UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES
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FACULTÉ DES SCIENCES SOCIALES, POLITIQUES ET
ÉCONOMIQUES
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SECTION INFORMATIQUE ET SCIENCES HUMAINES
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Elaboration d'une application de la méthode
Activity Based Costing utilisant les technologies XML.
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Jean Mairesse
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Année académique 2008-2009
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Mémoire présenté en vue de l'obtention du
grade de Licencié en Informatique et Sciences humaines, sous la
direction de:
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Monsieur Luc Bernard
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Table des matières
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Objectifs du mémoire
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1
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Chapitre1. La méthode Activity Based Costing
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2
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Contexte comptable
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2
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Méthodes de comptabilité
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2
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La comptabilité générale
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3
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La comptabilité analytique
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3
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La méthode des coûts complets
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4
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Les sections homogènes
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4
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Le Direct Costing
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4
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La méthode Activity Based Costing
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5
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Mise en oeuvre de la méthode ABC
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5
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Application pratique.
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6
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Charges indirectes et familles de coût
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6
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Processus et activités
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9
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La valeur des activités.
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10
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Proportion d'intervention des familles au sein des
activités.
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12
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Les unités d'oeuvre.
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12
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L'application ABC XML.
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13
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Exemple chiffré.
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14
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Chapitre2. Extensible Markup Language (XML)
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16
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Le World Wide Web Consortium (W3C).
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16
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Extensible Markup Language (XML).
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16
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Définir un document XML.
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17
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Structure hiérarchique: l'arbre XML.
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17
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Eléments et attributs.
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18
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Validation d'un document XML.
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20
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Data Type Definition.
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20
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Définir Elément et Attributs.
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21
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Activity Based Costing et Extensible Markup Language.
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22
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Chapitre 3. Les logiciels libres
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23
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Définir les besoins.
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23
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Recherche logicielle.
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23
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L'installation des logiciels sous Linux.
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25
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Saxon.
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25
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Les licences de Saxon.
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25
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Solution payante.
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27
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<oXygen/> XML.
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28
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MxQuery et XQDT.
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29
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XQuery low-level.
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30
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Echec de la solution libre.
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30
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Chapitre 4. Modélisation ERD et
hiérarchique
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31
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Modèle Entity Relationship Diagram.
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31
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Les tables de relation.
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32
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Modélisation hiérarchique.
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35
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Eléments à parents multiples.
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36
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Chapitre 5. Le fichier ABC/XML et la DTD
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38
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La DTD.
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38
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Les relations entre éléments.
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38
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L'imbrication des éléments.
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39
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Les pointeurs.
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39
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Organisation de l'ordre des éléments.
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40
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La DTD en pratique.
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41
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Le document XML.
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47
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Les données du document XML.
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48
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Les données d'analyse ABC.
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48
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Les données d'exercice de l'entreprise.
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51
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Chapitre 6. XQuery, outil de requête
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63
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Historique.
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63
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L'influence de Xpath.
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64
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L'influence de XML Schema.
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64
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Autres sources.
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64
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XQuery recommandation W3C.
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64
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Fonctionnement de XQuery.
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65
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Traitement « externe ».
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65
|
Traitement « interne ».
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66
|
Le processeur XQuery.
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66
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Le datamodel.
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66
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Les Expressions XQuery.
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67
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Expression Path.
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67
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Les requêtes FLWOR.
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68
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Chapitre 7. Requêtes XQuery
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69
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Produire une liste de clients.
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69
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Les liens.
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70
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Effectuer des opérations arithmétiques.
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73
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Sommer les charges.
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73
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Calculer le coût d'une unité d'oeuvre
(d'activité).
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75
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Calculer le coût indirect d'une commande
déterminée.
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78
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Calculer le coût indirect de la commande « com003
».
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80
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IF THEN ELSE.
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82
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Les « function ».
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85
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Vérification du résultat.
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89
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Requête « cout_direct ».
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91
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XQuery est Low level.
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92
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Appliquer une requête à une requête.
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92
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Présenter le résultat sous forme de ratio.
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96
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Lourdeur des requêtes successives.
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98
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Requête produisant le coût des unités
d'oeuvre.
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99
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Chapitre 8. Présentation des résultats
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103
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XSL.
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103
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XSLT et Stylesheet.
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103
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Transformation et Templates.
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103
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Principe de transformation.
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103
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Le formatting.
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104
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XSL-FO.
