EPIGRAPHIE
« Et toi, Bethléhem Ephrata, qui est
petite parmi les villes de Juda, de toi sortira pour moi celui qui dominera sur
Israël et dont l'origine remonte loin dans le passé, à
l'éternité.»
Michée 5 :1
DEDICACE
A mes très chers parents GRODYA LOGO et CHANTAL
LOTSOVE, ma Tante MYRIAM BOLI, mes Frères Bienvenu, Alfred, Jojo ;
à toute ma famille ;
à ma future femme ;
à mes futurs enfants.
Je dédie ce travail.
REMERCIEMENTS
Mes remerciements s'adressent en premier lieu au Dieu Vivant
le père de Jésus, le Dieu d'Abraham, le Dieu de Moise, le Dieu de
la Bible, Mon Dieu, de m'avoir donné son souffle de vie, la force
d'achever mon premier cycle et aussi la force d'achever ce travail de fin de
cycle.
Je tiens à remercier tout particulièrement et
à témoigner toute ma reconnaissance à mon père
GRODYA LOGO et ma mère CHANTAL pour leur soutient tant matériel
que moral de tous les jours.
Je congratule le corps professoral de nous avoir transmis
toutes les connaissances possibles que nous devrions avoir,
Je tiens à exprimer ma reconnaissance à toutes
les personnes qui ont apporté leurs concours à la
rédaction de ce travail de fin de cycle:
- Mes frères Bienvenu LOGO, Alfred LOGO, Baraka
OUSMANE, Salomon et ma Tante Maternelle MYRIAM BOLI pour le soutien et la
patience qu'Ils m'ont témoignés ;
- Mon directeur AMIR GULZAR et mon Co-directeur l'Assistant
MUMBERE MUYISA pour la direction de ce travail de recherche;
- L'UNILUK, le corps professoral et particulièrement
les étudiants Internes de Troisième Graduat
« Unité 13 » pour avoir animé cette
année ;
- Mes amis de chambre Patrick SENGA, Moen Ngoy et Ruhamya
Chirac;
Je tiens également à remercier toutes les
personnes qui ont concouru à rendre ce travail possible.
A tous et à Chacun, nous disons Merci.
AKANGBA LOGO Thierry
LISTE DES
ABREVIATIONS
EAO : Enseignement Assisté par Ordinateur
GATT: General Agreement on Tariffs and Trade
MEA : Modèle Entité Association
MERISE : Méthode d'Etude et de Réalisation
Informatique du Système d'Entreprise
MLD : Modèle Logique des Données
MOT : Modèle Organisationnel de Traitement
MOpT : Modèle Opérationnel de Traitement
MPD : Modèle Physique des Données
NTIC : Nouvelles Technologies de l'Information et de la
Communication
OHADA : Organisation pour l'Harmonisation du Droit des
Affaires en Afrique
OMC : Organisation Mondiale du Commerce
RDC : REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
VB: Visual Basic
TABLE DES
MATIERES
EPIGRAPHIE i
DEDICACE ii
REMERCIEMENTS iii
LISTE DES ABREVIATIONS iv
TABLE DES MATIERES v
INTRODUCTION GENERALE 1
I. PROBLEMATIQUE 1
II. HYPOTHESES DU TRAVAIL
2
III. OBJECTIFS DU TRAVAIL
2
IV. CHOIX ET INTERET DU SUJET
3
V. METHODOLOGIE 3
VI. DELIMITATION DU SUJET
3
VII. PLAN DU TRAVAIL 4
PREMIER CHAPITRE: CONSIDERATIONS
THEORIQUES 5
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS
5
I.1. CONCEPTION 5
I.2. LANGAGE DE PROGRAMMATION
5
I.3. MISE EN PLACE 7
I. 4. LOGICIEL 8
I. 5. ENCYCLOPEDIE 9
I. 6. NUMERIQUE 10
I.7. BILINGUE 11
I.8. TERMINOLOGIE 11
I. 9. LES AFFAIRES/COMMERCE
11
DEUXIEME CHAPITRE : ETUDES
PREALABLES 13
II.1. PRESENTATION DU CHAMP DU
TRAVAIL : LE COMMERCE 13
II.1.1. Présentation
13
II.2.2. Evolution du commerce :
de l'Antiquité à l'Epoque Contemporaine 14
II.2. CADRAGE DU PROJET 16
II.3. ETUDE D'OPPORTUNITE
17
II.4. ETUDE DE FAISABILITE
17
II.5. RECEUIL DES INFORMATIONS
18
TROISIEME CHAPITRE : CONCEPTION
D'UNE ENCYCLOPEDIE NUMERIQUE BILINGUE 20
III.1. CAHIER DE CHARGE DE
L'ENCYCLOPEDIE 20
III.2. CONCEPTION DE LA BASE DES
DONNEES 20
CONCLUSION 29
REFERANCES BIBLIOGRAPHIE
30
ANNEXE : Quelques lignes de Code
Visual Basic obtenues à partir des algorithmes ci haut
présentés 31
INTRODUCTION
GENERALE
I. PROBLEMATIQUE
Aujourd'hui, l'informatique est presque partout : dans
les Moyennes et Grandes entreprises, dans les bureaux, dans les hôpitaux,
dans les universités et même dans le ménage. Bien que
l'Internet demeure absent dans le ménage africain, y trouver un PC n'est
pas surprenant, ce n'est plus un luxe. On peut donc affirmer que le nombre des
ordinateurs s'accroît de plus en plus en Afrique, le besoin de connaitre
l'informatique est indispensable : certains vont dans des centres,
d'autres dans les universités.
Aller à l'Université, poursuivre les
études supérieures revient à se spécialiser dans un
domaine quelconque dont on maîtrisera les concepts et les utiliser quand
il faut et comme il faut.
Pourtant on constate que dans la plupart des
universités de la République Démocratique du Congo un
grand nombre des étudiants sont généralistes, par
conséquent la plupart d'entre eux ne maîtrisent pas les concepts
clés de leur domaine.
