REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU
CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET
UNIVERSITAIRE
UNIVERSITE BIOSADEC- LIKASI
LICENCE - MASTER - DOCTORAT
FACULTE DES SCIENCES SOCIALES
POLITIQUES
ET ADMNISTRATIVES
DEPARTEMENT DE SCIENCES POLITIQUES ET
ADMINISTRATIVES
L'INAPPLICABILITE DE LA POLITIQUE PUBLIQUE CONGOLAISE
ET SON INCIDENCE SUR LA GESTION DES IMMONDICES DANS LA VILLE DE LIKASI
(Cas de la commune de Kikula)
Par : NKONGOLO MWAMBA KIZEMBE Loyde
Mémoire de fin d'études présenté
et défendu en
vue de l'obtention du grade de licencié en
Sciences politiques administratives.
Option Science administrative
OCTOBRE 2016
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU
CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET
UNIVERSITAIRE
UNIVERSITE BIOSADEC- LIKASI
LICENCE - MASTER - DOCTORAT
FACULTE DES SCIENCES SOCIALES
POLITIQUES
ET ADMNISTRATIVES
DEPARTEMENT DE SCIENCES POLITIQUES ET
ADMINISTRATIVES
L'INAPPLICABILITE DE LA POLITIQUE PUBLIQUE CONGOLAISE
ET SON INCIDENCE SUR LA GESTION DES IMMONDICES DANS LA VILLE DE LIKASI
(Cas de la commune de Kikula)
Par : NKONGOLO MWAMBA KIZEMBE Loyde
Mémoire de fin d'études
présenté et défendu en
vue de l'obtention du grade de licencié en
Sciences politiques administratives.
Option Science administrative
Directeur : MUNYUNGWA KABAMBA
Emmanuel
OCTOBRE 2016
INTRODUCTION GENERALE
1. PRESENTATION DU SUJET
Likasi a le statut de la ville depuis 1943. A notre humble
avis, seul l'hygiène publique saura la faire maintenir dans le cadre
d'une ville. L'urbanisme ne s'occupe pas seulement de l'érection des
bâtiments, la construction des routes, des ponts et autres, mais aussi du
servitude.
L'insalubrité figure parmi les problèmes de
santé publique auquel la république démocratique du Congo
en général et en particulier la ville de Likasi doit
confronter ; elle se classe également parmi les problèmes
publics que la politique publique s'occupe la propreté demeure une
préoccupation permanente mais difficilement accessible
actuellement.
D'une part, la population qui habite la ville de Likasi en
général et en particulier la commune de Kikula produit
quotidiennement et massivement les ordures de toutes sortes c'est-à-dire
(biodégradable et dégradable) mais la politique publique ne se
fait pas sentir.
D'autre part, le service d'hygiène et environnement
est inefficace et inopérant sur le terrain, ce qui conduit au cumul et
au rejet désordonné des déchets rendant le milieu
impropre et à la persistance de certaines maladies.
C'est dans ce cadre qui s'inscrit l'objet de notre travail
scientifique qui s'intitule : « L'Inapplicabilité de la
politique publique congolaise et son incidence sur la gestion des immondices
dans la ville de Likasi » (cas de la commune de
Kikula ».
2. ETAT DE LA QUESTION
N'étant pas le premier ayant traité ce sujet
mais nous nous rejoignons à d'autres travaux antérieurs
traités par nos prédécesseurs qui ont été
abordés dans d'autres aspects mais ayant des rapports étroits
avec le nôtre.
Nous pouvons citer :
1) KAYUMBA BANZE a travaillé sur : 1(*)« la
problématique de l'évaluation des ordures ménagères
au bâtiment granat » ou l'auteur est arrivé à la
conclusion suivante le système d'évacuation des ordures
ménagères dans les bâtiments granat est loin d'être
positif car les habitants manquants des connaissances exactes de types de
poubelles à utiliser selon les normes hygiénique et l'ignorance
de technique d'élimination
2) July DITEMB MUJING : « La
problématique de l'évacuation des déchets
solides » cas du marché Mzee KABILA.2(*)
3) MUKANYA TSHIBANGU : « La
problématique de traitement et évacuation des déchets
solides » (cas de l'hôpital Sendwe à Lubumbashi)3(*)
4) KASONGO ASSA AGNES : « La
problématique de traitement et évacuation des déchets
solides dans le milieu hospitaliers » cas de la polyclinique AFIA de
Lubumbashi)4(*)
5) ARSENE NKITWA HANGA, la problématique de la
gestion des ordures ménagères dans la ville de Kinshasa (Cas de
la commune de Masina).5(*)
Comme questions que nous pouvons nous poser est celle de
savoir si c'est possible de recadrer nos tires dans une même orientation
qu'eux, ou il nous faut avoir une autre voie à suivre mais abordant dans
un même ordre d'idée que nos
prédécesseurs ?
3. OBJET DE RECHERCHE
La ville de Likasi étant une ville belle selon sa
position géographique, aussi selon son emplacement qui faisait la
beauté de peuple Likasiens et leur joie.Ayant constaté
après la période coloniale la détérioration en
cascade de ladite ville jusqu'à la nouvelle reconstruction qui commence
à s'énoncer.
En soit notre objet de recherche basé sur le
problème qui surgit de l'inaperçu d'application de la politique
publique, sue la gestion des immondices, alors nous voulons savoir est-il le
problème politique, économique, social psychologique ou
physiologique ?
Comme nous l'avons déjà dit notre objet se
situe sur la cause majeure de cette politique publique inappliquée sur
la gestion des immondices dans la commune de Kikula.
En effet notre objet est de contribuer dans les mesures du
possible, au développement de la recherche scientifique au sein de notre
discipline et celui de développer notre aptitude à comprendre et
apprécier les oeuvres produites par l'administration publique.
3. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Aucune chose ne peut se faire sans intérêt
c'est-à-dire toute activité fournie doit avoir un
intérêt visé à cet effet, il nous faut des penchants
sur :
a) Intérêt
Individuel
La commune de Kikula étant une commune vaste de par
sa grandeur cet effet ce dit travail nous aidera à comprendre le vice
qui nous permettra de concilier la théorie à la pratique pour
notre connaissance dans la vie.
b) Intérêt
Social
A travers ce travail toute population ou tout peuple de la
commune de Kikula qui aura l'accès sur ce dit travail découvrira
son droit et en savoir comment le réclamer et comprendra
l'utilité et la mission de la politique publique au regard de ses
attributions.
c) Intérêt
Scientifique
Ce travail est une nouvelle pierre à la
contribution de l'édifice scientifique c'est-à-dire est une
contribution à l'analyse de politique publique nous voulons juste
ajouter sur ce que nos prédécesseurs ont déjà dit.
4. PROBLEMATIQUE ET
HYPOTHESE
a) Problématique
· Selon l'assistant Mukeba dans son cour d'initiation
à la recherche scientifique, il définit la problématique
comme étant une série de questions que le chercheur se pose sur
l'objet de sa recherche.6(*)
· D'après WENU BECKER, les
problématiques sont des préoccupations que le chercheur se pose
sur l'objet de recherche.7(*)
· De notre part la problématique est une
étape ou le chercheur montre les questions qu'il se pose auxquelles il
va répondre. Les questions ci-après constituent l'objet de notre
préoccupation primordiale :
1) Est-ce qu'il existe des secteurs de conservation des
immondices à Kikula ?
2) Quelles sont les causes majeurs d'ingérence des
immondices à la dite commune ?
3) La gestion de déchets est-il un problème
public ?
b) Hypothèse
Selon l'assistant MUKEBA l'hypothèse d'un travail
scientifique est la réponse provisoire que le chercheur donne à
la questions qu'il s'est posé dans la problématique qui sera
confirmée ou infirmée dans la conclusion à l'issue de sa
recherche.8(*)
D'après les deux professeurs WENU BECKER et NDAY WA
MANDE MASCOCH, l'hypothèse est la réponse provisoire qu'un
chercheur se donne avant la descente su terrain toutes fois ses réponses
seront confirmées ou infirmées après la descente sur
terrain ou encore l'hypothèse est une réponse supposée
dont la recherche a pour but de vérifier le bien-fondé ou le mal
fondé.
Nous tenons de répondre par ces
hypothèses :
- La population de la commune de Kikula se crée des
poubelles non autorisées sans tenir compte des conséquences qui
s'en interposent.
- Les causes majeures d'ingérence des immondices
reposent sur les moyens financiers et manquent d'association des personnes du
domaine
- La gestion de déchets est un cas social qui
préoccupe dans les pays en développement.
5 . METHODES ET
TECHNIQUES
5.1. METHODE
La méthode est considérée comme
l'ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline
cherche à atteindre la vérité qu'elle poursuit, 9(*)
Nous avons optés pour la méthode
systémique, qui est mise à jour par deux (2) savants PARSON dans
son ouvrage « le system des sociétés
moderne » publié en 1971 et DAVID EASTON dans son ouvrage
« un système analyse of political life » en 1974
dans les travaux de PARSONS un système social est conçu comme un
agrégat de fonction diversifiée celles-ci sont
principalement :
a) Le maintien du modèle original et
spécifique de relations qui assurent l'identité du groupe
b) La capacité d'adaptation au contact
émanant de l'environnement extérieur
c) La capacité d'adaptation au contact
émanant de l'environnement de l'ensemble du groupe
d) Le maintien de l'intégration social dont le
consensus
Chacun d'elle de ces fonctions est assurée de
façon privilégiée par une fraction
déterminée du groupe : le maintien du modèle par les
structures familières l'adaptation aux contraintes extérieures
par les rouages économiques, la capacité d'adaptation.
Quand la réponse à la demande n'est pas
satisfaisante il y a réaction (feed back), demande = emprunt,
réponse = out put (3)
· La méthode systémique consiste pour
le chercheur à observer les phénomènes, mais en tenant
compte ou en insistant essentiellement sur les phénomènes, mais
en tenant compte ou en insistant essentiellement sur les interactions entre les
éléments du système ou d'un système.10(*)
5.2. TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES
Selon l'assistant MUKEBA, les techniques sont des
procédés opératoires rigoureux bien définis
susceptibles d'être appliquée à nouveau dans les
mêmes conditions adoptées ou même genre de problèmes.
11(*)
5.2.1. Observation Libre
Celle qui est faite sans plan d'observation,
précis, utilisée soit pour comprendre un sujet, soit pour
comprendre une situation dans sa complexité.
5.2.2. Technique
Documentaire
Nous avons optés pour la technique dite
documentaire qui nous a aidé à récolter les
données pour la constitution de banques de donnée en lisant les
livres, les rapports, les dictionnaires ...
Bref, le support de la récolte de donner se trouve
les documents écrits.
5.2.3. Interview
La technique d'interview qui a consisté à
récolter également les données en procédant par les
enquêtes sous forme d'entretien ou sous forme de distribution des
questionnaires.
6. DELIMITATION DU
SUJET
Un travail scientifique doit être limité dans
le temps et dans l'espace.
6.1. Délimitation
Temporelle
Dans le temps ce travail se propose de relever les effets
de la gestion de déchets depuis l'année 2013-2016.
6.2. Délimitation
spatiale
Les effets, les résultats de cette gestion dans la
ville de Likasi précisément dans la commune de Kikula.
N.B : Toutefois nous
pouvons sortir de ce cadre si les recherches nous obligent.
7. SUBDIVISION DU
TRAVAIL
Hormis l'introduction générale et la
conclusion générale, notre travail se subdivise en trois
chapitres :
- Le primer chapitre traite sur la
généralité
- Le deuxième chapitre traite sur la
présentation de cadre d'étude
- Le troisième chapitre qui est le dernier porte
sur l'inapplicabilité de politique publique et son incidence sur la
gestion des immondices à Kikula.
8. THEORIE DE REFERENCE
Chaque investigateur est sensé de se
référé à une théorie pour le
prédécesseur de son choix, mais la théorie ayant des
mêmes traits avec son travail.
De notre part nous avons abordé la théorie
systémique invoquée par H. FAYOL12(*) et qui nous a aidé à analyser les
phénomènes de la gestion des immondices, d'observer en
matière de politique publique en fin de proposer une piste de
solution13(*)
CHAPITRE I :
GENERALITES
SECTION I : DEFINITION
DES CONCEPTS DE BASE
Avant de pénétrer les réalités
foncières de ce sujet il nous semble important de nous fixer sur les
concepts de base de cette étude afin de créer d'import à
un cadre théorique de référence et de faciliter l'autre
part la compréhension de référence et de faciliter l'autre
part la compréhension du contexte et à éviter le
malentendu entre nos lecteurs.