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105
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Principe de transformation XSL-FO.
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105
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XSL-FO stylesheet.
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106
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Application pratique.
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108
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Détail de la stylesheet.
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108
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Traitement « formatter ».
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114
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Chapitre 9. Suite du mémoire et conclusions
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115
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Terminer ce mémoire.
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115
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Recommandations pour la suite de ce travail.
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115
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Recherche sur les logiciels libres.
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115
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Repenser le document XML.
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115
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Travailler l'ergonomie.
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116
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Organisation de l'interface graphique.
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116
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Autres fonctions des interfaces.
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117
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Technologie pour les interfaces.
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117
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Les requêtes XQuery.
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117
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Conclusions.
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118
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Objectifs du mémoire.
L'objectif de base de ce mémoire est de mettre au point
une application de comptabilité analytique se basant sur la
méthode Activity Based Costing.
Cet outil analytique est destiné à être
utilisé par des TPE (Très Petite Entreprise) et PME (Petite et
Moyenne Entreprise) qui sont bien souvent démunie en matière de
comptabilité analytique et de tableau de bord de gestion.
Le second objectif est de concevoir cette application Activity
Based Costing en faisant usage du métalangage eXtensible Markup Langage
(XML).
Cela implique que nous devrons concevoir une
représentation des données comptables et analytiques en
respect avec les règles émises par le World Wide Web Consortium
(W3C).
Les résultats analytiques relèvent de
transformations et calculs sur les données de base (en XML). Nous
souhaitons produire ces résultats et les présenter à
l'aide d'outils de recherche et transformation issus monde XML (XQuery), et non
pas en développant une solution logicielle dédiée.
Notre démarche sera illustrée par un exemple de
comptabilité TPE.
Un troisième objectif, tant pour la partie
rédactionnelle de ce mémoire, que pour le développement
XML, est d'utiliser des logiciels disposant d'une licence libre.
Une recherche et évaluation de solutions logicielles XML
sous licence libre sera entreprise.
Nous nous proposons d'organiser notre travail de la façon
suivante.
Chapitre 1: nous détaillons la méthode Activity
Based Costing. Chapitre 2: nous présentons eXtensible Markup Language
(XML). Chapitre 3: les logiciels libres sont traités.
Chapitre 4: modélisations ERD et hiérarchique.
Chapitre 5: nous créons le fichier ABC/XML et la DTD.
Chapitre 6: nous présentons XQuery.
Chapitre 7: les requêtes XQuery sont
développées.
Chapitre 8: présentation des résultats.
Chapitre 9: suite du mémoire et conclusions.
Chapitre 1. La méthode Activity Based Costing.
Dans ce chapitre, nous présentons le contexte comptable
qui est celui des TPE et PME, distinguons la comptabilité
générale de la comptabilité analytique, et en
décrivons brièvement quelques méthodes avant de
détailler la méthode de comptabilité analytique Activity
Based Costing (ABC). Ensuite, sur base d'un exemple inspiré d'une
entreprise réelle, nous élaborons la mise au point d'une
application de la méthode ABC qui servira de base au travail
informatique que nous présenterons dans les prochains chapitres.
Contexte comptable.
Toute entreprise se doit de répondre aux obligations
légales en matière de comptabilité.
Dans le plus classique des cas, la démarche comptable
suivie par les TPE et PME - nous considérons le cas des structures de
petite taille, qui ne sont pas dotées d'un service de
comptabilité interne - en matière de gestion comptable, consiste
à remettre les pièces comptables (factures de ventes et factures
d'achats) à un comptable externe, qui est chargé de tenir une
comptabilité.
Le comptable externe, outre la tenue de la comptabilité,
établi mensuellement ou bien trimestriellement, une «
déclaration à la TVA », qui est un résumé des
« opérations à la sortie » (opérations de vente
- TVA due à l'administration) et des « opérations à
l'entrée » (opérations d'achat - TVA due et
déductible); le but de cette déclaration est de déterminer
la différence entre TVA due et TVA déductible.
Une « déclaration à l'impôt » est
établie une fois par an.
Nous mentionnons ces deux déclarations car elles sont
l'occasion pour l'entreprise d'avoir accès à ses résultats
comptables.
Outre le fait de pouvoir évaluer l'ampleur du
bénéfice (ou la perte), ces résultats permettent de
prendre conscience du poids des postes de charge dans le résultat.
