utilisent les outils comme le téléphone et l'Ordinateur soit 100% de notre échantillon tandis que l'internet est utilisé par 35 entreprises soit 77,8% contre 10 /45 entreprises qui n'utilisent pas le service internet.

Q1.b. Comment sont-ils repartis ?

Tableau 4: Répartition des outils de NTIC dans les entreprises

Outils de NTIC

Chaque agent

Service

Fonction

Seul le cadre

Total

 
 
 
 
 

Effectif

%

Effectif

%

Effectif

%

Effectif

%

Effectif

%

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Téléphone

35

77,8

10

22,2

0

0,0

0

0,0

45

100,0

Ordinateur

5

11,1

17

37,8

 
 

23

51,1

45

100,0

Internet

7

20,0

7

20,0

3

8,9

18

51,1

35

100,0

Source : Nos enquêtes Août 2014

Il ressort de ce tableau que la majorité de notre échantillon repartit le téléphone pour chaque agent d'où 35 entreprises soit 77,8%, 10 entreprises le repartissent dans le service soit 22,2%. L'ordinateur est réparti pour chaque agent dans 5entreprises, 17 entreprises le répartissent dans le service, 23 autres entreprises le répartissent seulement aux cadres ; soit 11,1%, 37,8%, 51,1% respectivement. L'internet est disponible pour chaque agent dans 7entreprises, pour le service l'internet est disponible dans 7 entreprises aussi, en qualité de la fonction de l'agent 3 entreprises met à sa disponibilité l'internet soit 8,9 % de notre échantillon et seulement le cadres reçoivent la connexion internet dans 18 entreprises soit 51,1%.

Notons que les téléphones qui sont répartis dans les services sont de téléphones fixes facilitant la communication entre les différents services de l'entreprise

Q2. Quels sont les avantages que l'utilisation de ces outils a apportés à votre entreprise ?

Tableau 5: Les avantages apportés par l'utilisation du téléphone dans les entreprises

Avantages

Effectif

Pourcentage

 

Communication rapide, contact facile entre agents et les clients

35

77,8

 

Facilité la communication entre agents

5

11,1

 

Transmission des rapports sans déplacement

5

11,1

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes Août 2014

L'outil des NTIC comme le téléphone a permis une communication rapide, a favorisé un contact facile entre les agents et les clients dans 35 entreprises de notre échantillon soit 77,8%. Il a facilité la communication entre les agents dans 5entreprises soit 11,1% ; la transmission des rapports sans déplacement dans 5 entreprises soit 11,1%.

Les outils de TIC comme le téléphone, l'ordinateur et l'internet ont apporté bien des avantages dans les entreprises de la ville de Goma car la communication est favorable entre les agents et les clients et en plus ces derniers reçoivent les informations au moment où ils en ont besoins. Les avantages étant divers chaque outil procure un avantage à son utilisateur par rapport à l'autre.

Tableau 6: Les avantages apportés par l'utilisation de l'ordinateur dans les entreprises

Avantages

Effectif

Pourcentage

 

Allégement des travaux de Bureau

21

46,7

 

Stockage des données

5

11,1

 

Elaboration des rapports conformément au standard actuel

15

33,3

 

Calcul simplifié, factures, Etat financier

4

8,9

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes Août 2014

De part la lecture de ce tableau, nous remarquons que 46,7% de nos enquêtés soit 21 entreprises tirent un avantage d'allégement de la charge de travail au sein de l'entreprise, 11,1% de notre échantillon soit 5 entreprises sont attirées par l'avantage de stockages des données contre 33,3% soit 15 entreprises qui se focalisent à l'avantage d'élaboration des rapports conformément au standard actuel. Parmi nos enquêtés 8,9% soit 4 entreprises ont épinglé les avantages comme celui d'un calcul simplifié, l'élaboration des factures et les Etats financiers.

Le personnel des entreprises trouve ses tâches faciles au sein de chaque poste de travail et il convient de signaler que les entreprises de la ville de Goma ont commencé à élaborer les rapports conformes au standard actuel et facilement modifiables en cas de nécessité. Les calculs ont été simplifiés par l'ordinateur grâce à un logiciel Excel. Tel est le cas de la paie des agents.

Tableau 7: Les avantages apportés par l'utilisation de l'internet dans les entreprises

Avantages

Effectif

Pourcentage

 

Faire connaître nos produits à l'extérieur de la ville.

10

28,6

 

Partager des services et produits

11

31,3

 

Se connecter à d'autres entreprises externes pour évaluer les services.

8

22,9

 

Attirer la clientèle

3

8,6

 

Recherche et découverte

3

8,6

 

Total

35

100,0

Source : Nos enquêtes Août 2014

La lecture de ce tableau nous fait mention des avis des entreprises qui font recours à l'internet dans leurs activités. Nous remarquons que 28,6% soit 10 entreprises utilisent l'internet afin de faire connaitre leurs produits à l'extérieur de la ville ; 31,3% soit 11 entreprises partagent des services et des produits via l'internet contre 22,9% soit 8 entreprises qui se connectent à d'autres entreprises externes pour évaluer ses services par rapport autres ; 8,6% de nos enquêtés soit 3 entreprises font recours à l'internet et y tirent l'avantage d'attirer sa clientèle afin de s'abonner à sa consommation. Les mêmes pourcentages ont été signalés pour un avantage de recherche et de découverte.

Q3. Quelles sont les tâches qui étaient exécutées manuellement mais déjà prises en charge par les outils ci- après ?

Tableau 8: Les tâches exécutées manuellement prises en charge par le téléphone

Tâches en charge par le téléphone

Effectif

Pourcentage

 

Pour la transmission de l'information, réunion verbale

31

68,9

 

Les courses

9

20,0

 

Envoyer les courriers

5

11,1

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes Août 2014

Au vu de ce tableau, il ressort que 68,9% de nos enquêtés soit 31 entreprises ont trouvé leurs tâches comme la transmission de l'information, les réunions verbales prises en charge par l'outil des TIC qui est le téléphone. Les courses sont effectuées par le téléphone pour 20,00% de notre échantillon soit 9 entreprises, l'envoie des courriers pris en charge par le téléphone est justifié par 11,1% de notre échantillon soit par 5 entreprises en ce sens que les courriers ne sont plus expédiés en grandes masses pour les ayant droit.

Tableau 9: Les tâches exécutées manuellement prises en charge par l'ordinateur

Tâches en charge de l'ordinateur

Effectif

Pourcentage

 

Facturation,

Comptabilité des ventes

13

28,9

 

Classement de documents

5

11,1

 

Elaboration des rapports

27

60,0

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Ce tableau ci-haut nous renseigne que 60,00% de nos enquêtés soit 27 entreprises élaborent des rapports par l'ordinateur, 28,9% de notre échantillon soit 13 entreprises commencent à compléter les factures à l'aide de la machine qu'à la main libre, la comptabilité des ventes est aussi faite par l'ordinateur au lieu de la main libre ; 11,1% soit 5 entreprises ont spécifié que l'ordinateur est devenu un outil de classement de documents.

Tableau 10: Les besoins pris en charge par l'internet

Tâches en charge de l'internet

Effectif

Pourcentage

 

Marketing, communication avec les partenaires étrangers.

24

70,0

 

Envoi de courrier

6

16,7

 

Recherche et référence

5

13,3

 

Total

35

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

A l'observation de ce tableau, nous remarquons que 70,00% de notre échantillon soit 24 entreprises ont confié les besoins de marketing, la communication avec les partenaires aussi internes qu'internes de la ville au service internet, 16,7% de nos sujets soit 6 entreprises ont fait usage du service de l'internet pour l'envoie des courriers.

Q4. a. Existe-t-il un réseau local (interconnexion) des ordinateurs dans votre entreprise?

Tableau 11: De l'existence d'un réseau local dans les entreprises

 

Effectif

Pourcentage

 

Oui

27

60,0

 

Non

18

40,0

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

De ce tableau, nous pouvons constater que plus de la moitié de nos enquêtés, à savoir 27 entreprises soit 60,00% ont une connexion à l'intérieur de leur entreprise et que 18 entreprises soit 40% de nos enquêtés n'en ont pas.

