REPUBLIQUE DEMOCRA TIQUE DU
CONGO ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE
B.P : 67/Goma
CAS DU COMITE D'ASSITANCE NYIRAGONGO
(2007)
GESTION AUTOMATISEE D'UN SERVICE
COMPTABLE AU SEIN D'UNE ASBL
Par :
ZIHALIRWA NSHOMBO Alphonse
Travail de fin de cycle présenté et défendu
en vue de l'obtention du diplôme d'Ingénieur Technicien en
Informatique de Gestion.
Directeur : Ass. KAKULE MILANDO Eurasme
Année Académique 2007 - 2008
DEDICACE
A tous ceux qui ont contribué à l'essor de la
technologie ;
A tous ceux qui continuent à oeuvrer pour la
continuité de la science ; A tous les assoiffés de la
connaissance ;
A tous les hommes et femmes de bonne volonté et
particulièrement à mon épouse NYAMUTO
Gisèle.
ii REMERCIEMENTS
A l'Eternel Dieu tout puissant pour nous avoir accordé la
grâce de vivre et l'intelligence ;
Nos remerciements s'adressent à l'Ass. Eurasme KAKULE
MILANDO pour avoir accepté de diriger ce travail et dont les conseils et
les remarques ont été pertinents dans l'orientation de cette
recherche.
Nous remercions également les autorités
académiques ainsi que le corps professoral de l'ISC pour la formation et
l'encadrement durant notre premier cycle de l'enseignement supérieur.
A nos parents Apollinaire RUSUMBA et Colette KUJIRAKWINJA pour
les sacrifices consentis pour notre carrière estudiantine ;
A mon épouse GISELE NYAMUTO pour ses encouragements,
persévérance tout au long des mes cheminements académiques
ainsi que ma fille Ornella CIKURU ;
Aux autorités académiques de l'ISC pour leur
sympathie à notre égard et pour la confiance qu'ils nous ont
témoignée ;
A Madame Brigitte SAFI NGEZAYO Coordinatrice, et à tout
l'équipe de CAN/Goma ; A Monsieur Jean CHISHUGI, Administrateur de
CAN/Goma ;
A Monsieur KASISA Georges LUNGALUNGA, Comptable de CAN/Goma ;
A tous nos frères et soeurs pour leur soutien moral et
leur réconfort ;
A tous nos amis et connaissances particulièrement BELLO
SADIKI, Dieudonné KASIDIKA, Ir. Jean Paul MAENDELEO, Vital MUSHAMUKA,
AZIZI pour leurs conseils et encouragements, AMANI, Emmanuel M, Ir Blaise B,
Aimé B, Justin B ; Jean Paul BAHATI, Yvonne, Murhula, Solange, ;
Au couple Nestor M et Jolie M, Steven B et Gorette,
A tous les membres de la Chorale Sainte Cécile de la
Paroisse Saint Esprit/Goma ;
A tous nos camarades finaliste de l'année 2007 - 2008
notamment, Soeur Jeanine BAHANE N., Ghislain VAHEMBI, Georges CHIBADERHE,
Delphin, Rita BAGUMA, Noella NABASHAHO, Emmanuel DJUMA, Jean B M ; pour leur
fraternité exceptionnelle ;
A tous ceux qui de près ou de loin contribuent à
notre essor et dont leurs noms n'ont pas été cités ici
soit par mégarde ou par ignorance ;
iii SIGLES ET ABREVIATIONS
A : Analytique
AB : Automatisé Batch
AC : Conseil d'Administration
AC : Automatisé Conversationnel
AG : Assemblée Générale
AN : Alphanumérique
ASBL : Association Sans But Lucratif.
BD : Base des Données
Ca : Calculé
CAAF : Coordinateur Adjoint Administratif Financier
CAN : Comité d'Assistance Nyiragongo
CAT : Coordinateur Adjoint Chargé de Technique
CCIAL : Commercial
CCMV2 : Centre de Conseil pour Mieux Vivre
Co : Concaténée
CPTE : Comptabilité
E : Elémentaire
FIN : Finance
ICG/GTZ : Initiative Congolaise pour le sauvetage des Populations
de Goma
ILD : Initiative Locale de Développement
IMF : Institution de Micro Finance
LOG : Logistique
M : Mouvement
MAJ : Mise à jour
MCD : Modèle Conceptuel de Données
MCT : Méthode Conceptuel de Traitement
MERISE : Méthode d'Analyse de Système
d'Information
MFR : Micro Finance pour la Réhabilitation
MLD : Méthode Logique des Données
MLT : Méthode Logique de Traitement
MONUC : Mission des Nations Unies au Congo
MOT : Modèle Organisationnel de Traitement
iv
OMS : Organisation Mondiale de la Santé
ONG : Organisation Non Gouvernementale
PF : Procédure fonctionnelle
PL : Procédure Logique
PLK : Pêcherie du Lac Kivu
PME : Petite et Moyenne Entreprise
ROI : Règlement d'Ordre Intérieur
SGBD : Système de Gestion de Base des Données
SI : Système d'Information
SIG : Signalétique
SII : Système d'Information Informatisé
SIO : Système d'Information Organisationnel
Sit : Situation
SO : Système Opérant
SP : Système de Pilotage
ULT : Unité Logique de Traitement
VB : Visual Basic
0. INTRODUCTION
0.1. ETAT DE LA QUESTION
Le monde s'est engagé sur une voie ambitieuse dans
l'espoir d'atteindre l'un des objectifs majeurs du Millénaire pour un
développement qui vise à réduire de moitié, d'ici
2015, la proportion des personnes qui vivent avec moins d'un dollar par jour.
Cependant, les efforts en Afrique et en Amérique latine restent encore
trop lents, affirme un rapport conjoint de la Banque mondiale et du Fonds
monétaire international publié jeudi 20 avril
20061.
En République Démocratique du Congo, près
de 80% des ménages dépensent moins d'un dollar par jour et par
personne et 86% consomment moins de trois repas par jour. L'apport calorifique
est estimé à 1.800 calories/jour/personne alors que la norme
minimale, selon l'organisation mondiale de la santé (OMS) est de 2.300
calories2.
Les causes à la base de cette situation sont
nombreuses. Nous pouvons citer entre autres : une longue période de
dictature accompagnée des guerres successives et l'afflue massive des
réfugiés rwandais à l'Est du pays. Ces guerres ont non
seulement entraîné la perte en vies humaines (plus de 3 millions
des personnes) mais aussi l'effondrement du tissu économique.
L'éruption volcanique du 17 janvier 2002 a aggravé la situation
dans la ville de Goma : la coulée de lave volcanique a détruit la
plus grande partie des activités économiques dites modernes et
plusieurs infrastructures sociales de bases, telles que les écoles, les
centres de santé, les centres de desserte en eau et
électricité, les routes3...
Vu l'urgence qui naisse dans cette ville, nous assistons
à des multiples organisations à volet crédit dont 23,
rapports des réunions d'échange des acteurs de microfinance de la
ville de Goma, avril 2006 entre autre : coopératives d'épargnes,
des associations et ONG à volet crédit, des tontines, des
cambistes, dans la ville de Goma. Ils visent l'objectif de satisfaction des
besoins de la population via le crédit rotatif et se prennent eux -
même en charge par la subvention des besoins de première
nécessité. Malheureusement les services organisés ne sont
pas accessibles à toute la population.
Ainsi, KIKUMBU, conclue dans son étude, que les
crédits octroyés par ces institutions n'ont pas apporté un
changement significatif dans les ménages de leurs
1
http://www.microfinancement.cirad.fr/fr/bao/plandev.html
2 Ministère du Plan/RDC, document
stratégique pour la réduction de la pauvreté (DSRP),
Kinshasa, Février 2005
3 Idem
membres4. Il explique que cette situation serait
due au manque d'encadrement et de suivi des crédits octroyés aux
membres.
KANYENYI relève, pour sa part, que toutes les COOPECs
étudiées connaissent un pourcentage d'insolvabilité
relativement élevé (variant entre 7 et 16%)5.
Le Journal `'Pas à Pas» dans son bulletin
d'information trimestriel pour lier les agents de développement du monde
entier décrit : « Pour que les travaux de développement
communautaire soient durables, il est important d'avoir une vision et des plans
dès le départ. Les partenariats et la participation locale sont
essentiels car la durabilité ne peut être atteinte que lorsque la
communauté locale gère elle - même le processus de
développement, s'en sent propriétaire et ne dépend pas
d'une aide extérieure6.
Anne-Lucie Lafourcade, Jennifer Isern, Patricia Mwangi et
Matthew Brown affirment dans leur « Etude sur la portée et les
performances financières des institutions de micro finance en Afrique
» que les IMF africaines sont globalement dynamiques et en pleine
croissance. De plus, les IMF africaines semblent répondre aux vastes
besoins financiers de leurs clients. À la différence de la
tendance observée dans les autres régions, plus de 70 % des IMF
africaines offrent de l'épargne comme service financier de base et
l'utilise comme source importante de fonds pour les prêts7.
L'épargne est un élément fondamental dans
l'économie : elle est la contrepartie de l'investissement, lequel permet
à la croissance de se maintenir et de progresser. En principe, plus le
niveau d'épargne est élevé, plus les entreprises peuvent
avoir accès à des financements bon marché qui leurs
servent à augmenter leurs capacités de production et à
produire davantage en distribuant ainsi plus de revenus à leurs
salariés et à la collectivité. Il est donc indispensable
d'avoir une bonne mesure de cette variable. Pour les économistes,
l'épargne n'est pas analysée seulement comme un stock, elle est
considérée aussi comme un flux8
0.2. PROBLEMATIQUE
Dans la généralité, l'entreprise est une
organisation càd une association qui
se fixe les objectifs à atteindre les buts
déterminées en se dotant des moyens de production et les usagers
pour l'élaboration des biens et des services à être
vendu9.
4 KIKUMBU L. Eddy, l'impact de la microfinance dans la
réduction de la pauvreté dans la ville de Goma, inedit, ISIG,
2004-2005.
5 KAKENYI Grace, de l'insolvabilité des membres
des coopératives financières à Goma, inédit, CUEG
2003- 2004
6 Pas à Pas, Planifier pour un
développement durable, n°65, Novembre 2005, p.6
7
www.mixmarket.org
8 Microsoft Encarta, Encyclopédie Encarta,
Ed. Microsoft, 2007
9 FAYEL , A. et PERNOT, D. Comptabilité
Générale de l'Entreprise, 3e éd. CLET, Paris,
1986.
En effet, cette définition nous éclaircie que
l'entreprise est en relation avec d'autres agents économiques qu'elle
rencontre sur les marchés divers ou s'échangent les biens et les
services mais aussi soumise au comportement aléatoire de la vie socio-
économique de son environnement et à la contrainte que l'Etat lui
inflige.
L'environnement dans lequel évolue l'entreprise est
aussi complexe que mobile. Ainsi, l'entreprise doit maîtriser les
mouvements des flux liés à des phénomènes de
production, de transformation d'échange des biens et des services qui
circulent en son sein, tout en s'adaptant au comportement versatile de son
environnement. L'entreprise a donc le devoir de se doter d'une structure
conséquente en réponse à ces exigences.
Cette comptabilité est définie comme une
technique de constatation et d'enregistrement dans un langage quantitatif
homogène, des signes traduisant une activité pour en conserver la
mémoire, exprimer l'évolution et permettre le contrôle, un
outil indispensable d'information et de mesure de la situation
économique et financière de l'entreprise.
Elle constitue ipso facto, un recours ultime d'aide à
la prise de décision de gestion. La comptabilité joue un
rôle prépondérant dans la production périodique
d'informations, obligations légales imposées à
l'entreprise et sa tenue est indissociable au fonctionnement d'autres services
de l'entreprise desquelles elle tire des données qu'elle traite selon sa
procédure.
La fonction information doit être organisée dans
la mesure du possible pour remplir ses nobles missions notamment celle de
facilitation dans la coordination des opérations des différents
services de l'entreprise et celle d'aide à la prise de décision
de gestion. Cette fonction doit avoir la capacité de restituer aux
différents membres de l'entreprise, les informations sous forme
directement utilisable, au moment opportun, afin de faciliter le bon
fonctionnement opérationnel et la prise de décision aux
différents niveaux.
De ce qui précède, nous réalisons
très vite que dans l'affaire, 3 systèmes entre en jeux : le
système opérant (SO), le système d'information (SI), et le
système de pilotage (SP) ; ces 3 systèmes sont en parfaite
harmonie pour atteindre le résultat souhaité.
En ce qui concerne notre étude au sein de CAN, il
s'avère que ses structures l'aident à atteindre, quand
même, ses objectifs avec un retard relatif dû à sa gestion
qui est totalement manuelle par le fait de l'insuffisance d'encadrement social
du
personnel, dispersion des membres causant l'affaiblissement
des organes statutaires, réduction des activités dues à la
diminution des moyens financiers, insécurité dans les zones
d'intervention, transport et communication au personnel, insuffisance des fonds
de roulement pour la micro finance aux pauvres, les demandes étant
supérieures à l'enveloppe disponible, l'insuffisance des
partenaires, la production des opérations comptables et des rapports
financiers et remodeler le système d'information.