Ils ne permettent par contre pas d'appréhender la
rentabilité effective des produits ou services de l'entreprise.
Il est cependant tout à fait possible, à partir de
ces mêmes pièces comptables, de déterminer la
rentabilité de chacun de ces produits ou services.
C'est ce que nous tenterons de réaliser au fil de ce
mémoire.
Méthodes de comptabilité.
Il existe différentes formes de comptabilité.
Nous distinguerons la comptabilité générale
qui est encadrée par la loi, de la comptabilité analytique.
Nous les présentons ci-dessous.
La comptabilité générale.
La comptabilité générale est un classement
par nature des pièces comptables, qui offre une vue sur les mouvements
financiers, permet de comparer les situations comptables entre périodes
et entreprises, et l'élaboration de statistiques économiques.
La comptabilité générale est encadrée
par la loi, qui impose depuis le 17 juillet 1975 à toute entreprise de
tenir une comptabilité conforme aux dispositions en matière de
comptes annuels et de présentation.
Les comptes annuels: à partir de pièces comptables
probantes, les factures d'achat et de vente, sont établis les bilans,
comptes de résultats et annexes.
Pour ce qui concerne la présentation, la
législation défini un plan comptable, le « Plan Comptable
Minimum Normalisé » (PCMN).
Signalons que sous réserve d'être
considérée comme une PME ( occuper moins de 250 employés,
et soit moins de 40 millions d'Euro de chiffre d'affaire ou soit moins de 27
millions d'Euro au total du bilan et respecter le critère
d'indépendance), une entreprise peut utiliser un schéma comptable
abrégé.
Les commerçants et personnes physiques peuvent tenir une
comptabilité simplifiée si leur chiffre d'affaire annuel ne
dépasse pas 500.000 Euro (hors TVA).
Pour le développement ultérieur de ce
mémoire, nous retiendrons de la comptabilité
générale la notion de « Plan Comptable Minimum
Normalisé » (PCMN).
La comptabilité analytique.
La comptabilité analytique peut contribuer à
déterminer le prix de revient d'un produit, un service ou une
commande.
Elle utilise la notion de charges directes et indirectes.
Les charges directes sont celles qui peuvent imputées
directement au prix de revient du produit ou service de l'entreprise.
Ce sont les matières premières ou fournitures que
l'on retrouve dans le produit final de l'entreprise ainsi que des coûts
salariaux de production.
Les charges indirectes sont les frais n'intervenant pas
directement dans le produit final. Nous y trouvons les frais relatifs à
l'immeuble où opère l'entreprise, les coûts de son outil de
production, les frais publicitaires,etc...
Les charges indirectes sont liées à l'ensemble de
l'exercice de l'entreprise, et doivent donc être transformées pour
intégrer le prix de revient du produit final.
La comptabilité analytique propose un classement par
destination.
Exemple: en première destination, nous avons l'entretien
d'un ascenseur, qui en seconde destination sert dans le cadre de la
production..
La comptabilité analytique qui est un outil interne
à l'organisation, n'est pas encadrée légalement.
La comptabilité analytique revêt diverses formes ou
méthodes.
Nous présentons quelques méthodes de
détermination de prix de revient.
La méthode des coûts complets.
Elle prend en compte toutes les charges affectables à un
produit/service, de sa production à sa commercialisation, tant les
charges directes que les charges indirectes, qu'une analyse de l'entreprise
juge opportune d'y incorporer.
Cette méthode est lourde à mettre en oeuvre, et la
répartition des charges indirectes entre unités de production par
des clés de répartition est arbitraire et peu précise,
voire peu objective.
Principe de fonctionnement de la méthode des
coûts complets: les charges directes sont réparties parmi les
produits de l'entreprise (produire le meuble « a » a consommé
une quantité « x » de charges directes, le meuble « f
» une quantité « y »).
Les charges indirectes sont ensuite réparties selon des
clés de répartition comme la proportion de matière
première consommée.
C'est une méthode très ancienne qui
répondait à des formes d'entreprises (manufactures) qui
deviennent plus rares de nos jours, et n'avaient pas de contraintes de
marchés...
Les sections homogènes.
Les charges directes sont imputées aux produits de
l'entreprise.
Pour répartir les charges indirectes au sein de ces
produits, l'entreprise est divisée en sections (ateliers,
magasins,...)