Q4. b. Avez-vous un serveur des données ?

Tableau 12: Possession d'un serveur des données par les entreprises ayant un réseau local

Réponse

Effectif

Pourcentage

 

Oui

11

40,0

 

Non

16

60,0

 

Total

27

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

A la lecture de ce tableau, nous constatons que dans 27 entreprises ayant un réseau local, 11 entreprises soit 40,00% possèdent un serveur des données contre 16 entreprises soit 60,00% qui n'en ont pas.

Q4. c. De quel type de connexion internet disposez-vous?

Tableau 13: Type de connexion internet dans les entreprises

Type de connexion

Effectif

Pourcentage

 

V-sat

5

18 ,5

 

Broadband

7

25,9

 

Dial Up

Autres

4

11

14,8

40,7

 

Total

27

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Il découle de ces résultats que 11 entreprises soit 40,7% de nos enquêtés disposent d'un type de connexion autre que ces trois cités ci-haut ; 7 entreprises soit 25% de nos enquêtés font recours au Broadband contre 5 entreprises soit 18,5% qui utilisent le V- Sat au moment où 4 entreprises soit 14,8% utilisent le Dial Up.

Q5. a. Votre entreprise possède-t-elle un service informatique?

Tableau 14: Existence d'un service informatique

Réponse

Effectif

Pourcentage

 

Oui

Non

27

18

60,0

40,0

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Le constat qui se dégage de ce tableau est que 27 entreprises soit 60,0% de nos enquêtés possèdent un service informatique au sein de leur organisation et 18 entreprises soit 40,0% de notre échantillon d'étude n'ont pas de service informatique.

Q5. b. De quoi il est chargé?

Tableau 15: Les charges du service informatique au sein des entreprises

 

Effectif

Pourcentage

 

Maintenance des équipements informatiques et la gestion du réseau

18

66,7

 

Formation des agents et amélioration des connaissances

5

18,5

 

Opération informatique et autres activités de bureau

4

14,8

 

Total

27

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Le tableau ci- dessus nous donne les tâches du service informatique au sein des entreprises disposant d'une connexion internet à l'intérieur de celle-ci. Ainsi, 18 entreprises soit 66,7 souhaitent avoir un service informatique pour leur servir de maintenance des équipements informatiques et s'occuper de la gestion du réseau, tandis que 5 autres entreprises soit 18, 5 % de notre échantillon disposant la connexion dans le milieu de travail se servent du service informatique pour la formation des agents et l'amélioration des connaissances du personnel contre 4 entreprises soit 14,8% de nos cibles qui affectent au service informatique les opérations informatiques et autres activités de bureau comme l'installation des ordinateurs, le scanner,...

Q5. c. Du point de vue performance, comment qualifiez-vous le service informatique?

Tableau 16: La qualification du service informatique du point de vue performance

Qualification

Effectif

Pourcentage

 

Très performant

8

28,9

 

Performant

11

40,0

 

Plus ou moins performant

5

20,0

 

Moins performant

3

11,1

 

Total

27

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Ce tableau nous renseigne que la plupart des entreprises qualifient le service de l'informatique performant c'est-à-dire 40,0% soit 11 entreprises dans 27 entreprises possédant un service information, 28,9% soit 8 entreprises qui le trouvent très performant d'une part, un pourcentage de 20,0 soit 5 entreprises l'apprécient de plus ou moins performant, 3 entreprises soit 11,1 de notre échantillon ayant le service informatique le qualifient de moins performant d'autre part.

III. 2.2. Les outils de Communication et les Opérations dans les Entreprises

Ce paragraphe concerne les outils des TIC utilisés dans les entreprises de la place et leurs opérations respectives qui font que les entreprises y font recours dans leurs activités quotidiennes.

Q6. Quelle opération effectuez-vous à l'aide des outils repris dans le tableau qui suit:

Tableau 17: Les opérations effectuées à l'aide des outils de TIC

 Opérations

Téléphone

Ordinateur

Internet

n

%

n

%

n

%

Contact avec les clients

45

100,00

0

0,00

26

57,78

Commande des fournitures

41

91,11

0

0,00

18

40,00

Information du personnel

36

80,00

5

11,11

4

8,89

Stockage des informations

0

0,00

45

100,00

8

17,78

Annonce des réunions

40

88,89

0

0,00

5

11,11

Paiement des factures

18

40,00

0

0,00

9

20,00

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Il ressort de ce tableau que toutes les entreprises enquêtées contactent les clients au moyen de l'outil des TIC qui est le téléphone et 26 cas font recours à l'internet pour une telle opération. La commande des fournitures est une opération dont la majorité de cas se fait par le téléphone soit 41 cas contre une minorité de 18cas qui le fait par internet ; 36 cas s'informent de son personnel au moyen du téléphone, 5 cas par Ordinateur et 4 cas le font par internet ; l'ordinateur a servi tous les cas au stockage des informations et 8 cas le font par internet.

Q7. En recourant aux outils ci-après ; comment ont évolué les frais affectés au transport dans votre entreprise?

Tableau 18: L'évolution des frais affectés au transport dans les entreprises en recourant aux outils de TIC

Outils de TIC

En baisse

Stable

Hausse

Total

Effectif

%

Effectif

%

Effectif

%

Effectif

%

Téléphone

27

60,0

18

40,0

 
 

45

100,0

Ordinateur

18

40,0

22

48,9

5

11,1

45

100,0

Internet

17

48,6

4

11,4

14

40,0

35

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Ici, il est question de savoir comment les coûts imputés frais de transport des biens et de services, voire de personnes pour la transmission de l'information ont évolué pendant l'utilisation des outils de TIC comme le téléphone, l'ordinateur et l'internet dans leurs activités quotidiennes.

Nous remarquons que l'utilisation du téléphone a permis une évolution en baisse dans 27 entreprises soit 60,0% contre 18 entreprises soit 40,0% de nos enquêtés où l'évolution des frais affectés au transport a été stable. L'introduction de l'ordinateur dans les activités des entreprises enquêtées a occasionné une évolution en baisse des frais affectés au transport dans 18 entreprises soit 40,0% de notre échantillon, la stabilité de ces frais est remarquée dans 22 entreprises soit 48,9% de nos sujets par contre la hausse est sous-entendue dans 5 entreprises soit 11,1% de nos enquêtés. L'internet quant à lui a occasionné une évolution en baisse dans 17 entreprises soit 48,6% de notre échantillon voire aussi une stabilité réduite dans 4 entreprises entendu 11,4% des entreprises enquêtées quoique 14 entreprises soit 40,0% de nos enquêtés aient observé une hausse de frais affectés au transport de nos sujets.

Q8. a. Accedez-vous à votre réseau tout en étant à l'exterieur de votre entreprise?

Tableau 19: Accessibilité au réseau de l'entreprise tout en étant hors entreprise

Accessibilité

Effectif

Pourcentage

 

Oui

17

37,8

 

Non

28

62,2

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Le tableau ci-dessus montre que 62% de nos sujets ne parviennent pas a accédé au réseau de l'organisation tout en restant à l'extérieur de la firme tandis que 37,8% affirment qu'elles accèdent au réseau de l'entreprise sans pour autant être dans l'enceinte de l'organisation.

Q8.b. Si « oui » par quel moyen accédez- vous à ce réseau ?

Tableau 20: Les moyens d'accéder au réseau

Moyens d'accès

Effectif

Pourcentage

 

Extranet

4

23,5

 

Intranet

8

47,1

 

WI-FI

5

29,4

 

Total

17

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Il résulte de ce tableau que la majorité des entreprises accède au réseau de l'entreprise par le biais de l'intranet donc 47,1 % de nos sujets soit 8 entreprises, 29,4% de nos enquêtés soit 5 entreprises font appel à une connexion sans fil appelée WI-FI tandis que l'extranet aide 4 entreprises soit 23,5% de notre échantillon à accéder au réseau des entreprises.

