Conclusion générale
Notre étude a permis d'appréhender la gestion
d'informations-mutations vers les bases des données
relationnelles-langage SQL. L'objectif de cette recherche était de
mettre en évidences les définitions et les enjeux de ces
pratiques dans des organisations enfin de bannir toutes les déperditions
des données.
Nous revenons sur les principaux justificatifs d'usage des
BDR, les défauts qui occasionnent la décadence des données
dans des organisations, et les avantages de valorisation de l'usage du langage
de manipulation de bases des données SQL, ceux qui motiveraient une
mutation des premières envergures.
C'est pourquoi, nous exposons une considération sur les
mutations des BDR ainsi que ses instructions pour servir valablement les
évidences proposées selon les bilans suivants.
Bilan des travaux
S'agissant des gains et avantages qui attraient à la
gestion des informations dans des entreprises, il a été
démontré et déceler que l'ordinateur renferme la
mémoire précieuse de stockage. Notamment au vu de la
quantité d'informations fournies dans des entreprises, l'ensemble des
évidences admises ont démontré de manière
permanente que l'ordinateur peut faire dans un premier temps la gestion des
données (mémoriser de l'information : DD, RAM, ROM, DVD, CD,
clé USB, ...) sans lui rajouter beaucoup d'instructions. Comme il est
clair, il y a la possibilité que cette performance d'informations au
sein des entreprises nécessité des méthodes assez
gestionnaire des données.
Toutefois, même si une certaine maturité de
gestion des données semble venir épauler l'ordinateur dans sa
quête gestionnaire, les évidences des bases des données,
ont décrit le système de gestion de base de données et
disséminer leurs intérêt en terme de modélisation
à travers les entités de types-entités. Dans ce contexte,
une Base des Données est un ensemble d'informations exhaustives, non
redondantes, structurées et persistantes, concernant un sujet. Dans
cette claire définition, introduire le Système de Gestion de Base
de Données peut être le choix de l'organisation, le stockage, la
mise à jour et la maintenance des données. Certes, la
stratégie à cette évidence permet de décrire,
modifier, interroger et administrer les données.
En traversant le tableau que nous peint les différents
modèles d'objets d'une base de données, la singularité des
mutations des entreprises vers l'usage des SGBD est quasi-total capital. C'est
pourquoi, nous avons tout d'abord voulu savoir quelle était la
contribution essentielle de l'usage de SGBD dans des entreprises. Voilà
que nous avons examiné les apports et les limites des différentes
conceptions des modèles des données. Naturellement, Il
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en est ressorti qu'en dépit de limites de chacun de ces
différentes conceptions des modèles des données, la
modélisation s'articuler avec la valeur du résultat après
chaque conception.
Ces choses étant dites, restait ensuite à
déterminer ce qui caractérise la valeur des attributs dans
chacune des tables pour chaque choix du modèle des données. Pour
y parvenir, nous nous sommes appuyés sur le passage au modèle
relationnel, sa normalisation des relations dans la conception d'une base de
données relationnelle, sa dépendance fonctionnelle et enfin
chuter par la notion d'intégrité structurelle. En effet, nous
avons vu que la notion d'intégrité structurelle renferme
différentes classifications, d'où l'intégrité
référentielle constitue une synthèse de ces
dernières, car, elle impose que chaque valeur d'une clé
étrangère existe comme valeur de la clé d'identification
dans la table référencée.
Tout compte fait, avec des manipulations des bases de
données relationnelles, nous avons présenté les
fonctionnalités principales de SQL au sein d'un SGBD. Ce qui a pour gain
d'engendrer une dimension assez pratique. Qui plus est, un langage
normalisé d'interrogation de bases de données très
répandu qui permet de manipuler assez facilement les bases des
données relationnelles. Nous serions face à un langage
très variable bien qu'il ait été normalisé deux
fois. Avec son développement, il s'est avéré qu'il permet
d'ajouter des données, de les supprimer, parfois par tables
entières, de les sélectionner dans des tables, selon toutes
sortes de critères (Order by, Group by, Where...) par-delà
grâce à ses instructions. De la sorte, cette accessibilité
des instructions a permis d'examiner la commande SELECT avec ses
différentes clauses, ce qui impliquerait une interrogation et une
standardisation des différents langages, bien qu'ils soient
(d'interrogation, de manipulation, de définition et de
contrôle).
En définitive, nous avons fait une régression
détaillant les commandes de SQL vu précédemment. De
ceux-là, les principales commandes nous ont principalement servis de
base. Le principal choix a été celui des instructions Embedded
SQL qui constituent la voie pour commencer et terminer l'exécution du
programme. Cette cible, nous a amené à dévoiler que pour
générer l'exécutable, le code source est d'abord traduit
par le préprocesseur SQL qui convertit les sections SQL en code source C
ou C++, après quoi il peut être compilé de manière
classique. Une constatation que nous avons remarqué, le SQL
embarqué comme il a été démontré dans
nombreux de cas pratique construit des avantages vis-à-vis des autres
pour prendre en compte les commandes SQL. C'est pour pouvoir envisager la
solution que nous avons expliqué le SQL embarqué qui en C est
spécifié dans le standard SQL et supporté par de nombreux
systèmes de bases de données SQL.
Outre, nous nous sommes principalement concentrés sur
l'apport des fonctionnalités du PostgreSQL qui d'un côté,
reste utile, pour cela, elles placent toujours le PostgreSQL dans
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la catégorie des bases de données
relationnel-objet. Il y a là essentiellement le
déréférence à ne pas confondre cette
catégorie avec celle des serveurs d'objets qui ne tolère pas
aussi bien les langages traditionnels d'accès aux SGBDR. C'est à
un dire que le PostgreSQL possède certaines fonctionnalités
orientées objet, il appartient avant tout au monde des SGBDR. C'est
essentiellement l'aspect SGBDR de PostgreSQL que nous avons abordé. Ce
relais du PostgreSQL apporte une puissance additionnelle substantielle en
incorporant les quatre concepts de base suivants afin que les utilisateurs
puissent facilement étendre le système : classes,
héritage, types, fonctions. Or, d'autres
fonctionnalités accroissent la puissance et la souplesse comme:
contraintes, déclencheurs, règles,
intégrité des transactions. Ces
fonctionnalités nous ont notamment montré que ces aspects
influent sur les qualités du PostgreSQL, d'être un logiciel libre,
à partir de là a été expliqué sa
gratuité et la disponibilité de ses sources.
Les perspectives
Le travail dans lequel nous nous sommes engagés est un
travail de grande ampleur car il couvre tous les niveaux de stockage des
données dans les SGBD et l'usage d'un langage des manipulations des
données. Les premières perspectives concernent la prise en compte
dans la gestion, de toutes les données des organisations. C'est
notamment le cas pour les informations amples qui nous amènent à
envisager leur traitement avec par exemple une approche de gestion
relationnelle. Cela nous conduit alors aussi vers l'étude des
modèles des données liées à la modélisation
et son langage de manipulation des données.
Les autres perspectives concernent d'une part les
considérations des SGBDR vers de nouvelles fonctionnalités et,
d'autre part, à l'étude plus approfondie de l'architecture du
langage qui soutient les pages Web. Cet axe est en train de prendre beaucoup
d'importance dans la communauté des bases de données : on parle
alors de SGBDR (Système de Gestion de Bases des Données
Relationnelles). Il s'agira là, d'un élément
fédérateur qui facilitera la gestion des toutes les
données des organisations. Un des défis pour la recherche dans
les années à venir pourrait bien être la gestion de la
complexité de tels environnements intégrés.
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