De là, quelques questions se posent :
(1) Quelles sont les stratégies pour épauler la
caisse en ce qui est du document synthèse de la situation des clients
qu'il doit journellement adresser à la comptabilité et
l'administration ;
(2) Quels sont les facteurs qui influencent la présence
des failles lors de la production des états financiers au sein de CAN et
comment les pallier ?
0.3. HYPOTHESE ET OBJECTIF DU TRAVAIL
CAN à son tour, ciblent non seulement la population
pauvre mais aussi cherche ses intérêts pour la continuité
de ses activités accompagné du capital et exigent des garanties
matérielles à titre de document parcellaire.
L'automatisation du système d'information serait un
atout pour le Comité d'Assistance Nyiragongo pour faciliter la
production du rapport journalier, la production des documents synthèses
de la situation des prêts, remboursements des
bénéficiaires.
Seul la comptabilité ne suffirait pas, il faut la
présence de la caisse pour une étroite collaboration.
En automatisant ces systèmes au sein de CAN, la gestion
serait claire et nette en disponibilisant à temps opportun les documents
comme :
- le journal comptable de la période concernée ;
- le grand livre ;
- le bilan comptable
et autres documents synthèse relatif à la caisse
entre autre :
- la situation des remboursements ;
- la situation des déboursements ;
- le relevé des dettes des divers clients.
0.4. DELIMITATION DU SUJET
Tout travail scientifique doit nécessairement être
limité dans le temps et dans
l'espace selon les objectifs poursuivis.
S'agissant du présent travail, nous avons reconnu, non
pas sans raison, que la gestion d'un asbl est une matière très
complexe et très vaste à tel point qu'il serait s'aventurier
amèrement si l'on voulait seul assurer son automatisation.
C'est pourquoi nous avons limité notre travail dans
l'espace de deux services seulement : celui de comptabilité et celui de
la caisse conformément aux objectifs lui assignés, sa
durée étant celle de l'exercice comptable de l'année
2007.
0.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Notre intérêt personnel est de contribuer à
la résolution des problèmes de
gestion liée à la comptabilité et la
caisse qui sont un vécu quotidien de la majeure partie des entreprises
de la place, ce qui nous a poussé au thème de ce présent
travail.
L'intérêt de CAN étant le recours à
la comptabilité dans la prise des décisions, et si elle est bien
tenue et sans erreurs, elle aide le gestionnaire à prendre des
décisions fiables ce qui aiderai les autres chercheurs à la
retrouvaille des données au sein de l'entreprise sans difficulté
aucune.
0.6. METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHES USAGEES
Bon nombre de méthodes et techniques nous ont
aidées pour l'élaboration du
présent travail scientifique.
0.6.1. Les Méthodes.
a) La méthode déductive
Déduire c'est : Tirer la conclusion nécessaire
d'un enchaînement logique de propositions10. Pour retrouver
l'intitulé de notre travail, nous sommes partis des problèmes qui
guettent les entreprises de la place comme vérités simples et
évidentes qui par une série de déduction logique, nous ont
permis de cibler l'entreprise qui fait l'objet de notre travail et
préciser les domaines que nous affrontons, c'est cela l'usage de cette
méthode.
10 Microsoft Encarta, Encyclopédie
Encarta, Ed. Microsoft, 2007
b) La méthode MERISE
Connue comme `'une méthode de conception et de
développement de système d'information11, la
méthode MERISE nous a permis non seulement d'analyser le système
d'Information (SI) existant au sein de CAN pour en soulever les failles et
proposer une solution à ces dernières.
0.6.2. Les techniques
D'une manière générale, `'la technique
est un outil qui permet au chercheur de récolter et, dans une certaine
mesure, de traiter les informations nécessaires à
l'élaboration d'un travail scientifique12» : Ainsi avons
- nous fait usage, pour l'élaboration de ce travail, de deux techniques
que voici :
a) La technique documentaire : par des
lectures attentives des ouvrages, des travaux de fin de cycle, des
mémoires, des brochures et cours divers, nous sommes parvenus à
compléter notre connaissance personnelle afin de pallier à
l'élaboration de ce présent travail.
b) L'interview : définie comme
entretien avec une personne pour l'interroger sur ses actes, ses idées
afin d'en publier ou diffuser le contenu13. Cette technique nous a
permis de découvrir les réalités existant au sein de CAN
et relations entre différents services par la procédure des
questions - réponses.
0.7. DIFFICULTES RENCONTREES
A part les difficultés pécuniaires qui ont
caractérisé notre recherche, nous nous sommes heurté au
manque des moyens de communication et de déplacement pour atteindre les
groupes bénéficiaires et palper des doigts leur
réalité; l'insécurité dans certains milieux
où vivent les bénéficiaires nous a aussi fait
défaut ;
11 Idem
12 ALBANZ, Op.cit
13 MAURY EUROLIVRES, Dictionnaire usuel, Ed. Larousse,
France, Avril 2007
0.8. PRESENTATION SOMMAIRE DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion, notre travail est
constitué de quatre chapitres :
- le premier chapitre intitulé
`'Généralités sur le micro
crédit». C'est un condensé de ce qu'est micro
crédit dans le monde et au niveau de Goma/CAN ;
- Le deuxième partie a comme titre `'Analyse de
système d'information» consiste à une étude
assidue du système d'information en vogue au sein de CAN et des
documents que ce dernier utilise dans sa gestion ;
- le troisième chapitre libellé
`'Conception du système d'information futur» met
à jour le système d'information de l'existant en lui donnant le
pouvoir de prendre en considération les propositions d'analyse pour
atteindre les objectifs poursuivis ;
- enfin, le quatrième chapitre intitulé
`'Conception du système d'information
informatisé», brosse les possibilités
d'automatisation du système d'information futur et abouti à la
création de la base de données et à l'établissement
ou détermination des relations qui existent entre les entités de
cette base de données au niveau physique ainsi que de l'application
informatique y relative.
Chap. I : GENERALITES SUR LE MICRO CREDIT
1.1. CONCEPTS DE BASE
1.1.1. Le concept de « Gestion »
La gestion est l'action de gérer14,
contrôler, organiser. Elle est un terme générique
désignant l'ensemble des applications de l'informatique
aux tâches administratives15.
1.1.2. Le Concept de « Gestion automatisée
»
La gestion est dite automatisée lorsque les tâches
administratives (exemple : la
comptabilité) s'exécute automatiquement ;
càd sans l'intervention de la volonté humaine à l'aide
d'un outil de traitement automatique de l'information (ordinateur).
1.1.3. Le concept de « Service comptable »16
Un service est une section de l'entreprise ou de
l'organisme public considérés qui
correspond à une fonction déterminée
complémentaire des autres
Comptable est un adjectif qui vient du mot
« compte » (càd ensemble de ce qui est dû ou reçu
; ensemble du débit et du crédit d'un client dans un
établissement bancaire).
Un service comptable : est définit comme
étant un service chargé des comptes. Notons en plus que ce
service s'appelle aussi Comptabilité.
1.2. Micro crédit dans le monde : historique et
évolution17
Le microcrédit est né dans les années 1970,
du constat de l'inadéquation de
l'offre bancaire traditionnelle aux besoins des populations
des pays en voie de développement. Considérés comme non
solvables, incapables de fournir des garanties suffisantes, les habitants des
régions les plus déshéritées du monde n'ont
longtemps eu d'autre alternative que le recours aux usuriers pour emprunter.
Maria NOWAK dans « on ne prête (PAS) qu'aux riches (Edition JC
Lattès, Janvier 2005) fait remonter l'origine du micro crédit
à la fin du 19ème siècle avec la
création de la 1ère coopération de crédit
initiée en Rhénanie par F.W. Raiffeisen. Mais en
réalité le véritable démarrage de la formule se
situe au milieu des années 1970.
Après quelques expériences assez
désastreuses d'opérations menées par « le haut »
(en général, dans le cadre de vastes programmes de modernisation
de
14 BEAUCOURT, M. et Alii, Op.Cit.
15 MORVAN P., Dictionnaire de l'informatique,
Ed. Larousse, Paris, 1996
16 BEAUCOURT, M. et Alii, Op.Cit.
17
www.orse.org
l'agriculture, notamment en Afrique, au moyen de distribution
systématique des prêts sans tenir compte des besoins réels
des paysans), le micro crédit a émergée, au contraire
d'initiatives de terrain menées sous l'impulsion d'acteurs locaux, le
plus souvent bénévoles.
Les bases du micro crédit ont été
jetées en 1976 par un professeur d'économétrie, MUHAMED
YONUS. S'étant intéressé aux villages qui entouraient son
université, il a découvert l'exploitation dont leurs habitants
faisaient l'objet de la part des usuriers. N'arrivant pas à convaincre
les banques commerciales de s'engager, il décida en 1983, après
quelques opérations pilotes réussies (dont les
bénéficiaires étaient essentiellement des femmes), de
créer sa propre structure la Grameen Bank (ou « banque des Pauvres
»). Celle - ci connut immédiatement le succès. Il ne s'est
pas démenti depuis, malgré une crise en 1998 consécutive
aux inondations qui ravagèrent le Bengledesh à cette
époque.
Aujourd'hui la Grameen Bank, tout en continuant à
distribuer des Micro crédit auprès de plus de 3millions de
clients, a mis en place de nouveaux produits comme le Fonds de retraite, forme
d'assurance qui couvre notamment le risque de décès de
l'emprunteur.
Le principe de base du microcrédit, premier produit mis
en place par la microfinance, est de proposer à un individu une somme
modeste, correspondant à son besoin immédiat, et remboursable par
petites traites sur une période courte. Dans plus de 90 % des cas, le
client de l'IMF est une femme, porteuse d'un projet économique
précis à l'échelle d'un village ou d'un quartier. Elle
appartient en règle générale à un petit groupe de
femmes, constitué pour l'occasion, dont chaque membre souscrit son
propre emprunt et se porte garant des autres. La conclusion du prêt se
fait de manière individuelle, après étude de la
viabilité économique du projet, mais sans garantie autre que la
solidarité, considérée comme une pression suffisante sur
chacun des membres du groupe. Cependant, le contrat de prêt s'accompagne
souvent d'une épargne obligatoire, constituée par une fraction de
la somme empruntée et récupérable après
remboursement total.
1.3. Quelques dates historiques sur le micro
credit18
1970 : Première initiative Bangladesh (Grameen Bank),
Burkina Faso, Cameroun ( Coopérative) et Brésil (Accion)
1997 : 1er somment internationale du microcrédit
2005 : année internationale du microcrédit
2006 : Prix Nobel de la paix attribué à M. Yunus,
fondateur de la Grameen Bank
1.4. NOTIONS INTERMEDIAIRES SUR LE BILAN19
Le bilan est simplement le relevé de ce que l'entreprise
possède et de ce qu'elle doit.
Le montant possédé et le montant dû devront
toujours s'équilibrer, être les mêmes. Un examen du bilan
d'une entreprise peut vous apprendre beaucoup sur la situation
financière de cette entreprise.
1.4.1. Les principaux éléments d'un
bilan.
Si vous jetez un coup d'oeil sur le bilan, vous verrez ses six
rubriques ;
1. Actif immobilisé
2. Actif circulant
3. Passif exigible
4. Actif net
5. Actif circulant net
6. Financé par ou passif non-exigible.
1.4.2. Différence entre actif et passif.
L'actif est une entreprise (ou un projet)
comportant tous les biens que l'entreprise
possède et qu'elle peut utiliser pour fonctionner :
terrains, bâtiments, équipements divers, stocks des
matières premières ou de produits finis, argent liquide.
Le passif est composé de la liste des
montants que l'entreprise doit à d'autres : ceux - ci comme on l'a dit
plus haut, l'actif et le passif doivent toujours être égaux, car
l'entreprise ne possède rien en propre. Tout ce qu'elle possède,
elle le doit à ceux qui l'ont financé. En fait, le fonds a
été donné.
18
www.lamicrofinance.org
19 CORATAFRICA et INADES-FORMATION-KENYA, Notions
intermédiaires de finances, In « La Gestion pour les Agents du
Développement », Unité-8, INADES-FORMATION-ZAÏRE,
Kinshasa.
1.4.3. Les différentes sortes d'actifs :
a) Actif immobilisé : Ce
sont les biens du projet qui ne peuvent pas facilement être convertis en
argent liquide : le terrain, les bâtiments, tout l'équipement, tel
que les machines, les véhicules, les matériels de bureau, etc.
b) Actif circulant : cette rubrique
décrit également les biens que possède l'entreprise, mais
cette fois - ci il s'agit soit d'argent liquide soit des biens pouvant
facilement être convertis en monnaie et qui le seront normalement avant
un an. Par exemple les stocks et les débiteurs font partie de l'actif
circulant.
c) Actif circulant net : l'actif
circulant net est l'actif circulant moins le passif exigible. L'actif circulant
net vous dit quel montant l'entreprise peut utiliser librement pour ses
activités. En effet, le passif exigible peut aussi être
utilisé mais pas librement : il doit être remboursé avant
un an. L'actif circulant net est un des montants qui doit toujours attirer
votre attention dans un bilan.
d) Actif net : l'actif net est
égal à l'actif circulant net plus l'actif immobilisé.
C'est la valeur total de tous les biens de l'entreprise. A la valeur de l'actif
net correspondent toujours des fonds qui proviennent soit de
l'extérieur, soit de l'entreprise elle - même et qui
n'appartiennent pas au passif exigible. Ils forment le passif non exigible.
