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L'importance des NTIC dans une entreprise de presse

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par Gethro Maswa mulambu
Université de Kinshasa -  communication 2015
  

Disponible en mode multipage

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Epigraphe

« Il est nécessaire de conserver la tradition comme une référence, mais en même temps il faut favoriser l'évolution, sans laquelle la vie ne serait plus qu'un musée »

Bernadette Landange

DEDICACE

A mes parents MASWA KANIKA et MULAMBU BONGALI, eux qui nous ont montré le chemin de l'école et en ont assuré le suivi.

Ainsi qu'a tous mes frères et soeurs Briguel MASWA, lovi MASWA, Valence MASWA, Gethou MASWA, Flory MASWA, Grady MASWA.

Je vous dédie ce travail.

MASWA MULAMBU Gethro

AVANT-PROPOS

Comme tout travail scientifique, ce travail n'est pas épargné aux reproches et aux remarques, ce travail a comme vocation de montrer aux lecteurs l'importance des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC), dans nos entreprises en générales et en particuliers dans l'entreprise de presse le Potentiel.

MASWA MULAMBU Gethro

REMERCIEMENT

La réflexion appelle en toute recherche, une référence à l'homme, une attention vigilante à sauvegarder et enrichir les valeurs humaines de plus, ce que nous sommes, nous le sommes parce que l'autre nous aide à l'être et à nous affirmer comme doué de créativités intentionnelles en puissance mais surtout en acte.

Au sein de ce travail couronnant la fin de notre premier cycle en Science de l'Information et de la Communication, à l'Université de Kinshasa, notre allégresse est celle d'une femme qui vient d'accoucher et qui, à la vue de son bébé oublie toutes les douleurs atroces d'accouchement.

Nul ne saurait son chemin dans ce domaine des Sciences de l'Information et de la Communication sans l'encadrement d'illustres lettrés. Pour ce faire, nous tenons à exprimer nos sincères remerciement à tous ceux qui, de prés ou de loin, depuis notre enfance, sont au rendez vous de notre fortune en générale et plus particulièrement à ceux qui ont contribués à notre formation.

Nous tenons à exprimer nos remerciements les plus profonds à toute personne qui nous a aidé et qui a contribué à l'élaboration de ce travail et ce, dans le but du développement du savoir et l'amélioration du savoir faire. Nos sincères remerciements s'adressent tout d'abord au Professeur KAMATE MBUYIRO qui, en dépit de ses multiples occupations a accepté sans atermoiement de diriger ce travail.

Nous saluons également tous ses érudits esprits de la Faculté des lettres et Sciences Humaines pour la formation reçue.

Nous somme redevables à papa MASWA KANIKA Yves et à maman Annie MWAMBA SOMBO pour son soutien indéfectible dans notre cursus universitaire.

Nos remerciements vont tout droit à tous mes frères et soeurs de la famille notamment : Joël KUBATAKANA, Dieu KATUNDU, Didi KATUNDU, Beya KANZOZI, Detty MBAKA, Huguette KATUNDU, Sael MASWA, Franck BOTITI etc.

Nous nous trouvons dans l'obligation de remercier toutes les personnes qui de près ou de loin, ont concouru à la réalisation de cette oeuvre scientifique à l'occurrence des tous nos amis dont on a pu cheminer ensemble durant notre parcours à l'Université : Judith KADIENGA, Ether Kasongo, Glody DITINA, Erick TEPU PILEKA, Eduard FUNDA, Tyson KATAMBAYI, Anthony MALANDALA, Emmanuel LUBIJI, Christian BOLEME, Elino NGOY, Gloria MASSALA, Orelis KATO, Kams KAMBOLO.

Merci à m'a phrase motivante « l'impossible n'est pas GETHRO MASWA, car elle m'a toujours motivée d'aller de l'avant et d'affronter certaines réalités de la vie.

En fin ceux qui, de loin ou de prés nous ont aidés et encouragés, trouvent ici l'expression de notre gratitude.

MASWA MULAMBU Gethro

INTRODUCTION GENERALE

0.1. PROBLEMATIQUE

La problématique est l'ensemble du questionnement concernant un sujet, elle se présente aussi comme une réflexion théorique sur l'ensemble du sujet choisi1(*).

Les nouvelles technologies de l'information et de la communication se sont déjà répandues depuis de nombreuses années. L'être humain s'est investit pour réussir le pari de la communication en temps réel, en rendant possible un échange entre des individus situés à des points parfois éloignés ou complètement opposés du globe2(*). Les technologies de l'information et de la communication ont résolues le problème lié à la circulation rapide de l'information.

Aujourd'hui il n'ya plus des frontières, ni barrière entre les citoyens habitant différents coin du globe il ne se passe plus rien sans qu'il ne soit bien cerné par l'oeil inquisitoire des professionnels des médias.

On assiste à une révolution totale de système de communication des entreprises et de rapport existant entre l'homme et sa société.

Depuis la presse à imprimer jusqu'à l'internet et ses sites web, les médias permettent aux hommes de communiquer entre eux à distance, celle du temps et celle de l'espace et autrement en face à face. L'histoire de la communication est à la fois une chronologie et une géopolitique3(*).

Apres l'invention de Gutenberg, de nombreuses innovations manquent les séquences d'une histoire dont les réseaux numériques sont en ces premières années du XXIe siècle, le dernier avatar4(*). Cette technologie est également une géopolitique. Chacune des innovations majeures, dans le domaine des techniques, a assuré la suprématie de certaines notions par rapport à d'autres, opérant ainsi, à l'échelle mondiale, une redistribution du prestige et du pouvoir5(*). L'usage du journalisme one line a révolutionné le métier de la presse en plein 21e siècle. Les journaux sont en temps réel sur l'internet rendant disponible les informations touchant à tout le domaine de la vie au porté du grand public, sur ce :

1.  Nous allons chercher à connaitre l'importance qu'accordent les journalistes de la presse le potentiel en ce qui concerne l'usage des NTIC dans le traitement de l'information à la presse écrite congolaise ;

2.  Nous allons voir comment la presse écrite congolaise en générale et le potentiel en particulier a pu être influencée par les nouvelles technologies de l'information et de la communication6(*).

0.2. HYPOTHESE

Au cours de ce travail nous voulons démontrer que, les nouvelles technologies de l'information et de la communication a sans contesté ont révolutionné le travail quotidien dans la presse écrite congolaise. Cela est vérifiable puis que cette dernière est devenue un outil fondamental dans la recherche et dans la diffusion des informations. Le journaliste sans cesse enquête d'une information actualisée et intéressante trouve dans l'internet un moyen d'y accéder en un temps record quelque soit l'endroit du monde ou l'événement a eu lieu.

Les NTIC ont permis, en général, d'améliorer le travail de la presse écrite. La presse congolaise, notamment le potentiel, utilise ces innovations technologies, qui aident à avoir un meilleur rendement, augmenter son audience7(*) ainsi que la présentation des journaux en améliorant la qualité. Grace à ces techniques, les sources d'informations deviennent plus riches et variées, les capacités de diffusion des informations s'améliorent et deviennent plus rapides.

Mais la presse écrite congolaise à ce jour, n'est pas assez performante, dans la mesure où elle accède difficilement à ces techniques.

0.3. CADRE THEORIQUE

Tout travail scientifique doit s'intègré dans un cadre théorique en science de l'information et de la communication. Le cadre théorique est l'ensemble des théories que nous allons utiliser pour atteindre l'objectif de notre travail.

Ainsi dans le cadre de notre recherche nous allons utiliser la théorie des usages et gratification, cette dernière va nous permettre de procéder à l'étude de communications à travers les besoins et les motivations psychologiques, les canaux de communications, le contenu de la communication et des gratifications psychologiques dans un contexte particulier ou interculturel8(*).

0.4. INTERET DU SUJET ET CHOIX

Aux fins de vérification de notre hypothèse, nous avons pris l'option d'analyser le degré de l'importance des NTIC au sein de la presse écrite congolaise. Pour plus de précision, nous nous sommes intéressés à la presse écrite congolaise le potentiel. Ensuite faire connaitre aux journalistes l'utilisation des NTIC dans l'entreprise afin que les presses écrites locales et internationales puissent prendre conscience de l'importance des NTIC et mettre en pratique ses applications.

Entant qu'étudiant en sciences de l'information et de la communication, l'intérêt porté à cette étude est motivé d'une part par le souci d'une initiation à la recherche universitaire et d'autre part le constant que nous faisons de l'appropriation et de l'impact des nouvelles technologies de l'information et de la communication sur la presse congolaise.

En effet, la question du traitement de l'information présente une grande importance dans le domaine de la presse écrite compte tenu des moyens parfois peu orthodoxes aux quels recourent certains organes de presse du tiers monde.

C'est un problème très complexe, parce qu'il touche directement à l'image de l'entreprise de presse.

Le présent sujet nous conduira à découvrir le comportement du journal le potentiel face aux différents événements se déroulant dans le pays et dans le monde.

0.5. DELIMITATION DU SUJET

Ø Du point de vue spatial

Ce travail évalue l'utilisation des NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) au sein de l'entreprise, pour savoir si les NTIC ont un impact positif ou négatif dans l'entreprise de presse et si l'usage des NTIC dans une entreprise de presse est encouragé. Nous allons pour ce faire, nous limiter à l'entreprise de presse congolaise « le potentiel » qui, dont le siège social se trouve sur l'avenue du Bas-Congo N°873, dans l'immeuble RUZIZI dans la commune de la Gombe derrière la BCDC.

Ø Du point de vue temporel.

Cette étude est menée au cours de l'année académique 2015-2016.

0.6. METHODES ET TECHNIQUES

a) METHODE

La méthode constitue une marche rationnelle de l'esprit pour arriver aux résultats escomptés9(*)

En ce qui concerne cette recherche nous allons nous servir de l'approche fonctionnaliste. Cette méthode nous aidera à cerner le contour du rôle des NTIC dans le processus du traitement de l'information.

b) TECHNIQUE

La technique est le moyen permettant aux chercheurs de récolter les informations susceptibles à l'enquête. En ce qui nous concerne cette étude nous allons nous recourir à la technique d'entretien. La technique d'entretien nous aidera à récolter les avis des journalistes du groupe de la presse le potentiel au sujet relatif à l'usage des NTIC dans le traitement de l'information.

