CHAPITRE UN. INTRODUCTION GENERALE
2
1.1. INTRODUCTION
2
1.2. PROBLÉMATIQUE
2
1.3. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET
3
1.4. OBJECTIF DU SUJET
3
1.5. HYPOTHÈSE DU SUJET
4
1.6. DÉLIMITATION DU SUJET
4
1.7. MÉTHODES ET TECHNIQUES
4
1.9. SUBDIVISION DU SUJET
6
CHAPITRE DEUX. ANALYSE DU SYSTEME MANUEL
DE PRET BOURSE ET PRESENTATION DE SFAR
7
2.1. INTRODUCTION ET DEFINITION GENERALE
7
2.1. 1. Introduction
7
2.1.2. DÉFINITION ET NOTIONS
GÉNÉRALES
7
2.2. PRÉSENTATION DU MILIEU D'ÉTUDE
(SFAR)
8
2.2.1. Aperçu historique de SFAR
8
2.2.2. Missions de SFAR
8
2.2.3. Source de financement du fonds
prêts bourses.
9
2.3. PLAN DETAILLE DU SYSTEME EXISTANT DE PRET
BOURSES
11
2.4. PROBLÈME À RÉSOUDRE
16
2.5. PROPOSITION DES SOLUTIONS.
16
CHAPITRE TROIS. CONCEPTION DU NOUVEAU
SYSTEME DE PRET BOURSE
18
3.1. INTRODUCTION
18
3.1. LES MODULES DU PROGRAMME
20
3.2.1. DFD Demande Bourses
23
3.2.2. DFD : Etablissement de Budget.
25
3.2.4. DFD : Remboursement
27
3.3. LES MODELES DU SYSTEME D'INFORMATION (SI).
27
3.3.1. Modèle conceptuel des
données
27
3.3.2. Dictionnaire des données
30
3.3.3 Modèle conceptuel de traitement
(MCT)
33
3.3.4. Modèle Organisationnelle des
Traitements
36
3.3.5. Modèle physique des
Données
38
3.3.6. Modèle logique des
Données.
38
CHAPITRE QUATRE.
39
REALISATION TECHNIQUE DU SYSTEME DE GESTION
PRET BOURSE.
39
4.1. INTRODUCTION.
39
4.2. LES OUTILS ET EXIGENCES DU NOUVEAU
SYSTEME.
39
4.3. TEST D'APPLICATION.
41
4.4. QUELQUES INTERFACES DU PBOURSESOFT
45
4.5. LES RESULTS OBTENUS.
50
CONCLUSION ET PERSPECTIVE
52
PERSPECTIVES
53
ANNEXES
55
CHAPITRE UN. INTRODUCTION
GENERALE
1.1. Introduction
Actuellement la technologie de l'informatique s'avère
nécessaire dans nos jours quelque soit l'activité
exercée.
Pour bien gérer une entreprise il est nécessaire
de savoir comment chaque activité est gérée.
Enfin, la préoccupation majeure des entreprises est la
bonne gestion de l'information à l'aide des appareils et des logiciels
informatiques qui répondent aux besoins spécifiques de chaque
entreprise.
C'est le cas de l'Agence de Financement des Etudiants Rwandais
ou en anglais « Student Financing Agency for Rwanda » en
sigle SFAR, qui a le plein pouvoir d'octroi du prêt bourse du
gouvernement rwandais aux étudiants répondant aux conditions
exigées accordé aussi bien à l'intérieur
qu'à l'extérieur du pays ainsi que le contrôle du
mécanisme de son remboursement
Bien qu'étant équipée des appareils
informatiques, cette agence ne dispose pas d'un logiciel permettant
d'automatiser leur système d'activité principale qui est
d'accorder des bourses aux étudiants rwandais.
C'est dans ce cadre que nous avons choisi comme sujet de notre
travail de recherche « L'informatisation du système de
gestion de prêt bourse au sein de SFAR. »
1.2. Problématique
Suite à l'absence d'un logiciel informatique, les
données des informations de SFAR se trouvent stockées dans des
classeurs et fardes où l'accès n'est pas facile et/ou le stockage
n'est pas sécurisé.
Le département qui a le prêt bourse dans ses
activités a du mal à :
v Inscrire des boursiers au sein de cette commission.
v Contrôler les candidats qui sont
bénéficiaires de ces bourses.
v Etablir un budget pour le financement des boursiers
v Stocker des informations et permettre l'accessibilité
rapide à ces informations.
v Gérer le système de remboursement.
L'informatisation de ces activités donnera une
réussite remarquable au fonctionnement de SFAR.
1.3. Choix et intérêt
du sujet
v Choix du sujet
Notre sujet de travail de recherche intitulé
« L'informatisation du système de gestion de prêt bourse
au sein de SFAR. » a été choisi pour
contribuer à la meilleure gestion du système de gestion de
prêt bourse par la mise en place d'un système
automatisé.
v Intérêt du sujet
La réalisation de ce travail permettra de
disponibiliser une information précise, fiable, adéquate et
facilitera les tâches aux travailleurs de SFAR.
Ce travail permettra de concilier la pratique et la
théorie acquises au cours de la formation académique à
l'UAAC.
Enfin, ce travail servira de documentation de base pour
l'Agence SFAR et à un autre chercheur qui se lancera dans la même
matière.
1.4. Objectif du sujet
Les travaux effectués au cours du développement
de cette application ont un caractère non seulement scientifique mais
aussi économique que pratique. Ils ont pour objectif d'informatiser le
système de prêt bourse et le mécanisme de remboursement de
ce prêt au SFAR.
C'est sur ce que, nous pouvons ajouter d'autres objectifs
à savoir :
ü Avoir l'accès aux informations ;
ü Fournir des rapports et des listes des boursiers qui
aideront les responsables de SFAR pour prendre telle ou telle
décision ;
ü Accroître la performance dans le traitement
rapide et efficace des opérations.
1.5. Hypothèse du sujet
Afin de pouvoir atteindre les objectifs de ce travail,
l'hypothèse suivant a été formulée pour être
confirmée ou infirmée par les résultats :
« L'informatisation du système de gestion du prêt bourse
et son mécanisme de remboursement permettra SFAR d'améliorer la
qualité de l'information et de réduire le temps matériel
qui était consacré au processus du système manuel du
prêt bourse »
1.6. Délimitation du sujet
Dans notre travail de recherche, nous allons nous limiter sur
la gestion de prêt bourse au sein de SFAR et le mécanisme de son
remboursement.
1.7. Méthodes et Techniques
Dans tout travail de recherche scientifique, l'utilisation de
méthodes et des techniques de collection des données et leur
analyse s'avère nécessaire.
C'est pourquoi pour atteindre les objectifs de ce travail,
nous avons utilisé certaines méthodes et techniques, à
savoir :
1. Méthode
a)Recherche bibliographique
et webographique
Elle concerne à fouiller les documentations et
consultation des sites web sur l'analyse du système d'information
existant afin da faire une conception et un développement d'un nouveau
système d'information.
b) Méthode d'analyse
Dans la conception nous
utiliserons la merise qui est la méthode d'analyse d'une application
dans laquelle le développement procède linéairement par
les phases de l'analyse de conditions, de conception, d'exécution, de
test, de mise en oeuvre et de maintenance
2. Techniques
a) Technique documentaire
Cette technique permet de donner des définitions et
des informations plus spécifiques sur les termes techniques
utilisés dans ce travail.
b) Technique d'interview
L'interview est un outil de collection d'information que nous
avons utilisé au cours du développement de ce système
d'information. Nous avons rencontré les gens de SFAR qui exploitent le
système existant dans le cadre d'une approche de top down c'est
à dire de haut en bas de l'échelle hiérarchique. Cette
approche permet d'avoir d'abord une vision globale du système à
l'étude et de son emplacement, des problèmes rencontrés et
des objectifs qu'ils attendaient atteindre.
1.8. Les résultants attendus
Selon notre hypothèse de recherche, nous attendons
à notre application de fournir à son utilisateur la
possibilité de :
v Permettre la bonne gestion des biens publics.
v Stocker les informations de prêt bourses et celles en
rapport de remboursement.
v Donner les informations nécessaires pour
établir le budget de l'Agence.
v Calculer des taux des remboursements.
v Donner avec précision les conditions d'être
financés par SFAR.
v Déterminer la manière rapide
d'accessibilité aux données des boursiers et d'autres
informations de la commission relative au prêt bourse.