Notons que toute accessibilité dépend de la distance de l'utilisateur par rapport à l'entreprise.

Q9. a. Votre entreprise a-t-elle un site web ?

Tableau n°23 : Le site Web dans les entreprises 

Existence

Effectif

Pourcentage

 

Oui

36

80,0

 

Non

9

20,0

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Remarquons que la plupart de nos enquêtés ont un site Web contre la minorité de notre échantillon.

Q9. b. Si oui, en quoi est-il nécessaire à votre entreprise?

Tableau 21: Nécessité d'avoir un site Web pour les entreprises

Nécessité d'un site Web dans les entreprises

Effectif

Pourcentage

 

Connaissance de nos produits aux clients, connaître les nombres de visites à notre site

9

25,0

 

Publicité électronique

5

13,9

 

Faire découvrir et nous faire connaître au monde externe

5

13,9

 

Marketing

17

47,2

 

Total

36

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Ce tableau soulève que la majorité de nos enquêtés possède un site Web pour une nécessité de marketing de l'entreprise donc 47,2% de notre échantillon, 25% disposent d'un site Web pour la cause de faire connaitre leurs produits aux clients, connaitre le nombre de visites rendues à leur site et cela contre 13,9% de nos enquêtés qui se servent d'un site Web pour la nécessité de la publicité électronique. Par ailleurs, 13,9% autres entreprises utilisent le site Web pour le besoin de faire une découverte et se faire connaitre au monde extérieur qui soit intéressé par l'utilisation de l'internet.

Q10. Votre entreprise achète-t-elle des produits et/ou services sur Internet ?

Tableau 22: L'achat sur internet de produits et services par les entreprises

Avis

Effectif

Pourcentage

 

Oui

30

66,7

 

Non

15

33,3

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

La représentation ci-dessus indique que 30 entreprises soit 66,7% de nos enquêtés arrivent à acheter les produits via l'internet par contre 15entreprises soit 33,3% de nos enquêtés n'arrivent pas à faire un achat par l'engin de l'internet.

III.2.3. Les Nouvelles technologies face à la gestion du temps dans les entreprises

Ce sous-point est consacré aux outils des Technologies de l'information et de la communication et la maximisation du temps dans la réalisation des activités dans les entreprises.

Q11. Si la réponse à Q10 est OUI, Quel moyen de paiement utilisez-vous pour cette fin?

Tableau 23: Les moyens de paiement lors de l'achat par internet aux entreprises

Moyens de paiement

Effectif

Pourcentage

 

Carte de crédit

5

16,7

 

Transfert d'argent/ Virement

21

70,0

 

Paypall

4

13,3

 

Total

30

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

A la lecture de ce tableau nous constatons que 21 entreprises soit 70,0% de notre échantillon d'étude pour payer les factures de l'achat réalise par internet utilisent le transfert d'argent par les agences bancaires disponibles à Goma, 5 entreprises soit 16,7% de ces dernières font recours à la carte de crédit contre une minorité de nos cibles qui utilisent le Paypall.

Q12. a. Disposez-vous des progiciels de gestion intégrés dans votre organisation?

Tableau 24: Disponibilité des logiciels de gestion dans les entreprises

Avis

Effectif

Pourcentage

 

Oui

21

46,7

 

Non

24

53,3

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Ce tableau nous indique que la minorité de nos enquêtés ne dispose pas de logiciels de gestion intégrés dans leurs organisations soit 46,7% contre 53,3%.

Q12.b. Si oui spécifiez

Tableau 25: Les progiciels de gestion disponibles par nos sujets

Progiciels de gestion

Effectif

Pourcentage

 

ADOBE ILLUSTRATOR

2

9,5

 

AUTO COMPTANT

10

47,6

 

SAGE

4

19,1

 

SPSS

1

4,7

 

UTM pour la gestion de la clientèle

4

19,1

 

Total

21

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Précisions qu'il ressort de ce tableau que l0 entreprises soit 47,6% de notre échantillon utilisent un logiciel de gestion intégré appelé « AUTO comptant », 4entreprises soit 19,1% utilisent le « SAGE », le progiciel « UTM pour la gestion de la clientèle » est disponible dans 4 entreprises enquêtées soit 19,1% de nos enquêtés, 2entreprises soit 9,5% disposent un progiciel de gestion intégré de « ADOBE Illustrator » contre une entreprise soit 4,7% des nos enquêtés disposent d' un progiciel de « SPSS ».

Le progiciel de gestion intégré facilite l'exécution rapide des activités des entreprises.

Q13.a. Utilisez-vous un logiciel spécifique, autre que la suite bureautique ?

(Pour la comptabilité, Gestion de stock, Planification, etc.)

Tableau 26: Utilisation de logiciel spécifique

Avis

Effectif

Pourcentage

 

Oui

23

51,1

 

Non

22

48,9

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Remarquons que ce tableau nous renseigne que l'utilisation de logiciel spécifique est d'une représentation dans 23 entreprises soit 51,1% de notre échantillon contre la non utilisation de 22 entreprises soit 48,9%.

Q13.b. Si oui, spécifiez

Tableau 27: La disponibilité de logiciels spécifiques dans les entreprises

Logiciel spécifique

Effectif

Pourcentage

 

Sage, Tip intégral

8

33,3

 

SAGE

11

48,2

 

Soft Jaguar

4

18,5

 

Total

23

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Précisions que le SAGE est disponible dans 11 entreprises soit 48,2%, le sage et le Tip Intégral utilisent dans 8 entreprises soit 33,3% de nos enquêtes contre le soft Jaguar qui est disponible dans 4 entreprises soit 18,5%.

Q14. Quels sont les moyens de communications auxquels votre organisation fait souvent recours lors de la communication interne ? (Cocher tous les moyens utilisés)

Tableau 28: Les moyens de communication utilisés par les entreprises au plan interne

Les moyens de communication

Effectif

Pourcentage

 

Téléphone portable

45

100

 

site web

9

20,0

 

Interphone

9

20,0

 

Radio (Motorola)

9

20,0

 

Brochures

5

11,1

 

E-mail

21

46,67

 

Affiches et notes de services

22

48,9

 

Verbale (réunion, conférences)

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Ce tableau nous renseigne que 100% de nos enquêtés utilisent le téléphone portable et la communication verbale pour une communication interne, 48,9% font recours aux affiches et aux notes de services, 46,67% utilisent l'e-mail, 20,0 % de nos sujets utilisent le site web, l'interphone, et les radios (Motorola) relativement pour la communication entre le personnel.

Q15. Lors de la communication avec l'extérieur, quels moyens de communication utilisez-vous dans votre organisation ?

Tableau 29: Les moyens de communication de l'entreprise avec l'extérieur à l'entreprise

Moyens de communication

Effectif

Pourcentage

 

Téléphone portable

27

60,0

 

site web

22

48,9

 

Télévision

28

62,2

 

E-mail

35

77,8

 

Radio diffusion

4

8,9

 

Brochures

18

40,0

 

Fax

1

2,7

 

Sat-phone

2

5,4

 

Affiches

37

82,2

Source : Nos enquêtes en Août 2014

La communication de l'information par les entreprises avec le public se fait par la majorité de nos enquêtés grâce aux affiches dont 37 entreprises soit 82,2% de notre enquêtés, 35 entreprises soit 77, 8% de nos enquêtés utilisent e-mail, la télévision est un moyen utilisé par 28 entreprises soit 62,2% de notre échantillon, le téléphone portable est un outil de communication usuel par 27 entreprises soit 60,0% de nos enquêtés, le site web est utilisé en communication extérieure par 22 entreprises soit 48,9% de notre échantillon, 18 entreprises soit 40,0% font recours aux brochures et cela contre 2 entreprises soit 5,4 % de nos enquêtés et 1entreprise soit 2,7 % .

Q16.a. Votre entreprise a-t- elle une adresse mail ?