La technique documentaire nous aidera à répertorier les informations relatives à notre sujet sous étude y compris le web graphie.

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Outre l'introduction et la conclusion générale, notre travail compte trois chapitres essentiels :

ü Le premier est consacré au cadre théorique et conceptuel,

ü le deuxième chapitre articulé en deux sections : la première est consacrée à l'importance des NTIC dans le traitement de l'information au sein d'une entreprise de presse et le second est consacre à la brève présentation du journal le potentiel.

ü Et enfin le troisième aborde l'étude d'un cas pratique où nous allons présenter les résultats de l'entretien effectué au sein du journal « le potentiel ».

CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL

Dans ce chapitre, nous allons parler du cadre théorique qui est l'ensemble des théories que nous allons utiliser pour atteindre l'objectif de notre travail, et ensuite, nous définirons les concepts clés de notre sujet, cette opération nous aidera à avoir une idée claire des termes clés en usage dans le sujet sous examen.

I.1. CADRE THEORIQUE

Le cadre théorique sert principalement à présenter un cadre d'analyse et à généraliser des relations d'hypothèses l'attente de thèses déjà dans d'autres contextes pour tenter de les appliquer au problème.10(*)

Tout problème de recherche doit d'abord s'intégrer dans une perspective théorique qui est garante de l'intégration de la recherche dans la communauté scientifique. A partir de cette perspective théorique générale, le chercheur doit ensuite concevoir un cadre théorique spécifique à l'objet d'étude.11(*)

Nous allons maintenant élucider les principales théories relatives à notre travail, la théorie fonctionnaliste et celle des usages et gratifications.

I.1.1. La théorie des usages et gratifications

C'est dans cette écologie idéelle qu'en 1959, ELIHU KATZ invitait les chercheurs à se concentrer sur ce que les gens font des médias plutôt que ce que les médias font aux gens. Il se fondait sur le fait qu'il était clair pour lui que « même le plus puissant des moyens de communication de masse ne pouvait pas, en règle générale, influencer un individu qui n'en avait que faire dans le contexte social et psychologique ou il vivait ».12(*)

« Selon les tenants de cette théorie, les gens choisissent en partie de s'exposer à certains médias et à certains messages plutôt qu'à d'autres, dans le but plus au moins conscient de satisfaire ainsi certains besoins ou certaines attentes (relaxation, amusement, information....), lesquels varient selon leur profil social, culturel et psychologique. La consommation des médias est donc vue comme une activité finalisée. L'individu s'y expose « pour » ou dans l'attente, de quelque chose, pour en retirer certaines satisfactions ou gratifications, pour en faire certains usages, d'où l'intitulé de ce courant de recherches, « usages et gratifications » Par exemple, lorsque quelqu'un souffre solide du fait qu'il n'a personne avec qui parler, discuter, peut se tourner vers les médias pour obtenir une satisfaction alternative, un succédané de relations sociales. «  Les médias apparaissent alors comme des services publics dont le public fait un usage sélectif ».13(*)

L'approche du problème fondée sur les « usages » supposait que les valeurs, les intérêts, les évènements, les groupements, les rôles sociaux des gens étaient décisifs et que les gens adaptaient à leurs besoins ce qu'ils voyaient et qu'ils entendaient.

S'inscrivant dans cette ligne, WilburSchramm en 1961, dans « Télévision in the life of Our children » s'intéresse à savoir ce que les enfants font de la télévision. Déjà, les travaux de Bernard Berelson sur la grève de journaux en 1945, révélaient ce qui manquait aux lecteurs pendant cette période.

L'étude de Herta Herzog (Collaboratrice de Lazarsfeld auprès des auditeurs de feuilletons radiophoniques, dans une tentative de situer la base de leur out pour ces émissions, renseignait sur l'aide qu'apportaient ces émissions aux auditeurs.

Dans l'ouvrage « Personnal influence: The part Played by people in the flow of mass communication » en 1955, Katz et Lazarsfeld révélaient le rôle de compensateur auprès des femmes inquiètes et anxieuses des séries.

Livre dans lequel tous les deux se livrent à une analyse croisée des mass médias et de la communication interpersonnel, et qui conduit à relativiser l'influence des médias dans la vie quotidienne.

Toutes ces études montrent non seulement la part de satisfaction compensatrice que les médias apportent aux gens, mais aussi l'expression d'une culture médiatique tournée vers l'évasion que Joseph KLAPPER désigne dans son ouvrage - bilan sous le terme « escapisin », Cette occupation qui détourne l'homme des problèmes qui devraient le préoccuper. Ces satisfactions illusoires, loin de réduire les tensions individuelles, détournent les dernières énergies vers ces accomplissements qui sont ceux des personnages fictifs. Cette conséquence imprévue et fâcheuse conduit à une na cotisation dont sont assumés les différents rôles de la vie quotidienne.

« La fuite hors du réel est sans retour : la fréquentation de certains médias et l'évasion hors de la réalité sont tour à tour cause et effet l'un et l'autre ».14(*)

« Le modèle a comme objectif de déterminer le rôle que jouent les principaux médias de communication (télévision, radio, journaux, etc.) Dans la satisfaction de certains besoins des individus ainsi que leur importance ».15(*)

Selon Lin, « La force des usages et gratifications est de permettre à un chercheur de procéder à l'étude de communications à travers les besoins et les motivations psychologiques, les canaux de communications, le contenu de la communication et des gratifications psychologiques dans un contexte particulier ou interculturel ».16(*)

I.2. LES CONCEPTS

1.2.1. TECHNOLOGIE

a) Définition

Le mot technologie possède plusieurs définition car il est un mot kaléidoscope (plusieurs sens), on peut aussi se contacter de la formulation du dictionnaire, qui la définit come étude des techniques, des machines, des outils etc., employés dans l'industrie.

La technologie est un terme référant à tout ce qui peut être dit à plusieurs périodes historiques particulières, concernant l'état de l'art dans tous les domaines des savoir-faire pratiques et d'utilisation des outils. Il inclut donc l'art, l'artisan, les métiers, les sciences appliquées et les connaissances. Par extension il peut aussi se référer aux systèmes ou méthodes d'organisation qui permettent une telle technologie, ainsi que tous les domaines d'études et les produits qui en résultent.

L'étymologie du mot technologie renvoie toujours au sens moderne, il vient du grec technologia, « art » « compétence », ou « artisanat » et logia, l'étude de quelque chose ou d'une branche de connaissance d'une discipline.17(*) Le petit robert indique le mot est emprunté en 1656 au grec tardif teknologia «  traité ou dissertation sur un art, exposé des règles d'un art », de tekhnêet logos. La notion a ensuite été utilisée en 1772 par un physicien Allemand Johamn Bechmann.

b) Origine et histoire

La notion semble avoir été pour la première fois utilisée en 1772 par un physicien allemand : Johann Beckmann ; d'autres étymologistes situent son apparition au début du XVIIe siècle. Mais son usage populaire précède en faite de quelques années la révolution industrielle. C'est semble-t-il un professeur de Harvard, Jacob Bigelon, qui en a pour la première fois systématisé l'usage dans son ouvrage « éléments of technology » (1829). Botaniste et professeur à la chaire Rumford de Harvard consacrée à « l'application de la science aux arts utiles » (useful arts), Bigelon est reconnu par certains historiens américains comme un visionnaire, mais aussi un fervent promoteur de la technocratie. Promoteur d'une véritable « fusion » entre les arts et la science, Bigelon va dévaloriser à la fois les savoirs fondamentaux qui ne s'articulent pas avec une pratique concrète et les techniques (les arts dans les mots de l'époque) qui s'inscrivent dans une tradition sans le recours systématique au savoir scientifique. En promouvant une sectorialisation accrue des savoirs scientifiques et une répartition scientifique des tâches dans le domaine du travail, il va fournir à la société capitaliste américaine naissante un véritable modèle d'éducation.

C'est d'ailleurs sur les recommandations du professeur de Harvard que le MIT (Massachussetts Institute of technology) empruntera son nom mais aussi de nombreuses orientations pédagogiques qui en feront un des centres de recherches technologiques les plus performants au monde (dans le domaine de la communication, de l'information et aujourd'hui de la robotique et de l'intelligence artificielle).

Le mot «  technologie » ne désignait pas simplement pour Bigelon les « arts utiles ». Il voulait suggérer en fait la convergence qui s'opérait à l'aube de la révolution industrielle entre les arts et la science. Une convergence jusqu'à alors compromise par l'impossible articulation des savoirs scientifiques fragmentés et des arts nécessairement enfermés dans une tradition (ce que les membres du comité des arts et sciences américains nommaient « une routine empirique ».

c) Les effets de la technologie

Le terme peut soit être appliqué généralement soit dans des domaines spécifiques, par exemple : de construction, technologie médicale, ou la technologie de l'état de l'art.

Les technologies affectent l'homme de manières significatives aussi bien que les autres espèces animales et leurs habilités à contrôler et à s'adapter à leur environnement naturel. L'utilisation de la technologie par l'espèce humaine commence avec l'aménagement de ressources naturelles en simples outils. La découverte préhistorique de l'habilité à contrôler le feu augmenta considérablement la disponibilité en ressources alimentaires et l'invention de la roue aida l'être humain à voyager18(*) et à contrôler son environnement.

Les récents développements technologiques, incluant la presse typographique, le téléphone, et internet ont diminués les barrières de communication et permis aux êtres humains d'interagir librement à l'échelle mondiale. Cependant, toutes les technologies ne sont pas utilisées à des fins pacifiques, le développement des armes a progressé à travers l'histoire, allant du gourdin à l'arme nucléaire.

La technologie a affecté la société et ses environs dans un certain nombre de domaines. Dans de nombreuses sociétés la technologie a aidé à développer des modèles économiques avancés (incluant l'économie mondiale actuelle) et a permis l'apparition des loisirs. Beaucoup de réalisations technologiques influencent les valeurs de la société et les nouveautés technologiques provoquent des réflexions sur des nouvelles questions d'ordre éthique. Par exemple la croissance de l'efficacité en termes de productivité humaine, terme initialement appliqué aux machines, est le défit des normes traditionnelles.19(*)

1.2.2. L'information

En partant de son étymologie, le terme information tire sa forme du verbe informer, lui même provenant du latin informare, de in formare : former dans, qui signifie donner une forme à.

