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Objectif Terre

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par Sullivan DELEZON
ESG - Mastère 2017
  

Disponible en mode multipage

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MEMOIRE DE RECHERCHE APPLIQUEE MASTÈRE 1ère ANNEE

En vue de l'obtention du titre

MANAGER MARKETING ET COMMERCIAL

TITRE CERTIFIE NIVEAU I INSCRIT AU RNCP

DELIVRE SOUS L'AUTORITE DE L'ESGCI PARIS (JO du 16/06/13)

OBJECTIF TERRE

Par : Sullivan DELEZON

Promotion : 2016 / 2017

Nom du responsable de suivi : Mr Hervé NOTTET

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SOMMAIRE

INTRODUCTION

I. LE DEVELOPPEMENT DURABLE

I.A LES ORIGINES DU DEVELOPPEMENT DURABLE

I.B L'ENVIRONNEMENT ET LES HOMMES

I.C S'OFFRIR UNE NOUVELLE CHANCE ?

II. LES ENJEUX DU DEVELOPPEMENT DURABLE II.A.1 POUR LES GRANDS GROUPES II.A.2 POUR LES PME/TPE

II.B POUR LES NATIONS ET COLLECTIVITES

II.C POUR LE CONSOMMATEUR

III. LES INFLUENCES DU DEVELOPPEMENT DURABLE

III.A NOTRE MODE DE VIDE EN 1950

III.B A AUJOURD'HUI

III.C NOTRE DEVENIR

CONCLUSION ANNEXES

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INTRODUCTION

40 ans, c'est le temps qu'il a fallu pour éradiquer plus la moitié de la population animale sur terre. Le 8 aout 2016, c'est la date à laquelle nous avons épuisé toutes ses ressources pour l'année. Pour 2017, c'est le 2 aout, une date qui ne cesse donc de progresser, malheureusement, dans le mauvais sens. Les médias, les politiques, les multinationales, les PME, nous, chacun d'entre nous, a déjà évoqué le réchauffement climatique. Tout le monde en parle parce que chacun le sait, il faut réagir. L'environnement est depuis des années au centre des préoccupations mondiales. Effet de mode, réelles conviction, ou purement marketing, le développement durable est largement devenu un argument de vente fort pour chaque entité commerciale. Mais en quelques mots, le développement durable qu'est-ce que c'est ? Par définition, c'est une « forme de développement économique ayant pour objectif principal de concilier le progrès économique et social avec la préservation de l'environnement » Le développement durable est basé sur une économie Bleue, dite équitable sur l'ensemble des points résumant une population et son habitat.

Nous entrons aujourd'hui dans un véritable virage concernant l'écologie. Chacun se sent plus concerné que jamais, Les populations, en passant par les grandes entreprises, les petites, ou encore les collectivités, tout le monde est touché par l'environnement. Tout le monde est touché parce que c'est une préoccupation mondiale, si personne n'agit, c'est nous tous qui disparaissons.

Chacun se doit d'être impliqué directement dans la cause. Qui ne nous a jamais parlé de fermer le robinet lorsque l'on se brossait les dents, ou encore de mettre le verre dans la fameuse poubelle verte. Chaque acte citoyen est important, chacun des parties prenantes sont liés.

Comment la notion de développement durable nous est-elle venue ? Quelles en sont les sources et comment a-t-il été introduit dans notre quotidien ? Autant de question auxquelles nous allons répondre ensembles. L'engagement envers l'environnement est devenu un argument de choix auprès des entreprises. Comment ces dernières l'utilisent, et y'a-t-il vraiment de réels engagements au bout ?

La cause environnementale est un combat mondial, c'est pourquoi il réquisitionne, au moins chaque années, l'ensemble des plus grandes nations qui se retrouvent afin de parler de l'avenir de notre habitats et surtout sur les solutions à apporter pour inverser cette tendance qui ne cesse d'être revue à la baisse. Beaucoup d'acteurs engagés pour l'environnement sévissent également dans le monde, pour aller à l'encontre des plus gros pollueurs et non défenseurs de la nature. C'est le rôle important qu'on les Organisation Non-Gouvernementales dans le combat contre le réchauffement.

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Réels influenceurs, apporteurs de vérité, campagnes fortes de sens et de fortes convictions, c'est le rôle qu'on les ONG envers les consommateurs.

Les entreprises, les collectivités, les Nations, les ONG, multinationales, tous ont une seule cible, toucher le consommateur, la population mondiale développée, celle qui pollue. De multiples innovations existent et sont en cours d'innovation pour améliorer notre quotidien, de nombreuses nouvelles entreprises, avec une structure exotique, voient le jour. A l'heure du numérique, la rapidité d'information fait avancer chaque cause. Les secrets d'avant voient le jour avec l'avènement d'internet. Un libre accès à l'information donc dispose la plupart des êtres humains sur cette terre.

Notre comportement de vie, de par les nouvelles technologies, l'innovation, la rapidité d'information, et l'environnement évoluant très vite en se dégradant, doit être modifié. Chaque entreprise, nations, essaient de changer notre manière de consommer, notre façon d'acheter. Mais dans un contexte de développement permanant, la course au profit reste présente. Quand est-il de l'obsolescence programmée des objets, du gaspillage alimentaire gargantuesque des grandes surfaces ? Une lassitude donc fait part la population aux politiques. Bien que la population ait son rôle à jouer, aussi important soit-il, il faut que tous les acteurs s'accordent afin de permettre un mode de vie viable pour nous comme notre environnement.

L'ensemble des acteurs pour l'environnement se recentre tous sur le consommateur. Des méthodes de persuasion, stratégies marketing ou des lois qui nous dictent et nous influent sur la bonne marche à suivre.

Notre comportement a été modifié par la société de consommation. Que ce soit notre comportement d'achat ou bien notre mode de vie, en plus de nos habitudes, tous ces éléments ont évolués avec la sensibilisation pour l'environnement.

Certain adhère au projet mondial, d'autres pas, d'autres trop peut-être. Chacun vis différemment le virage environnemental. Entre manque de moyens, règles trop contraignantes, et je m'en foutisme, la population est aux coeurs des préoccupations mondiale. Comment les grandes institutions influent sur notre mode de vie par le biais de l'argument du développement durable ? C'est ce que nous allons étudier dans le mémoire suivant...

