République
Démocratique du Congo
UNIVERSITE PEDAGOGIQUE NATIONALE
Faculté des Sciences Economiques et de
Gestion
DEPARTEMENT DES SCIENCES COMMERCIALES, ADMINISTRATIVES
ET
DE GESTION INFORMATIQUE
B.P. 8815
Kinshasa / Ngaliema
DEVELOPPEMENT D'UNE SOLUTION NUMERIQUE POUR LA GESTION
DES NOTIFICATIONS ET SENSIBILISATIONS EN CAS DES MALADIES PANDEMIQUE DANS UNE
JURIDICTION SANITAIRE
« CAS DE LA DIVISION PROVINCIALE DE KINSHASA
»
NGANDU KANUMAYI Sylvain-Mozart
Mémoire de fin d'études présenté
et défendu pour l'obtention du grade de licencié en Sciences
Commerciales et Administratives.
Option : Gestion
Informatique
Orientation: Systèmes d'Information et
Bases de
Données
Directeur :
Richard KITONDUA
Professeur
Rapporteur : Patrick KUNGUDI
Assistant
Année-Académique :
2020-2021
Épigraphe
« Prends soin de ton corps, c'est le seul endroit
permanent dans lequel tu es amené à vivre. »
Jim ROHN
IN LOVE MEMORIAM
Il m'est difficile de cocher ses quelques lignes en terme
du travail sans faire une dédicace particulière à titre
posthume à ma feu regretté Mère
Annie KIPENDO KABEYA.
Que la terre de nos ancêtres ait arraché
sitôt, je n'ai pas eu la chance de vous connaitre ! J'aurais
voulu que vous soyez présenteen ce jour Mémorable, mais le destin
jaloux vousa arraché bien avant !de là où vous
êtes, sachez que votre semence a porté des fruits.Que ce travail
trouve en vous une satisfaction pour l'achèvement de l'ouvrage
laissé inachevé.
NGANDU KANUMAYI Sylvain-Mozart
Dédicace
À mes parents MBUYAMBA MBOMBO
KANUMAYI Jean-Bosco et NGALULA MASANKA, j'ai la joie
de vous offrir le présent travail, fruit de votre labeur et le
couronnement des inoubliable sacrifices consentis, pour que je deviens un
produit fini et bien cultivé.
Votre apport dans ma vie est inestimable, trouvez ici une
profonde satisfaction à travers ces lignes, car c'est le résultat
de votre investissement.
.
NGANDU KANUMAYI Sylvain-Mozart
REMERCIEMENTS
La vie est une pièce de théâtre où
chacun vient pour jouer son rôle et disparaître. Il est cependant
souhaitable que chacun le joue positivement en laissant des traces utiles pour
les générations futures.
Ce rôle ne peut ainsi être valablement joué
qu'à l'issu d'un parcours édifiant et permettant
d'acquérir des connaissances nouvelles, ce qui justifie d'ailleurs notre
passage à l'Université Pédagogique Nationale
« UPN » en sigle.
Au seuil de ce mémoire qui couronne la fin de notre
deuxième cycle à l'Université Pédagogique Nationale
(option : Système d'Information et Base de données), qu'il
me soit permis d'exprimer ma reconnaissance à tous ceux qui ont
contribué d'une manière ou d'autre.
Le présent mémoire constitue, en lui-même
l'émanation de tant d'efforts et sacrifices consentis et se veut
être l'un des tremplins pour un troisième cycle prometteur au sein
de cette même Alma mater.
À l'Éternel Dieu tout puissant source de toute
oeuvre splendide et voluptueuse pour ton infini assistance sur tous les
plans.
Nous nous faisons aussi l'obligation de remercier avec
sincérité les Autorités Académiques et
Scientifiques de l'Université Pédagogique Nationale pour nous
avoir donné cette formation, qui nous permet de concilier les notions
théoriques aux réalités de la vie professionnelle.
Eu égard à l'aboutissement de ce mémoire,
ne serait pas ce qu'il est sans l'implication de mon Directeur le
Professeur Richard KITONDUA, avec ses orientations, sa rigueur scientifique, sa
disponibilité, en dépit de ses multiples occupations ainsi que
ces conseils qui nous ont permis d'arriver au bout, qu'il trouve ici,
l'expression de mes vibrants hommages.
Nos vifs remerciements s'adressent aussi à l'Assistant
Patrick KUNGUDI, pour son encadrement, conseils, orientation, remarques pour la
réalisation de ce mémoire
Nous tenons également à exprimer notre gratitude
à l'égard de nos très chers soeurs et frères de la
famille KANUMAYI : Bernadette BANA, Marie NKAYA, Nadine
BIPENDU, Anne-Fifi NZEBA, Nathalie NGALULA, Moïse MWANGE, Eugène
MUKENGESHAYI, Jean-Bosco MBUYAMBA, Prince-Arthur KATANGUDI, Joseph KABONGO.
À mes neveux et nièces : Carole Keho,
Jemima NK, John,Ketsia, Mechak, Sephorah, Regina, Blessing,Jean-Denis,
Chrisnovic,Dimerce, Aubrey, Ngalula, Annie NZEBA,Auricia etc....
À mes cousins et cousines : Famille KISONGA,
Famille MUKENGESHAY, Mamie PALA ;
À mes Beaux-frères : Théodore
MUKENDI, en particulier Fiston BIENZI NTULKWE, votre femme Anne-Fifi
NZEBA et tous vos enfants, personne formidable, pour avoir
contribué à la quasi-totalité de cette oeuvre de longue
haleine depuis de nombreuses années, recevez nos très
sincères remerciements respectueux, que Dieu de l'Esperance vous
remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous abondiez en
espérance dans toute vie par la puissance du Saint-Esprit. Faisant
beaucoup des efforts et sacrifices financières, pour nous ramener
à la raison de poursuivre nos études universitaireset n'avez
cessé de nous encourager à donner le meilleur de nous-même
avant et pendant la rédaction de ce mémoire, trouvez dans cette
phrase l'expression de notre reconnaissance ;
À ma future femme ; mes futurs enfants, qui seront
mon espoir et ma couronne ;
A Monsieur Claude KABIKA, Assistant TSUNGU MIJIMBU et tous les
cadres du Smart Solutions Society.
Ceci est le signe de reconnaissance de tout ce que vous avez
eu à manifester pour nous.
Nous ne pouvons clore notre séance de remerciements
sans penser à nos compagnons de lutte qui ont été à
la hauteur d'une digne collaboration scientifique, il s'agit de :
Mermondie MUTUMBU, Géneviève MAYIRA, Hornella MVINGU,
Thérèse MAKENGO,Falonne ZIATA, Scoot KENGE, Grâce AWANDJA,
Guelord KAFUMVU, Shekinah MUSUASUA, Cynthia YALA, Prescilia DIANGU, Benedicte
MIWANDA, Cathy NGEFA, Souzy MAYIDI, Angela MABINDOLO, et d'autre pour l'amour
qu'ils ont éprouvé envers notre personne nous leur disons grand
merci.
À ma dulcinée : Ketsia MUTUMBU NKUSU,
celle qui a fait de moi, une nouvelle personne reçois à travers ce lignes la gratitude d'amour ;
À nos amis et connaissances :Christian KANDO,
Dorcas TSHIAMALA, Daniel TSHIAMALA,Jemima KATOLO, Keren KAMOLE Maguy MUSAU,
Belinda BYAMANA, Amani BYAMANA, Elvis IFALI, Glody MWIMBA, Etienne MBOMBO,
Cédrick WATSUMBA, Fabrice MUZINGU ;
Par ailleurs, nous ne saurons citer nominalement toutes les
personnes qui nous ont assistés d'une manière ou d'une autre au
cours de la rédaction de ce travail. N'empêche que nous leur
adressions de tout coeur notre remerciement.
NGANDU KANUMAYI Sylvain-Mozart
SIGLES, ACRONYMES ET
ABREVIATIONS
2G : Deuxième Génération
3GPP2 : 3rd Génération
Partnership Project 2
4g (LTE) : Quatrième Génération, Long
Term Evolution
5g : Cinquième Génération
API : Application Programming Interface
APN : Service Apple Push Notification
ATL : Couche de transport Android
C# : Langage de programmation orientée objet,
fortement typé, dérivé de C et de C++, ressemblant au
langage Java
CDMA : Accès multiple par répartition en
code
CMS : Content management system
CSS : Langages principaux du Web
DOM : Document Object Model
DPS : Division Provinciale de la Santé
DTA : Date au plus tard
DTO : Date au plus tôt
EvDO : Evolution-Data Optimized
FCM : Firebase Cloud Messaging
FNE :
France
Nature Environnement
GPRS : General Packet
Radio Service.
GPS : Global Positioning System
GSM
: Global System for Mobile
Hp : Hewlett-Packard
HTML : Hypertext Markup Language
I.T : Infirmier Titulaire
INFOSANN : Information Sanitaire
iOS : Système d'exploitation strictement
contrôlé par Apple
ITIL : Information Technology Infrastructure Library
ITMS : Institut technique médicale de la santé
JSON : JavaScript Object Notation
M.P.M : Méthode de potentiels métra
MCZ : Médecin Chef de zone
MHz :
Mégahertz
ML : Marge libre
NTIC : Nouvelles Technologies de l'Information et de
Communication
P.E.R.T : Program Evaluation and Review Technique
PERT : Program Evaluation Review and Technique
PHP : Langage de programmation libre
RECO : RélaisCommunautaire
Rj45 : Registered jack 45
SDK : Sotfware Development Kit
SGBD : Système de gestion de base de
données
TCP/IP : Transmission Control Protocol/Internet Protocol
UHF
: Ultra hautes fréquences
UML : Unified Modeling Language
UMTS : Universal Mobile
Telecommunications System
UP : Unified Process ouProcessusUnifié
UX : User experience
W3C :
World Wide Web Consortium
WAP : Wireless Application Protocol
Wi-Fi : Wireless
Fidelity
XHTML : Extensible
HyperText Markup Language)
XML : Extensible Markup Language
ZS : Zones de Santé
LISTE DES FIGURES
Figure 1 : Architecture FCM
3
Figure 2 Architecture Webview
- 17 -
Figure 3 Architecture Application IONIC
- 18 -
Figure 4 Organigramme General DPS
25
Figure 5 Organigramme INFOSAN
26
Figure 6 : Graphe P.E.R.T Non-ordonné
40
Figure 7 : Graphe P.E.R.T Ordonné
42
Figure 8 : Chemin critique
46
Figure 9 : Diagramme de GANTT
48
Figure 10 : Diagramme des cas d'utilisation
56
Figure 11 : Diagramme de séquences
58
Figure 12 : Diagramme d'activités
59
Figure 13 : Diagramme de classes
61
Figure 14 : Diagramme de déploiement
62
Figure 15 : Architecture de la solution
proposée
65
Figure 16 illustration d'une Table dans la BDD
68
Figure 17 Page de connexion
69
Figure 18 Formulaire de publication d'articles
70
Figure 19 Formulaire de publication d'articles
71
Figure 20 Page d'actualités et Presse
(sensibilisation)
71
Figure 21 Page d'actualités et Presse
(sensibilisation)
72
Figure 22 Page d'actualités et Presse
(sensibilisation)
72
Figure 23 Interfaces de l'application
NOTIFICATION
73
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 Description Fiche Individuel
3
Tableau 2 Fiche d'Enregistrement du cas contact
29
Tableau 3 Description du relevé
épidémiologique
30
Tableau 4 Analyse des moyens humains
31
Tableau 5 Analyse des moyens matériels
31
Tableau 6 Evaluation du coût de
matériels et de logiciels
35
Tableau 7 Enchainement logique des tâches avec
leurs durées
36
Tableau 8 Quelques concepts
38
Tableau 9 Spécification des tâches
45
Tableau 10 Identification des acteurs du
système
55
Tableau 11 : Description de cas
d'utilisation
57
Tableau 12 : Plan de formation des
utilisateurs
76
0. INTRODUCTION
0. CONTEXTE DU TRAVAIL
Grâce aux avancées technologiques
réalisées dans le domaine de la science, l'informatique s'impose
à l'heure actuelle dans la plupart des domaines de la vie tant
professionnelle que privée ; car elle a résolu le
problème des systèmes de gestion manuelle des données qui,
jadis était difficile pour les gestionnaires.
Les NTIC (Nouvelles Technologies de l'Information et de
Communication) regroupent l'ensemble des outils mis en place pour manipuler,
produire, faire circuler et permettre une meilleure diffusion de l'information.
Les secteurs des TIC englobent l'ensemble des entreprises qui exercent leurs
activités dans les domaines de l'électronique, des
télécommunications ou d'Internet...
Pour l'entreprise le but est de s'adapter à ces
évolutions, de mettre en place un management adapté, pour une
meilleure communication autant interne (circulation de l'information via
intranet, vidéo conférence etc.) qu'externe en diffusant
l'information au public par le biais de nouveaux moyens de communication.
La téléphonie mobile a connu une explosion dans
les années 2000 mais aucune révolution n'a semblé arriver
depuis : les appareils tendaient à tous se ressembler, les innovations
n'avaient plus vraiment de saveur ; les applications étaient difficiles
d'accès de par leur mode de distribution et souvent peu performantes
à cause des faibles capacités des appareils.
Depuis quelques années, les smartphones sont
dotés d'une puissance plus importante et d'espaces de stockage
conséquents. Les téléphones tendent à devenir des
objets artistiques, presque de reconnaissance sociale, et possèdent des
fonctionnalités qu'aucun téléphone ne pouvait
espérer auparavant : connexion haut débit, localisation GPS,
boussole, accéléromètre, écran tactile souvent
multipoint, marché d'applications en ligne... Autant de qualités
permettant de créer des applications innovantes et de les distribuer en
toute simplicité.
Sur le marché des smartphones, il existe trois grands
concurrents en ce qui concerne les systèmes d'exploitation :
Ø Apple avec iOS,
Ø Google avec Android,
Ø et Microsoft avec Windows.
Chaque système comporte ses propres capacités,
ses propres défauts, et surtout, son propre système
d'applications :
· Pour iOS, il y a les langages Objective-C et Swift
;
· Pour Android, on code en Java ;
· Pour Windows, on utilise habituellement le C# et
le XML.
Pendant longtemps, le résultat de cette concurrence
était que si on voulait développer une application pour les trois
plateformes, il fallait la coder trois fois, en trois langages et de trois
manières différentes.
C'est ainsi que, l'arrivée des Framework (Ionic,
ReactJs,...) a tout changé et a permis aux développeurs web de
créer des applications mobiles multiplateformes avec une seule base de
code en HTML, CSS et JavaScript, donnant accès aux différents API
natifs des téléphones : l'appareil photo ou la
géolocalisation mais aussi, en intégrant beaucoup de components
très utiles pour l'UX.
Par ailleurs, la notification et la sensibilisation de la
population devient de plus en plus célèbre dans nos Zones de Santé « ZS ». La capacité de notifier et de
sensibiliser la population en temps réels est perçue comme un
processus routinier qui rentre dans le cadre de suivi du bon fonctionnement des
activités au sein de la division provinciale de la santé.
Etant donné que le monde actuel est frappé par
des pandémies, le développement d'une solution numérique
constitue une des ressources stratégiques pour le bon fonctionnement du
Bureau d'Information Sanitaire au sein de la Division Provinciale de la
Santé. Il conviendra néanmoins d'admettre qu'au-delà de la
mise sur pied de ladite solution numérique, une campagne de notification
et sensibilisation de cas des pandémies s'avère indispensable
pour maximiser la connaissance et les précautions à prendre mais
aussi, garantir la transmission de l'information à la majorité de
la population, de la Division Provinciale de la Santé, des comportements
qui doivent y être pris au sérieux.
Notre projet s'articule ainsi autour du développement
d'une solution numérique pour la gestion des notifications et
sensibilisation de cas de maladies pandémiques, mise en oeuvre sous
forme d'une application web, mobile hybride. L'objectif de ce travail est
d'essayer de résoudre le problème de notifications et
sensibilisation de la population au moyen d'appareils mobiles. Pour cela, nous
avons développé une solution numérique web, mobile
présenté par le biais d'un site WordPress, et une application
mobile dédiée à la notification et sensibilisation des
habitants de la Division Provinciale de la Santé ; car dans un monde en
constante évolution et dans unejuridiction sanitaire, être
notifié et sensibilisé en temps réel constitue un avantage
pour bénéficier de l'information, au moment et à l'endroit
voulu.
1.
PROBLEMATIQUE
En ce qui concerne le travail scientifique, il est
recommandé à tout chercheur qu'avant d'entrer dans le vif du
sujet, de définir le contexte de la
« Problématique » de son travail en vue
d'éviter toutes les éventuelles difficultés
sémantiques mais aussi de cerner le contour du problème qui se
pose dans sa gestion.
Pour KIYUNSA Bidum G. et SHOMBA Kinyamba S., la
problématique désigne l'ensemble de questions posées dans
un domaine de la science, en vue d'une recherche de solutions1(*).
A la recherche d'une bonne stratégie de
développement d'une solution numérique pour la gestion des
notifications et sensibilisation de cas de maladies pandémiques, et pour
mieux circonscrire le contour du problème qui se pose dans notre
gestion, quelques questions ont suscité notre attention :
· Comment faire pour faciliter la notification et
sensibilisation en cas des maladies pandémiques au sein de la Division
Provinciale de la Santé en temps réel, au moment et à
l'endroit voulus ?