1.4.4. Les différentes sortes de passifs.
a. Le passif exigible On parle de
passif exigible lorsque les biens doivent être remboursés dans
les
semaines à venir, ou tout au plus dans l'année. Un
exemple type : les créanciers.
b. Financé par ou le Passif non exigible
Le passif non exigible donne les origines des fonds qui, ne
seront jamais réclamés à
l'entreprise ou qui ne devront être remboursés
qu'à moyen ou long terme. Ainsi, le surplus d'exploitation et les fonds
donnés à l'entreprise comme aide ne lui seront jamais
effectivement réclamés. Mais, il y a aussi des fonds qui sont
prêtés par des banques ou autres organismes financiers et qui ne
doivent être remboursés qu'à moyen ou long terme.
1.4.5. Comprendre le bilan.
On peut comparer le bilan à une photo. En effet, la photo
est une image saisie à un
moment précis dans le temps. De même, le bilan
montre une image de la situation financière de l'entreprise ou d'une
organisation à la fin de l'exercice (année
budgétaire). Interpréter complètement le
bilan consiste essentiellement à étudier attentivement les trois
questions qui suivent :
1. Quel est le montant dont dispose l'entreprise pour ses
activités ?
Pour trouver la réponse à cette question, il
suffit de jeter un coup d'oeil sur l'actif circulant net. Comparer ensuite ce
chiffre avec celui des dépenses de l'année écoulée,
que vous trouverez dans le compte d'exploitation.
Si vous le constater que le montant de l'actif circulant net
est très bas, votre négatif, cela signifie que le passif est
supérieur à l'actif. ATTENTION ! L'entreprise se trouve dans une
situation financière dangereuse. Il faut prendre des mesures pour
corriger cet état de choses.
2. Quelle est la valeur de l'entreprise ?
Cette question a pour but de savoir exactement ce que
possède le projet. L'actif net donne la réponse à cette
question. Celui - ci est égal à l'actif net circulant plus
l'actif immobilisé.
3. Qui finance l'entreprise ?
Pour savoir d'où provient l'argent de l'entreprise, jetez
un coup d'oeil sur la liste des origines des fonds : surplus d'exploitation,
dons et subventions, prêts à plus d'un an.
1.5. PRESENTATION DU COMITE D'ASSISTANCE NYIRAGONGO20
1.5.1. Dénomination
L'organisation est nommée `'Comité
d'Assistance Nyiragongo», en sigle CAN asbl 1.5.2.
Historique
Le Comité d'Assistance Nyiragongo en sigle « CAN
asbl » est une association sans but lucratif qui a vu le jour après
l'éruption du Volcan Nyiragongo du 17 Janvier 2002.
Les Initiateurs avaient regroupés les ONG locales afin
de travailler en synergie dans l'objectif de contribuer à la
canalisation des aides humanitaires aux sinistrés déjà
regroupés dans différents sites d'accueils.
Au fur et à mesure que la période d'urgence
tendait à la fin, un bon nombre des sinistrés étaient
abandonnés à leur sort et demeurant sans activités
économiques, ce qui a poussé le CAN à
l'épanouissement de son plan d'action vers le développement
durable aux initiatives locales par la production des revenus mais aussi en
les
encourageant par le biais de facilitation de la
réintégration vers les zones de production.
Ainsi, CAN a comme mission d'encadrer et d'appuyer les ONGs et
les initiatives locales dans leurs interventions au niveau de la base.
1.5.3. Cadre organisationnel de CAN
a) Composition des organes
Le CAN est composé par des organes suivants :
L'Assemblée
Générale
Est l'organe suprême du réseau et a comme mission
:
- définition et orientation des programmes d'actions ;
- engage les décisions importantes à l'organisation
;
- approuve/modifie les statuts & ROI, et les
prévisions budgétaires ;
- décide sur l'admission ou l'expulsion des membres,
dissolution du réseau et l'affectation du patrimoine après
liquidation des dettes ;
conseil d'administration
Est chargé de :
- suivi et gestion des décisions de l'AG ;
- engage le réseau aux instances de l'Etat et des tiers
coordination
Est l'organe technique assurant la gestion courante des
activités regroupant le Coordinateur secondé de 2 adjoints (l'un
chargé de l'Administration et finance et l'autre de la technique)
La coordination regroupe à son sein :
- le Secrétariat Administratif ;
- le Bureau d'étude ;
- les actions communautaires ;
- les actions d'urgences ;
- le centre agricole ;
- le crédit
cadre organisationnel interne
Au sein de CAN, les services suivant sont opérationnels
:
 Administration et Programme ;
 Crédit ;
 Comptabilité ;
 Secrétariat.
b) Schématisation de l'organigramme CAN.
A.G.
C.A.
Coordination
C.A.A.F
C.A.T
Secrétariat
Études
LOG. FIN.
Personnel
Caisse Ccial Cpté
Actions Comm
Réhabil itation
Agri & Élevage
Comme rcial
Animat & Format
|
|
ONG/ILD
|
|
ONG/ILD
|
|
ONG/ILD
|
|
ONG/ILD
|
|
|
|
|
|
1.5.4. Objectifs
a) Global
Renforcer et accompagner les initiatives locales dans le
cadre de la promotion de la production et le développement de la
capacité d'auto - prise en charge et l'assurance du bien être
social, matériel, financier et environnemental de la population.
b) Spécifiques
Sensibiliser et encourager les déplacés à
retourner dans leurs terroirs ;
Mise à la disposition des populations en zone de
production des moyens nécessaires leur permettant la
réintégration dans leur milieu d'origine ;
Contribuer au réaménagement des infrastructures
sociales de base en milieu de production ;
Création de l'emploi dans les zones de production par
l'implantation des moyens de production et de transformation
améliorée ;
Initier des centres agricoles pour subvenir aux besoins tant
des producteurs que des consommations en produits de première
nécessité;
Appui financier, matérielle et technique aux initiatives
locales de base : femmes, ONG locales, privées concourant à la
production et au développement.
1.5.6. Stratégies d'action de CAN.
Pour atteindre ses objectifs, CAN met en place les
stratégies :
& Organisation des séances de sensibilisation et
séminaire de formation aux membres ;
& Contact et échange d'expériences avec les ONG
tant nationales qu'internationales ;
& Organisation et écoulement des micros -
crédits rotatifs avec les groupes solidaires ;
& Création des centres agricoles favorisant la
production, stockage et transformation des produits agricoles ;
& Conception des projets pilotes d'auto - prise en charge
institutionnelle.
1.5.7. Difficultés de CAN
a) Insuffisance d'encadrement social du personnel ;
b) Dispersion des membres causant l'affaiblissement des organes
statutaires ;
c) Réduction des activités dues à la
diminution des moyens financiers ;
d) Insécurité dans les zones d'intervention;
e) Transport et communication ;
f) Insuffisance des fonds de roulement pour la micro finance aux
pauvres, les demandes étant supérieures à l'enveloppe
disponible ;
g) Insuffisance des partenaires.
1.6. Réalisation de CAN.
Regard généralisé sur les
activités réalisées
a. Pendant le sinistre
CAN a organisé :
- le recensement et l'enregistrement ;
- le contact avec les familles d'accueil qui ont
hébergé des centaines des familles ;
- l'aménagement du site PLK/Kituku où 68 familles
ont été installées soit plus de 476 personnes en moyenne
à raison de 7 personnes par famille ;
- le lobbying pour l'assistance aux sinistrés : NRCA,
Rotary Club, MONUC - ESCO ;
- l'encadrement des enfants égarés des
sinistrés et au mal nourris à Kituku ;
- le dénombrement des effectifs des sinistrés du
site ESCO pour l'acquisition des
parcelles à Mugunga et Lac Vert en collaboration avec la
Mairie de Goma ;
- la distribution des semences et terres cultivables aux
sinistrés dans le Masisi, la
presqu'île et le grand Nord ;
- la micro finance pour la réhabilitation des
sinistrés et l'organisation des nouvelles communautés.
b) Après le sinistre et jusqu'à nos
jours.
Avec ses membres (ONG et ILD) sur le terrain
:
· organisation des 32 ONG et ILD affiliés a
réseau CAN à oeuvrer en synergie dans le cadre des actions d'auto
prise en charge ;
· faciliter 9500 sinistrées et
déplacées à s'installer dans les sites de production
agricole (Kasembe, Bunyole, Rutshuru), Mangina ;
· pacification et réconciliation des familles
d'ethnies différentes par des activités agricoles et
d'élevages combinés (480 familles) : Kasembe et Bunyole dans le
cadre d'appui aux très pauvres ;
· participation active à la réalisation du
projet d'adduction d'eau à Mugunga, construction d'un marché et
celui de traitement des immondices dans le cadre de l'ICG/GTZ financé
par l'Union Européenne ;
· organisation des nouvelles communautés et des
villages réhabilités en faveur des populations sinistrés
et retournées dans leur terroir ;
· concours à la paix et réconciliation
dans le Masisi à travers les activités de relance de
l'agriculture et de l'élevage, des ros et petits bétails
(Kasembe, Bunyole et Karuba) ;
· réhabilitation des activités
génératrices de revenus des populations par les micros
crédits rotatifs aux groupes solidaires (appui à la paix et
réconciliation).
Chapitre II : ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION
2.1. LE MODELE CONCEPTUEL DES FLUX
Il s'agira dans ce point de la présentation des
relations qui existent entre
services sous une forme schématique, càd la
présentation schématique de la circulation de l'information au
sein du Comité d'Assistance Nyiragongo.
2.1.1. Diagramme brut des flux net
Schéma n° 1
Source : nos enquêtes
CAISSE
28
CLIENT
30
25
27
29
26
2
COMPTABILITE
24
CREDIT
1
23
3
18
19
8
22
RECEPTION
7
20
17
21
6
16
15
ADMINISTRATION
14
9
SECRETARIAT
COORDINATION
5
13
10
11
12
23
LEGENDE
1 : renseignement crédit
2 : dépôt demande de crédit
3 : orientation client
4 : instructions
5 : orientation client
6 : instructions + guidance
7 : dépôt rapport à saisir
8 : rapport à saisir, évolution des
activités
9 : document saisis
10 : document à saisir, instructions activités
11 : dépôt rapport d'activités
12 : suggestion, orientations et instructions
13 : orientations et instructions
14 : rapport et suggestions d'activités
15 : instructions, reproches
16 : dépôt rapport
17 : rapport
18 : orientation
19 : ordre, instructions
20 ; dépôt rapport
21 : actualisation des listes des clients
22 : dépôt des demandes des crédits
23 : suivi bénéficiaires
24 : dépôt remboursement
25 : vérification caisse
26 : versement espèces de remboursement
27 : rapport
28 : orientation
29 : dépôt remboursement
30 : rapport remboursement
18 20
2.1.2. Matrice des flux net.
|
Coordination
|
Administration
|
Comptabilité
|
Caisse
|
Service crédit
|
Secrétariat
|
Réception
|
Client
|
Coordination
|
X
|
Suggestion Orientation
|
|
|
|
Orientation + suggestion
|
|
|
Administration
|
Rapport
|
X
|
Orientation
|
Orientation
|
Ordre
|
Docs à saisir
|
Instruction
|
|
Comptabilité
|
|
Rapport
|
X
|
Orientation
|
Suivi des clients
|
|
Instructions
|
|
Caisse
|
|
Rapport
|
Versement espèces
|
X
|
Rapport recouvrement
|
|
|
|
Service crédit
|
|
Rapport
|
Rapport remboursement
|
Dépôt remboursement
|
X
|
Actualisation des listes
des clients
|
|
|
Secrétariat
|
Rapport
|
Docs saisies
|
Rapport
|
|
Dépôt
demande de crédit
|
X
|
Instructions
|
|
Réception
|
|
Rapport
|
Orientation des clients
|
|
|
|
X
|
Renseignement
|
Client
|
|
|
|
|
|
|
Dépôt de mande de crédit
|
X
|
|
Tableau n° 1
COORDINATION
5
CLIENT
8
7
RECEPTION
COMPTABILITE
6
21 19
2.1.3. Diagramme conceptuel des flux net.
Schéma n° 2
LEGENDE
1 : rapport suggestion
2 : orientation, instruction
3 : rapport central, dépôt liste des
bénéficiaires et demande de crédit, rapport de micro
crédit, suggestions, rapport de suivi des bénéficiaires,
versement espèces, rapport synthèse.
4 : orientation, suggestion
5 : orientation des clients
6 : instructions, orientations à suivre
7 : demande des renseignements et dépôt de demande
de crédit
8 : guidance, orientation
2.2. LE MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS
(MOT)
De manière descriptive, le modèle
organisationnel des traitements (MOT) intègre des notions sur le temps
et la durée (déroulement), les ressources, le lieu et la
responsabilité (poste de travail) et de nature de traitements (manuel ou
automatique). Cela étant, il s'avère que le niveau
organisationnel révèle le SII en donnant des réponses aux
questions QUI ?, OU ?, QUAND, vis - à - vis des responsables, les lieux
et les temps d'exécution.