1.9. Subdivision du sujet
Le présent travail est subdivisé en quatre
chapitres coiffés d'une conclusion.
Le premier chapitre introduit d'une
façon générale le sujet et comprend la
problématique, l'hypothèse, l'objectif de
l'étude, l'intérêt du sujet, la méthodologie et
techniques pour pouvoir réaliser notre recherche, les résultants
attendus ainsi que la subdivision du travail.
Le deuxième chapitre
s'articule sur l'étude du système
existant ainsi que la présentation générale de l'Agence
« SFAR ».
Le troisième chapitre sera
consacré à la conception du nouveau système d'information
et enfin,
le quatrième chapitre comprendra la
réalisation du S.I. conçu pour améliorer la gestion du
prêt bourse au sein de SFAR et le mécanisme de son
remboursement.
A travers la conclusion et perspective nous aurons l'occasion
d'émettre quelques suggestions aux responsables de SFAR tendant à
améliorer le système de gestion de prêt bourse et le
mécanisme de son remboursement.
CHAPITRE DEUX. ANALYSE DU SYSTEME MANUEL DE PRET BOURSE ET
PRESENTATION DE SFAR
2.1. INTRODUCTION ET
DEFINITION GENERALE
2.1. 1. Introduction
Le chapitre deux est consacré au cadre théorique
qui va permettre de comprendre les notions relatives au prêt bourse, le
système existant dans lequel SFAR finance les boursiers rwandais et puis
faire une conclusion qui va nous aider à comprendre le problème
à résoudre ainsi que la présentation des solutions.
2.1.2. Définition et Notions Générales
· Prêt
Selon La Larousse le mot prêt vient du verbe
« prêter » qui veut dire céder pour un temps,
ou « accorder ». On peut prêter une somme d'argent
ou autre chose1.
Dans notre cas, nous allons traiter un cas d'une somme
prêtée pour faire des études universitaires à
l'intérieur du pays ou à l'extérieur.
· Bourse
Nous pouvons donner trois sens au mot bourse selon la
Larousse1(*),
1. Petit sac à argent ;
2. L'argent qu'on y met ;
3. Pension accordée pour des études.
Mais on peut trouver un autre sens du mot bourse comme
« édifice où se font les opérations
financières sur les valeurs publiques. »
2.2. Présentation du milieu d'étude (SFAR)
2.2.1. Aperçu historique de SFAR
L'agence Rwandaise de Financement des Etudiants (SFAR) a
été créée officiellement le 29 Juillet 2003 par le
Conseil des Ministres.
2.2.2. Mobiles de la
création de SFAR.
Les motifs qui ont été à la base de la
création de SFAR sont les suivants :
a. Le besoin d'augmenter le nombre des étudiants
rwandais pour avoir l'accès accès à l'éducation
supérieure grâce à la création d'un Fonds de
prêts bourses d'études ;
b. Le besoin de rééquilibrer le budget de
l'état entre les sous-secteurs variés de l'éducation. Le
budget alloué à l'enseignement supérieur constitue une
proportion relativement plus large du budget total accordé à
l'enseignement au Rwanda ;
Telles sont les causes qui ont conduit l'Etat Rwandais
à créer une Agence de Financement des Etudiants «
SFAR. »
2.2.2. Missions de SFAR
La mission du SFAR est d'organiser le
financement de tous les rwandais poursuivant des études
supérieures dans des institutions reconnues au Rwanda et à
l'étranger ;
Dans le souci de mener à bon port la mission
précitée, SFAR s'est dotée des principes valeureux de
travailler dans la transparence et ouverture, équité et justice,
esprit d'innovation et d'entreprenariat avec une orientation centrée sur
les clients et les résultants.
· Avec le principe de travailler dans la transparence et
ouverture, SFAR s'attend à développer un climat de confiance du
public envers elle en donnant toutes les informations nécessaires aux
usagers qui font recours à elle et être ouverte et claire dans les
opérations de l'organisation de ses services.
· Au principe d'équité et justice, SFAR
veut offrir des services à tous les Rwandais de façon
égale et équitable.
· Animée de l'esprit d'innovation et
d'entreprenariat, SFAR entend développer de nouvelles idées et
des meilleures voies d'offres de meilleurs services à ses clients.
Dans la mise en exécution de ces valeurs clés,
SFAR a l'intention de contribuer au développement des ressources
humaines au Rwanda à travers le financement des bourses des
étudiants dans l'enseignement supérieur.
En vue d'atteindre le résultat escompté, et ce,
de façon générale, SFAR s'adonne à fournir toutes
les informations au sujet des opportunités, des règlements et des
procédures pour les prêts bourses disponibles. Elle s'est
résolue à assurer la gestion des demandes de prêts, le
déboursement et le recouvrement des capitaux prêtés.
Ainsi SFAR est un organe indépendant responsable de
tous les problèmes relatifs aux prêts et bourses pour les
étudiants rwandais. Elle est chargée d'attirer l'argent du
Gouvernement, des bailleurs de fonds, des banques et d'autres institutions du
secteur privé intéressées à l'enseignement.
SFAR fonctionne comme un intermédiaire officiel
vis-à-vis de toutes les ambassades des pays étrangers dans les
programmes de bourses.
2.2.3. Source de financement du fonds prêts
bourses.
La dotation initiale de trois cent millions (300.000.000) de
francs rwandais a été versée au compte de SFAR à la
fin de l'exercice budgétaire 2005. Celui-ci constitue une partie du
Fonds initial de la part du MIFOTRA réservée au payement des
bourses des anciens employés dans les administrations publiques et qui
poursuivent leurs études dans les institutions supérieures depuis
l'Année Académique 2006.
Suite à cela, il incombe à SFAR de faire une
demande des fonds suffisants prévus chaque année au Budget de
l'Etat à travers MINEDUC pour payer les bourses des tous les demandeurs
au SFAR inclus même les anciens employés des l'Etat d'une
part ;
D'autre part, le Fonds pourra être alimenté
par :
· Des fonds des bailleurs partenaires du
MIFOTRA ;
· Des fonds des bailleurs partenaires du SFAR dans le
cadre de lui permettre la réalisation de sa mission d'administrer les
prêts bourses ;
· Des fruits de la capitalisation des fonds disponibles
et de la récupération de fonds prêtés ;
· D'autres sources éventuelles.
Ainsi, les intervenants importants dans l'approvisionnement
du fonds prêts bourses d'études aux anciens employés de
l'Etat sont les suivants :
· Etat Rwandais ;
· Investisseurs privés ;
· Bailleurs des fonds ;
· Bienfaiteurs.
2.2.4. Des organes de
Gestion
Le Fonds prêts bourses d'études est
géré de façon directe et indirecte par de
différentes parties qui font recours à des capitaux qui y sont
versés.
A. Gestion directe
La gestion directe, permanente et journalière du Fonds
est confiée à SFAR qui a les prêts bourses dans ses
attributions, comme il est dans la convention signée par le MINEDUC/SFAR
et le MIFOTRA.
B. Gestion indirecte
L'autonomie de gestion du Fonds reconnue à SFAR est
soumise au droit de regard, de suivi et de contrôle exercé
conjointement par les organes ci-après :
· Le MINEDUC qui exerce la tutelle administrative sur
SFAR et veille à ce que la gestion du Fonds soit saine et
juste ;
· Le MINEDUC assurera la défense d'une allocation
budgétaire que le Gouvernement Rwandais doit verser au compte de SFAR en
faveur des anciens employés de l'Etat Rwandais.
· La cellule de gestion placée au sein du MIFOTRA
qui effectue le suivi, encadrement et accompagnement des employés
(anciens) étudiants débiteurs des prêts bourses ;
· Les institutions d'Education supérieur (IES)
qui établissent des dossiers à soumettre à SFAR pour
payements de la formation dispensée aux étudiants
conformément au modèle conçu et valide entre SFAR et
IES ;
· La politique sur les prêts bourses
d'études gérés par SFAR s'applique de même
manière aux employés de l'Etat qui suivent leurs études
ainsi que d'autres étudiants Rwandais qui obtiennent des prêts
bourses auprès de SFAR en vue d'étudier aux IES.