· Quelle technologie faut-il utiliser pour aboutir
à une meilleure solution numérique en temps réel ?
· Quel sera l'apport du nouveau système dans le
fonctionnement de la DPS/KINSHASA ?
Des réponses anticipatives valent la peine d'être
suggérées face à la persistance des questions ci-haut
énumérées.
2.
HYPOTHESES
Par l'hypothèse, il faut entendre une proposition
résultant d'une observation que l'on vérifie par déduction
ou encore une réponse anticipée fondée sur une
expérience et sur une connaissance théorique de notre part.
Selon Pinto, « L'hypothèse est la proposition
aux questions que l'on se pose à propos de l'observation et de l'analyse
afin qu'elles puissent fournir une réponse »2(*)
Elle se définit aussi comme étant un ensemble de
réponses provisoires aux questions posées dans la
problématique pouvant être confirmée ou infirmée par
la suite.
Face à la problématique citée ci-haut,
nous proposons de développer une solution numérique pour la
gestion des notifications et sensibilisation de cas de maladies
pandémiques dans une juridiction sanitaire « Cas de la Division
Provinciale de la Santé », étant donné que le
système en place ne parvient pas à sensibiliser ni à
notifier en temps réel.
3.
ETAT DE LA QUESTION
Il est défini comme étant un état
des lieux décrivant les travaux effectués sur un sujet
donné pendant une période déterminée et pouvant de
présenter sous forme orale ou écrite3(*).
Son but est de ne pas tomber dans « le
plagiat » ; il s'agit de s'informer si la problématique
élaborée par nous l'a déjà été faite
par d'autres chercheurs, dans d'autres circonstances et dans d'autres champs
d'investigation. Ce qui amène à circonscrire le sujet dans le
temps et dans l'espace par rapport aux travaux similaires antérieurs.
En dépit de cela, après avoir fait la ronde des
quelques bibliothèques de la place et à l'issue de plusieurs
recherches menées sur Internet, nous avons constaté, sans
prétention aucune, que le champ d'application de notre travail n'a pas
fait l'objet de plusieurs recherches antérieures.
Dans cette optique, nous allons consacrer toute notre
énergie à aborder la question avec beaucoup de minutie dans le
but d'aboutir à une solution qui répondrait véritablement
aux besoins de la Division Provinciale de la Santé en matière de
gestion des notifications et sensibilisation de cas de maladies
pandémiques.
4.
CHOIX ET INTERET DU SUJET
Notre choix a porté sur le développement
d'une solution numérique pour la gestion des notifications et
sensibilisation en cas des maladies pandémiques dans la Division
Provinciale de la Santé Kinshasa « DPS/KINSHASA » avec pour
objectifs principaux de :
· Notifier et Sensibiliser ;
· La grande rapidité de transmission de
l'information.
5.
METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
a. Méthodes
Une méthode est un ensemble d'opérations
intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les
vérités qu'elle poursuit, les démontre et les
vérifies4(*).
Nous avons, dans le cadre de ce travail, utilisé les
méthodes suivantes :
v UP: veut dire
Unified Process ou
Processus Unifié. C'est un processus de
développement logiciel construit sur UML. Ses caractéristiques
essentielles suivantes peuvent être mises en avant.
Elle reste l'une des méthodes les plus employées
en entreprise. C'est ainsi que nous l'avons choisie pour la modélisation
et la marche à suivre lors de la conception. Cette méthode nous a
permis de nous imprégner de la réalité du système
d'information existant afin de proposer une solution de modélisation
appropriée et relative à notre sujet.
v Méthode Structuro-fonctionnaliste :
Elle nous a permis d'étudier la structure et le fonctionnement
du bureau d'infosannde la « Division
Provinciale de la Santé » afin de saisir la partie
faiblissante ;
v Méthode Analytique : cette
méthode consiste à analyser les procédures de traitement
de l'information dans un système d'information ; elle nous a permis
d'analyser et de découper notre système en plusieurs domaines en
vue de proposer un modèle de traitement de données
adéquat.
v La méthode PERT : signifie Program Evaluation Review and Technique. Elle
nous a permis de faire le planning prévisionnel en vue de
déterminer le coût et la durée totale de notre projet.
b. Techniques
Les techniques sont des outils mis à la disposition de
la recherche et organisées par la méthode dans ce but. Ce sont
des moyens utilisés pour la collecte des données sur le
terrain5(*).
Quant en ce qui nous concerne, nous avons recouru à :
- La Technique Documentaire : qui a
consisté à l'exploitation des documents mis à notre
disposition par la bibliothèque et certains ouvrages qui cadrent avec
notre sujet.
- La Technique d'interview libre : qui
consiste à la descente sur terrain et à interroger les agents de
l'infosande la « DPS/KINSHASA ». Elle nous a permis de
récolter les informations sur les problèmes et de relever les
objectifs du système futur.
6.
DELIMITATION DU SUJET
Sur le plan spatial, ce travail se focalise le
développement d'une solution numérique pour la gestion des
notifications et sensibilisation de cas de maladie pandémique dans une
juridiction sanitaire.
Par ailleurs sur le plan temporel, la période
d'étude prise en compte dans notre travail pour notre étude
s'étend du 05 Mars 2021 au 22 Aout 2021, soit
5 mois.
7.
SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion, notre travail
sera subdivisé en 3 grands chapitres répartis comme suit :
Ø Chapitre premier
:Généralités Théoriques Sur La Technologie Mobile,
Technologie Hybride, Wordpress Et Les Concepts De Base ;
Ø Chapitre deuxième :Présentation Du
Champ D'étude, Spécification Des Besoins Et Cadrage Du Projet
Ø Chapitre troisième :Mise En OEuvre Du Nouveau
Système
CHAPITRE PREMIER
GENERALITES THEORIQUE SUR LA
TECHNOLOGIEMOBILE ET LA TECHNOLOGIE HYBRIDE, WORDPRESS ET LES CONCEPTS DE
BASE
SECTION 1 : TECHNOLOGIE
MOBILE
§1NOTIONS
La téléphonie mobile,
ou téléphonie cellulaire est un moyen de
télécommunication,
plus précisément de
radiocommunication,
par
téléphone
mobile. Ce moyen de communication s'est largement répandu à
la fin des
années
1990. La
technologie associée
bénéficie des améliorations des
composants
électroniques, notamment leur miniaturisation, ce qui permet aux
téléphones d'acquérir des fonctions jusqu'alors
réservées aux ordinateurs.
L'appareil téléphonique en lui-même peut
être nommé « mobile »,
« téléphone portable »,
« portable », « téléphone
cellulaire » (en
Amérique
du Nord), « cell » (au
Québec dans
le langage familier), «
natel » (en
Suisse), «
GSM »
(en
Belgique et au
Luxembourg),
«
vini »
(en
Polynésie
française). Quand il est doté de fonctions
évoluées, c'est un
smartphone, ordiphone ou
téléphone intelligent.
La téléphonie mobile est fondée sur
la
radiocommunication,
c'est-à-dire la transmission de la voix et de données à
l'aide d'
ondes
radioélectriques (
fréquences dans
les bandes
UHF allant
de 700 à 2 600
MHz) entre une
station
de base qui peut couvrir une zone de plusieurs dizaines de
kilomètres de rayon et le
téléphone
mobile de l'utilisateur.
Les premiers systèmes mobiles fonctionnaient en
mode
analogique. Les
terminaux étaient de taille importante, seulement utilisables dans
les
automobiles où
ils occupaient une partie du coffre et profitaient de l'alimentation
électrique du véhicule.
Les systèmes mobiles actuels fonctionnent en mode
numérique :
la voix, comme les données, est échantillonnée,
numérisée et transmise sous forme de
bits, puis
synthétisée lors de la réception. Les progrès de
la
microélectronique ont
permis de réduire la taille des téléphones mobiles
à un format de poche. Les avantages des systèmes
numériques sont la baisse du prix des terminaux, un plus grand nombre de
services, l'augmentation du nombre d'abonnés et enfin une meilleure
qualité de réception de la voix.
Les
bases
de transmission sont réparties sur le territoire selon un
schéma de cellules. En technologie
GSM/
GPRS (2G), chaque antenne
utilise un groupe de fréquences hertziennes différent de ses
voisines. Les mêmes fréquences ne sont alors
réutilisées qu'à une distance suffisante afin de ne pas
créer d'
interférences.
Les systèmes mobiles sont standardisés pour
être compatibles d'un pays à l'autre et pouvoir s'interconnecter
avec les réseaux de
téléphonie
fixe. Il existe dans le monde deux grandes familles de standards de
systèmes mobiles : les standards
IS41/CDMA
d'origine
américaine (normes
ANSI-41 /
CDMA /
CDMA EvDO)
définis par l'organisme
3GPP2 et la famille des
standards
GSM,
UMTS et
LTE,
définis à l'origine en
Europe par
l'
ETSI,
puis par le
3GPP qui est la plus
répandue.
Pour savoir sur quelle antenne relais diriger un appel
entrant, le réseau mobile échange périodiquement avec les
téléphones mobiles des informations de localisation sous forme de
messages de signalisation.
Les normes de radiocommunication
· 4G :
§
LTE : « Long Term Evolution » : Le LTE qui
était considéré comme une norme
« pré-4G » (3,9G) est maintenant
commercialisé sous l'appellation « 4G » ;
depuis octobre 2010, l'
UIT a
en effet accordé à la norme LTE la possibilité commerciale
d'être considérée comme « 4G »
4. Le
débit
descendant (en
2013) peut théoriquement atteindre 150 Mbit/s avec des
terminaux compatibles.
§ LTE
Advanced : évolution de la norme LTE vers des débits
plus élevés tout en gardant une compatibilité ascendante
avec les terminaux LTE ; les premiers déploiements commencent en
2014 dans certains pays. Les débits descendants peuvent dépasser
1 Gbit/s grâce à l'
agrégation
de porteuses, si l'opérateur dispose d'assez de
bandes de
fréquences.
§ 5G :
§ Premiers réseaux commerciaux en
2020.
§2 LES SMARTPHONES ET
MÉDIAS DE VISUALISATION6(*)
Un smartphone (également
appelé téléphone intelligent7(*), téléphone
multifonction
1 ou
encore mobile multifonction8(*)
) est un
téléphone
mobile disposant en général d'un
écran
tactile, d'un
appareil
photographique numérique, des fonctions d'un
assistant
numérique personnel et de certaines fonctions d'un
ordinateur
portable.
La saisie des données se fait le plus souvent à
l'aide d'un
écran
tactile ou, plus rarement, d'un
clavier ou
d'un
stylet. Selon
le principe d'un ordinateur, il peut exécuter divers
logiciels/applications grâce à un
système
d'exploitation spécialement conçu pour mobiles, et donc
en particulier fournir des fonctionnalités en plus de celles des
téléphones mobiles classiques comme : l'agenda, la
télévision,
le calendrier, la navigation sur le
Web, la consultation
et l'envoi de
courrier
électronique, la
géolocalisation,
le
dictaphone/
magnétophone,
la
calculatrice, la
boussole, l'
accéléromètre,
le
gyromètre la
messagerie
vocale visuelle, la
cartographie numérique,
etc. La plupart des appareils bénéficient de la
reconnaissance
vocale et de la
synthèse
vocale.
Il est possible de personnaliser son smartphone en y
installant des
applications
additionnelles telles que des jeux ou des utilitaires via un
magasin
d'applications en ligne différent pour chaque système
d'exploitation. Il est nécessaire d'avoir une
connexion
à Internet par l'intermédiaire d'un
réseau
de téléphonie mobile ou d'un réseau
Wi-Fi pour pouvoir
utiliser leur potentiel.
Les précurseurs des smartphones sont apparus à
la fin des années 1990
a, mais il faut attendre
2007, année de commercialisation de l'
iPhone (premier
smartphone avec interface tactile multipoint), pour que ce marché
s'étende considérablement9(*)
jusqu'à
dépasser en quelques années celui des
téléphones
mobiles basiques10(*).
En 2014, les ventes mondiales annuelles de smartphones
dépassaient le milliard d'unités
5. À partir de
2018, des smartphones de plus en plus performants viennent concurrencer sur le
plan photographique les appareils photographiques numériques compacts
6, bien que le zoom
optique soit souvent minimum.À l'instar de tous les appareils utilisant
des composants électroniques, les smartphones ont un impact important
sur l'environnement qui augmente avec leurdiffusion.
En France, l'
ADEME etl'agence
France
Nature Environnement (FNE) ont publié conjointement un rapport
sur l'
impact
environnemental de ces produits
11(*).
§3 WEB MOBILE
Le Web Mobile ou Webmobile est une
technique qui permet d'accéder à
Internet depuis
un
téléphone
mobile, on parle alors de l'Internet Mobile et des
smartphones. Le web
mobile se matérialise notamment par l'utilisation de
navigateurs sur
téléphones
mobiles ou d'applications pour Smartphones mais aussi par des
widgets, la
consultation de mails de façon instantanée... C'est
l'évolution des équipements, des usages et des forfaits de
téléphone mobile qui ont permis le démarrage du web
mobile.
Le Web mobile est né avec le
protocole WAP (Wireless
Application Protocol), langage de description dérivé du HTML, qui
permettait d'adapter les formats d'Internet aux contraintes des
téléphones portables. C'est en octobre 1999, grâce au
premier téléphone
Nokia 7110, que le grand
public découvre cette nouvelle technologie. Dès les années
2000, les premiers navigateurs mobiles comme Blazer sur Palm et Pocket Internet
Explorer sur PocketPC font leur apparition, vient ensuite la technologie
Bluetooth qui permet
de se connecter avec son Palm ou Pocket PC avec un débit de 5 kb/s mais
un surcoût important sur son forfait mobile.
En 2003, Nokia annonce la troisième
génération de téléphone mobile appelée
3G avec son modèle
« 6100 » qui permet l'accès à Internet en
haut débit et l'année 2005 voit se généraliser la
technologie du
Wi-Fi (Wireless
Fidelity). Le développement des Smartphones, en 2010, avec forfait
« Internet illimité » a permis l'essor du web
mobile, ils fonctionnent en combinant plusieurs technologies comme le
Wi-Fi, le EDGE (
Enhanced
Data Rates for GSM Evolution), l'
UMTS (3G)
et le
LTE. En
une décennie le web mobile et les technologies qui lui sont
associées ont considérablement évolués, aujourd'hui
les sites mobiles sont en plein développement sur Internet et un nombre
toujours plus important d'applications pour
Smartphone voit le
jour sur
App Store et
Google Play.
§4 LES NAVIGATEURS
MOBILES
Un navigateur mobile, microbrowser,
micronavigateur(ou encore minibrowser) est un
navigateur
web conçu pour être utilisé dans les dispositifs
portables et miniatures comme les
PDA, les
téléphones
mobiles ou les
smartphones.
Technologies utilisées
La première génération de microbrowsers
n'était pas capable se connecter à des serveurs web classiques en
utilisant une connexion
HTTP standard. Les
microbrowsers utilisaient le protocole WAP. Le réseau cellulaire renvoie
dans ce cas des contenus écrits pour le microbrowser. Cela peut
être du
XHTML (WAP 2.0) ou
du
WML (Wap
1.3 basé sur du HDML). WML et HDML sont des formats adaptés
à la transmission d'informations à travers des bandes passantes
faibles.
Au
Japon, la
société
DoCoMo, a basé
son
i-mode sur le
HTML i-mode.
Le
HTML i-mode
est en fait une extension du c-HTML (HTML Compact).La norme
WAP 2.0
supporte une version mobile de
XHTML et de la
norme
CSS.
Ces versions mobiles sont très proches des standards définis pour
ces technologies par le
W3C.Les
microbrowsers les plus récents supportentnativement
touteslestechnologiesmodernesdu
web:
HTML,
WML,HTML
imode,
cHTML,
CSS,
ECMAScript,etdes
plug-ins comme la
technologie
Flash de
Adobe.
Contraintes techniques
Comme cela a été évoqué plus haut,
les microbrowsers doivent utiliser moins de mémoire et
s'adapter à des écrans de plus petite taille que les navigateurs
classiques.
Une attention toute particulière doit être
apportée au rendu. De plus, la bande passante est limitée et les
déconnexions sont fréquentes.
Microbrowsers à installer
soi-même
· Minimo de la
Fondation Mozilla.
· Firefox
Mobile de la Fondation Mozilla (remplace Minimo).
·
Palm web Browser Pro de PalmOne, Inc. (Milpitas, États-Unis)
·
Picsel de Picsel Technologies Ltd (Glasgow, Écosse).
·
Pixo de Sun Microsystems (Pixo a été acquis par Sun
en juillet 2003)
·
RocketBrowser Rocket Mobile, Inc. (Silicon Valley,
États-Unis).
·
SAS
·
Skweezer de Greenlight Wireless Corporation
·
Thunderhawk de Bitstream Inc. (Cambridge, États-Unis)
·
Wapaka de Digital Airways (France)
·
WebViewer de Reqwireless
·
Novarra
SECTION 2 : TECHNOLOGIE
MOBILE HYBRIDE
§1DESCRIPTION ET
HISTORIQUE
La réalisation normale de l'application mobile hybride
fait toujours peur et beaucoup de personne ne veut pas l'affronter car elle
demande la connaissance de java applicable aux Android et que parfois les
utilisateurs des anciennes versions de java sont astreints à se
documenter ardemment pour y parvenir.