Ceux qui font l'économie en Afrique et plus
particulièrement au Congo-Kinshasa, peuvent-ils affirmer qu'ils
maîtrisent et comprennent les termes utilisés couramment en
économie ? Et ceux utilisés dans les affaires ?
Quelqu'un pourra me demander pourquoi les affaires ?
C'est parce que la définition même de l'économie renferme
trois concepts clés à savoir : la rareté des moyens,
le choix à opérer et les besoins illimités ; elle
nous renvoie sur la notion du marché, car le choix ne s'opère que
face aux biens vendus sur marché, le marché étant le lieu
de confrontation entre l'offre et la demande ; c'est le commerce (les
affaires). (Antoine MATHE, 2011).
En affaires comme en informatique la langue Anglaise s'impose.
Il est donc devenu presque difficile de faire les affaires sans comprendre les
notions élémentaires de l'anglais.
Il se pourrait que les Gestionnaires d'Entreprises ainsi que
les intellectuels congolais non seulement ils emploient mal les termes
techniques commerciaux mais aussi n'ont aucune idée de la traduction
anglaise de ces termes.
Le ministère de l'Enseignement Primaire, Secondaire et
Professionnel (EPSP) de la RDC, compte intégrer l'Anglais dans
l'enseignement, cela revient à dire que bientôt les enseignements
seront bilingues dans notre pays (Français - Anglais).
Les Etudiants et Gestionnaires doivent dès lors,
maîtriser cette langue ainsi que les termes techniques qu'elle
conserve.
Il est impérieux de mettre en leur disposition un atout
pour qu'ils puissent utiliser les termes économiques non seulement en
Français mais aussi dans leur sens originel tels
qu'énoncés par leurs Auteurs (Adam Smith, Ricardo,...).
Ainsi dit, nous pouvons alors analyser ce problème en
essayant de répondre aux questions qui suivent :
- Pourquoi maîtriser la terminologie bilingue
(Français - Anglais) des affaires ?
- Comment, grâce à la technologie,
parviendrons-nous à aider les étudiants ainsi que les
gestionnaires congolais à comprendre et d'user de bonne manière
la terminologie bilingue des affaires, est-ce qu'un programme y
parviendra-t-il?
II.
HYPOTHESES DU TRAVAIL
Partant de la problématique ci - haut soulignée,
nous nous proposerons les hypothèses suivantes :
- Il est impérieux pour les gestionnaires congolais de
maîtriser la terminologie Bilingue des affaires puisqu'ils sont
appelés à utiliser chaque terme technique quand il faut et
à la place qu'il faut et aussi maîtriser l'équivalent
Anglais de ce terme étant donné que l'Anglais est la langue la
mieux placée dans les affaires et en Informatique.
- Nous pensons qu'avec l'Enseignement Assisté par
Ordinateur (EAO), nous parviendront à répondre à la
deuxième question de notre recherche.
III.
OBJECTIFS DU TRAVAIL
a. Objectif général
Notre travail poursuit l'objectif suivant : Concevoir et
mettre à la disposition des gestionnaires congolais un logiciel qui leur
permettra non seulement de comprendre les termes utilisés dans les
affaires en français comme en Anglais mais aussi les utiliser
correctement sans faire recours à l'Internet qui, jusque-là,
demeure absent dans la plupart d'entreprises de notre pays.
b. Objectifs Spécifiques
- Aider les Gestionnaires et Etudiants Congolais à
comprendre les termes utilisés dans les affaires en français
comme en Anglais et même les utiliser correctement.
- A l'aide de l'Enseignement Assisté par Ordinateur
(EAO), Faire profiter les utilisateurs de l'ordinateur les termes techniques
couramment utilisés en Affaires ainsi que leur traduction anglaise.
IV. CHOIX ET
INTERET DU SUJET
On nous reproche, nous étudiants Africains plus
particulièrement nous de l'UNILUK, d'utiliser n'importe comment les
termes techniques propres au domaine que nous sommes censés
maîtriser, fautes de maîtrise de la terminologie.
En RDC, l'informatique s'intensifie de plus en plus, on voit
s'accroître le nombre des ordinateurs dans le pays. Nous pouvons
affirmer sans aucun doute que l'anglais demeure la langue de l'informatique par
excellence.
C'est pourquoi notre choix s'est plus penché sur la
création d'une encyclopédie numérique que de faire des
approches purement théoriques sur la terminologie bilingue des
affaires.
V.
METHODOLOGIE
Pour vérifier nos hypothèses nous utiliserons la
Méthode d'Etude et de Réalisation Informatique du Système
d'Entreprise (MERISE) et les techniques Algorithmiques ; pour l'Analyse et
la conception de la Base de Donnée que nous utiliserons dans notre
programme.
VI.
DELIMITATION DU SUJET
Compte tenu des contraintes, tant matérielles que
temporelles et étant donné que tout travail scientifique doit
posséder des limites, notre travail se borne à la création
et l'explication d'une première version de ce qui sera
l'encyclopédie numérique bilingue de la terminologie des
affaires.
Ainsi, limiterons-nous à l'explication des termes
couramment utilisés en affaires jusqu'à l'année 2010.
VII. PLAN DU
TRAVAIL
Ce travail de recherche regorge trois parties à mettant
de côté l'Introduction et la Conclusion :
- Considération théorique
- les études préalables
- Conception d'une Encyclopédie Numérique
Bilingue
PREMIER
CHAPITRE: CONSIDERATIONS THEORIQUES
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS
I.1. CONCEPTION
En informatique, la conception désigne la mise en
oeuvre d'instructions données à l'ordinateur en vue de ressortir
un programme. On appelle programme, une suite d'instructions
interprétées puis exécutées par un ordinateur
à l'aide d'un langage de programmation spécifique.
On ne conçoit pas qu'un programme mais aussi un
algorithme ; la conception de celui-ci désigne une suite
d'instructions écrites dans un langage humain avant d'être
traduites par un langage de programmation (Osée Muhindo Masivi).
