Epigraphe
« Il est nécessaire de conserver la
tradition comme une référence, mais en même temps il faut
favoriser l'évolution, sans laquelle la vie ne serait plus qu'un
musée »
Bernadette Landange
DEDICACE
A mes parents MASWA KANIKA et MULAMBU BONGALI, eux qui nous
ont montré le chemin de l'école et en ont assuré le
suivi.
Ainsi qu'a tous mes frères et soeurs Briguel MASWA,
lovi MASWA, Valence MASWA, Gethou MASWA, Flory MASWA, Grady MASWA.
Je vous dédie ce travail.
MASWA MULAMBU Gethro
AVANT-PROPOS
Comme tout travail scientifique, ce travail n'est pas
épargné aux reproches et aux remarques, ce travail a comme
vocation de montrer aux lecteurs l'importance des Nouvelles Technologies de
l'Information et de la Communication (NTIC), dans nos entreprises en
générales et en particuliers dans l'entreprise de presse le
Potentiel.
MASWA MULAMBU Gethro
REMERCIEMENT
La réflexion appelle en toute recherche, une
référence à l'homme, une attention vigilante à
sauvegarder et enrichir les valeurs humaines de plus, ce que nous sommes, nous
le sommes parce que l'autre nous aide à l'être et à nous
affirmer comme doué de créativités intentionnelles en
puissance mais surtout en acte.
Au sein de ce travail couronnant la fin de notre premier cycle
en Science de l'Information et de la Communication, à
l'Université de Kinshasa, notre allégresse est celle d'une femme
qui vient d'accoucher et qui, à la vue de son bébé oublie
toutes les douleurs atroces d'accouchement.
Nul ne saurait son chemin dans ce domaine des Sciences de
l'Information et de la Communication sans l'encadrement d'illustres
lettrés. Pour ce faire, nous tenons à exprimer nos
sincères remerciement à tous ceux qui, de prés ou de loin,
depuis notre enfance, sont au rendez vous de notre fortune en
générale et plus particulièrement à ceux qui ont
contribués à notre formation.
Nous tenons à exprimer nos remerciements les plus
profonds à toute personne qui nous a aidé et qui a
contribué à l'élaboration de ce travail et ce, dans le
but du développement du savoir et l'amélioration du savoir faire.
Nos sincères remerciements s'adressent tout d'abord au
Professeur KAMATE MBUYIRO qui, en dépit de ses
multiples occupations a accepté sans atermoiement de diriger ce
travail.
Nous saluons également tous ses érudits esprits
de la Faculté des lettres et Sciences Humaines pour la formation
reçue.
Nous somme redevables à papa MASWA KANIKA Yves et
à maman Annie MWAMBA SOMBO pour son soutien indéfectible dans
notre cursus universitaire.
Nos remerciements vont tout droit à tous mes
frères et soeurs de la famille notamment : Joël KUBATAKANA,
Dieu KATUNDU, Didi KATUNDU, Beya KANZOZI, Detty MBAKA, Huguette KATUNDU, Sael
MASWA, Franck BOTITI etc.
Nous nous trouvons dans l'obligation de remercier toutes
les personnes qui de près ou de loin, ont concouru à la
réalisation de cette oeuvre scientifique à l'occurrence des tous
nos amis dont on a pu cheminer ensemble durant notre parcours à
l'Université : Judith KADIENGA, Ether Kasongo, Glody DITINA, Erick
TEPU PILEKA, Eduard FUNDA, Tyson KATAMBAYI, Anthony MALANDALA, Emmanuel LUBIJI,
Christian BOLEME, Elino NGOY, Gloria MASSALA, Orelis KATO, Kams KAMBOLO.
Merci à m'a phrase motivante
« l'impossible n'est pas GETHRO
MASWA, car elle m'a toujours motivée d'aller de l'avant
et d'affronter certaines réalités de la vie.
En fin ceux qui, de loin ou de prés nous ont
aidés et encouragés, trouvent ici l'expression de notre
gratitude.
MASWA MULAMBU Gethro
INTRODUCTION GENERALE
0.1. PROBLEMATIQUE
La problématique est
l'ensemble du questionnement concernant un sujet, elle se présente aussi
comme une réflexion théorique sur l'ensemble du sujet
choisi1(*).
Les nouvelles technologies de l'information et de la
communication se sont déjà répandues depuis de nombreuses
années. L'être humain s'est investit pour réussir le pari
de la communication en temps réel, en rendant possible un échange
entre des individus situés à des points parfois
éloignés ou complètement opposés du globe2(*). Les technologies de
l'information et de la communication ont résolues le problème
lié à la circulation rapide de l'information.
Aujourd'hui il n'ya plus des frontières, ni
barrière entre les citoyens habitant différents coin du globe il
ne se passe plus rien sans qu'il ne soit bien cerné par l'oeil
inquisitoire des professionnels des médias.
On assiste à une révolution totale de
système de communication des entreprises et de rapport existant entre
l'homme et sa société.
Depuis la presse à imprimer jusqu'à l'internet
et ses sites web, les médias permettent aux hommes de communiquer entre
eux à distance, celle du temps et celle de l'espace et autrement en face
à face. L'histoire de la communication est à la fois une
chronologie et une géopolitique3(*).
Apres l'invention de Gutenberg, de nombreuses innovations
manquent les séquences d'une histoire dont les réseaux
numériques sont en ces premières années du XXIe
siècle, le dernier avatar4(*). Cette technologie est également une
géopolitique. Chacune des innovations majeures, dans le domaine des
techniques, a assuré la suprématie de certaines notions par
rapport à d'autres, opérant ainsi, à l'échelle
mondiale, une redistribution du prestige et du pouvoir5(*). L'usage du journalisme one line
a révolutionné le métier de la presse en plein
21e siècle. Les journaux sont en temps réel sur
l'internet rendant disponible les informations touchant à tout le
domaine de la vie au porté du grand public, sur ce :
1. Nous allons chercher à connaitre l'importance
qu'accordent les journalistes de la presse le potentiel en ce qui concerne
l'usage des NTIC dans le traitement de l'information à la presse
écrite congolaise ;
2. Nous allons voir comment la presse écrite
congolaise en générale et le potentiel en particulier a pu
être influencée par les nouvelles technologies de l'information et
de la communication6(*).
0.2.
HYPOTHESE
Au cours de ce travail nous voulons démontrer que, les
nouvelles technologies de l'information et de la communication a sans
contesté ont révolutionné le travail quotidien dans la
presse écrite congolaise. Cela est vérifiable puis que cette
dernière est devenue un outil fondamental dans la recherche et dans la
diffusion des informations. Le journaliste sans cesse enquête d'une
information actualisée et intéressante trouve dans l'internet un
moyen d'y accéder en un temps record quelque soit l'endroit du monde ou
l'événement a eu lieu.
Les NTIC ont permis, en général,
d'améliorer le travail de la presse écrite. La presse congolaise,
notamment le potentiel, utilise ces innovations technologies, qui aident
à avoir un meilleur rendement, augmenter son audience7(*) ainsi que la présentation
des journaux en améliorant la qualité. Grace à ces
techniques, les sources d'informations deviennent plus riches et
variées, les capacités de diffusion des informations
s'améliorent et deviennent plus rapides.
Mais la presse écrite congolaise à ce jour,
n'est pas assez performante, dans la mesure où elle accède
difficilement à ces techniques.
0.3. CADRE THEORIQUE
Tout travail scientifique doit s'intègré dans un
cadre théorique en science de l'information et de la communication. Le
cadre théorique est l'ensemble des théories que nous allons
utiliser pour atteindre l'objectif de notre travail.
Ainsi dans le cadre de notre recherche nous allons utiliser la
théorie des usages et gratification, cette
dernière va nous permettre de procéder à l'étude de
communications à travers les besoins et les motivations psychologiques,
les canaux de communications, le contenu de la communication et des
gratifications psychologiques dans un contexte particulier ou
interculturel8(*).
0.4. INTERET DU SUJET ET CHOIX
Aux fins de vérification de notre hypothèse,
nous avons pris l'option d'analyser le degré de l'importance des NTIC au
sein de la presse écrite congolaise. Pour plus de précision, nous
nous sommes intéressés à la presse écrite
congolaise le potentiel. Ensuite faire connaitre aux journalistes l'utilisation
des NTIC dans l'entreprise afin que les presses écrites locales et
internationales puissent prendre conscience de l'importance des NTIC et mettre
en pratique ses applications.
Entant qu'étudiant en sciences de l'information et de
la communication, l'intérêt porté à cette
étude est motivé d'une part par le souci d'une initiation
à la recherche universitaire et d'autre part le constant que nous
faisons de l'appropriation et de l'impact des nouvelles technologies de
l'information et de la communication sur la presse congolaise.
En effet, la question du traitement de l'information
présente une grande importance dans le domaine de la presse
écrite compte tenu des moyens parfois peu orthodoxes aux quels recourent
certains organes de presse du tiers monde.
C'est un problème très complexe, parce qu'il
touche directement à l'image de l'entreprise de presse.
Le présent sujet nous conduira à
découvrir le comportement du journal le potentiel face aux
différents événements se déroulant dans le pays et
dans le monde.
0.5. DELIMITATION DU SUJET
Ø Du point de vue spatial
Ce travail évalue l'utilisation des NTIC (nouvelles
technologies de l'information et de la communication) au sein de l'entreprise,
pour savoir si les NTIC ont un impact positif ou négatif dans
l'entreprise de presse et si l'usage des NTIC dans une entreprise de presse est
encouragé. Nous allons pour ce faire, nous limiter à l'entreprise
de presse congolaise « le potentiel » qui, dont le
siège social se trouve sur l'avenue du Bas-Congo N°873, dans
l'immeuble RUZIZI dans la commune de la Gombe derrière la BCDC.
Ø Du point de vue temporel.
Cette étude est menée au cours de l'année
académique 2015-2016.
0.6. METHODES ET TECHNIQUES
a)
METHODE
La méthode constitue une marche rationnelle de l'esprit
pour arriver aux résultats escomptés9(*)
En ce qui concerne cette recherche nous allons nous servir de
l'approche fonctionnaliste. Cette méthode nous aidera à cerner le
contour du rôle des NTIC dans le processus du traitement de
l'information.
b)
TECHNIQUE
La technique est le moyen permettant aux chercheurs de
récolter les informations susceptibles à l'enquête. En ce
qui nous concerne cette étude nous allons nous recourir à la
technique d'entretien. La technique d'entretien nous aidera à
récolter les avis des journalistes du groupe de la presse le potentiel
au sujet relatif à l'usage des NTIC dans le traitement de
l'information.