Alors les développeurs qui se sont sacrifiés au
développement des applications statiques et celles des applications
dynamiques en passant par les serveurs reconnaissant les scripts PHP restent loin et meurt de peur. Ainsi pour pallier
à ces vicissitudes il y a de ces informaticiens qui se sont mis en
ensemble dans le but de nous produire des Framework qui facilitent les
développeurs usant le serveur comprenant aisément les scripts
PHP. C'est ainsi que durant nos recherches nous sous sommes retrouvé
devant un amalgame des Framework qui pourront nous faciliter de réaliser
les mêmes fins et ainsi, faciliter la réalisation des applications
web desktop à être transformé en application mobile hybride
de n'importe quelle plateforme selon son choix.
§2ENVIRONNEMENT DE
DÉVELOPPEMENT ET TECHNOLOGIE UTILISÉE
Les outils à utiliser sont nombreux mais un avantage
ils sont gratuits en générale. Mais ne soyez pas surpris des
multiples éléments que nous allons utiliser dans le but de
réaliser ces applications sans autres difficultés.
2.1. NODEJS26
Node.js est une plateforme de développement JavaScript.
Ce n'est pas un serveur, ce n'est pas un Framework, c'est juste le langage
JavaScript avec des bibliothèques permettant de réaliser des
actions comme écrire sur la sortie standard, ouvrir/fermer des
connections réseau ou encore créer un fichier. Il est souvent
confondu avec un serveur car c'est son origine : Node.js a été
créé par Ryan Dahl dans le but de pouvoir créer des
applications temps réel où le serveur est capable de pousser de
l'information au client. C'est dans ce but qu'il utilise la bibliothèque
pour réaliser son modèle d'entrée sortie non bloquante.
2.2. IONIC12(*)
Ionic, librement disponible, open-source, est
un frameworkSDK frontal qui vous permet de
créer des applications mobiles pour les
téléphones iOS, Windows et Android en utilisant la
même base de code. Il s'avère être un outil multiplateforme
pour le développement mobile.
Cet outil vous permet de créer des applications
mobiles hybrides. Cette plateforme vous permet de développer des
applications mobiles à l'aide d'applications web et de langages tels
que HTML, CSS, Javascript, Angular et Typescript. Ionic a une collection
de composants qui fournit la fonctionnalité d'une plateforme
mobile. Ionic offre des performances efficaces avec une manipulation
minimale du DOM.
2.3. ANGULAR13(*)
Angular est
un framework
JavaScript open-source
écrit en TypeScript. Google en assure la maintenance et fournit une
structure standard permettant aux développeurs d'y travailler. Angular
utilise la syntaxe HTML pour définir clairement les composants du
programme. Il permet aux développeurs de créer de grandes
applications faciles à maintenir.
2.4. TYPESCRIPT14(*)
Est un
langage de
programmation
libre et
open
source développé par
Microsoft qui a pour
but d'améliorer et de sécuriser la production de code
JavaScript. Il s'agit
d'un sur-ensemble syntaxique strict de JavaScript (c'est-à-dire que tout
code JavaScript correct peut être utilisé avec TypeScript). Le
code TypeScript est
transcompilé en
JavaScript, et peut
ainsi être interprété par n'importe quel navigateur web
ou
moteur
JavaScript.
2.5. SCSS15(*)
Est un type de fichier spécial pour SASS, un programme
écrit en Ruby qui assemble des feuilles de style CSS pour un navigateur
et pour information. SASS ajoute de nombreuses fonctionnalités
supplémentaires aux CSS, telles qu'écrire CSS plus facilement et
plus rapidement. Les fichiers SCSS sont traités par le serveur
exécutant une application Web pour générer un fichier CSS
traditionnel que votre navigateur peut comprendre.
2.6. HTML16(*)
Langage de balisage utilisé pour la création de
pages web, permettant notamment de définir des liens hypertextes.
2.7. NOTIONS SUR LA TECHNOLOGIE
FCM ET LE SITE WORDPRESS
2.7.1. Firebase Cloud Messaging (FCM)
Est une solution de messagerie multiplateforme qui vous permet
d'envoyer des messages de manière fiable et gratuite.
À l'aide de FCM, vous pouvez informer une application
cliente qu'un nouvel e-mail ou d'autres données sont disponibles pour la
synchronisation. Vous pouvez envoyer des messages de notification pour stimuler
le réengagement et la rétention des utilisateurs. Pour les cas
d'utilisation tels que la messagerie instantanée, un message peut
transférer une charge utile allant jusqu'à 4 Ko vers une
application cliente.
2.7.2. Aperçu de l'architecture de la
FCM
FCM s'appuie sur l'ensemble suivant de composants qui
génèrent, transportent et reçoivent des messages :
a) Outils pour composer ou créer des demandes de
messages. Le composeur de notifications fournit une option basée sur
l'interface graphique pour créer des demandes de notification. Pour une
automatisation complète et une prise en charge de tous les
types
de messages , vous devez créer des demandes de message dans un
environnement
de serveur approuvé qui prend en charge le SDK Firebase Admin ou les
protocoles de serveur FCM. Cet environnement peut être
Cloud Functions pour Firebase, App Engine ou votre propre serveur
d'applications.
Figure 1 : Architecture FCM17(*)
b) Le backend FCM, qui (entre autres fonctions) accepte les
demandes de messages, effectue la diffusion des messages via des rubriques et
génère des métadonnées de message telles que l'ID
de message.
c) Une couche de transport au niveau de la plate-forme, qui
achemine le message vers l'appareil ciblé, gère la remise des
messages et applique une configuration spécifique à la
plate-forme, le cas échéant. Cette couche de transport comprend
:
Ø Couche de transport
Android (ATL) pour les appareils Android avec les
services Google Play
Ø Service Apple Push
Notification (APN) pour les appareils iOS
Ø Protocole Web push pour les applications Web
d) Le SDK FCM sur l'appareil de l'utilisateur, où la
notification est affichée ou le message est traité en fonction de
l'état de premier plan/arrière-plan de l'application et de toute
logique d'application pertinente.
2.7.3. Enregistrez les appareils pour recevoir des
messages du FCM.
Une instance d'une application cliente s'enregistre pour
recevoir des messages, obtenant un jeton d'enregistrement qui identifie de
manière unique l'instance d'application.
2.7.4. Envoyez et recevez des messages en
aval.
Ä Envoyer un message. Le serveur d'applications envoie
des messages à l'application cliente :
· Le message est composé, soit dans le composeur
de notifications, soit dans l'environnement de confiance, et une demande de
message est envoyée au backend FCM.
· Le backend FCM reçoit la demande de message,
génère un ID de message et d'autres métadonnées, et
l'envoie à la couche de transport spécifique à la
plate-forme.
· Lorsque l'appareil est en ligne, le message est
envoyé via la couche de transport spécifique à la
plate-forme à l'appareil.
· Sur l'appareil, l'application cliente reçoit le
message ou la notification.
2.8. WordPress18(*)
2.8.1. Definition
WordPress est un
système
de gestion de contenu (SGC ou content management system (CMS) en anglais)
gratuit,
libre et
open-source.
Ce
logiciel écrit en
PHP repose sur une
base de
données
MySQL et est distribué
par la fondation WordPress.org. Les fonctionnalités de WordPress lui
permettent de créer et gérer différents types de
sites Web : site
vitrine, site de
vente en ligne, site
applicatif,
blog,
portfolio, site
institutionnel, site d'enseignement...
2.9. BASE DE DONNÉES ET
MYSQL
Une
base de
données stocke des informations structurées dans des tables
pour ensuite les traiter, les trier, ou encore les filtrer afin d'extraire des
statistiques ou récupérer des données précises.
L'ensemble de ces informations et bases de données sont
gérées par un logiciel serveur19(*).
WordPress utilise
MySQL qui est un
système de gestion de
base
de données relationnelles libre, gratuit et très
utilisé. WordPress peut ainsi stocker et récupérer les
informations présentes sur le site internet par le biais de plusieurs
tables
présentes dès l'installation du
système
de gestion de contenu.
Ces tables par défaut permettent de structurer les
informations de base pour créer rapidement un site ou un blog
opérationnel.
On retrouve par exemple :
Ø Une table pour stocker les commentaires :
pseudo/nom, date, message, e-mail ;
Ø Une autre pour stocker le contenu des
publications : articles, pages, catégories ;
Ø Une table concernant les utilisateurs : nom,
e-mail, droit accordé ;
Ø Une table pour les paramètres et le pilotage
global des extensions.
2.8.2. Fonctionnalités
WordPress est réputé pour ses nombreuses
fonctionnalités permettant à des utilisateurs avancés ou
non de créer un site Internet et de le personnaliser. Ces
fonctionnalités sont conçues dans le but de rendre
l'expérience de publication la plus simple possible et accessible
à tous.
§3AVANTAGES DE LA
TECHNOLOGIE HYBRIDE20(*)
Ä L'application mobile développée peut
être déployée sur plusieurs plate-formes : Android, iOS,
Windows y compris des objets connectés comme des
montres
connectées (Tizen/smartwach)
Ä Temps de développement réduit et cycles
courts
Ä Maintenance simplifiée
Ä Utilisation de technologies web «classiques»
(HTML, CSS, AngularJS, Cordova)
Ä Outils «open-source»
Ä Optimisation des budgets de développement et de
maintenance
§4CONSTITUANTS
D'APPLICATION MOBILE HYBRIDE (ARCHITECTURE)
1. Principe de base21(*)
Figure 2 Architecture Webview
Les technologies permettant de développer des
applications mobiles de type webview sont toutes construites autour de la
même architecture. Le principal élément de cette
architecture est le fait d'utiliser un navigateur web qui va
recouvrir toute la fenêtre de l'application. Ce navigateur web sera
directement lancé par le système d'exploitation du smartphone et
celui-ci exécutera l'application web embarquée dans le package.
Ce sera alors cette application, composée de code HTML, CSS et
JavaScript, qui sera rendue à l'utilisateur, qui pourra interagir avec
elle comme n'importe quelle page web.Lorsqu'il est nécessaire d'appeler
des fonctionnalités natives, le code JavaScript ne suffit plus ; il
faut alors échanger avec du code Java sur Android, Swift ou Objective-C
sur iOS et C# sur Windows. Des plugins remplissent ce rôle en proposant
d'interroger des méthodes écrites en langage natif, accessibles
via des fonctions JavaScript.
2. Structure projet IONIC
Figure 3 Architecture Application IONIC
Source : site codingthesmartway22(*)
SECTION 3 : LES
CONCEPTS DU SUJET
§1. INTRODUCTION
Toute recherche exige l'utilisation d'un certain nombre des
représentations mentales générales et abstraites des
objets étudiés dénommés
« concept ». Ces concepts, pour être bien saisis
méritent d'être définis au préalable.
MERTON le souligne clairement en affirmant :
« une recherche consciente de ses besoins ne peut passer outre
à la nécessité de clarifier car une exigence essentielle
de la recherche est que les concepts soient définis avec une
clarté suffisante pour lui permettre de progresser ».23(*)
C'est pourquoi, pour rendre notre mémoire intelligible
et permettre une lecture aisée aux lecteurs, et de ce fait, pour
éviter des interprétations contradictoires et avoir ainsi un
cadre de référence unique, nous nous sommes assignés comme
objectif dans la première partie, et plus précisément au
premier chapitre, de faire une approche lexicologique de quelques notions
clés desquelles gravitera notre démarche scientifique.
§2. DÉFINITION DES CONCEPTS
SPÉCIFIQUES :
- Développement :
En informatique, il désigne le fait de
développer des logiciels, d'en effectuer l'analyse et la
programmation24(*)
- Solution :
Ensemble d'étapes permettant de résoudre un
problème25(*)
- Numérique :
Qui
se
fait
grâce
à
l'
utilisation
de
nombres.26(*)
- Notification :
Action de notifier, de faire connaître
expressément quelque chose...27(*)
- Sensibilisation :
Action, fait de susciter l'intérêt, la
curiosité de quelqu'un ; résultat de cette action.28(*)
- Maladie :
Est une altération des fonctions ou de la
santé d'un
organisme
vivant.29(*)
- Pandémique :
Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), on
parle de pandémie de cas de propagation mondiale d'une
nouvelle maladie.30(*)
- Juridiction :
Attribution de compétence conférée par la
loi.31(*)
- Sanitaire :
Relatif au domaine de la santé et plus
spécifiquement àla manière de protéger la
santé d'une vaste population à l'échelle d'un
pays.32(*)
§3. DÉFINITION DES CONCEPTS CONNEXES
Les concepts connexes sont ceux qui interviennent tout au long
de la rédaction du travail pour soutenir et renforcer les concepts de
base. Dans le cadre de cette étude, il s'agit des concepts
suivants :
- Division Provinciale de la Santé
(DPS) :
Est l'administration en charge de l'offre de soins dans chaque
province de la RD Congo.33(*)
CHAPITRE DEUXIEME
PRESENTATION DU CHAMP
D'ETUDE, SPECIFICATION DES BESOINS ET CADRAGE DU PROJET
SECTION 1 :
PRÉSENTATION DE L'ENTREPRISE D'ACCUEIL
Le présent chapitre décrit terrain de
l'étude, le matériel, la méthode et les techniques
utilisées, la collecte ainsi que le traitement des données. Les
considérations d'ordre éthique concluent ce chapitre.
1.
ÉTUDE DE L'EXISTANT
1.1. SITUATION
GÉOGRAPHIQUE DE LA DPS
La DPS /Kinshasa, est une Division qui se trouve dans la
commune de la Gombe, au quartier Comité urbain, sur l'avenue CADECO
n°33, mais l'étendue de son pouvoir dépasse ses quatre
mures ; Elle s'étant sur une superficie de 9965Km2, elle
est limitée :
· Au Nord et à l'ouest par la République du
Congo-Brazza
· Au sud par la province du Kongo Central
· À l'est par la province de le Grand Bandundu
1.2. ASPECT HISTORIQUE
A l'époque coloniale, y avait un médecin
inspecteur provincial qui travaillait là-bas à mont Ngaliema
attache au gouvernorat de Léopold II ; Son bureau s'est
trouvé aussi à Mont Ngaliema jusqu'à l'indépendance
la situation est resté la même.
Le président Mobutu a pris une ordonnance créant
les nouvelles provinces en république démocratique du Congo dont
la province de Léopold ville qui regroupe le pool de Kinshasa, Bas-Congo
et Bandundu
C'est pourquoi l'Inspecteur Médical Provincial a
quitté le quartier et place ici là où se trouve l'actuel
ville et le Médecin Inspecteur Provinciale qui avait un siège au
quartier général de Mont Ngaliema s'est vu sans local/sans bureau
de travail et il fut installé à l'avenue de justice à
l'actuelle bâtiment du secrétariat général.
L'inspection est localisée là-bas jusqu'à
un certain temps avant d'être installé définitivement sur
l'actuelle local situé à l'avenue Cadeco N°33 à la
commune de la Gombe
Mais l'un de gouverneur de la ville province de Kinshasa a
constaté que le Médecin Inspecteur qui est son proche
collaborateur en matière de la santé avait un Bureau loin de lui,
il va l'interpelle et le mettre à côté de son bureau et ils
ont travaillé jusqu'à la fin du projet santé pour tous.
Apres la fin du projet santé pour tous les bureaux du
médecin inspecteur est de nouveau délocalisé pour revenir
sur l'avenue Cadeco jusqu'aujourd'hui.
1.3.EFFECTIF DES AGENTS DE SANTE
DE LA VILLE PROVINCE DE KINSHASA
v Le Ministère Provincial de la santé de la Ville
Province de Kinshasa dispose à ce jour d'un effectif total de
28.800 agents.
v De cet effectif, la Ville utilise :
1. Les Médecins ;
2. Les Pharmaciens ;
3. Les chirurgiens-dentistes ;
4. Les Pro-Santé (Infirmiers, Nutritionnistes, AG,
Kinésithérapeutes...)
5. et Les administratifs
I. MATERIELS/EQUIPEMENTS/CHARROIS
AUTOMOBILES
v La DPS/Kinshasa est dotée de trois véhicules
Toyota Land cruiser dont l'un est en mauvais état.
II. Dotation des Fonds Mondial
Les deux véhicules dotation des Fonds/Mondial via SANRU
sont en bon état de marche. L'un sert de fonction au Chef de Division et
le deuxième pour l'accompagnement des Zones de santé et autres
services, les supervisions, le suivi, les investigations etc..
III. Dotation de l'UNICEF
Le troisième véhicule aussi de marque Toyota
Land cruizer est une dotation de l'UNICEF dans le cadre du projet Village
assaini. Bien qu'en état de marche, il est assez vieux et soumis
à des réparations sinon à être
déclassé.
Le volume et complexité de travail dans les 35 Zones
de santé, 2.574 formations sanitaires, 46 ITMS de Kinshasa etc...
requiert un parc automobile complémentaire.
v La DPS dispose de 9 Kits informatiques fixes
obsolètes car tous usagers et de plus de cinq ans exception faite de
celui du secrétariat qui est une dotation récente de l'UNICEF et
les PC de la comptabilité, dotation de F.M.
IV. CARTOGRAPHIE DES PARTENAIRES / INTERVENANTS ET
SERVICES DE LA DPS
La ville province de Kinshasa compte 15 partenaires et
Intervenants du secteur de la santé. Leur apport et paquets
d'intervention s'avèrent indispensables dans l'administration des soins
de santé de qualité. La Cartographie des Partenaires Techniques
et Financiers comprenant leurs domaines et Zones d'intervention est disponible
à la DPS Kinshasa.
