CONCLUSION ET DISCUTION DES
RESULTATS
Dans ce travail nous avons traité les
déterminants du développement du secteur informel en ville de
Butembo, cas des produits de première nécessité .En
illustrant notre problématique, nous sommes partis des données
indiquant que les secteur informel est remis en cause par plusieurs auteurs et
celui-ci a pris de l'ampleur au point de concurrencer, à son avantage le
secteur formel.
La question de recherche a été ; quels sont les
déterminants du développement du secteur informel et quelle est
la motivation réelle de rester dans le secteur informel ?
Nous avons énuméré les réponses
anticipatives pour faire notre recherche qui sont les suivantes :
-Les activités informelles sont à
considérer avant tout comme une forme particulière de la
dynamique sociale dans les sociétés en développement
d'où elles sont une réponse de la société aux
besoins nouveaux résultant de l'influence du développement.
- il semblerait que le chômage, le faible niveau de
revenu dans le secteur réglementé bref la pauvreté soit
à la base du développement du secteur informel, car il est devenu
le seul secteur de l'économie à créer des nouveaux emplois
en RDC.
L'objectif poursuivi dans cette étude était de
dégager les principaux déterminant du développement du
secteur informel en ville de Butembo, ainsi nous avions voulu connaître
quelle est la motivation primordiale d'oeuvrer dans le secteur informel. Pour
évaluer nos hypothèses un questionnaire a été utile
pour recueillir les informations qui sont susceptibles de déceler les
déterminants. Nous avons tire un échantillon d'abord
aléatoire pour la sélection de produits et en suite nous avons
prélevé un échantillon par jugement de 300 individus dont
chaque produits y occupent 10% de cet échantillon.
S'agissant de genre des personnes oeuvrant dans le secteur
informel nous avons eu l'information que ces sont les femmes qui font
l'informel pour notre cas 78% est constitué de femmes et seulement 22%
sont des hommes ; quant à ce qui est de l'âge, il varie entre
20ans et 55ans et la tranche d'age qui loge la majorité est de
30à 40 ans.
Le niveau d'étude est encore plus bas car sur les 300
enquêtés, seulement 6.93% ont terminé leur étude s
secondaire et les 93.03% n'ont jamais terminé suite à plusieurs
facteur économique et condition sociale. Nous constatons dans la
même logique que ces sont le marie qui oeuvrent dans l'informel, 80.6%
des nos enquêter sont de maries et les autre pourcent est occupé
par les autres catégories soit 19.4 % d'où il est en signaler que
le fait que le besoin de supporter la famille est croissant au fur est en
mesure que la famille augmente, les hommes se lance a entre prendre plusieurs
activités voir même illicite pourvu qu'il gagne quelque chose pour
nourrir leur famille. Pour la cause de travailler dans le secteur informel ,
64,3% sont dans le secteur informel puis qu'avec ses activités ils
couvrent les besoin de la familles en cent pourcent ainsi en prenant le tableau
numéro 9 nous trouvons que 88,9% y travail suite à recherche de
satisfaction de leur besoin.
En analysant les donnes relatif au propriétaire du
travail nous avons 88,33% qui sont propriétaires des leurs
activités et 11,33% qui travail pour autre personnes et sur un total de
300 personnes 41 ont abandonné et voici les proportions suivant les
motif d'abandon 60,9% ont abandonnée le travail suite au salaire qui
était très minime et 2,4 % ont été chance du
travail par le patron 12,1% avaient peur des contrôle de l'Etat et le
24,3% leur patron sont tombé en faillite.
Dans l'analyse de comment nous avions eu le capital de
démarrage le 55,33% de cas. Ce sont des femmes à qui leurs
époux leur donnent les fonds pour qu'elles aient une occupation qui
pourra générer des revenus et ainsi permettre de suppléer
au budget ménager On constate en suite que 25,33% ont eu leur fonds de
démarrage d'une institution de crédit. Mais aussi on a d'autres
9,67% qui utilisent les produits de leurs champs propres, ...
Il nous a été révèle que 86,4%
n'ont jamais tenté de cherche de l'emploi dans d'autre secteur, selon
eux le secteur réglementer est trop cassant puisque il faut entendre la
fin du mois pour avoir une liquidité en main d'où ils
préfèrent exercer ces activité et n'ont jamais
cherché de l'emploi parce que la liquidité est assuré tout
les temps, à ce qui est de la réponse à la demande
d'emploi 51% de nos enquêter qui ont tenté de cherche l'emploi
ailleurs ont eu une réponse favorable ,27 % une réponse
défavorable et 0.05 % ont les a indiqué un travail à de
longue distance;et ensuite le 54,33% de la population d'étude exercent
les activités puisqu'il déteste le revenu des secteur
réglementer et il évoque le salaire par jours nos pas par mois
car la faim est si grande dans le famille qui entende les salaire à la
fin du mois .38% de cette même population y oeuvre puisqu'ils n'ont pas
trouvé du travail ailleurs dans le secteur réglementer .ces
résultats sont valable pour cette échantillon et non pas à
l'ensemble de toute la population exerçant les activités dans le
secteur informel en ville de Butembo pour ce nous affirmons toutes nos
hypothèses
En fin nous devons revoir la politique économique de
la RDC qui devra tenir compte des particularités naturelles ,
économique et socioculturelles de chaque entité politico
administrative locale .ainsi nous ne négligeons pas le rôle que
joue le secteur informel dans la stratégie de la réduction de la
pauvreté; pour lui permettre de joue pleinement son rôle,la plus
part des pays développent des politique de promotion de l'emploi et
appui aux acteur du secteur mais la réussite de ces politiques est
fortement subordonnée à une meilleure connaissance de la nature
de ce secteur informel, des ses acteur, des ses produits et de leur
utilisation.
SUGGESTION
A l'Etat congolais : structure encore une fois le secteur dit
formel et maintenir le salaire des agent capables de nouer les deux bout du
mois
- restructurer les matériels et outil utiliser dans le
secteur informel pour créer l'équilibre entre les mesures
offertes pour n'est pas facilité la fraude
- sur le plan administrative : l'état congolais doit
mettre en place un programme et des structures pour les répertorier et
ainsi élargir l'assiette fiscale
- que les employés et employeurs du secteur informel ne
trouvent pas l'administration comme une contrainte mais plutôt ils
doivent s'organiser en syndicat pour contribuer à la production national
d'ensemble, ainsi on peut payer par exemple la taxe d'inscription à
chaque exercice et une patente forfaitaire
- faire un programme d'appui du secteur informel
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