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I. LE DEVELOPPEMENT DURABLE

I.A. Les origines du développement durable :

L'origine du développement durable est apparue durant les Trente Glorieuses, période suivant la seconde guerre mondiale. Dans un contexte de guerre froide, c'est durant ces années que la croissance des pays développés a été la plus forte. Une course à l'innovation, une guerre à distance, une reconstruction après des années de conflits, l'ensemble de ses facteurs à mener à une course à la croissance, à savoir quelle aller être la nation la plus puissante et la plus rapide à se reconstruire une économie durable.

C'est dans les années 1960 que la question de la croissance et ses limites a été soulevée. En effet, une forte croissance induit forcement des effets secondaires, souvent indésirables mais à l'époque, encore méconnus. C'est alors que des spécialistes ce sont penchés sur l'impact qu'avait cette forte croissance sur l'environnement et la communauté mondiale. Les premières limites de cette dernières sont apparues des 1973 avec l'apparition d'un premier choc pétrolier, suivi quelques années plus tard, d'un second, en 1979. Ces deux n'ont pas étés anticipés, ce qui a fait grimper le prix de la barrique à des taux historiques, créant ainsi des réactions en chaine sur la globalité de l'économie mondiale.

Ces différents chocs en on conclut sur la méthode non durable de ce développement. En effet, ils ont mis en évidence que la perspective d'une croissance basée sur les énergies fossiles ne peut pas perdurer dans le temps. Une réserve limitée, démontrée par un exemple poignant : le 2 aout 2017, c'est le jour à laquelle la terre à épuiser toutes les ressources annuelles. Nous vivons donc à crédit, et cet exemple démontre encore plus la non durabilité de ces énergies fossiles. Que ce soit le gaz de schiste, le pétrole, les gisements de métaux rares, le charbon... L'ensemble de ces énergies, non renouvelables, donc non durables, emmènent forcément à une rareté et donc, à une flambée des prix un moment où ce dernier est en reste.

Au point de vue sociétale, démographique, les spécialistes ont pu observer l'agrandissement des inégalités riches/pauvres. De manière logique, ce sont les pays les plus développés tels que les Etats-Unis, les grandes puissances européennes, l'URSS ou encore le Japon qui on profiter de ces 30 glorieuses. (Ce sont également les pays qui ont étés par le passé le plus impacté par la seconde guerre mondiale, tant économiquement qu'humainement. Ces inégalités ont des conséquences, là encore, la croissance à ses limites. Au fil des années, il est de plus en plus difficile d'atteindre une homogénéité économique, comme le laissait croire une utopie des années 50. Les inégalités ne cessent de s'accentuer. Un équilibre entre les nations est donc de plus en plus difficile à être réaliser, ce qui

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apporte donc des tensions géopolitiques. Ces tensions apparaissent bien sur entre les pays riches et pauvres, mais aussi entre les pays riches. Certain veut rétablir un certain équilibre économique et social entre les différentes nations, pendant que d'autres n'ont que faire et reste focaliser sur un seul et unique objectif : être en tête de la course à l'innovation. Ces différentes stratégies, déséquilibres ; chaque nation aura son terme pour définir la situation à l'époque, sont forcément sujet à conflits. C'est donc dans ce contexte d'innovation, de croissance continue, que de multiples tensions apparaissaient. Ces dernières laisseront d'ailleurs place à une guerre froide, une guerre fantôme entre les plus grandes puissances mondiales, principalement entre les Etats Unis d'Amérique et l'URSS.

Le développement durable est une notion endiguant 3 points clés cités plus haut, ces 3 menant à un équilibre, que l'on appellera par la suite, « Durable ».

C'est à Rome qu'a débutée l'appréhension que cette croissance pouvait avoir envers l'environnement. Le premier rapport du Club de Rome, en 1972, mettait clairement en évidence, de façon prononcée et donc peu crédible à l'époque, la chute d'une économie prévue pour l'an 2100. Ce qui apparaissait comme une dystopie en 1972 s'est pourtant confirmée au fil des années. De façon plus précise, ce rapport mettait en évidence que la poursuite d'une telle croissance, sans agissement extérieurs, entrainement sans aucuns doutes une baisse brutale de la population due à une explosion de la mortalité, un appauvrissement généralisé des sols cultivables ou encore de la perte des ressources énergétiques. Tout cela, dus à la pollution grandissante.

Ce rapport apocalyptique n'a bien sûr pas eu l'impact voulu, surtout en période de forte croissance. Chacune des puissances ne pensant qu'au profit et à la première marche du podium économique, il n'en avait que faire des impacts que celui-ci aurait-il pu avoir sur le long terme.

Cependant, en 1973, avec l'apparition de la première crise pétrolière mondiale, c'est à cet instant que le premier rapport publié prend une certaine valeur et apporte une prise de conscience générale, sans trop de répercutions ni de mesures sérieuses pour le moment.

C'est à la fin de la décennie de 1970 et au début des années 1980 qu'une réelle prise de conscience s'oeuvre. En effet, les drames environnementaux se multiplient, « Olympic Bravery, Amoco Cadiz, Seveso, Boehlen, Three Mile Island... » Tous ces évènements, relayés sur chaque plateformes multimédia, que ce soit radio ou télévision, on fortement marqués l'opinion public envers l'environnement. Une relation entre le développement, la croissance, et la pérennisation de notre planète se met alors en place et entre progressivement dans les consciences de chacun.

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Suite à cette suite d'évènements industriels et environnementaux tragiques, une commission mondiale sur l'environnement et le développement est dès lors mise en place par l'Organisation des Nations Unies. C'est en 1983 qu'elle se tient lieux. Soutenue par près de 22 pays, 23 personnes sont alors à l'oeuvre afin de trouver des solutions ensembles pour lutter durablement contre la détérioration lente mais certaine de notre habitat.

Sous la direction de Gro Harlem Brundtland, la première ministre de Norvège, un programme est défini afin de comprendre les enjeux et de les faire respecter par chacun des parties prenantes. L'objectif ultime de cette convention ayant pour but de définir un programme de coopération multidisciplinaire qui sera adopté par chacune des nations présentes (les plus importantes) afin de pallier à ces problèmes environnementaux.

C'est au regard de plus de 3ans d'études, de sondages, d'analyses, qu'une synthèse mettant à profits l'ensemble des parties prenantes (ONG, population, gouvernements, multinationales...) regroupant l'ensemble des aspects, au travers l'ensemble des activités polluantes et nocives pour l'environnement, que le rapport « Our Common Future » est édité.