La conception d'un programme exige un état d'esprit
tranquille et concentré pour qu'on aboutisse à de bons
résultats.
Dans sa phase d'Analyse, on doit effectuer
simultanément l'étude des données recueillies et celle des
traitements à faire puisque c'est là que s'appliquent les
techniques de modélisation qui consiste à décrire les
bases de données éventuelles à créer et les
instructions à écrire et la manière dont tout cela va se
passer. C'est donc la phase de recueil des données.
C'est alors dans la phase de réalisation, qu'on
commence à écrire les instructions du programme. Cette phase
s'appelle aussi phase de la programmation. Nous devons signaler aussi que le
débogage (Suppression des erreurs qui bloquent le fonctionnement d'un
programme) et le packaging du programme se déroule dans cette phase.
I.2. LANGAGE DE PROGRAMMATION
I.2.1. Présentation
Un Langage de programmation
désigne un langage informatique composé d'une série
d'instructions pouvant être interprétées et
exécutées par un ordinateur. Ces instructions se composent de
caractères, de symboles, et de règles permettant de les
assembler. (Microsoft Encarta 2009).
I.2.2. Traduction d'un langage
Un ordinateur représente toutes les
informations (programmes et données) par des suites de
« 0 » et de « 1 » (forme binaire).
Néanmoins, pour qu'un programme puisse être exécuté,
il est nécessaire que les instructions qui le composent soient comprises
par le processeur. L'ensemble des instructions comprises et directement
exécutables par le processeur forme ce que l'on appelle le langage
machine. Ce processus de conversion du code source (instructions écrites
dans un langage manipulable par un opérateur humain) en code objet
(assimilable par l'ordinateur) est assuré par un programme capable de
traduire un jeu de symboles en un autre, par application de règles de
syntaxe et de sémantique.
Suivant la nature du langage de programmation employé
et du processus de traduction, ce programme s'appelle un compilateur ou un
interpréteur. Un interpréteur traduit et exécute en
même temps, alors qu'un compilateur produit soit un fichier
exécutable si le code source est correct, soit un rapport sur l'ensemble
des erreurs constatées.
I.2.3. VISUAL BASIC
a. Présentation de
Visual Basic
Visual Basic est un outil développé par
Microsoft pour développer facilement des applications fonctionnant sous
Microsoft Windows (c).
Visual Basic est, comme son nom l'indique, un outil visuel
permettant de créer sans notion de programmation l'interface graphique
(GUI - Graphical User Interface) en disposant à l'aide de la
souris des éléments graphiques (boutons, images, champs de texte,
menus déroulants,...).
L'intérêt de ce langage est de pouvoir associer
aux éléments de l'interface des portions de code associées
à des événements (clic de souris, appui
sur une touche, ...). Pour cela, Visual Basic utilise un petit langage de
programmation dérivé du BASIC (signifiant Beginners
All-Purpose Symbolic Instruction Code, soit code d'instructions
symboliques multi-usage pour les débutants). Le langage de script
utilisé par Visual Basic est nommé à juste titre VB
Script, il s'agit ainsi d'un sous-ensemble de Visual Basic.
De plus, ce langage est utilisé pour de nombreuses
autres applications Microsoft(c) que Visual Basic:
· Microsoft Access
· Microsoft
Active Server Pages
· Microsoft Excel
· Microsoft Internet Explorer
· Microsoft Word
Ainsi, pour créer un utilitaire, il suffit de
créer son interface graphique à l'aide de la bibliothèque
d'élément en les assemblant tel un puzzle, puis de programmer
à l'aide de VB Script les événements associés aux
éléments de l'interface.
b. Possibilités de Visual Basic
De par le nombre de composants fournis avec Visual Basic, les
possibilités en terme d'interface graphique sont très grandes.
D'autre part, les contrôles ActiveX, des composants actifs utilisables
dans vos applications, permettent d'avoir accès à des fonctions
avancées:
· accès à des bases de données
· accès à des fonctionnalités
réseau
· accès à des fonctions
d'entrée-sortie
I.3. MISE EN
PLACE
Selon le Dicos Encarta 2008, mettre en place est une locution
verbale qui signifie installé (tout ce qui est nécessaire
à quelque chose). Cette même source désigne par la mise en
place (locution nominale), une installation d'un produit commercial dans un
magasin.
En informatique, la mise en place d'un programme
désigne les processus à suivre pour le rendre utilisable,
disponible à tout moment dans un ordinateur en vue d'exécuter
toutes les tâches que l'utilisateur attend de lui.
I. 4.
LOGICIEL
a. Définition
L'encyclopédie Encarta 2008 définit le mot
logiciel comme un programme ou un ensemble des programmes assurant un
traitement particulier de l'information. Le mot logiciel est la traduction de
l'anglais software.
b. Types des logiciels
· Logiciel système
Un logiciel système contrôle le fonctionnement de
l'ordinateur, jouant par conséquent le rôle de première
interface entre l'homme et la machine. Il gère les travaux essentiels,
mais souvent invisibles, relatifs à la maintenance des fichiers sur le
disque dur, à la gestion de l'écran, etc. un logiciel
système constitue donc une partie d'un système d'exploitation.
· II. Logiciel d'Application
Tous les autres logiciels sont les logiciels d'application.
Ils permettent d'effectuer la multitude des tâches plus ou moins
spécifiques pour lesquelles sont utilisés les ordinateurs :
traitement de texte, gestion de base de données, comptabilité,
programmation, utilisation de réseaux, etc.
c. Diffusion des logiciels
Outre cette classification par tâches, on peut aussi
ranger les logiciels selon leur méthode de diffusion. Il faut alors
distinguer les logiciels commerciaux standards, développés et
vendus essentiellement par des détaillants (revendeurs ou grossistes) ou
par de grandes chaînes de distribution pour les produits les plus
populaires, et les logiciels du domaine public, à distribution gratuite,
qui comprennent le freeware, à usage libre et sans droits à
payer, et le shareware, dont l'usage régulier est assujetti au paiement
d'une somme modique à son créateur. Le principe du shareware,
relativement populaire dans les pays anglo-saxons, tend aujourd'hui à se
généraliser, notamment grâce aux vecteurs de communication
très étendus du réseau Internet. On peut ainsi trouver des
applications logicielles en shareware qui rivalisent avec certaines
applications commerciales du même domaine, mais à un coût
beaucoup plus intéressant, l'auteur proposant fréquemment des
améliorations techniques intéressantes pour la licence
achetée.