Les concepts qui constituent notre travail sont entre
autre :
- L'inapplicabilité
- Politique
- Incidence
- Gestion
- Immondice
- Ville
- Commune
1.1.1.
L'inapplicabilité
Ce qui ne doit pas être appliquée, qui n'a
pas été appliquée.14(*)
1.1.2. Politique
Ce terme politique vient étymologiquement du
grec : polis = cite, état, logos = science ou étude. La
politique est une science qui étudie la cité ou l'état ou
se trouve les institutions, les organes, la force sociale ainsi les
associations. 15(*)
Aristote a défini la politique comme étant
l'art de gouverner un état.16(*)
Selon le professeur MULUMBATI NGASHA, il définit la
politique comme l'art de mentir, parce qu'on y utilise la ruse, le camouflage
et la démagogie.
D'après MUNGA KITENGE la politique est
considérée comme une activité réservé
à une catégorie des personnes là on parle des
opérateurs politiques17(*).
De notre part, la politique est l'ensemble
d'éléments qui participent aux pouvoirs politiques.
1.1.3. Public (que)
Est un terme utilisé abusivement parfois
correctement explique ce qui concerne la population, le peuple ou personne ne
peut s'en approprier. Public peut être encore un semble des personnes,
rassemblées pour un avènement.18(*)
Selon Parson le publics par rapport au secteur, par
rapport au service, par rapport au statut social, on peut catégoriser
cela en 3 classes public lettre, public, riche, et enfin public
analphabète.19(*)
Selon le dictionnaire Larousse illustrée, le public
se définie comme :
· Qui concerne la collectivité dans son
ensemble ;
· Relatif au gouvernement et à
l'administration d'un pays ;
· Qui est à l'usage de tous, accessible
à tous ;
· Ensemble de personnes réunies dans une salle
qui voient un spectacle ;
· Antonyme : privé.
1.1.4. Incidence :
Conséquence plus ou moins direct de quelque chose.
1.1.5. Gestion : Action ou
manière de gérer, d'administrer, de diriger, ou d'organiser
quelque chose.20(*)
1.1.6. Immondice : (du
latin immondutia) chose sale ou impure, ordure ménagère ou
déchets de toutes sortes.
1.1.7. Ville : Selon le
professeur OBOTELA LINGULE, la ville peut être appréhendée
comme une agglomération infrastructurelle et super structurelle qui
s'identifie par les diverses activités accomplis par les groupes sociaux
en présence.21(*)
Le dictionnaire micro robert définit la ville comme
étant un milieu géographique et social formé une
réunion importante de construction et dont les habitants travaillent
pour la plupart l'intérieur de l'agglomération.22(*) C'est encore l'administration,
la personne morale ou une municipalité. C'est toute agglomération
d'au moins 100.000 habitants disposant des équipements collectifs et des
infrastructures économiques et sociales à laquelle un
décret du premier ministre aura conféré le statut de la
ville.23(*)
1.1.8. Commune : (du latin
communia, chose communes)
Collectivité territoriale administrée
par un maire assisté par un conseil municipal.24(*)
SECTION II : CADRE
THEORIQUE
1.2.1 NOTION SUR LA POLITIQUE
PUBLIQUE
a) Définition
Autorité politique en face de la hiérarchie
centrale c'est une autorité publique, mais lorsqu'il se met à
résoudre le problème face à la population.
La politique publique : est défini par
LAURENCE J. HEROSON, comme étant ce que fait et ce que ne fait pas
l'Etat.25(*)
Selon Yves MENY et JC THOENING après avoir
précisé que la politique publique est un espace
géographique d'action gouvernementale dans un secteur de
société ou dans un espace géographique détermine
dégage ensuite le trait qui caractérise une politique publique
selon eux que toute politique publique doit avoir :
- Un contenu principalement constitué des
ressources à mobilisées et des résultats ou des produits
que ces ressources génèrent.26(*)
- De notre part la politique publique est la
réponse trouvée à un problème public,
bénéfique à la population.
b) Elaboration des
problèmes publics
b.1) Rôle de la
politique publique
La politique publique joue un grand rôle dans
l'administration publique, celui d'élaborer le problème. Elaborer
veut dire, formuler ou donner la formule à une situation avec l'objectif
d'améliorer ou de changer.27(*)
Plus concrètement, élaborer une politique
publique c'est mettre sur pied une organisation, un cadre de concertation, dans
un domaine donné de la vie en vue d'atteindre les objectifs
escomptés cependant il faut noter que toute politique publique est
toute élaboration de politique publique est soumise à un principe
directeur. Ce principe directeur constitue ce qu'on appelle les étapes
par lesquelles passe l'élaboration de politique publique ; à
savoir : émergence des problèmes publics, identification des
problèmes publics et l'inscription de problèmes publics sur
l'agenda.
v EMERGENCE DES
PROBLEMES PUBLIQUE
Les problèmes qui surgissent dans des
entités politiques deviennent publics lorsque, les groupes
d'intérêt des différents représentants s'en saisis
s'en font une interprétation et interpellent les autorités
publiques pour leur satisfaction éventuelles, c'est-à-dire pour
la solution de problème public, il faut noter que le problème
public est provoqué par les évènements qui intervient dans
la communauté.
Le problème devient public lorsqu'il est pris en
charge par les représentants de la population (groupe
d'intérêt) ce qui dépose le dépose auprès de
l'autorité publique.28(*)
L'émergence peut se présenter sous plusieurs
variables dont :
L'émergence captée, l'émergence
progressive et par canaux multiples, l'émergence instantanée, et
l'émergence par activation automatique.
b.2) Les objectifs
poursuivis
La politique publique est une discipline qui vient
enrichir les sciences politiques d'une nouvelle spécialité. Cette
discipline affiche la présentation d'élargir la connaissance de
la société d'observer les phénomènes qui avaient
été regrettablement d'élément. Cette discipline
intéresse en premier lieu surtout les politistes (spécialiste en
politique publique) qui rejoint les praticiens du secteur public, concernant
les objectifs de la politique publique et que le gouvernement s'engage à
traiter les actions gouvernementales.
b.3) Identification des
problèmes publics
L'identification de problème publique est une
étape de la politique publique qui consiste à découvrir si
les problèmes existent réellement, s'ils existent il faut alors
le définir.
La définition d'un problème public consiste
à dire en quoi ce problème est problème,
c'est-à-dire cerner les formes dans lesquels le problème est
posé, cerner le problème public c'est l'appréhender, c'est
problème aussi correctement que possible, c'est connaitre, sa nature sa
dimension, son ampleur : définir un problème public c'est en
fin apprécier des différents demandes politiques qu'il
sous-entend. Exemple révoltes.
Mais une question se pose celle de savoir comment saisir
le problème public tel qu'il s'est posé où tel qu'il est
posé réellement ?
Ces deux questions nous amènent à deux
attitudes à prendre devant la définition ou l'identification de
problème public :
A) Saisir le
problème tel qu'il est posé :
- Le niveau d'instruction de celui qui pose le
problème
- L'idéologie
- L'opinion publique
- L'origine sociologique
- Etudes faites, peut conduire à une mauvaise
formulation d'un problème public et rendre l'autorité publique
incapable de résoudre un problème public.
B) Saisir le
problème tel qu'il est posé :
L'autorité public peut saisir le problème et
prendre les mesures qui s'imposent dans une situation sont à
noter :
- Les mesures prises vont rencontrer l'aspiration de la
population
- Les mesures prises ne vont pas rencontrer l'aspiration
de la population, parce que le problème est mal formulé par
l'autorité ? C'est ainsi en matière de politique il y a
c'est qu'on appelle « télescopage » entre les
autorités publiques et la population c'est-à-dire il y a
l'incertitude entre les politiques publiques, résolutions de
problèmes publiques.
C) L'incertitude de
politique publique
Il est vrai que certains nombre d'incertitudes existent
entre les autorités publiques et la population au sujet de la
réalisation de politique publique.
Ces incertitudes, peuvent se manifester sous la forme
ci-après :
- Si certaines composantes ne posent pas leurs
problèmes aux autorités publiques parce qu'il redoute les combats
à livrer pour accepter leurs problèmes par et auprès de
l'autorité publique
- Les élus du peuple traditionnellement comme des
canaux par lesquels passent les problèmes publics, peuvent à
leurs tours sélectionner les problèmes publics et
présenter que ce que ceux, juge très important de façon
que l'autorité qui va résoudre le problème que les
élus jugent bon.
Exemples : Les actes de banditisme, la corruption, la
prostitution, la destruction des patrimoines de l'Etat, peuvent être des
symptômes pour les problèmes sérieux qui existent.
Enfin de compte nous signalons que l'impact du
système sur la réalisation de politique publique cause aussi
l'incertitude entre la population est l'autorité.
SECTION III : LA
MISSION DE L'ADMINISTRATION PUBLIQUE ET LA GESTION DES IMMONDICES
Les missions de l'administration publique sont toutes
tache que l'état est appelé de remplir sur la population. Comme
la gestion des immondices c'est un cas qui se classe parmi les taches que
l'administration publique s'occupe qui se cadre à la mission sociale,
il s'avère possible de l'étudier.
1.2.1 Les services
compétant pour la gestion des immondices
Les sociétés humaines créent les
espaces en fonction de normes, d'intention, de possibilités. Ces espaces
sont notamment ceux de la ville de campagnes. Ces espaces humaines sont
définis par trois caractéristiques essentielles ; leur
polarisation, leur dimensionnement et leur organisation. Pour satisfaire
à ses besoins la société humaine doit produire et doit
consommer des biens. La consommation de ces biens pose un problème de la
gestion des déchets.
En effet, les déchets urbains posent un
problème environnemental très préoccupant pour les pays en
développement. Dans certaines capitales africaines, notamment la ville
de Kinshasa, moins de 30% de déchets sont évacués.
Comme il était dit au sommet de la terre de
Johannesburg qu'il faut mettre la santé et le bienêtre social au
coeur du processus du développement durable, la gestion des
déchets en générale dans la ville de Likasi et en
particulier dans la commune de Kikula doit être la préoccupation
principale de toute la population sans distinction.
Tout le monde est conscient que l'enlèvement des
ordures domestiques est perçu comme le plus
« municipal » des services urbains et que tout responsable
local joue une partie de sa crédibilité sur les résultats
qu'il obtient dans ce domaine. Pourtant, avec la croissance urbaine rapide, l'organisation et le financement de la gestion des
immondices sont des équations des plus en plus difficile à
résoudre pour la municipalité. Mais comment est-ce que la ville
de Likasi s'organise -t-elle pour résoudre ce problème,
étant donné la précarité de son budget et le
contexte de l'environnement socio-économique et
épidémiologique dans lequel se trouve plongée sa
pollution, elle organise les services qui sont les commissions chargées
de la gestion des immondices tel que : brigade urbain de salubrité
(BUS), sous-commission technique urbaine de salubrité (STUS) etc.
1.2.2 Les moyens d'action
La commission urbaine de salubrité (CUS) de la
ville de Likasi dispose des différents ressources (moyens) qui lui
permet de mener tant soit peu sa politique de gestion des déchets de la
municipalité. Ces ressources sont de trois types à savoir :
les ressources humaines, matérielles et financières.
- Ressources
humaines :
La ville de Likasi dispose une brigade urbaine de
salubrité de 122 agents répartis comme suit :
· 45 cantonniers,
· 65 mamans Tengeneza
· 12 chauffeurs
- Ressources
matérielles :
La ville de Likasi dispose des matérielles
opérations suivantes qu'elle met à la disposition de la gestion
des déchets ménagers.
Il s'agit de :
Tableau 1 : Classement des
ressources matérielles
MATERIEL
|
NOMBRE
|
CONSOMMATION PROBABLE
|
Tractopelle
|
1
|
20 litres par heures machine
|
Chargeuse
|
1
|
25 litres par heure machine
|
Camion benne Tata
|
4
|
25 litres aux 100 Km
|
Camionnettes poubelles
|
2
|
14 litres aux 60 Km
|
Camion vidangeurs
|
2
|
20 litres par heure machine
|
Source secrétariat de la mairie de
Likasi
- Ressources
financières
Jadis la gestion des immondices fonctionnait à
travers la contribution volontaire et concertée toutes les parties
prenantes de cette organisation telle qu'arrêtées dans la loi
locale créant la commission urbain de salubrité avec le temps
elle disposait une taxe officielle et légale dénommée
« Taxe assainissement, enlèvement des immondices et ordures
ménagères » qui n'a pas été payé
suffisamment et qui a causé le disfonctionnement de toutes les
commissions pour la dite gestion.
