Abstract
Maize is the most consumed cereal in the North Cameroon
Region. Despite this high consumption, the production potential remains low at
2 t / ha on average. One of the reasons for this low yield is related to the
decline in soil fertility. One of the solutions adopted by the BARKA
cooperative to overcome this difficulty is the use of chemical fertilizers
including root fertilizer and foliar fertilizer. However, the co-operators
still remain skeptical about the adoption of the foliar fertilizer. In order to
understand and propose a solution to this problem, a trial was conducted in the
GAROUA III production basin. It is clear that the average values of leaf area,
neck diameters, number of leaves obtained on the root fertilizer treatment
respectively 396.55 Cm2, 35.83 cm and 13.66 are higher than in all other
treatments. However, the differences obtained do not have statistically
significant differences, judged by comparisons of 5% threshold averages.
However, the treatments receiving the foliar fertilizer have a shorter stem
(25.91 cm) than in the negative control (28.9 cm). The multiple comparison of
the average values of the length of the stem shows us that there is a
significant difference between the treatments that received the foliar
fertilizer and the other treatments.Following the above it is imperative for
users of the D.I.Grow Foliar Fertilizer, not only to respect the dose, but also
to know that the D.I.Grow Foliar Fertilizer D.I.Grow is a growth accelerator
that does not replace conventional root fertilizer However, the evaluation of
the real potential of this fertilizer remains to be evaluated as well as a
financial study on the profitability of the various treatments mentioned above.
Key words: maize, foliar fertilizer, root fertilizer, GAROUA
III.
Introduction
Le système alimentaire de la Région du Nord
Cameroun est basé sur les céréales principalement
maïs, mil et sorgho. Selon les ratios mobilisables, 70 % de cette
production seraient autoconsommés et l'accroissement de la population
urbaine se traduit par une croissance de la demande en maïs (CAON-FED,
2008). En dépit de cette forte demande, le potentiel de production de
maïs reste encore faible soit 2 t/ha en moyenne. L'une des raisons qui
justifient ce faible rendement est liée à la baisse de
fertilité des sols. L'une des solutions adoptées par la
coopérative BARKA pour palier à cette difficulté est
l'utilisation des engrais chimiques dont l'engrais racinaire et l'engrais
foliaire. Cependant, les coopérateurs restent encore septiques quant
à l'adoption de l'engrais foliaire.Compte tenu que l'utilisation
équilibrée de fertilisants est l'un des facteurs de production
les plus importants permettant d'assurer une productivité
élevée et à moindre coût, nous avons consacré
la grande partie de notre stage à chercher une solution adéquate
à ce problème. C'est ainsi que notretravail a été
axé sur l'évaluation de l'effet de ces différents types
d'engrais sur la croissance de la variété hybride de maïs
PANNAR 53.
Ce présent rapport comporte outre l'introduction et la
conclusion, quatre (04) chapitres dont le premier chapitre présente
d'une façon générale la coopérative BARKA ; le
deuxième chapitre est consacré au déroulement du stage; le
troisième chapitre présente le traitement thématiqueet
enfin le quatrième chapitre est consacré à
l'appréciation et aux recommandations.
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