Tableau 30: La possession d'une adresse mail par les entreprises

Avis

Effectif

Pourcentage

 

Oui

40

88,9

 

Non

5

11,1

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Le tableau ci- dessus indique que 88,9 % de nos enquêtés possèdent une adresse mail en revanche 11,1% de nos enquêtés ne possèdent pas jusqu'au moment de l'enquête une adresse e-mail.

Q16 .b. si « oui » pour quelles raisons l'entreprise fait recours à son mail ?

Tableau 31: Les raisons pour lesquelles les entreprises possèdent l'e-mail

Les raisons de possession d'un mail

Effectif

Pourcentage

 

Envoyer et recevoir les rapports annuels et répondre aux courriers des clients

18

45,0

 

Contact avec les partenaires extérieurs

18

45,0

 

Communication avec le personnel et les partenaires divers

4

10,0

 

Total

40

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Nous constatons que 45, 0 % de nos enquêtés soit 18 entreprises ayant une adresse mail ont signé les raisons d'envoi et de réception des rapports annuels et répondre aux courriers des clients. De même 45,0 % de nos enquêtés soit 18 entreprises précisent qu'elles recourent à l'adresse mail pour un contact avec les partenaires extérieurs contre 4 entreprises soit 10,0% qui se servent de cette adresse en cas de communication avec le personnel et les partenaires divers.

Q17. Quel est l'outil le plus utilisé dans les activités de votre entreprise ?

Tableau 32: L'outil de TIC le plus utilisé par rapport aux autres

Outils utilisés

Effectif

Pourcentage

 

Téléphone

32

71,1

 

Ordinateur

4

8,9

 

Internet

9

20,0

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Il ressort de ce tableau que plus de la moitié de nos enquêtés, subséquemment 32 entreprises soit 71,1% utilisent davantage le téléphone , suivi de 9 entreprises soit 20,0 % de nos sujets qui utilisent au deuxième rang l'internet contre une minorité de 4 entreprises soit 8,9 % qui utilisent souvent l'ordinateur.

18a. Pouvez- vous nous préciser les capacités des ordinateurs ainsi que les logiciels qu'ils contiennent ?

Tableau 33: Les capacités de disque dur des ordinateurs disponibles

Capacité de disque dur

Effectif

Pourcentage

 

161 à 320 Gb

40

88,9

 

Plus de 500 GB

5

11,1

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Il se dégage de ce tableau que la majorité de notre échantillon utilise des ordinateurs ayant des disques durs de capacité allant 161 à 320 Gb soit 40 entreprises sur 45 qui représentent 88,9% de nos sujets contre 5 entreprises utilisant les disques durs ayant une capacité allant à plus de 500Gb compte tenu de leurs activités associées à l'outil informatique.

Tableau 34: Les capacités de RAM des ordinateurs dans les organisations

Mémoire RAM

Effectif

Pourcentage

 

1 à 2

26

57,8

 

2,5 à 4

14

31,1

 

Plus de 4

5

11,1

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Ce tableau témoigne que 26 entreprises sur un échantillon de 45 ont des ordinateurs ayant le RAM installé dans la machine allant de 1 à 2 Gb soit 57,8% , 14 entreprises soit 31,1% disposent des ordinateurs de 2,5 à 4 Gb de RAM et 5 autres entreprises soit 11,1% se sont procuré des ordinateurs d'une capacité en RAM de 4 Gb et plus.

Q18.b. Quels sont parmi ces programmes celui (ceux) que votre entreprise utilise régulièrement ?

Tableau 35: Les programmes les plus usuels dans les entreprises

Programme de recours régulier

Effectif

Pourcentage

 

Excel

9

20,0

 

Excel, Access

4

8,9

 

Photoshop, Word, Excel, Illustrator

4

8,9

 

Shop.2

5

11,1

 

Windows, Word, Excel

4

8,9

 

Word, Excel

15

33,3

 

Word, Excel, Spss

4

8,9

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Les programmes les plus utilisé par nos enquêtés à savoir les MS-Word et MS-Excel sont régulièrement utilisés dans 15 entreprises soit 33, 3%, 9 entreprises soit 20,0 % utilisent régulièrement Excel, 4 entreprises sur 45 entreprises enquêtées font un recours permanent de MS-Excel et Access soit une représentation en pourcentage de 8,9%, le Photoshop, le Word, Excel et Shop.2 et Windows, Word et SPSS intéressent 4 entreprises soit 8,9 % en tout.

Q18. c. Citez quelques problèmes que vous rencontrez lors de l'utilisation de l'ordinateur ?

Tableau 36: Les problèmes liés à l'utilisation des ordinateurs

Problèmes lors

Effectif

Pourcentage

 

Coupure du courant,

Pannes des Ordinateurs

Menace de virus

13

8

12

28,88

17,77

26,66

 

Non maitrise de l'outil par les agents

Absence de signal connexion

8

4

17,77

8 ,88

 

Total

45

100,0

Source : Nos enquêtes en Août 2014

Le tableau ci-dessus identifie les problèmes que rencontrent les entreprises lors de l'utilisation de l'ordinateur en particulier. Il ressort que 28,88% (13cas) se heurtent au problème des coupures de courant, 26,6 % (12cas) pour les menaces de virus, les pannes des ordinateurs et la non maitrise de l'outil par les agents sont de problèmes liés à l'utilisation de l'outil informatiques dans 17,77% (8cas).

III.3. DISCUSSION DES RESULTATS

Dans ce point de notre troisième chapitre il est question de faire la confrontation des différentes théories évoquées dans les deux chapitres précédents aux réalités rencontrées dans notre milieu d'étude, la ville de Goma. Cette confrontation porte sur les différents thèmes ayant constitué notre questionnaire d'enquête : Identification des outils ou des infrastructures au sein des entreprises de la ville de Goma, les outils de communication et les opérations dans les entreprises et les nouvelles technologies face à la gestion du temps des activités des entreprises de la ville de Goma.

En ce qui concerne le premier thème, celui de l'identification des outils ou des infrastructures technologiques dans les entreprises enquêtées, nous avons remarqué au travers du tableau n°4 que le téléphone et l'ordinateur sont les outils les plus utilisés par toutes les entreprises de notre échantillon contre 35 entreprises utilisant l'internet soit 77,8% dans leurs activités quotidiennes. Notons que la détention des outils identifiés ci-dessus dans les entreprises de la ville de Goma constituent une infrastructure en technologie de la communication de nos enquêtées.

A cet effet, notre tableau n°5 nous renseigne sur la répartition des outils des NTIC au sein de nos sujets au point que la plupart de ces entreprises répartissent le téléphone pour chaque agent à 77,8% des sujets enquêtés, l'ordinateur pour chaque agent dans 5 sujets soit 11,1% contre la majorité de 23 entreprises qui répartissent l'ordinateur seulement aux cadres de l'organisation soit 51,1%. L'internet est réparti dans 7 entreprises dans le service contre 18 entreprises qui le répartissent seulement aux cadres.

Comme le montrent les tableaux n°6,7,8, nous précisant les avantages que les entreprises de la ville de Goma tirent-elles en utilisant les outils des NTIC , 35 sujets de notre échantillon soit 77,8% déclarent avoir tiré un avantage de communiquer d'une manière rapide, un contact facile entre les agents et les clients contre une minorité de 5 sujets soit 11,1% qui déclarent avoir transmis des rapports sans faire aucun déplacement au moyen de l'outil comme le téléphone. D'autres avantages que l'ordinateur a apporté à la majorité de nos enquêtés sont l'allégement de la charge de travail , l'élaboration des rapports conformément au standard actuel à 46,7% , 33,3%, contre 11,1% qui bénéficient de l'utilisation de l'ordinateur pour stocker les données facilement et 8,9% disent avoir fait des calculs simplifiés, factures appropriées et les Etats financiers de leurs propres entreprises. L'internet a permis à 11sujets de nos enquêtés à partager des services et des produits et à10 autres entreprises en ont tiré l'avantage de faire connaitre leurs produits à l'extérieur.