1.2.3 Les secteurs de
conservation des immondices
Le secteur de regroupement des immondices est situé
dans la tissue urbaine viable et très accessible au camion benne c'est
dans ces espaces que sont situés les points de regroupements et de
transfert de déchets appelés dépotoirs de transit.
Tableau 2 :
Répartition des dépotoirs de transit à Kikula
COMMUNE
|
QUARTIER
|
DEPOTOIRS DE TRANSIT
|
Kikula
|
Musumba
|
Terrain Museba
|
Kalipopo
|
Gareganze
|
Terrain Binamet
|
Kampemba
|
Saint Kizito
|
Okito
|
Laïc
|
Kyubo
|
I.S.P.T
|
Kibangu
|
Nkolomoni
|
E. Lwanga
|
Kaponona
|
Tshatshi
|
Kanona
|
Stade Mwanangwa
|
Il est à noter que dans la ville de Likasi, il y a
un seul dépotoir définitif qui se trouve sur la route
Kolwezi.
1.2.4 Elaboration des
problèmes publics sur la gestion des immondices
A Likasi nous avons toutes sortes des
déchets : solides, liquides, gazeux et organique. Mais ces types
des déchets peuvent être regroupés en trois grandes
catégories : les déchets miniers, les déchets
industriels et les déchets domestiques.29(*)
a) La gestion des
déchets miniers
Sont constitués des scories, des poussières,
des eaux de lavage de minerais, des affluents acides des fumées
chargées des particules etc. mais heureusement dans la commune de Kikula
il n'y a pas des entreprise minières qui peuvent produire ces genres des
déchets.
b) La gestion des
déchets industriels
Les déchets industriels sont constitués de
la ferraille, des débris métalliques, des débris de bois,
issus des scieries et ateliers de menuiseries, des fumées, etc.
La gestion des immondices industrielles dans la commune de
Kikula ne sont pas gérer d'autant plus que la culture de la gestion des
immondices qui n'est pas dans la population de ladite commune et l'inconscience
collective persiste.
c) La gestion des
déchets domestique
Les déchets domestiques sont ceux qui comprennent
les déjections, les restes d'aliments les eaux de lavage les emballages
divers les rester d'habits etc.
SECTION IV. : NOTION
SUR LES TRAVAUX PUBLICS
1.4.1 DEFINITION
La notion sur les travaux publics est en
réalité doublée. L'expression travail public
désigne d'abord l'opération de construction, d'entretien ou
travail d'aménagement, mais elle peut aussi designer le résultat
de ce travail, c'est-à-dire l'ouvrage lui-même.
Le travail publique en tant qu'opération,
rappellent l'idée d'une oeuvre à réaliser ou une oeuvre
réalisée. Ce qui signifie que celle-ci comprend des
éléments qui peuvent être fixés ou variables qu'il
faudra saisir.
1.4.1.1 Opération de
construction d'entretien ou travail d'aménagement
Le travail public est un travail immobilisé,
réalisé :30(*)
Soit pour le compte d'une personne publique dans le but
d'intérêt général, même s'il n'est pas un
service public ;
Soit par une personne publique dans le but d'un service
public, même pour le compte d'une personne privée.
Mais dans les deux cas, il faut que les travaux en cause
correspondant à la fin d'intérêt général et
qu'ils comportent à un titre ou à un autre, l'intervention d'une
personne publique.
Le deuxième volet de la définition telle
qu'est présentée ci-haut tire son origine après la fin de
la seconde guerre mondiale, où le législateur avait situé
Des associations syndicales de reconstruction ayant les statuts
d'établissement publics. Il leur avait été confié
la mission des faire exécuter les travaux de construction pour le compte
de leurs membres où étaient aussi bien des collectivités
politique que les particuliers.
Ces travaux exécutés par les personnes
morales de droit public mais au profit des personnes privées, pourraient
connaitre les caractères des travaux publics, ils ont dû
considérer que les travaux en cause même avait pour
bénéficiaires des personnes privées ont été
par exécution de travaux publics, par ce qu'il réalisé
par une personne publique dans le cadre de sa mission du service
public.
Il convient de noter par ailleurs que jusqu'à la
seconde guère mondiales, l'administration publique réalisait des
travaux elle-même et les particuliers intervenaient comme entrepreneur. A
partir de cette date les rôles furent intervertis : l'administration
publique intervenait en qualité d'entrepreneur au profit du particulier
en vue d'un but de service public.31(*)
1.4.1.2 L'ouvrage
public
a) Définition
L'ouvrage public est aussi un bien immobilier ou une
installation incorporée dans un bien immobilier affecté à
la satisfaction de l'intérêt général. Dans le
domaine des droits, trois conditions doivent être remplies pour
définir un ouvrage public :
- Il doit s'agir d'un immeuble
- Il doit faire l'objet d'un travail humain
- Il doit être affecté à
l'intérêt général ou à une mission de service
public.
Un ouvrage public doit être le résultat d'un
travail de l'homme et non de la nature. Exemple une autoroute, un barrage
d'un central électrique par ailleurs ils ne peuvent pas être de
tels ouvrages quel que soit leur importance, les biens qui n'ont pas
été aménagé par une intervention humaine et sont
restés dans leur étant naturel.
Ex. le couloir aérien qui permet aux avions de
faire leur manoeuvre d'approche et d'éloignement.
b) Le travail humain
Peuvent être des ouvrages publics, tant que biens
immobiliers, que les installations incorporés dans de tels
biens.
Ex. Les escaliers roulants
a) L'affection
à l'intérêt général
Un ouvrage ne peut avoir un caractère public que
s'il est affecté à l'intérêt général
qu'il s'agisse de l'affectation à l'usage direct du public ou au besoin
d'un service public. Un ouvrage public procède d'un travail ayant en
lui-même le caractère d'un travail public. Il est une
dépendance du domaine public, il est enfin la propriété
d'une personne publiques. Mais sur chacun de ces trois points il peut en aller
autrement.
1.4.2 OUVRAGE PUBLIC ET LES
NOTIONS CONNEXES
1.4.2.1 Ouvrage public et
travail public
L'ouvrage public est le résultat d'opération
d'un travail public de même que le plus souvent les travaux publics sont
affectés sur les biens qi ont la qualité d'ouvrage
public.
Mais les liaisons entre l'ouvrage public et travail public
ne sont pas absolues, la dissociation est possible dans tous les sens.
Il peut y avoir un travail public indépendant de
l'existence de préalable ou de la construction d'un ouvrage public. En
sens inverse ; l'existence d'un ouvrage public peut ne pas procéder
d'un travail public.
Exemple : L'acquisition d'un immeuble affecté
à un service d'intérêt général.
1.4.2.2 Ouvrages publics
et domaine public
Si on se limite à la considération des
dépendances immobilières du domaine artificiel, on constate une
large correspondance entre l'appartenance d'un bien ou domaine public et son
caractère d'ouvrage public.
La condition commune d'affectation à
l'utilité publique est satisfaite. Etant donnée la conception
très extensible d'aménagement spécial requis pour
l'incorporation d'un bien immobilier du domaine public artificiel, les ouvrages
publics satisfaisants aisément dans le plus part des cas à
l'existence d'untel aménagement.
En conséquence des nombreux biens immobiliers vont
bénéficiers tant de la protection que leur assure à titre
de la domanialité publique, « le principe
d'inaliénabilité » que des celle que peut leur procurer
parce qu'ils sont aussi ouvrages publics « principe
d'intangibilité » de ces ouvrages.
Il reste bien que la dissociation d'ouvrage public et
domaine public soit possible. La notion d'ouvrage public peut être plus
étroite soit plus large : elle est plus étroite dans la
mesure où le domaine public comprend les dépendances naturelles,
dans la mesure enfin où le caractère d'ouvrage public l'est pas
lié à l'existence d'un aménagement spécial
appropriant l'immeuble à la destination.
Elle n'est pas large du fait que certaines
dépendances du domaine privé sont des ouvrages public.32(*)
1.4.2.3 Ouvrage public et
propriété publique
Les ouvrages publics appartiennent normalement à
des personnes publiques, mais ils ne leurs appartiennent pas
nécessairement :
Ils peuvent aussi être la propriété de
la société ayant des liens particuliers avec l'administration
publique, tout comme ils peuvent également appartenir à des
simples particuliers.
1.4.3 PRINCIPE D'INTANGIBILITE
DE L'OUVRAGE PUBLIC
1.4.3.1
Définition
Le principe d'intangibilité de l'ouvrage public
stipule qu'il n'appartient en aucun cas, à n'importe quelle
autorité prescrite une mesure de nature à porter atteinte sous
quelque forme que ce soit, à l'intégrité ou au
fonctionnement du principe d'intégrité ou au fonctionnement d'un
ouvrage public. L'application du principe d'intangibilité de l'ouvrage
public connait aussi quelque problème sur le plan pratique.
1.4.3.2
Réalité et porte initiale du principe
Le principe d'intangibilité en peut peux que
manifester son existence distinct dans le cas où il est seuil,
susceptible de faire échec, à la conclusion dont le juge
administratif n'a pas droits d'autoriser un particulier à porter
atteinte à un ouvrage public en vue d'y faire exécuter ses
propres travaux.
La protection de nature juridique réservée
aux ouvrages publics, fait l'appel à deux observations importantes
suivantes :
Selon une conception jurisprudentielle, le juge
administratif ne peut intervenir dans le sens de la réalisation d'un
ouvrage public comme dans celui de destruction et de son
aménagement.
1.4.4 EFFETS ATTRACTIFS DE LA
NOTION DES TRAVAUX PUBLICS
Pour effet attractif, il convient de retenir le
contentieux de travaux public issus de la réflexion comme des
différents autorités compétente ne la matière,
qu'on réussit à mettre cette matière. Pour
déterminer l'effet attractif de la notion du travail public, il est
aussi utile, si pas important de préciser le domaine de
compétence dans le règlement de ce litige.
L'effet attractif de la notion du travail public se
manifeste à des nombreux égards mais ce qui mérite plus
d'attention tient aux manifestations particulièrement remarquables de
l'effet attractif en matière de qualification étant des contrats
que des dommages.
1.4.4.1 Effets attractifs
et la qualification des contrats
Il apparait convenable de parer des travaux public sans
pour autant envisager l'aspect lié au contrat Ce dernier qui
détermine les droits et les obligations des parties, peut se
présenter sous une forme complexe ou sous forme simple.
Il est complexe lorsqu'il a pour objet l'exécution
des travaux publics. Exemple contrat qui lie la mairie à l'entreprise
Rulco pour la construction d'une route.
Par contre, un contrat est qualifié de simple
lorsque son objet est en rapport avec l'exécution de ces
travaux.
Exemple : Fourniture du sable du gravier dans le
cadre d'un contrat qui lie la mairie par exemple et une entreprise.33(*)
1.4.4.2 L'effet attractif
et qualification de dommages
L'exécution du travail public crée certains
problèmes qui se transforment en litiges dont on doit
nécessairement déterminer les responsabilités pour le
dommage.
Trois hypothèses peuvent concrétiser l'effet
attractif en rapport avec le dommage :
1. Dommage des travaux
publics
Il se rapporte à une opération du travail
public ou aux matériels utilisés pour les travaux publics
2. Dommage
assimilé aux travaux publics
C'est un dommage dont la réalisation est imputable
à l'absence d'un ouvrage public qui aurait dû exister.
3. Dommage
imputé au fonctionnement d'un service public utilisant un ouvrage
public
Autrement dit, c'est un ouvrage résultant d'un
« fait d'exploitation » ou d'un « fait de
l'ouvrage »
1.4.5 EXIGENCE DES TRAVAUX
PUBLICS
Les travaux publics ont pour exigence :
D'une manière invariable, seul le travail
immobilier peut avoir le caractère d'un travail public. Peu importe le
travail, la construction de protes chars qui est le bien mobilier, n'est pas un
travail publics, mais la tonde de pelouse dans un jardin public pour le
remplacement d'un pavé dans la chaussée d'une rue, sont des
travaux publics. Les travaux immobiliers ne sont seulement ceux qui sont
exécuté sur les biens immobiliers fixé eut sol et faisant
corps avec eux (immeuble par nature) mais aussi les travaux qui portent un
éléments d'équipement affecté au service public et
à l'exploitation d'un immeuble, ou fixes sur le fond à
perpétuel demeure (immeuble par destination) par exemple ascenseur ou un
escalier roulant.