L'information, c'est le contenu du message que l'on livre, c'est un savoir que l'on acquiert. Entant que telle, elle apparait comme un renseignement qui véhicule une connaissance, un savoir sur un sujet ou une chose, elle est alors comprise comme l'ensemble des actes qui ont pour objet de faire la preuve d'une infraction et d'en connaitre l'auteur ou la source.

La théorie de l'information manipule le concept d'information en tant que contenu mesurable, en terme statistiques, des messages transmis : par conséquent, elle ne prétend pas évaluer le sens de ces messages,  se penchant uniquement sur leur quantité.

Toutefois, elle n'en suggère pas moins quelques réflexions sur l'information au sens habituel du terme. Shannon détermina ainsi qu'une information a d'autant plus de valeur que sa probabilité est faible par exemple, il peut être utile d'apprendre que «  l'autoroute est coupée dans 20 km » car cet événement se présente relativement rarement, en revanche, signaler que « l'opposition n'est pas d'accord avec le gouvernement » est une information de faible valeur, car fortement probable.

En effet, l'information contenue dans un message est donc une quantité mathématiquement mesurable, liée à la probabilité que ce message soit choisi parmi un ensemble de messages possibles. Plus le message est probable plus la quantité d'information qu'il transporte est faible. Par conséquent un message attendu avec certitude possède une quantité d'information nulle.

Comme nous l'avons dit haut, l'information a toujours revêtu un caractère utilitaire pour l'homme et pour la gestion de son environnement ; cette information doit être appréhendé comme une ressource de l'entreprise et gérée comme telle. Pour y parvenir, il est nécessaire d'en dégager les usages possibles et deux liens sont apparus dissociables :

a) Importance de l'information dans les domaines de la vie sociale

L'importance de l'information dans tous les secteurs et dans tous les domaines de la vie sociale n'est plus à démontrer, que ce soit dans l'organisation, l'évolution ou dans la gestion des collectivités humaines.

Bien des savants intéressés au domaine de la communication ont prouvé la primeur de l'information sur les autres faits de la vie humaine s'organisent et se maintiennent.

C'est grâce à elle que les collectivités humaines existent et se maintiennent. C'est grâce à elle que les cadres sociaux de la vie humaine s'organisent et se structurent, c'est grâce à elle que se produit et s'explique le changement, le développement des sociétés humaines ; c'est grâce à elle que l'action sociale est rendue possible. Donc, l'information est une production sociale20(*).

b) L'information comme support de gestion

L'information de qualité est utile pour une bonne gestion, l'entreprise, pour produire des bons résultats ; combine de façon logique un ensemble d'activités et de décisions appelées « processus de gestion ». Ainsi, on parle de processus d'approvisionnement, de gestion et de commande. Des informations sont crées, stockées, traitées, diffusées à chaque stade, de l'entreprise si bien qu'un processus de gestion constitue un système d'information pour la gestion des approvisionnements.

1.2.3. Communication

a) Définition de la communication

Le concept communication a fait l'objet de beaucoup de définitions. Chaque chercheur, en fonction des intérêts liés à ses études, l'a défini à sa façon. Son contenu et ses contours varient bon seulement selon les auteurs mais aussi souvent selon les domaines auxquels ce vocable se rapporte : journalisme, linguistique, sociologue, psychologue, télécommunication, cybernétique, informatique...

Selon le dictionnaire virtuel encarta21(*), dans un sens large, signifie toute opération de transfert ou d'échange d'information entre un "émetteur » et un « récepteur ».

Dans ce sens, la communication ne se réduit pas à l'échange verbal, puisqu'il existe bien d'autres systèmes de communication, aussi bien humain (l'écriture braille, la signalisation routière, les cartes, etc.), que non humains (par exemple, la danse des abeilles).

Quel que soit le type de communication, le transfert d'information n'est possible que si émetteur et récepteur partagent, au moins partiellement, le code (c'est-à-dire le système de signes) dans lequel a été transcrit le message.

C'est ce creux laisse par leur faillite que nait la communication, comme une entreprise des désespérée de relier des analyses, spécialisées, des milieux cloisonnés à l'extrême.

Comme une nouvelle théologie, celle des temps modernes, fruit de la technologie.

Pour jacques Ellul et l'école de Francfort découvrirent la corrosion du social par la technique, agent de fragmentation, voire de dilution des liens symboliques, elle s'impose alors au moment où ceux-ci sont déjà affaiblis.

En effet, la communication entre l'homme et la nature (biotechnologie), entre les hommes en sociétés (audiovisuel et publicité), entre l'homme et son double (l'intelligence artificielle) ;une communication qui prône la convivialité, la proximité ou même la relation d'amitié (friendship) avec l'ordinateur, elle envahit tous les champs : dans l'entreprise où le secteur relations humaines qui n'était qu'un élément parmi d'autres, devient prééminent, dans l'entreprise encore où le secteur relation humaine qui n'était qu'un élément parmi d'autres, devient prééminent, dans l'entreprise encore où le marketing concernait jadis le produit ,alors qu'aujourd'hui il travaille l'image de la firme elle-même, dans la presse elle-même, où les rubriques (communication) fleurissent, dans l'audiovisuel, objet de toutes les convoitises politiciennes et publicitaires, dans la publicité qui entend s'honorer elle-même en se nommant (entreprise de communication)22(*).

C'est pourquoi, ce concept renvoie aux processus physique et psychologique par lesquels s'effectue l'opération de mise en relation d'une ou des plusieurs personnes, c'est-à-dire les protagonistes, émetteurs et récepteur. Elle est comme acte, une action qui comprend tout un processus dont la finalité consiste à transmettre des informations, des connaissances pensées à une ou plusieurs personnes.

b) Différents types de communication

Telle qu'elle vient d'être définie, la communication constitue un phénomène omniprésent, que l'on rencontre chez tous les organismes vivants. Par exemple, les différents signaux (olfactifs, sonores, visuels) que les animaux émettent (pour protéger leur territoire, échanger des informations concernant les sources de nourriture rechercher un partenaire sexuel, etc.). Seront considérés comme étant des manifestations de la communication animale.

Chez l'homme, la communication ne se réduit pas non plus à des échanges verbaux, puisque, en dehors même de la langue des signes, nous émettons et recevons sans cesse, entre autres, des signaux visuels (postures, gestes, mimiques) et tactiles (les différents touchers, de la poignée de main aux caresses amoureuses). Ce signaux peuvent remplacer certains énoncés verbaux, mais peuvent aussi les accompagner ou les illustrer (comme dans les gestes illustratifs : « un poisson gros comme ça »), voire les contredire (par exemple dans certain types d'ironie).

c) La communication de masse

Par la communication de masse : on entend l'ensemble des techniques contemporaines qui permettent à un acteur social de s'adresser à un public extrêmement nombreux. Les principes moyens de communication de masse ou mass média sont la presse, l'affiche, le cinéma, la radiodiffusion et la télévision. Sous leur forme actuelle en tout cas, il s'agit de techniques caractéristiques du XXIe siècle et nées dans la société industrielle avancée.

Cependant il est frappant de constater que leur implantation tend, aujourd'hui, à précéder l'industrialisation dans les pays en voie de développement.

A partir de 1930 environ, la communication de masse est apparue comme un problème social. Jusqu'alors seul le rôle de la presse écrite essentiellement conçues comme un moyen d'information et fortement l'information politique, avait attirée l'attention.

d) Le schéma de communication selon Jacobson

Les premières théories 23(*) de la communication ont été élaborées au milieu du XXe siècle par des ingénieurs américains qui cherchaient des solutions aux problèmes techniques liés à la perte d'information.

Les modélisations qu'ils ont proposées, de portée très générale, ont inspiré plusieurs linguistes dont roman Jakobson qui a proposé le schéma de communication le plus simple et le plus connu.

Contexte

Destinataire

Destinateur

Message

Contact

Code

Dans ce schéma, on peut identifier un destinateur (émetteur) qui émet un message à un destinataire (récepteur). Le message est transmis grâce à l'existence d'un code (la langue) partagé par les deux participants qui, pour qu'il y ait transmission d'informations, ces participants doivent obligatoirement entrer en contact (un contact qui suppose une connexion physique et psychologique) l'ensemble s'inscrit dans un contexte (verbal ou susceptible d'être verbalisé) (voir aussi fonctions du langage).

Le phénomène de la communication peut être abordé selon divers approches, au nombre des quels il existe l'approche systémique et l'approche théorique. Voyons en quoi consistent ces deux approches.

e) L'approche systémique de la communication

L'approche systémique se fonde sur des piliers principaux suivants :

ü La communication est un phénomène interactionnel ;

ü Tout comportement social communicationnel ;

ü La communication est déterminé par le contexte dans lequel s'inscrit ;

ü Tout message comporte deux niveaux de signification contenu et relation ;

ü La relation entre interlocuteur se structure selon deux grands moments, symétrie et complémentarité ;

ü Le dysfonctionnement et la perturbation peuvent entrainer des crises (notamment mentales).

Par rapport à la praxis, l'approche systémique s'applique au modèle général d'un système de communication (dispositif de télécommunication quelconque, système de transmission des données entre les différents composants d'un ordinateur, etc....) ce système compose des éléments suivants : une source d'information, qui produit le message à transmettre, un canal de communication, par lequel transitent ce message, et un récepteur, destinataire du message.

Tout système de communication présente quelques imperfections inévitables : la capacité forcement limitée du canal et l'altération du message due aux interférences, au bruit et à une altération naturelle. Pour pallier cette altération, la théorie de l'information proposée de placer aux extrémités du canal de communication, par lequel transitent ce message, et un récepteur, destinateur du message.24(*)

f) L'approche théorique de la communication

De son coté, l'approche théorique de la communication, fait coexister deux acceptions de cette notion.