I. 5. ENCYCLOPEDIE
a. Définition
Est un mot d'origine grec egkuklopardia, ouvrage où est
exposé, dans l'ordre alphabétique, l'ensemble des connaissances
universelles ou spécifiques à un domaine. Equivalent
Anglais : Encyclopedia.
b. Types d'Encyclopédies
L'encyclopédie est devenue un ouvrage de
référence au sens le plus strict du terme, à savoir, un
ouvrage que l'on consulte sur un sujet particulier, répertorié
par ordre alphabétique. Cet ordre se retrouve dans toutes les
encyclopédies modernes, avec certaines variantes. Certaines se
rapprochent du dictionnaire avec un nombre important d'entrées et des
articles concis. À l'inverse, d'autres se concentrent sur un sujet plus
restreint avec des articles plus développés. Les dictionnaires
encyclopédiques modernes et les encyclopédies comme le Grand
Dictionnaire universel du XIXe siècle (1866-1876),
de Pierre Larousse, illustrent le principe des petites rubriques. L'autre
approche a conduit à des encyclopédies qui tiennent davantage de
la compilation de monographies et d'articles de synthèse (Microsoft
Encarta 2008-Etudes).
· L'encyclopédie de Diderot et d'Alembert
(Encarta 2008)
C'est une traduction française de la
Cyclopædia de Chambers qui fut à l'origine de
l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et
des métiers. La révision de cette traduction, qui avait
été confiée à Diderot, prit sous sa plume l'ampleur
d'une gigantesque entreprise intellectuelle et philosophique.
· Les encyclopédies
Monographiques
En France, la tradition de
l'encyclopédie monographique est représentée au
XXe siècle par l'Encyclopædia Universalis
(1968-1975, 20 volumes ; 1984, 2e éd.,
22 volumes ; 1990, 3e éd. 30 volumes) et
la Grande Encyclopédie alphabétique (Larousse,
1971-1978, 21 volumes ; 2 suppléments, 1981 et 1985).
En langue anglaise, on peut aussi citer The Encyclopedia
Americana (nouvelle édition, 1962).
En Belgique, Grote Nederlandse Larousse Encyclopedie
(1971-1980, 25 volumes et 1 supplément). Pour l'Espagne, il
faut citer l'Enciclopedia universal ilustrada europeo-americana,
d'Espasa (1905-1933).
· Les encyclopédies
Orientales
Au cours des siècles, la Chine a produit
de nombreuses encyclopédies. La plupart sont très volumineuses et
se composent d'importantes anthologies de textes littéraires et
historiques ainsi que de biographies agencées selon diverses
classifications. La première encyclopédie chinoise s'intitulait
le Miroir de l'Empereur; elle parut vers 220 apr. J.-C.,
mais aucun fragment n'en a subsisté. La première
encyclopédie moderne fut éditée en 1915. La publication de
la première encyclopédie chinoise en plusieurs volumes, la
Grande Encyclopédie de Chine, débuta en 1980 par un volume
consacré à l'astronomie.
Au Japon, la Grande Encyclopédie
japonaise (10 volumes, 1908-1919), même si elle s'apparente aux
ouvrages occidentaux modernes, est plutôt une anthologie de textes
scientifiques. Japonica (19 volumes, 1967-1972) est plus une
oeuvre générale de référence.
Les encyclopédies arabes, comme leurs
équivalents chinois, étaient plutôt des anthologies
conçues pour aider les responsables administratifs à s'acquitter
de leur charge. L'encyclopédie arabe la plus ancienne date du
IXe siècle apr. J.-C. et s'intitule les
Meilleures Traditions. Il s'agit d'un recueil, en dix volumes, de
poésies et de proses classées par thèmes, qui a servi de
modèle pour des oeuvres ultérieures.
I. 6.
NUMERIQUE
En informatique, numérique est synonyme de binaire, car
les ordinateurs ne traitent l'information que sous forme codée par des
combinaisons de chiffres écrits en notation binaire. Un chiffre binaire
est une suite de nombres appelés bits, chaque bit pouvant
représenter les valeurs 0 ou 1. En conséquence, un nombre
codé sur un bit peut avoir deux valeurs, un nombre codé sur deux
bits quatre valeurs (00, 01, 10 et 11), etc. Le nombre de ces valeurs peut
être important mais reste limité par le nombre de bits
utilisés pour les coder, suivant la formule : nombre de
valeurs = (nombre de bit)2.
En électronique et en télécommunications,
un système numérique qualifie tout dispositif traitant
l'information comme une suite d'états électriques
ouvert-fermé ou haut-bas, etc. Les dispositifs numériques peuvent
représenter le nombre 0 et 1 en utilisant leurs deux états.
I.7.
BILINGUE
Une personne est qualifiée de bilingue s'il parle
couramment deux langues. L'adjectif Bilingue se dit aussi de ce qui associe la
pratique ou la lecture de deux langues.
· Les dictionnaires Bilingues
On appelle dictionnaires bilingues, les dictionnaires qui
mettent en rapport non des mots d'une langue et leurs définitions, mais
les mots d'une langue et leurs traductions dans un autre système de
langue. Ces ouvrages bilingues servent d'outil pour la compréhension et
la traduction. Ils donnent en général, outre les indications
sémantiques nécessaires à l'inventaire des sens des
mots.
I.8.