Si par cout un travail porte sur un élément
mobilier ou déplaçable sans rupture avec un
élément immobiliers ou deplaçade sans rupture avec un
élément immobilier, il ne peut pas être un travail
public.
Le travail public réalise pour le compte d'une
personne publique. Le travail immobiliers réalisés pour le compte
d'une personne publique, dès lors qu'il est exécuté dans
le but d'utilité générale peu importe que cette personne
publique ait une activité commerciale ou industrielle, comme c'est le
cas notamment de certains établissement publics, les travaux publics
immobiliers réalisés pour leur propre compte, sont effectivement
de travaux publics. 34(*)
En outre, peu importe que les biens, objets des travaux
publique soit à la disposition d'une société
concessionnaire, s'ils sont les « biens de retour » que la
personne publique concédant repensera à l'expiration de la
concession. Ces biens sont sa propriété et les travaux portant
sur eux sont donc fit pour le compte de la personne publique.
Exemple : la construction ou l'entretien d'un barrage
dans le but de créer une source d'énergie, effectuée par
une société privée.35(*)
Conformément à la conception classique de
travaux publics, les travaux effectués pour le compte d'une personne
privée ne sont pas des travaux publics, même s'ils ont pour but la
construction d'un ouvrage destiné à être utilisé par
une personne publique. Même s'ils sont été sous la maitrise
d'oeuvre d'une personne publique.
Le travail immobilier peut être
exécuté dans le but non d'une personne publique, mais dans le but
lié à l'utilité générale. Cette
précision appelle quelques éclaircissements.36(*)
En effet, il se trouve les plus souvent que travaux
exécutés pour le compte des personnes publiques aient pour but de
leur permettre de remplir leur mission de service. C'est bien naturel parce
que les activités des personnes politiques l'exigent.
Le travail immobilier exécuté pour le compte
d'une personne privée sur les biens lui appartenant devant devenir sa
propriété est susceptible d'être un travail public, peut
n'être pas facilement admise.
Si une telle option s'est avérée
évidente à un certain moment, cela a été pour des
légitimes raisons d'opportunité, recommandant que certains
travaux soient soumis au régime des travaux publics. Mais pour qu'un tel
travail soit un travail public, il ne suffit pas qu'il ait un but
d'intérêt général, mais il faut que son
exécution corresponde à l'accomplissement d'une mission de
service public à une personne publique
Il est très important de noter et de retenir que
quel que soit l`entendement que l'on peut accorder à la notions des
travaux publics, qui est présenté dans l'opération ou bien
parce que les travaux sont fait pour son compte ou exécuté par
elle.
Il n'est pas cependant exclu qu'un travail soit fait
à la foi par et pour une personne publique ne peuvent être de
travaux publics, l'est même tout ait visuel qu'il en soit ainsi :
exemple exécution par le commune des travaux d'entretien de la voirie
communale.
Ainsi les travaux exécutés par une personne
privée et pour le compte d'une telle personne publique ne peuvent
être des travaux publics, même s'ils sont d'intérêt
général, même s'ils correspondent à
l'exécution d'une mission de service public37(*)exécution des travaux
publics.
1.4.6 EXECUTION DES TRAVAUX
PUBLICS
Les travaux publics peuvent être
exécutés en régie par le maitre d'ouvrage lui-même,
c'est-à-dire la personne publique ayant cette qualité, ils
peuvent aussi, et c'est fréquent être confiés à des
professionnels de la construction parfois, ils peuvent-être le fait de
non professionnels.
1.4.6.1 Mode
d'exécution des travaux publics
1.4.6.1.1 L'exécution en
régie
Dans la plus part des cas, les collectivités
locales surtout et notamment les communes utilisent leurs propres moyens en
personnel et en matière ou voie publique.
Ces cas le plus fréquents sont liés aux
cantonages de la mairie.
1.4.6.1.2 L'exécution
par des non professionnels
Il arrive que les travaux publics soient
exécutés par les personnes apportant à l'administration
public un concours occasionnel et bénévole, sans
préoccupation ni perspective de gain.
Ex. Cas de la vision mondiale qui construit une
école il peut aussi arriver que l'exécution de travaux publics
soient les défauts des permissionnaires n'ont pas les caractères
des travaux publics.
1.4.6.1.3 Le recours à
de professionnels
Tout ce qui est important en matière des travaux
publics qu'ils s'agissent des construire ou de démolir,
d'aménager ou d'entretenir, il est confié
généralement à des professionnels, qui peuvent être
de sociétés spécialisées dans les bâtiments
ou travaux publics.
Exemple : Swanepoel, Crec 7
Les services Publics de l'état tel que le bureau
des points est haussées au ministère des travaux publics et
infrastructures peuvent jouer le rôle de l'entreprise des travaux publics
pour le compte des entités territoriales
décentralisées.
L'intervention de ces professionnels des travaux publics
résulte de la conclusion de contrats entre lesquels il faut distinguer
selon qu'ils sont non passés par les personnes publics à
l'origine de l'exécution des travaux publics. L'exécution des
travaux par le recours à des professionnels par la signature des
contrats attribue l'ouvrage à la personne publique signataire au
contrat.
Le contrat signe entre l'état et le concessionnaire
sont qualifié de marché initiales, en ce sens que c'est par eux
que tout commence pour l'ensemble il, ils se répartissent en trois
catégories :
· Le
marché des travaux publics
Il s'agit des contrats ayant pur l'objet de confier
à un entrepreneur l'exécution des travaux publics bien
déterminés moyennant un prix déterminés (ou
convenu).
Exemple : le gouvernement qui demande à
l'entreprise BAZANO un contrat pour la construction d'un marché
à Toyota dans la ville de Likasi
· Les concessions
des travaux publics
Il s'agit d'un contrat par lequel la personne publique
recourt en matière de travaux publics par les procédés
des concessions. Ainsi devant certaines circonstances après avoir
réalisé l'ouvrage nécessaire, le concessionnaire peut
assurer l'exploitation en se rémunérant grâce à la
perception des redevances sur les usagers de l'ouvrage ou du public
concerné.
A l'expiration de la concession, l'ouvrage fera
« fera » à la personne public concédant en
palliation des clauses adéquates de cahier des charges.
Exemple ; le contrant signé entre le
gouvernement et le chinois pour la construction de la route
Kasumbalesa.
· Le
marché d'entreprise des travaux publics
Il s'agit d'un contrat par lequel la personne publique
confie au contractant la construction ou l'exploitation d'un ouvrage, la
rémunération étant directement assurer par la personne
publique.38(*)
Cette dernière est qualifiée de
« maitre de l'ouvrage ».
CHAPITRE II :
PRESENTATION DE CADRE D'ETUDE
SECTION I : APERCU
SUR LA VILLE DE LIKASI
2.1 CREATION DE LA VILLE DE
LIKASI
L'origine historique de Likasi ne peut se confondre avec
l'histoire des agglomérations urbaines du Congo dont elle fait partie.
L'origine de la ville de Likasi remonte à la période d'alors 1889
tandis que l'histoire dans ces institutions urbaines des distincts.
Le gouvernement général était
autorisé par la loi de détacher, lorsqu'il estimait
nécessaire, de l'administration de district, le territoire d'une
agglomération urbaines et en former une circonscription administrative
spéciale sur dénomination de
« ville ».
La ville avait une personnalité civile, elle
était dirigée par un comité du commissaire de district qui
le présidait et de trois membres et huit membres nommés par le
gouverneur de la province. La ville était une véritable
collectivité décentralisé ayant son patrimoine le pouvoir
de créer des taxes, avait un budget et pouvait rester en
justice.
L'histoire de l'agglomération urbaines de Likasi
remonte à l'année 1917 avec le début des travaux de
prospection minéral de la colline de Shituru comme jadis, sous
l'appellation Likasi-panda, l'agglomération a pris le 21 juin 1893 la
dénomination de ville en l'honneur de monsieur Jean Jadot alors le
gouverneur de la société générale de belge, pour
l'appréciation des services rendus pendant 25 ans à la compagnie
du chemin de fer BCK, à l'ex-union minière du Haut Katanga qui
permet de transporter les minerais à l'étranger.
Avant l'institution urbaine de Likasi ville, les villes de
Kinshasa et Lubumbashi étaient déjà institués le 21
juin 1941 Likasi est la troisième agglomération de la
république aux institutions de la ville.
L'évolution de l'administration continua avec
l'apparition des commune en 1957 auxquelles s'ajoutèrent les commune se
Panda et Shituru en 1968.
2.2. LA SITUATION GEOGRAPHIQUE
DE LA VILLE DE LIKASI
La ville de Likasi est située à 120 km de la
ville de Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga, 200 km environs de
Kolwezi, chef du district de Lualaba, devenu aujourd'hui province de Lualaba
à 1500 environ de Kalemie chef-lieu de l'actuel province de Tanganyika.
Elle est la deuxième ville du Katanga et des villes que compte la
république démocratique du Congo.
2.2.1 Le climat de la ville
de Likasi
Le climat de la ville de Likasi participe au climat
général du district du haut-Katanga, elle est
réputé industriellement, jouit d'un climat tropical
modéré par l'altitude comportant deux saisons bien distinctes et
régulières.
La saison des pluies débutes habituellement vers
octobre de chaque année et il pleut abondamment en novembre,
décembre, janvier février et mars. La température de la
ville montagneuse de Likasi n'est jamais excessive et dépasse 30°
en saison chaude et est franchement froide en saison sèche. La saison
sèche commence au mois d'avril et prend fin vers la mi-octobre.
En effet, les températures extrêmes varient
plus au moins entre 35° en octobre et à 45° en juillet c'est
ainsi que le maximum de température enregistré est toujours aux
environs de 37°.
2.2.2 Hydrographie de la
ville de Likasi
La ville de Likasi s'est entourée de nombreux et
plein de vallées ou coulent des rivières déjà des
premiers explorateurs.
a) La rivière
Likasi
La rivière Likasi qui donne son nom à la
ville et à la commune est une petite rivière qui tire sa source
en bordure du camp travailleur de la SNCC et verse au nord d la colline. Elle
traverse ensuite les côtés de la zone urbano rurale de Shituru,
elle forme une large nappe d'eau résiduaire retenue par un barrage, puis
cheminée sinueusement sur une distance de 6 Km environ vingt de se jeter
dans la rivière Buluo.
b) La rivière
buluo
Celle-ci coule de l'ouest à l'est, au nord de la
ville, descend des hauteurs au Sud de Kapemba et reçoit en affluant, les
eaux de rivières Konda et Kikula baigne Karaganda fonce
résolument vers le sud de la ville où elle se jette dans la
rivière panda.
c) La rivière
panda
Elle coule de l'Ouest - Est de la ville, elle tire sa
source vers Gadidé, reçoit de nombreux affluents dont les plus
importants est la poissonneuse Mura aux rapides, elle reçoit
également les eaux venant de Krakow, la rivière Konji et plus
loin la rivière Kapp. Cette rivière Konji est plus loin, suit son
cours pour finir à Kapolowe gare dans la rivière Lufira,
important affluent de fleuve Congo. Elle donne son nom à la commune de
panda.
d) La rivière
Kikula
Elle prend sa source au fond de la vallée à
côté du marché de Kikula. La même rivière
arrose en grande partie de la commune qui porte son nom, traverse la route
Kolwezi et passe près des sociétés SIMETAL et BRASSERIE
SIMBA continue à l'est pour se jeter dans la rivière
Buluo.
e) La rivière
Kaponona
Situé au nord de la rivière Kikula, elle
tire son origine de la vallée et de la rivière Nguya le l'ouest
vers le nord, arrose les quartiers Nkolomoni et Tshatshi, avant de finir dans
la rivière Buluo.
f) La rivière
Nguya
Celle-ci est délimité au Sud entre la ville
de Likasi et le territoire de Kambove, coule du Nord au Sud et se jette comme
la rivière panda dans la rivière Lufira.
2.2.3 RELIEF DU SOL ET LA VEGETATION DOMINANTE
Le relief de la ville de Likasi est très
accidenté par des monts et des montagnes tandis que sa
végétation est caractérisée par quelques arbres
fruitiers et non fruitiers.
2.2.4 NATURE DU SOL
Le sol est en général argilo sablonneux qui
par endroit est jonché des cailloux et des calcaires en carbonate de
calcium.