La première, plus ancienne, consacre la primauté de l'émetteur sur le récepteur. Beaucoup déduisent cette acceptation de la célèbre formule de 5Q de Harold LASWELL : « qui dit quoi, à qui, par quel canal, avec quel effet ». C'est l'acceptation qui semble soutenir que le facteur le plus importants, sinon le seul, de développement, permis l'élaboration des termes experts à la base de l'information moderne.

La deuxième acceptation, surgie des réflexions plus récentes de nombreux spécialistes et chercheurs en communication.

De ce fait, la théorie de la communication définit la communication comme interaction entre deux sujets où elle s'exerce en termes d'échanges de valeurs entre individus communicants et où le sujet récepteur est l'égal du sujet émetteur.

De ce qui précède, nous pouvons dès lors nous permettre de proposer cette définition, la communication est en sommes un processus de rapports, d'échanges entre les individus à travers des codes (signes, symbole) particulièrement correspondants aux canaux, supports infrastructures appropriés utilisés.25(*)

1.2.4. TRAITEMENT DE L'INFORMATION

Le dictionnaire Hachette nous donne' une brève précision sur le concept de traitement de l'information c'est l'ensemble des techniques permettant de stocker des informations, d'y accéder, de les combiner, en vue de leur exploitation.

a) Notion de Nouvelles technologies de l'information et de la Communication

Après l'ère industrielle du 20e siècle, l'humanité est entrée de plein pied dans l'ère du savoir, un savoir collectif pour utiliser l'expression de pierre Levy propre à la société de l'information dont les origines remontent aux années 1980. C'est l'époque de l'explosion de l'information elle-même multidimensionnelle, multisectorielle, quantitativement important.

L'information a fortement de influencé sur la vie social et par l'émergence de technologies de l'information et de la communication, les sociétés ont connu de grandes mutations à la fois rapides transversales, profondes (affectant toutes les dimensions et facultés de l'homme) et universelles.

C'est dans ce sens qu'Alain Gluskey disait d'elles véhiculent l'information mais aussi modifient de manière significative les processus de traitement de l'information basé sur le numérique, c'est-à-dire la représentation, le stockage et le traitement de l'information sous une forme d'une suite et l'appelle des bits. Le terme information fait référence à des textes, des images fixes ou animées, la vidéo, le son des données informatiques.

Il y a sans doute au départ le fait que les NTIC définissent tout nouveau système de production, de distribution et de consommation de l'information dans un contexte où celle-ci est devenue un facteur critique pour le progrès économiques des nations. On peut établir ici un parallèle avec l'avènement de l'imprimerie.

Celle-ci a permis une diffusion plus large de la connaissance, et donc, des courants de pensée qui ont conduit à des mutations socio politiques majeures en Europe.26(*)

Mais la problématique des nouvelles technologies de l'information et de la communication se pose donc en terme de définition majeure pour les pays en développement , une croisée de chemin en ce début du 21e siècle : se positionner sur l'échèle du développement en intégrant de manière efficiente, ces technologies dans leurs plate forme de développement dans un contexte mondial très évolutif et de plus en plus complexe ou s'exclure davantage de l'économie mondiale (qui migre vers les réseaux), des échanges culturelles et rester d'avantages jeunes. L'Afrique peut-elle relever ce défit ? Peut-elle intégrer rapidement les nouveaux modèles économiques, culturels émergents qui s'établissent ?

D'un coté, les problèmes à résoudre sont importants et à priori le risque de voir la plupart des pays de l'Afrique rater le visage actuel est élevé. L'infrastructure de l'information reste d'une manière globale le moins développés du monde. Le niveau de développement qualificatif et quantitatif des la presse écrite est très faible et l'information est encore embryonnaire.

b) Rôle des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication

Ces nouvelles technologies de l'information ont une grande valeur dans son exploitation, donner quelques exemples ci-après :

· L'engouement suscité par les nouvelles technologies de l'information dérivé précisément du fait qu'elles permettent , plus que tous les autres outils existants, de communiquer rapidement, et à des couts réduits de partager l'information de la manipuler, de faire circuler des volumes importants de données d'un point à l'autre monde27(*).

· Les nouvelles technologies de l'information et de la communication modifient fondamentalement le mode de production et de diffusion de l'information comme la télévision, l'internet se définit par le texte, le son et l'image. Mais il introduit l'interactivité qui s'exprime par l'hypertexte, donne à chacun la possibilité de choisir l'information qu'il souhaite avoir et le moment auquel, il veut accéder à celle-ci. Par ailleurs, l'internet constitue un mode décentralisé de production et de gestion de l'information.

· La maitrise des flux d'informations constitue donc une des clés décisives pour accéder, maitriser, voire contrôler les marchés, les technologies et les compétences.

Les nouvelles technologies de l'information et de la communication créent de nouvelles richesses qui sont à la portée de pays en développement parce qu'elles sont d'avantages par l'intelligence et la créativité que le capitaux traditionnels qui fonde l'industrie.

Du point de vue technique, les nouvelles technologies de l'information et de la communication évoquent la combinaison des différents réseaux de télécommunication. Elles sont symbolisés par le multimédia et incarnés par l'internet. Mais qu'est-ce que l'internet ?

c) Internet

C'est un média, un moyen, un médium de communication de plus pour certain, un véritable phénomène de société pour d'autre. Un phénomène de société,  car il existe aujourd'hui, une d'inflation de termes pour le désigner : «  réseau des réseaux » ; « cyberespace », «  cybermonde », « espace virtuel » etc.

Toutes fois, c'est la rencontre de l'audiovisuel, de l'information et des télécommunications qui a ; d'avantages accéléré la progression des technologies de l'information et de la communication.

Né de la convergence technologique de deux entités diverses, communications et ordinateur, internet a ouvert la communication à des horizons inimaginables jusqu'à un passé récent, lui donnant un pouvoir jamais atteint auparavant, il n'est pas seulement un instrument, il est surtout un espace virtuel de communication, de rencontres et d'échanges.

Ainsi, des 1992 comme l'affirme Balle, inter s'affiche -t-il comme l'héritier de cette triple alliance entre le téléphone, la télévision et l'ordinateur, structurellement internet est un moyen de communication de plusieurs à plusieurs qui transforment la communication d'internet dans un système informatif en forme existentielle et cette communication d'internet est modulaire extensible, élastique, foncièrement adaptée à plusieurs voix, où le dialogue et le débat sont réciproques,28(*) plus particulièrement, internet personnalisé et démocratise l'information, la transformant en redoutable armé politique.

Bien que dans la plupart des pays africains les technologies modernes de l'ordinateur à internet ne sont pas très répandues entrer dans la tribu , informatique constituera dans la société de demain un passage obligé si l'on en croit des auteurs tels que Breton (1990) aussi, personne ne doit elle ignorer les bouleversements en cours. Car au delà du phénomène de mode, le multimédia et les autoroutes de l'information se place aujourd'hui au coeur des conversations remarque Mora.

C'est ainsi que les technologies de l'information et de la communication et notamment internet suscitent dans les pays pauvre l'espoir d'accomplir un saut technologique qui contribuerait à résoudre les problèmes de développement.

L'internet est même présenté parfois comme une chance pour le continent africain. «  C'est d'ailleurs ce qui indique « cet extrait de la Banque mondiale sur le développement d'internet »29(*).

La révolution de l'information offre à l'Afrique une opportunité de bondir dans le futur, de rompre des décades de stagnation et de déclin.

L'Afrique doit saisir rapidement cette chance. Si les pays africains ne parviennent pas à tirer avantage de la révolution de' l'information à surgir sur la grande vague du changement technologique, ils seront submergés par elle. Dans ce sens, ils risquent d'être encore plus marginalisés et économiquement stagnants dans le futur qu'aujourd'hui ».

Et par internet nous serait données le bonheur et l'égalité ,la science et la culture, l'intelligence collective, la démocratie politique et la solidarité entre les hommes, dans tous ces cas, des années 1970 à 2000, une communication technicien ne glorifie , à portée de tous est mise en scène par des publicitaires avertis des ministres en mal de discours démocratiques, des industries intéressés et des journalistes pressés et imprudents. Comme le dit le grand anthropologue américain de la communication ; James. W. Carey : «  toutes les valeurs qui ont été prêtées à l'électricité et à la communication électrique jusqu'à l'ordinateur, le câble et la télévision par satellite, le furent d'abord au télégraphe avec un identique mélange de fantaisie de propagande et de vérité » « `. Communication technologique qui se prétend constitutive de toute communication.30(*)

Rôle de l'internet dans une entreprise

· L'internet constitue un outil de veille pour l'entreprise, les outils de recherche de l'information, le groupe de discussion et les sites spécialisés dans les domaines précis lui permettent et suivre l'évolution des secteurs dont dépend ses activités de maitriser les tendances technologiques et les données économiques.

· L'internet sert de victime à l'entreprise ; a travers un site web, elle peut se faire connaitre, présenter ses produits ses services et ses activités ; les catalogues les rapports et d'autres documents officiels peuvent être publiés sur le site avant même leur édition sous forme classique.

· L'internet permet à une entreprise de réduire de manière considérable ses coûts de communication et les transactions.

Pour comprendre le service de l'internet, il convient de rappeler qu'un réseau informatique possède deux fonctions importantes. Il permet de communiquer au moyen de l'ordinateur, lorsqu'on est connecté à l'internet, on peut communiquer avec tous ceux qui le sont également dans le monde, à partir de son ordinateur.

La deuxième fonction est que des ordinateurs interconnectés forment un espace virtuel d'information, ce qui signifie qu'on peut y publier des informations.

Les ordinateurs qui constituent l'internet forment ainsi un espace virtuel, dans lequel on peut accéder à l'information. Celle-ci peut être composite, c'est à dire constituer des textes, des sons, d'images fixes ou animées et de la vidéo (multimédia).

1.2.5. Presse

a) Définition

Au sens restreint, la presse est une machine ou ensemble des équipements qui permet d'imprimer des journaux par pression du papier sur la forme imprimante encrée.