C'est donc par la suite de ces évènements tragiques, en 1987, que le concept de développement durable apparait. Lors de la première commission mondiale sur l'environnement et de l'Organisation des Nations unies que la notion de « développement durable » a été citée. Plus précisément, c'est à l'intérieur d'un rapport dénommé le « Rapport Brundtland », plus communément appelé « Notre Avenir à Tous » que la notion est apparue au grand public.

Ce dernier défini en un schéma simple ce en quoi le développement durable consiste. Une phrase issue de ce rapport indique que c'est un « un développement susceptible de satisfaire les besoins de la génération actuelle sans compromettre la possibilité pour les générations futures de satisfaire les leurs »

Le principe : Concilier 3 aspects essentiels en un seul. Ces 3 aspect sont : Construire un environnement social non seulement équitable pour l'économie mais également vivable pour l'environnement. Considérer une économie à la fois équitable mais aussi viable pour l'écologie. La fusion de ces 3 notions donne lieu à la définition même du développement durable : construit une

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économie équitable et viable, tant sur le plan de la croissance, la durabilité écologique, et l'égalité sociale.

I.B L'environnement et les Hommes :

L'écologie n'est pas un concept moderne, il a en effet été introduit dès 1866 par le biologiste et philosophe Allemand Ernst Haeckel. Étymologiquement parlant, il s'agirait de la connaissance de la maison, à savoir dans ce cas, la connaissance de notre planète : La Terre.

Comment parler de développement durable sans évoquer le mot « Géonomie » ? Ce terme, créer par un étudiant d'Haeckel, Grigore Antipa est apparu dès le début du XXème siècle, en 1909. C'est une science mettant en relation la société humaine dans sa globalité et l'environnement qui l'entoure : la Terre. Ce terme met en avant la notion de « Gestion de la Terre ». L'homme a depuis tout temps voulu dominer son habitat, avant même de le comprendre. Cela à commencer très tôt dans le Danube et la Mer Noire par le Roi Carol 1er de Roumanie. Ses études on consister à accroitre le potentiel biologique de ces deux endroits, pécher de façon plus intelligente, en endiguant tout obstacle non nécessaire aux besoins de la terre mais pourtant présents. Un exemple : les moustiques. Le roi avait en effet réussit à diminuer la population de moustiques tout en augmentant les biomasses à l'intérieur de l'eau, favorisant ainsi la reproduction animale. Ce sont les premières esquisses de Géonomie, qui nous permet de gérer notre « maison » tout en la respectant, qui laissera ensuite place à de nouvelle méthodes, plus modernes, comme les barrages et autres détournements de fleuves au profit de la nature et de la richesse naturelle. C'est un véritable concept, à dissocier de l'urbanisme ou encore la géographie. Il consiste à étudier l'occupation des sols avec toutes les influences possibles, c'est une science de l'organisation de l'espace qui repose sur 3 aspects : sociologiques, géographiques et économique. C'est avec cette notion qu'apparaissent les premières démarches envers l'environnement et la durabilité de ce dernier.

Depuis tout temps, l'homme n'a cessé d'évoluer. Il y a 800 000ans déjà, l'homme modifiait son environnement, l'ère du feu a permis à ce dernier à contrôler un élément et de l'utiliser à sa convenance, lui créant ainsi l'opportunité de s'alimenter avec des produits cuits, beaucoup plus nutritives, et de ce fait, devenir un prédateur pour la faune et la flore.

Plus tard, il y a maintenant près de 8000ans, ce sont de nouvelles techniques, de nouveaux savoir qui ont été maitrisés. A l'ère du néolythique, l'homme s'est sédentarisé et à commencer à cultiver les

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terre. Le développement de l'agriculture à bien sur eu un impact poignant sur les biotopes. L'agriculture à permit à l'espèce humaine une occupation de son espace, s'élargissant toujours plus, défrichant toujours plus également. Cette ère marque le début d'une influence certaine qu'à l'homme sur son milieu de vie.

Plus tôt, il y a maintenant près de 200ans, c'est la révolution industrielle qui a totalement modifié le rapport que nous avions pour notre planète. En effet, bien que période la plus importante de notre temps, celle-ci a eu, et à encore, une énorme influence sur notre environnement dans sa globalité. Cette révolution à apporter à l'homme, entre autres, la capacité d'extraire d'autres sources d'énergies, différentes de celles du feu ou de l'eau, jusque dès lors, bien connues. L'opportunité d'extraire et de produire différentes énergies, aujourd'hui indispensables à notre « survie ». Parmi elles, on retrouvera bien sur l'énergie électrique, l'énergie fossile ou encore, l'énergie fissile, issue de la fission, qui n'est autre que la production des centrales nucléaires, aujourd'hui décriée. Le développement de ces nouvelles énergies a eu un impact certain sur notre développement. Accroissement de la productivité, population grandissante de manière exponentielle, cette révolution est sans aucun doute la plus importante de notre temps. Cependant, un progrès n'est jamais sans mal. En effet, durant les 2 derniers centenaires, on retrouve une extinction massive des différentes espèces présentes sur Terre, concernant et à la fois à la Faune, mais aussi la Flore. On estime aujourd'hui que le taux d'extinction est jusqu'à 1000 fois supérieur si l'on compare celui-ci il y a quelques 200 millions d'années, avant les premières apparitions de l'homme sur Terre. En effet, aujourd'hui, c'est trois quarts de la flore qui est en danger, un quart des mammifères, 1 tiers pour les amphibiens et 1 oiseau sur 8 tendrait à disparaitre dans les prochaines années si l'expansion suit son cours et qu'aucune solution n'intervient.

Depuis une cinquantaine d'année maintenant, les hommes sont donc sensibles au réchauffement climatique et la pollution. Des solutions sont apportées mais elles ne sont encore qu'à un stade primaire, des esquisses. Voyons quelques solutions pour pallier justement à ce réchauffement climatique et cette situation, maintenant, critique, dans laquelle nous sommes.

I.C S'offrir une nouvelle chance ?

De nombreuses solutions existent déjà pour du moins, ralentir ce réchauffement climatique et cette pollution grandissante.