2.3 ORGANISATION
ADMINISTRATIVE
La mairie est subdivisée en communes. Les communes
sont subdivisées en quartiers, les quartiers sont subdivisés en
blocs et les blocs en avenues ou rues. Le rapport périodique des
activités des communes sont transmis à la mairie qui les
centralise et les transmets à la province. Les rapports de tous les
services qui sont envoyés à la mairie sont vérifiés
au secrétariat.
De pièces périodique et après la
vérification on fait le remarques dans chaque servie. La mairie de la
ville est retenue de faire un rapport périodique sur les statistiques de
la population ou gouverneur de la province et au département du
ministère de l'intérieur. Ces statistique de recensent, le maire
de la ville reçoit les bourgmestres des communes qui lui transmettent
régulièrement leurs rapports périodique relatifs aux
statistiques, démographiques pour identifier les étrangers et les
autochtones.
Quant aux étrangers prédominant nous
citons : les zambiens, les angles, les chinois, les indiens, les
coréens, etc.
La juridiction de la ville de Likasi comprend quatre (4)
communes à savoir :
- La commune de Likasi
- La commune de Kikula
- La commune de Panda
- La commune de Shituru.
La ville de Likasi, c'est elle qui attire plusieurs
entreprises privées et quelques entreprises publiques : SNCC,
SWANEPOEL, ACEC ONGO, BRASERIE SIMAB, SNEL, REGIDESO, MINOTERIE KIFITA
etc.
Le nombre de ces entreprises ont connu après
l'indépendance de changements profonds sur le plan structurel qui ont
amenés des fusions et des dispositions de certaines entre elles.
La ville a connu la réalisation des infrastructures
collectives suivantes :
- Le marché de panda ;
- Le marché central de Kikula appelé
autrement dit le marché de la paix ou on trouve les prix n'est pas
exorbitant par apport aux autres marchés ;
- Le marché de Kanona
- Le marché de la ville de Likasi.
Likasi est une ville à plusieurs activités
pour les transactions coloniales, utilise dans notre pays (dollars
américains).
2.3.1 LES VOIES DE
COMMUNICATIONS
2.4.1.1 Voies
ferrées
L'exploitation de la voie ferrée par la
société nationale de chemin de fer au Congo (SNCC) permet de
relier la ville à d'autres villes, et district de la province du
Katanga, ainsi qu'aux deux provinces du Kasaï et à celle du
Maniema ainsi par le canal, les habitants de la ville de Likasi ont
accès à d'autres provinces du pays limitrophes à notre
province.
2.4.1.2 Voies
routières
La ville de Likasi contient axes routiers longs de cent
soixante kilomètres qui couvrent la périphérie de la
ville.
2.3.2 LES CULTURES
PRATIQUES
La ville de Likasi est une ville ou se pratique plusieurs
cultures à savoir :
Les cultures de maïs, d'arachide, d'haricots, de
soja, de patates douces, de choux et des plaisirs espèces de
légumes.
ORGANIGRAMME DE LA
MAIRIE
MAIRE
CABINET DE MAIRE
MAIRE ADJOINT
Secrétariat
Contrat
Personnel et contrat
Receveur urbain
Pension inserente
1e BUREAU
IIe BUREAU
DIVISION URBAINE
Administration générale
1° BUREAU
Protection civile régime arme a feu
Inhumation transfert et estimation
Secrétariat et élaboration periodique
Tutelle population et état civil
Protocole, intendance, presse
2.4 ASPECT ECONOMIQUE
La devise de la ville de Likasi est « AERRE
LAREQUE » qui signifie le cuivre par le travail, c'est le travail qui
a fait Likasi, ville des mangeurs du cuivre, même dans le temps qui ont
appartenu naguère à nos grands-parents. Cela jusqu'à ce
niveau, l'activité principales économique de la ville qui est
l'exploitation minière du cuivre, ses dérivées dont la
plus importante est le cobalt par la générale de carrières
et des mines (Gécamines)
Ces stratégies de production à
caractère économique doivent être protégées
par le gouvernement qu'au monopole de la puissance publique pour sortir du
gouffre de sinistre économique, Likasi doit s'attaquer à la
construction et aménagement des routes et pont qui mènent vers
les centres de la production. Le développement économique
dépend toujours de la bonne gouvernance.
2.4.1 ACTIVITES
COMMERCIALES
Il existe plusieurs maisons importantes ou s'exerce les
activités commerciales de traitements des affaires
commerciales.
a) Secteur
pharmaceutiques
Le secteur pharmaceutique de la ville de Likasi a connu
une situation particulière. En effet, beaucoup de citoyens avaient
décidé de se lancer dans le commerce des médicaments, ce
qui a entrainé une explosion des pharmacies ouvertes en dehors de normes
pharmaceutiques.
Pour y mettre de l'ordre, une opération devant
aboutir à l'assainissement de ce secteur a pu être
déclenchée et plusieurs pharmacies se virent frappés de
mesures de fermetures par l'arrêté urbain N°210/33/BM/LKS/99
du 03/11/1999.
b) Secteur
vestimentaire
Ce sont les établissements d'habillement Ex. Ets
Tshalukambo, Yamba...
c) Secteur alimentaire
C'est un secteur qui s'en charge de l'alimentation. Ex.
Ets SALEM.39(*)
2.5 SITUATION
SOCIO-CULTURELLE
En ce qui concerne l'action, au centre de promotion
sociale et culturelle de la ville de Likasi.
2.5.1 Activité
sanitaire
Sur les activités sanitaires, la ville de Likasi
est une ville qui a plusieurs centres sanitaires publics et privés, nous
citons quelques-uns seulement, trois grand dont l'hôpital SNCC et
l'hôpital de la Gécamines plu une clinique Gécamines il y a
lieu de signaler la clinique SNCC et l'hôpital Afridex sans oublier
l'hôpital de référence DACO, et autres centres
médicaux
Tableau 3 : Liste des
entreprises, sociétés et établissement qui ont
fonctionné depuis 2012.
N°
|
RAISON SOCIALE
|
N° RC
|
ID NAT
|
ADRESSE
|
01
|
Groupe bazano
|
8.847
|
|
Av. des abattoirs
|
02
|
Boss mining
|
884
|
09/KAT
|
Av. industrielles
|
03
|
Feza mining
|
|
41.339
|
Rte Shituru
|
04
|
Dépôt huashin
|
|
|
Rte Kakontwe
|
05
|
JMT S.P.R.L.
|
|
|
Rte Kakontwe
|
06
|
Baraka mining
|
|
|
Rte Kamatanda
|
07
|
Dépôt Cota mining
|
|
|
Rte Lubumbashi
|
08
|
Rubamin
|
|
|
Rte Lubumbashi
|
09
|
Dynamique
|
|
|
Rte Lubumbashi
|
10
|
CDM
|
|
|
Av des chantiers
|
11
|
Didier Baruani
|
|
|
Av des chantiers
|
12
|
Méhul mining
|
|
|
Rte Kakontwe
|
LABO HETEROGENITES
N°
|
RAISON SOCIALE
|
N° RC
|
ID NAT
|
ADRESSE
|
01
|
S.S.M
|
9.448
|
6-401N4446
|
Av. de la mine
|
TRANSPORT
N°
|
RAISON SOCIALE
|
N° RC
|
ID NAT
|
ADRESSE
|
01
|
CHUKI
|
0897
|
03543
|
Av. de la Mine
|
02
|
7804
|
03616
|
03616
|
Av. des abattoirs
|
CONSTRUCTION BOBINAGE ET GENIE
CIVIL
N°
|
RAISON SOCIALE
|
N° RC
|
ID NAT
|
ADRESSE
|
01
|
Beltexco
|
3166
|
A03616F
|
Av. DU MARCH2
|
02
|
Hyperpsaro
|
6731
|
D86198E
|
Av. de la mine
|
03
|
Saer
|
|
|
Av des abattoirs
|
04
|
ACEC Congo
|
|
|
Av des abattoirs
|
05
|
Katanga Futur
|
|
|
Av. de la mine
|
06
|
Marine internationale
|
|
|
Bld de l'indépendance
|
07
|
Liberty
|
|
|
Av. des abattoirs
|
08
|
Dépôt Bralima
|
|
|
Av. Lumumba
|
09
|
Dépôt Bralima
|
|
|
Rte Kolwezi
|
10
|
Katanga mousse
|
|
|
Av. Du marché
|
11
|
Super luxe
|
|
|
Av du marché
|
12
|
Trico
|
|
|
Av. des abattoirs
|
13
|
Felix la colombe
|
|
|
Av. des artisans
|
BANQUES
N°
|
RAISON SOCIALE
|
N° RC
|
ID NAT
|
ADRESSE
|
01
|
RAW BANK
|
|
|
Av. Lumumba
|
02
|
Banque Commerciale du Congo
|
|
|
Av. Lumumba
|
03
|
TMB
|
|
|
Av. Lumumba
|
04
|
Western union
|
2528
|
A008892R
|
Av. Lumumba
|
SECTION II :
PRESENTATION DE LA COMMUNE DE KIKULA
2.2.1 A) HISTORIQUE DE LA
COMMUNE
La Commune de Kikula a connu sa création en 1933
par la décision de l'autorité coloniale sous l'appellation du
centre extra coutumier « C.E.C » sa gestion administrative
fut cédé en 1937 a un autochtone répondant au nom de
monsieur KAPENDA JEMS
En 1957 ce centre fut érigé en commune et
connu ses premières élections municipales qui portèrent
à sa tête monsieur MUNTOKOLE BONVE en qualité de
bourgmestre. Avec l'avènement de la deuxième république,
elle était devenue zone, l'appellation qu'elle perdra après
l'arrivée de l'AFDL en 1997 pour redevenir commune mais comme
entité décentralisée.
C'est ainsi qu'en octobre 2008 elle a acquis le statut
d'une entité territoriale décentralisé, au terme de la loi
organique n°08/016 du 07 octobre 2008 portant composition et
fonctionnement de comité budgétaire de territoire
décentralisé et leur rapport avec l'état et les provinces.
Concernant son administration, la Commune de Kikula connait beaucoup de
bourgmestres ou encore administrateur depuis sa création
jusqu'aujourd'hui.
Elle en connait au total 28 y compris les bourgmestres
adjoints, à ce titre nous citons le premier monsieur Mutonkole Bonve et
le bourgmestre en place monsieur Adolphe LUFUMA.
2.2.2 B) ASPECT
GEOGRAPHIQUE
Conformément aux dispositions de
l'arrêté n°68-18 du 16 juillet 1969 modifiant
l'arrêté N°67-157 du 28 juillet 1967 déterminant pour
la ville de Likasi le nombre dénomination et les limites de la commune,
celle de Kikula se présente comme suite :
- AU NORD
La rivière Kampemba depuis son intersection avec
l'ancienne route de Kambove jusqu'à sa source. De la source de la
rivière Kampemba, une droite jusqu'au point le plus rapprochée du
flanc Nord de la voie ferré vers l'Est jusqu'à sa rencontre avec
le chemin de fer Tenke Likasi.
De cette rencontre jusqu'à l'affluant de Buluo sur
une distance de 300m vers la limite ouest de la concession CV Lualaba 5
- A L'EST
De la limite Nord-Ouest de la concession Lualaba 5
jusqu'au flanc Ouest du chemin de fer Likasi-Tenke.
Le flanc Nord en direction de Likasi sur une distance de
1250 m de ce point une droite vers l'ouest jusqu'à la limite
extrême de la parcelle CV250.
A la limite Nord de cette parcelle vers Sud-Ouest, puis sa
limite Sud jusqu'au bord de l'avenue Bunkeya.
Le Nord de cette venue jusqu'au bord droit du boulevard de
l'indépendance ? Le bord de ce boulevard jusqu'au point
situé dans le programme de la limite est de la parcelle. Cette limite
vers le Sud jusqu'à la limite Ouest de la réserve de la gare de
Likasi jusqu'à la rivière vers le sud jusqu'à limite sud
de la réserve « Etat »
- AU SUD
La limite Sud de la réserve état vers
l'Ouest jusqu'au droit de l'avenue Lumumba. Cette avenue jusqu'à la
limite Nord du cimetière Kambove. Cette limite jusqu'au point
d'intercession de la route Kampumpi avec la limite Nord de la Zone, l'avenue du
cimetière (ancienne route Kakontwe) jusqu'à sa rencontre avec la
rivière Kikula.