A chaque section correspondent des coûts (des charges
indirectes); ces charges indirectes sont réparties dans toutes les
sections proportionnellement à l'effort qu'elles (les sections) ont
consacré aux produits de l'entreprise (exemple: l'atelier
représente 48% des charges indirectes des produits de l'entreprise, le
magasin 17%, etc..).
Une distinction est opérée entre sections
principales (atelier, service commercial,..) et sections auxiliaires (gestion,
entretien,..).
Les sections auxiliaires sont réparties au sein des
sections principales selon des clés de répartition (la section
auxiliaire entretien se réparti dans les sections principales atelier et
service commercial).
Le coût de chaque section est connu, il reste à le
diviser par la quantité de produits ayant été
traités. Ce sera l'unité d'oeuvre de la section
considérée, et son coût.
La somme des unités d'oeuvre de chacune des sections
donnera le prix de revient indirect du produit.
Homogène car chaque section est bien
délimitée et ne peut être confondue avec une autre. La
section homogène est une forme de coût de revient complet.
Le Direct Costing.
Direct Costing utilise les notions de coûts variables et
coûts fixes.
Les coûts fixes sont ceux qui ne dépendent pas du
volume fabriqué; typiquement, l'outil de production qu'il faut payer,
qu'on l'utilise ou pas.
Les charges variables sont celles qui varient quand varie le
volume de l'activité; une charge variable
peut être une charge directe ou une charge indirecte.
Le Direct Costing permet de connaître combien coûte
de produire une unité supplémentaire (marginale).
Le Direct Costing impute aux produits les seuls coûts
variables.
Dans cette optique, l'entreprise doit couvrir ses frais fixes,
qui sont connus, par la marge réalisée sur ses produits: prix de
vente - coût variable.
Cela permet de connaître le volume de vente à
réaliser pour couvrir ces coûts fixes.
La méthode Activity Based Costing.
La méthode Activity Based Costing propose de
répartir les charges au sein des produits, services d'une entreprise,
proportionnellement à ce qu'ils en ont réellement
consommé.
La méthode Activity Based Costing fait intervenir les
concepts d'« activités » et de « processus ».
Activity Based Costing découpe une entreprise en
entités consommatrices de ressources (services,
départements,...).
Ces entités effectuent diverses tâches, qui
lorsqu'elles sont complémentaires, sont regroupées au sein
d'« activités ».
Une « activité » peut donc être
définie comme étant un ensemble de tâches
complémentaires.
Enfin, un processus est un ensemble d' « activités
» complémentaires menant l'entreprise à atteindre son
objectif final, qui est généralement de produire et vendre des
biens et/ou services.
Plusieurs processus peuvent intervenir simultanément ou
successivement.
Lorsqu'ont été définies les
activités, les charges de l'entreprise y sont distribuées.
Les activités ont alors un coût.
Il convient de répartir ce coût au sein des produits
ou services de l'entreprise au prorata de ce qu'ils en ont consommé.
Pour cette répartition, des fractions d'«
activités » sont créées.
Par exemple, une heure de production, une heure de travail
administratif, etc... Ces fractions sont des « unités d'oeuvre
», qui ont un coût.
Il suffit alors de procéder à des mesurages au fil
du(es) processus d'élaboration suivi par tel produit ou commande
jusqu'à son aboutissement, afin de comptabiliser le nombre
d'unités d'oeuvre des différentes « activités »
qui ont été utilisées.
La somme de la multiplication des quantités
consommées d'« unités d'oeuvre » par leur coût
respectif permet de connaître la part de coût indirect à
attribuer à la commande ou au produit.
Mise en oeuvre de la méthode Activity Based Costing .
A titre d'exemple, nous prenons le cas d'une TPE active dans le
secteur des énergies renouvelables, plus précisément la
vente et placement d'installations solaires thermiques.
Il s'agit d'un secteur ayant probablement de l'avenir, mais dont
le démarrage est lent. Le mode de fonctionnement en est la
réalisation à la commande.
C'est à dire qu'un prix est fixé par avant pour
réaliser tel type de commande, il ne variera pas quels que soient les
aléas de production.
Notre choix porte sur la méthode Activity Based Costing
pour son côté dynamique.
Les méthodes que nous décrivions
précédemment sont plus adaptées à des entreprises
qui, dans le passé, pouvaient planifier à moyen voire long
terme.
Alors que le domaine de l'entreprise en exemple permet de
planifier à quelques mois.