Le GIEC est un groupe d'analyste qui a été introduit lors des premiers sommets mondiaux pour l'environnement, c'est une équipe qui, par le biais d'études, analyse l'impact qu'ont les activités

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humaines sur leur environnement. Le dernier rapport du GIEC paru en 2014, juste avant la

conférence donc, dénonce les activités humaines, il annonce également que c'est un phénomène « sans équivoque et sans précédent ». Ils ajoutent également la probabilité de deux scénarios :

? Un scénario « émetteur » qui démontre que, sans actions ciblée pour l'environnement et pour la lutte contre la hausse de la température, si en reprenant l'exemple de consommation de nos vingt dernières années, on estime en 2100 une hausse de 4 à 5°C la température ambiante.

Résultats ? Pluies acides, couche d'ozone amoindrie, acidification des fleuves, mers et océans, perte de biodiversité, déficiences en eau et nourriture...

- Un second scénario, dit « sobre » mettant en oeuvre lui les différentes actions définies mises en places par les différents Etats permettraient de Stabiliser le réchauffement climatique en dessous des 1.5°C pour l'ouverture du prochain centenaire, température prise à la période de l'ère industrielle, entre 1861 et 1880. Un objectif sur le très long terme, fort de sens de par la difficulté à l'atteindre. Objectif d'ailleurs qui avait déjà été évoqué lors de la conférence de Copenhague en 2009

Avec ce second scénario, les impacts ne seraient alors pas nuls, bien sûr, mais plus « supportables »

Tous ces éléments qui interviennent juste avant l'ouverture de la conférence de Paris ne font qu'impliquer plus l'ensemble des nations à l'idée de faire un réel effort envers le climat et dans sa généralité, envers l'environnement. Nous reviendrons plus en détail, et dans la création de ce groupe d'étude, et sur l'ensemble des conférences sur les climats et leurs impacts sur notre quotidien.

II. LES ENJEUX DU DEVELLOPEMENT DURABLE

Différentes stratégies de communication s'organisent afin de toucher le grand public vis-à-vis du développement durable. Un argument de choix qu'il faut bien sûr savoir vendre et promouvoir.

La majorité des entités que nous verrons par la suite utilise une seule et unique stratégie de communication : la communication Pathos. La communication Pathos consiste à influencer le consommateur, le lecteur, l'auditeur, l'internaute, bref, l'individu visé, en faisant appel à son ressenti. Elle permet de toucher la personne de manière sentimentale, et dans ce contexte, la sensibiliser sur la gravité de la situation, démontrer que l'entité promu est un acteur majeur pour l'environnement afin

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de faire adopter cette dernière par la cible. Nous le savons, chaque être humain est touché par le réchauffement climatique et chacun se sent directement impliqué. Par le biais de la communication Pathos, un sentiment fort est véhiculé au travers les différentes campagnes et méthodes de fonctionnement des entreprises.

PATHOS ETHOS LOGOS

Afin de prouver les dires et démontrer que les actions sont bien réelles, de nombreux chiffres et preuves en images sont également présentées, ces dernières font appel au Logos. Des preuves intangibles, des chiffres concrets, par exemple, les nombres d'arbres replantés, le CO2 réduit, l'oxygène produit... Une multitude de données chiffrées qui vont rassurer le consommateur et vont permettre à l'entité de convaincre pleinement son auditoire.

Les personnes célèbres sont également les ambassadeurs les plus importants envers l'environnement, montrer au monde entier que Bill Gates redistribue 95% de ses bénéfices au profit d'action humanitaire est une bonne opération pour Microsoft, qui est donc, au travers chaque consommateur, un acteur engagé pour l'environnement.

L'écologie, un argument de vente, mais aussi des obligations.

II.A.1 Pour Les grands groupes :

Nous pouvons déjà parler de grands groupes lorsque l'on évoque Tesla. La jeune entreprise créée seulement depuis 14ans est un acteur incontournable du virage écologique. Tesla, c'est aujourd'hui près de 238 000 véhicules livrés en seulement 5ans. Un investissement colossal à la création qui permet maintenant à la marque d'être valorisé aux alentours de 35 milliards de dollars, un véritable modèle de réussite.

Qui dit développement durable, dit écologie, qui dit écologie, dit environnement, environnement, foret, foret, bois, bois, Ikéa. Qui n'a jamais franchi les portes de l'entreprise Suédoise, ou même, qui ne possède pas un élément de mobilier ou de décoration issus de la marque aux noms de produits plus

étranges les uns des autres. L'entreprise communique énormément sur son implication dans le développement durable et la préservation de la planète. En effet, Ikéa est le plus gros consommateur de bois au monde, rien que ça. Alors s'il y en a un qui se doit de donner l'exemple, la question ne se pose même pas de qui doit le faire. Sur le site corporate, dans la charte même, il est indiqué que les meubles sont fait uniquement à partir de composite et donc, issu de bois jeune, pas plus de 10ans. Une communication qui a bien sur son impact et sa crédibilité lorsque l'on voit la taille de l'entreprise. Une économie verte, des cultures jeunes, sans cesse renouvelées, le plus gros consommateur d'arbres mais aussi, celui qui contribue le plus à la reforestation. Selon le site de la marque, en tout cas, c'est ce qui est prôné. Mais qu'en est-il réellement si l'on cherche plus loin ?

Un récent reportage sur France 2 à dénoncer de toutes autres pratiques. Certes Ikéa plante et coupe des arbres jeunes, qui ne dépassent pas les 10ans. Le principal souci, c'est que le géant suédois, vu les volumes demandés, ne peux pas s'auto-suffire en matière premières. Il fait donc appel à de la sous-traitance, sous-traitance pour la production de ses meubles en délocalisant des usines de productions, mais aussi de la sous-traitance dans leurs usines pour la fourniture de matières premières. La réalité est difficile à voir, sur les images, on peut facilement voir des camions remplis de jeunes arbres, jusque-là tout va bien, mais l'on voit très vite arriver aux portes des usines, des files de semi-remorques chargés de bois cinquantenaires, lorsqu'il ne sont pas centenaires. Attaquée, l'entreprise se dédouane de toute responsabilité en stipulant que la responsabilité d'Ikéa n'est pas remise en cause puisque l'entreprise ne peut en aucun cas contrôler les agissements de ses sous-traitants. Une défense bien maigre face à l'un des plus gros acteurs pour, et contre l'environnement.

Le bilan ? C'est toute la forêt Roumaine qui est en train, à son tour, de disparaitre. A l'heure actuelle, c'est plus d'un quart de celle-ci qui se retrouve dépourvue de toute nature, le tout en moins de 20ans.