La technique documentaire nous aidera à
répertorier les informations relatives à notre sujet sous
étude y compris le web graphie.
0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Outre l'introduction et la conclusion générale,
notre travail compte trois chapitres essentiels :
ü Le premier est consacré au cadre
théorique et conceptuel,
ü le deuxième chapitre articulé en deux
sections : la première est consacrée à l'importance
des NTIC dans le traitement de l'information au sein d'une entreprise de presse
et le second est consacre à la brève présentation du
journal le potentiel.
ü Et enfin le troisième aborde l'étude d'un
cas pratique où nous allons présenter les résultats de
l'entretien effectué au sein du journal « le
potentiel ».
CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL
Dans ce chapitre, nous allons parler du cadre théorique
qui est l'ensemble des théories que nous allons utiliser pour atteindre
l'objectif de notre travail, et ensuite, nous définirons les concepts
clés de notre sujet, cette opération nous aidera à avoir
une idée claire des termes clés en usage dans le sujet sous
examen.
I.1. CADRE THEORIQUE
Le cadre théorique sert principalement à
présenter un cadre d'analyse et à généraliser des
relations d'hypothèses l'attente de thèses déjà
dans d'autres contextes pour tenter de les appliquer au
problème.10(*)
Tout problème de recherche doit d'abord
s'intégrer dans une perspective théorique qui est garante de
l'intégration de la recherche dans la communauté scientifique. A
partir de cette perspective théorique générale, le
chercheur doit ensuite concevoir un cadre théorique spécifique
à l'objet d'étude.11(*)
Nous allons maintenant élucider les principales
théories relatives à notre travail, la théorie
fonctionnaliste et celle des usages et gratifications.
I.1.1. La théorie des usages et
gratifications
C'est dans cette écologie idéelle qu'en 1959,
ELIHU KATZ invitait les chercheurs à se concentrer sur ce que les gens
font des médias plutôt que ce que les médias font aux gens.
Il se fondait sur le fait qu'il était clair pour lui
que « même le plus puissant des moyens de communication de
masse ne pouvait pas, en règle générale, influencer un
individu qui n'en avait que faire dans le contexte social et psychologique ou
il vivait ».12(*)
« Selon les tenants de cette théorie, les
gens choisissent en partie de s'exposer à certains médias et
à certains messages plutôt qu'à d'autres, dans le but plus
au moins conscient de satisfaire ainsi certains besoins ou certaines attentes
(relaxation, amusement, information....), lesquels varient selon leur profil
social, culturel et psychologique. La consommation des médias est donc
vue comme une activité finalisée. L'individu s'y expose
« pour » ou dans l'attente, de quelque chose,
pour en retirer certaines satisfactions ou gratifications, pour en faire
certains usages, d'où l'intitulé de ce courant de recherches,
« usages et gratifications » Par exemple, lorsque quelqu'un
souffre solide du fait qu'il n'a personne avec qui parler, discuter, peut se
tourner vers les médias pour obtenir une satisfaction alternative, un
succédané de relations sociales. « Les médias
apparaissent alors comme des services publics dont le public fait un usage
sélectif ».13(*)
L'approche du problème fondée sur
les « usages » supposait que les valeurs, les
intérêts, les évènements, les groupements, les
rôles sociaux des gens étaient décisifs et que les gens
adaptaient à leurs besoins ce qu'ils voyaient et qu'ils entendaient.
S'inscrivant dans cette ligne, WilburSchramm en 1961, dans
« Télévision in the life of Our children
» s'intéresse à savoir ce que les enfants font de la
télévision. Déjà, les travaux de Bernard Berelson
sur la grève de journaux en 1945, révélaient ce qui
manquait aux lecteurs pendant cette période.
L'étude de Herta Herzog (Collaboratrice de Lazarsfeld
auprès des auditeurs de feuilletons radiophoniques, dans une tentative
de situer la base de leur out pour ces émissions, renseignait sur l'aide
qu'apportaient ces émissions aux auditeurs.
Dans l'ouvrage « Personnal influence: The part
Played by people in the flow of mass communication » en 1955, Katz et
Lazarsfeld révélaient le rôle de compensateur auprès
des femmes inquiètes et anxieuses des séries.
Livre dans lequel tous les deux se livrent à une
analyse croisée des mass médias et de la communication
interpersonnel, et qui conduit à relativiser l'influence des
médias dans la vie quotidienne.
Toutes ces études montrent non seulement la part de
satisfaction compensatrice que les médias apportent aux gens, mais aussi
l'expression d'une culture médiatique tournée vers
l'évasion que Joseph KLAPPER désigne dans son ouvrage - bilan
sous le terme « escapisin », Cette occupation qui
détourne l'homme des problèmes qui devraient le
préoccuper. Ces satisfactions illusoires, loin de réduire les
tensions individuelles, détournent les dernières énergies
vers ces accomplissements qui sont ceux des personnages fictifs. Cette
conséquence imprévue et fâcheuse conduit à une na
cotisation dont sont assumés les différents rôles de la vie
quotidienne.
« La fuite hors du réel est sans
retour : la fréquentation de certains médias et
l'évasion hors de la réalité sont tour à tour cause
et effet l'un et l'autre ».14(*)
« Le modèle a comme objectif de
déterminer le rôle que jouent les principaux médias de
communication (télévision, radio, journaux, etc.) Dans la
satisfaction de certains besoins des individus ainsi que leur
importance ».15(*)
Selon Lin, « La force des usages et gratifications
est de permettre à un chercheur de procéder à
l'étude de communications à travers les besoins et les
motivations psychologiques, les canaux de communications, le contenu de la
communication et des gratifications psychologiques dans un contexte particulier
ou interculturel ».16(*)
I.2. LES CONCEPTS
1.2.1. TECHNOLOGIE
a) Définition
Le mot technologie possède plusieurs définition
car il est un mot kaléidoscope (plusieurs sens), on peut aussi se
contacter de la formulation du dictionnaire, qui la définit come
étude des techniques, des machines, des outils etc., employés
dans l'industrie.
La technologie est un terme référant à
tout ce qui peut être dit à plusieurs périodes historiques
particulières, concernant l'état de l'art dans tous les domaines
des savoir-faire pratiques et d'utilisation des outils. Il inclut donc l'art,
l'artisan, les métiers, les sciences appliquées et les
connaissances. Par extension il peut aussi se référer aux
systèmes ou méthodes d'organisation qui permettent une telle
technologie, ainsi que tous les domaines d'études et les produits qui en
résultent.
L'étymologie du mot technologie renvoie toujours au
sens moderne, il vient du grec technologia,
« art » « compétence », ou
« artisanat » et logia, l'étude de quelque
chose ou d'une branche de connaissance d'une discipline.17(*) Le petit robert indique le mot
est emprunté en 1656 au grec tardif teknologia «
traité ou dissertation sur un art, exposé des règles d'un
art », de tekhnêet logos. La notion a ensuite
été utilisée en 1772 par un physicien Allemand Johamn
Bechmann.
b) Origine et histoire
La notion semble avoir été pour la
première fois utilisée en 1772 par un physicien allemand :
Johann Beckmann ; d'autres étymologistes situent son apparition
au début du XVIIe siècle. Mais son usage populaire
précède en faite de quelques années la révolution
industrielle. C'est semble-t-il un professeur de Harvard, Jacob Bigelon, qui en
a pour la première fois systématisé l'usage dans son
ouvrage « éléments of technology » (1829).
Botaniste et professeur à la chaire Rumford de Harvard consacrée
à « l'application de la science aux arts utiles »
(useful arts), Bigelon est reconnu par certains historiens américains
comme un visionnaire, mais aussi un fervent promoteur de la technocratie.
Promoteur d'une véritable « fusion » entre les arts
et la science, Bigelon va dévaloriser à la fois les savoirs
fondamentaux qui ne s'articulent pas avec une pratique concrète et les
techniques (les arts dans les mots de l'époque) qui s'inscrivent dans
une tradition sans le recours systématique au savoir scientifique. En
promouvant une sectorialisation accrue des savoirs scientifiques et une
répartition scientifique des tâches dans le domaine du travail, il
va fournir à la société capitaliste américaine
naissante un véritable modèle d'éducation.
C'est d'ailleurs sur les recommandations du professeur de
Harvard que le MIT (Massachussetts Institute of technology) empruntera
son nom mais aussi de nombreuses orientations pédagogiques qui en feront
un des centres de recherches technologiques les plus performants au monde (dans
le domaine de la communication, de l'information et aujourd'hui de la robotique
et de l'intelligence artificielle).
Le mot « technologie » ne
désignait pas simplement pour Bigelon les « arts
utiles ». Il voulait suggérer en fait la convergence qui
s'opérait à l'aube de la révolution industrielle entre les
arts et la science. Une convergence jusqu'à alors compromise par
l'impossible articulation des savoirs scientifiques fragmentés et des
arts nécessairement enfermés dans une tradition (ce que les
membres du comité des arts et sciences américains nommaient
« une routine empirique ».
c) Les effets de la technologie
Le terme peut soit être appliqué
généralement soit dans des domaines spécifiques, par
exemple : de construction, technologie médicale, ou la technologie
de l'état de l'art.
Les technologies affectent l'homme de manières
significatives aussi bien que les autres espèces animales et leurs
habilités à contrôler et à s'adapter à leur
environnement naturel. L'utilisation de la technologie par l'espèce
humaine commence avec l'aménagement de ressources naturelles en
simples outils. La découverte préhistorique de l'habilité
à contrôler le feu augmenta considérablement la
disponibilité en ressources alimentaires et l'invention de la roue
aida l'être humain à voyager18(*) et à contrôler son environnement.
Les récents développements technologiques,
incluant la presse typographique, le téléphone, et internet ont
diminués les barrières de communication et permis aux
êtres humains d'interagir librement à l'échelle mondiale.
Cependant, toutes les technologies ne sont pas utilisées à des
fins pacifiques, le développement des armes a progressé à
travers l'histoire, allant du gourdin à l'arme nucléaire.
La technologie a affecté la société et
ses environs dans un certain nombre de domaines. Dans de nombreuses
sociétés la technologie a aidé à développer
des modèles économiques avancés (incluant
l'économie mondiale actuelle) et a permis l'apparition des loisirs.