L'usage a imposé une acceptation plus large : la presse désigne l'ensemble des « publications » imprimées ou des activités journalistiques, leur mode d'organisation et leur mode de fonctionnement, les liens d'influences réciproques qui nouent avec les autres institutions et la société en général. On dit aussi presse parlée (information à la radio) et presse audiovisuelle (journal télévision)31(*).

b) L'histoire de la presse congolaise de 1965 à nos jours

L'histoire de la presse au Congo est tellement vaste que nous en résumons en soulignant ce que nous avons jugé essentiel pour notre cas à traiter.

La rupture entre la période coloniale et les premières années de l'indépendance qui se produit le 24 novembre 1965, a marqué le début d'un long processus de mutations profondes en RDC.32(*)

Concernant la presse, la domination de forces non congolaise sur le contenu et la technologie des mass médias, a fait que le Congo définisse la compétence de ses professionnels en suivant des normes venues de l'étranger qui a créé un système de mass médias orienté vers des réalités plus étrangères que nationale.

CONCLUSION PARTIELLE

Dans ce premier chapitre, nous avons définit les concepts de base de notre sujet, dans la définition des concepts,  nous avons étudié en profondeur des termes ayant trait à la presse écrite et nous avons également étudié les différents services que fournir les nouvelles technologies de l'information, de la communication et de l'internet.

CHAPITRE II. L'IMPORTANCE DES NTIC DANS LE TRAITEMENT DE L'INFORMATION ET BREVE PRESENTATION DU JOURNAL LE POTENTIEL

Durant ces 20 dernières années, les NTIC ont été intégrées par les entreprises au fur et à mesure de leur disponibilité. Aujourd'hui elles sont devenues, un outil majeur pour la construction de l'entreprise de demain. Elles occupent une place prépondérante dans l'amélioration et la performance de l'entreprise de la presse écrite.

SECTION I : L'IMPORTANCE DES NTIC DANS LE TRAITEMENT DE L'INFORMATION

Les NTIC revêtent une signification particulière pour les journalistes de la presse écrite, il suffit de cliquer sur le moteur de rechercher de l'internet, on accède en temps réel à une information de grande richesse et actualisée. Pour eux, ces technologies constituent une révolution. Leur travail est facilité et devient même très agréable avec son support, (l'internet) ; il a la facilité et d'emploi de ce média révolutionnaire, son coût à la portée de ses nombreuses sources sa disponibilité permanente, le fait qu'il donne accès à des sources d'informations internationales, l'extrême diversité des thèmes abordées, la possibilité de télécharger des pages.33(*)

Les NTIC ont amplifié la voix et amené l'information et la communication à des distances longues à couvrir de grands espaces géographiques et à résoudre certains problèmes de développement. L'internet constitue, en lui-même, une grande évolution dans le domaine de la communication avec les sommes colossales d'information qu'il mette à la disposition des hommes où qu'ils se trouvent.

Lorsque les journalistes de la presse écrite exploitent les NTIC, on remarque un modèle identique de fonctionnement chez eux. En effet, étant donné que leur travail est axé sur la collecte de l'information, son traitement et son exploitation, ils font usages de ces techniques dans le sens d'améliorer et de simplifier leur travail. Dans la presse écrite on n'exploite pas toutes ces technologies, mais seulement ceux qui peuvent permettre de perfectionner le travail.

Nous constatons par exemple que grâce à l'internet, les journalistes ont acquis leur renom en assumant la responsabilité de présenter des informations.

Tous ces avantages ont fait de ce moyen de communication un outil extraordinairement riche et populaire. Dominique Mweze34(*) n'a pas tort de dire que l'usage des NTIC constitue un lieu de dialogue entre les peuples, les nations et les civilisations.35(*)

Dans la mesure où l'importance à cette ère de la mondialisation, c'est de se rapprocher de l'autre et construire ensemble un projet commun d'une humanité affranchie, réconciliée avec elle-même et libérée. Ce qui importe pour lui c'est que l'homme se serve de ces outils virtuels que sont les NTIC pour se rapprocher de l'autre et construire (....) libérée des grands maux qui présent sur elle.

L'usage des NTIC constitue une véritable révolution pour la presse écrite. Grace à l'utilisation des ces techniques, les lecteurs sont bien guidés. Par ailleurs certaines opinions voudraient même que l'avenir de la presse écrite soit sur internet et au risque de dépérir et de disparaitre, car « l'internet  et le nouveau réseau de communication qui le sous-tend sont décrits comme le vecteur d'un nouvel âge d'or du progrès économique et social».

Mais quelques soient ces innovations, les NTIC ne font pas disparaitre les technologies anciennes, elles viennent s'y greffer. Ce n'est pas parce que les possibilités offertes par les NTIC frôlent l'admiration qu'il faut abandonner les anciennes techniques. L'utilisation des NTIC permettent tout selon Dominique Anet36(*), le minimum vital de toute entreprise d'aujourd'hui est le site internet et le courriel, les entreprises les plus grandes ont déjà construit où sont entrain de construire un intranet, voir un extranet.

Ce qui a changé fondamentalement, c'est la nature de l'enseignement de l'entreprise, l'interface au monde extérieur, n'est plus cette pancarte antique au bois suspendue au dessus de la boutique, elle est désormais cette interface virtuelle appelée site web. L'entreprise n'existe pas si son enseigne virtuelle existe.

Les technologies ont modifiés les modes de fonctionnement et l'organisation dans leurs entreprises, il ya essentiellement le transfert entre outils, la formation des procédures ainsi que le gain des temps et des meilleures ventes. Il ya en plus des changements importants ; la recherche de connaissance et d'information hors livre, la communication exclusivement par courriel c'est la fin du fax et la réduction très forte de l'usage du téléphone.

Devant tout avantage proposé par les NTIC, la presse écrite n'a comme unique choix que de s'en approprier au risque de disparaitre purement et simplement.

Secundo, le succès même de l'internet engendre un effet pervers. La multiplicité des sites éparpillé les sources. La quête des renseignements peut vite se relever fastidieuse, même si des annuaires (Yahoo ! nomade...) Récemment les meilleurs sites sur un sujet donné et si des moteurs de recherche (voilà, Alta vista, excite..) indexent les cent millions de pages internationales.

Cela dit, tout citoyen peut désormais accéder à toutes sortes des textes (rapports d'entreprise, discussions parlementaires, communiqués de presse...) qui étaient auparavant l'apanage des journalistes. Ceux-ci devront donc se concentrer de plus en plus sur le traitement des informations (vérifications, sélection, hiérarchisation) et sur la quête personnelle de données.

L'internet est également irremplaçable pour consulter des documents bruts intégraux, des textes officiels, des formulaires, des rapports, etc. aucune limitation de capacité ne lui est imposée. La presse l'a bien compris, et a ouvert rapidement des sites internet.

Par ailleurs, l'avènement des NTIC constitue un véritable bouleversement dans l'univers informationnel et communicationnel, la presse écrite n'y échappe pas.

La presse écrite est en quête effrénée de l'information qu'elle doit traiter avant de la présenter au public.

Avant l'avènement des NTIC, la presse écrite était butée, à de nombreux problèmes dus aux distances géographiques, à l'accès aux sources d'informations.

L'internet permet surtout la rapidité d'échange de données, gain de temps, disponibilité de l'information, la visibilité (accès au monde entier) et la facilité (accès facile).

Puisque l'accès à l'information devient facile, on peut voir directement quelles sont les informations qui pourront intéresser ce public et être diffusés. C'est une révolution, car « l'internet donne une visibilité mondiale à l'information : des renseignements sur l'élection présidentielles en RDC peuvent être lus aussi bien au Canada, en Angola, en Espagne qu'ailleurs ».

« L'internet peut aussi aider les pays africains à améliorer leur représentabilité dans le domaine de l'information et par conséquent à valoriser leurs cultures et leurs atouts économiques ».

Les informations que livre l'internet sont diverses, l'internet est un (espace virtuel), un réseau qui personnalise et démocratise la communication. Nous avons l'impression de consulter un document unique alors qu'on visite des services disséminés dans le monde entier, un instrument d'échanges.

Les NTIC accélèrent la diffusion de l'information, facilitent leur accès. Grace à elle, on est à la pointe de l'actualité. Le travail devient facile et amplifié. Elles permettent de rapprocher le monde, accéder tôt à l'information mondiale, facilitent la perception de l'information, elles permettent d'être à jours avec les dépêches.37(*)

Cependant, les NTIC peuvent représenter un danger pour les journalistes.

En effet, en se rendant dans des cybers pour surfer, les journalistes peuvent arriver à se détourner de leurs objectifs et se voir consommer des informations malfaisantes, puisqu'il est difficile de vérifier l'identité du fournisseur de l'information.

Autres choses, les NTIC affaiblissent l'homme n'assurent pas la sécurité des données, n'importe qui peut faire circuler n'importe quoi.

Pour J.M. PERENG38(*), «  si la presse s'est véritablement engagée dans la voie du changement au Congo- Kinshasa, il ya tout de même une place pour elle dans ce pays mais est elle devenue une institution respectable et respectée ? Il est vrai que beaucoup des choses ont changé au Congo Kinshasa, mais quel est la part de responsabilité de la presse dans ce phénomène et au détriment de qui, de quoi ? Quelle sont, en effet, les caractéristiques générales de cette nouvelle presse ».

Mais pour ce qui arriver dans l'avenir, une presse qui n'utilise pas ces outils sera prie de court.

D'un coté les problèmes à résoudre sont important, et à priori le risque de voir la plupart de pays de l'Afrique subsaharienne rater le virage actuel est élevé. L'infrastructure de l'information reste d'une manière globale, la moins développée du monde. Le niveau de développement qualitatif et quantitatif de la télécommunication est très faible et l'information est encore embryonnaire.

Pour D. Mweze, nous évoluions inexorablement vers le cyberespace qui peut être défini comme l'espace de communication ouvert par l'interconnections des ordinateurs et des mémoires informatiques et dont les principales sont l'informatiques et dont les principales sont l'accès à distance aux ressources d'un ordinateur et la possibilité d'opérer un téléchargement ou transfert des fichiers.

