L'inapplicabilité de la politique publique congolaise et son incidence sur la gestion des immondices dans la ville de Likasi (cas de la commune de Kikula)( Télécharger le fichier original )par Loyde NKONGOLO-MWAMBA KIZEMBE UNIVERSITE BIOSADEC LIKASI - Licence 2015 |
3.2. LES RETOMBES D'INGERENCE DES IMMONDICES3.2.1. Dans les voies routièresOn constate toute sorte des nuisances (olfactives et visuelles) tels que : Destruction des réseaux d'assainissement et dégradation de la voirie parce que les déchets sont évacués dans des maisons que pour les jeter dans la voie publique et dans les caniveaux. 3.2.2. Dans les installations sanitairesLa création des dépotoirs sauvages éparpillées anarchiquement dans le tissu urbain, des maintenant les déchets dans les hôpitaux, centre médicaux et pharmacies n'ont pas gérés dans ladite commune les uns se débrouillent eux même les évacués aux enceinte de ces derniers, c'est surtout l'auto-gérance qui permet à ce que les dépotoirs sauvages puissent accroitre 3.2.3. Les réseaux hospitaliersLa population de la ville de Likasi en général et en particulier la population de la commune de Kikula n'ont pas une bonne culture de la gestion des déchets, le constat fait ce que cette population ne trie pas ses immondices ne l'évacue de son domicile que pour le jeter sur les places publiques dans les parcs et auteurs espaces verts, sur la voie publique dans des caniveaux et dans le cours d'eau. Maintenant comme conséquence de cet effet. Enlaidissement du paysage urbain, et création des gites des nuisances de toutes sortes observée dans la dite ville (olfactives et visuelles). 3.2.4. Les milieux scolaires et domestiquesSuite à la campagne de masse financée par la vision mondiale, beaucoup d'écoles sont sensibilisées à tenir compte de l'assainissement du milieu et de la propreté contre les maladies de mains sales, c'est ainsi qu'ils évacuent de ces écoles que pour les jeter aux dépotoirs de transit anciens qi ne sont pas encore évacués. La création de petits dépôts clandestins dans cette zone a donné de complication pourtant, certains ménages s'entretient avec les personnes qui ont des troubles mentales qui sont devenus des transporteurs de déchets des domiciles vers les dépôts sauvages. Certains autres se créent des ordures dans leur propres parcelles, c'est à ce qui a fait que beaucoup de maladie (épidémies) cholera, fièvre typhoïde, malaria et autres puisent persister dans la population. 3.2.5. Le comportement de la populationComme dans toutes les villes des pays pauvres en général la ville de Likasi en particulier la commune de Kikula n'a pas une bonne culture de la gestion des immondices. En effet, le constat fait et que cette population ne trie pas ses immondices, ne l'évacue de son domicile que pour le jeter sur la voie publique, sur les places publiques, dans les parcs et autres espaces verts, dans les caniveaux et dans les cours d'eaux.49(*) * 49 Rapport gestion des immondices 2014, Mairie de Likasi |
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