2.3. PLAN DETAILLE DU SYSTEME EXISTANT DE PRET BOURSES
Pour concevoir un nouveau système basé sur les
nouvelles technologies, la connaissance du système existant est
importante. Dans notre cas, le système existant est celui utilisé
au sein de la SFAR.
Il est aussi important de connaître les problèmes du
système existant afin de créer un nouveau système qui
pourra apporter une solution aux problèmes rencontrés.
Nous allons nous concentrer, dans le cadre de ce mémoire
à informatiser et à matérialiser les activités
suivantes :
Ø Demande de Bourse d'étude
Ø Etablir le budget et le contrôle.
Ø Remboursement.
Voici en résume chaque activité :
1. Demande de Bourse d'étude
Toute personne qui pose sa candidature à la demande
d'une bourse se présente d'abord à la réception pour
retirer un formulaire de demande de bourse à remplir.
La personne candidate doit remettre à la
réception le formulaire dûment rempli, ainsi que d'autres
documents exigés pour la demande de Bourse (tels que la photocopie du
diplôme notifiée, la photocopie de la carte d'identité,
etc.).
Le (la) réceptionniste vérifie tous ces
documents et les envoie chez le département chargé de prêt
bourses qui sortira la liste des candidats qui remplissent les conditions et
cette liste est affichée à l'intention du public.
2. Etablissement de Budget et le contrôle
Les fonds prêts bourses sont gérés par
les gestionnaires directs et indirectes.
Voici les responsabilités de chaque gestionnaire:
I.Responsabilité du MIFOTRA
§ Enregistrer tous les anciens employés issus des
différentes reformes effectuées au sein de l'administration
Publique Rwandaise ;
§ Etablir des listes nominatives provisoires des
demandeurs en tenant compte de l'IES choisie par le souscripteur ;
§ Fournir à SFAR une liste précise des
libellés (ex : Minerval, maintenance, Frais de recherche, etc.) et
les frais pour lesquels SFAR déboursera les prêts bourses
d'études aux étudiants dans les différentes IES, au cas
des changement de ces détails, elles doivent en informer SFAR au moins
deux mois avant le décaissement des fonds aux étudiants
bénéficiaires.
§ Pour les étudiants inscrits aux IES, les
prêts bourses d'étude en rapport avec le minerval, le frais de
stage, les frais de subsistance, les frais de recherche sont les même que
ceux octroyés aux autres étudiants ordinaires boursiers de l'Etat
tandis que les étudiants inscrits dans des IES privées
bénéficient du minerval selon les tarifs existants ;
§ Analyser des rapports établis par SFAR sur
l'utilisation des fonds payés par SFAR à l'intention des
demandeurs provenant des anciens employeurs de l'Etat ;
§ Participer et/ou appuyer SFAR tel que cela est
exigé et requis par SFAR dans le suivi de trace/identification des
anciens agents de l'administration publique /étudiants qui auraient
bénéficié de la bourse d'étude en vue de son
remboursement.
II. Responsabilité des IES dans la mise en
oeuvre du Fonds prêts bourses d'études
§ Collaborer avec SFAR dans le traitement des dossiers
des étudiants inscrits selon les procédures
générales telles que exigées sur des formulaires de
demande de bourses d'étude ;
§ Dès la réception des listes des
souscripteurs des bourses transmises par le MIFOTRA, les IES inscriront chaque
candidat remplissant des conditions d'admission minimales pour poursuivre la
formation ;
§ Compiler et transmettre une liste à SFAR des
étudiants inscrits qui est accompagnée par des
déclarations provisoires des frais liés à la formation des
chaque candidat retenu au moins un mois avant la date limite d'inscription des
candidats retenus et réserver une copie au MIFOTRA pour
information ;
§ Mettre à jour et envoyer à SFAR la liste
nominative des étudiants effectifs, à la fin de chaque mois, avec
copie pour information au MIFOTRA, indiquant :
i. Le nombre total des étudiants envoyés par le
MIFOTRA avant l'inscription ;
ii. Le nombre total inscrits à l'IES boursiers de
SFAR ;
iii. Le nombre total des suspensions ;
iv. Le nombre total des abandons ;
v. Les causes d'abandons et de suspensions constatées
chez chaque étudiant ;
vi. Le nombre des décès
enregistrés ;
vii. Les copies des accréditifs signés par
l'étudiant bénéficiaire des frais académiques
faisant objet du dossier financier communiqué à SFAR,
viii. Quittances justifiant les montants reçus au cours
de la période de l'année prise en compte.
III. Rôle et responsabilité de SFAR.
En sa qualité d'organe chargé de la gestion
journalière du fonds prêts bourses d'études au Rwanda, SFAR
accomplit les tâches suivantes en relation avec les étudiants
boursiers du SFAR.
Dès la réception de :
· Fonds déposé à la Banque Nationale
du Rwanda au compte de SFAR,
· Copies des listes des étudiants (anciens agents
du gouvernement, Boursiers de l'Etat, Souscripteurs différents)
transmises aux IES.
· Mises à jour des changements des positions
académiques de chaque étudiant bénéficiaire d'une
bourse d'étude (ex : suspension/abandon) ;
En plus, SFAR doit :
1. Préparer et signer des contrats avec les
étudiants après inscription complète à l'IES ;
2. Transférer un montant de prêts bourses
d'étude dû à l'institution par étudiant relatif aux
frais des études et établir des rapports convenables au moins
trois mois après la réception des listes des étudiants
inscrits aux IES ;
3. Mettre à jour au moins trois fois l'an la liste
nominative des étudiants effectifs en vue de s'assurer du nombre exact
d'étudiants réguliers, des abandons, des transferts et des
suspensions ainsi que des décès enregistrés par diverses
IES ;
4. Transmettre au Ministre ayant le Programme de Reconversion
dans ses attributions un rapport annuel décrivant l'état des
finances et des étudiants poursuivant des études et
bénéficiant des prêts bourses d'étude tout en
indiquant le montant reçu et décaissé en faveur des
étudiants par IES.
4. Rôle des étudiants.
Etant bénéficiaires directs des
prélèvements effectués sur le prêts bourses
géré par SFAR, les étudiants sont chargés
de :
1. Choisir la nature de formation à suivre ;
2. Fournir aux IES des pièces nécessaires
à l'admission et à l'inscription ;
3. Signer un contrat avec SFAR et fournir tous les documents
relatifs aux prêts bourses d'études ;
4. Fournir toute information à SFAR relative aux
prêts bourses d'études ;
5. honorer les engagements pris envers SFAR en ce qui concerne
le décaissement et le remboursement des prêts bourses
d'études selon les procédures spécifiées par
SFAR.
Ses activités sont relatives avec l'inscription ainsi
que l'établissement du budget,
Voici celle du contrôle :
2.2. Des documents de contrôle
Dans l'exercices de sa mission de gestion du fonds prêts
bourses, SFAR doit tenir en son sein et pour chaque Institution d'Education
Supérieure un dossier contenant des pièces suivantes :
1. Liste nominative effective des bailleurs intervenus en
faveur des étudiants en générales ;
2. Bordereaux des versements effectués par ces derniers
en faveur du Fonds prêts bourses ;
3. Bordereaux de prélèvements opères au
fonds prêts bourses justifiant les dépenses effectuées en
faveur des étudiants ;
4. Un dossier de chaque étudiant
bénéficiaires des bourses des études selon les
procédures de décaissement et de recouvrement des prêts
bourses d'étude ;
5. Rapport trimestriel établi par MIFOTRA ;
6. Rapport signé par les étudiants
délivré par les IES partenaires de SFAR ;
Le contrôle et l'audit externe réalises par les
organes extérieurs compétents, sont préalablement
précèdes par l'audit et un contrôle interne effectue par
une commission constituée de commun accord entre SFAR et MIFOTRA.
4. Remboursement
Pour réaliser la mission de remboursement des
prêts bourses octroyés aux étudiants Rwandais, SFAR doit
être en collaboration avec les institutions ci-après :
1. La caisse Sociale du Rwanda (CSR) ;
2. Le Rwanda Revenue Authority (RRA);
3. La Rwandaise d'Assurance Maladie (RAMA) ;
4. Centres de Mutuelles de Santé (CMS) ;
5. Les Institutions bancaires.
Ces proches collaborateurs permettront à SFAR
de :
1. Identifier de nouveaux employeurs et employés,
anciens bénéficiaires des prêts bourses ;
2. Etablir des modalités des remboursements et des
échéances par l'adaptation des clauses contenues dans des accords
de prêts bourses signés avec les redevables eu égard
à leurs revenus actuels et/ou virtuelles ;
3. Déterminer les insolvables et les
récalcitrants ;
4. Obtenir des pièces nécessaires à
mettre au dossier judiciaire en cas d'introduction d'une action en
justice ;
5. revoir chaque fois après 3 ans d'activités,
l'état d'avancement et remboursement des fonds prêtés.