Beaucoup de réalisations technologiques influencent les valeurs de la
société et les nouveautés technologiques provoquent des
réflexions sur des nouvelles questions d'ordre éthique. Par
exemple la croissance de l'efficacité en termes de productivité
humaine, terme initialement appliqué aux machines, est le défit
des normes traditionnelles.19(*)
1.2.2. L'information
En partant de son étymologie, le terme information tire
sa forme du verbe informer, lui même provenant du latin informare,
de in formare : former dans, qui signifie donner une forme
à.
L'information, c'est le contenu du message que l'on livre,
c'est un savoir que l'on acquiert. Entant que telle, elle apparait comme un
renseignement qui véhicule une connaissance, un savoir sur un sujet ou
une chose, elle est alors comprise comme l'ensemble des actes qui ont pour
objet de faire la preuve d'une infraction et d'en connaitre l'auteur ou la
source.
La théorie de l'information manipule le concept
d'information en tant que contenu mesurable, en terme statistiques, des
messages transmis : par conséquent, elle ne prétend pas
évaluer le sens de ces messages, se penchant uniquement sur leur
quantité.
Toutefois, elle n'en suggère pas moins quelques
réflexions sur l'information au sens habituel du terme. Shannon
détermina ainsi qu'une information a d'autant plus de valeur que sa
probabilité est faible par exemple, il peut être utile
d'apprendre que « l'autoroute est coupée dans 20
km » car cet événement se présente relativement
rarement, en revanche, signaler que « l'opposition n'est pas d'accord
avec le gouvernement » est une information de faible valeur, car
fortement probable.
En effet, l'information contenue dans un message est donc une
quantité mathématiquement mesurable, liée à la
probabilité que ce message soit choisi parmi un ensemble de messages
possibles. Plus le message est probable plus la quantité d'information
qu'il transporte est faible. Par conséquent un message attendu avec
certitude possède une quantité d'information nulle.
Comme nous l'avons dit haut, l'information a toujours
revêtu un caractère utilitaire pour l'homme et pour la gestion de
son environnement ; cette information doit être
appréhendé comme une ressource de l'entreprise et
gérée comme telle. Pour y parvenir, il est nécessaire d'en
dégager les usages possibles et deux liens sont apparus
dissociables :
a) Importance de l'information dans les domaines de la
vie sociale
L'importance de l'information dans tous les secteurs et dans
tous les domaines de la vie sociale n'est plus à démontrer, que
ce soit dans l'organisation, l'évolution ou dans la gestion des
collectivités humaines.
Bien des savants intéressés au domaine de la
communication ont prouvé la primeur de l'information sur les autres
faits de la vie humaine s'organisent et se maintiennent.
C'est grâce à elle que les collectivités
humaines existent et se maintiennent. C'est grâce à elle que les
cadres sociaux de la vie humaine s'organisent et se structurent, c'est
grâce à elle que se produit et s'explique le changement, le
développement des sociétés humaines ; c'est
grâce à elle que l'action sociale est rendue possible. Donc,
l'information est une production sociale20(*).
b) L'information comme support de gestion
L'information de qualité est utile pour une bonne
gestion, l'entreprise, pour produire des bons résultats ; combine
de façon logique un ensemble d'activités et de décisions
appelées « processus de gestion ». Ainsi, on parle
de processus d'approvisionnement, de gestion et de commande. Des informations
sont crées, stockées, traitées, diffusées à
chaque stade, de l'entreprise si bien qu'un processus de gestion constitue un
système d'information pour la gestion des approvisionnements.
1.2.3. Communication
a) Définition de la communication
Le concept communication a fait l'objet de beaucoup de
définitions. Chaque chercheur, en fonction des intérêts
liés à ses études, l'a défini à sa
façon. Son contenu et ses contours varient bon seulement selon les
auteurs mais aussi souvent selon les domaines auxquels ce vocable se
rapporte : journalisme, linguistique, sociologue, psychologue,
télécommunication, cybernétique, informatique...
Selon le dictionnaire virtuel encarta21(*), dans un sens large, signifie
toute opération de transfert ou d'échange d'information entre un
"émetteur » et un « récepteur ».
Dans ce sens, la communication ne se réduit pas
à l'échange verbal, puisqu'il existe bien d'autres
systèmes de communication, aussi bien humain (l'écriture braille,
la signalisation routière, les cartes, etc.), que non humains (par
exemple, la danse des abeilles).
Quel que soit le type de communication, le transfert
d'information n'est possible que si émetteur et récepteur
partagent, au moins partiellement, le code (c'est-à-dire le
système de signes) dans lequel a été transcrit le
message.
C'est ce creux laisse par leur faillite que nait la
communication, comme une entreprise des désespérée de
relier des analyses, spécialisées, des milieux cloisonnés
à l'extrême.
Comme une nouvelle théologie, celle des temps modernes,
fruit de la technologie.
Pour jacques Ellul et l'école de Francfort
découvrirent la corrosion du social par la technique, agent de
fragmentation, voire de dilution des liens symboliques, elle s'impose alors au
moment où ceux-ci sont déjà affaiblis.
En effet, la communication entre l'homme et la nature
(biotechnologie), entre les hommes en sociétés (audiovisuel et
publicité), entre l'homme et son double (l'intelligence
artificielle) ;une communication qui prône la convivialité,
la proximité ou même la relation d'amitié (friendship)
avec l'ordinateur, elle envahit tous les champs : dans l'entreprise
où le secteur relations humaines qui n'était qu'un
élément parmi d'autres, devient prééminent, dans
l'entreprise encore où le secteur relation humaine qui n'était
qu'un élément parmi d'autres, devient prééminent,
dans l'entreprise encore où le marketing concernait jadis le produit
,alors qu'aujourd'hui il travaille l'image de la firme elle-même, dans la
presse elle-même, où les rubriques (communication) fleurissent,
dans l'audiovisuel, objet de toutes les convoitises politiciennes et
publicitaires, dans la publicité qui entend s'honorer elle-même en
se nommant (entreprise de communication)22(*).
C'est pourquoi, ce concept renvoie aux processus physique et
psychologique par lesquels s'effectue l'opération de mise en relation
d'une ou des plusieurs personnes, c'est-à-dire les protagonistes,
émetteurs et récepteur. Elle est comme acte, une action qui
comprend tout un processus dont la finalité consiste à
transmettre des informations, des connaissances pensées à une ou
plusieurs personnes.
b) Différents types de communication
Telle qu'elle vient d'être définie, la
communication constitue un phénomène omniprésent, que l'on
rencontre chez tous les organismes vivants. Par exemple, les différents
signaux (olfactifs, sonores, visuels) que les animaux émettent (pour
protéger leur territoire, échanger des informations concernant
les sources de nourriture rechercher un partenaire sexuel, etc.). Seront
considérés comme étant des manifestations de la
communication animale.
Chez l'homme, la communication ne se réduit pas non
plus à des échanges verbaux, puisque, en dehors même de la
langue des signes, nous émettons et recevons sans cesse, entre autres,
des signaux visuels (postures, gestes, mimiques) et tactiles (les
différents touchers, de la poignée de main aux caresses
amoureuses). Ce signaux peuvent remplacer certains énoncés
verbaux, mais peuvent aussi les accompagner ou les illustrer (comme dans les
gestes illustratifs : « un poisson gros comme
ça »), voire les contredire (par exemple dans certain types
d'ironie).
c) La communication de masse
Par la communication de masse : on entend l'ensemble des
techniques contemporaines qui permettent à un acteur social de
s'adresser à un public extrêmement nombreux. Les principes moyens
de communication de masse ou mass média sont la presse, l'affiche, le
cinéma, la radiodiffusion et la télévision. Sous leur
forme actuelle en tout cas, il s'agit de techniques caractéristiques du
XXIe siècle et nées dans la société industrielle
avancée.
Cependant il est frappant de constater que leur implantation
tend, aujourd'hui, à précéder l'industrialisation dans les
pays en voie de développement.
A partir de 1930 environ, la communication de masse est
apparue comme un problème social. Jusqu'alors seul le rôle de la
presse écrite essentiellement conçues comme un moyen
d'information et fortement l'information politique, avait attirée
l'attention.
d) Le schéma de communication selon Jacobson
Les premières théories 23(*) de la communication ont
été élaborées au milieu du XXe siècle par
des ingénieurs américains qui cherchaient des solutions aux
problèmes techniques liés à la perte d'information.
Les modélisations qu'ils ont proposées, de
portée très générale, ont inspiré plusieurs
linguistes dont roman Jakobson qui a proposé le schéma de
communication le plus simple et le plus connu.
Contexte
Destinataire
Destinateur
Message
Contact
Code
Dans ce schéma, on peut identifier un destinateur
(émetteur) qui émet un message à un destinataire
(récepteur). Le message est transmis grâce à l'existence
d'un code (la langue) partagé par les deux participants qui, pour qu'il
y ait transmission d'informations, ces participants doivent obligatoirement
entrer en contact (un contact qui suppose une connexion physique et
psychologique) l'ensemble s'inscrit dans un contexte (verbal ou susceptible
d'être verbalisé) (voir aussi fonctions du langage).
Le phénomène de la communication peut être
abordé selon divers approches, au nombre des quels il existe l'approche
systémique et l'approche théorique. Voyons en quoi consistent ces
deux approches.
e) L'approche systémique de la communication
L'approche systémique se fonde sur des piliers
principaux suivants :
ü La communication est un phénomène
interactionnel ;
ü Tout comportement social communicationnel ;
ü La communication est déterminé par le
contexte dans lequel s'inscrit ;
ü Tout message comporte deux niveaux de signification
contenu et relation ;
ü La relation entre interlocuteur se structure selon deux
grands moments, symétrie et complémentarité ;
ü Le dysfonctionnement et la perturbation peuvent
entrainer des crises (notamment mentales).
Par rapport à la praxis, l'approche systémique
s'applique au modèle général d'un système de
communication (dispositif de télécommunication quelconque,
système de transmission des données entre les différents
composants d'un ordinateur, etc....) ce système compose des
éléments suivants : une source d'information, qui produit le
message à transmettre, un canal de communication, par lequel transitent
ce message, et un récepteur, destinataire du message.
Tout système de communication présente quelques
imperfections inévitables : la capacité forcement
limitée du canal et l'altération du message due aux
interférences, au bruit et à une altération naturelle.
Pour pallier cette altération, la théorie de l'information
proposée de placer aux extrémités du canal de
communication, par lequel transitent ce message, et un récepteur,
destinateur du message.24(*)
f) L'approche théorique de la communication
De son coté, l'approche théorique de la
communication, fait coexister deux acceptions de cette notion.