LATITUDE : longitude
26°41'30'' et 26°44' de longitude Est et entre 10°59' de
latitude Sud
ALTITUDE : Situé
à une moyenne de 1265 m
Superficie : 41 Km² avec une densité de
5,662 h/km².
v
HYDROGRAPHIE
Sur le plan hydrographique la commune de Kikula est
arrosée par quatre cours d'eaux suivants : Buluo, Kaponona, Kikula
et Kampemba. Ce cours d'eaux qui traverse l'espace bâti du territoire
urbain, constituent les principaux drains naturels de la ville et contribuent
à la toponymie de certain quartiers.
Tableau 4 : ORGANIGRAMME
DE LA COMMUNE DE KIKULA
Bourgmestre
Chef de bureau
Bourgmestre adjoint
Secrétariat communal
Préposé état
civil
|
Préposé bureau
population
|
Secrétariat
|
Service de comptabilité
|
Maintenance
|
Pools
|
Naissance
|
Décès
|
Mariage
|
Récents
|
Population congolaise
|
Population étrangère
|
Rédaction
Dactylo, info
Réception + expédition
Classement
Huissier
|
Réception population
|
|
Service technique
|
Kalipopo
|
Kisunka
|
Musumba
|
Kibadi
|
Kyubo
|
Kampemba
|
Okito
|
kaponona
|
Nkolomoni
|
Kanona
|
|
Chef de quartier
|
|
|
|
|
|
|
|
Chef de quartier adjoint
|
|
|
|
|
|
|
|
Secrétaire
|
|
|
|
|
|
|
|
Commissaire
|
|
|
|
|
|
|
|
Classeur
|
|
|
|
|
|
|
2.2.4 D) ASPECT
DEMOGRAPHIQUE
La commune de Kikula est peuplée de 274.004
habitants environs repartis au nombre de quartier. La répartition de
cette population par quartier est mentionnée ou tableau I
suivant
Tableau 5 :
Répartition de la population par quartier.40(*)
SUBDIVISION ADMINISTRATIVE
|
POPULATION
|
Commune
|
Quartiers
|
V. Abs
|
%
|
Kikula
|
Kalipopo
|
26321
|
5.20
|
Kampemba
|
31114
|
6.15
|
Kanona
|
11834
|
2.34
|
Kaponona
|
16480
|
3.26
|
Kibadi
|
27046
|
5.34
|
Kisunka
|
22935
|
4.53
|
Kyubo
|
37862
|
7.48
|
Musumba
|
31010
|
6.13
|
Nkolomoni
|
31185
|
6.16
|
Okito
|
38217
|
7.55
|
La densité brute de la population est très
forte à Kikula de plus que toutes les communes de la ville de Likasi
(6.683 hab. /km²).
2.2.5 E) ASPECTS
ECONOMIQUES
Généralement à l'origine de la
création de la ville de Likasi est avant tout une ville industrielle
dont le monopole est tenu par la générale des carrières et
de mines (GCM) à l'origine de sa création aujourd'hui, aux
côtés de la générales des carrières et des
mines, 9 entreprises minières et 6 dépôts miniers se sont
implantés dans ladite ville sans spécification des espaces avec
toutes la cohorte de problèmes de la gestion de déchets solides ,
liquides et gazeux qu'elle produisent.
Depuis quelques décennies, le territoire est en
train de prendre de l'ampleur en effet, l'établissement du territoire
englobement tous les services au sens économique du terme. Il s'agit des
transports, du commerce, station services, les banques et autres maisons de
transfert d'argent, la communication, le loisir, etc.
2.5 ASPECT DEMOGRAPHIQUE
En ce qui concerne les groupes ethniques dominant la ville
de Likasi eu égard à leur importance, il y a lieu
d'énumérer quelques-uns d'entre eux : les basanga les baluba
(Katanga) les baluba Kasaï (Kasaï) les bambema, balamba, les bahemba,
les bazela, les balomotwa, les kaonde les rund, les tshoke, les tabwa, les
bakongo, les songe...
Tandis que pour ce qui concerne la population
étrangères les groupes dominant, habitant dans la ville de
Likasi peuvent-être énuméré de la manière
suivante : les zambiens, les angolais, les belges, les français,
les espagnols, les chinois, les tanzaniens, les zimbabwéens, les
portugais, les turques, les polonais, les vénézuéliens,
les indiens, le libanais.41(*)
Au terme de dispositions de l'article premier de
décret-loi n°082 du 02/07/1998 portant statut des autorités
chargées des circonscriptions territoriales, les chefs des quartiers et
leurs adjoints ne sont considérées comme des autorités
politico-administratives car n'ayant pas été expressément
désigné par le dit article parmi les autorités
susmentionnées.
Eu égard à ce qui précède et
en application de l'article 151 du décret-loi n°081 de la
02/07/1998 portant organisation de la territoriale et administrative de la
république démocratique du Congo, ils sont
considérés comme fonctionnaire de l'état.
CHAP.III :
L'INAPPLICABILITE DE LA POLITIQUE PUBLIQUE ET
SON INCIDENCE SUR LA
GESTION DES IMMONDICES
A KIKULA
SECTION I : LES
CAUSES D'INGERENCE DES IMMONDICES
Les causes d'ingérence des immondices à la
commune de Kikula sont liées aux difficultés suivantes :
- Insuffisances de moyens financiers pour réunir
les ressources humaines et matérielles pouvant faciliter la tâche
de la gestion des immondices.
- Absence de culture fiscal, de la population likasienne
en général de Kikula en particulier
- Insuffisance de stratégie de mobilisation des
recettes
- Absence du savoir sur le traitement des
déchets
- Absence des études sur la gestion de
déchets
- Manque de l'éducation de la population sur les
pratiques éco-citoyennes
- Absence d'une stratégie nationale de gestion des
déchets et de l'assainissement du milieu
- Absence des infrastructures nécessaires pour le
recyclage, la transformation et la revalorisation des déchets
- L'insuffisance des moyens techniques et
adéquats.
Dans toute oeuvre humaine beaucoup de problèmes
surgissent et perturbent l'atteinte aisée des objectifs
fixés.
3.1. LES AUTORITES
COMPETENTES
A l'exemple de république démocratique du
Congo qui avait mis en place des institutions devant prendre en charge la mise
en oeuvre des différents loi sur l'environnement notamment le
comité interministériel de coordination (CIC), la direction du
développement durable (DDD), le conseil national de l'environnement et
du développement durable etc.42(*)
La gestion des déchets est une affaire de
l'autorité urbaine qui, par sa législation locale, a mis sur pied
des institutions suivantes :
· La commission urbaine de
salubrité (CUS)
La commission urbain de salubrité était
structurée de la manière suivante : le maire de la ville
président de la commission, secondé par le président de la
fédération des entreprises du Congo (FEC) qui était
président adjoint chargé des finances et par le coordinateur
urbain de l'environnement (2èmevice-président
chargé des questions techniques de la salubrité) en tenant compte
des principes fondamentaux du développement durable évoqué
ci-haut.
Assemblée générale de la commission
urbaine composée de toutes les forces vives dela ville à
savoir : les chefs des entités territoriales
décentralisées et des quartiers de l'état
générateurs des recettes et ses techniques, l'école du
génie etc. ils se réunissent une fois par trimestre.43(*)
· La sous-commission technique urbaine de
la salubrité (STUS)
Elle est l'organe de la commission urbaine de la
salubrité, et comme rôle :
- De faire le suivi de l'exécution des
décisions de la commission urbaines de la salubrité par la
brigade urbaine de salubrité.
- De faire le suivi de la perception de ressources
financières auprès du service urbain de finances ;
- De faire le suivi de la perception de ressources
financières auprès du service urbain de finances ;
- De faire le suivi de l'exécution des programmes
de sensibilisation mis en oeuvre par les organismes de la société
civile
- De rendre compte à la commission urbain de
salubrité du fonctionnement du système de gestion des
déchets mis en place , et de faire évaluer auprès de
celle-ci les propositions de son amélioration.
La sous-commission technique urbaine de salubrité,
présidée par le bourgmestre de Kikula, et elle est comme membres
les bourgmestres de quatre (4) communes, la coordination urbaine de
l'environnement et de l'hygiène publique, l'école du génie
militaire, l'office de voirie et drainage, le receveur urbain, la
société civile, le chef du deuxième bureau de la mairie et
la fédération des entreprises du Congo.44(*)
· Brigade urbaine de salubrité
(BUS)
Etait structuré en deux sections :
Mamans Tengeneza (balayeuses de ries) et les
cantonniers.
3.1.1. LES MOYENS
D'ACTIONS
Les moyens d'actions sont des ressources pouvant soutenir
le service pour atteindre les objectifs déterminés ;
Si le gouvernement provincial du Katanga finance les
opérations de réhabilitation de la voirie urbaine et du
réseau d'évacuation des eaux usées et pluviales demeures
hors d'usage depuis plusieurs décennies, mais à la dispositions
la ville de Likasi un charroie automobile spécial pour la collecte des
déchets domestiques l'entité décentralisé ville de
Likasi appuyée par les communes, organise la gestion locale des
déchets en intégrant dans une même organisation tous les
acteurs locaux en vue de partager leur expérience, et leurs ressources
(matérielles et financières) dans une appropriation et une
exploitation efficients du système pour le bien-être
commun.
Cependant comme ledit Merenne Schoumaker (2002)
l'efficience du rôle des acteurs dépend de :
- Leur degré de pouvoir
- Les moyens dont ils disposent
- Leur degré d'informations et de mobilité
(propension à se déplacer),
- Leurs stratégies (plans d'actions) ;
- Leur culture (ensemble de comportement, des idées
des croyances, des rêves, ...collectifs ou individuels) ;
- Leur présentation et leur valeur (ex. :
conception du développement, perception des problèmes
territoriaux...)
Comme nous l'avons soulignés ci-haut, la ville de
Likasi dispose des différents moyens qui lui permettent de mener tant
soit peu sa politiques de gestion des déchets de la
municipalité.45(*)
3.1.1.1 Ressources
humaines
La ville dispose :
- 45 cantonniers,
- 65 maman Tengeneza
- 12 chauffeurs.
3.1.1.2 Ressources
matérielles
La ville de Likasi dispose aussi du matériel
opérationnel suivant qu'elle met à la disposition de la gestion
des déchets domestiques de la ville il s'agit de : 46(*)
- 1 tracto pelle (Machine)
- 1 chargeuse (machine)
- 2 camions vidangeurs
- 4 camions benne tata
- 2 camionnettes poubelles
- 4 motos poubelles.
Sous l'impulsion de son excellence monsieur le gouverneur
de Katanga les camions benne tata d'une capacité de charge de 20 tonnes
chacun, ont été achetés et mis à la disposition de
la mairie de Likasi en 2013, par les entreprise minières oeuvrant
à Likasi et dans on interlac. Tandis que les camions vidangeurs et les
autres engins énumérés plus haut ont été
octroyés à la mairie par le gouvernement provincial du Katanga en
2012.
En dehors de ces matériaux de transport des
immondices, la mairie de Likasi avait disponibilisé et distribué
des poubelles auprès de la population commerçante afin de
faciliter les opérations de pré-collecte des
déchets.
3.1.1.3 Ressources
financières
La contribution volontaire que la ville de Likasi mettait
jadis à la disposition de la gestion de déchets ne suffisant
pas, c'est ainsi qu'on a eu une autre taxe officielle et légale
dénommée « taxe d'assaisonnement, enlèvement
d'immondices et ordures ménagères » par ordonnance loi
N°13/001 du 23 février 2013. Cette taxe est imposable à
toute la population.
Ainsi dans sa politique de gestion des déchets
domestiques à travers les commissions urbaines de salubrité, la
mairie de Likasi a mis en oeuvre cette taxe en incluant et soumettant toutes
les couches de la population habitant dans sa juridiction au payement des
frais recensés, le ménage a été pris comme base de
perception pour la population.