2.4. Problème à résoudre
Après avoir analysée le système de
prêt bourse et avoir vu les activités du système
existant,
nous avons dégagé les problèmes
liés à la gestion du système de gestion de prêt
bourse au sein de SFAR.
Ces problèmes sont :
1. les fiches Excel et les classeurs rangés dans les
rayons qui servent comme stock des données et dont la
sécurité n'est pas sure.
2. Traitement rapide et efficace des opérations.
3. Contrôle du système de remboursement.
4. La génération des rapports très
difficiles qui prend beaucoup de temps et comprend beaucoup d'erreurs.
5. Accessibilité des informations qui sont souvent
lentes et avec des éventuelles erreurs.
2.5. Proposition des solutions.
Après avoir analysé les problèmes
ci-dessus, nous avons opté pour l'informatisation de la gestion du
système de prêts bourses au sein de la SFAR. Pour cela, nous
comptons faire recours aux outils et technologies suivants :
1. VB.NET
Est un outil développé par Microsoft pour
développer facilement des applications fonctionnant sous Microsoft
Windows(c).
VB.NET est un langage récent. Il a été
disponible en version bêta depuis l'année 2000 avant d'être
officiellement disponible en février 2002 en même temps que la
plate-forme .NET de Microsoft à laquelle il est lié. VB.NET ne
peut fonctionner qu'avec cet environnement d'exécution, environnement
disponible pour le moment que sur les machines Windows NT, 2000 et XP.
VB.NET est un outil visuel permettant de créer
l'interface graphique (GUI Graphical User Interface) qui dispose des
éléments graphiques (boutons, images, champs, de texte, menus
déroulants,...). L'intérêt de ce langage est de pouvoir
associer aux éléments de l'interface des portions de code
associées des données.
2. SQL Server
SQL est un langage de manipulation et de définition des
données qui a été initialement conçu dans les
années 1970 par la firme IBM. Il est composé en quatre sous
langages qui s'occupent de :
- La définition des données : création
des tables, suppression et modification de la structure des tables.
- La manipulation des données : sélection,
insertion, suppression et modification d'enregistrements.
- Le contrôle des données : droits
d'accès, validation des modifications.
- La programmation : procédures
stockées, fonctions, déclencheurs.
3 Crystal report
C'est un outil qui permet la génération des
rapports de façon statistique et dynamique nécessaire dans la
gestion et dans la prise de décision. Crystal report utilise les sources
des données très variées qui lui permet d'accéder
et publier les données venant des différentes bases.
Cet outil nous sera utile à générer les
rapports et graphiques nécessaires dans le système l'information
de gestion des prêts bourses.
§ Avec les formulaires de VB.NET, on aura les zones de
saisie qui sont bien contrôlées pour éviter les erreurs de
saisie.
§ Le SQL Server permettra de stocker les données
sur un disque et dans un fichier d'une manière logique facile à
retrouver mais difficile à changer sans permission de l'administrateur
du programme.
§ Le SQL Server permettra d'assurer la
sécurité des données avec la permission d'accès aux
menus du programme.
§ Avec le Crystal report, le logiciel permettra de
générer les rapports voulus au moment voulu.
CHAPITRE TROIS. CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME DE PRET
BOURSE
3.1. INTRODUCTION
L'étape de conception du nouveau système
nécessite des méthodes qui nous permettent de mettre en place le
système d'information, la méthode MERISE a été
choisie parmi d'autres méthodes comme par exemple :
v MERISE,MERISE/2
v SADT(Structured Analysis and Design
Technique)
v SART
v OMT(object-modeling technique)
v RUP (Rational Unified Process) utilisant la
méthode de notation UML (bien que UML ne soit pas une méthode
mais un langage de modélisation unifiée)
Pour concevoir le système d'information, cette
dernière consiste à concevoir, à développer et
à réaliser les applications informatiques. Cette méthode
se base sur la séparation des données et des traitements à
effectuer, en plusieurs modèles conceptuels et physiques.
La MERISE préconise une démarche en étapes
et font appel à des modèles pour représenter les objets
qui composent les systèmes d'information.
La modélisation se réalise en trois étapes
principales qui correspondent à trois niveaux d'abstractions
différentes 3 :
Figure 1. La démarche de conception
3
http://tecfa.unige.ch/staf/staf-h/tassini/staf2x/Heidi/last_bd.htm
I. Niveau
conceptuel :
représente le contenu de la base en termes conceptuels,
indépendamment de toute considération informatique.
II. Niveau
logique
relationnelle : résulte de la traduction du
schéma conceptuel en un schéma propre à un type de BD.
III. Niveau
physique :
est utilisé pour décrire les méthodes d'organisation et
d'accès aux données de la base.
L'étape suivante qui est le modèle conceptuel
consiste à mettre au point les DFD, le MCD, le MCT, et à partir
du MCT on définit le MOT.
Les diagrammes des flux des données représentent
tous les flux d'information entrant dans le système, sortant du
système et intérieurs au système.
Le MCD (Modèle Conceptuel des Données) a pour
but de décrire de façon formelle les données qui seront
utilisées par le système d'information. Il s'agit donc d'une
représentation des données, facilement compréhensible,
permettant de décrire le système d'information à l'aide
d'entités.
Le MCT (Modèle Conceptuel des Traitements) permet de
traiter la dynamique du système d'information, c'est-à-dire les
opérations qui sont réalisées en fonction
d'événements.
Ce modèle permet donc de représenter de
façon schématique l'activité d'un système
d'information sans faire référence à des choix
organisationnels ou des moyens d'exécution, c'est-à-dire qu'il
permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit
pas quand, comment , ni où le faire.
Le MOT (Modèle Organisationnel des Traitements)
s'attache à décrire les propriétés des traitements
non traitées par le modèle conceptuel des données,
c'est-à-dire: le temps, les ressources et le lieu.
Le modèle organisationnel des traitements consiste donc
à représenter le modèle conceptuel des traitements dans un
tableau dont les colonnes sont la durée, le lieu, les responsables et
ressources nécessaires à une action.
L'étape modèle logique consiste à
mettre au point le MLD
Le MLD (Modèle Logique des Données) est la
structure des données utilisées sans faire
référence à un langage de programmation. Il s'agit donc de
préciser le type des données utilisées lors des
traitements.
L'étape modèle physique permet de définir
le modèle physique
Le modèle physique consiste à
implémenter le modèle logique des données dans le SGBD,
c'est-à-dire le traduire dans un
langage de
définition de données. C'est cette base des données
qui sera utilisée par le nouveau système qui est
informatisé.
Ce chapitre comprend les différents modules du SI, les
diagrammes des flux des données ainsi que les différents
modèles.
3.1. Les modules du programme
Un module ou un domaine est un ensemble de processus du SI
utilisant des données communes et présentant peu
d'échanges avec les autres processus.6
Le SI est à son tour un ensemble d'activités qui
saisissent, stockent, transforment et diffusent des données sous un
ensemble de contraintes appelé l'environnement du système.
Pour bien travailler, nous avons divisé le logiciel de
gestion de Prêt bourse en 4 modules.
ü Gestion d'inscription : ce module
nous permet de gérer toutes les inscriptions sur les demandes de
bourses, les Déclarations ainsi que l'inscription des employeurs. Il
permet d'enregistrer :
· L'identification des demandeurs des bourses.
· Les besoins des demandeurs (la bourse
demandée).
· L'identification de l'employeur et de l'institution.
· Rapport sur les traitements des ces demandes.
6Jean Patrick, 1998, P.210
Les paramètres en entrée
sont :
§ Le nom de demandeur de bourse ou l'identification pour
les employeurs et les institutions ;
§ Son numéro de carte d'identité ou leur
adresse en cas des employeur ou l'institution ;
§ Les études faites ainsi que les études
souhaitées à suivre.