2.
MISSION DE LA DPS
La DPS est l'échelon intermédiaire du
système de santé de la RDC ayant pour mission d'apporter un appui
technique, managérial et logistique aux Zones de Santé pour une
offre de qualité et une bonne accessibilité des populations aux
soins de santé.
La Division Provinciale de la Santé de Kinshasa est la
colonne vertébrale du Ministère Provincial de la Santé.
Elle met en synergie plusieurs stratégies et activités qui toutes
concourent à la mise en oeuvre de la Politique dudit Ministère
telle qu'édictée par le Gouvernement. La DPS qui est une
structure décentralisée travaille sous l'autorité
hiérarchique du Ministère Provincial de la Santé et sa
tutelle administrative relève de la compétence de son Excellence
Monsieur le Gouverneur.
I. SITUATION SANITAIRE ET PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DE
KINSHASA
La ville de Kinshasa a une population estimée
à 13.195.533(Source : DPS/Kinshasa) sur une superficie
de 9.965m2 soit une densité de 970 habitants /km2.
Cette ville est une mégapole ou sévit plusieurs
épidémies, endémies, et autres urgences de Santé
publique de première importance du fait du mouvement important de la
population ainsi que de son environnement sans oublier le contexte socio -
économique précaire.
Le paludisme reste la pathologie la plus
notifiée quant à sa morbi-mortalité, pour cette
année 2021 de la Semaine une à la semaine 26, nous avons
déjà 827.750cas dont 201 décès. Elle concerne 35
Zones de santé. Elle est plus mortelle pour les enfants de moins de 5
ans.
Quant aux autres grandes endémies, la
situation de la Ville reste préoccupante car la ville de Kinshasa prend
la plus grande charge de morbidité de la RD Congo en ce qui concerne la
tuberculose, le VIH/Sida et la covid-19.
Le décès maternel constitue également un
problème qui prend de l'ampleur.
En 2021, La Ville Province de Kinshasa est
affectée par la troisième vague de la pandémie de corona
virus qui s'est manifesté à la semaine 21 soit le 24 mai 2021.
1.4.
ORGANISATION ADMINISTRATIVE DE LA DPS
§ COMPOSITION DE LA DPS
La Division Provinciale de la Santé dans sa
configuration actuelle comprend 6 bureaux issus de la réforme
matérialisée en septembre 2016 partant de l'IPS laquelle avait 13
bureaux. L'inspection Provinciale de la Santé par contre est un service
déconcentré du Gouvernement Central en province. Elle assure
l'inspection et contrôle eu égard aux normes, instructions et
directives édictées.
La DPS quant à elle assure la tutelle administrative et
technique directe des Zones de Santé et toutes les Structures de
Santé de la province.
La DPS/Kinshasa à l'instar des autres est animée
par un Chef de Division Provinciale et composée de six bureaux
suivants :
1. Bureau de gestion des ressources
2. Bureau d'appui technique aux Zones de santé
3. Bureau d'information sanitaire, d'appui à la
recherche et de communication
4. Bureau de l'inspection-contrôle
5. Bureau de l'hygiène et salubrité publique
6. Bureau de de l'enseignement des sciences de la
santé
Outre ces six bureaux, la DPS comprend :
Ä 10 Coordinations Provinciales,
Ä 35 Zones de santé réparties dans les 24
communes
Ä 28 hôpitaux généraux de
référence
Ä 143 Formations Sanitaires étatiques (total Fosa
privées, confessionnelles et étatiques : 2.574 et total
officines : 4.000)
Ä 46 ITMS
Ä Et 416 aires de santé.
Les bureaux sont animés par les chefs des bureaux
assistés par des chefs des cellules, des chargés des divers
domaines, des Experts, analystes etc....
a) ORGANIGRAMME GENERALE DE LA DPS
Figure 4 Organigramme General DPS
Source : Division Provinciale de la Santé
SECTION 2 :
SPÉCIFICATION DES BESOINS
§1 ANALYSE DU CADRE DE
L'ÉTUDE
A) ORGANIGRAMME INFOSANN
Figure 5 Organigramme INFOSANN
Source : Division Provinciale de la
Santé
Description des tâches
ü
Chef de bureau : coordonne les activités de toutes les cellules et
donnes des orientations et la politique du bureau ;
ü Cellule système National d'Information Sanitaire
: s'occupe de données dans le système DHS2
ü Cellule surveillance
épidémiologique :s'occupe de données et en cas des
maladies à potentiels épidémique et oriente les
décisions apprendre
ü Cellule communication : s'occupe de la sensibilisation,
élaboration des messages à communiquer
B) ETUDE DES DOCUMENTS
Cette
étude nous aide à recenser et à décrire les
documents qui sont utilisés pour la gestion de sensibilisation en cas de
maladie pandémique au sein de ma DPS/Kinshasa.
C) RECENSEMENT DES DOCUMENTS
Nous avons recensé trois documents pour la gestion de
sensibilisation à savoir :
Ø Fiche de suivi individuel des contacts covid-19.
Ø Fiche d'enregistrement des contacts du cas
suspect/probable/confirmé de covid-19.
Ø Relevé épidémiologique
Hebdomadaire.
D) DESCRIPTION DES DOCUMENTS
La description des documents concernés par ce processus
s'est faite en trois volets ; en donnant le rôle, le modèle
et la description proprement dite de chacun d'eux.
a) Fiche de suivi individuel des contacts
covid-19 :
· Rôle : C'est un document qui
reprend l'identification patient ayant tous les symptômes de la maladie
t'elle qu'établis par le scientifique.
· Origine : Relais
communautaire.
· Destination : Zone de
Santé.
· Fréquence :
Journalière.
· Volume : +/- 10 Fiche/jour.
ü Modèle : Voir en annexe
ü Description
Tableau
1 Description Fiche Individuel
N°
|
Code
|
Rubrique
|
Type
|
Taille
|
1
|
Codequipe
|
Code de l'équipent
|
AN
|
10
|
2
|
Nomagent
|
Nom de l'agent
|
AN
|
30
|
3
|
Telagent
|
Téléphone
|
AN
|
16
|
4
|
Chefquart
|
Nom du chef se quartier
|
AN
|
30
|
5
|
Id
|
Contact
|
AN
|
5
|
6
|
Nomscont
|
Nom du contact
|
AN
|
30
|
7
|
Genre
|
Genre
|
AN
|
1
|
8
|
Age
|
Age du contact
|
AN
|
2
|
9
|
Telcont
|
Numeros de téléphone
|
AN
|
16
|
10
|
AirS
|
Air de santé
|
AN
|
25
|
11
|
ZS
|
Zone de santé
|
AN
|
16
|
12
|
DPS
|
Division Provincial de la Santé
|
AN
|
30
|
13
|
Nomscs
|
Nom du cas source
|
AN
|
30
|
14
|
Idcs
|
Identifiant cas source
|
AN
|
5
|
15
|
Datnais
|
Date de naissance
|
D
|
10
|
16
|
Lieucont
|
Lieu de naissance du contact
|
AN
|
15
|
17
|
Typecont
|
Type de contact
|
AN
|
5
|
18
|
Libsymp
|
Libellé symptôme
|
AN
|
30
|
19
|
Valprel
|
Valeur prélevé
|
N
|
4
|
20
|
Datesympt
|
Date de symptôme
|
D
|
10
|
Total
|
300
|
Source : Division Provinciale de la
Santé
b) Fiche d'enregistrement des contacts du cas
suspect/probable/confirmé de covid-19
· Rôle : C'est un document qui
reprend l'identification du cas contact qui est une personne ayant
été en contact avec un cas confirmé durant une
période symptomatique.
· Origine : Relais
communautaire.
· Destination : équipe de
la riposte.
· Fréquence :
Journalière.
· Volume : +/- 10 fiche/jour.
· Description :
ü Modèle : Voir en
annexe
ü Description
Tableau
2Fiche d'Enregistrement du cas contact
N°
|
Code
|
Rubrique
|
Type
|
Taille
|
1
|
Fichenr
|
Fiche d'enregistrement
|
AN
|
30
|
2
|
Nomssup
|
Noms du superviseur
|
AN
|
30
|
3
|
Telagent
|
Téléphone
|
AN
|
16
|
4
|
Nompat
|
Nom du patient
|
AN
|
30
|
5
|
Id
|
Id unique
|
AN
|
5
|
6
|
Natiopat
|
Nationalité du patient
|
AN
|
30
|
7
|
Genre
|
Genre
|
AN
|
1
|
8
|
Age
|
Age du contact
|
AN
|
2
|
9
|
Telcont
|
Numeros de téléphone
|
AN
|
16
|
10
|
AirS
|
Air de santé
|
AN
|
25
|
11
|
ZS
|
Zone de santé
|
AN
|
16
|
12
|
Nomchefq
|
Nom du chef de quartier
|
AN
|
30
|
13
|
Nomrel
|
Nom du relais communautaire
|
AN
|
30
|
14
|
Hospit
|
Nom de l'hôpital
|
AN
|
35
|
15
|
Datadmi
|
Date d'admission
|
D
|
10
|
16
|
Nomcontac
|
Nom du contact
|
AN
|
30
|
17
|
Lienrel
|
Relation avec le cas
|
AN
|
15
|
18
|
Age
|
Age
|
AN
|
2
|
19
|
Genre
|
Genre
|
AN
|
1
|
20
|
Adres
|
Adresse du contact
|
AN
|
30
|
21
|
Profe
|
Profession du contact
|
AN
|
20
|
22
|
TypCont
|
Type de contact
|
AN
|
30
|
23
|
Datdern
|
Date dernier contact
|
D
|
10
|
24
|
Datprem
|
Date premier jour de suivi
|
D
|
10
|
25
|
Datdernjs
|
Date du dernier jour
|
D
|
10
|
Total
|
464
|
Source : Division Provinciale de la
Santé
c) Relevé Epidémiologique Hebdomadaire
· Rôle : C'est un document qui
reprend les notifications des cas et décès par maladie.
· Origine : Zone de
Santé.
· Destination : Bureau
Infosann.
· Fréquence :
hebdomadaire.
· Volume : +/- 10 fiche/jour.
· Description :
ü Modèle : Voir en
annexe
ü Description
Tableau
3Description du relevé
épidémiologique
N°
|
Code
|
Rubrique
|
Type
|
Taille
|
1
|
Zs
|
Zone de santé
|
AN
|
30
|
2
|
Etabl
|
Nom de l'établissement
|
AN
|
40
|
3
|
Popzs
|
Population de la zone de santé
|
N
|
3
|
4
|
Date
|
Date d'investigation
|
D
|
20
|
5
|
Comple
|
Complétude air de santé
|
AN
|
5
|
6
|
Fosa
|
Information Sanitaire
|
AN
|
7
|
7
|
Maladie
|
Les noms de maladies
|
AN
|
40
|
8
|
Notifcas
|
Notification de cas par tranche d'âge
|
N
|
2
|
9
|
Statut
|
Status
|
AN
|
12
|
10
|
Path
|
Pathologie
|
AN
|
16
|
11
|
Dat
|
Date investigation
|
D
|
10
|
Total
|
464
|
Source : Division Provinciale de la
Santé
E) MOYENS HUMAINS
L'analyse des moyens humains est
nécessaire pour bien comprendre les capacités requises du
personnel travaillant dans les postes sous étude. Cependant, il est
certain que les qualités et les aptitudes des employés qui
occupent les postes apparaissent nettement.
Tableau
4Analyse des moyens humains
Fonction
|
Effectif
|
Niveau d'études
|
Ancienneté
|
Chef de bureau
|
1
|
L2
|
2 ans
|
Chef Cell SNIS
|
1
|
L2
|
2 ans
|
Chef Cell SE
|
1
|
L2
|
8 ans
|
Chef Cell COM
|
1
|
L2
|
25 ans
|
Source : Division Provinciale de la
Santé
F) MOYENS MATÉRIELS
L'analyse des moyens
matériels est nécessaire pour bien comprendre les qualités
des matériels utilisées dans les postes sous étude.
Le tableau ci-dessous décrit les moyens
matériels utilisés dans les postes sous étude :
Tableau
5Analyse des moyens matériels
Matériel
|
Marque
|
Nombre
|
Année d'Acquisition
|
Etat
|
Armoire
|
|
8
|
2012
|
Bon
|
Chaises en plastique
|
|
14
|
2012
|
Mauvais
|
Banc
|
|
3
|
2009
|
Bon
|
Laptop
|
HP
|
8
|
2021
|
Bon
|
Imprimante
|
HP All in One
|
4
|
2021
|
Bon
|
Classeur
|
|
89
|
2008
|
Mauvaise
|
Stabilisateur
|
|
2
|
2010
|
Bon
|
Table en Bois
|
|
5
|
2009
|
Bon
|
Plafonnier
|
|
4
|
2011
|
Bon
|
Desktop
|
Dell
|
2
|
2007
|
Mauvaise
|
Split
|
Hisens
|
2
|
2012
|
Bon
|
Source : Division Provinciale de la
Santé
§2CAHIER DES CHARGES
Un cahier des charges est un document contractuel soumis au
maitre d'oeuvre par le maitre d'ouvrage qui renferme ce qu'il attend de lui et
qui, en cas de non réalisation, pourra faire l'objet de poursuite
judiciaire34(*)
Par conséquent, la réalisation d'un portail
documentaire, à l'état de projet, nécessite la conception
et le suivi d'un cahier des charges qui décrira spécifiquement
l'organisation structurée dudit portail.
Ainsi, il nous a d'abord permis d'identifier les besoins
spécifiques pour la réalisation du projet, ensuite de
dégager les exigences techniques au niveau informatique et enfin, faire
éventuellement des propositions, l'animation et la promotion du portail
documentaire.
1. PRESENTATION DU PROJET
Le projet soumis à notre étude porte sur le
développement d'une solution numérique pour la gestion des
notifications et sensibilisations en cas de maladies pandémiques. Il
vise à sensibiliser et à notifier en temps réel les
habitants de la Division Provinciale de la SantéKinshasa encas de
pandémies quelconques.
Ces services s'étendent à toutes les zones et
aires de santé dans ladite division.
1.1. CONTEXTE DU PROJET
La Division Provinciale de
Kinshasa« DPS/KINSHASA » précisée dans le
service d'informations sanitaires, mets à sa disposition les
équipes de relais communautaires pour prévenir et sensibiliser la
population. Ces derniers, ayant un effectif limité, ne parviennent pas
à être en contact direct à l'arrivée de
l'information. Ils doivent au préalable être formésavant
d'effectuer une descente sur le terrain.
Cela prend du temps et occasionne ainsi la propagation (ou la
contamination) des pandémies par manque d'information en temps
réelavec risque des conséquences majeurs.
C'est ce qui a justifié notre choix de proposer le
développement d'une solution numérique en vue d'apporter une
réponse idoine, qui tient compte de l'évolution des nouvelles
technologies de l'information et de la communication
« NTIC ».
Par ailleurs, le terme projet est aussi perçu comme
étant un ensemble d'activités interreliées dans le but
d'atteindre un objectif prédéfini à l'aide d'un budget de
ressources pendant une période de temps
déterminé.35(*)
1.2. RÉSULTATS ATTENDUS
Le but poursuivi dans ce projet est celui de développer
une solution numérique dédiée à la gestion de
sensibilisations et notifications de la population en cas de pandémies.
En effet, notre souhait vise une satisfaction totale de la
population cible en ce qui concerne l'acquisition en temps réel
desinformations transmisespar la DPS/KINSHASA, grâce aux
différentes fonctionnalités qui seront mises en oeuvre dans notre
application.
2. EXPRESSIONS DES BESOINS
Au sens le plus large, les besoins peuvent être
définis comme résultant d'un écart entre ce qui est (Etude
de l'existant) et ce qui devrait être (Analyse de la demande).
L'analyse de l'existant conduit à porter des critiques
sur les plans de l'efficacité administrative, de la qualité et de
la fiabilité de l'information produite.
2.1. BESOINS FONCTIONNELS
Un besoin fonctionnel spécifie l'action qu'un
système doit être capable d'effectuer, hors contrainte physique :
besoin spécifiant un comportement d'entrée/sortie d'un
système.36(*)
Le système doit permettre :
o Aux chargés de la Communication Sanitaire de la
DPS/KINSHASA de(d') :
- S'identifier ;
- Consulter ;
- Voir des postes publiés ;
- Modifier des publications ;
- Notifier ;
- Sensibiliser ;
- Échanger avec la population.
o A la population cible de(d') :
- Êtrenotifiée ;
- Être sensibilisée ;
- Entre en contact avec un membre de la communication de
l'infosan.
2.2. BESOINS TECHNIQUES
Les besoins non-fonctionnels(techniques) décrivent
toutes les contraintes techniques, ergonomiques et esthétiques
auxquelles est soumis le système pour sa réalisation et pour son
bon fonctionnement.
