CONCLUSION PARTIELLE (Chapitre IV)
Pour ce qui concerne ce chapitre, il a porté sur la
forêt congolaise et les perspectives sur le réchauffement
climatique. Nous avons analysé ce chapitre en le subdivisant en trois
sections entre autre : Les perspectives de la certification, le secteur
forestier entant que clé du développement de la RDC, et enfin de
la défense des intérêts congolais sur la gestion
forestière.
Les forêts que regorgent la RDC en dépits des
enjeux qui peuvent être suscités, les perspectives d'avenir de ces
forêts sur la problématique du réchauffement climatique
sont énormes. D'où la nécessité de cette
république de pouvoir bien négocier pour arriver à
atteindre des objectifs assignés. Pour y parvenir donc à bien
générer des recettes à base de la forêt il faudra
que les principes suivant puisent être mis en place, il s'agit
de :
ü Les exploitants doivent accepter de jouer un rôle
social en faveur du développement des populations locales ;
ü L'approche participative doit être ouverte, la
transparence et la comprise par toutes les parties prenantes.
La politique de développement durable est
appliquée dans le cadre national qu'international. Sous l'optique
internationale laquelle nous intéresse entant qu'internationaliste, les
acteurs n'épargnent pas la défense des intérêts
nationaux. La résolution de problème du réchauffement
climatique implique les intérêts congolais à base de ses
forêts lesquelles interviennent en rescousse et considérées
espoir de l'humanité. C'est ainsi que cet aspect s'ajoute dans d'autres
qui interviennent directement dans le réchauffement climatique comme
l'émission de gaz à effet de serre. L'ensemble des informations
environnementales.
Telle a été notre réflexion sur les
perspectives de la forêt congolaise à cette aire du
réchauffement climatique.
CONCLUSION GENERALE
La forêt de la RDC et la problématique du
réchauffement climatique : enjeux et
perspectives ; Tel est le sujet qu'a porté ce
volume que nous venons de présenter.
Pour parvenir aux résultats entendus, notre question de
base en guise de problématique était celle de savoir les enjeux
qu'alimentent la forêt de la R.D.C dans la lutte contre le
réchauffement climatique et quelles perspectives en découlent.
Ainsi donc, la forêt que regorge le pays suscite des divers enjeux entre
autres les enjeux environnementaux, les enjeux sanitaires, les enjeux
économiques, les enjeux géopolitiques.
La méthode structuro-fonctionnaliste nous a servi de
cadre pour appréhender ce sujet qui a fait l'objet de notre
étude.
La nature de notre investigation nous a obligé à
recourir à la technique documentaire, ainsi, notre champ spatiale
était la République Démocratique du Congo.
Hormis l'introduction et la conclusion, ce travail a
été décortiqué sous quatre chapitres lesquels
comportent chacun trois sections et trois paragraphes par chacune des
sections.
Premièrement, la forêt de la R.D.C où nous
avons eu à noter sur l'écosystème Congolais ; le
rôle et fonction de la forêt et les sortes des forêts
trouvées en R.D.C
Deuxièmement, la problématique du
réchauffement climatique où nous nous sommes rendus compte que la
pollution de l'atmosphère est causée par la production
industrielle à outrance; ainsi, l'oxygène émis par la
forêt de la RDC viendrait à la rescousse de cette pollution.
Le troisième chapitre a porté sur les enjeux de
la forêt de la R.D.C. Enfin ; nous avons fini par décortiquer
le quatrième chapitre qui était le dernier «la forêt
congolaise et les perspectives du réchauffement climatique».
Les forêts congolaises ont un bilan positif dans la
lutte contre le réchauffement climatique. Elles sont importantes du
fait qu'elles approvisionnent plus en enrichissant les cours d'eaux, elles
offrent une source constante de nutriments pour le plancton marin en aval,
lequel produit 80% de l'oxygène que nous respirons et qui constitue un
important puits de carbone.