Pour ne pas être marginalisée par l'histoire, l'Afrique à l'avantage de s'approprier des ces technologies et les mettre au service de son développement. Elle gagnerait à puiser sur la toile, la chaleur des autres nations, leur savoir faire et à partager avec elle ce qu'elle a de riche, d'original. De cette façon, les nouvelles technologies de l'information et de la communication seront véritablement le cyberespace dépollué où s'effectuent le donné et le recevoir.

Enfin, même si le rôle de la presse écrite change avec tous ces nouveaux outils, les journalistes doit pouvoir dans toute l'information qui circule sur internet, détecter ce qui va pouvoir intéresser son public, personne n'étant intéressé par la totalité du monde.

SECTION II. BREVE PRESENTATION DU JOURNAL « Le Potentiel »

Cette section comporte plusieurs points dont chacun fera l'objet d'un sous points, aussi sera-t-il question de découvrir les éléments fondamentaux du groupe de presse « le potentiel » dans son intégrité.

I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE

Le Groupe de presse le Potentiel est implantée à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo. Le siège administratif est situé sur l'avenu du Bas-Congo N°873, dans l'immeuble RUZIZI dans la commune de la Gombe derrière la BCDC.

I.2. FICHE SIGNALITIQUE

§ Nom du journal : le Potentiel ;

§ Propriétaire : Modeste MUTINGA ;

§ Directeur de publication : Faustin KUENDELA

§ Siège de la rédaction : Immeuble RUZIZI, Avenue du Bas-Congo N°873, commune de la Gombe ;

§ Périodicité : Quotidien

§ Moment d'apparition : matin

§ Date du premier numéro : 12 octobre 1984

§ Zone principale de diffusion : Kinshasa, internet numérique et province

§ Tirage : plus de 2.500 exemplaire/jour

§ Le prix : 1.000fc unitaire abonnement annuel 500$

§ Format : A3

§ Nombre de page : 20 pages

§ Nombres du colonne/page : 5 colonnes

§ Nom et l'adresse de l'imprimerie : recto verso, av. Kianza n°20 Kinshasa/Makala.

§ Nombre d'édition et zone couverte par chaque édition : une seule édition, Kinshasa bas Congo (Matadi). Caractéristique exceptionnelle du journal : il est du centre, et sa rubrique « Apostrophe et le supplément. Lieu de conservation de collection : Av bas Congo, Kinshasa/ Gombe

§ Fichier ou dossier : autorisation de parution 04/00015/DT

§ Il possède un site web : www.lepotentielonline.com. Crée depuis 2000 (son site est hébergé en Belgique). delphibateko@yahoo.fr 0812237393.

I.3. HISTORIQUE

Le journal « potentiel « est ne le 12 octobre 1982 a l'initiation de monsieur MODESTE MUTINGA MUTUISHAY propriétaire et autorité moral du journal. A sa création le journal s'appelait « satori au pays des grands lacs » et paraissait sous forme de magazine d'information touristique et sociale. En octobre 1985, après une interruption de plus d'une année, le journal renait sous une nouvelle dénomination. Il s'appel désormais « le potentiel ». Ce changement est inopiné par les potentialités du sol et sous sol dont regorge notre pays la république démocratique du Congo. Il a commencé d'abord comme un mensuel dont le contenu est essentiellement économique mais le tableau ne s'empêche pas de publier quelques information à caractère socio culturelles. Son siège était alors installé au n°20 de l'avenue Kianza dans la commune de Makala ; devenu plus tard le siège d'exploitation de l'imprimerie recto-verso, propriété du journal.

Avec l'avènement de la démocratie du pays, lors de la deuxième république, le 24 avril 1990, accompagné de la libération de la presse, le potentiel changé de périodicité. «  Devient ainsi hebdomadaire qui élargit en même temps ses rubriques, ce qui lui conduit à changer aussi sa ligne éditoriale. Très vite, le tableau gagne en notoriété et devient un hebdomadaire d'information générales avec plus usage de plus de 13.000 exemplaires.

Dans l'agitation des années 1990 à 1993 consécutive au conflit au sommet de l'état entre le président Mobutu et le premier ministre TSHISEKEDI, son imprimerie « recto verso » est plastiquée. Le 17 septembre 1996, «  le potentiel » change de périodicité.

Cette fois-ci il devient un quotidien d'informations générales le 823ème numéro est la première édition de la mutation.

Après 23 ans de parution, actuellement le Potentiel est devenu un groupe de presse produisant des journaux ci après : la compatriote sportif, c'intrus, l'apostrophe, économica, qui sera remplacé par le journal vsm (vedette du sport et de la musique). Supplément sera remplacé du Kasaï vendu exclusivement dans les Kasaï (14).

Le potentiel emploi une trentaine de journalistes, composée dans la majeure partie des anciens journalistes d'Elima et du Salongo ainsi des jeunes journalistes venus fraichement des Universités et Instituts supérieur dont notâmes l'Université de Kinshasa (UNIKIN), Institut facultaire des sciences de l'information et de la communication (IFASIC) et Université catholique du Congo (UCC).

Le quotidien d'information générales, le potentiel officiellement est un journal qui se veut indépendant et privée n'appartenant ni à un groupe de pression, moins encore à une obédience politique, il n'est pas subventionnée par l'état mais privilégiée dans toute son indépendance le droit à l'information dans le strict respect de l'éthique et de la déontologie professionnelle. Par ailleurs, il se bat dans la confection politico- économique actuelle pour la défense des valeurs républicaines par l'information et objective.

I.4.STRUCTURE ORGANIQUE ET FONCIONNELLE

Le journal le Potentiel a une organisation administrative modeste qui reflète les activités d'une entreprise de presse. Cette structure est composée de :

§ Fondateur ;

§ Direction général ;

§ Direction de publication ;

§ Rédaction générale ;

§ Secrétariat de rédaction ;

§ Service marketing et commercial.

a) Fondateur

Chaque chose a sa fondation, concernant le journal le potentiel, son fondateur et PDG, c'est Monsieur modeste MUTINGA.

b) Direction générale :

C'est le centre d'impulsion du journal. Son Rôle est de définir la politique du journal, fixer les objectifs de l'entreprise de presse tout au niveau et planifier le travail pour atteindre ses objectifs demandés.

c) Direction de publication

Elle gère et anime le contenu du journal dans ce rapport de ligne éditoriale.

d) Rédaction générale

C'est la couronne de transmission entre le staff dirigeant et l'équipe rédactionnelle secondé à son tour d'un rédacteur en chef. Le directeur de rédaction à deux adjoints dont l' un est chargé des suppléments et l' autre des investigations et reportages secrétaire de rédaction et 3 chefs de rubriques.

Le potentiel comprend 3 rubriques (politique, économique et social) et 6 suppléments (nouveau, horizon, monde des affaires, femme actuelle, notre époque, construire démocratique et littérature, la culture, médias et la musique).

§ Service administratif et financier : il s'occupe de la gestion de la ressource humaine et financière ;

§ Service marketing et commerciale : se charge des annonces publicitaires et abonnement que souscrit certaines de maisons privées. Elle gère la commercialisation et la distribution des journaux.

§ Le service technique : ce service s'y occupe de tout ce qui est technique pour la réalisation du journal. Il est composé de 5 agents, un directeur technique sur responsable de la mise en page assisté par deux moteurs pour le journal papier et 2 web masters pour le journal en ligne.

I.5. Evolution du journal

Après plusieurs années de son existence, le journal « le potentiel » crée son propre site internet en 2.000. Ce site se charge de la visibilité du journal à la version numérique. Il est géré par deux web masters.

En outre, il faut montrer que le journal le potentiel fait partit du groupe de presse le potentiel qui a d' autres journaux comme le compatriote du Kasaï ; vendus uniquement dans les deux Kasaï, l' imprimerie ( recto-verso), une station de radio ( radio 7) et une chaine de télévision ( télé 7).

C'est donc une grande entreprise de presse qui travail dans la main pour satisfaire les besoins de ses lecteurs. Au fil du temps, il a toujours un credo celui de « demeurer une église au milieu du village ou une bougie allumée dans un Déon ténèbres ».

CONCLUSION PARTIELLE

Dans ce deuxième Chapitre, nous avons présenté l'entreprise de presse le Potentiel qui est notre lieu d'investigation et en suite, nous avions parlé de l'importance des Nouvelles technologies de l'Information et de la Communication dans le traitement de l'information.

Cela étant au troisième chapitre que, nous allons présenter les données des en quêtes.

CHAPITRE III : L'ENQUETTE SUR L'IMPORTANCE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION AU SEIN DE L'ENTREPRISE DE PRESSE LE POTENTIEL

Ce travail porte sur l'importance des NTIC au sein de l'entreprise de presse en générale et le potentiel en particulier. Pour découvrir cet apport, il nous a fallu élaborer un questionnaire en vue de récolter les différentes propositions de nos enquêtes.

Pour recueillir les données de notre travail, nous avons tenu à mener une enquête dont l'objectif principal est de juger l'importance qu'accorde le journal le potentiel en utilisant les nouveaux outils des NTIC, entre autres l'ordinateur, l'internet etc...., aident effectivement à améliorer le rendement dans le traitement d'informations.

3.1. Rappel méthodologique

Pour notre travail, nous avons opté pour l'approche fonctionnaliste. Cette méthode nous a aidés à cerner le contour du rôle des NTIC dans le processus du traitement de l'information.

a. Les préliminaires

Il s'agit bien de déterminer le choix de la population à enquêter. On cherche à interroger tout le monde. Dans d'autres cas, c'est à un groupe restreint qu'on peut s'intéresser.39(*)

La population ou l'échantillon de notre recherche sont les journalistes de l'entreprise de presse écrite le potentiel.

b. La détermination de la méthode

Pour la collecte des données, nous avons recouru à la technique d'entretien et la technique documentaire.

La technique d'entretien nous a aidés à récolter les avis des journalistes du groupe de presse le potentiel au sujet relatif à l'importance des NTIC dans le traitement de l'information.