La notion de processus au fil duquel sont réparties les
charges, comme le propose Activity Based Costing, permet d'envisager une
modification de ce processus sans devoir repenser intégralement la
méthode d'analyse de coûts en place.
Application pratique.
Les ouvrages que nous avons consulté pour cette partie ABC
prenaient des exemples de type
« General Electric », « Renault », « La
Poste », et d'autres entreprises de taille moindre, mais qui ne sont pas
des PME.
Nous devons donc simplifier la méthode en ce que nous
qualifierons d'application de la méthode Activity Based Costing.
En matière de processus, nous sommes tentés de
définir l'entièreté de l'entreprise comme un seul
processus. Il n'y a pas de département, ni division, l'entreprise est
une seule entité.
Il y a par contre bel et bien des activités.
Notre application consistera donc en un processus qui comporte
des activités.
Notre démarche sera la suivante:
- En une première étape, nous déterminons
quelles sont les charges indirectes.
Nous regroupons ensuite ces charges indirectes par destination en
« famille de coûts ».
- En seconde étape, le fonctionnement de l'entreprise est
examiné afin d'en cerner le processus.
- Du processus sont déduites les activités au sein
desquelles devront être réparties les familles de
coût.
Charges indirectes et familles de coût.
Afin de créer les familles de coût, nous nous
appuyons sur la classification de la comptabilité
générale, classification correspondant au plan comptable minimum
normalisé (pcmn).
L'entreprise en exemple utilise les postes pcmn suivants pour
l'imputation des charges indirectes.
601300: outillage
606140: frais transport
611130: location outillage
611150: location véhicule
611300: entretien locaux
611350: entretien véhicule
612000: énergie immeuble
612160: carburant|
612300: documentation
612400: imprimés fournitures bureau
612500: petit mat. bureau 613250: honoraire comptable 613530:
assurance véhicule 613540: assurance RC
613550: assurance immeuble 615100: frais représentation
615200: publicité annonces 615220: foires expositions 616100: frais
postaux
616200: téléphone
616300: gsm
616400: internet
630210: dotation amortissement immeuble
630220: dotation amortissement outil
630231: dotation amortissement mobilier
630232: dotation amortissement mat. roulant
640100: taxe vehicule
640200: précompte immobilier
Nous pouvons distinguer des charges indirectes relatives au
véhicule/transport, à un immeuble, à de la
télécommunication, à de la publicité, à
l'outil de production, des assurances.
Nous créons des familles de coût en regroupant les
charges indirectes par destination.
Sauf exception, il n'est pas cohérent de regrouper des
amortissement de véhicule et des factures ayant trait à
l'immeuble.
Il est par contre logique de rassembler les frais relatifs
à l'amortissement de véhicules avec des frais de maintenance
véhicule, carburant véhicule et assurances véhicules.
Famille1: publicité
615100: frais représentation 615200: publicité
annonces 615220: foires expositions
Famille2: bureau
612400: imprimés fournitures bureau 612500: petit mat.
bureau
616100: frais postaux
630231: dotation amortissement mobilier
Famille3: immeuble
611300: entretien locaux
612000: énergie immeuble
613550: assurance immeuble
630210: dotation amortissement immeuble 640200: précompte
immobilier
Famille4: formation documentation
612300: documentation
Famille5: honoraires
613250: honoraire comptable Famille6: transport.
606140: frais transport
611150: location véhicule
611350: entretien véhicule
612160: carburant|
613530: assurance véhicule
630232: dotation amortissement mat. roulant 640100: taxe
véhicule
Famille7: outil et production.
601300: outillage
611130: location outillage
613540: assurance RC
630220: dotation amortissement outil
Famille8: telecommunication.
616200: téléphone 616300: gsm
616400: internet
Ces regroupements effectués, nous constatons avoir des
frais d'immeuble et de bureau.
Bureau et immeuble sont liés, dès lors que ce qui a
trait à un bureau se pratique dans un immeuble. Nous somme tentés
de relier ces frais, et créons un regroupement charges indirectes bureau
+ charges indirectes de l'immeuble.
L'immeuble a toutefois un second utilisateur: il tient
également lieu de stockage.
Nous créons un second regroupement: charges indirectes
stockage + charges indirectes de l'immeuble.
Les charges indirectes de l'immeuble étant
divisées, nous choisissons une proportion de répartition qui sera
: 40% pour le bureau et 60% pour le stockage, soit la proportion des
superficies d'utilisation respectives.