La première, plus ancienne, consacre la primauté
de l'émetteur sur le récepteur. Beaucoup déduisent cette
acceptation de la célèbre formule de 5Q de Harold LASWELL :
« qui dit quoi, à qui, par quel canal, avec quel
effet ». C'est l'acceptation qui semble soutenir que le facteur le
plus importants, sinon le seul, de développement, permis
l'élaboration des termes experts à la base de l'information
moderne.
La deuxième acceptation, surgie des réflexions
plus récentes de nombreux spécialistes et chercheurs en
communication.
De ce fait, la théorie de la communication
définit la communication comme interaction entre deux sujets où
elle s'exerce en termes d'échanges de valeurs entre individus
communicants et où le sujet récepteur est l'égal du sujet
émetteur.
De ce qui précède, nous pouvons dès lors
nous permettre de proposer cette définition, la communication est en
sommes un processus de rapports, d'échanges entre les individus à
travers des codes (signes, symbole) particulièrement correspondants aux
canaux, supports infrastructures appropriés utilisés.25(*)
1.2.4. TRAITEMENT DE
L'INFORMATION
Le dictionnaire Hachette nous donne' une brève
précision sur le concept de traitement de l'information c'est l'ensemble
des techniques permettant de stocker des informations, d'y accéder, de
les combiner, en vue de leur exploitation.
a) Notion de Nouvelles
technologies de l'information et de la Communication
Après l'ère industrielle du 20e
siècle, l'humanité est entrée de plein pied dans
l'ère du savoir, un savoir collectif pour utiliser l'expression de
pierre Levy propre à la société de l'information dont les
origines remontent aux années 1980. C'est l'époque de l'explosion
de l'information elle-même multidimensionnelle, multisectorielle,
quantitativement important.
L'information a fortement de influencé sur la vie
social et par l'émergence de technologies de l'information et de la
communication, les sociétés ont connu de grandes mutations
à la fois rapides transversales, profondes (affectant toutes les
dimensions et facultés de l'homme) et universelles.
C'est dans ce sens qu'Alain Gluskey disait d'elles
véhiculent l'information mais aussi modifient de manière
significative les processus de traitement de l'information basé sur le
numérique, c'est-à-dire la représentation, le stockage et
le traitement de l'information sous une forme d'une suite et l'appelle des
bits. Le terme information fait référence à des textes,
des images fixes ou animées, la vidéo, le son des données
informatiques.
Il y a sans doute au départ le fait que les NTIC
définissent tout nouveau système de production, de distribution
et de consommation de l'information dans un contexte où celle-ci est
devenue un facteur critique pour le progrès économiques des
nations. On peut établir ici un parallèle avec
l'avènement de l'imprimerie.
Celle-ci a permis une diffusion plus large de la connaissance,
et donc, des courants de pensée qui ont conduit à des mutations
socio politiques majeures en Europe.26(*)
Mais la problématique des nouvelles technologies de
l'information et de la communication se pose donc en terme de
définition majeure pour les pays en développement , une
croisée de chemin en ce début du 21e
siècle : se positionner sur l'échèle du
développement en intégrant de manière efficiente, ces
technologies dans leurs plate forme de développement dans un contexte
mondial très évolutif et de plus en plus complexe ou s'exclure
davantage de l'économie mondiale (qui migre vers les réseaux),
des échanges culturelles et rester d'avantages jeunes. L'Afrique
peut-elle relever ce défit ? Peut-elle intégrer rapidement
les nouveaux modèles économiques, culturels émergents qui
s'établissent ?
D'un coté, les problèmes à
résoudre sont importants et à priori le risque de voir la plupart
des pays de l'Afrique rater le visage actuel est élevé.
L'infrastructure de l'information reste d'une manière globale le moins
développés du monde. Le niveau de développement
qualificatif et quantitatif des la presse écrite est très faible
et l'information est encore embryonnaire.
b) Rôle des Nouvelles Technologies
de l'Information et de la Communication
Ces nouvelles technologies de l'information ont une grande
valeur dans son exploitation, donner quelques exemples
ci-après :
· L'engouement suscité par les nouvelles
technologies de l'information dérivé précisément du
fait qu'elles permettent , plus que tous les autres outils existants, de
communiquer rapidement, et à des couts réduits de partager
l'information de la manipuler, de faire circuler des volumes importants de
données d'un point à l'autre monde27(*).
· Les nouvelles technologies de l'information et de la
communication modifient fondamentalement le mode de production et de diffusion
de l'information comme la télévision, l'internet se
définit par le texte, le son et l'image. Mais il introduit
l'interactivité qui s'exprime par l'hypertexte, donne à chacun la
possibilité de choisir l'information qu'il souhaite avoir et le moment
auquel, il veut accéder à celle-ci. Par ailleurs, l'internet
constitue un mode décentralisé de production et de gestion de
l'information.
· La maitrise des flux d'informations constitue donc une
des clés décisives pour accéder, maitriser, voire
contrôler les marchés, les technologies et les
compétences.
Les nouvelles technologies de l'information et de la
communication créent de nouvelles richesses qui sont à la
portée de pays en développement parce qu'elles sont d'avantages
par l'intelligence et la créativité que le capitaux
traditionnels qui fonde l'industrie.
Du point de vue technique, les nouvelles technologies de
l'information et de la communication évoquent la combinaison des
différents réseaux de télécommunication. Elles
sont symbolisés par le multimédia et incarnés par
l'internet. Mais qu'est-ce que l'internet ?
c) Internet
C'est un média, un moyen, un médium de
communication de plus pour certain, un véritable phénomène
de société pour d'autre. Un phénomène de
société, car il existe aujourd'hui, une d'inflation de
termes pour le désigner : « réseau des
réseaux » ; « cyberespace »,
« cybermonde », « espace virtuel »
etc.
Toutes fois, c'est la rencontre de l'audiovisuel, de
l'information et des télécommunications qui a ; d'avantages
accéléré la progression des technologies de l'information
et de la communication.
Né de la convergence technologique de deux
entités diverses, communications et ordinateur, internet a ouvert la
communication à des horizons inimaginables jusqu'à un
passé récent, lui donnant un pouvoir jamais atteint auparavant,
il n'est pas seulement un instrument, il est surtout un espace virtuel de
communication, de rencontres et d'échanges.
Ainsi, des 1992 comme l'affirme Balle, inter s'affiche -t-il
comme l'héritier de cette triple alliance entre le
téléphone, la télévision et l'ordinateur,
structurellement internet est un moyen de communication de plusieurs à
plusieurs qui transforment la communication d'internet dans un système
informatif en forme existentielle et cette communication d'internet est
modulaire extensible, élastique, foncièrement adaptée
à plusieurs voix, où le dialogue et le débat sont
réciproques,28(*)
plus particulièrement, internet personnalisé et
démocratise l'information, la transformant en redoutable armé
politique.
Bien que dans la plupart des pays africains les technologies
modernes de l'ordinateur à internet ne sont pas très
répandues entrer dans la tribu , informatique constituera dans la
société de demain un passage obligé si l'on en croit des
auteurs tels que Breton (1990) aussi, personne ne doit elle ignorer les
bouleversements en cours. Car au delà du phénomène de
mode, le multimédia et les autoroutes de l'information se place
aujourd'hui au coeur des conversations remarque Mora.
C'est ainsi que les technologies de l'information et de la
communication et notamment internet suscitent dans les pays pauvre l'espoir
d'accomplir un saut technologique qui contribuerait à résoudre
les problèmes de développement.
L'internet est même présenté parfois comme
une chance pour le continent africain. « C'est d'ailleurs ce qui
indique « cet extrait de la Banque mondiale sur le
développement d'internet »29(*).
La révolution de l'information offre à
l'Afrique une opportunité de bondir dans le futur, de rompre des
décades de stagnation et de déclin.
L'Afrique doit saisir rapidement cette chance. Si les pays
africains ne parviennent pas à tirer avantage de la révolution
de' l'information à surgir sur la grande vague du changement
technologique, ils seront submergés par elle. Dans ce sens, ils
risquent d'être encore plus marginalisés et économiquement
stagnants dans le futur qu'aujourd'hui ».
Et par internet nous serait données le bonheur et
l'égalité ,la science et la culture, l'intelligence collective,
la démocratie politique et la solidarité entre les hommes, dans
tous ces cas, des années 1970 à 2000, une communication
technicien ne glorifie , à portée de tous est mise en
scène par des publicitaires avertis des ministres en mal de discours
démocratiques, des industries intéressés et des
journalistes pressés et imprudents. Comme le dit le grand anthropologue
américain de la communication ; James. W. Carey :
« toutes les valeurs qui ont été prêtées
à l'électricité et à la communication
électrique jusqu'à l'ordinateur, le câble et la
télévision par satellite, le furent d'abord au
télégraphe avec un identique mélange de fantaisie de
propagande et de vérité » « `. Communication
technologique qui se prétend constitutive de toute
communication.30(*)
Rôle de l'internet dans
une entreprise
· L'internet constitue un outil de veille pour
l'entreprise, les outils de recherche de l'information, le groupe de discussion
et les sites spécialisés dans les domaines précis lui
permettent et suivre l'évolution des secteurs dont dépend ses
activités de maitriser les tendances technologiques et les
données économiques.
· L'internet sert de victime à l'entreprise ;
a travers un site web, elle peut se faire connaitre, présenter ses
produits ses services et ses activités ; les catalogues les
rapports et d'autres documents officiels peuvent être publiés sur
le site avant même leur édition sous forme classique.
· L'internet permet à une entreprise de
réduire de manière considérable ses coûts de
communication et les transactions.
Pour comprendre le service de l'internet, il convient de
rappeler qu'un réseau informatique possède deux fonctions
importantes. Il permet de communiquer au moyen de l'ordinateur, lorsqu'on est
connecté à l'internet, on peut communiquer avec tous ceux qui le
sont également dans le monde, à partir de son ordinateur.
La deuxième fonction est que des ordinateurs
interconnectés forment un espace virtuel d'information, ce qui signifie
qu'on peut y publier des informations.
Les ordinateurs qui constituent l'internet forment ainsi un
espace virtuel, dans lequel on peut accéder à l'information.
Celle-ci peut être composite, c'est à dire constituer des textes,
des sons, d'images fixes ou animées et de la vidéo
(multimédia).
1.2.5. Presse
a) Définition
Au sens restreint, la presse est une machine ou ensemble des
équipements qui permet d'imprimer des journaux par pression du papier
sur la forme imprimante encrée.