La technique documentaire nous a aidés aider à répertorier les informations relatives à notre sujet sous étude.

c. Interprétation de l'enquête

Avant de mener une enquête, il faut avant tout savoir comment on va construire l'échantillon. A ce sujet, il est important de noter que le potentiel compte en son sein 30 personnes. Lors de la descente sur terrain, nous en avons interrogés 17, les autres étaient absents, en tournage ou en reportage.

d. Questionnaire d'enquête

Notre questionnaire d'enquête comprenaient des questions fermées, c'est-à-dire celles dans les quelles nous présentons déjà des réponses au choix et des questions en rapport avec notre sujet (thématique).

a. Questions d'identifications.

Question n°1 : Répartition des enquêtes d'après le variable sexe.

Sexe

Fréquence

%

Masculin

12

70

Féminin

5

30

Total

17

100

Commentaire : Il ressort de ce tableau que sur 17 enquêtés qui constituent notre échantillon, 70% sont des Hommes et 30% sont des femmes.

Question n°2 : Répartition selon les tranches d'âges.

Tanche d'âges

Fréquence

%

18 à 25 ans

2

12

26 à 30 ans

4

24

31 à 40 ans

6

35

41 ans et plus

5

29

Total

17

100

Commentaire : Il ressort de ce tableau que sur 17 enquêtés qui constituent notre échantillon que 12% leur âge varie de 18 à 25a ns, 24% leur âge varie de 26 à 30 ans, 35% de 31 à 40 ans et en fin 29% leur âge varie de 41 ans et plus.

Question n° 3 : Répartition selon le niveau d'étude.

Niveau d'étude

Fréquence

%

Doctorat

0

0

Licencié

9

53

Gradué

8

47

Diplômé d'état

0

0

Total

17

100

Commentaire : dans ce tableau 53% des agents interrogés sont des licenciés et 42% sont des gradués.

b. Questions thématiques

Question 4 : Connaissez-vous les NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) ?

Tableau numéro 4 :

Réponses

Fréquence

%

Oui

17

100

Non

0

0

Total

17

100

Commentaire : la question est de savoir si les journalistes connaissent ces NTIC. Le résultat se présente comme suivant : 100% des journalistes sur 100 déclarent qu'ils connaissent ces NTIC. Qu'ils définissent de la manière suivante : c'est toutes les innovations ayant trait au traitement de l'information et à la sauvegarde de celle-ci.

Pour les autres, c'est tout support informatique permettant à l'élaboration, au stockage et à la diffusion de l'information en temps réel. C'est également un nouveau système de production, de distribution et de consommation de l'information dans un contexte où celle-ci est devenue un facteur critique pour le progrès économique.

Question n°5. Croyez-vous que l'internet à un apport dans le travail des journalistes ?

Réponses

Fréquence

%

Oui

17

100

Non

0

0

Total

17

100

Commentaire : Dans ce tableau, les résultats se présentent de ma manière suivante : 100% des journalistes admettent que l'internet contribue énormément dans leur tâche de journalisme pour la collecte, le traitement et la diffusion de l'information de bonne qualité, donc le monde de la communication marche simultanément avec l'internet.

Question n°6 : Etes vous connecté à l'internet Monsieur le directeur de la publication?

Tableau n°6.

Réponses

Fréquence

%

Oui

1

100

Non

0

 

Total

1

100

Commentaire : aux réponses de ce tableau qui est uniquement pour le directeur de publication, Mr le directeur de publication : si, à l'ère actuelle toute entreprise de communication qui a le souci d'être crédible doit au moins se connecter, en outre nous sommes en partenariat avec plusieurs agences de presse qui nous livrent régulièrement des informations et pour publier il faut nécessairement avoir de la connexion pour les médias en ligne surtout.

Questions n°7 : le potentiel est un quotidien du pays, est-ce que vous utiliser des nouvelles technologies de communication dans votre journal ?

Tableau n°7.

Réponses

Fréquence

%

Oui

17

100

Non

0

0

Total

17

100

Commentaire : ce tableau indique que 100% disent oui. Il s'agit notamment de téléphone de l'internet, de l'ordinateur, ainsi que des appareils photo pour la prise de vue et des agendas électroniques. On ne peut pas fonctionner sans ces outils car ces outils ont une importance capitale dans le monde de l'information. Le plus importants, c'est l'ordinateur qui nous aide à monter notre journal.

Question n°8 Est ce que ces NTIC apportent de plus dans le domaine de la communication et dans le traitement des informations ?

Tableau n°8

Réponses

Fréquence

%

Oui

17

100

Non

0

0

Total

17

100

Commentaire : 100% des journalistes interrogés disent oui avec l'avènement des techniques de communications, c'est la rapidité qui s'est accrue ; l'information circule au temps réel. Ce qui se passe aux Etats unis et ailleurs est directement connu et communiqué grâce à ces outils, les reporteurs peuvent à partir de l'endroit où ils se trouvent accèdent à des éléments qui sont déjà traités par l'un des moyens de ces techniques nouvelles.

Question n°9 : Disposez -vous d'une connexion internet :

- Sur le lieu de travail :

Tableau n°9 Réparation des enquêtés en rapport avec la disposition de connexion internet au lieu de travail.

Réponses

Fréquence

%

Oui

11

65

Non

6

35

Total

17

100

Commentaire : la plupart des ordinateurs présents dans l'entreprise disposent d'une connexion internet au lieu du travail, 65% des personnes que nous avons interrogés sur la disposition de l'ordinateur au lieu du travail disposent tous d'une connexion internet.

- chez vous ?

Tableau n°10

Réponses

Fréquence

%

oui

5

30

Non

12

70

Total

17

100

Commentaire : la plupart des journalistes ne disposent pas d'une connexion internet- chez eux à la maison s'expriment à 70% contre 30% suite aux manques des moyens financiers pour acheter chaque jour le crédit.

Question n°11 : utilisez-vous une messagerie (E-mail) ?

Tableau n°11 : Répartition des enquêtés en rapport avec l'utilisation de messagerie électronique.

Réponses

Fréquence

%

Oui

10

59

Non

7

41

Total

17

100

Commentaire : près de 2/3 utilisent de messagerie. Parmi les journalistes qui se connectent occasionnellement ou pas du tout, les raisons évoquées sont le manque de temps (41%) et le manque d'internet. Le facteur coût ou les problèmes de lenteurs d'accès n'ont pratiquement pas été évoqués.

Question n°12 : Quelle est l'importance que vous accordez aux NTIC dans vos traitements de l'information   ?

Tableau n°12 : La direction des enquêtés en rapport avec l'importance que les journalistes accordent aux NTIC dans les traitements de l'information   

Réponses

Fréquence

%

Oui

12

70

Non

5

30

Total

17

100

Commentaire : 70% des journalistes accordent vraiment l'importance aux NTIC, car ces dernières ont permis de gagner le temps et la force grâce à des logiciels qui simplifie les différentes tâches.

c. INTREPRETATION DES RESULATS

Ici, nous allons interpréter juste des questions de base liées à notre sujet, afin de mieux dégager les informations importantes contenues dans les chiffres et confirmer notre hypothèse.

3.1. Questions proprement dites

a) connaissance des NTIC

Après le dépouillement de réponses de nos enquêtes exprimées en pourcentage, nous constatons que tous nos enquêtés connaissent les nouvelles technologies de l'information et de la communication, ceci prouve à suffisance combiens ces avatar du 21ème siècle occupent une place considérable dans nos sociétés.

b) l'internet à un rapport dans le travail de journaliste

Les résultats se présente a 100%, des journalistes admettent que l'internet contribue énormément dans les différentes taches du journalisme, plus pour la collecte, le traitement et la diffusion rapide des informations en bonne qualités.

Il ne faut pas ignoré que l'internet est le plus grand réseau de la télécommunication internationale reliant des ordinateurs à l'aide du protocole IP, il sert de support à la transmission de nombreuses données.

Pour le Directeur de la publication : l'internet à l'ère actuelle est indispensable d'ailleur, toute entreprise de la communication qui a le souci d'être crédible doit ou moins se connecter, ce qui prouve que l'internet à une grande importance dans la vie médiatique, plus dans le traitement de l'information et la diffusion rapide de celle-ci.

3.2. POSITION DE L'HYPOTHESE

Notre hypothèse s'est vérifiée par le fait que :

La majorité des nos enquêtées, soit à 100% connaissent et accordent une grande importance aux Nouvelles Technologie de l'Information et de la Communication qu'ils définissent de la manière suivante : c'est toutes les innovations ayant trait au traitement de l'information et à la sauvegarde de celle-ci.

Les nouvelles technologies de l'information et de la communication a sans contesté ont révolutionné le travail quotidien dans la presse écrite congolaise, Cela est maintenant vérifié puis que cette dernière est devenue un outil fondamental dans la recherche et dans la diffusion des informations. Le journaliste sans cesse enquête d'une information actualisée et intéressante trouve dans l'internet un moyen d'y accéder en un temps record quelque soit l'endroit du monde ou l'événement a eu lieu.

CONCLUSION PARTIELLE

Dans ce chapitre, nous avons eu a réalisé une enquête auprès du journaliste de la presse le potentiel, cette enquête nous a permis de mesurer l'importance des NTIC dans le traitement de l'information au sein de le potentiel.

Nous avons pu comprendre que l'importance des NTIC au sein de le potentiel est immense, plus dans le traitement, la collecte et la diffusion rapide des informations grâce aux NTIC.

CONCLUSION GENERALE

L'importance des NTIC dans le traitement de l'information dans une entreprise de presse le potentiel, tel est le sujet de notre travail.

Dans notre travail, nous avons utilisés les méthodes et les théories ci-après pour atteindre notre objectif : l'approche fonctionnaliste, cette méthode nous a aidés à cerner le contour du rôle des NTIC dans le processus du traitement de l'information, la théorie de l'usage.

Notre travail est divisé en trois chapitres :

Dans le premier chapitre, nous avons utilisés la documentation. Là nous avons estimé nécessaire de traiter les notions générales des concepts clés et du cadre théorique de notre travail.

Le deuxième chapitre nous a donné l'occasion de parler de l'importance des NTIC au sein de l'entreprise de presse cible qui est le potentiel et nous avons fait la présentation du journal le potentiel.