TERMINOLOGIE
Le petit Larousse Illustré et le Petit Robert
définissent le mot terminologie comme un ensemble des termes
particuliers à une science, à un art, à un chercheur,
à un domaine.
· Terminologie des Affaires :
Ensemble de mots techniques que l'on retrouve dans les affaires.
I. 9. LES
AFFAIRES/COMMERCE
a. Les Affaires
Les affaires désignent en Economie, un ensemble
d'activités économiques, industrielles et financières.
Dans le même angle d'idées, le Dicos Encarta définit les
affaires comme des opérations financières et commerciales d'une
entreprise.
En bref, nous pouvons alors dire que toutes activités
liées au commerce sont les affaires.
b. Le Commerce
Au sens large et juridique : le Commerce est une
activité consistant à fabriquer, transporter et vendre des
biens ou des services d'un lieu à un autre dans le but de les
échanger. Ici le commerce désigne l'activité du
commerçant.
Au sens étroit et commun, le lexique d'économie
définit le commerce comme une activité de distribution ou
commercialisation.
Disons qu'affaires et commerce signifient la même
chose.
DEUXIEME
CHAPITRE : ETUDES PREALABLES
II.1.
PRESENTATION DU CHAMP DU TRAVAIL : LE COMMERCE
II.1.1. Présentation
Le substantif commerce désigne l'activité qui
consiste à fabriquer, transporter et vendre des biens ou des services
d'un lieu à un autre dans le but de les échanger.
L'économiste britannique Adam Smith remarque dans
la Richesse des nations (The Wealth of Nations, 1776) que la
volonté d'échanger un objet contre un autre est une
qualité intrinsèque de la nature humaine. Selon cet
économiste classique, fondateur de l'économie politique, l'objet
des « sociétés civiles » consiste en la
réalisation de leurs intérêts matériels.
L'échange permet alors la satisfaction des besoins en permettant aux
individus de se procurer ce qu'ils convoitent sans nécessairement avoir
à le produire eux-mêmes.
Historiquement, les premiers échanges se sont
opérés dans le cadre d'une économie de troc,
système dans lequel un bien s'échange directement contre un autre
bien. Échanger une marchandise directement contre une autre marchandise
pose le problème de la valeur respective de ces deux biens. Si l'on
souhaite échanger de la boisson contre de la nourriture, quelle
quantité d'eau, par exemple, sera-t-il nécessaire de céder
afin de se procurer une quantité de viande qui sera jugée par les
deux parties à l'échange comme équivalente ? En
outre, selon le temps et le lieu, le rapport d'échange entre ces deux
marchandises peut varier, et désavantager l'une ou l'autre des
parties.
Ce simple exemple montre que la nature de
l'échange exige que la valeur des biens puisse être définie
en fonction d'un instrument à partir duquel la valeur de tous les biens
échangés peut être mesurée : la Monnaie.
II.2.2. Evolution du commerce : de l'Antiquité
à l'Epoque Contemporaine
a. La Route de la Soie
La route de la Soie est l'une des
premières voies commerciales de grande importance, reliant la Chine
à l'Empire romain. Elle est établie aux environs de
l'an 100 av. J.-C., grâce à la dynastie Han, qui
autorise les caravanes à circuler en toute sécurité en
Asie centrale. Cette route, qui s'étend sur 6 000 km, permet
le transport de la soie de Chine, de la laine romaine et de métaux
précieux, ainsi que d'autres marchandises de grande valeur, à
partir de points intermédiaires situés en Inde et en Arabie. Les
perturbations politiques qui surviennent après le
Ve siècle apr. J.-C. entraînent l'arrêt
du commerce par les voies terrestres ; il faudra attendre l'époque
des grandes découvertes pour voir le commerce s'ouvrir de nouveau vers
l'Asie.
b. L'Europe Médiévale
Le commerce se développe
progressivement pendant le Moyen Âge, particulièrement durant le
XIIe et le XIIIe siècle. Le commerce entre
villes éloignées devient plus sûr après que les
commerçants eurent formé des associations assurant la protection
des voyageurs à l'étranger. Les villes italiennes et allemandes
(villes de foire) traversées par ces routes développent et
financent leurs activités commerciales (apparition des prêteurs,
ancêtres des banquiers).
c. Le Début de la Période
Moderne
Aux XVe et XVIe siècles, le
développement de la construction des navires de guerre et de transport
des marchandises permet au commerce de s'accroître rapidement. Par
ailleurs, la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb
permet d'échanger de nouveaux produits tels que le tabac et les
rondins.
La découverte et l'exploitation des
richesses du Nouveau Monde par les Espagnols marque un nouvel essor du commerce
maritime. Le commerce est alors conçu comme un moyen
d'enrichissement : sa finalité consiste à attirer les
richesses du dehors afin de les conserver au-dedans selon le credo
mercantiliste de l'époque. Le commerce est alors un moyen de
transférer, et non de créer, de la richesse servant à
asseoir la domination politique et militaire des nations qui en tirent profit,
au détriment de ceux qui subissent l'échange et dont on pille les
ressources.
Ces nouvelles formes d'organisation du commerce, la
diversité des biens échangés, le progrès accompli
en matière de moyens de transport, le développement de nouveaux
moyens de paiement plus sûrs (lettres de change, lettre de crédit)
marquent le développement de l'échange moderne. Le volume du
commerce ne cessera plus de croître, et va s'amplifier grâce
à l'introduction de nouvelles méthodes d'organisation de la
production.
d. Les Conséquences de
l'Industrialisation
Dès 1750, le commerce des épices
est largement dépassé par les échanges des matières
premières. Au cours des décennies suivantes, la nature du
commerce va être de nouveau modifiée par les effets de la
révolution industrielle. Il s'instaure à cette période une
division internationale du travail qui oppose les pays acteurs de la
révolution industrielle qui produisent des biens manufacturés,
à ceux qui ne sont que les fournisseurs de matières
premières.
e. Le XXème Siècle
Avec la révolution industrielle, le
commerce, s'il croît en volume, change également de nature. Depuis
longtemps, les conceptions mercantilistes ont été
supplantées par la diffusion des idées libérales. Aux
premiers qui ne voient dans l'échange que le moyen d'assurer la
prospérité politique d'un État, les économistes
comme Smith ou Ricardo opposent une vision dans laquelle l'échange
s'avère bénéfique et profitable pour toutes les parties en
présence.