Au regard du tableau n°9, plusieurs tâches couramment exécutées manuellement ont été prises en charge par les outils des NTIC comme nous le signe une majorité de nos entreprises soit 68,9%. Le voyage pour la transmission de l'information et les réunions verbales ont été prises au compte de téléphone, l'ordinateur a répondu à l'élaboration des rapports à 60,0% , plus de compléter des factures à la main libre et à permis une comptabilité des ventes journalières rapides, facile à comprendre et aussi fiable que celle faite à la main libre à 28,9%  de nos enquêtés. Dans une totalité de 35 entreprises enquêtées ayant à son sein une connexion internet déclarent que ces outils a occasionné une publicité de masse, un marketing et une communication avec les partenaires étrangers à 70,0% contre 16,7% qui ont commencé à faire une discussion, un envoi des courriers et des lettres par l'internet.

Les entreprises de la ville de Goma ayant su l'importance de se procurer l'internet dans leurs organisations n'ont pas cessé de s'adopter d'un réseau local comme le témoigne le tableau n°12 où 27 entreprises sur 45 enquêtées ont un réseau local et le moindre effectif de 18 n'ont pas un réseau local au sein de leur entreprise.

Le service informatique a été identifié à 60,0% de nos enquêtés et parmi eux la majorité, soit 40,0%, le qualifie d'être performant contre la minorité qui le qualifie de moins performant soit 11,1% 

Ces résultats nous ont poussé à conclure de ce thème que les entreprises de la ville de Goma possèdent des outils ou des infrastructures technologiques importants car ils ont permis de rendre certaines tâches automatiques, comme sources de l'amélioration de la qualité et de la disponibilité de l'information au moment opportun.

Pour ce qui est des outils de la communication et les opérations dans les entreprises de la vile de Goma qui est notre second thème, notre étude montre et cela au tableau n° 18 que toutes les entreprises enquêtées font le contact avec les clients grâce au téléphone tandis que 26 entreprises le font au moyen de l'internet .Notons que beaucoup d'opérations comme celle de paiement des factures, l'annonce des réunions, information sur le personnel, la commande des fournitures,... sont aussi faites aux jours d'aujourd'hui par les outils des NTIC afin de favoriser une évolution croissante des activités des entreprises de la ville de Goma.

Les outils des NTIC dont il est question dans cette recherche ont permis une baisse de coût affecté au transport à 60,0%, une stabilité de 40,0% dans les entreprises utilisant le téléphone contre nulle entreprise n'ayant pas constaté une hausse de ces coûts. L'ordinateur a permis une baisse de frais de transport à 40,0%, une stabilité est déclarée par à 48.9% contre une hausse de coûts de transports de biens et des agents à 11,1%. L'internet, quant à lui à favorisé une baisse de transport dans 17 entreprises pour une totalité de 35 entreprises qui utilisent le service Internet.

Les questions évoquées dans ce thème nous ont orienté à parfaire ce thème de la manière que ces outils des NTIC comme le téléphone, l'ordinateur, l'internet ont permis une réduction de temps de travail, une augmentation de la clientèle grâce à l'internet, une facilitation de prise de décision comptable voire aussi une réduction de coûts de frais affectés au transport entant des variables de la performance de ces outils. Plusieurs autres outils sont associés à ceux-ci précités afin de favoriser les activités des entreprises de la ville de Goma.

Quant à ce qui est des nouvelles technologies face à la gestion du temps qui constitue notre dernier thème, les entreprises de notre terrain d'investigation ont adopté d'autres moyens de communication pour la gestion de temps et cela par exemple pour le paiement et la commande des fournitures grâce aux outils des NTIC. Les entreprises qui parviennent à acheter au moyen de l'internet s'acquittent de leurs dettes par le transfert d'argent ou par virement bancaire comme nous le constatons à la lecture du tableau n° 24, et d'autres disposent de plus des logiciels de gestion adaptés à leurs activités quotidiennes, comme les tableaux n°26 et 28 qui le justifient.

La communication interne et externe des entreprises de la ville de Goma se fait par plusieurs moyens afin de faciliter l'accélération des activités dont elles sont détentrices.

Les tableaux n°29,30 nous renseignent mieux sur ce point.

Les adresses mail, le site Internet, les capacités des ordinateurs disponibles dans les organisations/entreprises de la ville de Goma permettent à la maturité de ces dernières de réaliser leurs activités à moindre durée par rapport à celles qui n'ont pas cette culture des NTIC.

CONCLUSION GENERALE

Tourmenté de connaitre les raisons qui poussent les entreprises modernes à utiliser les outils des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans leurs activités, plus précisément celles de la République Démocratique du Congo en général et quelques-unes de la ville de Goma en particulier, nous avons eu un temps pas assez suffisant car nous n'avons pas pu atteindre toutes les entreprises ou organisations de la ville de Goma pour notre étude portant sur l'Utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans les activités des entreprises congolaises : cas de quelques entreprises et organisations de la ville de Goma.

Hormis l'introduction et la conclusion générale, le présent travail comporte trois principaux chapitres. Dans le premier chapitre nous avons parlé de l'aspect terminologique sur les NTIC, le deuxième quant à lui a évoqué la notion d'entreprise et le secteur d'activités dans la ville de Goma et en fin le dernier chapitre a analysé l'utilisation des NTIC dans les Entreprises de la ville de Goma.

La préoccupation majeure de notre étude était de savoir : « les raisons qui poussent les entreprises de la vile de Goma à recourir aux outils de NTIC ».

A cette réflexion de départ de notre recherche, les questions spécifiques suivantes ont été soulevées :

1. Quelles sont les infrastructures technologiques utilisées par les Entreprises de la ville de Goma ?

2. Quelles sont les opérations couramment passées via les TIC ?

3. Qu'en est-il des TIC dans la gestion du temps au sein des entreprises de la ville de Goma?

Pour parvenir à répondre à ces interrogations, trois propositions de réponses communément appelées hypothèses de recherche ont été formulées à savoir :

1. Les infrastructures technologiques utilisées par les Entreprises de la ville de Goma seraient, les ordinateurs, les téléphones fixes et portables voir le service internet.

2. Les opérations couramment exécutées via les TIC seraient le stockage des informations, le contact avec les clients, la commande des fournitures, etc.

3. Les TIC permettraient aux gestionnaires/ managers des entreprises et des organisations de la ville de Goma à optimiser le temps d'exécution des certaines opérations au moyen des logiciels de gestion intégrés dans les activités de ces dernières.

De la discussion des résultats obtenus par analyse des données récoltées par questionnaire, nous avons eu à constater ce qui suit :

· Les entreprises de la ville de Goma ont des outils divers des NTIC dont le téléphone, l'ordinateur et le service internet sont les plus utilisés dans les activités quotidiennes de nos sujets. A ces sujets de recherche, il a été prouvé que le 100% de notre échantillon soit 45 entreprises utilisent tous les outils comme le téléphone, l'ordinateurs contre 77, 8% de nos enquêtés qui utilisent le service internet malgré 22,2% n'utilisant pas le service internet comme le présente le tableau n° 5.

Ces différents outils sont les plus utilisés par les entreprises de la ville de Goma, mais les gestionnaires jugent mieux de les faire accompagner par diverses applications ou logiciels spécialisées par la réussite de leurs activités.

· Ces outils bien cités ci-haut permettent aux entreprises d'exécuter différentes opérations comme il ressort du tableau n° 18. Le contact avec les clients est en cela une opération que les entreprises de la ville de Goma commencent à exécuter à l'aide de l'outil comme le téléphone et le service internet, mais les opérations des stockages des données ou des informations pour les entreprises sont actuellement réalisées par l'ordinateur et l'internet.

En recourant à ces outils des NTIC, les entreprises de la ville de Goma assistent à une évolution décroissante ou soit constante des coûts affectés aux transports, tel que 60% des entreprises de notre échantillon ont assisté à une évolution en baisse de coûts de transport au moyen de l'utilisation du téléphone contre 11,4% qui déclarent que les coûts de transports sont resté constants quelque soit l'utilisation de l'internet. Cela a été clairement démontré dans le tableau n°19.