A part les besoins fondamentaux, notre système doit
répondre aux critères suivants :
o La rapidité de transmission
d'information : En effet, vu le nombre important
d'informations quotidiennes et journalières, il est
impérativement nécessaire que la durée d'exécution
des traitements s'approche le plus possible du temps réel.
o La performance : Un logiciel
doit être avant tout performant c'est-à-dire à travers ses
fonctionnalités, répond à toutes les exigences des usagers
d'une manière optimale.
o La convivialité
: Le futur logiciel doit être facile à
utiliser. En effet, les interfaces utilisateurs doivent être conviviales
c'est-à-dire simples, ergonomiques et adaptées à
l'utilisateur.
o La portabilité :
l'application doit être portable, fonctionnelle sur n'importe quel
terminal Informatique (Mobile, Ordinateur).
o La sécurité :
l'application doit assurer un niveau minimum de sécurité pour les
informations traitées.
3. CONTRAINTES DU PROJET
3.1. CONTRAINTES BUDGÉTAIRES
Cette étape comprend principalement les sous-branches
suivantes :
· Equipements
· Etudes
· Budget
· Contraintes éventuelles
3.1.1. Les équipements et
logiciels
Tableau
6Evaluation du coût de matériels et de
logiciels
N°
|
Matériel
|
Quantité nécessaire
|
Quantitéexistante
|
PU ($)
|
Quantité à acheter
|
PT ($)
|
1
|
Serveur
|
1
|
-
|
1800
|
1
|
1800
|
2
|
Ordinateur
|
3
|
1
|
800
|
2
|
1600
|
3
|
Routeur/Modem (TpLink)
|
1
|
-
|
500
|
1
|
500
|
4
|
Switch (8 ports)
|
1
|
-
|
400
|
1
|
400
|
5
|
Imprimante réseau
|
1
|
-
|
600
|
1
|
600
|
6
|
Imprimante locale
|
1
|
-
|
400
|
1
|
400
|
7
|
Onduleur
|
5
|
1
|
80
|
4
|
320
|
8
|
Connecteur blindé Rj45
|
40
|
-
|
0.5
|
20
|
10
|
9
|
Câble UTP Cat6
|
200 m
|
-
|
0.6
|
150 m
|
90
|
10
|
Climatiseur 900BTU
|
2
|
-
|
250
|
2
|
500
|
11
|
Stabilisateur 5000 Watts
|
3
|
-
|
150
|
3
|
450
|
S/TOTAL 1
|
6.670
|
N°
|
Logiciel
|
Quantité nécessaire
|
Quantité existante
|
PU ($)
|
Quantité à acheter
|
PT ($)
|
12
|
Windows Server 2018
|
1
|
-
|
250
|
1
|
250
|
13
|
Windows Professionnel 10
|
1
|
-
|
150
|
1
|
150
|
14
|
Xampp 2019
|
1
|
-
|
45
|
1
|
45
|
15
|
Licence (FCM)
|
1
|
-
|
100
|
1
|
100
|
16
|
Microsoft Office 2019
|
1
|
-
|
80
|
1
|
80
|
17
|
Hébergement (site web)
|
1
|
-
|
100
|
1
|
100
|
18
|
Plugin SMS
|
1
|
-
|
4
|
1
|
4
|
|
S/TOTAL 2
|
729
|
TOTAL
|
7.399
|
Source : Par
Nous-même
3.1.2. Les études
Tableau 7
Enchainement logique des tâches avec leurs durées
Etape
|
Code tâche
|
Désignation Tâche
|
Activité antérieur
|
Durée
(jrs)
|
Coût
($)
|
Nombres de personnes
|
Qualification/Qualité
|
1
|
A
|
Elaboration cahier des charges
|
-
|
6
|
400
|
3
|
Analyste Concepteur et Responsables MCZ
|
2
|
B
|
Analyse des besoins
|
A
|
8
|
2 500
|
5
|
Analyste Concepteur
|
3
|
C
|
Etude détaillée
|
B
|
7
|
3 000
|
6
|
Analyste Concepteur
|
4
|
D
|
Etude technique
|
C
|
7
|
3 000
|
3
|
Analyste Concepteur, Technicien Réseau, Mainteneur
|
5
|
E
|
Aménagement des locaux
|
D
|
3
|
1 000
|
7
|
1 Technicien Froid, 2 Maçons, 2 Electriciens, 2
Peintres
|
6
|
F
|
Commande et livraison des matériels et logiciels
|
D
|
4
|
7 399
|
4
|
2 Fournisseurs labélisés, 2 Mainteneurs
|
7
|
G
|
Développement / Réalisation
|
E, F
|
8
|
3 000
|
7
|
3 Programmeurs, 2 Ingénieurs Système, 2
Mainteneurs
|
8
|
H
|
Test du Nouveau Système
|
G
|
2
|
1 000
|
8
|
3 Programmeurs, 3 Ingénieurs Système, 2
Mainteneurs
|
9
|
I
|
Déploiement
|
H
|
3
|
800
|
5
|
2 Programmeurs, 2 Ingénieur Système, 1
Mainteneur
|
10
|
J
|
Formation des utilisateurs
|
I
|
2
|
1200
|
5
|
2 Programmeurs, 2 Ingénieurs Système, 1
Mainteneur
|
11
|
K
|
Maintenance
|
J
|
2
|
1500
|
5
|
2 Programmeurs, 2 Ingénieurs Système, 1
Mainteneur
|
Source : nous
même
COUT GLOBAL = Etudes + Matériels +
Logiciels
= 17.400 + 6670 + 729
= 24.799 $
SECTION 3 : CADRAGE DU
PROJET
Un même projet peut regrouper une dizaine ou millier de
tâches qu'il est nécessaire de gérer dans le
temps.37(*)
3.1.1 METHODES D'ORDONNANCEMENT DES TACHES
Il existe plusieurs méthodes d'ordonnancement des
tâches entre autres :
- La méthode M.P.M (Méthode de potentiels
métra) développée en France par la SEMA.
- La méthode de P.E.R.T (Program Evaluation andReview
Technique)
- La méthode de type diagramme de Gantt (ou diagramme
de Barre)
Il sied de rappeler que dans le cadre de notre étude,
nous avons utilisé la méthode PERT.
3.1.2.1. Principesde représentation en P.E.R.T
Dans un réseau PERT, il faudra prévoir une
entrée et une sortie, ensuite les taches sont représentées
par les flèches, tandis que les sommets représentent l'ordre dans
lequel les opérations vont se dérouler.38(*)
3.1.2.2. Description de la méthode
Définitions :
Ø Tâches consécutives :
Tâches qui se suivent ;
Ø Tâche antérieure :
Tâche qui, par rapport à une autre, doit être
réaliséeavant ;
Ø Tâche antécédente
: Tâche immédiatement antérieure à une
autre.
3.1.2.3. Quelques concepts
Tableau 8 Quelques
concepts
Terme
|
Définition
|
Représentation graphique
|
A
10
10
18
1
10
10
1
0
0
0
27
27
1
4
16
1
A
10
4
B
3
0
9
C
3
2
6
4
A
C
B
D
1
5
E
D suit seulement B
Source : Boni KIBAMBE39(*)
3.1.2.4. Conventions
1. Toute tâche a pour début une étape
d'origine et pour extrémité une étape de fin.
2. Une étape ne peut être atteinte que lorsque
toutes les tâches qui la précèdent sont
terminées.
3. Aucune tâche ne peut être
réalisée si l'étape d'origine n'a pas été
atteinte.
3.1.2.5. Recensement des tâches du projet
Pour la réalisation du projet, les principales
tâches seront puisées dans les étapes de
développement du système d'informations. Il s'agit des
tâches suivantes :
ü Elaboration cahier des charges
ü Analyse des besoins
ü Etude détaillée
ü Etude technique
ü Aménagement des locaux
ü Commande et livraison des matériels et
logiciels
ü Développement / Réalisation
ü Test du Nouveau Système
ü Déploiement
ü Formation des utilisateurs
ü Maintenance
3.2. EVALUATION DU TEMPS ET COUT TOTAL
DU PROJET
3.2.1. Construction du graphe P.E.R.T
non ordonné
12
A(6)
1
2
3
4
B(8)
C(7)
5
D(7)
6
7
E(3)
F(4)
8
E'(0)
G(8)
9
H(2)
10
I(3)
11
J(2)
K(2)
Figure 6 : Graphe P.E.R.T
Non-ordonné
Source : Boni KIBAMBE
A) Calcul de rangs
R(n) = {12} = R11
R(n-1) = {11} = R10
R(n-2) = {10}= R9
R(n-3) ={ 9 }= R8
R(n-4) = {8} = R7
R(n-5) = {7} = R6
R(n-6)= {6} = R5
R(n-7)= {5} = R4
R(n-8) = {4} = R3
R(n-9) = {3} = R2
R(n-10) = {2} = R1
R(n-11) = {1} = R0
Posons R(n-11) = R0
n-11 = 0
n = 11
3.2.2. Graphe P.E.R.T ordonné
Figure 7 : Graphe P.E.R.T
Ordonné
A(6)
0
0
1
6
6
2
14
14
3
21
21
4
28
28
5
32
31
6
32
32
7
40
40
8
42
42
9
47
47
11
45
45
10
49
49
12
B(8)
C(7)
D(7)
F(4)
E(3)
E'(0)
G(8)
H(3)
I(3)
J(2)
K(2)
R0
R1
R2
R3
R4
R5
R6
R7
R8
R9
R10
R11
Source : Boni
KIBAMBE
3.3. COÛT ET DURÉE TOTALE
DU PROJET
Ä Recherches des dates au plus tôt et des
dates au plus tard
a) Date au plus tôt
C'est la date au plus tôt de démarrage d'une
tâche du projet
DTO(x) = Max {DTO(y) +d(i)}
DTO(1) = 0
DTO(2) = DTO(1) + d(A) = 0+6 = 6
DTO(3) = DTO(2) + d(B) = 6+8 = 14
DTO(4) = DTO(3) + d(C) = 14+7 = 21
DTO(5) = DTO(4) + d(D) = 21+7 = 28
DTO(6) = DTO(5) + d(E) = 28+3 = 31
32
DTO(7) = Max DTO(5) + d(F) = 28+4 = 32
DTO(6) + d(E') = 31+0 = 30
DTO(8) = DTO(7) + d(G) = 32+8 = 40
DTO(9) = DTO(8) + d(H) = 40+2 = 42
DTO(10) = DTO(9) + d(I) = 40+3 = 43
DTO(11) = DTO(10) + d(J) = 45+2 = 47
DTO(12) = DTO(11) + d(K) = 47+2 = 49
b) Date au plus tard
Elle représente la date au plus tard de fin d'une
tâche du projet.
DTA(x) = Min {DTA(y) +d(i)}
DTA(12) = DTO(12) = 49
DTA(11) = DTA(12) + d(K) = 49-2 = 47
DTA(10) = DTA(11) + d(J) = 47-2 = 45
DTA(9) = DTA(10) + d(I) = 45-3 = 42
DTA(8) = DTA(9) + d(H) = 42-2 = 40
DTA(7) = DTA(8) + d(G) = 40-8 = 32
DTA(6) = DTA(7) + d(E') = 32-0= 32
28
DTA(5) = MIN DTA(7) + d(F) = 32-4= 28
DTA(6) + d(E) = 32-3 = 31
DTA(4) = DTA(5) + d(D) = 28-7 = 21
DTA(3) = DTA(4) + d(C) = 21-7 = 14
DTA(2) = DTA(3) + d(B) = 14-8 = 6
DTA(1) = DTA(2) + d(A) = 6-6= 0
Ä Marges libre et Totale
Les taches à marge sont des taches disposant d'un
battement possible dans le temps (date au plus tôt < date de fin au
plus tard)
On distingue deux types de marge :
a) Marge Libre
C'est le retard maximum que l'on peut prendre pour
débuter une tâche sans remettre en cause les dates au plus
tôt des tâches suivantes :
ML(i) = DTO(J) - DTO(i)-d(i)
ML(A) = DTO(2)- DTO(1) - d(A) =
6-0-6 =0
ML(B) = DTO(3)- DTO(2) - d(B) =14-6-8 = 0
ML(C) = DTO(4)- DTO(3) - d(C) =21-14-7 = 0
ML(D) = DTO(5) - DTO(4) - d(D) =28-21-7 = 0
ML(E) = DTO(6) - DTO(5) - d(E) =31-28-3 = 0
ML(E') = DTO(7) - DTO(6) - d(E') =32-31-0 = 1
ML(F) = DTO(7)- DTO(5) - d(F) =32-28-4 = 0
ML(G) = DTO(8)- DTO(7) - d(G) =40-32-8 = 0
ML(H) = DTO(9)- DTO(8) - d(H) =42-40-2 = 0
ML(I) = DTO(10) - DTO(9) - d(I) =45-42-3 = 0
ML(J) = DTO(11) - DTO(10) - d(J) =47-45-2 = 0
ML(K) = DTO(12) - DTO(11) - d(K) =49-47-2 = 0
b) Marge Totale
Elle désigne le retard maximum que l'on peut prendre
pour débuter une tâche sans remettre en cause les dates au plus
tard des tâches suivantes :
MT(i) = DTA(J) - DTO(i)-d(i)
ML(A) = DTA(2) - DTO(1) - d(A) =6-0-6 = 0
ML(B) = DTA(3) - DTO(2) - d(B) =14-6-8 = 0
ML(C) = DTA(4) - DTO(3) - d(C) =21-14-7 = 0
ML(D) = DTA(5) - DTO(4) - d(D) =28-21-7 = 0
ML(E) = DTA(6) - DTO(5) - d(E) =32-28-3 = 1
ML(E') = DTA(7) - DTO(6) - d(E') =32-31-0 = 1
ML(F) = DTA(7) - DTO(5) - d(F) =32-28-4 = 0
ML(G) = DTA(8) - DTO(7) - d(G) =40-32-8 = 0
ML(H) = DTA(9) - DTO(8) - d(H) =42-40-2 = 0
ML(I) = DTA(10) - DTO(9) - d(I) =45-42-3 = 0
ML(J) = DTA(11) - DTO(10) - d(J) =47-45-2 = 0
ML(K) = DTA(12) - DTO(11) - d(K) =49-47-2 = 0
Ä TABLEAU DE SPECIFICATION DES TACHES
Tableau 9 Spécification
des tâches
Tâches
|
DTO
|
DTA
|
ML
|
MT
|
Observations
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
|
0
6
14
21
28
31
32
40
42
45
47
49
|
0
6
14
21
28
32
32
40
42
45
47
49
|
0
0
0
0
0
1
0
0
0
0
0
0
|
0
0
0
0
1
1
0
0
0
0
0
0
|
Critique
Critique
Critique
Critique
Non- Critique
Non- Critique
Critique
Critique
Critique
Critique
Critique
Critique
|
Source : Charles
KUTU40(*)
3.4. DÉTERMINATION DU CHEMIN
CRITIQUE
Le chemin critique constitue le chemin le plus long d'un
graphe d'activités. Il reprend toutes les activités critiques du
projet.
Il désigne par ailleurs une suite de tâches du
réseau ne comportant aucune marge (date au plus tôt = date au plus
tard). La durée totale des tâches critiques donne la durée
minimale de réalisation du projet. Le moindre retard au démarrage
de l'une de ces tâches entraine un retard équivalent sur la date
de fin du projet.
Du tableau précédent, il se dégage le
chemin critique suivant :
A B C D F G H I J K
Figure 8 : Chemin critique
A(6)
0
0
1
6
6
2
14
14
3
21
21
4
28
28
5
32
31
6
32
32
7
40
40
8
42
42
9
47
47
11
45
45
10
49
49
12
B(8)
C(7)
D(7)
F(4)
E(3)
E'(0)
G(8)
H(3)
I(3)
J(2)
K(2)
R0
R1
R2
R3
R4
R5
R6
R7
R8
R9
R10
R11
Chemin critique :
Source : Boni
KIBAMBE
3.5. COÛT ET DURÉE TOTALE
DU PROJET
a. Coût total
CT = CA + CB + CC
+ CD + CE + CF + CG + CH
+ CI + CJ + CK
=400 + 2.500 + 3.000 + 3.000 + 1.000 + 7.399 + 3.000 +
1.000 + 800 + 1.200 + 1.500
= 24 799 $
b. Durée totale
Avec i au chemin critique
= DA + DB + DC + DD
+ DF + DG + DH + DI + DJ
+ DK
= 6+8+7+7+4+8+2+3+2+2
= 49 Jours
1.1.1.1. 3.7. DIAGRAMME DE GANTT
Figure 9 : Diagramme de GANTT
Source : Par
Nous-même
Contraintes
v Jours ouvrables : Du Lundi au
Vendredi
v Durée du travail : De 08h00'
à 16h30'
3.8. Intervenants dans le
projet
Le commanditaire (Maître d'ouvrage) et le chef de projet
(Maitred'oeuvre) sont les deux acteurs de la première phase.
· Maître d'ouvrage :
désigne une personne physique ou morale qui prend la décision de
construire un ouvrage, en réalise le financement et confie le projet
à un maitre d'oeuvre. Il précise les conditions, les
règles et les exigences d'une mission, d'une intervention, d'un travail
à accomplir ou d'une tâche à exécuter par la
maitrise d'oeuvre41(*).
· Maitre d'oeuvre : désigne
toute personne physique ou morale qui conçoit un ouvrage et en dirige la
réalisation.
Ils se mettent d'accord sur :
- Les objectifs à atteindre
- La faisabilité du projet
- La planification globale du projet
La phase de préparation peut être
décomposée en deux étapes :
- Le commanditaire passe la commande au chef de projet
- Le chef de projet reformule cette commande en termes
d'objectifs (Coût, qualité et délais) dans la note de
cadrage.