Toutefois, la première moitié de ce
siècle va être marquée par une résurgence du
protectionnisme économique. Animés par le souci de
protéger leurs économies, au motif que les droits de douane
engendrent un supplément de recettes fiscales et permettent de
protéger l'emploi dans des activités nouvelles, nombreux seront
les pays qui adopteront des politiques de restrictions au commerce, en oubliant
que les importations des uns constituent les exportations des autres.
f. L'Epoque Contemporaine
À l'opposé des années
d'avant-guerre, la période qui s'ouvre en 1945 va être
marquée par une croissance inédite et sans
précédent du commerce mondial. Entre 1949 et 1974, la croissance
des échanges sera supérieure à celle de la production.
Né des accords de Genève en 1947, le GATT a permis
d'établir des règles de fonctionnement du commerce international
assurant un retour au libre-échange. En assurant la non-discrimination
entre partenaires commerciaux, en imposant la réciprocité entre
les pays membres des différentes réductions des barrières
tarifaires et non tarifaires, au moyen de la clause de la nation la plus
favorisée, les négociations commerciales menées sous
l'égide du GATT ont permis un formidable accroissement du commerce
mondial. Cette évolution contemporaine dans le processus du commerce a,
par un effet de retour, influencé l'organisation du GATT, qui est
devenue à la suite de l'Uruguay Round, l'Organisation mondiale du
commerce (OMC). Au-delà du simple changement de dénomination,
c'est la prise en compte d'une nouvelle réalité mondiale dans la
nature des échanges (tant structurels que par produits) qui a
nécessité la constitution d'un nouvel agent régulateur du
commerce mondial.
g. Effets de la Mondialisation sur le
Commerce
Le commerce actuel est fortement influencé par le
contexte de la mondialisation qui s'impose de plus en plus. En effet,
grâce aux nouvelles technologies de l'information et de la communication
(NTIC) le monde est réduit en un village planétaire. Les
échanges en sont particulièrement favorisés par la
facilité de communication entre les producteurs grossistes, les
demi-grossistes, les détaillants et même les consommateurs. Les
commandes, les payements sont plus que jamais faciles à réaliser
par l'intermédiaire des moyens ultra modernes de communication.
II.2.
CADRAGE DU PROJET
Ce travail de recherche dans son ensemble essayera de
satisfaire au besoin de connaissance des termes couramment utilisés dans
les affaires ainsi que leurs traductions anglaises. La structure qui se trouve
plus impliquée dans l'étude de ce projet est
l'Encyclopédie Numérique qui répond à ce besoin en
fournissant les réponses suivantes :
o La Définition du Terme Recherché
o Sa Traduction (En Anglais ou En Français)
o Ses Synonymes
o Les Annexes (Terminologie OHADA, de la Comptabilité,
Dictionnaire des Micro-finances)
II.3. ETUDE
D'OPPORTUNITE
Avant de nous immerger plus profondément dans ce
projet, nous devons prendre le soin de nous assurer qu'il est utile,
bénéfique et surtout Opportun. En considérant Notre
objectif primordial, celui de permettre aux gestionnaires de comprendre les
termes utilisés dans les affaires en français comme en Anglais
mais aussi les utiliser correctement ; nous pourrons, après
l'exploitation de cette version d'évaluation, confronter cet objectif
à celui témoigné par les bénéficiaires du
logiciel.
II.4. ETUDE DE FAISABILITE
Cette étude cherche des réponses à la
question de savoir si le projet est possible à réaliser compte
tenu des contraintes actuelles.
1) Contraintes Positives
a. Contraintes Humaines
Les connaissances que nous avons acquises durant notre premier
cycle et l'appui régulier du corps professoral et les soutiens et
sourires de tous les jours de la part de nos camarades, ... nous faciliterons
la conception de notre Encyclopédie Numérique Bilingue de la
Terminologie des Affaires.
b. Contraintes Matérielles et
Techniques
Les éléments matériels et Techniques que
voici nous permettront de bien concevoir cette encyclopédie :
o L'Acquisition de notions dans différents cours ayant
trait à l'informatique (VB, Base de Données, VB Studios,...) et
la disponibilité des différents cours de programmation sur
Internet ;
o L'Accès facile aux livres, Monographies de la
Bibliothèque
o La Croissance du nombre des machines dans la contrée
de Lukanga et dans toute l'étendue de la RDC.
c. Contraintes Temporelles
« On ne gagne jamais le combat contre le
Temps. », c'est pourquoi nous aurons besoin de plus de temps possible
pour accomplir ce Projet : Cinq ou Six mois au Maximum. Nous osons
espérer que ce temps une fois disponible, nous permettra de faire
beaucoup malgré les multiples exigences auxquelles nous sommes
soumis.
2) Contraintes Négatives
Les grands problèmes qui pourraient freiner
l'évolution de cette oeuvre, sont entre autres :
- L'absence de la soif du savoir de la part des Gestionnaires
et Etudiants Economistes Congolais
- Malgré la croissance lente des nombres des
ordinateurs en ces jours, les ordinateurs demeurent rares dans les
ménages africains
- La Collection des informations relatives à la
terminologie des affaires et les stocker dans une base de données en si
peu de temps.
Nous avons essayé de confronter les contraintes
positives et négatives, et nous avons abouti à la conclusion que
rien ne pourra empêcher la réalisation de ce projet.