· Les NTIC dans les entreprises congolaises en général et celles de la ville de Goma en particulier permettent une bonne gestion de temps dans l'exécution du travail par rapport aux activités de l'organisation, car 21 sur 30 entreprises ayant le service internet au sein de leurs activités commencent à faire le commerce électronique ou à signer des contrats électroniques grâce au Web et parviennent à payer leurs dettes sans aucun déplacement au lieu du fournisseur/ client, soit par transfert bancaire soit par virement bancaire. Pour en savoir plus le tableau n°24 nous donne de précisions.

Ces entreprises disposent des logiciels qui rendent les activités plus rentables et plus rapides en communication et favorisant un gain en termes de temps tel que le TIP intégral qu'utilisent les Ets KM, le logiciel Sydonia++ utilisé par la DGDA, ancien Ofida.

BIBLIOGRAPHIE

1. OUVRAGES

ALDOSA N. et al,  Information, communication, organisation, 2e édition,

BALLE F. ; Média et société, presse, audiovisuel, télécommunication, multimédia, télématique, 7e édition

BOUGNOUX D., Introduction aux sciences de la communication, Paris, éd. La Découverte, 2001

BRENNEMANN R. ; Economie d'entreprise, Ed. Dunod, paris 2001,

BRES J.B., La communication interne de l'entreprise, Université de technologie de Belford- Montbeliad,

MOINE C.et HERZ B.; Informatique appliquée à la gestion, éd. Fourcher, Paris, 1996

CHARPENTIER P., Organisation et gestion de l'entreprise, éd. Nathan, Paris, 2003

CHARPENTIER P. ; Organisation et Gestion de l'entreprise, édition Nathan, Paris, 1997

CHENEAU-LOQUAY A., Mondialisation et technologie de la communication en Afrique, éd. Karthala

DRIVET P., Communication : Méthode, techniques et pratique de communication professionnelle, éd. Breal, Rosney

MARTINET A-C., SILEM A. et al. , Lexique de gestion, 6e éd. Dalloz, Paris, 2003

NATHALIE A., LE BIHA M. ; MONIN M., Information, Communication, Organisation, 2e édition, Béal, Rosney Paris, 2003

PITON R. et GRAWITZ M., Méthode des sciences sociales, Tome 1, éd. Dalloz, Paris, 1964

REZSOHAZY R., Théorie et critique des faits sociaux, la renaissance du livre, Bruxelles, 1971,

KISANGANI E., ABC de management, 1ère édition, prospective africaine, Goma, 2007

2. DICTIONNAIRES

COHEN E., Dictionnaire de gestion, éd.la découverte, Paris, 2001

Encarta 2009.

SILEM A., Lexique d'Economie, Dalloz, paris, 2008, 10e édition

3. COURS

BAKALUKE M.; Fiscalité des Entreprises, cours inédit, L2 FSEG/ULPGL-GOMA, 2013-2014

BUGANDWA D. , Théorie et pratique de sondage, cours inédit ULPGL-GOMA, L2FSEG, 2013-2014

KATYA E., Information de Gestion, cours inédit G1, ULPGL-GOMA 2013-2014

KIMBUANI G., Etude de Comportements des Acheteurs, cours inédit, ULPGL-GOMA, L1GE 2012-2013

KIMBUANI G., Informatique de gestion, cours inédit, ULPGL, G2 FSEG 2012-2013

KIMBUANI G., Initiation à l'informatique, cours inédit, G1FSEG/ ULPGL-Goma, 2009-2010

KIMBUANI G., Initiation à l'informatique, cours inédit, ULPGL/Goma, G1FSEG 2012-2013

KIMBUANI G., Classification des Emploi; cours inédit L1GE, ULPGL/ GOMA, 2012 -2013

KISANGANI E.; Psychologie des Organisations, cours inédit ULPGL-GOMA, L1 Gestion des Entreprise, 2014-2014

MUMBERE A., Relation industrielle, cours, inédit L1 GE/ ULPGL, 2012-2013,

TSHIMPANGA JP., Psychologie des organisations, cours inédit, ULPGL-Goma, L1GE 2012-2013

4. MEMOIRE

LILAMA H., L'appréciation des NTIC sur la gestion des entreprises : cas de ville de Goma, 2004.

5. WEBOGRAPHIE ET AUTRES DOCUMENTS

http://fr.wikipedia.forg/wiki/NTIC ,

http://wikipedia.org/wiki/Technologie

http://www.commentcamarche.net/contents/entreprise.php

http://www.internet.php=technologie-intranet

Microsoft Encarta 2009

P.ALIX, Comprendre et pratiquer le télétravail, disponible sur http.//www.village de travail-justice.com

www.cybersciences.com , Technologie de l'information, 

www.memoireoneline.com //la gestion par informatique dans les IMFs au Cameroun www.technologiemonde. /organisation et les NTIC.

Table des matières

EPIGRAPHE i

DEDICACE ii

SIGLES ET ABREVIATIONS iv

RESUME v

SUMMARY vi

LISTES DE FIGURES ET DE TABLEAUX vii

INTRODUCTION 1

0.1. ETAT DE LA QUESTION 1

0.2. PROBLEMATIQUE 1

03. HYPOTHESE 5

05. METHODOLOGIE DU TRAVAIL 6

06. DELIMITATION DU SUJET 6

07. SUBDIVISION DU TRAVAIL 7

CHAPITRE PREMIER : ASPECTS TERMINOLOGIQUES SUR LES NTIC 8

I.1.APERÇU SUR LES NTIC 8

I.1.1. Notion 8

I.1.2. Avantages de l'investissement dans les TIC 8

I.1.3. Rôles des NTIC 9

I.1.3.2. Le rôle incitant, traducteur et prétexte des TIC 10

I.2. Les outils de NTIC, matériels de traitement d'information 11

I.2.1. La calculatrice 11

I.2.2. L'Ordinateur 11

I.3. L'INFORMATION 13

I .3.1 Définitions 13

I .3.2. Sources d'information dans les Entreprises 14

I.3.3. Supports d'Information 15

I .3.4. Formes d'Information 19

I.4. TECHNOLOGIE 20

1.4.1. Technologie de l'information 20

1.4.2. Communication 21

1.4.2. Les processus de la communication dans les 0rganisations 23

I.5. COÜT LIE A L'INFORMATION DANS LES ENTREPRISES 24

I.6. LES OUTILS OU LES INFRASTRUCTURES DANS LES NTIC 25

I.6.1. La télécopie 25

I.6.2. La télévision 25

I.6.3. Le téléphone 26

I.6.4. L'ordinateur et l'informatique 26

CHAPITRE DEUXIEME : ENTREPRISE ET SECTEURS D'ACTIVITES DANS LA VILLE DE GOMA 30

II.1. ENTREPRISE 30

II.1.2. Différentes approches de l'Entreprise 31

II.1.3. La diversité des classifications des Entreprises 35

II.2. SECTEUR D'ACTIVITES DES ENTREPRISES DE LA VILLE DE GOMA 41

II.2.1. Secteur primaire 41

II.2.2. Le secteur Secondaire 42

II .2.3. Le Secteur Tertiaire 42

CHAPITRE TROISIEME 43

LES TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION DANS LES ENTREPRISES DE LA VILLE DE GOMA 43

III.1. Cadre méthodologique 43

III.1.1. Technique de collecte des données 43

III.1.2. Population et échantillon d'étude 44

III.2. PRESENTATION ET INTERPRETATION DES RESULTATS 45

III. 2.1. L'Identification des infrastructures 45

III. 2.2. Les outils de Communication et les Opérations dans les Entreprises 53

III.2.3. Les Nouvelles technologies face à la gestion du temps dans les entreprises 56

III.3. DISCUSSION DES RESULTATS 65

CONCLUSION GENERALE 68

BIBLIOGRAPHIE 71

ANNEXES 75

ANNEXES

QUESTIONNAIRE D'ENQUETE

Nous sommes étudiant en Sciences Economiques et de Gestion, Département de Gestion, Option : Gestion des Entreprises, Promotion deuxième année de Licence à l'Université Libre des Pays des Grands Lacs (ULPGL/Goma), nous menons une étude portant sur «De l'Utilisation des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication dans les activités des Entreprises de la ville de Goma». Cette étude s'inscrit dans le cadre des recherches purement scientifiques afin de nous permettre l'élaboration de notre mémoire, que nous allons réaliser qu'avec votre appuie. Tout en vous assurant de notre confidentialité nous vous prions de bien vouloir répondre aux questions ci- dessous.