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Un autre exemple poignant d'un grand groupe, qui soulignera plus tard mes réflexions, Coca-Coca. C'est LA marque de soda, 7 milliards de personnes ont bu ou déjà entendu le nom de la multinationale. En quelques chiffres, c'est 126ans d'expérience, un chiffre d'affaires de 46 milliards de Dollars en 2014 et 700 000 employés directs au travers le monde. Mais c'est aussi, et malheureusement, 10 000 litres d'eau par seconde qui sont consommés. Cette dernière donnée est accompagnée d'une autre, qui

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touche directement le Mexique. En 2004, une seule usine mexicaine a utilisé quelques 107 millions de litres d'eau, l'équivalent de la consommation d'un cinquième de million de personnes. Depuis cette année, l'eau est devenue plus chère, au Mexique, que le soda. La multinationale, en plus de consommer des quantités astronomiques d'eau, pollue la plupart des courants d'eau à proximité des usines, c'est-à-dire sur l'ensemble du territoire Mexicain.

Le Mexique reste le pays le plus touché par cette multinationale, autour du monde, l'entreprise à bien-sûr un impact, mais dérisoire face au désastre qui opère en ce moment même. Avec une consommation si grande, l'entreprise se doit d'adopter une stratégie très complexe afin de conserver une bonne image de marque, indispensable pour perdurer. La marque possède une multitude de site, chacun ayant un rôle bien défini.

On retrouvera parmi eux :

- Le site corporate : http://www.coca-colacompany.com/

- Le site vitrine : https://www.cocacola.fr/

- Les très nombreux autres, non officiels

Sur le site national, une tendance très jeune, actuelle et novatrice dans l'architecture. Nous avons l'impression de naviguer sur un blog ou un réseau social. On commence par une bannière, puis étrangement, une vidéo Youtube d'une musique de Møme, grande chanteuse actuelle ayant un grand succès chez les jeunes. On retrouvera en gros l'argument écologie : bouteille plastique 100% recyclée. Si l'on défile, les grands évènements organisés par la marque, les jeux concours, les interactions avec les internautes, pour finir à chaque instant, son Coca-cola, une introduction parfaite pour présenter la gamme. Pour finir, les réseaux sociaux, dans leur intégralité, le gros absent serait LinkedIn.

Le but principal de ce site, faire adhérer les jeunes dès le plus jeune âge à la boisson Coca-cola, le père Noël, les pubs télévisée ciblée entièrement sur le Pathos, chacun des efforts de communication vise directement les plus jeunes, qui iront naviguer où on leurs dit d'aller, sans fouiller plus loin.

Ainsi la magie opère, et la jeunesse adopte le Coca-cola. Pour ma part, je ne connais pas, dans mon entourage, un enfant n'aimant pas le Coca-cola.

Le site corporate, plus pointu, moins esthétique et non traduit s'étend un peu plus sur les actions écologique pour le développement durable et l'économie d'eau, d'énergie. Malheureusement, ou heureusement ? Caché au travers quelques onglets.

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L'entreprise sait, malgré sa mauvaise position écologique, très bien communiquer sur ses valeurs. L'image de marque est extrêmement forte, peut-être la plus forte du monde, c'est donc pour l'instant un pari gagné pour la multinationale. Cependant, les impacts sont jours après jours de plus en plus important, et il faudra une réaction plus importante qu'actuelle pour inverser cette courbe.

L'innovation et la recherche du profit sont les deux notions clés de ces grands groupes. Ce sont les plus gros impacteurs de l'environnement et il faut donc que ce soit eux qui donnent l'exemple et mènent la marche. Malgré des déficiences, nous pouvons largement nous accorder sur le fait que de réels efforts, couteux en temps et en argent, sont tout de même fait.

Chacune des multinationales, de par leur pouvoir, se doit d'être exemplaire, et chacun d'entre eux le font. Des différents domaines d'activités, des différents projets, programmes de développement, stratégies, chaque grand groupe montre l'exemple à la PME.

Le principal souci, c'est que ça n'est pas encore assez pour inverser la tendance et les chiffres le prouvent, nous épuisons de plus en plus la planète au fil des années. C'est l'ensemble des acteurs qui doivent jouer un rôle clé, les multinationales jusqu'à nous.

C'est envers l'ensemble des grandes marques que les nouvelles contraintes pour l'environnement sont adressées. Du moins principalement, puisque c'est eux qui sont responsable de la majeur partie des dégâts sur Terre. Ce sont les gros industriels, les compagnies nucléaires et autres multinationales à la recherche du profit qui impactent le plus l'environnement. Malgré tous, il ne faut pas se limiter seulement aux plus grosses entreprises. Au travers l'exemple des grands groupes, l'intérêt est de le dupliquer sur les plus petites entreprises qui, rassemblés, ne sont absolument pas négligeable dans le poids des émissions de gaz à effet de serre.

Les Petites et moyennes entreprises ont donc, au même titre que leurs, un rôle à jouer dans cette bataille contre le climat.

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II.B.2 Pour les PME/TPE :

Les petites entreprises sont l'un des acteurs majeur pour le développement durable, nous distinguerons les PME/TPE des start-ups innovantes qui actent pour une économie plus durable, une économie Bleue.

Dans un contexte économique difficile, ce sont les TPE et les PME qui souffrent le plus. Dès lors, chaque argument jouant de la proximité est un atout de choix pour chacune des entités. On le voit de plus en plus, préférer le local, c'est la bonne chose à faire. Argument commerciale ou réalité sincère ? L'on trouve malheureusement des deux. Certaines entreprises disent privilégier le local, en font même leur premier argument de vente, seulement, cela se passe uniquement en façade, dès que l'on creuse un peu la question, on peut trouver toute autre information, parfois déplaisante. Un exemple poignant, je m'en suis rendu compte de moi-même en faisant mes emplettes dans les marchés. Les marchés, quoi de plus local et proche que nos producteurs venus de villages alentours ? Local sur le papier, mais pas forcément dans la réalité. Je me suis rendu sur le stand d'un producteur de charcuterie disant également élever ses propres poules, en plein air, et en faisant très largement cette promotion et ce gage de qualité. « Mais oui M'sieur, que du local, chez nous tout est local, rien d'industriel, que du bon ! » Connaissant légèrement ce milieu, je me suis donc permis de prendre l'un des oeufs en main. Après une légère analyse, on pouvait voir inscrit sur l'oeuf un petit numéro, le numéro 3. Sa signification ? Des oeufs issus d'un élevage industriel, un élevage de poules élevé en batterie et entassée les unes sur les autres. On est dès lors bien loin du décor campagnard jonché par les poules en liberté qui profitent du soleil et du plein air. Ne voulant pas ébruiter la chose mais n'en pensant pas moins, je me suis alors éloigné du stand dans un mot. Je n'ai eu qu'à faire 2, soit disant éleveurs, pour trouver un vice sur les produits, ce dernier producteur profitant de l'ignorance de sa clientèle.