L'usage a imposé une acceptation plus large : la
presse désigne l'ensemble des « publications »
imprimées ou des activités journalistiques, leur mode
d'organisation et leur mode de fonctionnement, les liens d'influences
réciproques qui nouent avec les autres institutions et la
société en général. On dit aussi presse
parlée (information à la radio) et presse audiovisuelle (journal
télévision)31(*).
b) L'histoire de la presse congolaise de 1965 à
nos jours
L'histoire de la presse au Congo est tellement vaste que nous
en résumons en soulignant ce que nous avons jugé essentiel pour
notre cas à traiter.
La rupture entre la période coloniale et les
premières années de l'indépendance qui se produit le 24
novembre 1965, a marqué le début d'un long processus de mutations
profondes en RDC.32(*)
Concernant la presse, la domination de forces non congolaise sur
le contenu et la technologie des mass médias, a fait que le Congo
définisse la compétence de ses professionnels en suivant des
normes venues de l'étranger qui a créé un système
de mass médias orienté vers des réalités plus
étrangères que nationale.
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce premier chapitre, nous avons définit les
concepts de base de notre sujet, dans la définition des concepts,
nous avons étudié en profondeur des termes ayant trait à
la presse écrite et nous avons également étudié les
différents services que fournir les nouvelles technologies de
l'information, de la communication et de l'internet.
CHAPITRE II. L'IMPORTANCE
DES NTIC DANS LE TRAITEMENT DE L'INFORMATION ET
BREVE PRESENTATION DU JOURNAL LE
POTENTIEL
Durant ces 20 dernières années, les NTIC ont
été intégrées par les entreprises au fur et
à mesure de leur disponibilité. Aujourd'hui elles sont devenues,
un outil majeur pour la construction de l'entreprise de demain. Elles
occupent une place prépondérante dans l'amélioration et
la performance de l'entreprise de la presse écrite.
SECTION I : L'IMPORTANCE DES NTIC DANS LE TRAITEMENT DE
L'INFORMATION
Les NTIC revêtent une signification particulière
pour les journalistes de la presse écrite, il suffit de cliquer sur le
moteur de rechercher de l'internet, on accède en temps réel
à une information de grande richesse et actualisée. Pour eux, ces
technologies constituent une révolution. Leur travail est
facilité et devient même très agréable avec son
support, (l'internet) ; il a la facilité et d'emploi de ce
média révolutionnaire, son coût à la portée
de ses nombreuses sources sa disponibilité permanente, le fait qu'il
donne accès à des sources d'informations internationales,
l'extrême diversité des thèmes abordées, la
possibilité de télécharger des pages.33(*)
Les NTIC ont amplifié la voix et amené
l'information et la communication à des distances longues à
couvrir de grands espaces géographiques et à résoudre
certains problèmes de développement. L'internet constitue, en
lui-même, une grande évolution dans le domaine de la communication
avec les sommes colossales d'information qu'il mette à la disposition
des hommes où qu'ils se trouvent.
Lorsque les journalistes de la presse écrite exploitent
les NTIC, on remarque un modèle identique de fonctionnement chez eux. En
effet, étant donné que leur travail est axé sur la
collecte de l'information, son traitement et son exploitation, ils font usages
de ces techniques dans le sens d'améliorer et de simplifier leur
travail. Dans la presse écrite on n'exploite pas toutes ces
technologies, mais seulement ceux qui peuvent permettre de perfectionner le
travail.
Nous constatons par exemple que grâce à
l'internet, les journalistes ont acquis leur renom en assumant la
responsabilité de présenter des informations.
Tous ces avantages ont fait de ce moyen de communication un
outil extraordinairement riche et populaire. Dominique Mweze34(*) n'a pas tort de dire que
l'usage des NTIC constitue un lieu de dialogue entre les peuples, les nations
et les civilisations.35(*)
Dans la mesure où l'importance à cette
ère de la mondialisation, c'est de se rapprocher de l'autre et
construire ensemble un projet commun d'une humanité affranchie,
réconciliée avec elle-même et libérée. Ce qui
importe pour lui c'est que l'homme se serve de ces outils virtuels que sont
les NTIC pour se rapprocher de l'autre et construire (....)
libérée des grands maux qui présent sur elle.
L'usage des NTIC constitue une véritable
révolution pour la presse écrite. Grace à l'utilisation
des ces techniques, les lecteurs sont bien guidés. Par ailleurs
certaines opinions voudraient même que l'avenir de la presse
écrite soit sur internet et au risque de dépérir et de
disparaitre, car « l'internet et le nouveau réseau de
communication qui le sous-tend sont décrits comme le vecteur d'un
nouvel âge d'or du progrès économique et social».
Mais quelques soient ces innovations, les NTIC ne font pas
disparaitre les technologies anciennes, elles viennent s'y greffer. Ce n'est
pas parce que les possibilités offertes par les NTIC frôlent
l'admiration qu'il faut abandonner les anciennes techniques. L'utilisation des
NTIC permettent tout selon Dominique Anet36(*), le minimum vital de toute entreprise d'aujourd'hui
est le site internet et le courriel, les entreprises les plus grandes ont
déjà construit où sont entrain de construire un intranet,
voir un extranet.
Ce qui a changé fondamentalement, c'est la nature de
l'enseignement de l'entreprise, l'interface au monde extérieur, n'est
plus cette pancarte antique au bois suspendue au dessus de la boutique, elle
est désormais cette interface virtuelle appelée site web.
L'entreprise n'existe pas si son enseigne virtuelle existe.
Les technologies ont modifiés les modes de
fonctionnement et l'organisation dans leurs entreprises, il ya essentiellement
le transfert entre outils, la formation des procédures ainsi que le gain
des temps et des meilleures ventes. Il ya en plus des changements
importants ; la recherche de connaissance et d'information hors livre, la
communication exclusivement par courriel c'est la fin du fax et la
réduction très forte de l'usage du téléphone.
Devant tout avantage proposé par les NTIC, la presse
écrite n'a comme unique choix que de s'en approprier au risque de
disparaitre purement et simplement.
Secundo, le succès même de l'internet engendre un
effet pervers. La multiplicité des sites éparpillé les
sources. La quête des renseignements peut vite se relever fastidieuse,
même si des annuaires (Yahoo ! nomade...) Récemment les
meilleurs sites sur un sujet donné et si des moteurs de recherche
(voilà, Alta vista, excite..) indexent les cent millions de pages
internationales.
Cela dit, tout citoyen peut désormais accéder
à toutes sortes des textes (rapports d'entreprise, discussions
parlementaires, communiqués de presse...) qui étaient auparavant
l'apanage des journalistes. Ceux-ci devront donc se concentrer de plus en plus
sur le traitement des informations (vérifications, sélection,
hiérarchisation) et sur la quête personnelle de données.
L'internet est également irremplaçable pour
consulter des documents bruts intégraux, des textes officiels, des
formulaires, des rapports, etc. aucune limitation de capacité ne lui est
imposée. La presse l'a bien compris, et a ouvert rapidement des sites
internet.
Par ailleurs, l'avènement des NTIC constitue un
véritable bouleversement dans l'univers informationnel et
communicationnel, la presse écrite n'y échappe pas.
La presse écrite est en quête
effrénée de l'information qu'elle doit traiter avant de la
présenter au public.
Avant l'avènement des NTIC, la presse écrite
était butée, à de nombreux problèmes dus aux
distances géographiques, à l'accès aux sources
d'informations.
L'internet permet surtout la rapidité d'échange
de données, gain de temps, disponibilité de l'information, la
visibilité (accès au monde entier) et la facilité
(accès facile).
Puisque l'accès à l'information devient facile,
on peut voir directement quelles sont les informations qui pourront
intéresser ce public et être diffusés. C'est une
révolution, car « l'internet donne une visibilité
mondiale à l'information : des renseignements sur l'élection
présidentielles en RDC peuvent être lus aussi bien au Canada, en
Angola, en Espagne qu'ailleurs ».
« L'internet peut aussi aider les pays africains
à améliorer leur représentabilité dans le domaine
de l'information et par conséquent à valoriser leurs cultures et
leurs atouts économiques ».
Les informations que livre l'internet sont diverses,
l'internet est un (espace virtuel), un réseau qui personnalise et
démocratise la communication. Nous avons l'impression de consulter un
document unique alors qu'on visite des services disséminés dans
le monde entier, un instrument d'échanges.
Les NTIC accélèrent la diffusion de
l'information, facilitent leur accès. Grace à elle, on est
à la pointe de l'actualité. Le travail devient facile et
amplifié. Elles permettent de rapprocher le monde, accéder
tôt à l'information mondiale, facilitent la perception de
l'information, elles permettent d'être à jours avec les
dépêches.37(*)
Cependant, les NTIC peuvent représenter un danger pour
les journalistes.
En effet, en se rendant dans des cybers pour surfer, les
journalistes peuvent arriver à se détourner de leurs objectifs
et se voir consommer des informations malfaisantes, puisqu'il est difficile de
vérifier l'identité du fournisseur de l'information.
Autres choses, les NTIC affaiblissent l'homme n'assurent pas
la sécurité des données, n'importe qui peut faire circuler
n'importe quoi.
Pour J.M. PERENG38(*), « si la presse s'est véritablement
engagée dans la voie du changement au Congo- Kinshasa, il ya tout de
même une place pour elle dans ce pays mais est elle devenue une
institution respectable et respectée ? Il est vrai que beaucoup des
choses ont changé au Congo Kinshasa, mais quel est la part de
responsabilité de la presse dans ce phénomène et au
détriment de qui, de quoi ? Quelle sont, en effet, les
caractéristiques générales de cette nouvelle
presse ».
Mais pour ce qui arriver dans l'avenir, une presse qui
n'utilise pas ces outils sera prie de court.
D'un coté les problèmes à résoudre
sont important, et à priori le risque de voir la plupart de pays de
l'Afrique subsaharienne rater le virage actuel est élevé.
L'infrastructure de l'information reste d'une manière globale, la moins
développée du monde. Le niveau de développement qualitatif
et quantitatif de la télécommunication est très faible et
l'information est encore embryonnaire.
Pour D. Mweze, nous évoluions inexorablement vers le
cyberespace qui peut être défini comme l'espace de communication
ouvert par l'interconnections des ordinateurs et des mémoires
informatiques et dont les principales sont l'informatiques et dont les
principales sont l'accès à distance aux ressources d'un
ordinateur et la possibilité d'opérer un
téléchargement ou transfert des fichiers.