Tableau 6 :
répartition de taux de la taxe immondice par catégorie des
contribuables.47(*)
Contribuables
|
Catégories
|
Effectifs
|
Taux/mois
|
Montant à recouvrer
|
I. Operateurs économique
|
Catégories A
|
42
|
160 USD
|
6720
|
|
Catégorie B
|
56
|
80 USD
|
4480
|
|
Catégorie C
|
28
|
40 USD
|
1120
|
|
Catégorie D
|
334
|
20 USD
|
6680
|
S/Total
|
|
460
|
|
19.000 $ (17480000 FC)
|
II. Ménages
|
|
|
|
|
Kikula
|
Type cité
|
49800
|
500 FC
|
24900000 FC
|
Panda
|
Type cité
|
7300
|
500 FC
|
3650000 FC
|
Shituru
|
Type cité
|
800
|
500 FC
|
400000 FC
|
Likasi
|
Type cité
|
15700
|
500 FC
|
7850000 FC
|
|
Type ville
|
16600
|
1000 FC
|
16600000 FC
|
S/Total
|
|
90200
|
|
53400000 FC
|
Total
|
|
90660
|
|
70880000 FC
|
Il est à signaler que tous ce montants ont
été estimé à la baisse en ne tenant pas compte de
petits commerçant des quartiers périphériques, les
cambistes, les Kadhafi, les détenteurs des cabines publiques et
autres.
Tableau 7 : Les
dépenses sont estimées et reparties de la manière
suivantes
Libellé
|
Effectif
|
Taux (en FC)
|
Total (en FC)
|
1 Personnel
- Cantonniers et mamans Tengenza
- Chauffeurs
|
110
12
|
100.000
150.000
|
11.000.000
1.800.000
|
Sous total
|
122
|
|
12.800.000
|
2. Operations d'assainissement
|
|
|
58.080.000
|
Total
|
|
|
70880.000
|
Les opérations d'assainissement regroupe les
dépenses telles que : achat carburant et lubrifiants, maintenance
et entretien des véhicules et engins, achat des matériels
aratoires et autre équipements appropriés aux
opérations.
Le budget était équilibré mais du
fait que les taxes n'étaient pas suffisamment payées c'est ce
qui a fait à ce que la commission urbaine de salubrité puisse
tomber.
3.1.2. LES ENTREPRISES
MINIERES
Dans la commune de Kikula les déchets qui dominent
sont les déchets domestiques et les déchets industriels. En effet
les entreprises minières il y en ont pas dans la dite commune, mais ceux
qui se trouvent dans des autres communes de la ville de Likasi ont
polluée l'eau que nous buvions, l'air que nous respirions, ont
même dérangé notre environnement.48(*)
3.2. LES RETOMBES D'INGERENCE
DES IMMONDICES
3.2.1. Dans les voies
routières
On constate toute sorte des nuisances (olfactives et
visuelles) tels que :
Destruction des réseaux d'assainissement et
dégradation de la voirie parce que les déchets sont
évacués dans des maisons que pour les jeter dans la voie publique
et dans les caniveaux.
3.2.2. Dans les
installations sanitaires
La création des dépotoirs sauvages
éparpillées anarchiquement dans le tissu urbain, des maintenant
les déchets dans les hôpitaux, centre médicaux et
pharmacies n'ont pas gérés dans ladite commune les uns se
débrouillent eux même les évacués aux enceinte de
ces derniers, c'est surtout l'auto-gérance qui permet à ce que
les dépotoirs sauvages puissent accroitre
3.2.3. Les réseaux
hospitaliers
La population de la ville de Likasi en
général et en particulier la population de la commune de Kikula
n'ont pas une bonne culture de la gestion des déchets, le constat fait
ce que cette population ne trie pas ses immondices ne l'évacue de son
domicile que pour le jeter sur les places publiques dans les parcs et auteurs
espaces verts, sur la voie publique dans des caniveaux et dans le cours d'eau.
Maintenant comme conséquence de cet effet.
Enlaidissement du paysage urbain, et création des
gites des nuisances de toutes sortes observée dans la dite ville
(olfactives et visuelles).
3.2.4. Les milieux
scolaires et domestiques
a) Les milieux
scolaires
Suite à la campagne de masse financée par la
vision mondiale, beaucoup d'écoles sont sensibilisées à
tenir compte de l'assainissement du milieu et de la propreté contre les
maladies de mains sales, c'est ainsi qu'ils évacuent de ces
écoles que pour les jeter aux dépotoirs de transit anciens qi ne
sont pas encore évacués.
b) Les milieux
domestiques
La création de petits dépôts
clandestins dans cette zone a donné de complication pourtant, certains
ménages s'entretient avec les personnes qui ont des troubles mentales
qui sont devenus des transporteurs de déchets des domiciles vers les
dépôts sauvages. Certains autres se créent des ordures dans
leur propres parcelles, c'est à ce qui a fait que beaucoup de maladie
(épidémies) cholera, fièvre typhoïde, malaria et
autres puisent persister dans la population.
3.2.5. Le comportement de
la population
Comme dans toutes les villes des pays pauvres en
général la ville de Likasi en particulier la commune de Kikula
n'a pas une bonne culture de la gestion des immondices. En effet, le constat
fait et que cette population ne trie pas ses immondices, ne l'évacue de
son domicile que pour le jeter sur la voie publique, sur les places publiques,
dans les parcs et autres espaces verts, dans les caniveaux et dans les cours
d'eaux.49(*)
3.2.6. Les maladies
sanitaires
Suite aux comportements de la population signalée
i-haut est à la base de la persistance des épidémies des
cholera et de la fièvre typhoïde, ainsi que de la maladie
hydriques et la malaria qui est la cause de décès survenue dans
la population.
DIFFICULTES
RENCONTREES
Tout au long de notre travail nous avons rencontres des
difficultés d'ordre :
- Physique : cependant, le
moyen de déplacement nous semblait difficile pour constamment aller
à pieds
- Economiques : manque des
bibliothèques pour récolter certaines
données ;
- Financières :
manque de moyen financier a causé un problème sur la
récolte de données dans des sites internet...
CONCLUSION GENERALE
Après une très longue discussion autour de
notre travail scientifique, voici au terme de notre dissertation sur le sujet
intitulé : « l'inapplicabilité de politique
publique Congolaise et son incidence sur la gestion des immondices dans la
ville de Likasi (cas de la commune de KIKULA).
Le but poursuivi dans l'élaboration de cette
étude est de contribuer dans la mesure du possible, au
développement de la recherche scientifique et celui de savoir les causes
d'ingérence et apprécier les oeuvres produites en matières
de politique publique.
Outre l'introduction générale et la
conclusion générale, notre travail se subdivise en trois
chapitres :
- Le premier porte sur
« Généralité ». Il se compose
également à quatre sections à avoir :
définition des concepts de basse, cadre théorique, la mission de
l'administration publique et la gestion des immondices, ainsi que la notions
sur les travaux publics.
- Le deuxième chapitre est consacré à
la présentation de cadre d'étude. Il se subdivise en deux
sections à savoir aperçu sur la ville de Likasi et la
présentation de la commune de Kikula.
- Et enfin le troisième chapitre intitulé
inapplicable de la politique publique et son incidence sur la gestion des
immondices à Kikula, il nous présente les causes
d'ingérence des immondices et les retombés d'ingérence des
immondices.
Nous nous sommes servie de la méthode
systémique qui nous a aidés à observer les
phénomènes d'ingérence des déchets en
matière de politique publique, et dans la problématique la
question principale était celle de savoir les causes
d'ingérence.
Après toutes les investigations à l'aide de
cette méthode, note hypothèse est affinée.
SUGGESTIONS
C'est à cette étape de la suggestion que
nous allons essayer de noter notre point de vue à notre travail.
Notre point de vue est d'interpeller les autorités
politiques de remédier sur e conflit qui prévaut dans la ville
de Likasi et en général dans la commune de KIKULA en particulier
que dans la mesure du possible la génération ne puisse pas
grandir et continuer à perdre la beauté de la ville.
- Qu'on crée des études
spécialisée à la gestion des déchets.
- En outre, nous suggérons que les particuliers
créent des maisons pour la gestion des déchets tels qu'est fait
pour les maisons de sécurités, dans ce cas chaque ménage
saura s'abonner à une maison de son choix.
BIBLIOGRAPHIE
1. TEXTES LEGAUX ET REGLEMENTAIRES
- Loi organique n°08/016 du 7 octobre 2008 portant
composition et fonctionnement de CBTD et leur rapport avec l'état et les
provinces.
- Loi organique N°18.016 la 07/10/2008 portant
composition, organisation et fonctionnement des entités territoriale
décentralisées et leur rapport avec l'Etat et les provinces.
2. OUVRAGES
- MULUMBATI NGASHA, sociologie politique, éd.
Africa, Lubumbashi 1988
- MULUMBATI NGASHA, Sociologie générale,
éd. Africa, Lubumbashi 1980
- MULUMBATI NGASHA, Introduction à la science
politique, Lubumbashi éd. Africa
- GUY ROCHER, introduction à la sociologie
générale, T3 paris éd. H.M.H 1988
- DAVID EASTON Analyse du système politique,
éd ? A Colin, paris 1974
- MADELEIN GRAWITZ, lexique sociales, 7e
éd. Dalloz paris 2000.
3. THESES ET MEMOIRES
- MUSANS KAPEND LEON, exercices prérogatives de
puissance publique par l'administration face à ses contractants dans
l'exécution de contrat administratifs, mémoire de DEA en SPA,
UNILU 2011-2012
- MUKANYA TSHIB, la problématique de traitement et
évacuation des déchets solides (cas de l'hôpitalSendwe,
mémoire en santé publique UNILU 2000-2001
- KASONGO ASSA AGNES, la problématique de
traitement et évacuation des déchets solides dans le milieu
hospitalier (cas de la clinique AFIA de Lubumbashi), mémoire en
santé publique, UNILU 2002-2005
- ARSEN NKINTWAHANGA, la problématique de la
gestion des ordures ménagères dans la ville de Kinshasa (cas de
la commune de Masina) mémoire en agronomie UNIKIN 2008-2009.
- KAYUMBA BANZE, problématique de
l'évacuation des ordures ménagères des bâtiments
granat, mémoire en santé publique UNILU 2007-2008
- DITEMB M. July la problématique de
l'évacuation de déchets solides (cas du marché Mzee
Kabila) mémoire en santé publique UNILU 2004.
- MUNYUNGWA KABAMBA Emmanuel, Rôle et place de
l'OVD dans la réhabilitation des infrastructures routières par
les contractants de l'administration dans la ville de Likasi mémoire en
SPA UNILI 2014-2015
4. DICTIONNAIRES
- Dictionnaires du cinquantenaire, éd. 2010
- Dictionnaire Larousse illustré, éd SPRDC
Kinshasa 2010
- Dictionnaire Larousse éd. Spéciale RDC
2010
5. NOTES DE COURS
- KASONGO MUKEBA, Initiation à la recherche
scientifique, G1 SPA, I.U.C 2011 - 2012
- MUNGA KITENGE, Analyse de politique publique, L.S SPA
Université Biosadec Likasi, 2015-2016.
- ALI KANDOMBE BIN SHIMA, science administrative G1 SPA,
I.U.C Likasi 2011-2012.
- MBAYA KABAMBA domaines et problèmes sectoriel, L1
SPA 2014-2015
- MUJINGA WA MUKEYA, éducation à la
citoyenneté, G1 SPA, I.U.C 2011-2012
- MUSANS KAPEND, Administration des villes du Congo et de
l'Afrique, UNILU, 2013-2014.
- ANDRE SALUMU MWANKANA, Environnement mondial et
régional, L.S SPA, Université Biosadec Likasi, 2015-2016.
6. WEBOGRAPHIE
- www.google.com
- www.google.fr
- www.radiookapi.net
7. AUTRES DOCUMENTS
- Rapport de la gestion de déchets mairie de Likasi
2013
- Rapport annuel Mairie de Likasi 2012, 2013,
2014
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE.......................................................................................I
DEDICACE................................................................................................II
IN
MEMORIUM.........................................................................................III
AVANT -
PROPOS.....................................................................................IV
INTRODUCTION GENERALE
3
1. PRESENTATION DU
SUJET
1
2. ETAT DE LA QUESTION
1
3. OBJET DE RECHERCHE
2
4. CHOIX ET INTERET DU
SUJET
3
a) Intérêt
Individuel
3
b) Intérêt
Social
3
c) Intérêt
Scientifique
3
5. PROBLEMATIQUE ET
HYPOTHESE
3
a)
Problématique
3
b) Hypothèse
4
6. METHODES ET
TECHNIQUES
4
6.1 METHODE
4
6.2 TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES
5
6.2.1. Observation Libre
5
6.2.2. Technique Documentaire
6
6.2.3. Interview
6
7. DELIMITATION DU
SUJET
6
7.1. Délimitation
Temporelle
6
7.2. Délimitation
spatiale
6
8. SUBDIVISION DU
TRAVAIL
6
9. THEORIE DE
REFERENCE
7
CHAPITRE I : GENERALITES
8
SECTION I : DEFINITION DES CONCEPTS DE
BASE
8
1.1.1
L'inapplicabilité
8
1.1.2 Politique
8
1.1.3 Public (que)
9
1.1.4 Incidence :
Conséquence plus ou moins direct de quelque chose.