En sortie nous avons :
§ Les listes des Employeurs, Institutions et les listes
des candidats.
Pour avoir les candidats admis ou pas nous avons
augmenté sur ce module les traitements de demandes :
Les paramètres d'entrée seront :
Les besoins des demandeurs qui déterminera la
décision à prendre.
En sortie nous aurons : les listes des candidats admis ou
rejetés et les raisons de cela.
ü Contrôle et gestion du paiement des
minervals (préparation de budget).
Pour déterminer le montant à payer nous avons
besoin de connaître les boursiers actifs donc nous devons d'abord faire
un contrôle, et puis voir les informations signées lors du
contrat.
Les données en entrée sont :
· Le code de l'étudiant ;
· Et d'autres informations qui peuvent être
nécessaires pour le payement du minerval du boursier.
Les données en sortie :
· les listes des bourses payées ;
· Les listes des étudiants actifs ;
· Et les institutions payées ;
ü Gestion de remboursement : ce
module va aider à bien gérer les remboursements faits
par les anciens boursiers de SFAR.
Comme entrées nous avons :
§ Le code de l'étudiant ;
§ Son salaire ;
§ Code employeur.
Sortie :
§ Rapport des remboursements fait par les
étudiants ;
§ Le revenu de SFAR.
ü Les rapports : ce module permet
de gérer différents rapports fournis par ce logiciel. Ces
rapports ont été hautement cités.
3.2. DIAGRAMME DES FLUX DES
DONNEES.
Le diagramme de flux de données (DFD) permet de
représenter les flux d'informations qui circulent dans le
département de prêt bourse. Il montre aussi les transformations et
les conservations des données effectuées par le système.
Il montre également les sources et les destinations des informations.
Quatre symboles servent à construire un DFD
4:
1) Source ou destination
2) Traitement
3) Dépôt de données
4) Flux de données
4 Conception des bases de données
relationnelles en pratique, p.41
3.2.1. DFD Demande Bourses
1
Présenter dossiers
Demande Bourse
1
Listes des dossiers déposées
2
Traiter
3
Dossiers Traités
Etudiant
Réponse
Figure 2. DFD de Demande Bourse
Ce diagramme montre les opérations faites lors de la
demande de bourse. Le candidat ou la personne qui demande le prêt bourse
dépose son dossier à la réception. Le (la)
réceptionniste vérifie le dossier s'il est complet et l'envoie
chez le département chargé de prêt bourse qui va traiter
le dossier.
Après le traitement, le dossier est classé et le
candidat reçoit la réponse selon le dossier
déposé.
3.2.2. DFD : Etablissement de Budget.
1
Calculer Bourse
2
Budget établi
2
Payer bourses
Bourses payées
1
3
Dossiers Accords
Figure 3. DFD de Etablissement de Budget
Après l'accord de prêt bourse par SFAR, il s'en suit
le calcul de bourse à payer. On détermine le budget de SFAR
à l'aide de ce calcul. Le dossier est classé dans les dossiers
de budget et le département poursuit le paiement de prêt
bourse. Après ce paiement, on établit un rapport des bourses
payées. Ce s'est que le diagramme montre.
3.2.3. DFD: Contrôle
1
Contrôler
2
Dossiers payables
Dossiers arrêtés
1
3
Bourses payés
Dossiers suspendus
4
Figure 4. DFD de Contrôle.
Après le paiement, le département chargé de
bourse s'organise pour effectuer un contrôle du nombre des
étudiants bénéficiaires de ces prêts bourses. Les
résultats de ce contrôle sont les bourses suspendues, les bourses
arrêtées ainsi que les bourses payées.
Ces opérations sont mises sur ce diagramme de flux des
données.
3.2.4.
DFD : Remboursement
1
Enregistrer Déclaration
Fait la Déclaration
1
Listes des dépôts déclaration
2
Calculer remboursement
2
Montant a rembourser
Etudiant
3
Informer Employeur
3
Listes des Bourses remboursées
Figure 5. DFD de Remboursement.
Comme sont sur ce diagramme de flux des données, la
dernière opération de cet logiciel est le remboursement. Le
remboursement est déclanché par une déclaration de
l'étudiant après ses études s'il a déjà
obtenu l'emploi. On calculera le remboursement suite de ce qu'il est
prévu dans le contrat et cette information sera à la disposition
de l'employeur. Et ce dernier qui effectuera le remboursement au compte de
SFAR.
3.3. LES MODELES DU SYSTEME D'INFORMATION (SI).
3.3.1. Modèle conceptuel des données
Le modèle conceptuel des données
(MCD) a pour but d'écrire de façon formelle les
données qui seront utilisées par le système d'information.
Il s'agit donc d'une représentation des données, facilement
compréhensible, permettant de décrire le système
d'information à l'aide d'entités.
Ce schéma permet de
représenter la structure du système d'information, du point de
vue des données, c'est-à-dire les dépendances ou les
relations entre les différentes données.
Les éléments intervenant dans la
modélisation du MCD sont :
Entité : Une entité est la
représentation d'un élément matériel ou
immatériel ayant un rôle dans le système que l'on
désire décrire.
On appelle classe d'entité un ensemble
composé d'entités de même type, c'est-à-dire dont la
définition est la même. Le classement des entités au sein
d'une classe s'appelle classification (ou abstraction). Une
entité est une instanciation de la classe. Chaque entité
est composée de propriétés, données
élémentaires permettant de la décrire.
Les classes d'entités sont représentées par
un rectangle. Ce rectangle est séparé en deux champs :
· Le champ du haut contient le libellé. Ce
libellé est généralement une abréviation pour une
raison de simplification de l'écriture. Il s'agit par contre de
vérifier qu'à chaque classe d'entité correspond un et un
seul libellé, et réciproquement.
· Le champ du bas contient la liste des
propriétés de la classe d'entité.
Occurrence d'une entité : est
formée par les différentes valeurs que prennent les
propriétés de cette entité.
Identifiant: est un ensemble de
propriétés (une ou plusieurs) permettant de désigner une
et une seule entité. Il est une propriété
particulière d'un objet tel qu'il n'existe pas deux occurrences de cet
objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une
même valeur.
Relation: est une prise en charge par le SI
du fait qu'il existe une association entre les objets de l'univers
extérieur. Une relation entre plusieurs
occurrences d'entités traduit l'existence de liens entre des
entités.
Cardinalités: Les cardinalités
permettent de caractériser le lien qui existe entre une entité et
la relation à laquelle elle est reliée. La cardinalité
d'une relation est composée d'un couple comportant une borne maximale et
une borne minimale, intervalle dans lequel la cardinalité d'une
entité peut prendre sa valeur :
· La cardinalité minimale (0 ou 1) décrit
le nombre minimal de fois qu'une entité peut participer à une
relation.
· La cardinalité maximale (1 ou n) décrit
le nombre maximal de fois qu'une entité peut participer à une
relation.