Pour ne pas être marginalisée par l'histoire,
l'Afrique à l'avantage de s'approprier des ces technologies et les
mettre au service de son développement. Elle gagnerait à puiser
sur la toile, la chaleur des autres nations, leur savoir faire et à
partager avec elle ce qu'elle a de riche, d'original. De cette façon,
les nouvelles technologies de l'information et de la communication seront
véritablement le cyberespace dépollué où
s'effectuent le donné et le recevoir.
Enfin, même si le rôle de la presse écrite
change avec tous ces nouveaux outils, les journalistes doit pouvoir dans toute
l'information qui circule sur internet, détecter ce qui va pouvoir
intéresser son public, personne n'étant intéressé
par la totalité du monde.
SECTION II. BREVE PRESENTATION DU JOURNAL « Le
Potentiel »
Cette section comporte plusieurs points dont chacun fera
l'objet d'un sous points, aussi sera-t-il question de découvrir les
éléments fondamentaux du groupe de presse « le
potentiel » dans son intégrité.
I.1.
SITUATION GEOGRAPHIQUE
Le Groupe de presse le Potentiel est implantée à
Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo. Le
siège administratif est situé sur l'avenu du Bas-Congo
N°873, dans l'immeuble RUZIZI dans la commune de la Gombe derrière
la BCDC.
I.2.
FICHE SIGNALITIQUE
§ Nom du journal : le Potentiel ;
§ Propriétaire : Modeste MUTINGA ;
§ Directeur de publication : Faustin KUENDELA
§ Siège de la rédaction : Immeuble RUZIZI,
Avenue du Bas-Congo N°873, commune de la Gombe ;
§ Périodicité : Quotidien
§ Moment d'apparition : matin
§ Date du premier numéro : 12 octobre 1984
§ Zone principale de diffusion : Kinshasa, internet
numérique et province
§ Tirage : plus de 2.500 exemplaire/jour
§ Le prix : 1.000fc unitaire abonnement annuel
500$
§ Format : A3
§ Nombre de page : 20 pages
§ Nombres du colonne/page : 5 colonnes
§ Nom et l'adresse de l'imprimerie : recto verso,
av. Kianza n°20 Kinshasa/Makala.
§ Nombre d'édition et zone couverte par chaque
édition : une seule édition, Kinshasa bas Congo (Matadi).
Caractéristique exceptionnelle du journal : il est du centre, et sa
rubrique « Apostrophe et le supplément. Lieu de conservation
de collection : Av bas Congo, Kinshasa/ Gombe
§ Fichier ou dossier : autorisation de parution
04/00015/DT
§ Il possède un site web :
www.lepotentielonline.com.
Crée depuis 2000 (son site est hébergé en Belgique).
delphibateko@yahoo.fr
0812237393.
I.3. HISTORIQUE
Le journal « potentiel « est ne le 12
octobre 1982 a l'initiation de monsieur MODESTE MUTINGA MUTUISHAY
propriétaire et autorité moral du journal. A sa création
le journal s'appelait « satori au pays des grands lacs » et
paraissait sous forme de magazine d'information touristique et sociale. En
octobre 1985, après une interruption de plus d'une année, le
journal renait sous une nouvelle dénomination. Il s'appel
désormais « le potentiel ». Ce changement est
inopiné par les potentialités du sol et sous sol dont regorge
notre pays la république démocratique du Congo. Il a
commencé d'abord comme un mensuel dont le contenu est essentiellement
économique mais le tableau ne s'empêche pas de publier quelques
information à caractère socio culturelles. Son siège
était alors installé au n°20 de l'avenue Kianza dans la
commune de Makala ; devenu plus tard le siège d'exploitation de
l'imprimerie recto-verso, propriété du journal.
Avec l'avènement de la démocratie du pays, lors
de la deuxième république, le 24 avril 1990, accompagné de
la libération de la presse, le potentiel changé de
périodicité. « Devient ainsi hebdomadaire qui
élargit en même temps ses rubriques, ce qui lui conduit à
changer aussi sa ligne éditoriale. Très vite, le tableau gagne
en notoriété et devient un hebdomadaire d'information
générales avec plus usage de plus de 13.000 exemplaires.
Dans l'agitation des années 1990 à 1993
consécutive au conflit au sommet de l'état entre le
président Mobutu et le premier ministre TSHISEKEDI, son imprimerie
« recto verso » est plastiquée. Le 17 septembre
1996, « le potentiel » change de
périodicité.
Cette fois-ci il devient un quotidien d'informations
générales le 823ème numéro est la
première édition de la mutation.
Après 23 ans de parution, actuellement le
Potentiel est devenu un groupe de presse produisant des journaux
ci après : la compatriote sportif, c'intrus, l'apostrophe,
économica, qui sera remplacé par le journal vsm
(vedette du sport et de la musique). Supplément sera
remplacé du Kasaï vendu exclusivement dans les Kasaï (14).
Le potentiel emploi une trentaine de journalistes,
composée dans la majeure partie des anciens journalistes d'Elima et du
Salongo ainsi des jeunes journalistes venus fraichement des Universités
et Instituts supérieur dont notâmes l'Université de
Kinshasa (UNIKIN), Institut facultaire des sciences de
l'information et de la communication (IFASIC) et
Université catholique du Congo (UCC).
Le quotidien d'information générales, le
potentiel officiellement est un journal qui se veut indépendant et
privée n'appartenant ni à un groupe de pression, moins encore
à une obédience politique, il n'est pas subventionnée par
l'état mais privilégiée dans toute son indépendance
le droit à l'information dans le strict respect de l'éthique et
de la déontologie professionnelle. Par ailleurs, il se bat dans la
confection politico- économique actuelle pour la défense des
valeurs républicaines par l'information et objective.
I.4.STRUCTURE ORGANIQUE ET
FONCIONNELLE
Le journal le Potentiel a une organisation
administrative modeste qui reflète les activités d'une entreprise
de presse. Cette structure est composée de :
§ Fondateur ;
§ Direction général ;
§ Direction de publication ;
§ Rédaction générale ;
§ Secrétariat de rédaction ;
§ Service marketing et commercial.
a) Fondateur
Chaque chose a sa fondation, concernant le journal le
potentiel, son fondateur et PDG, c'est Monsieur modeste MUTINGA.
b) Direction générale :
C'est le centre d'impulsion du journal. Son Rôle est de
définir la politique du journal, fixer les objectifs de l'entreprise de
presse tout au niveau et planifier le travail pour atteindre ses objectifs
demandés.
c) Direction de publication
Elle gère et anime le contenu du journal dans ce
rapport de ligne éditoriale.
d) Rédaction générale
C'est la couronne de transmission entre le staff dirigeant et
l'équipe rédactionnelle secondé à son tour d'un
rédacteur en chef. Le directeur de rédaction à deux
adjoints dont l' un est chargé des suppléments et l' autre des
investigations et reportages secrétaire de rédaction et 3 chefs
de rubriques.
Le potentiel comprend 3 rubriques (politique,
économique et social) et 6 suppléments (nouveau, horizon, monde
des affaires, femme actuelle, notre époque, construire
démocratique et littérature, la culture, médias et la
musique).
§ Service administratif et
financier : il s'occupe de la gestion de la ressource humaine et
financière ;
§ Service marketing et
commerciale : se charge des annonces publicitaires et abonnement
que souscrit certaines de maisons privées. Elle gère la
commercialisation et la distribution des journaux.
§ Le service technique : ce service
s'y occupe de tout ce qui est technique pour la réalisation du journal.
Il est composé de 5 agents, un directeur technique sur responsable de la
mise en page assisté par deux moteurs pour le journal papier et 2 web
masters pour le journal en ligne.
I.5. Evolution du journal
Après plusieurs années de son existence, le
journal « le potentiel » crée son propre site
internet en 2.000. Ce site se charge de la visibilité du journal
à la version numérique. Il est géré par deux web
masters.
En outre, il faut montrer que le journal le potentiel fait
partit du groupe de presse le potentiel qui a d' autres journaux comme le
compatriote du Kasaï ; vendus uniquement dans les deux Kasaï, l'
imprimerie ( recto-verso), une station de radio ( radio 7) et une chaine de
télévision ( télé 7).
C'est donc une grande entreprise de presse qui travail dans la
main pour satisfaire les besoins de ses lecteurs. Au fil du temps, il a
toujours un credo celui de « demeurer une église au milieu du
village ou une bougie allumée dans un Déon
ténèbres ».
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce deuxième Chapitre, nous avons
présenté l'entreprise de presse le Potentiel qui est notre lieu
d'investigation et en suite, nous avions parlé de l'importance des
Nouvelles technologies de l'Information et de la Communication dans le
traitement de l'information.
Cela étant au troisième chapitre que, nous
allons présenter les données des en quêtes.
CHAPITRE III : L'ENQUETTE SUR L'IMPORTANCE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE
L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION AU SEIN DE
L'ENTREPRISE DE PRESSE LE POTENTIEL
Ce travail porte sur l'importance des NTIC au sein de
l'entreprise de presse en générale et le potentiel en
particulier. Pour découvrir cet apport, il nous a fallu élaborer
un questionnaire en vue de récolter les différentes propositions
de nos enquêtes.
Pour recueillir les données de notre travail, nous
avons tenu à mener une enquête dont l'objectif principal est de
juger l'importance qu'accorde le journal le potentiel en utilisant les
nouveaux outils des NTIC, entre autres l'ordinateur, l'internet etc...., aident
effectivement à améliorer le rendement dans le traitement
d'informations.
3.1. Rappel méthodologique
Pour notre travail, nous avons opté pour l'approche
fonctionnaliste. Cette méthode nous a aidés à cerner le
contour du rôle des NTIC dans le processus du traitement de
l'information.
a. Les préliminaires
Il s'agit bien de déterminer le choix de la population
à enquêter. On cherche à interroger tout le monde. Dans
d'autres cas, c'est à un groupe restreint qu'on peut
s'intéresser.39(*)
La population ou l'échantillon de notre recherche sont
les journalistes de l'entreprise de presse écrite le potentiel.
b. La détermination de la
méthode
Pour la collecte des données, nous avons recouru
à la technique d'entretien et la technique documentaire.
La technique d'entretien nous a aidés à
récolter les avis des journalistes du groupe de presse le potentiel au
sujet relatif à l'importance des NTIC dans le traitement de
l'information.