CHAPITRE TROISIEME
MISE EN OEUVRE DU NOUVEAU
SYSTEME
SECTION 1 :
MODÉLISATION
Cette partie est consacrée aux étapes
fondamentales pour le développement de notre système de gestion,
c'est-à-dire pour la conception et la réalisation de notre
système. Nous avons choisi de modéliser avec la méthode UP
et la notation UML qui offre une flexibilité à travers
l'utilisation des diagrammes.
A. Conception du système
1. Présentation de
la méthode Unified Process (UP)
a)
Définition42(*)
Un processus de développement logiciel se
définit comme une séquence d'étapes, en parties
ordonnées, qui concourent à l'obtention d'un système
logiciel ou à l'évolution d'un système existant.
UML est souvent qualifié de langage de
modélisation des données et permet en fait de « penser objet
» au moment de la conception, de la modélisation, pour permettre le
développement objet plus aisé.
b) Les caractéristiques du processus
unifié
· UP est itératif et incrémental
Le projet est découpé en itérations ou
étapes de courte durée qui permettent de mieux suivre
l'avancement global. A la fin de chaque itération, une partie
exécutable du système final est produite, de façon
incrémentale (par ajout).
· UP est centré sur l'architecture
Tout système complexe doit être
décomposé en parties modulaires afin d'en faciliter la
maintenance et l'évolution. Cette architecture (fonctionnelle, logique,
matérielle, etc.) doit être modélisée en UML, et pas
seulement documentée en texte.
· UP est guidé par les cas d'utilisations
d'UML
Le but principal d'un système d'information est de
satisfaire les besoins du client. Le processus de développement sera
donc axé sur l'utilisateur.
Les cas d'utilisation permettent d'illustrer ces besoins. Ils
détectent puis décrivent les besoins fonctionnels et leur
ensemble constitue le modèle de cas d'utilisation qui dicte les
fonctionnalités complètes du système.
B. Principes du langage UML
a) La notation UML
UML (Unified Modeling Language), se
définit comme un langage de modélisation graphique et textuel
destiné à comprendre et à définir des besoins,
spécifier et documenter des systèmes, esquisser des architectures
logicielles, concevoir des solutions et communiquer des points de vue.43(*)
La notation UML est un langage visuel constitué d'un
ensemble de schémas ; appelés des diagrammes ; qui donnent chacun
une vision différente du projet à traiter.44(*)
b) Présentation de l'UML45(*)
Avec le succès grandissant de la programmation
orientée objet, de nombreuses méthodes semi-formelles d'analyse
et de conception ont été dédiées à ce
nouveau paradigme.
UML est né de la fusion des trois (3) méthodes
qui ont le plus influencé la modélisation objet au début
des années 90 : OMT, OOAD et OOSE. Le projet, initié par
Rumbaugh, Booch et Jacobson au sein de la société Rational,
devient en 1997 une norme de l'Object Management Group.Ce mode de conception
repose donc sur les principes de la programmation objet. UML modélise
les objets et leurs liens au moyen de vues constituées de diagrammes.
c) Avantages d'UML
ü Sa notation graphique permet d'exprimer
visuellement une solution objet ;
ü L'aspect formel de sa notation limite les
ambiguïtés et les incompréhensions en offrant un gain de
précision et de stabilité ;
ü Son aspect visuel facilite la comparaison et
l'évaluation de solutions ;
ü Son indépendance (par rapport aux langages
d'implémentation, domaine d'application, processus...) en fait un
langage universel ;
ü Facilite la compréhension de
représentations abstraites complexes.
d) Inconvénients d'UML
ü La mise en pratique d'UML nécessite un
apprentissage et passe par une période d'adaptation ;
ü Le processus (non couvert par UML) est une autre
clé de la réussite d'un projet. Et, les auteurs d'UML sont tout
à fait conscients de l'importance du processus46(*)
e) Les diagrammes
Un diagramme UML est une représentation graphique, qui
s'intéresse à un aspect précis du modèle ; c'est
une perspective du modèle. Les diagrammes sont dépendants
hiérarchiquement et se complètent, de façon à
permettre la modélisation d'un projet tout au long de son cycle de vie.
Il en existe treize (13) depuis UML 2.2 reparti en 2
catégories :
- Les diagrammes structurels ou diagrammes statiques ;
- Les diagrammes comportementaux ou dynamiques.
e.1. Les diagrammes structurels
Ont comme vocation de représenter l'aspect statistique
d'un système. Ils permettent d'identifier les objets constituant le
programme, leurs attributs, etc. Les diagrammes de structure rassemblent sept
(7) diagrammes, à savoir :
Ø Diagramme de classes :
représente les entités (des informations) manipulées par
les utilisateurs. Il représente la structure objet d'un
développement orienté objet.
Ø Diagramme d'objets : sert à
illustrer les classes complexes en utilisant des exemples d'instances.
Ø Diagramme de paquetages : permet de
décomposer le système en catégories ou parties plus
facilement observables, appelés « packages ».
Ø Diagramme de structures composites :
décrit un objet complexe lors de son exécution ;
Ø Diagramme de composants :
décrit tous les composants utiles à l'exécution du
système (application, librairies, instances de base de données,
exécutables, etc.) ;
Ø Diagramme de déploiement :
correspond à la description de l'environnement d'exécution du
système (matériel, réseau, etc.) et de la façon
dont les composants y sont installés.
e.2. Les diagrammes comportementaux
Ils représentent la partie dynamique d'un
système réagissant aux événements et permettant de
produire les résultats attendus par les utilisateurs. Les diagrammes de
structure rassemblent sept (7) diagrammes, qui sont :
Ø Diagramme de cas d'utilisation :
représente les fonctionnalités (ou dit cas d'utilisation)
nécessaires aux utilisateurs ;
Ø Diagramme global des interactions :
permet de donner une vue d'ensemble des interactions du système ;
Ø Diagramme de séquence :
permet de décrire les différents scénarios d'utilisation
du système ;
Ø Diagramme de communication (appelé
aussi diagramme de collaboration) : permet de mettre en
évidence les échanges de messages entre objets ;
Ø Diagramme de temps : est
destiné à l'analyse et la conception de systèmes ayant les
contraintes temps-réel ;
Ø Diagramme d'activité :
représente le déroulement des actions, sans utiliser les objets ;
Ø Diagramme d'états-transitions
: permet de décrire le cycle de vie des objets d'une classe.
IV.2.4 Conception détaillée
La conception détaillée met en oeuvre
itérativement un microprocessus de construction et c'est en cette phase
que l'on génère le plus de volume d'informations.
En tant que concepteur, nous allons élaborer le
modèle de conception qui va donner une image « prête à
coder » de notre solution. Cette partie se fera par étape afin
d'aboutir à un système fonctionnel reflétant une
réalité physique.
a) Vue dynamique
1. Diagramme des cas d'utilisation
Le
diagramme de cas d'utilisation a pour but de donner une vision globale sur les
interfaces de la future application. C'est le premier diagramme UML
constitué d'un ensemble d'acteurs qui agit sur des cas d'utilisation et
qui décrit sous la forme d'actions et des réactions, le
comportement d'un système du point de vue utilisateur.
Ø Acteur : un acteur est un
utilisateur qui communique et interagit avec les cas d'utilisation du
système. C'est une entité ayant un comportement comme une
personne, système ou une entreprise.
Ø Système : cet
élément fixe les limites du système en relation avec les
acteurs qui l'utilisent (en dehors de système) et les fonctions qu'il
doit fournir (à l'intérieur du système).
Ø Cas d'utilisation : un cas
d'utilisation représente un ensemble de séquences d'actions
à réaliser par le système et produisant un résultat
observable intéressant pour un acteur particulier
représenté par des ellipses et limité par un rectangle
pour représenter le système.
1.2 Identification des
acteurs
Tableau 10 Identification des acteurs du
système
Acteur
|
Rôle
|
RECO (Infirmier)
|
- Prélever des symptômes
- Notifier zone de santé
- Sensibiliser et notifier population
|
Patient (Ménage)
|
- Faire appel des nouveaux-venus
- Convier au protocole
|
Centre de santé
|
- Examiner et traiter
|
Zone de santé
|
- Recevoir des notifications
|
I.T
|
- Recevoir des notifications
|
MCZ
|
- Envoyer équipes des IS
- Envoyer bulletin épidémiologique
|
Equipe des IS
|
- Investiguer
- Isoler et transférer vers centre de santé.
- Identifier et détecter les personnes qui
étaient en contact
|
Chef de division
|
- Informer le Ministre
|
Ministre
|
- Déclarer pandémie
|
Equipe de riposte
|
-Faire l'étude sur le thème de la
pandémie
|
Formateur
|
- Former les RECO
|
Source : Par Nous-même
Figure 10 :
Diagramme des cas d'utilisation
Source : Par
Nous-même
IV.2.4.1.3 Description des cas
d'utilisation
Nous allons présenter
ci-après la description de quelques cas d'utilisation dans notre
diagramme des cas d'utilisation.
v Cas d'utilisation : « Notifier la zone de
santé »
Tableau 11 : Description de
cas d'utilisation
SOMMAIRE
|
Titre :
|
Notifier la zone de santé
|
But :
|
Permet de notifier la zone de santé en cas de
détection des symptômes de la pandémie.
|
Acteur :
|
RECO
|
DESCRIPTION DES ENCHAINEMENTS
|
Pré-conditions
|
Post-conditions
|
- Prélever les symptômes
|
- Mener les investigations
|
Scénario nominal
|
- Prélever les symptômes
- Notifier la zone de santé
- Mener les investigations
|
Scénario alternatif
|
- Si les symptômes ne sont semblables à ceux de
la pandémie, orienter les patients vers le centre de santé pour
faire des examens appropriés et y être traités.
|
v Cas d'utilisation : « Isoler et
transférer les patients »
SOMMAIRE
|
Titre :
|
Isoler et transférer les patients
|
But :
|
Permet de mettre en quarantaine les patients présentant
les symptômes de la pandémie.
|
Acteur :
|
Equipe des IS
|
DESCRIPTION DES ENCHAINEMENTS
|
Pré-conditions
|
Post-conditions
|
- Notifier l'I.T et la zone de santé
|
- Isoler les personnes en contact avec le patient
|
Scénario nominal
|
1. Notifier l'I.T et la zone de santé
2. Isoler et transférer les patients
3. Isoler les personnes en contact avec le patient
|
Source : Par
Nous-même
IV.2.4.1.4 Diagramme de
séquences
Il donne
une représentation séquentielle du déroulement des
traitements et des interactions entre les éléments du
système et/ou des acteurs47(*).
Figure
11 : Diagramme de séquences
Source : Par Nous-même
IV.2.4.1.5. Diagramme d'activités
Variante
du diagramme d'états-transitions, il permet de représenter le
déclenchement d'événements en fonction des états du
système et de modéliser des comportements parallélisables
(multithreads ou multiprocessus)48(*).
Dans la
phase de conception, les diagrammes
d'activités sont
particulièrement adaptés
à la description textuelle des cas d'utilisation. Plus
précisément, ils insistent sur le flot de contrôle d'une
activité à l'autre. De plus, leur représentation sous
forme d'organigrammes les rend facilement intelligibles.
Figure 12 : Diagramme
d'activités
Source : Par
Nous-même
IV.2.4.2 Vue statique
IV.2.4.2.1 Diagramme de classes
Il
exprime de manière générale la structure statique d'un
système, en termes de classes et de relations entre ces classes49(*).
Lecture de multiplicités
- Un patient subit un ou plusieurs prélèvements
- Une pandémie peut à voir un ou plusieurs
symptômes
- Un centre de santé se trouve dans une et une seule
zone de santé
- Un dépisteur effectuer un ou plusieurs
prélèvements
- Un prélèvement occasionne une ou plusieurs
notifications
- Un corp-médicalepeut décider de faire un ou
plusieurs isolements
- Un patient contaminé un ou plusieurs isolements
- Un prélèvement concerne une et un seul
symptôme
- Un patient passer un ou plusieurs traitements
Figure 13 : Diagramme de classes
Source : Par
Nous-même
IV.2.4.2.2 Diagramme de
déploiement
Le
diagramme de déploiement sert à représenter les
éléments matériels (ordinateurs,
périphériques, réseaux, systèmes de stockage...) et
la manière dont les composants du système sont répartis
sur ces éléments matériels et interagissent avec
eux50(*).
Figure
14 : Diagramme de déploiement
Source : Par Nous-même
SECTION 2:
IMPLÉMENTATION
2.1 PRÉSENTATION DU
MATÉRIEL INFORMATIQUE
2.1.1. ASPECT HARDWARE
Compte tenu de la volumétrie
du système d'informations étudié et des besoins des
utilisateurs, notre choix sera porté sur les matériels et les
logiciels dont les caractéristiques techniques sont les
suivantes :
Ø Smartphones :
· Android
Marque :Google Nexus ou Samsung
API :Android 5.1.1 - API Level 22
Mémoire RAM:32 Go ou plus
Operating System:Android
Taille :1080 x 1920
Densité :320 xxhdpi
· Apple
Marque :Iphone 6/7/8 ou Plus
Mémoire RAM :1 Go ou plus
Operating System :Ios
Taille :1334 x 750
DPI :326 dppp
v Serveur non-dédié :
Marque :Dell ou Hp
Format :Pentium Intel i-Core 9 64 bits
Mémoire RAM :au moins 8 Go (DDR-4)
Fréquence d'horloge :4 Ghz ou plus
Disque dur :2 To
Lecteur DVD/CD-ROM/RW :IDE 56''
Interface réseau :10/100 Mb
Ecran :LCD 17'' ou Plasma 19''
Clavier :Azerty
Souris :Microsoft PS2
v Ordinateur client :
Marque :Dell ou Hp
Processeur :Pentium Intel i-Core7 32 bits
Mémoire RAM : au moins 8 Go (DDR-4)
Fréquence d'horloge :3.3 Ghz
Disque dur :1 To
Lecteur DVD/CD-ROM/RW :IDE 56''
Interface réseau : 10/100 Mb
Ecran :LCD 17'' ou Plasma 19''
Clavier :Azerty
Souris :Microsoft PS2
2.2.2. Aspect software
Ä Système
d'exploitation client :
- Android avec licence
- Ios avec licence
- Windows 7 ou plus
Navigateur web : Opera, Safari ou
Google chrome avec licence
SGBDr :MySQL Server avec licence
Ä Système d'Exploitation
Server : Windows Server 2019 aveclicence
SGBD :MySQL Server +
licence
Framework : Ionic, Angular,
TypeScript, Scss
Antivirus : Symantec avec licence
Logiciel d'application: Ms Office
2019 avec licence
2.2. ARCHITECTURE DE LA
SOLUTION PROPOSÉE51(*)
Figure 15 : Architecture de la solution
proposée
La solution numérique développée, pour la
gestion des notifications et sensibilisation en cas des maladies
pandémiques est une solution hybride.
Cette solution permet, à titre exemplatif, à une
personne d'être notifiée et sensibilisé à partir
d'un terminal mobile pour bénéficier des services informationnels
sanitairesau niveau d'un serveur distant.
Le réseau internet via la suite des protocoles TCP/IP permet la connexion entre le terminal mobile et
serveur d'application et la transmission de message se fait par le langage JSON (JavaScript Object
Notation) qui constitue un moyen de communication fiable. Le terminal mobile
envoie les informations afin s'authentifier et une demande au serveur qui
décode ces données et les analyse pour décision.Ionic est
un Framework de développement hybride pour smartphone conçu par
Max Lynch, Ben Sperry, et Adam Bradley.
Basé initialement sur
AngularJS et
Apache
Cordova52(*), Ionic
permet de créer un code multisupport en utilisant des outils
Web comme
HTML, S
CSS,
TypeScript, afin de
générer des applications
iOS,
Android, et bien
d'autres. Le développement des applications mobiles hybrides ouvre de
larges perspectives.
En effet, les terminales mobiles possèdent maintenant
des accéléromètres, des connexions sans-fil et des GPS.
Dans le cadre de travail, nous avons recouru à une architecture 3-tiers
et les web services. Cette architecture divise l'application en trois parties.
Le client (téléphone), (ordinateur) se connecte à un
serveur (Middleware) via des web services et ce serveur interroge la base de
données.
Dans l'architecture à trois niveaux, les applications
au niveau serveur sont délocalisées, c'est-à-dire que
chaque serveur est spécialisé dans une tâche (serveur
web/serveur de base de données par exemple). Il permet :
ü Une plus grande flexibilité/souplesse ;
ü Une sécurité accrue car la
sécurité peur être définie indépendamment
pour chaque service, et à chaque niveau ;
ü De meilleures performances, étant donné
le partage des tâches entre les différents serveurs.
L'architecture 3-tiers fait ainsi intervenir trois parties
indépendantes les unes des autres : - la couche des données
- la couche applicative
- la couche présentation
2.3. IMPLANTATION DE LA BASE DE DONNÉES
Les lignes de code qui suivent montrent le cheminement qui a
permis d'implanter notre base de données sur un support physique
grâce au SGBD choisi.