Notons que nous avons choisi de ne pas intégrer les
coûts de téléphonie parmi les frais relatifs au bureau.
Ce choix est guidé par le fait que ce poste
(téléphonie) est relativement important, et que son utilisation
ne se confine pas au domaine du « bureau ».
Nous créons la « famille stock », et supprimons
la famille3 immeuble; les charges indirectes relatives à l'immeuble sont
intégrées dans la famille2 bureau et identiquement dans la «
famille stock » qui devient famille3 stock.
Les familles de coût 2 et 3 deviennent:
Famille2: bureau
611300: entretien locaux
612000: énergie immeuble
612400: imprimés fournitures bureau 612500: petit mat.
bureau
613550: assurance immeuble
616100: frais postaux
630210: dotation amortissement immeuble 630231: dotation
amortissement mobilier 640200: précompte immobilier
Famille3: stock
611300: entretien locaux
612000: énergie immeuble
613550: assurance immeuble
630210: dotation amortissement immeuble 630231: dotation
amortissement mobilier 640200: précompte immobilier
Le poste pcmn 630231 « dotation amortissement mobilier
» se réparti entre les Famille2: bureau, et Famille3: stock.
Nous choisissons un taux de répartition de 80% en
Famille2: bureau, et 20% en Famille3: stock.
Processus et activités.
Nous devons identifier les activités que nous utiliserons
pour l'analyse ABC.
Ces activités comme décrit plus haut, ressortent de
l'examen du processus de l'entreprise. Nous examinons ce processus
ci-après.
Activité1 communication
Un mix publicitaire est le préambule à ce secteur
d'activité , comme la présence lors d'événements
commerciaux, une présence internet, l'établissement contacts
commerciaux, etc.
Il en ressort des contacts avec des clients potentiels.
Activité2 démarchage
La demande du contact est étudiée: visite sur
place, étude de faisabilité technique, rédaction de une ou
plusieurs offre(s), et ensuite si passation de commande il y a, des
réunions ont lieu.
Activité3 logistique
Une commande est passée à l'entreprise.
Une sélection du matériel nécessaire est
établie, suivie de passation de commande chez divers fournisseurs.
Une partie du matériel est stockée dans les locaux
de l'entreprise, d'autres composants sont livrés sur les lieux
d'exécution de la commande.
Activité4 transport
Le transport de personnes et matériel est une composante
non négligeable dans l'exercice de ce type d'entreprise.
Activité5 production
La production qui assure la réalisation de la commande est
l'activité principale de l'entreprise.
Ces cinq activités sont une interprétation du
processus de l'entreprise.
Cependant, pour être complet, nous choisissons d'y ajouter
deux autres activités qui n'apparaissent pas dans le processus
décrit ci-dessus.
Activité6 comptabilité / ABC
Une Activité comptabilité / ABC qui sera
l'utilisation de la solution que nous tentons de développer, et qui
additionnée au coût du comptable externe, nous permettra
d'appréhender le budget d'une démarche comptable de
qualité.
Répercussion ou pas dans les commandes passées
à l'entreprise?
Nous choisissons d'imputer ce coût dans les commandes, par
le biais des factures de vente émises qui relèvent de la
comptabilité.
Activité7
télécommunication
Nous évoquions plus haut le coût important de ce
poste télécommunication. Nous en faisons une activité
à part entière.
Remarques.
Nous appliquerons un coût horaire à
l'activité production.
Par contre, nous choisissons de ne pas répercuter de
coût horaire aux autres activités. Ce choix est motivé par
les raisons suivantes.
D'une part, durant un exercice fiscal, la majorité des
heures prestées le sont dans le cadre de l'activité5 production.
Le coût horaire est alors une charge salariale, et donc une charge
directe au même titre que les matières premières.
D'autre part, en ce qui concerne les autres activités,
comme la plupart des TPE, l'entreprise dont exemple n'utilise pas de personnel
administratif ou marketing; ces taches sont souvent réalisées en
dehors des heures de production par les administrateurs / gérants, et
sont très souvent non rémunérées.
Nous ne les rémunérerons pas et n'en tiendrons pas
compte dans les mesurages.
La valeur des activités.
Pour déterminer la valeur des activités, nous
devons y incorporer les familles de coûts (dans
lesquelles nous avons incorporé les charges
indirectes).
Seule la connaissance de l'entreprise permet d'en fixer les
règles.
Plusieurs familles de coûts peuvent entrer dans une
activité, la même famille de coût peut faire partie de
plusieurs activités.