NB : « Ce questionnaire est adressé au Directeur ; au comptable; au chef de Service Informatique et à l'Informaticien de l'entreprise »

Consigne :

o Pour les questions fermées complétez les pointilles par vos propres arguments qui correspondent à la question ;

o Pour les questions ouvertes, mettez X ou V dans la case qui précède, qui suit l'assertion correspondant à votre choix ;

o Pour les questions sous un tableau, veuillez complétez l'espace vide de ce denier conformément à la question.

I. IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE

Secteur d'activité :.................................................................................

Activité principale :................................................................................

Type d'entreprise : Publique Privée autre à préciser..................

Quelle est la forme juridique de votre entreprise ?

SA SARL SPRL

Autre à préciser............................................................................

QUESTIONS PROPREMENT DITES

THEME I: Indentification des Infrastructures et Personnel Technologique

0. a. Votre entreprise utilise-t-elle des outils ci-après :

- Téléphone Oui Non

- Ordinateur Oui Non

- Internet Oui Non

b. Si « Oui », comment sont-ils repartis ?

Outils

REPARTITION PAR

Chaque agent

Service

Fonction

Seul le cadre

Autre, à préciser

Téléphone

 
 
 
 
 

Ordinateur

 
 
 
 
 

Internet

 
 
 
 
 

2. Quels sont les avantages que l'utilisation de ces outils a apporté à votre entreprise ?

OUTILS

AVANTAGES

Téléphone

 

Ordinateur

 

Internet

 

3. Quelles sont les tâches qui étaient exécutées manuellement mais déjà prises en charge par ces outils ?

Outils

Tâches

Téléphone

 

0rdinateur

 

Internet

 

4. a. Existe-il un réseau local (interconnexion) des ordinateurs dans votre Entreprise ?

Oui Non

b. Si oui, Avez-vous un serveur des données ? Oui Non

c. Si «oui », Quel type de connexion Internet disposez-vous?

V-Sat Broadband Dial Up GPRS

Autres à préciser .................................................................................

5. a. votre entreprise possède un service informatique ? Oui Non

b. si « oui » de quoi il est chargé.........................................................................

c. Du point de vue performance, comment qualifiez-vous le service informatique ?

Très performant   Performant Plus ou moins performant

Moins performant Très peu performant

THEME II: les Outils de Communication et les Opérations dans les Entreprises

6. Quelle est l'opération effectuez-vous à l'aide des outils repris dans le tableau qui suit:

OPERATIONS

OUTILS

Téléphone

Ordinateur

Internet

Contact avec les clients

 
 
 

Commande des fournitures

 
 
 

Information du personnel

 
 
 

Stockage des informations

 
 
 

Annonce des réunions

 
 
 

Paiement des factures

 
 
 

7. En recourant aux outils ci-après ; comment ont évolué les frais affectés au transport dans votre entreprises?

Outils

Evolution de coût de transport

En baisse

Stable

En hausse

Téléphone

 
 
 

Ordinateur

 
 
 

Internet

 
 
 

8. Accedez-vous à votre reseau tout en étant à l'exterieur de votre entreprise?

Oui Non

Si « oui » par quel moyen ......................................................................

9. a. Votre entreprise a-t-elle un site web ?

Oui Non

b.Si« oui »,en quoi est-t-il nécessaire à votre entreprise ? .................................................................................. .......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

10. Votre entreprise achète-t-elle des produits et/ou services sur Internet ?

Oui Non

THEME III. Les Nouvelles Technologies Face à la Gestion du Temps

11. Si la réponse à Q10 est OUI, Quel moyen de paiement utilisez-vous pour cette fin ?

Carte de crédit Transfert d'argent Paypall

Visa Master Card.

Autre. Spécifiez ....................................................................................

12. Disposez-vous des Progiciels de gestion intengrés dans votre organisation ?

Oui Non

Si oui spécifiez ..................................................................................

13. Utilisez-vous un logiciel spécifique, autre que la suite bureautique ?

(Pour la comptabilité, Gestion de stock, Planification, etc.)

Si oui, lequel.

Oui Non

Si oui spécifiez ..................................................................................

14. Quels sont les moyens de communications auxquels votre organisation fait souvent recours lors de la communication interne ? (Cocher tous les moyens utilisés)

Téléphone portable Site web Télévision

Interphone Radio (Motorola) Brochures

E-mail Radiodiffusion Affiches&Notes de service

Verbale (réunion, conférences, etc.)

Autre ..........................................................................................

15. Lors de la communication avec l'extérieur, quels moyens de communication utilisez-vous dans votre organisation ?

Téléphone portable Site web Télévision

E-mail Radiodiffusion Brochures

Fax Sat-phone Affiches

Autre ..........................................................................................

16 .a. Votre entreprise a-t- elle une adresse mail ?

Oui Non

b.si « oui » pour quelles raisons l'entreprise fait recours à son mail ?..................................

17. Quel est l'outil le plus utilisé dans les activités de votre entreprise ?

Téléphone Ordinateur Internet

18a. Pouvez- vous nous préciser les capacités de chaque ordinateur ainsi que les logiciels qu'ils contiennent, dans le tableau ci-après :

CAPACITES

SYSTEMES

Disque dur

Mémoire ROM

Mémoire RAM

Windows

MS Dos

 
 
 

MS Word

TSP

 
 
 

MS Excel

Q Basic

 
 
 

MS Access

D Basic

 
 
 

Power Point

Autres, lesquels

 
 
 

SPSS

 
 
 

Autres, à préciser

b. Quel(s) est (sont) parmi ces programmes celui(ceux) que votre entreprise recourt régulièrement ?.....................................................................................................................................................................................................................................................................................

c. Citez quelques problèmes que vous rencontrez lors de l'utilisation de l'ordinateur ?........................................................................................................................................................................................................................................................................................

Nous vous remercions d'avoir la bonne volonté de répondre à nos questions.