Faut-il généraliser cette situation ? Je me donne le droit de dire que non, mais à présent, que croire ? Est-ce qu'il faut vraiment faire confiance à l'ensemble des producteurs dit locaux ou faut-il toujours se méfier. Après tout, le commerce reste du commerce, la course au projet reste bien présente, et celle du profit persiste. Beaucoup de producteurs locaux exercent leur métier de façon honorable, seulement, quelques-uns d'entre eux ternissent l'image du petit paysan qui vend son authenticité avant tout. Le local, la proximité, restent un argument de vente, encore faut-il que celui-ci soit réellement respecté. Soyons plus optimiste, les TMP/PME font la promotion du local du made in France, bien qu'il y ait certains vices, comme dans tout domaine d'ailleurs, les frais logistiques restent moindre comparé aux gros acteurs.

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Les start-ups sont quant à eux les principaux acteurs du projet envers l'environnement. Synonyme d'innovation, ces micro-entreprises, devenues pour certaines des multinationales (à l'exemple de Facebook, Google, Snapchat...) Le principal fil rouge de ces nouvelles entreprises, c'est l'innovation.

L'innovation dans les méthodes managériales, totalement repensées avec une structure horizontale, permettant une prise de décision plus rapide. Les start-ups évoluent sur des secteurs extrêmement dynamique, en constante évolution. Le mot d'ordre qui règne est donc celui de la réactivité.

La promotion du local est aussi réalisée par les start-ups. On retrouve dans le milieu une entreprise encore naissante : Co'Fret. Cette entreprise à vue le jour lors d'un concours Aviva et lors des weekends start-up, elle a été récompensée de par son fort caractère novateur et surtout, sa capacité à promouvoir le local et donc, réduire ainsi les émissions de CO2, réduire les frais de logistiques, pratiquant donc une économie durable et bleue. Leur concept à eux a été de créer un drive mobile. Elle offre la possibilité à chacun des consommateurs de se faire livrer dans un rayon de 5km autour de leur domicile ou leur lieu de travail en mettant les produits à l'intérieur de casiers. (Casiers qui sont apparus eux aussi par le biais d'une start-up Allemande, qui se démocratise de plus en plus, en Europe et sur l'ensemble de la planète. Les producteurs locaux livrent alors les biens aux salariés de l'entreprise, qui elle-même, redistribuera les achats dans les casiers, le tout, à VELO ! Zéro émissions de CO2 pour une prestation à domicile, un parfait exemple de local et de développement durable.

Le développement durable étant maintenant au centre des préoccupations mondiales, beaucoup d'entre elle se concentre sur ce segment, avec toujours ce même mot d'ordre, l'innovation. On retrouve par exemple

Ecosia. L'objectif de cette dernière ? Concurrencer directement Google avec son propre moteur de recherche permettant de rendre la planète plus verte. Le concept ? Planter des arbres en faisant des recherches.

Ecosia dédie 80% de ses bénéfices à la reforestation de la planète concentré plus particulièrement dans 4 pays, les 4 les plus touchés : Madagascar, Burkina-Faso, Pérou et Indonésie. Aujourd'hui, c'est déjà près de 8 millions d'arbres qui ont déjà été plantés grâce à ce moteur de recherche. Faisant ainsi du développement durable, l'argument premier du moteur de recherche novateur. Son objectif est de planté au total près d'un milliard d'arbre d'ici 4ans. Objectif qui parait atteignable lorsque l'on voit la croissance à deux chiffres de cette jeune entreprise Allemande. Le système comporte tout de même des limites, aidé par Bing et Microsoft, il reste tout de même moins performant et réactif que le géant Google, mais permet d'impliquer chaque internaute dans la reconstruction de notre monde, il se

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pourrait donc dans un futur proche, que ce moteur de recherche soit privilégié vis-à-vis du géant américain. Le moteur de recherche novateur utilise très largement le système de communication Pathos pour trouver de nouveaux clients. Elle communique sur les opérations mise en place dans les pays les plus touchés par la déforestation et créer donc de véritables ambassadeurs de l'entreprise. Avec les chiffres à l'appui (8 (millions d'arbres, 4 pays, des millions d'utilisateurs...), Ecosia met en avant ses actions et fourni des informations prouvant l'intérêt d'utiliser son moteur de recherche plutôt qu'un autre. Avec ces preuves, c'est la communication Logos qui est clairement mise en avant et de ce fait, l'utilisateur se retrouve directement impliqué dans la reforestation et est ainsi motivé à l'idée de recommander le site et surtout, de perdurer son utilisation au détriment de Google.

Ces nouvelles entreprises touchent directement le public en proposant des solutions innovantes pour endiguer le réchauffement climatique.

Les TPE et PME dites plus « classique », qui inclut les 3 segments généraux que l'on retrouve :

- les secteurs primaires, centrée sur l'extraction de ressources la pèche, minage ou l'agriculture.

- Secondaire : la transformation de ressources naturelles (pétrole, bois) et technologiques

(aéronautique, électronique).

- et tertiaire regroupant le tourisme la restauration le conseil et autres.

Hormis les start-ups ont une réelle implication envers l'écologie, et en font pour la plupart leurs cheval de bataille, les autres PME se voient contraintes, actrices parmi elles.

Les Taxes pour les pollueurs par exemple pour les transporteurs on marquer un véritable tournant dans le métiers en devant supporter une sortie d'argent importante, où bien, la 2ème solution, voulue par l'Etat, le réassort des flottes et l'achat de véhicules moins polluants. Moins de pollution, moins de taxes !

L'écologie, un argument de vente, mais aussi, beaucoup d'obligations et de contraintes. Une stratégie de communication propre à chaque entre entreprise, certain volontaires, d'autres, pour la majorité, sont provoqués par des obligations. L'écologie, c'est bien, être impliquer dans la cause est un des facteurs permettant de véhiculer une bonne image, mais ça coute cher.

