2° Loi de la lutte et des contraires.
La réalité sociale est faite des
phénomènes qui s'opposent, s'engagent dans de lutte
contradictoires en conflit, qui interagissent entre elles, la rendant
dynamique. Il s'agit d'une interaction dialectique qui permet à la
réalité sociale d'être en mouvement.
Cette loi s'explique dans notre étude par le fait qu'en
dépit de toutes les campagnes de sensibilisation, du recouvrement
forcé, les congolais n'ont toujours pas la culture d'assurance.
3° Loi du changement dialectique.
Les choses changent, la société cherche à
aller de l'avant, par la destruction des aspects négatifs du
présent et de la conservation des éléments positifs.
En rapport avec notre étude, nous disons que jadis,
dans notre société, payer une prime contre une garantie pour un
événement malheureux à venir, semble absurde, mais avec
l'évolution du monde, désolidarisé de la
société, la diminution des ressources pouvant faire face aux
multiples problèmes et surtout l'évolution démographique
qui, à ce jour nécessite la présence de l'assurance. Donc,
vu tous ces paramètres, le rapport entre l'assuré et l'assureur
serait nécessaire.
4° Loi du changement de quantité en
qualité.
Cette loi stipule que toute accumulation quantitative finit
par occasionner celle qui est qualitative. Selon ENGELS cité par S,
SHOMBA.,( op.cit,p.97) ajoute que « tant dans la nature que dans la
société, d'une manière générale et dans
chaque cas concret, les changements qualitatifs ne peuvent se produire
qu'à travers les changements quantitatifs, par addition ou soustraction.
Ainsi, plus il y aura les réflexions, plus on multipliera les campagnes
de conscientisation en faveur de l'assurance, plus les congolais
propriétaires des véhicules pourront acquérir la culture
d'assurance, ainsi la société nationale d'assurances aura les
moyens de sa politique.
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