Liste des entreprises ayant constituées notre échantillon d'étude

Nom de l'entreprise / organisation

Année de l'utilisation des outils de TIC

Téléphone

Ordinateur

Service internet

AIRTEL CONGO

Depuis l'existance

Depuis l'exist

Depuis l'exist

ALIMANTATION YESU NI JIBU

2003

2005

2010

ASRAMES

Depuis l'exist

2000

2002

CNR

2009

2009

2009

COOPEC BONNE MOISSON

2005

2005

2009

CS HESHIMA

2004

2004 2013

DGDA

1998

2001

2004

DGI

2000

2000

2002

EDITION AUX EXPLOITS

2009

2008 2013

ETS BON MARCHE

2005

2005 2005

ETS KIVU MOTOR

1997

1997

1997

ETS LA BEAUTE

2003

2003

2008

ETS YETU

2012

2012

2013

HEAL AFRICA

Non fourni

Non fourni

HOPITAL KYESHERO

Non fourni

Non fourni

HOTEL BONEZA FILS

2012

2012

2013

IHUSI HOTEL

1998

2002

2002

IHUSI STATION

Non fourni

2013

2013

LA CHARTE MATERNELLE

Non fourni

Non fourni

LES NTC ET FRERE

2008

2008 2008

MBINZA HOTEL

Non

2012

2012

MERLIN

Non fourni

Non fourni

Non fourni

MICRO-COM

2002

2002 2002

OFICE DE ROUTE

Non fourni

Non fourni

ORANGE

Depuis l'exist

Depuis l'exist

Depuis l'exist

PAM

Non fourni

Non fourni

RAWBANK

Non fourni

Non fourni

Non fourni

REGIDESO

NF

NF

NF

RUSINA HOTEL

NF

2010

2010

SHOPPERS DRILL

NF

NF

NF

SNEL

NF

NF

NF

SOCIETE DATCO

2005

2005

2005

SOCIETE PREMIDUS

NF

NF

NF

SOCIETE SHIKINA

NF

NF

NF

SOCIETE YAMAHA

2002

2002

2002

SOTRAKI

NF

NF

NF

SUPER MARKET DALLAS

2013

2013

2013

SUPER MATCH

NF

2008

2008

TGI

NF

NF NF

TMB

NF

NF

NF

TRAMINCO

NF

NF NF

UHURU HOTEL

2013

2013

2013

UNICEF

NF

NF

NF

Usine MBINZA

NF

2010

2010

VIP PALACE

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2003

QUELQUES IMAGES DE LA DEFENSE DE MEMOIRE A L'ULPGL/ GOMA

Pendant la délibération des mémoires Défense Publique : A la chaise électrique

La Famille Papa Thobis MULEKEZI BIGEGA

* 1 N. ALDOSA et al,  Information, communication, organisation, 2e édition, I, rue de Rome- Rosny p.53

* 2 H. LILAMA BOGUMAKI, Appréciation de la tic sur la gestion des entreprise », mémoire inédit, ULPGL/GOMA, FSEG, 2004, p.2

* 3G. KIMBUANI, Initiation à l'informatique, cours inédit, ULPGL/Goma, G1FSEG 2012-2013

* 4 JP.TSHIMPANGA, Psychologie des organisations, cours inédit, ULPGL-Goma, L1GE 2012-2013

* 5 « Croissance depuis 1945 et ses conséquences : la révolution de communication », 2009 Encyclopédie Encarta, Microsoft corporation.

* 6 G.KIMBUANI, Informatique de gestion I, cours inédit, ULPGL, G2 FSEG 2012-2013

* 7 R. REZSOHAZY, Théorie et critique des faits sociaux, la renaissance du livre, Bruxelles, 1971, p 72.

* 8R.PITON et M.GRAWITZ, Méthode des sciences sociales, Tome 1, éd. Dalloz, Paris, 1964, pp 338-339.

* 9 D. BOUGNOUX, Introduction aux sciences de la communication, Paris, éd. La Découverte, 2001, p 120.

* 10 http://fr.wikipedia.forg/wiki/NTIC , consulté le 11 avril 2014 à 12h45'.

* 11G. KIMBWANI, Informatique de gestion II, cours inédit ULPGL GOMA, 20013-2014

* 12A. CHENEAU-LOQUAY, Mondialisation et technologie de la communication en Afrique, éd. Karthala, Paris 2004, p.144

* 13 www.technologiemonde. /organisation et les ntic, consulté le 24 mai 2014, à 15h 11

* 14 www.memoireoneline.com //la gestion par informatique dans les IMFs au Cameroun

* 15 N. ALDOSA, et al, Op.cit, p.65

* 16 G. CASINO et al, NTIC : de quoi parle-t-on ?, éd. Réseau, ANACT, Lyon, 1999 ; p.18

* 17 ARDOINO cité par E. KISANGANI; Psychologie des Organisations, cours inédit ULPGL-GOMA, L1 Gestion des Entreprise 2013-2014

* 18 www.cybersciences.com , Technologie de l'information, consulté le 29 avril 2014, à 13h°

* 19 A.NATHALIE, M. LE BIHA ; M. MONIN, Information, Communication, Organisation, 2e édition, Béal, Rosney Paris, 2003, p. 17

* 20 Idem

* 21 A.NATHALIE et al, Op.cit., p. 12

* 22 A.NATHALIE et al, Op.cit., p. 22

* 23 A.NATHALIE et al, Idem, p.28

* 24 G. KIMBUANI, Initiation à l'informatique, cours inédit, G1FSEG/ ULPGL-Goma, 2009-2010

* 25 A.NATHALIE et al, Op.cit., p.34

* 26 http://wikipedia.org/wiki/Technologie consulté le 24 avril 2014

* 27 A-C. MARTINET, A. SILEM et al. , Lexique de gestion, 6e éd. Dalloz, Paris, 2003 p.448

* 28 E. KISANGANI, Psychologie des Organisations, cours inédit L1 GE 2013-2014 p.24

* 29 N. ALDOSA, et al, Op.cit, p. 54

* 30 P. DRIVET, Communication : Méthode, techniques et pratique de communication professionnelle, éd. Breal, Rosney, p.93

* 31 N. ALDOSA, et allii, Op.cit, p. 54

* 32 J.B. BRES, La communication interne de l'entreprise, Université de technologie de Belford- Montbeliad, pp.10-12

* 33 A.MUMBERE, Relation industrielle, cours, inédit L1 GE/ ULPGL, 2012-2013.

* 34 E. KISANGANI, Op.cit

* 35 KISANGANI E. ; Op. cit. , p.4

* 36C.MOINE. et B.HERZ; Informatique appliquée à la gestion, éd. Fourcher, Paris, 1996, p. 25

* 37 Microsoft Encarta 2009, « la télécopie »

* 38 BALLE F. ; Média et société, presse, audiovisuel, télécommunication, multimédia, télématique, 7e édition, Paris, 1994, p. 237

* 39 « Télévision » (2009), Microsoft Encarta

* 40 Microsoft Encarta 2009

* 41 E .KATYA, Information de Gestion, cours inédit G1, ULPGL-GOMA 2013-2014

* 42 R. BADJOKO, les réseaux Informatique, cours disponible sur http. //fr. wikipedia.org/wiki/web

* 43 http://www.commentcamarche.net/contents/entreprise.php

* 44 http://www.internet.php=technologie-intranet

* 45 P.ALIX, Comprendre et pratiquer le télétravail, disponible sur http.//www.village de travail-justice.com

* 46R. BRENNEMANN; Economie d'entreprise, Ed. Dunod, paris 2001, p. 23-26

* 47 LILAMA B. ; Op. Cit, p.22

* 48 P.CHARPENTIER, Organisation et gestion de l'entreprise, éd. Nathan, Paris,2003, p.22

* 49 Idem, p. 28

* 50 KISANGANI E. ; l'ABC de management, 1ère édition, Goma, 2007, p.34

* 51 E. KISANGANI, ABC de Management, cours inédit G1Economie ULPGL, 2009-2010

* 52P.CHARPENTIER, Op.cit., p. 59

* 53M. BAKALUKE; Fiscalité des Entreprises, cours inédit, ULPGL-GOMA, 2013-2014, p. 3

* 54P. CHARPENTIER; Organisation et Gestion de l'entreprise, édition Nathan, Paris, 1997, Pp. 7-9

* 55 E. KISANGANI, ABC de Management, op.cit, p .126

* 56G. KIMBUANI, Classification des Emploi; cours inédit L1GE, ULPGL/ GOMA, 2012 -2013

* 57E. KISANGANI Op.cit. p.167

* 58 G. KIMBUANI, Etude de Comportements des Acheteurs, cours inédit, ULPGL-GOMA, L1GE 2012-2013

* 59 www.google.com

* 60 Ah.SILEM, Lexique d'Economie, Dalloz, paris, 2008, 10e édition p. 692

* 61 MB.NEKA, Méthode de recherche scientifique, cours inédit, ULPGL GOMA, G2, P. 8

* 62 D. BUGANDWA, Théorie et pratique de sondage, cours inédit ULPGL-GOMA, L2FSEG, 2013-2014

* 63 Al. KABAYA ; Méthode du travail scientifique, cours inédit, ULPGL-GOMA, G1 FSEG, 2009-2010






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"Enrichissons-nous de nos différences mutuelles "   Paul Valery