La technique documentaire nous a aidés aider à
répertorier les informations relatives à notre sujet sous
étude.
c. Interprétation de
l'enquête
Avant de mener une enquête, il faut avant tout savoir
comment on va construire l'échantillon. A ce sujet, il est important de
noter que le potentiel compte en son sein 30 personnes. Lors de la descente
sur terrain, nous en avons interrogés 17, les autres étaient
absents, en tournage ou en reportage.
d. Questionnaire d'enquête
Notre questionnaire d'enquête comprenaient des questions
fermées, c'est-à-dire celles dans les quelles nous
présentons déjà des réponses au choix et des
questions en rapport avec notre sujet (thématique).
a. Questions d'identifications.
Question n°1 : Répartition des
enquêtes d'après le variable sexe.
Sexe
|
Fréquence
|
%
|
Masculin
|
12
|
70
|
Féminin
|
5
|
30
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : Il ressort de ce tableau
que sur 17 enquêtés qui constituent notre échantillon, 70%
sont des Hommes et 30% sont des femmes.
Question n°2 : Répartition selon les
tranches d'âges.
Tanche d'âges
|
Fréquence
|
%
|
18 à 25 ans
|
2
|
12
|
26 à 30 ans
|
4
|
24
|
31 à 40 ans
|
6
|
35
|
41 ans et plus
|
5
|
29
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : Il ressort de ce tableau
que sur 17 enquêtés qui constituent notre échantillon que
12% leur âge varie de 18 à 25a ns, 24% leur âge varie de 26
à 30 ans, 35% de 31 à 40 ans et en fin 29% leur âge varie
de 41 ans et plus.
Question n° 3 : Répartition selon
le niveau d'étude.
Niveau d'étude
|
Fréquence
|
%
|
Doctorat
|
0
|
0
|
Licencié
|
9
|
53
|
Gradué
|
8
|
47
|
Diplômé d'état
|
0
|
0
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : dans ce tableau 53% des
agents interrogés sont des licenciés et 42% sont des
gradués.
b. Questions thématiques
Question 4 : Connaissez-vous les NTIC (nouvelles
technologies de l'information et de la communication) ?
Tableau numéro 4 :
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
17
|
100
|
Non
|
0
|
0
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : la question est de savoir
si les journalistes connaissent ces NTIC. Le résultat se présente
comme suivant : 100% des journalistes sur 100 déclarent qu'ils
connaissent ces NTIC. Qu'ils définissent de la manière
suivante : c'est toutes les innovations ayant trait au traitement de
l'information et à la sauvegarde de celle-ci.
Pour les autres, c'est tout support informatique permettant
à l'élaboration, au stockage et à la diffusion de
l'information en temps réel. C'est également un nouveau
système de production, de distribution et de consommation de
l'information dans un contexte où celle-ci est devenue un facteur
critique pour le progrès économique.
Question n°5. Croyez-vous que l'internet à
un apport dans le travail des journalistes ?
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
17
|
100
|
Non
|
0
|
0
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : Dans ce tableau, les
résultats se présentent de ma manière suivante : 100%
des journalistes admettent que l'internet contribue énormément
dans leur tâche de journalisme pour la collecte, le traitement et la
diffusion de l'information de bonne qualité, donc le monde de la
communication marche simultanément avec l'internet.
Question n°6 : Etes vous connecté
à l'internet Monsieur le directeur de la publication?
Tableau n°6.
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
1
|
100
|
Non
|
0
|
|
Total
|
1
|
100
|
Commentaire : aux réponses de ce
tableau qui est uniquement pour le directeur de publication, Mr le directeur de
publication : si, à l'ère actuelle toute entreprise de
communication qui a le souci d'être crédible doit au moins se
connecter, en outre nous sommes en partenariat avec plusieurs agences de presse
qui nous livrent régulièrement des informations et pour publier
il faut nécessairement avoir de la connexion pour les médias en
ligne surtout.
Questions n°7 : le potentiel est un
quotidien du pays, est-ce que vous utiliser des nouvelles technologies de
communication dans votre journal ?
Tableau n°7.
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
17
|
100
|
Non
|
0
|
0
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : ce tableau indique que
100% disent oui. Il s'agit notamment de téléphone de l'internet,
de l'ordinateur, ainsi que des appareils photo pour la prise de vue et des
agendas électroniques. On ne peut pas fonctionner sans ces outils car
ces outils ont une importance capitale dans le monde de l'information. Le plus
importants, c'est l'ordinateur qui nous aide à monter notre journal.
Question n°8 Est ce que ces NTIC apportent de
plus dans le domaine de la communication et dans le traitement des
informations ?
Tableau n°8
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
17
|
100
|
Non
|
0
|
0
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : 100% des journalistes
interrogés disent oui avec l'avènement des techniques de
communications, c'est la rapidité qui s'est accrue ; l'information
circule au temps réel. Ce qui se passe aux Etats unis et ailleurs est
directement connu et communiqué grâce à ces outils, les
reporteurs peuvent à partir de l'endroit où ils se trouvent
accèdent à des éléments qui sont
déjà traités par l'un des moyens de ces techniques
nouvelles.
Question n°9 : Disposez -vous d'une
connexion internet :
- Sur le lieu de travail :
Tableau n°9 Réparation des
enquêtés en rapport avec la disposition de connexion internet au
lieu de travail.
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
11
|
65
|
Non
|
6
|
35
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : la plupart des ordinateurs
présents dans l'entreprise disposent d'une connexion internet au lieu du
travail, 65% des personnes que nous avons interrogés sur la disposition
de l'ordinateur au lieu du travail disposent tous d'une connexion internet.
- chez vous ?
Tableau n°10
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
oui
|
5
|
30
|
Non
|
12
|
70
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : la plupart des
journalistes ne disposent pas d'une connexion internet- chez eux à la
maison s'expriment à 70% contre 30% suite aux manques des moyens
financiers pour acheter chaque jour le crédit.
Question n°11 :
utilisez-vous une messagerie (E-mail) ?
Tableau n°11 : Répartition
des enquêtés en rapport avec l'utilisation de messagerie
électronique.
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
10
|
59
|
Non
|
7
|
41
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : près de 2/3
utilisent de messagerie. Parmi les journalistes qui se connectent
occasionnellement ou pas du tout, les raisons évoquées sont le
manque de temps (41%) et le manque d'internet. Le facteur coût ou les
problèmes de lenteurs d'accès n'ont pratiquement pas
été évoqués.
Question n°12 : Quelle est l'importance que
vous accordez aux NTIC dans vos traitements de
l'information ?
Tableau n°12 : La direction des
enquêtés en rapport avec l'importance que les journalistes
accordent aux NTIC dans les traitements de l'information
Réponses
|
Fréquence
|
%
|
Oui
|
12
|
70
|
Non
|
5
|
30
|
Total
|
17
|
100
|
Commentaire : 70% des journalistes
accordent vraiment l'importance aux NTIC, car ces dernières ont permis
de gagner le temps et la force grâce à des logiciels qui simplifie
les différentes tâches.
c. INTREPRETATION DES RESULATS
Ici, nous allons interpréter juste des questions
de base liées à notre sujet, afin de mieux dégager les
informations importantes contenues dans les chiffres et confirmer notre
hypothèse.
3.1. Questions proprement dites
a) connaissance des NTIC
Après le dépouillement de réponses de nos
enquêtes exprimées en pourcentage, nous constatons que tous nos
enquêtés connaissent les nouvelles technologies de l'information
et de la communication, ceci prouve à suffisance combiens ces avatar du
21ème siècle occupent une place considérable
dans nos sociétés.
b) l'internet à un rapport dans le travail de
journaliste
Les résultats se présente a 100%, des
journalistes admettent que l'internet contribue énormément dans
les différentes taches du journalisme, plus pour la collecte, le
traitement et la diffusion rapide des informations en bonne qualités.
Il ne faut pas ignoré que l'internet est le plus grand
réseau de la télécommunication internationale reliant des
ordinateurs à l'aide du protocole IP, il sert de support à la
transmission de nombreuses données.
Pour le Directeur de la publication : l'internet à
l'ère actuelle est indispensable d'ailleur, toute entreprise de la
communication qui a le souci d'être crédible doit ou moins se
connecter, ce qui prouve que l'internet à une grande importance dans la
vie médiatique, plus dans le traitement de l'information et la diffusion
rapide de celle-ci.
3.2. POSITION DE L'HYPOTHESE
Notre hypothèse s'est vérifiée par le
fait que :
La majorité des nos enquêtées, soit
à 100% connaissent et accordent une grande importance aux Nouvelles
Technologie de l'Information et de la Communication qu'ils définissent
de la manière suivante : c'est toutes les innovations ayant trait
au traitement de l'information et à la sauvegarde de celle-ci.
Les nouvelles technologies de l'information et de la
communication a sans contesté ont révolutionné le travail
quotidien dans la presse écrite congolaise, Cela est maintenant
vérifié puis que cette dernière est devenue un outil
fondamental dans la recherche et dans la diffusion des informations. Le
journaliste sans cesse enquête d'une information actualisée et
intéressante trouve dans l'internet un moyen d'y accéder en un
temps record quelque soit l'endroit du monde ou l'événement a eu
lieu.
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre, nous avons eu a réalisé une
enquête auprès du journaliste de la presse le potentiel, cette
enquête nous a permis de mesurer l'importance des NTIC dans le traitement
de l'information au sein de le potentiel.
Nous avons pu comprendre que l'importance des NTIC au sein de
le potentiel est immense, plus dans le traitement, la collecte et la diffusion
rapide des informations grâce aux NTIC.
CONCLUSION GENERALE
L'importance des NTIC dans le traitement de l'information dans
une entreprise de presse le potentiel, tel est le sujet de notre travail.
Dans notre travail, nous avons utilisés les
méthodes et les théories ci-après pour atteindre notre
objectif : l'approche fonctionnaliste, cette méthode nous a
aidés à cerner le contour du rôle des NTIC dans le
processus du traitement de l'information, la théorie de l'usage.
Notre travail est divisé en trois chapitres :
Dans le premier chapitre, nous avons utilisés la
documentation. Là nous avons estimé nécessaire de traiter
les notions générales des concepts clés et du cadre
théorique de notre travail.
Le deuxième chapitre nous a donné l'occasion de
parler de l'importance des NTIC au sein de l'entreprise de presse cible qui
est le potentiel et nous avons fait la présentation du journal le
potentiel.