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II.B. Pour les Nations et collectivités :

L'ensemble des parties prenantes, Grands Groupes, et collectivités sont touchés par les nouvelles législations en matière d'environnement. Bon nombre de jeunes entreprises se doivent d'arrêter leur activité à cause des coûts de retraitement, recyclage, ou autres processus amenés par de récentes normes, n'existant pas il y a quelques années.

Parmi les tournants majeurs en termes de législation, on retrouvera plusieurs évènements :

- 5 Juin 1972 : 1e Sommet de la Terre à propos du climat, en Suède

- 1982 : 2nd Sommet, 10ans plus tard, à Nairobi

Après ces deux sommet mondiaux, plusieurs conférences se sont déroulées, de plus en plus souvent, car le problème devenait de plus en plus important, et demandais donc une plus grande acidité sur la tâche. Tout d'abord, ces deux premiers sommet on posés les bases pour ce que nous appelons aujourd'hui, les conférences sur le climat : Les COP (Conférence des Parties). En effet, elles on permit d'instaurer au fil de ces années, plusieurs études qui démontrent comment agir pour le climat. On retrouvera parmi elles le Protocole de Montréal, en 1986, qui met en avant la préservation de la couche d'ozone et de ses conséquences si elle vient à disparaitre. Deux an plus tard, en 1988, c'est ONU cette fois, après une réunion des grands chefs d'état, qui créer une cellule spécifique à la préservation de l'environnement, le GIEC (Groupe intergouvernemental d'experts sur le réchauffement climatique). Avec ces experts et les études à disposition, le monde connait maintenant assez bien sa planète et ses habitants dans tous leurs aspects afin de pouvoir proposer les meilleures solutions, durables, et équitables pour tous.

- 1992 : 3ème Sommet, à Rio, qui marquera un grand tournant dans la bataille pour le climat.

La conférence de Rio est à cette époque, la plus importante jamais tenue. Elle a rassemblée plus de 2000 organisations non gouvernementales pour le climat et près de 173 représentants de nations. Un impact donc, qui sera certain sur la suite des évènements.

Après cette semaine de concertation, c'est un texte mettant en reliefs 27 grands principes. Principes qui sont basés sur l'implication même de l'homme, dans ses droits et ses obligations, pour sensibiliser chaque pays à l'environnement. Cette convention cadre surtout le besoin des nations à se rassembler chaque année pour parler du problème de notre ère, celui du réchauffement climatique et de l'appauvrissement des terres. C'est dans ce contexte, dont

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toutes les nations de son, ni impliquées, ni convaincues, que les premières « Conférences des Parties » voient le jour.

Au même temps de la création des COP, et à l'issu de cette conférence de Rio, un « Planning » est également édité, il s'agit de l' « Agenda 21 » c'est en réalité un plan d'action sur le long terme à utiliser durant le XXIème siècle en relation directe avec le développement durable. Cet agenda a pour but de jalonner l'intégralité des actions menée pour le climat, au niveau local, national, et mondial. Programme qui sera contrôlé et supervisé par l'ensemble des ONG impliquées directement dans les conférences pour le climat, et d'autres par des contrôleurs ayant une influence et des prédispositions à sanctionner au niveau mondial. Il a pour but des objectifs très distincts et clairs : Lutter contre les exclusions sociales et la pauvreté, lutter contre l'égalité des classes et des nations, produire des biens et services durables et bien sûr, en mettant au centre de ces activités, la préservation de l'environnement.

Puisqu'on le rappelle, le développement durable, repris directement du rapport Brundtland, est défini par 3 piliers : L'environnement, l'économie, et le Social, le développement durable, l' « Economie Bleue », se situerais donc au croisement de ces 3 notions. (Cf Image Page 5.)

Au milieu des nombreuses Conferences Of Parties, l'on en trouve qui ont forcément plus marquées que d'autres de par leurs bilan et les engagements qui s'en suivent :

- La COP 1 en 1995 à Berlin : La première, donc l'une des plus importantes, commence par l'accord des différentes nation présentes à la nécessité de se fixer des objectifs clairs et chiffrés concernant les limitations de rejet de gaz à effet de serre (CO2, Monoxyde...)

- La COP 3 en 1997 a Kyoto : Surement l'une des plus célèbres, celle qui a réellement démarrer les mesures pour endiguer le réchauffement climatique. Des âpres négociations, longues et lourdes, pendant 11 jours, aboutissement finalement à des objectifs chiffrés, par régions, par pays, pour limiter les gaz à effet de serre. 37 nations signent ce protocole les premiers jours, appelé protocole de Kyoto, qui sera encore révisé par la suite, pour arriver à un objectif de baisse de 5.2% d'émission de gaz comparée à 1990. Cependant, pour que le protocole soit validé et viable pour tous, il doit être approuvé par au moins 55 nations pour ne pas être caduque, l'échéance, qui marque aussi le début de ce programme, est fixé à 2005. En 2005, c'est au final 182 nations qui adopteront le protocole et ses engagements.

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- La COP 6 de La Haye, dans les années 2000, qui à rassemblée 182 nations : L'adoption réelle du protocole de Kyoto approche, et il y a encore des retissant, des réfractaires au programme. Les négociations stagnent, personne ne veut réellement s'engager sur les mesures précises à mettre en oeuvre alors que l'échéance de 2005 approche à grand pas. Les négociations sont dès lors stoppées pour faire face à une nouvelle COP 6, quelques mois plus tard, qui n'aboutira pas à plus. Surtout que, entre les 2 conférences, Georges W. Bush, alors élu nouveau président des Etats-Unis, annonce très clairement qu'il ne fera pas parti et ne signera donc pas les accords inscrits sur le protocole de Kyoto. Une grande nation, la plus grande du monde à cet instant, qui refuse un traité liant l'ensemble des principales nations mondiales. Bien heureusement, un accord est trouvé dans la COP 6 Bis envers le président des Etats-Unis, un accord qui ouvrira un « marché » sur les émissions de carbones entres les pays.

- Les COP 7-8-9-10 (Respectivement Marrakech (Maroc), New Delhi (Inde), Milan (Italie) et Buenos Aires (Argentine) ne sortent pas du lot, mais restent tout de même indispensables pour le début mais aussi, l'après Kyoto, en 2012. Il faut préparer Kyoto, mais aussi préparer l'après. Le protocole va s'accompagné d'un plan monétaire qui permettra de réduire les inégalités entre nations et de fournir des aides financières au pays en développement : c'est le Fond d'adaptation.