-- Concepteur : NGANDU KANUMAYI Sylvain-Mozart --
-- Création de la base de données--
CreatedatabasewpMibatelaApp
-- Création de tables permanentes
CREATE TABLE `wp_postmeta` (
`meta_id` bigint(20) UNSIGNED NOT NULL,
`post_id` bigint(20) UNSIGNED NOT NULL DEFAULT 0,
`meta_key` varchar(255) COLLATE utf8mb4_unicode_ci DEFAULT
NULL,
`meta_value` longtext COLLATE utf8mb4_unicode_ci DEFAULT
NULL
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8mb4
COLLATE=utf8mb4_unicode_ci;
-- Création des tables mouvements
CREATE TABLE `wp_posts` (
`ID` bigint(20) UNSIGNED NOT NULL,
`post_auteur` varchar(20) UNSIGNED NOT NULL DEFAULT 0,
`post_date` datetime NOT NULL,
`post_contenu` longtext COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT
NULL,
`post_title` text COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT NULL,
`post_status` varchar(20) COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT
NULL DEFAULT 'publish',
`comment_status` varchar(20) COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT
NULL DEFAULT 'open',
`post_password` varchar(255) COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT
NULL DEFAULT '',
`post_nom` varchar(200) COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT NULL
DEFAULT '',
`post_modifier` datetime NOT NULL,
`post_modifier_gmt` datetime NOT NULL,
`post_content_filtre` longtext COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT
NULL,
`post_parent` bigint(20) UNSIGNED NOT NULL DEFAULT 0,
`guid` varchar(255) COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT NULL
DEFAULT '',
`menu_ordre` int(11) NOT NULL DEFAULT 0,
`post_type` varchar(20) COLLATE utf8mb4_unicode_ci NOT NULL
DEFAULT 'post',
`comment_cont` bigint(20) NOT NULL DEFAULT 0
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8mb4
COLLATE=utf8mb4_unicode_ci;
-- Index pour la table `wp_posts`
ALTER TABLE `wp_posts`
ADD PRIMARY KEY (`ID`),
ADD KEY `post_nom` (`post_nom`(191)),
ADD KEY `type_status_date`
(`post_type`,`post_status`,`post_date`,`ID`),
ADD KEY `post_parent` (`post_parent`),
ADD KEY `post_auteur` (`post_auteur`);
--
-- AUTO_INCREMENT pour les tables déchargées
--
-- AUTO_INCREMENT pour la table `wp_posts`
--
ALTER TABLE `wp_posts`
MODIFY `ID` bigint(20) UNSIGNED NOT NULL AUTO_INCREMENT,
AUTO_INCREMENT=1903;
Figure 16 illustration d'une
Table dans la BDD
Source : par nous-même
2.4. INTERFACES GRAPHIQUES DE L'APPLICATION
Page de connexion
- Web
- Mobile ??
Figure 17 Page de connexion
Source : Par nous-même
Page d'accueil
- Web
Formulaire de publication d'articles
Figure 18 Formulaire de publication d'articles
Source : nous même
Titre
Corps du texte
Pour publier les documents
Nom de l'éditeur
Date de la publication
Figure 19 Formulaire de publication d'articles
Source : Par nous-même
Page d'actualités et Presse
(sensibilisation)
- Web
Figure 20 Page d'actualités et Presse
(sensibilisation)
Source : Par nous-même
- Mobiles ??
Figure 21 Page d'actualités et Presse
(sensibilisation)
Source : Par nous-même
Figure 22 Page d'actualités et Presse
(sensibilisation)
Source : Par nous-même
Notifications??
- Android - IPhone
Figure 23 Interfaces de l'application
NOTIFICATION
Source : Par nous-même
2.5. ESQUISSE DE LA PROGRAMMATION FAITE
La programmation est un processus
qui permet d'établir un programme exécutable sur la machine,
c'est-à-dire la manière d'organiser et d'écrire les
instructions d'un programme de manière correcte et cohérente pour
contraindre l'ordinateur à exécuter une tâche
spécifique. Elle apporte donc une réponse à la
question : « Comment résoudre un problème dans
l'esprit informatique ? »
Par contre un programme est une suite ordonnée
d'instructions enregistrées sur un support et permettant
d'exécuter une série de tâches.
2.5.1. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION
Un langage informatique est un langage destiné
à décrire l'ensemble des actions consécutives qu'un
ordinateur doit executer pour résoudre un problème donné.
Il existe cependant une multitude de langages de programmation. Dans le
contexte de ce travail, nous avons porté le choix sur les outils
logiciels suivants : le HTML, le CSS, le PHP, le framwork IONIC, Angular,
TypeScript, Capacitor pour les multiples avantages entre autres :
· Plus rapide à l'exécution ;
· La portabilité du code source ;
· Garantit la sécurité du code
source ;
· L'indépendance vis-à-vis de la
plate-forme ;
· Le multi-thread...
2.5.2. EXTRAIT DES CODES SOURCES
Codification de la page d'accueil de l'application
Mobile (Html-ION)
<ion-header [translucent]="true">
<ion-title class="ion-align-items-start">DIVISION PROVINCIALE DE SANTE</ion-title>
<ion-toolbar color="primary">
<ion-buttons slot="start">
<ion-menu-button menu="main-menu"></ion-menu-button>
</ion-buttons>
<ion-buttons slot="end">
<ion-button color="light" click="logout()">
<ion-icon name="log-out" slot="icon-only"></ion-icon>
</ion-button>
</ion-buttons>
<ion-title>DPS/KINSHASA</ion-title>
</ion-toolbar>
</ion-header>
<ion-content [fullscreen]="true">
<ion-header collapse="condense">
<ion-toolbar>
<ion-title size="large">
DPS KINSHASA
</ion-title>
</ion-toolbar>
</ion-header>
<ion-list>
<ion-item *ngFor="let posts of postData ">
<ion-card (click)="postView(posts.id) ">
<ion-title>{{posts.title.rendered}}</ion-title>
</ion-card>
</ion-item>
</ion-list>
</ion-content>
SECTION 3 :
TRANSITION
Un groupe d'utilisateurs
essaie le produit et détecte les anomalies et défauts. Cette
phase suppose des activités comme la formation des utilisateurs clients,
la mise en oeuvre d'un service d'assistance, la recommandation au client sur la
mise à jour de l'environnement logiciel, l'élaboration des
manuels et de la documentation concernant la version du produit, l'adaptation
du logiciel et la correction des anomalies constatées...etc.
3.1. FORMATION DES
UTILISATEURS
La formation des
utilisateurs est un terme que les dirigeants d'entreprises entendent souvent
quand ils sont en train de mettre en oeuvre un nouveau système de
logiciel, mais le plus souvent, beaucoup choisissent de ne pas recevoir cette
formation pour leur personnel. Comme il s'agit d'une dépense
supplémentaire et de nombreuses personnes de nos jours sont accro en
ordinateurs, les gestionnaires d'entreprise décident que leurs
employés peuvent apprendre à utiliser le nouveau système
par eux même. Malheureusement, cette façon de penser peut causer
plus de problèmes pendant et après le processus de mise en
oeuvre.
La mise en oeuvre d'un nouveau système dans une
entreprise est un grand changement pour de nombreux employés. Plusieurs
fois, une nouvelle solution ou mise à jour comprendra de nouvelles
sections, des outils, des touches et des processus améliorés qui
permettront aux entreprises d'être plus productives à long terme
et de réduire les erreurs humaines. Toutefois, en raison de tous ces
changements et des nouveaux processus, il est peu probable que tous les
utilisateurs (employés) seront sur la même longueur d'onde lors de
l'apprentissage du nouveau système par eux-mêmes, ce qui peut
empêcher la société de voir toutes les efficacités
du système amélioré promis par le fournisseur
informatique. C'est généralement le moment où les cadres
blâment le système informatique et / ou le fournisseur pour ne pas
exécuter comme prévu initialement. Ce que beaucoup semblent
oublier, c'est que les logiciels informatiques ne peuvent montrer tous ses
avantages que s'ils sont utilisés correctement.
Par conséquent, investir dans la formation permettra
aux entreprises de voir les avantages qui viennent avec la mise en oeuvre d'un
nouveau système informatique. La formation avant que le système
soit officiellement en fonction à l'entreprise donnera aux
employés une chance de s'adapter à tous les nouveaux processus et
résoudre tous les problèmes avec le système avant qu'il
soit mis en oeuvre. Cela aidera également à toute
résistance provenant des employés qui sont hésitants de
changement. En enseignant aux employés des différents
départements de la société sur la façon d'utiliser
le nouveau système de la façon dont il était
destiné à être utilisé éliminera les doutes,
les malentendus, les erreurs inutiles et les problèmes.
En conclusion, la formation des utilisateurs peut vraiment
aider à la mise en oeuvre d'un nouveau système chez une
entreprise et assurer une efficacité maximale dès le
début. Le fournisseur informatique peut former les utilisateurs sur leur
logiciel en quelques heures et peut toujours fournir un soutien après la
mise en oeuvre si les employés ont des questions à une date
ultérieure.
PLAN DE FORMATION DES UTILISATEURS
|
1ère phase
|
2ème phase
|
3ème phase
|
Evaluation & Essai
|
Réco (Infirmier)
|
6 jours
|
-
|
-
|
6 jours
|
MCZ
|
-
|
3 jours
|
-
|
3 jours
|
DATA
|
-
|
-
|
Chef de Division
|
-
|
-
|
2 jours
|
2 jours
|
Tableau 12 : Plan de formation
des utilisateurs
Source : Par
Nous-même
3.2. MISE EN oeUVRE D'UN SERVICE D'ASSISTANCE53(*)
En entreprise ou auprès des particuliers, le Technicien
d'Assistance en Informatique intervient, installe, met en service et
dépanne des équipements informatiques (PC,
périphériques et logiciels) et numériques (voix, images et
données) reliées en réseau. Il assiste à distance
par
téléassistance
informatique, ou sur site, les utilisateurs et les clients afin de
résoudre au plus vite leurs demandes tout en respectant le cadre des
contrats de services.
Un logiciel de gestion des services d'assistance est
un
logiciel
applicatif qui permet le suivi de l'activité des
services
d'assistance dans des organisations vouées à ce type
d'activité (
centre
d'assistance, cellules d'assistance réparties,
centre d'appel,
...) et, répond à la norme ITIL.
L'expression la plus adéquate en anglais pour
désigner un logiciel de gestion des services d'assistance est Issue
Tracking System.
Idéalement, un logiciel de gestion des
services
d'assistance devrait couvrir l'ensemble des processus d'
ITIL
Service
Support. Cette exigence est déjà présente dans la
version 2 de la norme (ITIL V2). Elle est maintenue dans la version ITIL V3.
Il y a six domaines couverts par la norme, répartis en
un centre de service et cinq répartitions d'incidents :
· Centre de
services ;
· Gestion
des incidents ;
·
Gestion des problèmes ;
· Gestion
des changements ;
·
Gestion des mises en production ;
·
Gestion des configurations.
En pratique, beaucoup de logiciels disponibles sur le
marché ne se conforment pas complètement aux bonnes
pratiques
ITIL. Ils ne couvrent qu'une
partie du périmètre défini par ITIL, et ne gèrent
le plus souvent que les problèmes (ou
bugs), sans
accès direct aux utilisateurs. Ce sont de simples
logiciels
de suivi de problèmes. De même, ils ne font pas la distinction
entre un incident et un problème : le même problème
(panne d'un serveur) pouvant se répercuter sur de multiples utilisateurs
en autant d'incidents. Dans ce cas, ce ne sont pas de véritables
logiciels de gestion des
services
d'assistance.
3.3.ÉLABORATION DES
MANUELS ET DE LA DOCUMENTATION DU LOGICIEL54(*)
Une documentation pour
logiciel efficace aide les utilisateurs du logiciel à comprendre ses
fonctionnalités, ses fonctions et à exécuter des
tâches spécifiques. Pour les rédacteurs techniques, la
question est de savoir comment le faire exactement, tout en écrivant
pour des utilisateurs avec très peu ou pas de connaissances techniques ?
En voici quelques consignes pouvant faciliter l'adaptation de
la documentation de logiciel pour la rendre plus attrayante pour les usagers
:
1. Comprendre les
raisons commerciales de vos documentations
Bien que la principale raison de réaliser des
documentations de programmes informatiques soit d'aider les utilisateurs
à comprendre comment les utiliser, il y a plusieurs autres raisons
majeures. Une de ces raisons est d'aider à la commercialisation du
logiciel, au renforcement de l'image de la DPS, et plus encore, à la
réduction
des coûts d'assistance clientèle. Mais dans certains cas, la
documentation doit se conformer aux exigences légales ou à
d'autres réglementations.
2. Assurez-vous de
comprendre votre public cible
Dans de nombreux cas, les utilisateurs ont peu ou pas de
connaissances informatiques au-delà des tâches qu'ils
accomplissent avec leurs logiciels habituels. Cependant, il y a plusieurs
approches pour apporter des solutions à leurs besoins avec votre
documentation.
Prenez en compte les intitulés de poste des
utilisateurs potentiels du logiciel. Un utilisateur administrateur
système est éventuellement un expert pouvant travailler avec
plusieurs applications différentes. Mais un commis à la saisie de
données, peut n'être seulement compétent qu'avec le
logiciel qu'il ou elle emploie pour l'entrée de données.
Envisagez de discuter avec de nombreux utilisateurs potentiels
pour savoir si leurs intitulés de poste indiquent réellement ce
qu'ils font. Maîtriser l'art d'interviewer la cible éventuelle est
l'une des
compétences
dont vous avez besoin pour être un bon rédacteur technique.
Examinez les documentations existantes, en particulier celles
de versions précédentes de votre logiciel. Cherchez les
caractéristiques fonctionnelles, de manière à pouvoir
fournir des indications sur ce que les utilisateurs doivent savoir afin
d'utiliser le logiciel.
3.
CHOISISSEZ LES FORMATS APPROPRIÉS POUR VOTRE DOCUMENTATION
Plusieurs documentations sont structurées dans 1 des 2
formats suivants : le manuel d'utilisation et le manuel de
référence. Dans certains cas, une combinaison des deux formats
est plus appropriée.
Un format de référence est fait pour expliquer
les fonctionnalités d'une application (bouton, onglet, champ et
boîte de dialogue) et leur fonctionnement. De nombreux fichiers d'aide
sont souvent dans ce format. La plupart de ces fichiers d'aide sont une aide
contextuelle affichant une rubrique appropriée chaque fois qu'un
utilisateur clique sur le bouton d'aide sur un écran spécifique.
L'autre, le format manuel d'utilisation, est
dédié à la façon d'utiliser le logiciel pour
effectuer une tâche spécifique. Les manuels d'utilisation sont
généralement sous forme de PDF ou en version imprimée.
4. Faites-vous une
idée de la forme que la documentation doit prendre
La documentation du logiciel pour les usagers peut être
publiée sous plusieurs formes différentes ou une seule. La
documentation peut prendre la forme de manuels imprimés, documents PDF,
fichiers d'aide ou aide en ligne.
Chaque format est créé pour montrer à
l'utilisateur comment utiliser les différentes fonctionnalités du
logiciel. Il peut prendre la forme d'un tutoriel ou d'un guide pas à
pas. Certains fichiers d'aide et aides en ligne peuvent avoir des vidéos
de démonstration, du texte et des graphiques.
5. Utilisez l'outil
de documentation approprié
Il est facile de conclure qu'un logiciel de traitement de
texte comme Microsoft Word sera adéquat pour écrire n'importe
quelle documentation. Les logiciels de traitement de texte ne sont pas
conçus pour la rédaction de documentations techniques.
La
rédaction d'un manuel de qualité peut s'avérer être
le meilleur investissement réalisé par une entreprise, et il
est conseillé qu'elle soit faite avec un outil de création
d'aide.
CONCLUSION GENERALE ET
PERSPECTIVES
Nous voici au terme de notre
travail qui a porté sur « Le développement
d'une solution numérique pour la gestion des notifications et
sensibilisations en cas des maladies pandémiques dans une juridiction
sanitaire», cas de la Division Provinciale de la Santé de
Kinshasa, du 05 Mars 2021 au 22 aout 2021, dans le but d'informer et
sensibiliser la population cible en temps réels. Cela permettra de
résoudre le problème de manque d'information sur la
pandémie.
Tout au long de cette étude, nous avons relevé
un certain nombre de lacunes qui émaillent la notification et
sensibilisation en cas des maladies pandémiques au sein de ladite DPS.
A cet effet, pour mieux circonscrire le problème qui se
pose dans cette gestion, nous avons relevé les préoccupations
suivantes :
· Comment faire pour faciliter la notification et
sensibilisation en cas des maladies pandémiques au sein de la Division
Provinciale de la Santé en temps réel, au moment et à
l'endroit voulus ?
· Quelle technologie faut-il utiliser pour aboutir
à une meilleure solution numérique en temps réel ?
· Quel sera l'apport du nouveau système dans le
fonctionnement de la DPS-Kinshasa ?
Au regard de ce qui précède, nous avons
préconisé le développement d'une solution numérique
pour permettre la mise en place d'une technologie moderne visant à
faciliter la gestion des notifications et sensibilisation en cas des maladies
pandémiques.
Ce projet de fin d'études nous a été
bénéfique car il nous a permis de bien nous familiariser à
la programmation des applications web et mobile.
Néanmoins, nous envisageons améliorer cette
application en lui ajoutant d'autres plugins comme le call service et
intégrer d'autres API pour sensibiliser les utilisateurs qui n'ont pas
de smartphones et enfin, de pouvoir l'exploiter dans un but purement sanitaire.