Plusieurs solutions sont possibles, nous retenons la suivante.
L' activité1 communication est
composée de la Famille1: publicité, d'une partie de la Famille2:
bureau, et d'une partie de la Famille4: formation documentation.
L'activité2 démarchage est
composée d'une partie des coûts de la Famille4: formation
documentation, d'une partie de la Famille2: bureau.
L'activité3 logistique est
composée des coûts de la Famille3: stock.
L'activité4 transport est composée des
coûts de la Famille6: transport.
L'activité5 production est
composée coûts de la Famille7: outil et production, et d'une
partie de la Famille4: formation documentation.
L'activité6 comptabilité / abc est
composée d'une partie de la Famille4: formation documentation, de
laFamille5: honoraires.
L'activité7 télécommunication
est composée de la Famille8:
télécommunication.
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Activ. communication
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? publicité
|
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? immeuble
?
? transport
? outil produc
? bureau
? stock
docu/formation
Activ. démarchage
Activ. logistique
Activ. transport
Activ. compta. ABC
|
|
|
? telecom
|
|
Activ. production
|
|
|
? honoraires
|
|
Activ. telecom
|
|
|
Proportion d'intervention des familles au sein des
activités.
Nous devons choisir dans quelle proportion interviendront les
familles de coût partagées entre plusieurs activités dans
leurs activités respectives.
La famille regroupant les frais relatifs au bureau est
partagée entre les activités « communication », «
démarchage » et « comptabilité/ABC ».
Par connaissance de l'entreprise, nous choisissons une proportion
de 30% en activité
« communication », 35% en activité «
démarchage » et 25% en activité « comptabilité
/ABC ».
La famille regroupant les frais « formation et documentation
» se réparti entre les activités « démarchage
», « comptabilité /ABC » et « production » .
Nous choisissons une proportion de 42% en activité «
démarchage », 34% en activité « production », et
24% en activité « comptabilité /ABC ».
La famille regroupant les coûts « d'outil de
production » se réparti entre les activités «
production » et « logistique ».
Nous choisissons une proportion de 27% en activité «
logistique » et 73% en activité « production »
Le tableau ci-dessous reprend les proportions de
répartition des différentes familles de coût au sein des
activités.
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Act1
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Act2
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Act3
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Act4
|
Act5
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Act6
|
Act7
|
Fam1
|
1
|
|
|
|
|
|
|
Fam2
|
0,3
|
0,4
|
|
|
|
0,3
|
|
Fam3
|
|
|
1
|
|
|
|
|
Fam4
|
|
0,42
|
|
|
0,34
|
0,24
|
|
Fam5
|
|
|
|
|
|
1
|
|
Fam6
|
|
|
|
1
|
|
|
|
Fam7
|
|
|
0,27
|
|
0,73
|
|
|
Fam8
|
|
|
|
|
|
|
1
|
Exception.
La famille « honoraires » n'est destinée
qu'à ABC. Nous supposons de façon simplifiée que seul un
comptable présente ses honoraires.
Si un avocat devait présenter ses honoraires pour un
litige lié à la production, une solution serait de
répartir cet honoraire au sein de l' activité5 production.
ABC est une démarche souple et dynamique...
Les unités d'oeuvre.
Nous devons choisir quelles seront les unités d'oeuvre
utilisées pour chaque activité.
ACTIVITE
|
Unité d'oeuvre
|
Activité1 communication
|
Heure de communication
|
Activité2 démarchage
|
Heure de démarchage
|
Activité3 logistique
|
Article unitaire
|
Activité4 transport
|
Kilomètre
|
Activité5 production
|
Heure de production
|
Activité6 comptabilité / abc
|
Heure de comptabilité ABC
|
Activité7 télécommunication
|
Minute de télécommunication
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L'unité revenant le plus régulièrement sera
le temps, l'heure ou la minute.
L'heure de production, l'heure de démarchage, l'heure de
communication, l'heure de comptabilité ABC.
Pour l'activité télécommunication, nous
utiliserons la minute.
Pour l'activité logistique, la quantité d'articles
utilisés.
En ce qui concerne cette activité, un choix a dû
être déterminé.
Les articles volumineux ou chers sont livrés sur le lieux
d'exécution de la commande en mode « just in time ».
D'autres articles sont livrés anticipativement au
siège de l'entreprise et font l'objet d'un stockage. Enfin, une
troisième catégorie d'articles provient d'un achat
immédiat de dépannage chez un fournisseur local.