Nom
Location
Employeur
CodeEtudi
NumeroContr
1,1
Correspond
Controle
IdDecl
1, n
Declaration
Conserne
1,1
Id_Institution
Salaire
Effectue
Code_Etudiant
1,1
1, n
1, n 1, n
Institution
Déclanche
Appartie
Etudiant
Signe
1 ,n 1,1
Nom
1, n 1, n
Nom
CodeRembout
Fait
1,1
IdContravt
IdDemende
Remboursement
IdPayement
Déclanche
Contract
1,1 1,1
MontantPay
Demande_Bourse
Montant
1, n 1, n
Provoque
codeEtudi
Decision
montant
Payement
Traitement_Demande
codeEtudi
1,1 1, n
NumeroCont
CodeTraitement
CodeEtudiant
Figure 6. Modèle Conceptuel des Données (MCD)
3.3.2. Dictionnaire des données
Structure de
Données
|
Attributs
|
Type de données
|
Taille
|
Contrainte d'intègrité
|
Observation
|
1. Tb_Institution
|
CodeInstitutiion
|
varchar
|
50
|
Clé primaire
|
Identification de l'institution
|
Location
|
varchar
|
50
|
Not null value
|
Emplacement de l'Institution
|
Nom
|
Varchar
|
50
|
Not Null value
|
Nom de l'institution
|
2.Tb_Employeur
|
CodeEmployeur
|
varchar
|
50
|
Cle primaire not Null value
|
Identification de l'employeur
|
Nom
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Nom d'Employeur
|
Location
|
varchar
|
50
|
Not null value
|
Emplacement de L'Employeur
|
Adresse
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
L'addresse de l'employeur
|
3. Tb_demendBourse
|
codeEtudiant
|
varchar
|
50
|
Cle Primaire
|
Identification d'Etudiant Demandeur
|
Nom
|
varchar
|
50
|
Not null value
|
Nom de demandeur de Bourse
|
Prenom
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Nom de demandeur de Bourse
|
niveauacademique
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Niveau Académique fin
|
sectionFaite
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Option
|
institutiondernier
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Institution Dernier
|
codeinstitution
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Nouveau Institution
|
|
faculte
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Faculté demande
|
datefin
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Fin d'étude
|
datedebut
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Début d'étude
|
montantannee
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Le Montant de minerval
|
4. Tb_TraitementDemande
|
CodeTraitement
|
int
|
5
|
Cle primaire
|
Identification de Traitement
|
CodeEtudiant
|
varchar
|
50
|
Not Null value cle secondaire
|
Identification de de Demandeur
|
TypeBourse
|
varchar
|
50
|
Not Null value
|
Type bourse accorde
|
Decision
|
varchar
|
50
|
Not null value
|
Decision prise
|
Observation
|
nvarchar
|
50
|
Not null value
|
Commentaire
|
DateTraitement
|
datetime
|
8
|
Not null value
|
Date d'operation
|
5.Tb_Contract
|
Idcontract
|
int
|
5
|
Cle primaire
|
Identification Contract
|
CodeEtudiant
|
varchar
|
50
|
Cle secondaire Not null value
|
Identification d'Etudiant
|
DateContrat
|
datetime
|
8
|
Not null value
|
Date contract
|
MontantMines
|
money
|
8
|
Not null value
|
Minerval
|
TauxRembour
|
varchar
|
50
|
Not null value
|
Le taux de remboursement
|
MontantRembour
|
money
|
8
|
Not null
|
Montant
|
Observation
|
nvarchar
|
50
|
Not null
|
Commantaire
|
6. Tb_Controle
|
NumeroControle
|
varchar
|
50
|
Cle primaire not Null value
|
Identification de Contrôle
|
CodeEtudiant
|
varchar
|
50
|
Cle sec. not null value
|
Identification de l'étudiant
|
CodeInstitution
|
varchar
|
50
|
cle sec. Not null value
|
Identification de l'Institution
|
Annescolaire
|
Varchar
|
50
|
Not Null value
|
L'année academique
|
MontantRecu
|
maney
|
8
|
Not Null value
|
Le Montant de minerval
|
DateOperation
|
datetime
|
8
|
Not Null value
|
Date du contrôle
|
Observation
|
nvarchar
|
50
|
Not null value
|
Commentaire
|
7. Tb_Declaration
|
CodeDeclaration
|
varchar
|
50
|
Cle primaire not Null value
|
Identification de declaration
|
CodeEtudiant
|
varchar
|
50
|
Cle sec. Not null value
|
Identification de l'Etudiant
|
CodeEmployeur
|
varchar
|
50
|
Cle sec. Not null value
|
Identification de l'Employeur
|
Salaire
|
maney
|
8
|
Not null value
|
Le salaire par mois
|
8. Tb_Paiyement
|
NumeroPiece
|
varchar
|
50
|
Cle primaire not null value
|
Identification de Payment
|
NumeroControle
|
varchar
|
50
|
Cle sec. Not null value
|
Identification de Paiement
|
CodeEtudiant
|
varchar
|
50
|
Cle sec. Not null value
|
Identification de l'étudiant
|
Montantpayable
|
maney
|
8
|
Not null value
|
Le minerval
|
Libelle
|
varchar
|
50
|
Not null value
|
Mention
|
Explication
|
nvarchar
|
50
|
Not null value
|
Explication minerval
|
|
|
|
|
|
|
9. Tb_Remboursement
|
coderemboursement
|
varchar
|
50
|
Cle primaire not null value
|
Identification
|
codeEtudiant
|
varchar
|
50
|
Cle sec. Not null value
|
Identification de l'etudiant
|
CodeDeclaration
|
varchar
|
50
|
Cle sec. Not null value
|
Identification de Declaration
|
MontantRembou
|
maney
|
8
|
Not null value
|
Le montant de remboursement
|
DateRembou
|
Datetime
|
5
|
Not null value
|
La date d'operation
|
Tableau 1. Dictionnaire des données.
3.3.3 Modèle conceptuel de traitement (MCT)
Le modèle conceptuel des traitements permet de traiter
le dynamisme du système d'information, c'est-à-dire les
opérations qui sont réalisées en fonction
d'événements.
Ce modèle permet donc de représenter de
façon schématique l'activité d'un système
d'information sans faire référence à des choix
organisationnels ou des moyens d'exécution, c'est-à-dire qu'il
permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit
pas quand, comment ni où.
L'événement
Un événement représente un changement
dans l'environnement extérieur au système d'information, il peut
représenter un changement aussi dans le système d'information
lui-même.
Le processus
Un processus est un sous-ensemble de l'activité de
l'entreprise, cela signifie que l'activité de l'entreprise est
constituée d'un ensemble de processus. Un processus est lui-même
composé de traitements regroupés en ensemble appelés
opérations.
L'opération
Une opération est un ensemble d'actions
exécutées par le système suite à un
événement, ou à une conjonction
d'événements. Cet ensemble d'actions est ininterrompu,
c'est-à-dire que les événements ne sont pas pris en compte
tant que l'opération n'a pas été accomplie.
La
synchronisation
La synchronisation d'une opération définit une
condition booléenne sur les événements contributifs devant
déclencher une opération. Il s'agit donc de conditions au niveau
des événements régies par une condition logique
réalisée grâce aux opérateurs: OU, ET et NON
Demande de bourse
Doc manquant
A B
A OU B
Examiner les demandes
Accord Refus Dossier incomplet
Dossiers incomplets
Dossiers Accepte
Dossiers rejeter
Remplir le contract
Toujours
Déclaration retour
Période prévu
Contract signé
C
A B
(A ET B) ou C
Payer bourse
Toujours
Bourse payée
Contrôle
Actif Non actif sans expl Non actif avec
expl
Déclaration d'emploie
Bourse suspendu
Bourse payable
Bourse arrêtes
B
A
A ET B
Remboursement
Toujours
Bourse remboursée
Bourse remboursée
Remboursement
Toujours
Figure 7. Modèle conceptuel des traitements (MCT)
3.3.4. Modèle
Organisationnelle des Traitements
Extérieur
|
Traitement
|
Support des données
|
Responsable
|
Période
|
A ou B
Document manquant
Examiner les dossiers
Accord Refuse Dossier
Incomplete
Dossiers rejetés
Dossiers à complètes
Période prévu
Déclaration retour
Remplir les contracts
Toujours
B
A
C
Payer bourses
Toujours
(A et B) ou C
B
Dossiers acceptés
Contract signé
|
Département chargé des bourses
Etudiant à l'aide d'agent de SFAR
Département chargé des bourses
|
Au moment de la Demande
Après l'accord au bourses
Au début l'année académique
|
|
|
Contrôler
Non actif Non actif
Actif Sans avec
Explication
Explication
Contrôler
Non actif Non actif
Actif Sans avec
Explication
Explication
A et B
Remboursement
Toujours
A B
|
Bourses payées
Bourses payables
Bourses remboursés
|
Département
Chargé des bourses
Employeur
|
Au milieu de l'année académique
A la fin du
Mois
|
|
Tableau 2. Modèle Organisationnel de Traitement
3.3.5. Modèle physique des Données
Figure 8. Modèle physique des données.
3.3.6. Modèle logique des Données.
1. Tb_Demande_Pret_Bourse
(CodeEtudiant, Nom, prenom, IdNumber, age, numeroid, sexe,
datenassaince, anne_etude, montant_an, domaine, programme, annee_accord,
code_institution).
2. Tb_Institution (code_institution,
appellation, Localisation).
3. Tb_Employeur (code_emplayeur, Nom,
adresse, localisation).
4.Tb_Controle (NumeroControle,
#CodeEtudiant, code_institution, annee_scolaire, dateoperation, actif).
5. Tb_Declaration (numdeclaration, #
CodeEtudiant, code_emplayeur, salaire).