En effet, si nous avons eu le mérite d'avoir
posé les jalons à travers la solution proposée dans ce
travail, d'autres chercheurs pourront s'en inspirer en vue d'entreprendre
d'autres recherches beaucoup plus enrichissantes et innovantes sur les cas
non-abordés dans le but de relancer gentiment la pérennité
scientifique.
Enfin, signalons également que la solution
proposée tout au long de notre développement n'est pas unique,
moins encore la plus commode ou définitive en dépit de son unique
finalité ; les remarques et suggestions seront les bienvenues pour
l'amélioration de ce travail.
BIBLIOGRAPHIE
1. Ouvrages
Anthony
Cosson(2018), Les fondamentaux du développement d'applications
hybrides, éd. ENI, Paris
Blaise Barré (2018), Concevez des applications mobiles
avec React Native : Développement, publication sur les stores et
stratégie marketing, éd. Eyrolles, Paris
Booch G., J. Rumbaugh et I. Jacobson (1999), Le processus
unifié de développement logiciel, éd. Eyrolles, Paris
BOOCH, G., RUMBAUGH, J. et JACOBSON I., (2000) Le guide de
l'utilisateur UML, Eyrolles, Paris
C. Morley, J. Hugues, B. Leblanc (2008), UML 2 pour l'analyse
d'un système d'information, Le cahier des charges du maître
d'ouvrage, InfoPro, Dunod
Chris J. Date (1998), Introduction aux bases de
données, 6è édition, Thomson International Publishing,
New-York
Claude CHRISMENT (2012), Geneviève PUJOLLE and Gilles
ZURFLUH, Base de données, éd. ENI, Paris
D. BOUYACOUB (2004), Pratique des systèmes
d'information, Eyrolles, Paris.
Di Gallo F., (2000) Méthodologie des systèmes
d'information-UML, édition Eyrolles, Paris
Fabrice
Neuman, (2016), Le guide pratique des tablettes Android version 6
Marshmallow, éd. Eyrolles, Lyon
G. Gardarin, (2000) Base de données, objet et
relationnel, éd. Eyrolles, 2è tirage, Paris
Galacsi, , (1989) Conception de bases de données :
du schéma conceptuel au physique, Dunod, Paris
Georges Gardarin,( 1993 )., Maîtriser les bases de
données, éd. Eyrolles, Paris
Gérard Pierre, (2008/2009)., Introduction à UML
2 : Modélisation orientée objet de systèmes logiciels,
éd. S2D-Paris,
Jean-Luc Hainaut, (1994)., Bases de données et
modèles de calcul, outils et méthodes pour l'utilisateur,
Inter-Editions, Paris
JL. HAINAUT, (2009) Bases de données: concepts,
utilisation et développement, Dunod, Paris
Joseph GABAY et David GABAY,(2008)., Mise en oeuvre
guidée avec étude des cas, éd. Dunod, Paris
KIYUNSA Bidum G. et SHOMBA Kinyamba S., (1995), Initiation de
recherche en Sciences Sociales, éd. PUZ, Kinshasa, p.41
Michael
Mc Caffery, (2017)., Développez vos applications multiplateformes
pour iOS, Android et Windows, éd. ENI, Paris
Miranda Serge et BUSTA J. M, (1986-1986)., l'Art de bases de
données, Tome 1 : Introduction aux bases de données, Tome 2 : Les
bases de données relationnelles, éd. D'organisation Paris,
Nazim
Benbourahla, (2017) Android 7, Les fondamentaux du développement
d'applications Java, éd. ENI, Nice
P. Roques, (2008)., UML 2 par la pratique, Études de
cas et exercices corrigés. Eyrolles, Paris
Pinto, et M. Grawitz, Méthodes en sciences sociales,
éd. Dalloz, Paris, 1971, pp. 20, 288, 423
Ronan
Chardonneau, (2017)., Concevez des applications Android pour mobile,
éd. ENI, Paris
Sylvain
Hébuterne,( 2018) Développez efficacement votre application
pour smartphones et tablettes, éd. ENI, Paris
2. Articles
MENDES FRANCE cité par jean LACOUTURE in Pierre
MENDES France Seuil, Paris, 1981, page 37.
Helmi GNICHI, Conception et réalisation d'une
application de gestion des marchés par appel d'offres au sein de
l'Entreprise Tunisienne d'Activités Pétrolières
« téléphone
intelligent » [
archive],
Le
Grand Dictionnaire terminologique,
Office
québécois de la langue française.
[PDF]
Commission
d'enrichissement de la langue française, « Vocabulaire des
télécommunications (liste de termes, expressions et
définitions adoptés) »,
Journal
officiel de la République française no 0008
du 11 janvier 2018 [
lire
en ligne [
archive]].
« Introduction
aux bases de données - SQL Facile ! » , sur
sqlfacile.com (consulté le 29 juillet 2021)
https://www.imagescreations.fr/developpement-application-mobile-ionic/
Co consulté le 15 nov 2021 à 23h58'
https://www.editionseni.fr/open/mediabook.aspx?idR=64d7c46eeb667a5857c40db4e2a5bf89
consulté le 15 nov 2021 à 00h02'
www.etu.info.unicaen.fr/ cliquet/dess/corba/doc-fr/node3.html,
23/12/2021
Vous
êtes déjà en 2020 : « Bientôt la
5G ! » [
archive],
zdnet.fr, 25
février 2011.
Le
marché du smartphone en 2012... [
archive],
Capitole Mobile.
L'empreinte
environnementale des smartphones s'alourdit" [
archive],
actu-environnement.com du 13 septembre 2017.
www.agencewebgram.com/2021/09que-signifie-ionic-framwork-et.html
consulté le 15 nov 2021 à 23h25
3. Notes de cours
M. BOKONGO, Notes du cours d'initiation à la recherche
scientifique, inédites, UPN, G1GI, 2015-2016
Boni KIBAMBE, Méthode de conduite des projets
informatiques, éd. Feu Torrent, Kinshasa, 2021, p.35
Charles KUTU, Support du cours d'évaluation des
projets, éd. Feu Torrent, Kinshasa 2014, p.18
Adolphe VUMA VUMA, Notes de Cours de recherche
opérationnelle, L1 BDD, ISIPA/Matadi, inédit, 2012-2013.
4. Webographie
www.Larousse.fr/Dictionnaire,
consulté Jeudi, 1er Août 2021
https://openclassrooms.com (consulté 7 Juin 2021
à 20h17)
https://www.universalis.fr/dictionnaire/developpement/
http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Solution/fr-fr/
https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/numerique/
https://codingthesmartway.com/ionic-5-project
structure/
https://fr.wikipedia.org/wiki/WordPress
le 12 mars 2021 à 16h35'
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/notification/55059
https://www.cnrtl.fr/definition/sensibilisation
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie
http://worldserver2.oleane.com,
14/05/2021
https://openclassrooms.com,
10/06/2021
http://www.commentcamarche.net, 21/01/2021
http://www.uml.org, 02/06/2021
http://www.developpez.com, 13/04/2021
http://www.bestcours.com, 21/05/2021
5. Dictionnaires et Autres documentations
ü Le petit Robert Dictionnaire alphabétique et
analogique de la langue française Normandie, Roto Impression, paris,
2012
ü 38 Dictionnaires indispensables
ü Microsoft Encarta Junior 2009 Collection
ü Jargon informatique version 1.3.6, 2006.
ü Dictionnaire français, le petit Larousse
illustré
ü Précis de grammaire française
ü Dictionnaire francophone universel
Annexes
TABLE DES MATIERES
Épigraphe
i
IN LOVE MEMORIAM
ii
Dédicace
iii
REMERCIEMENTS
iv
SIGLES, ACRONYMES ET ABREVIATIONS
vi
LISTE DES FIGURES
viii
LISTE DES TABLEAUX
ix
0. INTRODUCTION
- 1 -
1. CONTEXTE DU TRAVAIL
- 1 -
2. PROBLEMATIQUE
- 3 -
3. HYPOTHESES
- 3 -
4. ETAT DE LA QUESTION
- 4 -
5. CHOIX ET INTERET DU SUJET
- 4 -
6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
- 4 -
7. DELIMITATION DU SUJET
- 6 -
8. SUBDIVISION DU TRAVAIL
- 6 -
CHAPITRE PREMIER
- 7 -
GENERALITES THEORIQUE SUR LA TECHNOLOGIE MOBILE ET
LA TECHNOLOGIE HYBRIDE, WORDPRESS ET LES CONCEPTS DE BASE
- 7 -
Section 1 : TECHNOLOGIE MOBILE
- 7 -
§1Notions
- 7 -
§2 Les Smartphones et médias de
visualisation
- 8 -
§3 Web mobile
- 9 -
§4 Les navigateurs mobiles
- 10 -
Section 2 : Technologie mobile hybride
- 11 -
§1Description et Historique
- 11 -
§2Environnement De Développement Et
Technologie Utilisée
- 12 -
§3 Avantages de la technologie hybride
- 16 -
§4 Constituants d'application mobile hybride
(architecture)
- 17 -
Section 3 : Les concepts du sujet
- 19 -
§1. Introduction
- 19 -
§2. Définition des concepts
spécifiques :
- 19 -
§3. Définition des concepts connexes
- 20 -
CHAPITRE DEUXIEME
- 21 -
PRESENTATION DU CHAMP D'ETUDE, SPECIFICATION DES
BESOINS ET CADRAGE DU PROJET
- 21 -
Section 1 : Présentation de l'entreprise
d'accueil
- 21 -
1. ÉTUDE DE L'EXISTANT
- 21 -
1.1. Situation géographique de la
DPS
- 21 -
1.2. Aspect historique
- 21 -
1.3. Effectif Des Agents De Sante De La Ville
Province De Kinshasa
- 22 -
2. Mission de la DPS
- 23 -
1.4. ORGANISATION ADMINISTRATIVE DE LA DPS
- 24 -
Section 2 : Spécification des
besoins
26
§1 Analyse du cadre de l'étude
26
A) ORGANIGRAMME INFOSANn
26
B) Etude des documents
27
C) Recensement des documents
27
D) Description des documents
27
E) Moyens humains
30
F) Moyens matériels
31
§2 Cahier des charges
31
1. PRESENTATION DU PROJET
32
1.1. Contexte du projet
32
1.2. Résultats attendus
32
2. Expressions des besoins
33
2.1. Besoins Fonctionnels
33
2.2. Besoins TechniqueS
33
3. CONTRAINTES DU PROJET
34
3.1. Contraintes budgétaires
34
Section 3 : Cadrage du projet
37
3.2. Evaluation du temps et cout total du
projet
40
3.3. Coût et durée totale du
projet
43
3.4. Détermination du chemin
critique
45
3.5. Coût et durée totale du
projet
47
3.7. Diagramme de GANTT
48
CHAPITRE TROISIEME
50
MISE EN OEUVRE DU NOUVEAU SYSTEME
50
Section 1 : Modélisation
50
Section 2 : Implémentation
63
2.1 Présentation du matériel
informatique
63
2.2. Architecture de la solution proposée
65
2.3. Implantation de la base de
données
66
2.4. Interfaces graphiques de
l'application
69
2.5. Esquisse de la programmation faite
73
Section 3 : TRANSITION
75
3.1. Formation des utilisateurs
75
3.2. Mise en oeuvre d'un service
d'assistance
76
3.3. Élaboration des manuels et de la
documentation du logiciel
77
CONCLUSION GENERALE ET PERSPECTIVES
80
BIBLIOGRAPHIE
82
Annexes
86
* 1 KIYUNSA Bidum G. et
SHOMBA Kinyamba S., Initiation de recherche en Sciences
Sociales, éd. PUZ, Kinshasa, 1995, p.41
* 2 Pinto, et M. Grawitz,
Méthodes en sciences sociales, éd.
Dalloz, Paris, 1971, pp. 20, 288, 423
* 3
www.Larousse.fr/Dictionnaire,
consulté Jeudi, 1er Août 2021
* 4 Pinto et M. Grawitz,
Op. Cit, p. 51
* 5M. BOKONGO,
Notes du cours d'initiation à la recherche
scientifique, inédites, UPN, G1GI, 2015-2016
* 6
https://fr.wikipedia.org/wiki/Navigateur_mobile
* 7
« téléphone
intelligent » [
archive],
Le
Grand Dictionnaire terminologique,
Office
québécois de la langue française.
* 8
[PDF]
Commission
d'enrichissement de la langue française,
« Vocabulaire des télécommunications (liste de termes,
expressions et définitions adoptés) »,
Journal
officiel de la République
française no 0008 du 11 janvier
2018 [
lire
en ligne [
archive]].
* 9
Vous
êtes déjà en 2020 : « Bientôt la
5G ! » [
archive],
zdnet.fr, 25
février 2011.
* 10
Le
marché du smartphone en 2012... [
archive],
Capitole Mobile.
* 11
L'empreinte
environnementale des smartphones s'alourdit" [
archive],
actu-environnement.com du 13 septembre 2017.
* 12
www.agencewebgram.com/2021/09que-signifie-ionic-framwork-et.html
consulté le 15 nov 2021 à 23h25
* 13
https://mobiskill.fr/blog/conseils-emploi-tech/angular-vs-angularjs-quelles-differences/
consulté le 15 nov 2021, à 23h34
* 14
https://mobiskill.fr/blog/conseils-emploi-tech/angular-vs-angularjs-quelles-differences/
consulté le 15 nov 2021, à 23h35
* 15
https://www.it-swarm-fr.com/fr/css/quelle-est-la-difference-entre-css-et-scss/834127539/
consulté le 15 nov 2021, à 23h39
* 16
https://www.it-swarm-fr.com/fr/css/quelle-est-la-difference-entre-css-et-scss/83412725/
consulté le 15 nov 2021, à 23h42
* 17
https://firebase.google.com/docs/cloud-messaging/fcm-architecture
consulté le 15/nov/2021 à 23h49
* 18
https://fr.wikipedia.org/wiki/WordPress
le 12 mars 2021 à 16h35'
* 19
« Introduction
aux bases de données - SQL Facile ! » ,
sur sqlfacile.com (consulté le 29 juillet 2021)
* 20
https://www.imagescreations.fr/developpement-application-mobile-ionic/
Co consulté le 15 nov 2021 à 23h58'
* 21
https://www.editions-eni.fr/open/mediabook.aspx?idR=64d7c46eeb667a5857c40db4e2a5bf89
consulté le 15 nov 2021 à 00h02'
* 22
https://codingthesmartway.com/ionic-5-project-structure/
* 23MENDES FRANCE cité par jean
LACOUTURE in Pierre MENDES France Seuil, Paris, 1981, page
37.
* 24
https://www.universalis.fr/dictionnaire/developpement/
* 25
http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Solution/fr-fr/
* 26
https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/numerique/
* 27
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/notification/55059
* 28
https://www.cnrtl.fr/definition/sensibilisation
* 29
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie
* 30
https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/
* 31
https://www.wiktionnaire.fr./dictionnaire/fr/definition/jjuridiction/
23 juillet 2021 à 07h25'
* 32
https://www.linternaute.fr./dictionnaire/fr/definition/sanitaire/
23 juillet 2021 à 06h41'
* 33
https://www.caid.cd/index.php/sante/
* 34 Boni KIBAMBE,
Méthode de conduite des projets informatiques,
éd. Feu Torrent, Kinshasa, 2021, p.35
* 35 Charles KUTU, Support du cours
d'évaluation des projets, éd. Feu Torrent, Kinshasa
2014, p.18
* 36Helmi GNICHI,
Conception et réalisation d'une application de gestion des
marchés par appel d'offres au sein de l'Entreprise Tunisienne
d'Activités Pétrolières
* 37 Boni KIBAMBE,
Op.cit. p117
* 38 Adolphe VUMA VUMA,
Notes de Cours de recherche opérationnelle, L1 BDD,
ISIPA/Matadi, inédit, 2012-2013.
* 39 Boni KIBAMBE,
Op.cit. p.86
* 40 Charles KUTU,
Support du cours d'évaluation des projets,
éd. Feu Torrent, Kinshasa 2014, p.11
* 41
www.Larousse.fr/Dictionnaire,
consulté Jeudi, 24 juin 2021, 03 h31
* 42Wikipedia.org (consulté le 6 mai 2021
à 20h30')
* 43Julliard, F.,
UML Unified Modeling Language,
*
44https://openclassrooms.com (consulté 7 Juin 2021 à
20h17)
* 45Muller, A., et Gartner,
N., Modélisation avec UML, Université
du Québec 2009.
20 https://openclassrooms.com (consulté 7 Avril 2021
à 20h20')
* 46Di Gallo
Frédéric, Op. Cit, p.40
* 47 VILLEMIN, Y.,
Op. Cit, p.2
* 48VILLEMIN, Y.,
Op. Cit,, p.7
* 49 Bernardi
F., Méthode d'analyse orientée objet UML,
éd. Dunod, Lyon, 2002, p.9
* 50Di Gallo
Frédéric, Op. Cit, p.39
* 51
https://www.google.com/imgres?imgurlwww.fiverr.com%2Fumer_majeed92%2Fwrite-web-services-fro-your-android-or-ios-a,
consulté Jeudi 15/10/2021, 20h00'
* 52https://www.
ionicframework.com
* 53
https://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_de_gestion_des_services_d%27assistance
*
54https://www.helpauthoringsoftware.com/fr/articles/la-redaction-de-documentations-de-logiciels-pour-les-utilisateurs-comment-bien-la-realiser
|