II.5. RECEUIL DES INFORMATIONS
II.5.1. Récolte des
Informations
La récolte des informations est la recherche des
données nécessaires pour la réalisation d'un projet. Nous
avons fait usage de la technique documentaire qui, selon MPIANA cité par
MUHINDO FADHILI (2009, p.19), consiste en une analyse des documents contenant
les informations dont a besoin en vue de réaliser une étude. Au
moment de notre récolte des données, nous avons utilisés
les notes des cours, l'Internet, livres et les dictionnaires numériques
existants qui sont entre autres :
- les notes de cours d'anglais commercial enseigné en
l'année 2011 pour les termes commerciaux anglais
- le Dicos Encarta pour la définition des termes
- le livre intitulé « finance »
pour les synonymes
- l'Internet pour les annexes
II.5.2. Les Acteurs
II.5.2.1. les acteurs Internes : Concepteur et
Sources d'informations
Les Acteurs Internes désignent ceux qui contribuent
à l'élaboration du logiciel.
II.5.2.2. les acteurs Externes : Utilisateurs du
logiciel
Les acteurs Externes n'élaborent pas le logiciel mais
en bénéficient lors son utilisation.
II.5.3. Les Flux
Concepteur
Utilisateurs
Sources d' Informations
Encyclopédie
Ces flux représentent l'utilisation de
l'encyclopédie, c'est-à-dire que l'utilisateur
bénéficie des termes que le concepteur de l'encyclopédie a
tiré de différentes sources d'information et les a mis à
sa disposition.
NB : Une fois la conception du logiciel finie, les flux
se présenteront comme suit :
Sources d' Informations
Utilisateur Informaticien
Encyclopédie
Autres Utilisateurss
Commentaire : une fois le logiciel fini,
le concepteur n'aura plus rien à faire, mais l'utilisateur pourra
ajouter un mot à l'encyclopédie afin que les autres utilisateurs
en profitent.
TROISIEME
CHAPITRE : CONCEPTION D'UNE ENCYCLOPEDIE NUMERIQUE BILINGUE
III.1.
CAHIER DE CHARGE DE L'ENCYCLOPEDIE
Cette Encyclopédie devra fournir aux utilisateurs les
informations indispensables et de première nécessité sur
les termes utilisés couramment dans le commerce ainsi que dans les
domaines auxquels s'applique le commerce. Ces informations sont
notamment :
o La définition du terme recherché
o L'Equivalent de ce terme (en français ou en
Anglais)
o Les synonymes de ce terme
o Et d'autres illustrations disponibles et relatives au terme
trouvé
o La possibilité de copier la définition du
terme concerné
o D'ajouter des mots (quand on connaît le mot de
passe)
o D'aller sur Internet pour trouver d'autres détails
relatifs au terme (à l'aide d'un raccourci dans le logiciel)
o Etc.
III.2. CONCEPTION DE LA BASE DES DONNEES
Cette partie du travail s'intéresse à
établir une base de données qui pourra nous permettre de stocker
nos données dont on aura besoin lors de la recherche d'un mot en vue de
trouver sa définition.
La règle de gestion suivante nous permet de
préciser par notre modèle conceptuel des données qu'un mot
est identifié par un Numéro, ce mot a un synonyme, une Traduction
(anglaise ou française, ses définitions, et des illustrations.
III.2.1. DICTIONNAIRE DES DONNEES
Mnémonique
|
Signification
|
Mode d'Obtention
|
Règles de Gestion
|
Observation
|
NumDomaine
|
Numéro du Domaine
|
Automatique
|
|
Unique
|
DescriptionDomain
|
Description du Domaine
|
Mémorisé
|
|
Nul Interdit
|
CodeTerme
|
Code du Terme
|
Automatique
|
|
Unique
|
Terme
|
Terme
|
Automatique
|
|
Nul Interdit
|
DefinitionTerme
|
Définition du Terme
|
Mémorisé
|
|
Nul Interdit
|
SynonymeTerme
|
Synonyme du Terme
|
Mémorisé
|
|
|
TraductionTerme
|
Traduction Terme
|
Mémorisé
|
|
|
Langue
|
Langue
|
Mémorisé
|
|
Nul Interdit
|
II.2.2. GRAPHE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE
Le graphe de dépendance fonctionnelle est un
schéma qui permet d'établir le lien entre les différentes
Entités et les Associations ; ce qui revient à dire que
c'est un outil permettant de lier les propriétés à travers
les valeurs qu'elles peuvent prendre : le graphe de dépendance
fonctionnelle de notre projet se présente comme suit :
NumDomaine
DescriptionDomaine
CodeTerme
Terme
DefinitionTerme
SynonymeTerme
TraductionTerme
Langue
II.2.3. MODELE ENTITE ASSOCIATION (MEA)
Domaine
CodeDomaine
DescriptionDomaine
Terme
CodeTerme
Terme
DefinitionTerme
SynonymeTerme
NumDomaine
Appartenir
(1, n)
(1, 1)
II.2.3. MODELE LOGIQUE DES DONNEES (MLD)
Après que nous ayons élaboré le
modèle conceptuel des données, il nous convient d'intégrer
l'état technologique de la base des données en spécifiant
le type des données à utiliser pour passer à
l'implantation physique de cette dernière.
Domaine (NumDomaine,DEscriptionDomaine)
Terme (CodeTerme, Terme, DefinitionTerme,
SynonymeTerme, NumDomaine#)
II.2.4. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES (MPD)
II.2.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT)
Chronologie
|
Encyclopédie Bilingue des Affaires
|
Type de Traitement
|
A chaque Démarrage
A chaque lancement
A chaque Clic d'un Menu
|
|
Manuel
Automatique
Manuel
|
II.2.6. MODELE OPERATIONNEL DE TRAITEMENT (MOpT)
Fichier
ACCUEIL
Menu
Dictionnaire du Commerce
OHADA
ANNEXES
Paramètres
Aide
Quitter
French Version
English
Version
MicroFin Terms
Accounting Terms
Administration
A propos...