Le troisième chapitre nous a permis de traiter en
profondeur le thème central de notre sujet ainsi que l'enquête
menée auprès des responsables du journal le potentiel. Il ressort
que ce dernier est bien intégré dans l'utilisation des outils de
communication moderne et elles ont une importance capitale dans le
métier journalistique, grâce notamment à une utilisation
accrue de l'internet, lequel devient un média qui fait le traitement de
l'information. Quant au journaliste, il doit changer ses repères
d'autant plus les NTIC viennent l'affranchir des méthodes
traditionnelles de travail.
Bien qu'aujourd'hui, la presse écrite et le potentiel
en particulier se soient appropriés de ces nouveaux outils, puisqu'il
existe désormais une interaction, il ya toute de même une faible
proportion de la population consommatrice de ces nouvelles technologies.
Nous avons constaté que rare sont les journalistes qui
utilisent ces outils et d'autres n'ont pas encore bien assimilés les
normes techniques et les exigences liées à l'utilisation de ces
outils de communication.
A la question de savoir sur l'importance des NTIC, 70% d'entre
eux (journalistes), ont reconnu qu'ils constituent un instrument indispensable
pour des recherches dans le domaine du journalisme. Nul n'ignore que ces NTIC
ont une grande importance dans le domaine de communication grâce à
l'internet avec ses nombreux moteurs des recherches, permet également
d'avoir accès à une information mondiale, avec l'internet et ces
nouvelles technologies les réalités des autres deviennent nos
réalités.
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. LARAMEE, A. et VALLEE, B., La recherche en
communication. Elément de méthodologie, Québec,
Télé Université, 2002, p.170.
2. MUCCHELLI, A. Les sciences de l'information et de la
communication, Paris, Hachette, 2004.
3. BALLE, F., Média et société,
Paris, Montchrestien, 2005.
4. Robert. P. Dictionnaire du français
primordial, Paris, Deboeck, 1980.
5. Bonneville. L et ali, Introduction aux méthodes
de recherche en sciences de l'information et de la communication,
Québec, Gaêtan Marin, 2007.
6. ARMARND et MATTELLART M., Histoire des théories
de la communication, 3 édition, Paris, la découverte, 2004.
7. Lucien fez : La communication, éd.
PUF, « Que sais-je » ; France, 2010.
8. ALDO FALCONI, Histoire de la communication
2 ; éd. Médiaspaul, Kinshasa, 2003.
9. F.OSSAMA, les NTIC : Enjeux pour l'Afrique
subsaharienne, éd. L'Harmattan, Paris, 2001.
10. ARMAND ET MATTELART, M., Histoires des théories
de la communication, 3e édition, Paris, la
découverte, 2004.
11. BONNEVILLE, L et alii., Introduction aux
méthodes de recherche en sciences de l'information et de la
communication, Québec, Gaetan Morin, 2007.
12. D.MWEZE, Technologie de l'information et de la
communication, Paris, Karthala, 1998.
II. NOTES DE
COURS
1. MBADU, C. Initiation à la recherche scientifique,
Note de cours de G 2 sic, Université de Kinshasa, Faculté des
lettres, 2015
2. EKAMBO, D., Paradigme de la communication, Kinshasa,
IFASIC, 2004.
3. LINO PUNGI, Notes de Cours des Théories de la
Communication, G3 SIC, Facultés des Lettres et Sciences Humaines,
Université de Kinshasa, 2012.
4. MUBANGI GILBERT, Note de cours G2, Faculté des
Lettres et Sciences Humaines.
III. ARTICLES
1. LIN, C., « Looking back »,In research
journal, N04, 1996, p.574
2. HYPOLYTE KITAMBALA DWAN'ESSA : internet et
médias ; les enjeux de la formation professionnel et
académique, in cahiers congolais de communication, vol III, num.1.
3. MUBENGA LUKUNYI, Au coeur du binôme communication et
politique : réflexion sur la complémentarité
de » leurs champs ; in cahiers congolais de communication, vol
II num ; 2-3 aout -déc, 2004 (IFASIC).
4. Encyclopédie universelle, éd. Dépars,
France, S.A, 1990.
5. ZACHARIA TIEMTORE : Technologie de l'information et
de la communication : éducation et développement en Afrique,
éd. Paris, Karthala, 1998, p.61.
IV. WEBOGRAPHIE
- www.Techno-science.net,
visité le 05/01/2016.
- www.Wikipedia.com,
visité le 05/01/2016.
TABLE DES MATIERES
Epigraphe
i
DEDICACE
ii
AVANT-PROPOS
iii
REMERCIEMENT
iv
0. INTRODUCTION
GENERALE
1
0.1.
PROBLEMATIQUE
1
0.2. HYPOTHESE
2
0.3. CADRE THEORIQUE
3
0.4. INTERET DU SUJET ET CHOIX
3
0.5. DELIMITATION DU SUJET
4
0.6. METHODES ET TECHNIQUES
5
a) METHODE
5
b) TECHNIQUE
5
0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
5
CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL
7
I.1. CADRE THEORIQUE
7
I.2. LES CONCEPTS
10
1.2.1. TECHNOLOGIE
10
1.2.2.
L'information
13
1.2.3. Communication
15
1.2.4. TRAITEMENT DE L'INFORMATION
21
a) Notion de Nouvelles technologies de
l'information et de la Communication
21
b) Rôle des Nouvelles Technologies de
l'Information et de la Communication
22
c) Internet
24
1.2.5. Presse
27
CONCLUSION PARTIELLE
28
SECTION I : L'IMPORTANCE DES NTIC DANS LE
TRAITEMENT DE L'INFORMATION
29
SECTION II. BREVE PRESENTATION DU JOURNAL
« Le Potentiel »
35
I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE
35
I.2. FICHE SIGNALITIQUE
35
I.3. HISTORIQUE
36
I.4.STRUCTURE ORGANIQUE ET FONCIONNELLE
38
I.5. Evolution du journal
39
CONCLUSION PARTIELLE
40
CHAPITRE III : L'ENQUETTE SUR L'IMPORTANCE DES
NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION AU SEIN DE
L'ENTREPRISE DE PRESSE LE POTENTIEL
41
3.1. Rappel méthodologique
41
a. Les
préliminaires
41
b. La
détermination de la méthode
42
c.
Interprétation de l'enquête
42
d. Questionnaire
d'enquête
42
CONCLUSION PARTIELLE
51
CONCLUSION GENERALE
52
BIBLIOGRAPHIE
54
I. OUVRAGES
54
II. NOTES DE COURS
55
III. ARTICLES
55
IV. WEBOGRAPHIE
56
TABLE DES MATIERES
57
* 1 MBADU, C. Initiation
à la recherche scientifique, Note de cours de G 2 sic, Université
de Kinshasa, Faculté des lettres, 2015.
* 2 MUCCHELLI, A. Les Sciences
de l'Information et de la Communication, Paris, Hachette, 2004. P.54
* 3 BALLE, F., Media et
Société, Paris, Montchrestien, 2005, p.24
* 4 Ibidem
* 5 Robert. P. Dictionnaire
du Français primordial, Paris, 1980. p.538
* 6 Bonneville. L et Ali,
Introduction aux Méthodes de Recherche en Sciences de l'Information et
de la Communication, Québec, Gaêtan marin, 2007, p.54
* 7 ARMAND et MATTELLART M.,
Histoire des Théories de la Communication, 3 édition, Paris, la
Découverte, 2004, p.123
* 8 LIN, C., « Looking
back »,In research journal, N04, 1996, p.574.
* 9 EKAMBO, D., Paradigme de la
Communication, Kinshasa, IFASIC, 2004, p.24
* 10 LARAMEE, A. et VALLEE, B.,
La recherche en communication. Elément de méthodologie,
Québec, Télé Université, 2002, p.170.
* 11 Ibidem.
* 12 MUBANGI, B ., Notes
de cours d'infocom, G2 S.I.C, F.L.S.H, UNIKIN, 2013-2014, p.73-74.
* 13 Ibidem, p. 9.
* 14 WILLET, G., La
communication modélisée. Concepts, modèles,
Caractéristiques et limites, Ottawa, Renouveau Pédagogique, 1992,
p.472.
* 15Idem.
* 16 LIN, C.,
« Looking back », in research journal, N04,
1996, p.574.
* 17 www. Techno-science. Net,
visité le 05/01/2016.
* 18 www. Wikipedia.com
visité le 05/01/2016.
* 19 HYPOLYTE KITAMBALA,
« Internet et Médias » ; Les enjeux de la formation
professionnel et académique, in Cahiers Congolais de Communication, vol
III, num1, 2004.
* 20 Ibidem
* 21 Encarta, 2007
* 22 Lucien Fez, La
communication : que je sais-je, Paris, Ed Puf, 2010, p6.
* 23 Encyclopédie
universelle, éd. Dépars, Paris, S.A, 1990, p.208.
* 24 MUBENGA LUKUNYI,
« Au coeur du binôme communication et politique »;
réflexion sur la complémentarité de leurs champs ; in
cahiers congolais de communication, vol II, num 2-3,2004, p32-44.
* 25 HYPPOLYTES KITAMBALA 2004,
op.cit.
* 26 F.OSSAMA, les NTIC :
Enjeux pour l'Afrique subsaharienne, Harmattan, Paris, 2001, p 119.
* 27 F. OSSAMA, op.cit. p
26.
* 28 ALDO FALCONI,
Histoire de la Communication 2, Mediaspaul, Kinshasa, 2003, p179.
* 29 ZACHARIA, T.,
Technologie de l'Information et de la Communication :
éducation et développement en Afrique, Paris, Harmattan, 2003.
* 30 W. Zacharie, op.cit,page
12
Lucien Fez : op.cit., page 4.
* 31MUBANGI, G., Information et
communication, Note de cours G2sic, Unikin, Flsh, 2013.
* 32 MIPERENG, J., Presse et
histoire du Congo-Kinshasa, le discours de la presse et son rôle dans le
processus de démocratisation (1990-1995), Paris, Harmattan, Sept2014,
p142.
* 33 D. MWEZE
CHIRHULWIRENKINGI ; Technologie de l'Information et de la Communication,
Paris, Karthala, 1998, p.61.
* 34 D. MWEZE
CHIRHULWIRENKINGI op, cit, p.63
* 35 Idem
* 36 D. Anet, web et
dirigeants, p.25.
* 37 FRANÇOIS
OSSAMA : op.cit, p119.
* 38 Jerry M'PERNG d jeri, op
cit ,P 17
* 39ARMAND ET MATTELART, M.,
Histoires des Théories de la Communication, 3ème
édition, Paris, La découverte, 2004, p.123
|