La première catégorie « just in time » ne
coûte rien si ce n'est l'envoi d'un mail de confirmation. La seconde
catégorie coûte l'utilisation du stockage.
La troisième catégorie est consommatrice de temps
et de kilomètres.
A notre sens, nous avons le choix entre les unités
d'oeuvre suivantes: la note d'envoi correspondant à un acte d'achat, ou
l'article unitaire.
Il faut trancher: nous avons choisi l'article unitaire. Si
l'expérience montre que ce n'est pas optimal, on peut en changer dans le
temps.
L'application ABC XML.
Nous avons présenté en détail une
application de la méthode ABC à un cas d'entreprise
précis.
Pour la suite de ce travail qui traite de l'implémentation
de la méthode ABC en utilisant des données comptables au format
XML, nous devons retenir de la description ci-dessus les composants suivant.
- Les postes pcmn qui désigneront les charges directes et
indirectes. - Les regroupement pcmn en familles de coûts.
- Les activités.
- Les unités d'oeuvre.
Nous devrons également procéder à
différents calculs qui devront livrer le résultat de la commande.
Ce résultat devra nous indiquer la marge brute et la marge nette avant
impôts.
- Marge brute: Chiffre d'affaire de la commande - charges
directes.
- Marge nette (avant impôts): Marge brute - charges
indirectes.
Le chiffre d'affaire est connu, les charges directes facilement
identifiables.
Nous devons donc calculer la part de charges directes imputable
à cette commande, que nous appellerons « coût indirect
».
Notre application effectuera les transformations suivantes:
- Coût d'une famille: somme des montants « pcmn »
imputés * proportion d'intervention du poste
pcmn dans la famille.
- Coût d'une activité: somme des familles qui la
composent * proportion d'intervention de la
famille dans l'activité.
- Valeur de l'unité d'oeuvre d'une activité:
coût total de l'activité divisé par la quantité
totale
d'unités d'oeuvres se rapportant à cette
activité.
- Coût indirect d'une commande: somme de (pour chaque
activité utilisée, quantité d'unités d'oeuvre *
valeur d'unité d'oeuvre)
- Calcul des marges brutes et nettes
Exemple chiffré.
Notre objectif n'est pas de produire un résultat portant
sur l'encodage d'une année ou bien d'un trimestre de pièces
comptables.
Nous créerons quelques commandes client, encoderons
quelques charges directes et indirectes.
Les commandes.
1. Commande1 CA: 12000 Charges Directes: 4756 + 322
2. Commande3 CA: 1852 Charges Directes: 640
3. Commande2 CA: 2310 Charges Directes: 801
4. Commande4 CA: 6400 Charges Directes: 604
Nous utiliserons un tarif de 25€ par heure de production.
Ce montant est déterminé par les coûts
d'assurance sociale, assurance vie et accidents, salaire,...
Nous imputerons les charges indirectes suivantes.
PCMN: 601300 montant: 850
PCMN: 611300 montant: 1150
PCMN: 615200 montant: 1600
PCMN: 615100 montant: 710.2
PCMN: 612400 montant: 466
PCMN: 612300 montant: 157.85
PCMN: 612160 montant: 310
PCMN: 630232 montant: 760
PCMN: 630220 montant: 350
PCMN: 630210 montant: 423
PCMN: 613250 montant: 600
PCMN: 612000 montant: 240
PCMN: 612160 montant: 211
PCMN: 616200 montant: 118.7
PCMN: 612300 montant: 560
PCMN: 611130 montant: 422
PCMN: 616300 montant: 58
PCMN: 616300 montant: 74.6
Les postes de dotation aux amortissements (630231, 630210,
630232, 630220): nous imputons des montants correspondant à 2/12 du
total annuel.
La raison en est que nous prendrons en exemple des commandes dont
la durée porte sur une période de deux mois.
Notons que nous travaillerons avec des montants sans TVA. Nous
parlerons donc de montant hors TVA (htva).
Sources.
- Professeur D.Helbois, Fucam: Syllabus «
Comptabilité analytique d'exploitation » et « Techniques de
calcul et de répartition ».
- F. Guerra E. DeHaan: « Comptabilité les
procédures comptables et comptes annuels » ISBN 2- 8041-0954-2
- H.Bouquin: « Comptabilité de gestion » ISBN
2-7178-4026-5
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