9
1.1.5 Gestion : Action ou
manière de gérer, d'administrer, de diriger, ou d'organiser
quelque chose.
9
1.1.6 Immondice : (du
latin immondutia) chose sale ou impure, ordure ménagère ou
déchets de toutes sortes.
9
1.1.7 Ville : Selon le
professeur OBOTELA LINGULE, la ville peut être appréhendée
comme une agglomération infrastructurelle et super structurelle qui
s'identifie par les diverses activités accomplis par les groupes sociaux
en présence.
9
1.1.8 Commune : (du latin
communia, chose communes)
9
SECTION II : CADRE THEORIQUE
10
1.2.1 NOTION SUR LA POLITIQUE PUBLIQUE
10
a) Définition
10
b) Elaboration des problèmes
publics
10
b.1) Rôle de la politique
publique
10
v EMERGENCE DES PROBLEMES
PUBLIQUE
11
b.2) Les objectifs poursuivis
11
b.3) Identification des problèmes
publics
11
A) Saisit le problème
tel qu'il est posé :
12
B) Faire le problème tel
qu'il est posé :
12
C) L'incertitude de politique
publique
12
SECTION III : LA MISSION DE
L'ADMINISTRATION PUBLIQUE ET LA GESTION DES IMMONDICES
13
1.2.1 Les services compétant pour la
gestion des immondices
13
1.2.2 Les moyens d'action
14
- Ressources
humaines :
14
- Ressources
matérielles :
14
Tableau 1 : Classement des ressources
matérielles
14
- Ressources
financières
14
1.2.3 Les secteurs de conservation des
immondices
15
Tableau 2 : Répartition des
dépotoirs de transit à Kikula
15
1.2.4 Elaboration des problèmes publics
sur la gestion des immondices
15
a) La gestion des
déchets miniers
15
b) La gestion des
déchets industriels
16
c) La gestion des
déchets domestique
16
SECTION IV. : NOTION SUR LES TRAVAUX
PUBLICS
17
1.4.1 DEFINITION
17
1.4.1.1 Opération de construction
d'entretien ou travail d'aménagement
17
1.4.1.2 L'ouvrage public
18
a) Définition
18
b) Le travail humain
18
c) L'affection à
l'intérêt général
19
1.4.2 OUVRAGE PUBLIC ET LES NOTIONS
CONNEXES
19
1.4.2.1 Ouvrage public et travail
public
19
1.4.2.1 Ouvrages publics et domaine
public
19
1.4.2.3 Ouvrage public et
propriété publique
20
1.4.3 PRINCIPE D'INTANGIBILITE DE L'OUVRAGE
PUBLIC
20
1.4.3.1 Définition
20
1.4.3.2 Réalité et porte initiale
du principe
20
1.4.4 EFFETS ATTRACTIFS DE LA NOTION DES
TRAVAUX PUBLICS
21
1.4.4.1 Effets attractifs et la qualification
des contrats
21
1.4.4.2 L'effet attractif et qualification de
dommages
21
1. Dommage des travaux
publics
22
2. Dommage assimilé aux
travaux publics
22
3. Dommage imputé au
fonctionnement d'un service public utilisant un ouvrage public
22
1.4.5 EXIGENCE DES TRAVAUX PUBLICS
22
1.4.6 EXECUTION DES TRAVAUX PUBLICS
24
1.4.6.1 Mode d'exécution des travaux
publics
24
1.4.6.1.1 L'exécution en
régie
24
1.4.6.1.2 L'exécution par des non
professionnels
24
1.4.6.1.3 Le recours à de
professionnels
25
· Le marché des
travaux publics
25
· Les concessions des
travaux publics
25
· Le marché
d'entreprise des travaux publics
26
CHAPITRE II : PRESENTATION DE CADRE
D'ETUDE
27
SETION I : APERCU SUR LA VILLE DE
LIKASI
27
2.1 CREATION DE LA VILLE DE LIKASI
27
2.2. LA SITUATION GEOGRAPHIQUE DE LA VILLE DE
LIKASI
28
2.2.1 Le climat de la ville de Likasi
28
2.2.1 Hydrographie de la ville de
Likasi
28
a) La rivière
Likasi
28
b) La rivière
buluo
29
c) La rivière
panda
29
d) La rivière
Kikula
29
e) La rivière
Kaponona
29
f) La rivière
Nguya
29
2.2.3 NATURE DU SOL
29
2.3 ORGANISATION ADMINISTRATIVE
30
2.4.1 LES VOIES DE COMMUNICATIONS
31
2.4.1.1 Voies ferrées
31
2.4.1.2 Voies routières
31
2.4.2 LES CULTURES PRATIQUES
31
ORGANIGRAMME DE LA MAIRIE
32
2.4 ASPECT ECONOMIQUE
32
2.4.1 ACTIVITES COMMERCIALES
33
a) Secteur
pharmaceutiques
33
b) Secteur
vestimentaire
33
2.5 SITUATION SOCIO-CULTURELLE
33
2.5.1 Activité sanitaire
33
Tableau 3 : Liste des entreprises,
sociétés et établissement qui ont fonctionné depuis
2012.
34
LABO HETEROGENITES
34
TRANSPORT
34
CONSTRUCTION BOBINAGE ET GENIE CIVIL
34
BANQUES
35
SECTION II : PRESENTATION DE LA COMMUNE DE
KIKULA
36
2.2.1 A) HISTORIQUE DE LA COMMUNE
36
2.2.2 B) ASPECT GEOGRAPHIQUE
36
v HYDROGRAPHIE
37
Tableau 4 : ORGANIGRAMME DE LA COMMUNE DE
KIKULA
38
2.2.4 D) ASPECT DEMOGRAPHIQUE
38
Tableau 5 : Répartition de la
population par quartier.
39
2.2.5 E) ASPECTS ECONOMIQUES
39
2.5 ASPECT DEMOGRAPHIQUE
40
CHAP.III : L'INAPPLICABILITE DE LA
POLITIQUE PUBLIQUE ET
41
SON INCIDENCE SUR LA GESTION DES
IMMONDICES
41
A KIKULA
41
SECTION I : LES CAUSES D'INGERENCE DES
IMMONDICES
41
3.1.1 LES AUTORITES
COMPETENTES
41
3.1.2 LES MOYENS
D'ACTIONS
43
3.1.2.1 Ressources
humaines
44
3.1.2.2 Ressources
matérielles
44
3.1.2.3 Ressources
financières
44
Tableau 6 : répartition de taux
de la taxe immondice par catégorie des contribuables.
45
Tableau 7 : Les dépenses sont
estimées et reparties de la manière
suivantes :
45
3.1.3 LES ENTREPRISES
MINIERES
46
3.2 LES RETOMBES D'INGERENCE
DES IMMONDICES
46
3.2.1 Dans les voies
routières
46
3.2.2 Dans les installations
sanitaires
46
3.2.3 Les réseaux
hospitaliers
46
3.2.4 Les milieux scolaires et
domestiques
47
a) Les milieux
scolaires
47
b) Les milieux
domestiques
47
3.2.5 Le comportement de la
population
47
3.2.6 Les maladies
sanitaires
47
DIFFICULTES RENCONTREES
48
CONCLUSION GENERALE
49
SUGGESTIONS
50
BIBLIOGRAPHIE
51
TABLE DES MATIERES
53
* 1 KAYUMBA BANZE, la
problématique de l'évacuation des ordures,
ménagères au bâtiment Granat, mémoire en
santé publique/UNILU 2007, 2008
* 2 DITEMB M. JULLY, La
problématique de l'évacuation des déchets solides (Cas du
marché Mzee KABILA), mémoire en santé publique/UNILU
2004
* 3 MUKANYA
TSHIBANGU : « La problématique de traitement et
évacuation des déchets solides » (Cas de
l'hôpital Sendwe), mémoire en santé publique UNILU 2001
* 4 KASONGO ASSA AGNES,
« La problématique de traitement et évacuation des
déchets solides dans le milieu hospitalier (cas de policlinique AFIA
de Lubumbashi), mémoire en santé publique /UNILU 2002 - 2003.
* 5 ARSENE NKITWA
HANGA « La problématique de la gestion des ordures
ménagères dans la ville de Kinshasa (cas de la commune de
Masina), Mémoire en agronomie UNIKIN 2009
* 6 KASONGO MUKEBA, Cours
d'initiation à la recherche scientifique, G1 SPA I.U.C 2011-2012
* 7 WENU BECKER Cité par
l'assistant MUKEBA dans son cours d'IRS 2011 - 2012
* 8 KASONGO MUKEBA Op. cit
* 9 MADELEIN GRAWITZ, Lexique
social, 7e Ed. Dalloz, Paris 2000 P 76
* 10 GUY ROCHER, Introduction
à la sociologie générale, T3 Paris éd. HMH,
1980 ; P 146
3. MULUMBATI NGASHA Sociologie politique, éd Africa,
Lubumbashi 1988 P 128
* 11 KASONGO MUKEBA op. Cit
* 12 HENRI FAYOL cité
par ALI KANDOMBE, Dans son cours de science administrative, G1
SPA I.U.C Likasi 2011- 2012
* 13 ALI KANDOMBE, OP CIT
* 14 Dictionnaire du
cinquantenaire, Ed. 2010 p 529u
* 15 MUJINGA WA MUKEYA, cours
d'educit G1 SPA, I.U.C 2012
* 16 ARISTOTE, cite par MUJINGA
WA MUKEYA
* 17 MUNGA KITENGE , Cours
d'analyse de politique publique, Université Biosadec Likasi, LS
2015-2016
* 18 Dictionnaire Larousse
illustrée, éd. S.P.R.D.C, Kinshasa 2010, p 528
* 19 Parson, cité par
MUNGA KITENGE, op. cit
* 20 Idem P.466
* 21 Op cit
* 22 Dictionnaire de la langue
française, Robert Micro, Ed. 2008 p.1410
* 23 Loi organique N°
18.016 du 07/10/2008 portant composition, organisation et fonctionnement des
entités territoriale décentralisé et leur rapport avec
l'Etat et la province.
* 24 OBOTELA LINGULE
cité par MUSANS KAPEND, cours d'administration de villes, du Congo et de
l'Afrique, UNILU 2013 - 2014
* 25 LAURENCE J HEROSON,
cité par MUNGA KITENGE dans son cours d'analyse de politique publique,
LS SPA.2016
* 26 YVES MENY et JC THOENING
op cit
* 27 MUNGA KITENGE, op cit
* 28 MUNGA KITENGE, op. cit.
* 29 ANDRE SALUMU, cours
d'environnement national et régional, Université Biosadec Likasi,
Licence spéciale, SPA 2016
* 30 MUNYUNGWA KABAMBA,
Rôle et place de l'OVD dans la réhabilitation des infrastructures
routières par les contractants de l'administration dans la ville de
Likasi, mémoire UNILI, 2014 - 2015 p.35
* 31 MBAYA KABAMBA, cours de
domaines et problème sectoriels de l'administration Publique, L1 SPA,
UNILI 2013 - 2014
* 32 MBAYA KABAMBA, op. cit L1
SPA UNILI 2013-2014
* 33 MBAYA KABAMBA, op. cit, L1
SPA, UNILI 2013-2014
* 34 MBAYA KABAMBA op. cit L1
SPA UNILI 2013-2014
* 35 Idem
* 36 Ibudem
* 37 Idem
* 38 MBAYA KABAMBA op. cit, L1
SPA UNILI 2013-2014
* 39 Rapport de la Mairie
Likasi exercice 2014
* 40 Rapport annuel Mairie
Likasi 2013
* 41 Source :
l'investigation de recherche et rapport annuel mairie Likasi exercices 2013
* 42 Journal officiel du 20
Octobre 2008
* 43 Rapport annuel de gestion
des déchets mairie de Likasi 2014
* 44 Idem
* 45 Rapport annuel de gestion
de déchets, Mairie de Likasi exercice 2014
* 46 Source secrétariat
mairie Likasi
* 47 Source secrétariat
Mairie Likasi
* 48 ANDRE SALUMU, op cit. L.S
Université Biosadec Likasi 2015-2016
* 49 Rapport gestion des
immondices 2014, Mairie de Likasi