6. Tb_Contract (numcontract,
#CodeEtudiant, montant, date_contract, taux_rembourse,
montant_periode).
7. Tb_Remboursement
(code_remboursement, #CodeEtudiant, montant_remb,
date_debut_rembours).
8. Tb_Traitement_Demande
(code_traitement, #CodeEtudiant, decision, observation,
typebourseaccord).
9. Tb_Paiyement(NumeroPiece, #NumeroControle,
#CodeEtudiant, Montantpayable, Libelle).
CHAPITRE QUATRE.
REALISATION TECHNIQUE DU SYSTEME
DE GESTION PRET BOURSE.
4.1. INTRODUCTION.
Nous arrivons à la fin de notre recherche qui nous a
permis de mettre au point un logiciel d'informatisation de prêt bourse et
son remboursement au sein de SFAR (PBOURSESOFT).
Le nouveau système de gestion prêt bourse
résout les problèmes que l'ancien système rencontrait. Ces
contraintes ont été déjà citées dans le
deuxième chapitre de ce travail.
Ce chapitre nous permet d'expliquer les résultats que nous
avons obtenus ainsi que les procédures qui ont été
utilisées pour aboutir à la réalisation du
système.
Ce chapitre contient également les exigences du
nouveau système de gestion de prêt bourse et les outils
d'utilisation, le test du logiciel ainsi que les interfaces du PBOURSESOFT.
4.2. LES OUTILS ET EXIGENCES DU NOUVEAU SYSTEME.
1. LES OUTILS DU NOUVEAU SYSTEME.
a. VB.NET
Ce langage a été utilisé pour faire les
interfaces, qui permettent le dialogue entre les utilisateurs et la machine.
En utilisant ce langage nous avons pu mettre en place les
écrans de saisie qui contiennent les zones de textes, les labels et les
boutons.
Grâce à ces différents objets
placés sur les écrans de saisie, l'utilisateur peut ajouter,
effacer ou modifier les enregistrements suivant la
nécessité.
b. SQL SERVER 2000.
SQL (Structured Query Language), on l'utilise pour
créer et maintenir une base des données relationnelles,
c'est-à-dire que SQL Server est un Système de Gestion de Base des
Données Relationnel (SGBD).
Ces compositions sont :
Ø DDL (Data Definition Language) ou LDD
(Langage de Définition des Données) permettant de créer
les tables.
Ø DML (Data Manipulation Language) ou LMD
(Langage de Manipulation des Données) permettant la manipulation des
données : insérer, supprimer, modifier et
sélectionner.
Ø Le contrôle des données qui est
utilisé dans la gestion des protections d'accès aux
données.
Ø Transact SQL qui est un langage de
programmation permettant de créer les procédures
stockées, les fonctions, etc.
C. CRYSTAL REPORTS
Logiciel permettant de développer des états
imprimés à partir des données d'une base.
Il donne une interface facile à utiliser, qui permet
à ses utilisateurs de construire des rapports rapidement mais ayant
assez de profondeur pour produire des rapports répondant aux besoins du
logiciel.
2. EXIGENCES DU NOUVEAU SYSTEME DE PRET
BOURSE.
Ø Pour la machine de l'utilisateur (Poste client)
- Système d'exploitation WINDOWS XP (ou autre version
récente)
- CPU : Pentium III ou supérieur.
- RAM : 128 Mo ou supérieur.
- 50 Mo libres sur le disque dur.
Ø Du côté du serveur
- La plate-forme : WINDOWS 2000 Server
- 8 Go libre sur le disque dur
Ø Les logiciels pré
requis :
- SQL Server 2000
Il faut installer les Service Pack les plus récents des
logiciels cités ci haut pour garantir le bon fonctionnement du
système.
4.3. TEST D'APPLICATION.
Le test d'application est une étape inévitable
dans la conception d'un logiciel, il peut être un processus manuel ou
automatique, qui a pour objet de vérifier si les résultats
donnés par le système correspondent aux objectifs
préétablis avant sa conception.
Le test peut aussi avoir comme objectif de vérifier le
respect des contraintes comme la performance temporaire, critère de
sécurité, portabilité du logiciel etc.
On ne peut pas connaître en avance le nombre de tests
nécessaires mais le test doit se baser sur le fonctionnement du
logiciel, les interfaces de ce logiciel et les contraintes établis par
les développeurs.
Dans la conception d'une nouvelle application, on doit
recourir à plusieurs étapes afin d'aboutir à un produit
fini, pour que ce produit sera utilisé par les entreprises avec moins
des erreurs.
Dans ces étapes nous pouvons citer : l'analyse
préétablie d'un cahier des charges, la conception, le codage, les
tests, la validation, l'intégration, la mise en place d'un
nouveau système, la réception du système et sa validation
ainsi que sa maintenance.
Sortes de tests
Il existe plusieurs tests ou modèles de cycle de vie
d'un logiciel comme le modèle en cascade, le modèle en V, le
modèle en spirale et le modèle par incrément.
Le modèle en cascade
Le modèle en cascade consiste en une succession de
phases dont chacune est méthodiquement vérifiée avant de
passer à l'étape suivante:
Il s'agit : de validation (faisabilité et analyse
des besoins), vérification (conception générale et
détaillée.), intégration et acceptation ainsi que
l'installation (tests du système).
Voici le schéma de ce modèle :
Source:
http://www.inrs.fr/htm/comment_construire_les_tests_d'_un_logiciel.htm
Ø Les
tests unitaires: chaque partie du logiciel est testé unitairement pour
voir s'il correspond à ses spécifications. Pour démontrer
que chaque module effectue seulement toutes les activités
prévues.
Ø On
peut distinguer dans ces tests unitaires :
§ les tests de logique vérifiant
l'enchaînement correct des branches parcourues.
§ les tests de calcul vérifiant les
résultats des calculs. Les tests de calcul comprennent les tests de
données dans les limites des spécifications (état
normal), aux limites spécifiées et en dehors de ces limites
(état anormal). Les tests de comportements anormaux (hors limites) sont
généralement appelés tests de robustesse.
Les tests unitaires se font dès qu'une partie du
logiciel a été codée et compilée correctement.
Ø La
phase d'intégration: les modules sont mises ensemble pour
vérifier l'intégration Logiciel (interface entre composants
logiciels).
Les tests d'intégration servent à
démontrer le bon fonctionnement d'unité fonctionnelle
constituée d'un assemblage de modules. Ils portent sur la
vérification des enchaînements entre modules et la circulation des
données.
Les tests d'intégrations se font dès qu'un
sous-système (module) est entièrement testé à
part.
Ø La
validation de logiciel dans son environnement extérieur: Afin de
s'assurer que le logiciel implémenté dans le matériel
répond aux spécifications fonctionnelles, en vérifiant
plus particulièrement les fonctions générales, les
interfaces matériel / logiciel, le fonctionnement temps réel, les
performances, l'utilisation et l'allocation des ressources.
Les tests de validation se font dès que l'ensemble des
sous-systèmes fonctionnels a été testé et
intégré.
Le modèle en V
Le modèle en V repose sur une étroite
interdépendance des étapes soumises à une validation avant
la prochaine étape et une vérification anticipatoire du produit
final.
II comprend:
· Une spécification textuelle ;
· Une conception générale ;
· Une conception détaillée ;
· Un codage ;
· Des tests unitaires ;
· Des tests d'intégration ;
· Une validation.
Le modèle en spirale
Le modèle en spirale s'appuie sur une succession de
cycles dont chacun se déroule en quatre phases:
· analyse initiale des besoins et des objectifs du cycle
(solutions et contraintes) ou analyse à partir du cycle
précèdent ;
· étude des risques, évaluation des
solutions de remplacement et éventuellement de conception ;
· développement et vérification de la
solution résultant de l'étape précédente ;
· examen du produit et projection vers le cycle
suivant.
Le modèle par incrément
Le modèle par incrément propose un
développement du logiciel par morceaux, lesquels sont livrés
successivement au client, en venant se greffer à un noyau logiciel.
Pour notre travail nous avons utilisé le test du
système qui est le pas d'implémentation ayant pour objectif de
rendre une application claire, spécifique et efficace avant son
utilisation.
Le test est fait pour le succès et la performance du
système mise en place.