Le troisième chapitre nous a permis de traiter en profondeur le thème central de notre sujet ainsi que l'enquête menée auprès des responsables du journal le potentiel. Il ressort que ce dernier est bien intégré dans l'utilisation des outils de communication moderne et elles ont une importance capitale dans le métier journalistique, grâce notamment à une utilisation accrue de l'internet, lequel devient un média qui fait le traitement de l'information. Quant au journaliste, il doit changer ses repères d'autant plus les NTIC viennent l'affranchir des méthodes traditionnelles de travail.

Bien qu'aujourd'hui, la presse écrite et le potentiel en particulier se soient appropriés de ces nouveaux outils, puisqu'il existe désormais une interaction, il ya toute de même une faible proportion de la population consommatrice de ces nouvelles technologies.

Nous avons constaté que rare sont les journalistes qui utilisent ces outils et d'autres n'ont pas encore bien assimilés les normes techniques et les exigences liées à l'utilisation de ces outils de communication.

A la question de savoir sur l'importance des NTIC, 70% d'entre eux (journalistes), ont reconnu qu'ils constituent un instrument indispensable pour des recherches dans le domaine du journalisme. Nul n'ignore que ces NTIC ont une grande importance dans le domaine de communication grâce à l'internet avec ses nombreux moteurs des recherches, permet également d'avoir accès à une information mondiale, avec l'internet et ces nouvelles technologies les réalités des autres deviennent nos réalités.

BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES

1. LARAMEE, A. et VALLEE, B., La recherche en communication. Elément de méthodologie, Québec, Télé Université, 2002, p.170.

2. MUCCHELLI, A. Les sciences de l'information et de la communication, Paris, Hachette, 2004.

3. BALLE, F., Média et société, Paris, Montchrestien, 2005.

4. Robert. P. Dictionnaire du français primordial, Paris, Deboeck, 1980.

5. Bonneville. L et ali, Introduction aux méthodes de recherche en sciences de l'information et de la communication, Québec, Gaêtan Marin, 2007.

6. ARMARND et MATTELLART M., Histoire des théories de la communication, 3 édition, Paris, la découverte, 2004.

7. Lucien fez : La communication, éd. PUF, «  Que sais-je » ; France, 2010.

8. ALDO FALCONI, Histoire de la communication 2 ; éd. Médiaspaul, Kinshasa, 2003.

9. F.OSSAMA, les NTIC : Enjeux pour l'Afrique subsaharienne, éd. L'Harmattan, Paris, 2001.

10. ARMAND ET MATTELART, M., Histoires des théories de la communication, 3e édition, Paris, la découverte, 2004.

11. BONNEVILLE, L et alii., Introduction aux méthodes de recherche en sciences de l'information et de la communication, Québec, Gaetan Morin, 2007.

12. D.MWEZE, Technologie de l'information et de la communication, Paris, Karthala, 1998.

II. NOTES DE COURS

1. MBADU, C. Initiation à la recherche scientifique, Note de cours de G 2 sic, Université de Kinshasa, Faculté des lettres, 2015

2. EKAMBO, D., Paradigme de la communication, Kinshasa, IFASIC, 2004.

3. LINO PUNGI, Notes de Cours des Théories de la Communication, G3 SIC, Facultés des Lettres et Sciences Humaines, Université de Kinshasa, 2012.

4. MUBANGI GILBERT, Note de cours G2, Faculté des Lettres et Sciences Humaines.

III. ARTICLES

1. LIN, C., « Looking back »,In research journal, N04, 1996, p.574

2. HYPOLYTE KITAMBALA DWAN'ESSA : internet et médias ; les enjeux de la formation professionnel et académique, in cahiers congolais de communication, vol III, num.1.

3. MUBENGA LUKUNYI, Au coeur du binôme communication et politique : réflexion sur la complémentarité de » leurs champs ; in cahiers congolais de communication, vol II num ; 2-3 aout -déc, 2004 (IFASIC).

4. Encyclopédie universelle, éd. Dépars, France, S.A, 1990.

5. ZACHARIA TIEMTORE : Technologie de l'information et de la communication : éducation et développement en Afrique, éd. Paris, Karthala, 1998, p.61.

IV. WEBOGRAPHIE

- www.Techno-science.net, visité le 05/01/2016.

- www.Wikipedia.com, visité le 05/01/2016.

TABLE DES MATIERES

Epigraphe i

DEDICACE ii

AVANT-PROPOS iii

REMERCIEMENT iv

0. INTRODUCTION GENERALE 1

0.1. PROBLEMATIQUE 1

0.2. HYPOTHESE 2

0.3. CADRE THEORIQUE 3

0.4. INTERET DU SUJET ET CHOIX 3

0.5. DELIMITATION DU SUJET 4

0.6. METHODES ET TECHNIQUES 5

a) METHODE 5

b) TECHNIQUE 5

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL 5

CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL 7

I.1. CADRE THEORIQUE 7

I.2. LES CONCEPTS 10

1.2.1. TECHNOLOGIE 10

1.2.2. L'information 13

1.2.3. Communication 15

1.2.4. TRAITEMENT DE L'INFORMATION 21

a) Notion de Nouvelles technologies de l'information et de la Communication 21

b) Rôle des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication 22

c) Internet 24

1.2.5. Presse 27

CONCLUSION PARTIELLE 28

SECTION I : L'IMPORTANCE DES NTIC DANS LE TRAITEMENT DE L'INFORMATION 29

SECTION II. BREVE PRESENTATION DU JOURNAL « Le Potentiel » 35

I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE 35

I.2. FICHE SIGNALITIQUE 35

I.3. HISTORIQUE 36

I.4.STRUCTURE ORGANIQUE ET FONCIONNELLE 38

I.5. Evolution du journal 39

CONCLUSION PARTIELLE 40

CHAPITRE III : L'ENQUETTE SUR L'IMPORTANCE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION AU SEIN DE L'ENTREPRISE DE PRESSE LE POTENTIEL 41

3.1. Rappel méthodologique 41

a. Les préliminaires 41

b. La détermination de la méthode 42

c. Interprétation de l'enquête 42

d. Questionnaire d'enquête 42

CONCLUSION PARTIELLE 51

CONCLUSION GENERALE 52

BIBLIOGRAPHIE 54

I. OUVRAGES 54

II. NOTES DE COURS 55

III. ARTICLES 55

IV. WEBOGRAPHIE 56

TABLE DES MATIERES 57

* 1 MBADU, C. Initiation à la recherche scientifique, Note de cours de G 2 sic, Université de Kinshasa, Faculté des lettres, 2015.

* 2 MUCCHELLI, A. Les Sciences de l'Information et de la Communication, Paris, Hachette, 2004. P.54

* 3 BALLE, F., Media et Société, Paris, Montchrestien, 2005, p.24

* 4 Ibidem

* 5 Robert. P. Dictionnaire du Français primordial, Paris, 1980. p.538

* 6 Bonneville. L et Ali, Introduction aux Méthodes de Recherche en Sciences de l'Information et de la Communication, Québec, Gaêtan marin, 2007, p.54

* 7 ARMAND et MATTELLART M., Histoire des Théories de la Communication, 3 édition, Paris, la Découverte, 2004, p.123

* 8 LIN, C., « Looking back »,In research journal, N04, 1996, p.574.

* 9 EKAMBO, D., Paradigme de la Communication, Kinshasa, IFASIC, 2004, p.24

* 10 LARAMEE, A. et VALLEE, B., La recherche en communication. Elément de méthodologie, Québec, Télé Université, 2002, p.170.

* 11 Ibidem.

* 12 MUBANGI, B ., Notes de cours d'infocom, G2 S.I.C, F.L.S.H, UNIKIN, 2013-2014, p.73-74.

* 13 Ibidem, p. 9.

* 14 WILLET, G., La communication modélisée. Concepts, modèles, Caractéristiques et limites, Ottawa, Renouveau Pédagogique, 1992, p.472.

* 15Idem.

* 16 LIN, C., « Looking back », in research journal, N04, 1996, p.574.

* 17 www. Techno-science. Net, visité le 05/01/2016.

* 18 www. Wikipedia.com visité le 05/01/2016.

* 19 HYPOLYTE KITAMBALA, « Internet et Médias » ; Les enjeux de la formation professionnel et académique, in Cahiers Congolais de Communication, vol III, num1, 2004.

* 20 Ibidem

* 21 Encarta, 2007

* 22 Lucien Fez, La communication : que je sais-je, Paris, Ed Puf, 2010, p6.

* 23 Encyclopédie universelle, éd. Dépars, Paris, S.A, 1990, p.208.

* 24 MUBENGA LUKUNYI, « Au coeur du binôme communication et politique »; réflexion sur la complémentarité de leurs champs ; in cahiers congolais de communication, vol II, num 2-3,2004, p32-44.

* 25 HYPPOLYTES KITAMBALA 2004, op.cit.

* 26 F.OSSAMA, les NTIC : Enjeux pour l'Afrique subsaharienne, Harmattan, Paris, 2001, p 119.

* 27 F. OSSAMA, op.cit. p 26.

* 28 ALDO FALCONI,  Histoire de la Communication 2, Mediaspaul, Kinshasa, 2003, p179.

* 29 ZACHARIA, T., Technologie de l'Information et de la Communication : éducation et développement en Afrique, Paris, Harmattan, 2003.

* 30 W. Zacharie, op.cit,page 12

Lucien Fez : op.cit., page 4.

* 31MUBANGI, G., Information et communication, Note de cours G2sic, Unikin, Flsh, 2013.

* 32 MIPERENG, J., Presse et histoire du Congo-Kinshasa, le discours de la presse et son rôle dans le processus de démocratisation (1990-1995), Paris, Harmattan, Sept2014, p142.

* 33 D. MWEZE CHIRHULWIRENKINGI ; Technologie de l'Information et de la Communication, Paris, Karthala, 1998, p.61.

* 34 D. MWEZE CHIRHULWIRENKINGI op, cit, p.63

* 35 Idem

* 36 D. Anet, web et dirigeants, p.25.

* 37 FRANÇOIS OSSAMA : op.cit, p119.

* 38 Jerry M'PERNG d jeri, op cit ,P 17

* 39ARMAND ET MATTELART, M., Histoires des Théories de la Communication, 3ème édition, Paris, La découverte, 2004, p.123






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