La forêt joue le rôle crucial en matière
d'épuration physique et physiologique, et préalablement
biologique de l'air et de l'eau. La santé humaine dépende en
dernier ressort de la capacité de la société à
gérer l'interaction entre les activités humaines et
l'environnement physique. La plante absorbe le C02 pour le
déroulement de la réaction de la photosynthèse (dont elle
a besoin pour sa survie), en libérant de l'oxygène. Le gaz
détruisant l'oxygène est à ce niveau absorbent par la
plante, elle freine, diminue les effets de ce gaz nuisible de
l'atmosphère. Retenons que sur les endroits où il n'y a pas des
plantes, le C02 va vite passer ou rejeter dans l'atmosphère
pour amorcer me phénomène d'effet de serre.
L'être vivant à besoin de l'oxygène pour
sa survie, sans cette substance l'homme ne peut vivre, il l'aide donc pour
sa survie. L'homme libère aussi un peu de C02 a l'absence des
forêts l'humanité souffrirait car elle lutte efficacement contre
les effets pervers du réchauffement climatique. La forêt
congolaise permette de mieux gérer l'étagement altitudinal.
L'observation nous a montré que la température annuelle moyenne
chute environ de 0,6% par déplacement d'un degré de latitude vers
le nord.
Les flores forestiers limitent le bouleversement climatique,
les végétaux utilisent principalement la partie rouge de spectre
solaire pour réaliser la photosynthèse. A ce niveau, la chaleur
du soleil qui entre dans l'atmosphère est bloquée (l'effet de
serre).
Le secteur forestier constitue un atout majeur, car on
à faire à des potentialités énorme qui n'ont pas
encore joué chacun son rôle respectif. Ces forêts se
caractérisent par une très grande
hétérogénéité de son potentiel.
L'Europe demeure l'un des principaux marchés
d'importation des bois tropicaux venant de la RDC. La forêt est un
réservoir de biodiversité importante dans les régions
à la fois urbanisées et très agricoles. Elle est une
source des richesses surexploitées.
Le réchauffement climatique est le défi
environnemental du XXIème siècle. D'où les acteurs
stato-centré illustrent l'importance de l'environnement. La mise en
place du marché de permis d'émission de C02
soulève des nombreuses questions économiques. C'est ce qui prouve
l'implication financière de plusieurs acteurs enviant la RDC. La
participation dans la lutte contre le réchauffement climatique de la RDC
reste et est active.
Les grands pollueurs de l'environnement sont les Etats Unis et
la Chine. On y ajoute le reste des pays composant le G8, les grands
émergents ( Inde, Brésil, Afrique du Sud, Mexique) ainsi que la
Corée du Sud, l'Indonésie et l'Australie du fait qu'ils
représentent un taux élevé d'émissions mondiales
des gaz à effet de serre (GES ).
Par ailleurs, les enjeux économiques
redéfinissent les clivages des acteurs nord- sud. Il exonère de
l'envie des pays en développement et ceux développés sans
contreparties financières. La forêt est donc un produit qui
s'achète et se vend.
La représentation de la RDC (54,59% des forêts de
son territoire national) la qualifie d'un espace toujours menacé par les
autres Etats n'ayant quasiment pas des réserves forestières, il
est donc parmi autant des facteurs puissants; une puissance forestière
du monde.
L'aggravation de problème des menaces et des drames
fait qu'on agit pour une part dans l'urgence : dans un certain nombre des
domaines, des interventions d'urgences planétaires s'imposent, la
société congolaise bloquée dans sa gestion de l'instant,
l'urgence tend à occuper une place importante. L'aménagement
forestier, le reboisement et l'augmentation des espaces forestiers sont autant
des réponses que nous avons proposées.
C'est dans ces efforts que nous avons présenté
ces analyses en ce qui concerne les enjeux et perspectives de la forêt
Congolaise face au réchauffement climatique. Que tous ceux qui nous
lirons ne nous tiennent pas rigueur et loin de nous l'idée de clore
nos recherches.
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