Pour l'application PBOURSESOFT nous avons
testé :
· L'accès aux informations du
système ;
· Les données qui seront correctes lors de la
saisie et à modifier;
· Les critères de sécurité et
portabilité du système ;
4.4. QUELQUES INTERFACES DU PBOURSESOFT
Pour accéder au logiciel d'automatisation de gestion de
prêt bourse, il faut saisir le nom de l'utilisateur, le mot de passe, la
base des données et le serveur qui se trouve sur la feuille de
connexion. Si les informations fournies sont correctes, la feuille MDI
apparaît.
Voici la feuille de connexion.
Figure 9.La feuille de connexion.
La feuille MDI contient les différents menus permettant
d'accéder aux différents formulaires ainsi que les rapports.
Ces menus sont fichiers, formulaires, rapports et aides.
Le menu Fichier permet de quitter l'application.
Le menu Formulaires permet d'accéder aux formulaires
tel que le formulaire des saisies, formulaire de traitement des prêts
bourses, formulaire des opérations et les formulaires du budget.
Figure 10. Formulaire MDI.
Dans le formulaire des saisies, on trouve le formulaire des
Demandeurs des bourses (Etudiants), le formulaire des Institutions qui ont
accepté d'accueillir les étudiants boursiers de SFAR et les
employeurs qui ont donné le travail aux anciens boursiers de
SFAR(après leur déclaration.)
Figure 11. Formulaire des saisies pour les Etudiants.
Figure 12. Formulaire des saisies pour les Employeurs.
Figure 13. Formulaire des saisies pour les Institutions.
Le formulaire de Traitement de prêt bourse nous permet
d'accéder aux informations de la décision d'accord de bourse
demandée ainsi que les types des bourses accordées et aussi les
explications sur des dossiers rejetés, ou à compléter
s'il y en a.
Figure 14. Formulaire de Traitement de Prêt Bourse.
Le formulaire des opérations permet d'accéder
sur les contrats signés par les étudiants, les contrôles
que le SFAR a effectués en vue d'être sûre que les
bénéficiaires des bourses sont réellement sur le banc de
l'école.
Ce formulaire permet aussi de voir toutes les
déclarations que les anciens boursiers ont déjà faites.
Figure 15. Formulaires des Opérations.
Après le formulaire des opérations nous avons
les formulaires de budget qui donnent l'accès au formulaire de paiement
et celle de remboursement.
Ces formulaires contiennent aussi les différents
boutons de commande permettant de voir tous toutes les informations
déjà déclarées et de modifier certains
enregistrements.
(1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8)
(9) (10) (11)
Figure 16: Les boutons de commande
(1) : permet de se placer au premier enregistrement.
(2) : permet de se placer à l'enregistrement
suivant l'enregistrement courant.
(3) : permet de se positionner
à l'enregistrement précédant l'enregistrement
courant.
(4) : permet de se positionner au dernier
enregistrement.
(5) : permet d'ajouter un nouveau enregistrement.
(6) : permet de sauvegarder un enregistrement.
(7) : permet d'annuler.
(8) : permet de rechercher un enregistrement
(9) : permet de modifier un enregistrement
(10) : permet d'effacer l'enregistrement courant
(11) : permettant de fermer le formulaire.
Signalons que ces boutons de commande sont communs sur presque
tous les formulaires contenus dans ce logiciel.
4.5. LES RESULTS OBTENUS.
La demande des bourses dans le SFAR est un processus qui prend
beaucoup de temps, car il reçoit beaucoup des dossiers et chaque dossier
contient différents documents, il n'est pas facile de connaître
tous les dossiers reçus et le contenu de chaque dossier. Le PBOURSESOFT
permet d'enregistrer les informations nécessaires concernant les
demandes des bourses, des contrôles, des déclarations faites et
les contrats signés.
Sur base des ces enregistrements, ce logiciel fournit le
rapport des dossiers reçus, les boursiers actifs, les
déclarations faites lors de l'examen des dossiers. Cependant, le
département chargé de prêt bourse peut décider
d'accepter ou de rejeter la demande du prêt bourse. Avec l'ancien
système il n'était pas facile de connaître l'état de
chaque dossier. Avec le formulaire de traitement on peut enregistrer la
décision prise. Chaque fois le logiciel fournit le rapport des dossiers
acceptés et celui des dossiers rejetés.
Les calculs de budget qui étaient purement manuels
à partir d'un formulaire de budget, ces calculs seront
automatisés et fourniront des rapports des bourses payées et des
remboursements effectués sur le compte de SFAR.
Les transports des dossiers dans les différents
départements ne sont plus nécessaires car tous les services qui
doivent faire un traitement sur ces dossiers auront tous des informations
voulues sur leur PC.
CONCLUSION ET PERSPECTIVE
A. Conclusion.
Au terme de ce travail ayant trait à l'informatisation du
système de gestion de prêt bourse au sein de SFAR importe de le
clôturer en mettant certains points clés qui ressortent de notre
recherche.
En abordant le présent sujet nous nous étions
fixé comme objectifs essentiels de relever la problématique du
système existant que SFAR exploitait dans l'accomplissement de sa
mission.
Le système existant présente deux problèmes
majeurs qui sont :
1. Inscription des boursiers et le contrôle pour payer leur
minerval,
2. et le mécanisme de remboursement.
C'est pourquoi nous nous sommes fixés les objectifs
suivants pour résoudre les problèmes que rencontre l'ancien
système:
ü Avoir l'accès aux informations ;
ü Fournir des rapports et des listes des boursiers qui
aideront les responsables de SFAR pour prendre telle ou telle
décision ;
ü Accroître la performance dans le traitement
rapide et efficace des opérations.
Pour atteindre les résultats escomptes une approche
d'informatisation du système de prêt bourse est basée sur
les cinq modèles de la méthode MERISE qui consiste à la
conception, au développement et à la réalisation des
projets informatiques.
Au cours de ce travail de recherche nous avons pu
réaliser un nouveau système d'information qui répondant
aux problèmes de gestion du prêt bourse et son mécanisme de
remboursement en mettant les écrans des saisies, des formulaires et des
boutons des commendes qui permettrant des modifier les informations si
nécessaires.
Pour en être sûre, au cours de ce travail de
recherche nous avons utilisés les tests pour vérifier que les
résultats donnés par le système correspondent aux
objectifs préétablis avant sa conception.
Les tests nous a permis de conclure que les résultats
attendues on était obtenu avec réussite.
PERSPECTIVES
Nous pensons que ce travail sera utile aux fonctionnaires du
SFAR particulièrement à ceux de département de prêt
bourse.
Ce travail a été élaboré dans le
manière d'être un des outils quotidiens dans la gestion de
prêt bourse ainsi ce travail les aidera dans ce qui suit :
Ø Dans les inscriptions des demandes de bourses
Ø Dans le contrôle et l'établissement de
budget
Ø Et dans le procédure de remboursement.
Les autres chercheurs pourront améliorer ce logiciel en
implémentant pour tourner sous web, en vue de faciliter les
étudiant de faire les applications de demander de prêt bourse
on-line (Web based). Et faire un service web qui permettra de contrôler
le chiffre d'affaires de SFAR d'une manière direct.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET
WEBOGRAPHIQUES
Les livres
Joseph Gabay (2000). MERISE Vers OMT et UML Un guide complet
avec études de cas.
InterEditions
Philippe Rigaux (2001),
MERISE -
Initiation à la conception de systèmes d'information,
Paris.
J.Akoka et I.Comyn-Wattiau (2001), Conception des bases de
données relationnelles en pratique, Vuibert, Paris.
Jean Patrick M. (1998). Comprendre Merise outils
conceptuels et organisationnels. Eyrolles, Paris
Larousse. (1995). Le petit Larousse .nouvelle
édition, paris
Gestion de Prêt Bourse, (2006). Manuel de SFAR,
Kigali-Rwanda
Les sites Internet
http://www.commentcamarche.net
http://www.sqlcourse.com
http://www.developpez.com
http://www.calfor.lip6.fr/vmm/enseignement/DECS/test/cours/c34.pdf
http://tecfa.unige.ch/staf/staf-h/tassini/staf2x/Heidi/last_bd.htm
http://www.inrs.fr/htm/comment_construire_les_tests_d_un_logiciel.htm
ANNEXES
LISTE DES ETUDIANTS PAR LEUR INSTITUTION.
Les Bourses accordées.
* 1 Larousse.
2 Larousse
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