2.2.1. Règles d'organisation.
· Le Comité d'Assistance Nyiragongo assure ses
services de 8h°° à 15h°° du lundi au vendredi et de
8h°° à 12h°° le samedi. Pour les cadres, le travail
débute à la même heure mais quant à eux, ils peuvent
aller au - delà selon le volume du travail ;
· Tout remboursement est effectué au niveau de la
caisse ou de la comptabilité qui livre un reçu et verse les fonds
au caissier ou à l'administrateur pour conservation dans le coffre fort
;
· Avant qu'un client n'intègre nos services, il doit
passer par la réception pour orientation;
· Un crédit n'est octroyé que quand le
montant demandé est disponible en caisse, dans le cas contraire, le
crédit reste en attente de règlement ;
· Tout octroi de crédit est conditionné par
l'élaboration d'un reçu
· A la fin d'une période donnée (de 1jour
à 1 année), un rapport devra être élaboré.
2.2.2. Tableaux des procédures fonctionnelles du
SII existant.
Tableau n°2. Tableau des PF : Processus «
Accueil et enregistrement client».
TABLEAU PF : PROCESSUS « ACCUEIL ET ENREGISTREMENT
CLIENT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
Durée Max
|
|
Respo
|
Ressource
|
PF1
|
8h<X=15h
|
X
|
Réception client
|
M
|
Réception
|
Réception
|
Réceptionniste
|
PF2
|
8h<X=15h
|
X
|
Demande de renseignement
|
M
|
Réception
|
Réception
|
Réceptionniste
|
PF3
|
8h<X=15h
|
X
|
Orientation client
|
M
|
Réception
|
Réception
|
Réceptionniste
|
PF4
|
8h<X=15h
|
X
|
Présentation contrat
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de
crédit
|
PF5
|
8h<X=15h
|
X
|
Analyse contrat
|
M
|
Service crédit
|
Chargé
de crédit
+ client
|
Chargé de
crédit + client
|
PF6
|
8h<X=15h
|
X
|
Adoption contrat
|
M
|
Service crédit
|
Client
|
Client
|
PF7
|
8h<X=15h
|
X
|
Enregistrement contrat
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
|
TABLEAU PF : PROCESSUS « OCTROI
CREDIT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
PF8
|
8h<X=15h
|
X
|
Recherche client
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF9
|
8h<X=15h
|
X
|
Vérification disponibilité crédit
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF10
|
8h<X=15h
|
X
|
Signature contrat
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF11
|
8h<X=15h
|
X
|
Elaboration reçu
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF12
|
8h<X=15h
|
X
|
Enregistrement crédit
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
|
TABLEAU PF : PROCESSUS « REMBOURSEMENT
CREDIT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
Durée Max
|
|
Respo
|
Ressource
|
PF13
|
8h<X=15h
|
X
|
Remboursement
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF14
|
8h<X=15h
|
X
|
MAJ remboursement
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF15
|
8h<X=15h
|
X
|
Vérification échéance
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF16
|
8h<X=15h
|
X
|
Calcul amendes
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF17
|
8h<X=15h
|
X
|
Elaboration reçu
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF18
|
8h<X=15h
|
X
|
Enregistrement remboursement
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
|
TABLEAU PF : PROCESSUS « PRODUCTION
RAPPORT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
Durée Max
|
|
Respo
|
Ressource
|
PF19
|
8h<X=15h
|
X
|
Transmission document de gestion
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF20
|
8h<X=15h
|
X
|
Réception document de gestion
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF21
|
8h<X=15h
|
X
|
Analyse document
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF22
|
8h<X=15h
|
X
|
Elaboration rapport
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF23
|
8h<X=15h
|
X
|
Production rapport
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
|
2.2.3. Diagramme d'enchaînement des
procédures PROCESSUS «ACCUEIL ET ENREGISTREMENT CLIENT»
DEROULEMENT Début
Durée maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
|
Nature
|
Lieu
Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
Clients Réceptionniste
disponible
|
M
|
Réception Réceptionniste Réceptionniste
|
|
|
RECEPTION CLIENT
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Réception Réceptionniste Réceptionniste
|
|
PF2
|
DEMANDE RENSEIGNEMENTS
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Réception Réceptionniste Réceptionniste
|
|
|
PF 3
|
ORIENTATION CLIENT
|
|
|
|
|
|
|
8h<X=15h
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
1 Protocole de
collaboration
|
|
|
PRESENTATION CONTRAT
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Client
|
|
|
PF5
|
ANALYSE CONTRAT
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Client Client
|
|
|
|
|
PF6
|
ADOPTION CONTRAT
|
|
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
PF7
|
ENREGISTREMENT CLIENT
|
|
|
|
|
PROCESSUS «OCTROI CREDIT»
DEROULEMENT Début Durée maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
|
Nature
|
Lieu Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
Fiche client
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
PF8 RECHERCHE CLIENT
|
|
|
|
|
Carnet des
a b reçus
aETb ouc c
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
PF9
|
VERIFICATION DISPONIBILITE
|
CREDIT
|
|
|
N'a pas crédit
|
a crédit
|
|
|
|
|
|
Fiche protocole
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
PF10
|
SIGNATURE PROTOCOLE
|
|
|
|
|
|
8h<X=15h
|
A
|
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
ELABORATION REÇU
|
|
M
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Cahier d'enregistrement
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
ENREGISTREMENT CREDIT
|
|
|
|
|
|
PROCESSUS «REMBOURSEMENT CREDIT»
DEROULEMENT Début Durée
maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDU RES
|
Nature
|
Lieu Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
|
REMBOURSEMENT
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
PF14
|
MAJ REMBOURSEMENT
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
PF15
|
VERIFICATION
|
ECHEANCE
|
|
|
dépassée
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
PF1 6
|
CALCUL AMENDES
|
|
|
|
PF 15
|
|
|
|
|
A
|
|
8h<X=15h
|
|
|
A
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
ELABORATION REÇU
|
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
ENREGISTREMENT REMBOURSEMENT
|
|
|
|
|
|
|
PROCESSUS «PRODUCTION RAPPORT»
DEROULEMENT Début Durée
maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
|
Nature
|
Lieu Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
Chargé de Comptable
crédit disponible
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
PF1 9
|
TRANSMISSION DOCUMENT DE GESTION
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
RECEPTION DOCUMENT DE GESTION
|
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
ANALYSE DOCUMENT
|
|
|
Toujours
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
ELABORATION RAPPORT
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
PF23
|
PRODUCTION RAPPORT
|
|
|
|
|
|
2.3. LE MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS (MCT)
Le niveau organisationnel consiste à penser le SI sans
faire appel au concept
lié à l'organisation du point de vue
données et traitements. Ainsi, la question QUOI ? (c-à-d quoi
faire ?) et avec quelles données ?.
2.3.1. Les concepts usagés21.
· Evénement : un événement est le
compte rendu au SI du fait quelque chose
s'est produit dans l'univers extérieur ou dans le SI lui
- même.
· Opération : une opération est un ensemble
d'actions accompagnées par le SI en réactions à un
événement ou à une conjoncture
· Synchronisation : une synchronisation d'une
opération marque le rendez-vous des événements
contributifs qui doivent être arrivés avant le
déclenchement de l'opération selon une proposition logique
traduisant les règles de gestion d'activation c-à-d les
règles de gestion que doivent vérifier les
événements contributifs pour déclencher les actions.
· Processus : un processus est un enchaînement
d'opérations incluses dans un même domaine d'activité.
2.3.2. Règles de gestion.
· Toute personne qui arrive à la réception
est considérée comme un client
potentiel à part entière (totalement) ;
· Avant qu'un client n'intègre nos services, il doit
passer par la réception pour orientation ;
· Ne peut obtenir de crédit qu'un client
enregistré ;
· Pour recevoir un crédit, le client se doit de
signer un protocole de collaboration;
· Un crédit n'est octroyé que quand le
montant demandé est disponible ; dans le cas contraire, le crédit
reste en attente de règlement;
· Tout octroi de crédit est conditionné par
l'élaboration d'un reçu ;
· Avant tout remboursement de crédit, on
vérifie d'abord si l'échéance n'est pas atteinte. Si c'est
le cas, des amendes seront calculées et payées par le client en
plus des intérêts dus au crédit ;
· Un remboursement ne peut être enregistré que
si le montant couvre le capital à rembourser plus les
intérêts et les amendes le cas échéant ;
21 Eurasme KAKULE MILANDO, Cours d'Analyse du
Système d'Information I Inédit, G3-ISC, 2006-2007
·
RECEPTION CLIENT
Réceptionniste
Clients disponible
ET
Client enregistré
Tout remboursement est conditionné par un octroi de
reçu au client ;
· A la fin d'une période donnée, (de 1jour
à 1 année), un rapport devra être élaboré.
2.3.3. Le modèle conceptuel des traitements.
Notre MCT comporte 4 processus :
1. PROCESSUS « ACCUEIL ET ENREGISTREMENT
CLIENT»
ORIENTATION CLIENT
Clients reçu
ET
Feedback client
Toujours
ANALYSE CONTRAT
Clients orienté
ET
Contrat
Toujours
ENREGISTREMENT CLIENT
Contrat approuvé
Contrat analysé
ET
Fiche client
Adoption contrat
Toujours
Crédit enregistré
2. PROCESSUS « OCTROI CREDIT»
Fiche client
RECHERCHE CLIENT
Toujours
VERIFICATION DISPONIBILITE CREDIT Client n'a pas de
crédit Client a crédit
Client n'a pas de crédit
Client recherché
ET
ET
Client a crédit
Caisse
ELABORATION REÇU
Toujours
Reçu élaboré
ET
Cahier enregistrement
ENREGISTREMENT CREDIT
Toujours
Remboursement enregistré
3. PROCESSUS « REMBOURSEMENT
CREDIT»
ENREGISTREMENT REMBOURSEMENT
Argent
Echéance non dépassée
Amandes calculées
Protocole livré
VERIFICATION ECHEANCE Toujours
REMBOURSEMENT Toujours
CALCUL AMENDES Toujours
ET
ET
ET
ET
Carnet des reçus
Arrivé client
Echéance dépassée
Cahier enregistrement
Fiche de remboursement
Toujours
Rapport produit
4. PROCESSUS « PRODUCTION RAPPORT »
Fin période
TRANSMISSION DOCUMENT DE GESTION
Toujours
Document de gestion transmis
ET
Cohérence document
ANALYSE DOCUMENT
Toujours
Document analysé
ET
Rapport élaboré
PRODUCTION RAPPORT
Toujours
2.4. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)
2.4.1. Concept de base
· Entité : une entité ou individu est la
représentation dans le SI d'un objet
matériel ou immatériel de l'univers
extérieur ;
· Relation : une relation est la prise en charge par le SI
du fait qu'il existe une association entre les objets de l'univers
extérieur ;
· Propriété : une propriété est
une rubrique, attribut d'une entité ou d'une relation
· Type : un type est un ensemble d'éléments
ayant les mêmes caractéristiques
· Identifiant : un identifiant est une
propriété qui permet de distinguer de l'entité type les
occurrences d'une manière unique.
2.4.2. Objectifs.
Le SI du Comité d'Assistance Nyiragongo poursuit deux
objectifs à savoir :
- production des états financiers après la
période comptable ; - production de la situation de caisse à tout
moment.
2.4.3. Règles de gestion
1. Un client reçoit un crédit et s'il en
reçoit il peut en recevoir plusieurs;
2. Un crédit est donné à un et un seul
client ;
3. Un client appartient à une et une seule
catégorie et une catégorie peut ou ne
pas avoir des clients et s'il en a, il en a plusieurs ;
4. Le crédit peut ou ne pas être remboursé
et s'il est c'est plusieurs fois ;
5. Un remboursement concerne un et un seul crédit.
2.4.4. Dictionnaire des données.
Nom
|
Signification
|
Type, A, N, AN
|
Longueur
|
NATURE
|
Règle de calcul
|
E, Co, Ca
|
M, Sig, Sit
|
CodeCli
|
Code du client
|
AN
|
8
|
E
|
SIG
|
|
PrenomCli
|
Prénom client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
NomCli
|
Nom du client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
Nation
|
Nationalité
|
A
|
25
|
E
|
SIG
|
|
Rue
|
Rue du client
|
A
|
15
|
E
|
SIG
|
|
Num
|
Numéro de la rue du client
|
N
|
4
|
E
|
SIG
|
|
Comm
|
Commune du client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
Ville
|
Ville du client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
Fonction
|
Fonction du client
|
AN
|
30
|
E
|
SIG
|
|
NumFact
|
Numéro facture
|
N
|
6
|
E
|
M
|
|
MontRemb
|
Montant remboursé
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
DateFact
|
Date de la facture
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
Jj/mm/aa
|
ModPaie
|
Modalité de paiement facture
|
A
|
30
|
E
|
M
|
|
CodePaie
|
Code de paiement facture
|
N
|
5
|
E
|
M
|
|
DatePaie
|
Date de paiement facture
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
Jj/mm/aa
|
MontPaie
|
Montant du paiement facture
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
NumCpte
|
Numéro du compte
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
DesignCpte
|
Désignation du compte
|
A
|
30
|
E
|
SIG
|
|
ClasseCpte
|
Classe du compte
|
N
|
1
|
E
|
SIG
|
|
TypeCpte
|
Type du compte
|
A
|
10
|
E
|
SIN
|
|
NumOper
|
Numéro de l'opération
|
N
|
4
|
E
|
M
|
|
DateOper
|
Date de l'opération
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
Jj/mm/aa
|
NumCpteD
|
Numéro du compte débité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
NumCpteC
|
Numéro du compte crédité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
MontD
|
Montant débité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
MontC
|
Montant crédité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
LibelleOper
|
Libellé de l'opération
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
|
NumOC
|
Numéro opération caisse
|
N
|
50
|
E
|
M
|
|
LibelleOC
|
Libellé opération caisse
|
AN
|
5
|
E
|
M
|
|
MontantOC
|
Montant de l'opération caisse
|
N
|
50
|
E
|
M
|
|
DateOC
|
Date de l'opération caisse
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
|
2.4.5. Le MCD
CLIENT
CodeCli, NomCli,....