Concepteur
Code Source
II.2.7. INTERFACE UTILISATEUR
· Formulaire1 : Accès au Programme
·
Formulaire2 : Glossaire Termes Commerciaux
Français
· Formulaire3 : Ajout, Modification des Termes
par l'Administrateur
II.2.8. a. Quelques Algorithmes du Programme
1. Accès au Programme
Début
Test Connexion
User ou
Admin
Ouverture
Exploiter
Ajouter
Entrer mot de Passe
Test
passWord
Ouverture
Exploiter
Modifier
Ajouter
[ Mdp incorrect ]
[ ]
Fin
non oui
User Admin
Faux Vrai
2. Ajout Nouveau Terme
Début
Ajout Terme
Mot de Passe
Test
passWord
[ Mdp incorrect ]
[ ]
Fin
[ Entrer mot ]
passe
[ ]
Faux Vrai
3. Recherche d'un Terme par l'Utilisateur
[ Ce mot est introuvable ]
[ ]
Decrire Terme
Fin
Début
Mot Recherché
Test si le mot existe
Non oui
CONCLUSION
Nous voici au terme de notre travail de recherche qui consiste
à concevoir et mettre en place une encyclopédie numérique
Bilingue de la terminologie des affaires et qui devait servir d'outil qui
permettrait aux gestionnaires, Etudiants et enseignants d'enrichir leur
vocabulaire en matière de gestion.
Partant de notre problématique et des hypothèses
émises, nous osons croire que ce travail se présentera comme une
opportunité pour les cibles précitées ainsi que pour ceux
qui voudront acquérir une excellence dans la connaissance Bilingue des
termes couramment usités en Gestion.
Nous avons fini par comprendre que la connaissance des termes
commerciaux Anglais serait non seulement pour les commerçants un
facilitateur des négoces, mais aussi un avantage pour les programmeurs
informaticiens.
Nous ne pouvons pas affirmer que ce travail aidera
complètement les gestionnaires à comprendre et maîtriser
les termes couramment utilisés dans les affaires mais nous pouvons dire
qu'il prêtera main forte au programme national visant à rendre
bilingue les enseignements en République Démocratique du
Congo.
Ce travail n'est guère achevé, c'est pourquoi
nous laissons libre entrée à toute personne voulant pallier
à ce problème qui guète les Etudiants congolais quant
à la compréhension et l'usage des termes techniques d'un domaine
quelconque, de bien vouloir poursuivre des recherches dans ce domaine.
REFERANCES
BIBLIOGRAPHIE
1) OUVRAGES
1. Dipl.Ing. Anfreas Maslo,Visuel Basic6.0,1999
2. Forest lin, The visuel basic cours book, scott,
1995.
3. Xx, Le petit larousse illustrée 2001
4. JEAN MARC, visuel basic , 1999
2) COURS
1. O. Muhindo Masivi, Méthode d'analyse de
Système d'Information, G2
UNILUK, inédit, 2007-2008
2. A. GULZAR, Programmation Evénementielle, G2
UNILUK, 2009-2010, inédit.
3. O. Muhindo Masivi, Algorithmes, G2 UNILUK 2009-2010,
inédit.
4. A. GULZAR, Commercial English, G2 UNILUK, 2009-2010,
inédit.
3) TRAVAUX DE FIN DE CYCLE
1. O. Katembo Kakome, Conception et mise en place d'un
dictionnaire électronique
Illustré, TFC/ UNILUK, 2007-2008;
2. K. Lwanzo Leston, Conception, création d'une
encyclopédie interactive de
l'Unversité Adventiste de Lukanga, TFC/ UNILUK,
2007-2008
3. K. MALIRO FABRICE, conception et mise en place d'une
encyclopédie Zoologique, TFC/UNILUK, 2008-2009 ;
4) REFERENCE ENCYCLOPEDIQUE
1. Dicos Encarta, Microsoft Corporation, 2009.
ANNEXE : Quelques lignes de Code Visual Basic obtenues
à partir des algorithmes ci haut présentés
a. Accès au Programme
Private Sub Command2_Click()
FrmAccueil.Show
Me.Hide
End Sub
Private Sub CmdOK_Click()
FrmAccueil.Show
If CmdOK = True Then
mnuadministrateur.Enabled = True
Else
mnuadministrateur.Enabled = False
End If
Me.Hide
End Sub
Private Sub mnuexit_Click()
End
End Sub
b. Ajout nouveau Terme
'Connection à la Base de Donnée et
déclaration de la variable tb
Dim db As New ADODB.Connection
Dim tb As New ADODB.Recordset
Private Sub Command1_Click()
' code pour ajouter des données
tb.AddNew
tb("Terme") = Text1.Text
tb("Definition") = RtbAjoutDef.Text
tb("Equivalent-Anglais") = Text3.Text
tb("Synonymes") = Text4.Text
tb.Update
End Sub
Private Sub Command2_Click()
' code pour un nouveau enregistrement
tb.MoveLast
Text1.Text = ""
RtbAjoutDef.Text = ""
Text3.Text = ""
Text4.Text = ""
End Sub
c. Recherche d'un Nouveau Terme par l'Utilisateur
Private Declare Function ShellExecute Lib "shell32.dll" Alias
"ShellExecuteA" (ByVal hWnd As Long, ByVal lpOperation As String, ByVal lpFile
As String, ByVal lpParameters As String, ByVal lpDirectory As String, ByVal
nShowCmd As Long) As Long
'declaration pour
la recherche dans une liste
Private Declare Function SendMessage Lib "user32" Alias
"SendMessageA" (ByVal hWnd As Long, ByVal wMsg As Long, ByVal wParam As
Integer, ByVal lParam As Any) As Long
Const a = &H18F
Dim db As New ADODB.Connection
Dim tb As New ADODB.Recordset
Private Sub TxtNom_Change()
' lorsqu'on cherche un terme
On Error Resume Next
If TxtNom.Text <> "" Then
List1.Visible = True
End If
List1.ListIndex = SendMessage(List1.hWnd, a, 1, ByVal
CStr(TxtNom.Text))
End Sub
|