1,n 1,1
RECEVOIR
CREDIT
CodeCrédit, CatCrédit,....
0,n
1,1
APPARTIENT
0,n
CATEGORIE CLIENT
CodeCat,....
1,1 CONCERNE
2.4.6. Critique de l'existant.
REMBOURSEMENT
CodeRemb,....
2.4.6.1. Du point de vue membre de l'organisation
Le système de micro crédit bas le record dans toute
la ville de Goma. Ainsi,
les coopératives et maisons à volet
crédit naissent du jour le jour. CAN, de son côté
éprouve des difficultés de marketing et de renforcement des
politiques d'octroi de crédit à ses
bénéficiaires.
Pour répondre à ses besoins, il sera contraint de
fournir les efforts pour l'acquisition des autres bailleurs de fonds et
partenaires enfin d'augmenter l'enveloppe de crédit
et ne pas laisser l'occasion à ses adversaires de
s'approprier ses clients. Il doit faire appel au gouvernement pour le
financement de ses activités qui cadrent avec l'initiative de la
population à l'auto prise en charge.
2.4.6.2. Faiblesses apparentes.
Les faiblesses du Comité d'Assistance Nyiragongo
résident à 2 niveaux entre autres :
a) La Coordination
Avec la politique de gestion familiale, la coordinatrice
s'approprie souvent les tâches et les dernières décisions
lui reviennent.
Ceci serait un handicape pour l'organisation car n'ayant pas
suffisamment un niveau intellectuel évolué dans le domaine de
développement et ne voulant pas laisser le pouvoir à ceux qui
l'ont toujours afin de faire la continuité et l'amélioration de
cette dernière.
Toute sa famille veut s'intégrer dans la gestion et
l'administration, ce qui cause moult obstacles pour les agents car, quelque
fois, ils ignorent qui est leur chef et qui ne l'est pas et est un handicape
pour l'évolution car du fait que la gestion est devenue familiale, il
est de fois que les groupes traînent en attente de crédit car la
décision n'est pas automatique.
Quant à aux catégories, quelque unes sont soit
servies puisqu'il y a des affinités et liens qui leurs lits avec la
patronat.
b) La comptabilité.
Au niveau de ce service, il y a eu des perturbations graves
qui l'ont interverti. En effet, lors de la démission de l'ex-comptable
qui travaillait bien sûr occasionnellement, celui-ci n'a pas
réussi à ramener ce service sur le rail. Enfin, CAN a fini par
engager un autre comptable. Ce dernier est entrain de travailler avec
énergie pour adapter des nouveaux comptes à la
réalité actuelle. Il a débuté par la
rédaction du plan comptable de CAN. Chose grave, ce comptable est
appelé à d'autres occupations dans d'autres entreprises du
même patron ; il travaille à temps partiel car d'autres travaux
lui attendent ailleurs. Le travail que ce comptable fait
(généralement à la hâte) peut générer
d'énormes erreurs dans la comptabilisation des flux financiers de CAN
qui affecteraient ainsi à leur tour le résultat de CAN en
produisant des chiffres fantaisistes.
Après analyse nous avons constaté que pour
remettre sur le rail ce service et comme son responsable n'est pas toujours
permanent, il faudra une solution informatique comme appui. Ce service devra
donc hériter d'une application informatique qui pourra journaliser
toutes les opérations journalières des remboursements et des
déboursements. Les autres opérations seront
réservées au comptable quand il sera disponible. Cette
application sera capable de produire les états financiers à la
fin d'une période donnée. Ces états sont :
· Le journal des opérations de la période
;
· La balance périodique des comptes des membres ;
· La situation des dettes des clients divers.
c) Du point de vue matériel et formation en informatique,
il conviendrait de souligner que :
· L'unique ordinateur disponible au sein de CAN est
utilisé pour des tâches de saisie et non pour la
comptabilité ;
· Le comptable manque encore de niveau suffisant en
applications informatiques ;
· Le nombre d'ordinateurs est insuffisant pour un travail
en réseau.
2.4.6.3. Les forces apparentes
Les forces de CAN résident en son personnel qui est
qualifié et accueillant.
Par rapport à l'outil informatique disponible, CAN
dispose d'un ordinateur amplement suffisant pour traiter les opérations
comptables, même si, par le souci d'optimisation des services (travail en
réseau par exemple), il en faudra un autre à la caisse.
Tout le long des processus d'octroi des crédits, il
s'avère que certains clients qui ont des opérations urgentes
s'impatientent du fait qu'ils passent par plusieurs processus en s'en aillent
pour ne plus rentrer, ainsi, tout le long des processus du futur, nous
essaierons de proposer des procédures un peu court à ces
derniers.
Chap III : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR
3.1. Le Modèle conceptuel des données
(MCD)
3.1.1. Objectifs
Comme énoncé au point 2.4.2., le SI futur de CAN
poursuivra toujours les mêmes objectifs. Nous avons reconduit les
mêmes objectifs sans modification aucune parce qu'on ne pouvait pas s'en
passer.
Le SI futur va donc poursuivre les objectifs majeurs que voici
:
- production des états financiers après une
période donnée ;
- production de la situation de la caisse à tout
moment.
Contrairement au SI étudié au niveau de l'existant
où toutes les opérations étaient manuelles, le SI futur
sera automatisé.
3.2.2. Documents utilisés.
Le SI futur se propose d'utiliser les documents suivants pour
l'entrée de données dans la BD :
- le reçu ;
- le journal des opérations ;
- la fiche de crédit ;
- le protocole de collaboration.
Tous ces documents seront illustrés en annexe telle que
modifiée pour l'atteinte des objectifs escomptés.
43 3.2.3. Dictionnaire des données
épurés
Nom
|
Signification
|
Type, A, N, AN
|
Longueur
|
NATURE
|
Règle de calcul
|
E, Co, Ca
|
M, Si g, Sit
|
CodeCli
|
Code du client
|
AN
|
8
|
E
|
SIG
|
|
PrenomCli
|
Prénom client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
NomCli
|
Nom du client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
Nation
|
Nationalité
|
A
|
25
|
E
|
SIG
|
|
Rue
|
Rue du client
|
A
|
15
|
E
|
SIG
|
|
Num
|
Numéro de la rue du client
|
N
|
4
|
E
|
SIG
|
|
Comm
|
Commune du client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
Ville
|
Ville du client
|
A
|
20
|
E
|
SIG
|
|
Fonction
|
Fonction du client
|
AN
|
30
|
E
|
SIG
|
|
NumFact
|
Numéro facture
|
N
|
6
|
E
|
M
|
|
MontRemb
|
Montant remboursé
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
DateFact
|
Date de la facture
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
Jj/mm/aa
|
ModPaie
|
Modalité de paiement facture
|
A
|
30
|
E
|
M
|
|
CodePaie
|
Code de paiement facture
|
N
|
5
|
E
|
M
|
|
DatePaie
|
Date de paiement facture
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
Jj/mm/aa
|
MontPaie
|
Montant du paiement facture
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
NumCpte
|
Numéro du compte
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
DesignCpte
|
Désignation du compte
|
A
|
30
|
E
|
SIG
|
|
ClasseCpte
|
Classe du compte
|
N
|
1
|
E
|
SIG
|
|
TypeCpte
|
Type du compte
|
A
|
10
|
E
|
SIN
|
|
NumOper
|
Numéro de l'opération
|
N
|
4
|
E
|
M
|
|
DateOper
|
Date de l'opération
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
Jj/mm/aa
|
NumCpteD
|
Numéro du compte débité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
NumCpteC
|
Numéro du compte crédité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
MontD
|
Montant débité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
MontC
|
Montant crédité
|
N
|
8
|
E
|
M
|
|
LibelleOper
|
Libellé de l'opération
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
|
NumOC
|
Numéro opération caisse
|
N
|
50
|
E
|
M
|
|
LibelleOC
|
Libellé opération caisse
|
AN
|
5
|
E
|
M
|
|
MontantOC
|
Montant de l'opération caisse
|
N
|
50
|
E
|
M
|
|
DateOC
|
Date de l'opération caisse
|
AN
|
8
|
E
|
M
|
|
3.2.4. Règle de gestion
1) Un client reçoit un crédit et s'il en
reçoit il peut en recevoir plusieurs;
2) Un crédit concerne un et un seul client ;
3) Un client appartient à une et une seule
catégorie et une catégorie peut ou ne pas avoir des clients et
s'il en a, il en a plusieurs ;
4) Un client peut ne pas rembourser un crédit lui
octroyé et s'il le rembourse, il peut le faire plusieurs fois ;
5) Un remboursement concerne un et un seul crédit.
2.4.5. Le MCD
CLIENT
|
1,n 1,1
RECEVOIR
|
CREDIT
|
CodeCli, NomCli,....
1,1
APPARTIENT
0,n
REMBOURSEMENT
NumRecu,....
NumFicheCredit, catcredit,....
0,n
1,1 CONCERNE
CATEGORIE CLIENT
CodeCat,....
3.3. MODELE CONCEPTUELLE DES TRAITEMENTS (MCT)
3.3.1. Règle de gestion
· Toute personne qui arrive à la réception
est considérée comme un client potentiel à part
entière (totalement) ;
· Avant qu'un client n'intègre les services, il doit
passer par la réception pour orientation ;
· Ne peut obtenir de crédit qu'un client
enregistré ;
· Pour recevoir un crédit, le client se doit de
signer un protocole de collaboration;
· Un crédit n'est octroyé que quand le
montant demandé est disponible ; dans le cas contraire, le crédit
reste en attente de règlement;
· Tout octroi de crédit est conditionné par
l'élaboration d'une fiche de crédit ;
· Avant tout remboursement de crédit, on
vérifie d'abord si l'échéance n'est pas atteinte. Si c'est
le cas, des amendes seront calculées et payées par le client en
plus des intérêts dus au crédit ;
· Un remboursement ne peut être enregistré que
si le montant couvre le capital à rembourser plus les
intérêts et les amendes le cas échéant ;
· Tout remboursement est conditionné par un octroi
de reçu au client ;
· A la fin d'une période donnée, (de 1jour
à 1 année), un rapport devra être élaboré.
Contrat analysé
Réceptionniste
Clients disponible
Clients reçu
Clients orienté
SAISIE COORDONNES CLIENT Toujours
ORIENTATION CLIENT Toujours
ANALYSE CONTRAT Toujours
Coordonnées saisies
RECEPTION CLIENT Toujours
ET
ET
ET
ET
Contrat
Adoption contrat
Feedback client
Client présenté
3.3.2. Le MCT.
Notre MCT comporte 4 processus :
Processus « ACCUEIL ET ENREGISTREMENT CLIENT
»
Rapport édité
2. PROCESSUS « OCTROI CREDIT»
Numéro client
RECHERCHE CLIENT
Toujours
Client n'a pas de crédit
VERIFICATION DISPONIBILITE CREDIT N'a pas de crédit A
crédit
Client recherché
ET
ET
Client a un crédit
Protocole signé
Caisse
ELABORATION REÇU
Toujours
Reçu élaboré
ET
Imprimante
RAPPORT EDITE
Toujours
Reçu édité
3. PROCESSUS « REMBOURSEMENT
CREDIT»
EDITION RECU
Argent
ENREGISTREMENT REMBOURSEMENT Toujours
Reçu élaboré
Remboursem ent effectué
Remboursem ent effectué
ELLABORATION RECU Toujours
REMBOURSEMENT Toujours
ET
A et b ouc
ET
ET
Coordonnées saisies
Arrivé client
Imprimante
Echéance non dépassée
Amandes calculées
Toujours
Rapport édité
4. PROCESSUS « PRODUCTION RAPPORT »
Fin période
TRANSMISSION DOCUMENT DE GESTION
Toujours
Document de gestion transmis
ET
Document analysé
ELABOATION RAPPORT
Toujours
Rapport élaboré
ET
Imprimante
EDITION RAPPORT
Toujours
3.4. LE MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT)
3.4.1. Règle d'organisation
· Le Comité d'Assistance Nyiragongo assure ses
services de 8h°° à 15h°° du lundi au vendredi et de
8h°° à 12h°° le samedi. Pour les cadres, le travail
débute à la même heure mais quant à eux, ils peuvent
aller au - delà selon le volume du travail ;
· Tout remboursement est effectué au niveau de la
caisse ou de la comptabilité qui livre un reçu et verse les fonds
au caissier ou à l'administrateur pour conservation dans le coffre fort
;
· Avant qu'un client n'intègre nos services, il doit
passer par la réception pour orientation;
· Un crédit n'est octroyé que quand le
montant demandé est disponible en caisse, dans le cas contraire, le
crédit reste en attente de règlement ;
· Tout octroi de crédit est conditionné par
l'élaboration d'un reçu
· A la fin d'une période donnée (de 1jour
à 1 année), un rapport devra être élaboré.
3.4.2. Tableau de procédures fonctionnelles
TABLEAU PF : PROCESSUS « ACCUEIL ET ENREGISTREMENT
CLIENT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
Durée Max
|
|
Respo
|
Ressource
|
PF1
|
8h<X=15h
|
X
|
Réception client
|
M
|
Réception
|
Réception
|
Réceptionniste
|
PF2
|
8h<X=15h
|
X
|
Demande de renseignement
|
M
|
Réception
|
Réception
|
Réceptionniste
|
PF3
|
8h<X=15h
|
X
|
Orientation client
|
M
|
Réception
|
Réception
|
Réceptionniste
|
PF4
|
8h<X=15h
|
X
|
Présentation contrat
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de
crédit
|
PF5
|
8h<X=15h
|
X
|
Analyse contrat
|
M
|
Service crédit
|
Chargé
de crédit + client
|
Chargé de
crédit + client
|
PF6
|
8h<X=15h
|
X
|
Adoption contrat
|
M
|
Service crédit
|
Client
|
Client
|
PF7
|
8h<X=15h
|
X
|
Saisie coordonnées
client
|
AC
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + ordi
|
PF8
|
8h<X=15h
|
X
|
Enregistrement contrat
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Ordinateur
|
|
TABLEAU PF : PROCESSUS « OCTROI
CREDIT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
Durée max
|
|
Respon
|
Ressource
|
PF9
|
8h<X=15h
|
X
|
Recherche client
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + ordi
|
PF10
|
8h<X=15h
|
X
|
Vérification disponibilité crédit
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF11
|
8h<X=15h
|
X
|
Signature contrat
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF12
|
8h<X=15h
|
X
|
Elaboration reçu
|
AC
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + Ordi
|
PF13
|
8h<X=15h
|
X
|
Edition rapport
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Ordinateur
|
PF14
|
8h<X=15h
|
X
|
Enregistrement crédit
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Ordinateur
|
|
TABLEAU PF : PROCESSUS « REMBOURSEMENT
CREDIT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
Durée Max
|
|
Respo
|
Ressource
|
PF15
|
8h<X=15h
|
X
|
Remboursement
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF16
|
8h<X=15h
|
X
|
Saisie montant remboursé
|
AC
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + Ordi
|
PF17
|
8h<X=15h
|
X
|
Enregistrement remboursement
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Ordinateur
|
PF18
|
8h<X=15h
|
X
|
MAJ remboursement
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + Ordi
|
PF19
|
8h<X=15h
|
X
|
Vérification échéance
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + Ordi
|
PF20
|
8h<X=15h
|
X
|
Calcul amendes
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + Ordi
|
PF21
|
8h<X=15h
|
X
|
Elaboration reçu
|
AC
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + Ordi
|
PF22
|
8h<X=15h
|
X
|
Edition reçu
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Ordinateur
|
|
TABLEAU PF : PROCESSUS « PRODUCTION
RAPPORT»
|
PF
|
DEROULEMENT
|
ACTIONS
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
|
Durée Max
|
|
Respo
|
Ressource
|
PF23
|
8h<X=1 5h
|
X
|
Transmission document de gestion
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF24
|
8h<X=15h
|
X
|
Réception document de gestion
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF25
|
8h<X=15h
|
X
|
Analyse document
|
M
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit
|
PF26
|
8h<X=15h
|
X
|
Elaboration rapport
|
AC
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Chargé de crédit + Ordi
|
PF27
|
8h<X=15h
|
X
|
Edition rapport
|
AB
|
Service crédit
|
Chargé de crédit
|
Ordinateur
|
|
2.2.3. Diagramme d'enchaînement des
procédures 1. PROCESSUS «ENREGISTREMENT CLIENT »
DEROULEMENT Début
Durée maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
|
Nature
|
Lieu
Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
Clients Réceptionniste
disponible
|
M
|
Réception Réceptionniste Réceptionniste
|
|
|
RECEPTION CLIENT
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Réception Réceptionniste Réceptionniste
|
|
PF2
|
DEMANDE RENSEIGNEMENTS
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Réception Réceptionniste Réceptionniste
|
|
|
PF 3
|
ORIENTATION CLIENT
|
|
|
|
|
|
|
8h<X=15h
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
PRESENTATION CONTRAT
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit+ client Chargé de crédit+ client
|
|
|
PF5
|
ANALYSE CONTRAT
|
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service de crédit Client Client
|
|
|
PF6
|
ADOPTION CONTRAT
|
|
|
|
|
|
|
AC
|
Service de crédit Charge de crédit Charge
de crédit+ Ordinateur
|
|
|
PF7
|
SAISIE COORDONNEES
|
|
|
|
|
|
|
AB
|
Service de crédit Charge de
crédit Ordinateur
|
|
|
PF8
|
ENREGISTREMENT COORDONNEES CLIENT
|
|
|
|
|
2. Processus « OCTROI CREDIT »
DEROULEMENT Début
Durée maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
|
Nature
|
Lieu
Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
|
AB
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit
|
|
|
|
|
RECHERCHE CLIENT
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit
|
|
VERIFICATION DISPONIBILITE CREDIT
|
|
|
a crédit
|
|
|
|
|
|
M
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit
|
|
|
PF 11
|
SIGNATURE PROTOCOLE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
AC
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit+Ordi
|
|
|
PF 12
|
ELABORATION REÇU
|
|
|
|
|
|
8h<X=15h
|
A
|
AB
|
Ordinateur
|
|
PF 13
|
EDITION REÇU
|
|
|
|
|
|
AB
|
Ordinateur
|
|
|
ENREGISTREMET CREDIT
|
|
|
|
|
|
3. PROCESSUS «REMBOURSEMENT
CREDIT»
DEROULEMENT Début Durée maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
|
Nature
|
Lieu Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
Argent Arrivée
client
|
M
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit
|
|
|
|
PF15
|
REMBOURSEMENT
|
|
|
|
|
|
|
|
AC
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit + Ordinateur
|
|
|
SAISIE MONTANT REMBOURSE
|
|
|
|
|
|
|
|
AB
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit + Ordinateur
|
|
|
PF1 7
|
ENREGISTREMENT REMBOURSEMENT
|
|
|
|
|
|
|
|
AB
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit + Ordinateur
|
|
|
PF18
|
MAJ REMBOURSEMENT
|
|
|
|
|
|
8h<X=15h
|
C
|
AB
|
Ordinateur
|
|
|
PF19
|
VERIFICATION ECHEANCE
|
|
|
Dépassée
|
|
|
|
|
AC
|
Service de crédit Chargé de
crédit Chargé de crédit + Ordinateur
|
|
|
PF20
|
CALCUL AMENDES
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
AB
|
Ordinateur
|
|
|
PF21
|
ELABORATION REÇU
|
|
|
|
|
|
|
AB
|
Ordinateur
|
|
|
PF22
|
EDITION REÇU
|
|
|
|
|
|
4. Processus « PRODUCTION
RAPPORT»
D EROU LEM ENT Début
Durée maximum
|
ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
|
Nature
|
Lieu
Responsable Ressources
|
8h<X=15h
|
Fin période
|
M
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit
|
|
|
PF23
|
TRANSMISSION DOCUMENT DE GESTION
|
|
|
Toujours
|
|
|
|
|
M
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit
|
|
|
RECEPTION DOCUMENT DE GESTION
|
|
|
|
|
|
|
M
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit
|
|
|
PF 25
|
SIGNATURE PROTOCOLE
|
|
|
|
|
|
|
|
AC
|
Service crédit Charge de crédit Charge
de crédit + Ordinateur
|
|
|
ELABORATION RAPPORT
|
|
|
|
|
|
|
|
AB
|
Ordinateur
|
|
|
EDITION RAPPORT
|
|
|
Toujours
|
|
|
|
|
3.5. GRAPHE DE CIRCULATION
« Le graphe de circulation se place d'un autre point de vue
que celui du diagramme
d'enchaînement. Celui - ci montrait à partir de
quels événements une procédure était
déclenchée. Le graphe de circulation, lui, montre quelles sont
les informations traitées par la procédure. Il met en
évidence la circulation de l'information dans l'espace et dans le temps.
»22
3.5.1. Formalisme utilisé23
Nom de PF Ressource
Tout au long de ce sous point on utilisera la symbolique suivante
:
Procédure manuelle (si la ressource n'est pas un
ordinateur) ou automatique
Support papier
Disque
Support « Homme » lorsque l'information est transmise
ou émise par une personne
Chemin parcouru par l'information
Ordinateur
Imprimante
22 Eurasme MILANDO, Cours d'Analyse du
Système d'Information I, Inédit, G3-ISC, 2007 - 2008
23 Idem
A
a) Processus accueil et enregistrement client
Heure
|
Service de crédit
|
Service de réception
|
Externe
|
|
|
|
|
|
|
PF1 Réceptionniste
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF2 Réceptionniste
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF3 Réceptionniste
|
|
|
|
|
|
Orientation client
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF4
Chargé crédit
|
|
|
|
|
|
|
Contrat présenté
|
|
|
|
|
|
|
|
PF5
Chargé crédit
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF6
Client
|
|
|
|
|
Contrat adopté
|
|
|
|
|
61
A
PF7
Chargé crédit
PF8
Ordiinateur
b) Processus d'octroi crédit
Heure
|
Service de crédit
|
Service de réception
|
Externe
|
|
|
|
|
|
PF9
Chargé C + Ord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF1 0
Chargé Crédit
|
|
|
|
|
|
|
|
Client
|
n'a pas de crédit
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF11
Chargé Crédit
|
|
|
|
|
|
|
Protocole
signé
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF 12
Chargé C + Ord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF1 3
Ordi + Imp
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF 14
Ordinateur
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
c) Processus remboursement crédit
Heure
|
Service de crédit
|
Service de réception
|
Externe
|
|
|
|
|
|
PF1 5
Chargé Crédit
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF1 6
Ordinateur
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF1 7
Ordinateur
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF 18
Chargé C + Ord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF1 9
Chargé C + Ord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
B
|
|
|
|
PF20
Chargé C + Ord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF21
Chargé C + Ord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
d) Processus Production rapport
Heure
|
Service de crédit
|
Service de réception
|
Externe
|
|
|
|
|
|
PF23
Chargé Crédit
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Docs de gestion transmis
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF24
Chargé Crédit
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF25
Chargé Crédit
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF26
Chargé C + Ord
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
PF27
Ordi + Impr
|
|
|
|
|
|
|
|
DESCRIPTION DES PROCEDURES FONCTIONNELLES
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE
|
PF : 1
|
|
NATURE : Manuel
OBJET : Réception du client
EVENEMENTS TRAITES : Feedback client,
informations fournies
DONNEES UTILISEES :
DONNEES SORTIES : Informations acquis
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 2
NATURE : Manuel
OBJET : Demande de renseignement
EVEN EM ENTS TRAITES : Renseignements
fournies
DONNEES UTILISEES : Protocole de collaboration,
fiche de remboursement
DONNEES SORTIES : Protocole de collaboration,
fiche de remboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 3
NATURE : Manuel
OBJET : Demande de renseignement
EVEN EM ENTS TRAITES : Renseignements
fournies
DONNEES UTILISEES : Protocole de collaboration,
fiche de remboursement
DONNEES SORTIES : Protocole de collaboration,
fiche de remboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE
|
PF : 4
|
|
NATURE : Manuel
OBJET : Présentation contrat
EVENEMENTS TRAITES : Texte du contrat, date
DONNEES UTILISEES :
DONNEES SORTIES : Texte du contrat, date
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE
|
PF : 5
|
|
:
NATURE : Automatisée Conversationnel
OBJET : Saisie coordonnées client
EVENEMENTS TRAITES : Numcli, nomcli,
postnomcli, adresse, contact,...
DONNEES UTILISEES
:
NATURE : Manuel
OBJET : Analyse contrat
EVENEMENTS TRAITES : Texte du contrat, date,
signature, gage
DONNEES UTILISEES
PF : 6
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE
:
NATURE : Manuel
OBJET : Adoption contrat
EVENEMENTS TRAITES : Texte du contrat, date,
signature, gage
DONNEES UTILISEES
PF : 7
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE
DONNEES SORTIES : Texte du contrat, date,
signature, gage
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
DONNEES SORTIES : Texte du contrat, date,
signature, gage
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
DONNEES SORTIES : Numcli, nomcli, postnomcli,
adresse, contact,...
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 8
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Enregistrement contrat
EVENEMENTS TRAITES : Coordonnées contrat
de collaboration
DONNEES UTILISEES : Numcontr, date,
signature
DONNEES SORTIES : Numcontr, date, signature
ACTION SUR BD : Consultation : Affichage
coordonnées contrat
68 FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF :
9
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Recherche client
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : numcli, nomcli, postnomcli,
etatcivil, contact
DONNEES SORTIES : numcli, nomcli, postnomcli,
etatcivil, contact
ACTION SUR BD : Consultation : Impression
coordonnées client
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 10
NATURE : Manuel
OBJET : Vérification
disponibilité crédit
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : codecred, libellé,
montant, date,
DONNEES SORTIES : codecred, libellé,
montant, date
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 11
NATURE : Manuel
OBJET : Signature contrat
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Numcontrat, date,
signature, gage
DONNEES SORTIES : Numcontrat, date, signature,
gage
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 12
NATURE : Automatisée conversationnel
OBJET : Elaboration reçu
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Numreçu, nom,
montant, date, signature, libellé
DONNEES SORTIES : Numreçu, nom, montant,
date, signature, libellé
ACTION SUR BD : Consultation : néant
MAJ : Enregistrement coordonnées reçu
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 13
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Edition rapport
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Liste de remboursement,
liste de déboursement
DONNEES SORTIES : Liste de remboursement, liste
de déboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Impression
rapport
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 14
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Enregistrement crédit
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Liste de remboursement,
liste de déboursement
DONNEES SORTIES : Liste de remboursement, liste
de déboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Impression
rapport
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 15
NATURE : Manuel
OBJET : Remboursement
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Fiche de remboursement,
Argent
DONNEES SORTIES : Fiche de remboursement,
Argent
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 16
NATURE : Automatisée Conversationnel
OBJET : Saisie montant remboursé
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Nomcli, libellé,
montant, codecrédit, date
DONNEES SORTIES : Nomcli, libellé,
montant, codecrédit, date
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Enregistrement remboursement
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 17
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Enregistrement remboursement
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Nomcli, codecrédit,
montant, date
DONNEES SORTIES : Nomcli, codecrédit,
montant, date
ACTION SUR BD : Consultation : Impression des
remboursements
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 18
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : MAJ remboursement
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Nomcli, codecrédit,
montant, date
DONNEES SORTIES : Nomcli, codecrédit,
montant, date
ACTION SUR BD : Consultation : Suppression,
Ajout, Modification
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 19
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Vérification Echéance
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : codecrédit, montant,
nomcli, date
DONNEES SORTIES : codecrédit, montant,
nomcli, date
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 20
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Calcul amendes
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : nomcli, date, capremb,
intérêt
DONNEES SORTIES : nomcli, date, capremb,
intérêt
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 21
NATURE : Automatisée conversationnel
OBJET : Elaboration reçu
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Numreçu, nom,
montant, date, signature, libellé
DONNEES SORTIES : Numreçu, nom, montant,
date, signature, libellé
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Enregistrement coordonnées reçu
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 22
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Edition reçu
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Numreçu, nom,
montant, date, signature, libellé
DONNEES SORTIES : Numreçu, nom, montant,
date, signature, libellé
ACTION SUR BD : Consultation : Impression
reçu
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 23
NATURE : Manuel
OBJET : Transmission document de gestion
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Fiche de remboursement,
fiche de déboursement
DONNEES SORTIES : Fiche de remboursement, fiche
de déboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Document de
gestion transmis
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 24
NATURE : Manuel
OBJET : Réception document de gestion
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Fiche de remboursement,
fiche de déboursement
DONNEES SORTIES : Fiche de remboursement, fiche
de déboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Document de
gestion reçu
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 25
NATURE : Manuel
OBJET : Analyse document
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Fiche de remboursement,
fiche de déboursement
DONNEES SORTIES : Fiche de remboursement, fiche
de déboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Document de
gestion analysé
MAJ : Néant
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 26
NATURE : Automatisée conversationnel
OBJET : Elaboration rapport
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Fiche de remboursement,
fiche de déboursement
DONNEES SORTIES : Fiche de remboursement, fiche
de déboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Néant
MAJ : Rapport élaboré
|
|
FICHE DE DESCRIPTION DE LA PROCEDURE FONCTIONNELLE PF : 27
NATURE : Automatisée Batch
OBJET : Edition rapport
EVENEMENTS TRAITES :
DONNEES UTILISEES : Liste de remboursement,
liste de déboursement
DONNEES SORTIES : Liste de remboursement, liste
de déboursement
ACTION SUR BD : Consultation : Impression
rapport
Chap IV : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
INFORMATISE
4.1. MODELE LOGIQUE DE DONNEES
Le modèle logique des données montre comment
les informations sont organisées pour être prise en charge par le
système d'information qui est donc l'ordinateur.
Le formalisme utilisé ici c'est celui d'ENTITÉ/
RELATION qui après analyse se développe mieux dans le formalisme
dépendant de l'organisation.
Pour ce faire, on fait toujours recourt aux bases de
données (SGBD).
Dans ce fait il est question de savoir comment seront
enregistrées les données et comment on pourra les consulter.
C'est ainsi qu'à chaque entité pourra correspondre
un identifiant appelé dans la programmation « la clé
primaire ».
Le passage du MCD au MLD est justifié par le fait que
dans le MCD on montre seulement les données alors que dans le MLD chaque
individu (Entité) est transformé en relation au
sens relationnel.
Le MLD indique donc l'organisation des données.
C'est ainsi que notre MLD comprendra les données
suivantes :
CATEGORIE (Codecat, IntituCat,)
CLIENT (CodeClient, Codecate, CodeGpeSol, Nomcli,
Prénocli, adresse, Pays/Région, téléphone,
datedenaisse, nationalité, Etatcivil, Codeoctroi,) OCTROI
(Codeoctroi, codeclient, Dateoctroi, Montantocroi,
échéance,
Datefinéchéance)
REMBOURSEMENT (CodeRemb, Codeoctroi, MontRemb, DateRemb)
GPE SOLIDAIRE (CodeGpeSol, NomGpeSol, RespGpeSol
4.2. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
4.3. MODELE LOGIQUE DE TRAITEMENT
Le modèle logique de traitement (MLT) se
préoccupe d'une vision interne que l'informaticien va utiliser pour
construire le progiciel (application) correspondent aux activités
informatisées définies dans MOT.
Ici le concepteur se pose la question : « comment concevoir
mon application par rapport au fonctionnement demandés.
Le MLT a donc pour objectif de décrire le
fonctionnement du SII en réponse au stimulus des
événements associés aux tâches informatisées
précisées dans le MOT du SIO.
4.3.1. Quelques définitions24
* L'unité logique de traitement
(ULT)
Une unité logique de traitement est un modèle d'un
ensemble de traitements informatiques perçus comme homogènes en
terme de finalité.
ULT est aussi définie comme un ensemble de traitements
homogènes aboutissant à un résultat.
* La Procédure Logique (PL)
Une procédure logique est un enchaînement
d'unités logiques de traitements (ULT) réalisant l'information
d'un tâche ou phase du modèle organisationnel de taitement.
24Déo KATULANYA ISSU, Cours de MERISE
II, G3 IG, Inédit, ISIG-Goma, 2001 - 2002
Le début d'une procédure logique
représente l'appel par l'utilisateur du menu ou de la fonction de
l'application correspondant à la tâche. La fin de la
procédure logique correspond au retour au menu de l'application
permettant le lancement d'une autre procédure logique.
4.3.2. La conception du modèle logique de
traitements.
L'établissement du modèle logique de traitements
propose d'abord trois
approches qui s'avèrent complémentaires dans une
mise en oeuvre pratique :
· La décomposition des tâches du MOT ;
· La recherche de réutilisation d'ULT ;
· La conception d'ULT autour de données ;
Le MLT de notre étude se présente comme suit :
Début
- Visualisation des coordonnées client
-
- Saisir les coordonnées du client
- Saisir éléments nécessaires pour
dossier
-
Suivant
ENREGISTREMENT CONTRAT
SAISIE COORDONNES CLIENT
Maquette Client 0002
Maquette Client 0001
Imprimer
Rechercher
Annuler
-
-
Fiche client
Fiche client
Rechercher
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RECHERCHE CLIENT
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ELABORATION REÇU
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RECHERCHE CLIENT
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ELABORATION REÇU
76
Maquette Client 0003
- Saisir le numéro du client et/ou son nom - Cliquer sur
le bouton rechercher
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Maquette Client 0004
- Saisir le numéro du client et/ou son nom - Cliquer sur
le bouton rechercher
Maquette Client 0005 - Saisies code
client
Maquette Client 0006
- Saisies coordonnées client
- Affichages donnés saisis
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FIN
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MAJ
A
Fiche client
Fiche client
Fiche client
Fiche client
-
-
EDITION RAPPORT
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MAJ
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-
-
ENREGISTREMENT CREDIT
A
Maquette Client 0007 -
Visualisations coordonnées saisies - Impression donnée
- MAJ rapport
FIN
Maquette Client 0008
- Disponibilité données clients
- Saisies montant, nomcli, date
Maquette Client 0009
- Disponibilités matérielles informatiques -
Connaissance montant
Maquette Client 00010 - Ouverture
ficher remboursement
- Suppression, Annulation, Augmentation
-
-
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SASIE MONTANT REMBOURSE
MAJ REMBOURSEMENT
Suivant
Suivant
Suivant
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MAJ
MAJ
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Supprimer
-
-
A
Fiche d'octroi
Fiche d'octroi
Fiche d'octroi
Fiche d'octroi
-
-
VERIFICATION ECHEANCE
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MAJ
-
-
EDITION REÇU
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78
A
0001
Maquette Client
00011 - Disponibilité ficher
remboursement - Visualisation situation client
Maquette Client 00012 - Fiche de
remboursement disponible - Vérification Etat remboursement client
- Montant versé
- Saisies coordonnées
- Affichages donnés saisis
-
-
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Maquette Client 00013
Suivant
ELABORATION REÇU
CALCUL AMENDES
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-
-
Maquette Client 00014
- Visualisation donnée saisis
- Impression reçu
FIN
Fiche d'octroi
Fiche de Remb
Fiche de Remb
Fiche de Remb
C
-
-
ENREGISTREMENT REMBOURSEMENT
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MAJ
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C
Maquette Client 00015
- Saisies coordonnées client
-
ELABORA TION RAPPORT
-
Maquette Client 00015 - Collecte des
documents de gestion - Saisies données rapport
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Suivant
MAJ
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-
EDITION RAPPORT
-
Maquette Client 00015
- Visualisation donnée saisie
- Impression donnée
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Suivant
MAJ
Enregistrer
Fin période
Fiche de Remb
Fiche de Remb
Fiche de Remb
4.4. PRESENTATION DE L'APPLICATION
Notre application a été conçue dans le
système de gestion de base de données relationnel (SGBDR :
ACCESS). Pour l'exploiter une fois installée dans la machine, il faut
:
- Cliquer sur démarrer
- Programme
- Cliquer sur Microsoft Access
- Dans le menu fichier, cliquer sur ouvrir
- Sélectionner le fichier « Gestion des
crédits »
- Valider
A ce moment, la base de données va s'ouvrir en vous
présentant le menu d'accueil qui se présente comme suit :
Après cette procédure, suivra la procédure
de présentation du Menu Général qui se présente de
la manière suivante :
4.5. Aperçus des états de sortis
Dans le formulaire Menu principal cliquez sur le bouton «
Rapport » les Etats
de sortis s'ouvrent, sélectionnez un sujet puis cliquez
sur Ok afin de visualiser l'état voulu, pour imprimer cliquez sur
imprimer et ainsi de suit.
4.6. Sortie de l'application
Dans le menu principal, cliquer sur le bouton quitter.
CONCLUSION GENERALE
Nous voici au terme de notre travail de fin de cycle
intitulé « Gestion automatisée d'un service Comptable au
sein d'un asbl, cas du Comité d'Assistance Nyiragongo, CAN asbl
».
Ainsi, sommes parti de l'hypothèse selon laquelle le SI
de CAN devrait être automatisée pour remédier aux
problèmes de Gestion qu'elle connaît actuellement. Utilisant comme
méthodologie de recherche les méthodes déductives et
MERISE, la technique documentaire et l'interview. Nous avons pu scinder notre
travail en quatre chapitres, hormis l'introduction et la conclusion.
Le premier Chapitre s'est borné sur les
généralités, le 2e chapitre quant à lui
s'est basé sur l'Analyse assidue du SI en vogue au sein de CAN ;
Partant des failles que nous avons constatés au niveau
du SI existant, nous avons proposé un système futur, objet du
troisième chapitre. Enfin, le dernier chapitre a brossé les
possibilités de matérialisation de l'analyse menée et
ainsi abouti à la création d'une application Informatique.
Signalons en effet que l'application conçue en Access
2003 et d'autre part en VB 6.0 permet la production des états de sortie
suivants : la situation des remboursements, la situation des
déboursements, reçu de déboursement, bon d'entrée,
bon de sortie, situation des dettes clients.
L'enquête que nous avons menée au sein des
services de CAN, nous a bel et bel prouvé que le personnel de CAN manque
de notion sur la nécessité du traitement automatique de
l'information et pourtant en possession d'un ordinateur pour cette fin et qui
est maintenant réduit à une simple machine à
dactylographier.
Nous suggérons à l'hiérarchie de CAN de
conscientiser et former son personnel en lui montrant l'intérêt
que peut générer le traitement de l'information et l'usage de
toute la puissance de l'ordinateur. Aussi, l'acquisition d'un deuxième
ordinateur constituerait pour le moment un besoin pour la caisse qui travaille
en complémentarité avec la comptabilité.
Nous ne prétendons pas avoir résolu tous les
problèmes que regorge CAN aujourd'hui mais par ailleurs, osons - nous
croire en effet que nous venons de contribuer tant soit peu à son
essor.
Nous interpellons donc toutes les entreprises de tous les
secteurs d'y prendre rendez - vous avec assiduité et à tous les
chercheurs de s'y mettre avec coeur.
BIBLIOGRAPHIE
A. OUVRAGES
1) CORATAFRICA et INADES-FORMATION-KENYA, Notions
intermédiaires de finances, In « La Gestion pour les Agents du
Développement », Unité-8, INADESFORMATION-ZAÏRE,
Kinshasa.
2) FAYEL , A. et PERNOT, D. Comptabilité
Générale de l'Entreprise, 3e éd. CLET,
Paris, 1986.
3) Journal Pas à Pas, Planifier pour un
développement durable, n°65, Novembre 2005, p.6
4) MAURY EUROLIVRES, Dictionnaire usuel, Ed. Larousse,
France, Avril 2007
5) Microsoft Encarta, Encyclopédie Encarta, Ed.
Microsoft, 2007
6) Ministère du Plan/RDC, document stratégique
pour la réduction de la pauvreté (DSRP), Kinshasa,
Février 2005
7) MORVAN P., Dictionnaire de l'informatique, Ed.
Larousse, Paris, 1996
8) STATUTS CAN
B. COURS ET AUTRES BROCHURES
1) ALBANZ, Cours d'Initiation à la Recherche
Scientifique, G3-ISC, 2007 - 2008
2) Déo KATULANYA ISSU, Cours de MERISE II, G3 IG,
Inédit, ISIG-Goma, 2001 - 2002
3) Erasme KAKULE MILANDO, Cours d'Analyse du Système
d'Information I Inédit, G3- ISC, 2006-2007
C. TRAVAUX DE FIN DE CYCLE ET RAPPORTS
1) Jean Paul BAGUMA M, Gestion Automatisée d'un
service comptable, cas de l'Hôtel la Frontière (2003), Goma,
ISIG, 2003
2) KAKENYI Grâce, de l'insolvabilité des membres
des coopératives financières à Goma, inédit,
CUEG 2003-2004
3)
KIKUMBU L. Eddy, l'impact de la microfinance dans la
réduction de la pauvreté dans la ville de Goma,
inédit, ISIG, 2004-2005.
D. SITES WEB
1)
http://www.microfinancement.cirad.fr/fr/bao/plandev.html
2)
www.lamicrofinance.org
3)
www.mixmarket.org
4)
www.orse.org
TABLE DE MATIERES
0. INTRODUCTION 1
0.1. ETAT DE LA QUESTION 1
0.2. PROBLEMATIQUE 2
0.3. HYPOTHESE ET OBJECTIF DU TRAVAIL 4
0.4. DELIMITATION DU SUJET 5
0.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET 5
0.6. METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHES USAGEES 5
0.6.1. LES METHODES. 5
0.6.2. LES TECHNIQUES 6
0.7. DIFFICULTES RENCONTREES 6
0.8. PRESENTATION SOMMAIRE DU TRAVAIL 7
CHAP. I : GENERALITES SUR LE MICRO CREDIT 8
1.1. CONCEPTS DE BASE 8
1.1.1. LE CONCEPT DE « GESTION » 8
1.1.2. LE CONCEPT DE « GESTION AUTOMATISEE » 8
1.1.3. LE CONCEPT DE « SERVICE COMPTABLE » 8
1.2. MICRO CREDIT DANS LE MONDE : HISTORIQUE ET EVOLUTION 8
1.3. QUELQUES DATES HISTORIQUES SUR LE MICRO CREDIT 10
1.4. NOTIONS INTERMEDIAIRES SUR LE BILAN 10
1.4.1. LES PRINCIPAUX ELEMENTS D'UN BILAN 10
1.4.2. DIFFERENCE ENTRE ACTIF ET PASSIF. 10
1.4.3. LES DIFFERENTES SORTES D'ACTIFS : 11
1.4.4. LES DIFFERENTES SORTES DE PASSIFS. 11
A. LE PASSIF EXIGIBLE 11
B. FINANCE PAR OU LE PASSIF NON EXIGIBLE 11
1.4.5. COMPRENDRE LE BILAN 11
1.5. PRESENTATION DU COMITE D'ASSISTANCE NYIRAGONGO 12
1.5.1. DENOMINATION 12
1.5.2. HISTORIQUE 12
1.5.3. CADRE ORGANISATIONNEL DE CAN 13
1.5.4. OBJECTIFS 14
1.5.6. STRATEGIES D'ACTION DE CAN. 15
1.5.7. DIFFICULTES DE CAN 15
1.6. REALISATION DE CAN 15
CHAPITRE II : ANALYSE DU SYSTEME D'INFORMATION 17
2.1. LE MODELE CONCEPTUEL DES FLUX 17
2.1.1. DIAGRAMME BRUT DES FLUX NET 18
2.1.2. MATRICE DES FLUX NET. 0
2.1.3. DIAGRAMME CONCEPTUEL DES FLUX NET. 0
2.2. LE MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT) 23
2.2.1. REGLES D'ORGANISATION. 23
2.2.2. TABLEAUX DES PROCEDURES FONCTIONNELLES DU SII EXISTANT
24
2.2.3. DIAGRAMME D'ENCHAINEMENT DES PROCEDURES 26
2.3. LE MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS (MCT) 33
2.3.1. LES CONCEPTS USAGES. 33
2.3.2. REGLES DE GESTION 33
2.3.3. LE MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS. 34
2.4. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD) 38
2.4.1. CONCEPT DE BASE 38
2.4.2. OBJECTIFS. 38
2.4.3. REGLES DE GESTION 38
2.4.4. DICTIONNAIRE DES DONNEES. 38
2.4.5. LE MCD 39
2.4.6. CRITIQUE DE L'EXISTANT. 39
2.4.6.1. DU POINT DE VUE MEMBRE DE L'ORGANISATION 39
2.4.6.2. FAIBLESSES APPARENTES. 40
2.4.6.3. LES FORCES APPARENTES 41
CHAP III : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR 42
3.1. LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD) 42
3.1.1. OBJECTIFS 42
3.2.2. DOCUMENTS UTILISES 42
3.2.3. DICTIONNAIRE DES DONNEES EPURES 43
3.2.4. REGLE DE GESTION 43
2.4.5. LE MCD 44
3.3. MODELE CONCEPTUELLE DES TRAITEMENTS (MCT) 44
3.3.1. REGLE DE GESTION 44
3.3.2. LE MCT. 45
3.4. LE MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT) 49
3.4.1. REGLE D'ORGANISATION 49
3.4.2. TABLEAU DE PROCEDURES FONCTIONNELLES 50
2.2.3. DIAGRAMME D'ENCHAINEMENT DES PROCEDURES 52
3.5. GRAPHE DE CIRCULATION 59
3.5.1. FORMALISME UTILISE 59
DESCRIPTION DES PROCEDURES FONCTIONNELLES 66
CHAP IV : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE 73
4.1. MODELE LOGIQUE DE DONNEES 73
4.2. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES 74
4.3. MODELE LOGIQUE DE TRAITEMENT 74
4.3.1. QUELQUES DEFINITIONS 74
4.3.2. LA CONCEPTION DU MODELE LOGIQUE DE TRAITEMENTS. 75
4.4. PRESENTATION DE L'APPLICATION 80
4.5. APERÇUS DES ETATS DE SORTIS 81
4.6. SORTIE DE L'APPLICATION 82
CONCLUSION GENERALE 83
BIBLIOGRAPHIE 84
TABLE DE MATIERES 85
ANNEXE 1 : FICHE DE REMBOURSEMENT CREDIT CAN 89
ANNEXE 2 : AUTORISATION MARITALE D'ACCES AU CREDIT CAN 90
ANNEXE 3 : PROCESSUS D'ECHEANCE 91
ANNEXE 4 : PROCESSUS DE REMBOURSEMENT 92
ANNEXE
Annexe 1 : Fiche de remboursement crédit
CAN
Comité d'Assistance Nyiragongo
C.A.N. asbl
Adresse locale : 1, Avenue de BENI, Centre Ville, Ville de
Goma, RDC Tel. -081 31 40 722 09 98 90 26 96 E-mail :
canyiragongo2002@yahoo.fr
FICHE DE REMBOURSEMENT DE CREDIT No /.... ...
Nom du groupe solidaire :
Nom du Président du groupe
Nom du Bénéficiaire
Date d'acquisition du crédit Montant reçu :
300 $US Taux d'intérêt : 4%
Durée du crédit : 5 mois Total
Intérêt : 38$US
Activité financée
Mois à payer Mwezi kulipi
wa
|
Date de paie
Siku ya kulipa
|
Capital circulant Au mois Asilimali ya kutu Mika
ku Mwezi
|
Remboursement prévu chaque
mois. Malipo inayo pangwa ku kila mwezi.
|
Montant Remboursé au mois Pesa ilyo
lipiwa mu mwezi
|
Reste au mois Baki ku mwezi
|
Observ date de remboursement
et N° reçu Uchunguzi wa siku
alipa na No
|
Capital Asilim ali
|
Intérêt wa Faida
|
Total Jumla
|
Capital Asilimali
|
Intérêt Faida
|
Total Jumla
|
Capital Asilimali
|
Intérêt Faida
|
Date et Sceau du guichet
|
1
|
|
300
|
60
|
12
|
72
|
|
|
|
|
|
|
2
|
|
240
|
60
|
10
|
70
|
|
|
|
|
|
|
3
|
|
180
|
60
|
8
|
68
|
|
|
|
|
|
|
4
|
|
120
|
60
|
5
|
65
|
|
|
|
|
|
|
5
|
|
60
|
60
|
3
|
63
|
|
|
|
|
|
|
Total
|
|
00
|
300
|
38
|
338
|
|
|
|
|
|
|
N.B. Cette prévision de
remboursement n'est valable que si vous respectez l'échéance
prévue. Dans le cas contraire, l'intérêt sera
calculé sur le capital en circulation plus le montant non rembourser au
mois
= := := := := := := := := := := := := := := := := := := := :=
:= := := := := := := := := := := := := := := := := := := := := :=
Annexe 2 : AUTORISATION MARITALE D'ACCES AU CREDIT
CAN
Je soussigné, Monsieur :
Résident à
Mari de Madame
Résident à
Exerçant les activités de
à
Du groupe solidaire Autorise mon épouse à
prendre un crédit auprès de CAN à l'instar des autres
mamans de son groupe solidaire ci - haut repris.
Je me porte garant de payer le dit crédit en lieu et
place de mon épouse en cas de difficultés de solvabilité
et souscrit au protocole de collaboration de CAN - Partenaire.
Fait à Goma, le _____/ _____/200___ Le Mari de
Signature
91 Annexe 3 : PROCESSUS D'ECHEANCE
Private Su b Echeance_Exit(Cancel As I nteger)
On Error Resu me Next
Dim vDateFinEch As Date, TempM, m, a, TempA, LesMois
If Not IsNull(Me.CodeOctroi) Then
If IsNull(Me.Echeance) Or Me.Echeance <= 0 Then
MsgBox "La valeur d'échéance ne doit pas être
nulle ou inférieure ou égale à 0 (zéro)." &
vbCr & _
"Modifiez cette valeur avant de continuer S.V.P.!", vbCritical,
"Valeur incorrecte d'échéance"
Me. Echeance.SetFocus
Cancel = True
Exit Sub
End If
If IsNull(Me.DateOctroi) Then
MsgBox "Spécifiez une date d'octroi du crédit avant
de continuer." & vbCr & _ "La valeur que vous venez de saisir va
être effacée!", vbCritical, "Valeur nulle de date"
Me.CodeCl i .SetFocus
Me.Echeance = Null
Exit Sub
End If
a = CI nt(Format(Me. DateOctroi, "yy"))
m = Format(Me.DateOctroi, "m")
LesMois = Me.Echeance + m
' MsgBox m & " -> " & a
If LesMois > 12 Then
TempA = Int(LesMois / 12)
TempM = LesMois - (Int(TempA) * 12)
vDateFinEch = Format(Me.DateOctroi, "dd") & "/" & TempM
& "/" & (a + TempA) ' MsgBox vDateFinEch
Else
vDateFinEch = CDate(Format(Me.DateOctroi, "dd") & "/"
&
Format(Me.DateOctroi, "mm") + Me.Echeance & "/" &
Format(Me.DateOctroi, "yyyy")) End If
'MsgBox Me.DateOctroi & " ->" & vDateFinEch
Me.DateFinEch = vDateFinEch
'DoCmd.GoToRecord , , acNext
Exit Sub
Else
MsgBox "Le code d'octroi ne peut être nul. Veuillez le
renseigner avant de continuer."
Me.CodeOctroi .SetFocus
End If
End Sub
Annexe 4 : Processus de remboursement
Private Sub CodeOctroi_Exit (Cancel As Integer) If
IsNull(Me.CodeOctroi) Then
Cancel = True
Exit Sub
End If
DoCmd.OpenForm "frSituationRemb", , , , , acIcon
DoCmd.FindRecord Me.CodeOctroi, , True, , True
Me. ResteARemb = Forms!frSituationRemb! MontOctroi -
Forms!frSituationRemb!TotRemb
DoCmd.Close acForm, "frSituationRemb"
End Sub
Private Sub Commande23_Click()
Dim Mkopo, Mwezi
Mkopo = Me.CodeOctroi.Column(2) Mwezi =
Me.CodeOctroi.Column(4) Me.MontRemb = Mkopo / Mwezi
Me.IntRemb = (Mkopo / Mwezi) * 0.04 Me.Remb = Me.MontRemb
Me.Solde = Me.ResteARemb - Me.Remb End Sub
|