- La COP 11 en 2005, à Montréal : C'est la plus grosse conférence jamais organisée depuis ses débuts. Avec près de 188 nations représentées, le commencement des actions envers le protocole de Kyoto, c'est normalement la conférence la plus intéressante et décisive jamais menée, mais ça n'a en réalité pas été le cas. Alors que les objectifs et tâches ont étés clairement fixées depuis le début des conférences, c'est principalement sur la suite des évènements après Kyoto que Montréal s'est penchée. Sans grandes prises de décisions derrières... Une décision, floue et brève, qu'est ce faire perdurer le protocole après son échéance, en 2012.

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- La COP 15 2009 à Copenhague : Si les 3 précédentes Conférences n'ont pas eu d'impacts déterminants, c'est bien pour préparer la COP 15 de Copenhague. Celle-ci a en effet pour but principal de trouver une nouvelle ligne de développement. Puisque c'est cette dernière qui va fixer l'après Kyoto en 2012. A Bali, 2ans auparavant, des accords pour un après Kyoto sont alors conclus, l'année suivante, à Poznan en Pologne, 27 pays de l'Union Européenne s'engagent alors sur la réduction des émissions de CO2 pour l'après Kyoto. L'objectif ? Réduire de 20% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020, sur une base d'émission de 1990, un défi difficile à réaliser.

Jour J, 7 Décembre 2009, Copenhague. Au final, elle devait être la plus attendue pour les futures actions à menées. Les négociations déboucherons sur un unique accord, sans grand poids ni réelle décision, sur l'implication de chacun à trouver de nouvelles méthodes en rapport avec les nouvelles énergies. Sans aucunes mesures ni objectifs clairement fixées, d'ailleurs la Chine, comme les Etats-Unis, ne signeront pas cet accord envers les nouvelles énergies. Un fond d'investissements, sera tout de même adopter pour lutter contre la déforestation et la préservation de certains espaces dans les pays les moins développés. : Le Fond pour le Climat.

- COP 16 2010 à Cancùn (Mexique) : elle vise les valeurs de ce dernier Fond pour le Climat à hauteur de 100 Milliards de Dollars, mais rien de vraiment concret. Cependant, un accord important est conclu par l'ensemble des nations pour la suite des évènements : l'engagement de ne pas dépasser de 2 degrés Celsius supplémentaires la hausse de la température mondiale liée directement à l'activité humaine.

- La COP 17 de Durban (Afrique du Sud) : Elle marque un arrêt du Protocole de Kyoto, en effet, l'objectif de cette conférence à pour but principal de fixer les nouveau jalons pour établir un nouveau protocole, initié en 2015, qui ne sera actif qu'en 2020. Afin de gagner un peu de temps mais rester dans cette dynamique, le compte rendu de la conférence de Durban propose alors de continuer les normes engendrées par le protocole de Kyoto encore 8 années, de quoi attendre un nouveau protocole et son application, en 2020. Les accords sont signées, ombre au tableau, 3 nations refusent de signer la prolongation, à savoir le Canada, le Japon et la Russie. Déjà abandonnée par la Chine et les Etats-Unis quelques années plus tôt, le « nouveau » protocole de Kyoto est aujourd'hui dérisoire, puisque c'est seulement 15% des émetteurs de gaz à effet de serre qui sont engagés envers le protocole.

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- Les COP 18, 19 et 20 (Doha (Qatar), Varsovie, Lima(Pérou) : Elles préparent la prochaine grande conférence qui aura lieux afin de fixer les accords pour succéder à Kyoto : La conférence de Paris. Les enjeux remis en évidence : trouver des mesures contraignantes d'ici 2020, date qui clôturera le protocole actuel.

- La COP 21, le 30 Novembre 2015 à Paris : C'est à ce jour, la plus importante et la plus décisive jamais organisée. Avec des années de préparations, près de 195 nations représentées.

C'est la conférence de Paris qu'a permis d'aboutir l'un des plus grands accord qui engage l'intégralité des 195 nations.

Engageant l'ensemble de ces pays à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. C'est l'activité humaine est à l'origine du réchauffement climatique, c'est que montrent les différentes études du GIEC, groupe d'étude formée entre les 2 derniers Sommets du Climat, celui de Nairobi et Rio, en 1988. Les nombreuses études s'accordent sur le fait que les activités de l'homme sont « probablement » à l'origine de la hausse du mercure. Le dernier rapport du GIEC paru en 2014, juste avant la conférence donc, dénonce les activités humaines, il annonce également que c'est un phénomène « sans équivoque et sans précédent ».

Préparée depuis plusieurs conférence, c'est celles-ci qui doit donner la prochaine marche à suivre et continuer directement les efforts qui ont étés fait durant le protocole de Kyoto.

Cette conférence a eu pour finalité les objectifs suivants :

- Stabiliser le réchauffement climatique en dessous des 1.5°C pour le prochain centenaire. Pour ce faire, il faudrait alors que les émissions mondiales baissent de 40% à 70% d'ici la moitié de notre centenaire si nous voulons atteindre cet objectif. D'ici 2050, l'objectif serait de fédérer une économie mondiale pratiquement neutre en émissions de carbone pour arriver à l'augmentation de 1.5°C entre 1861 et 2100.

- Produire vert, ça coûte cher, la conférence a pour but d'évoluer ces Fond d'adaptation en « Fonds Verts pour le Climat ». Rappelez-vous, durant les débuts de la COP, c'était 35 pays qui participais à la récolte de ces fonds pour permettre au pays en voie de développement d'investir dans les moyens pour réduire ces GES (gaz à effets de serre). C'est en 2015, près de

En quelques chiffres, les GES c'est :

22.7%

15.6%

10.9%

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195 nations qui investissent dans un même but, émettre de moins possible de gaz, et ce pour chacune des nations.

La conférence de Paris a surtout mis en évidence l'arrêt de tergiverser autour du pot sans trouver de réelles solutions. Elle demande alors à chacune des nations signant les accords la présentation de réels engagements au travers « L'Agenda des Solutions Durables ». L'avantage de cet agenda, c'est qu'il est mis en oeuvre par des organismes non gouvernementaux, et donc, non influencés par les politiques financières des pays, mais uniquement par les engagements tenus, suivis des résultats.

C'est donc les entreprises, les ONG ou encore les collectivités qui contrôleront et pourront dénoncer les signataires des accords en cas de non actions concrète, pourtant annoncée, envers l'environnement et l'économie durable.

A l'instar du second protocole de Kyoto, les accords de Paris ont eux, impliqué les plus gros acteurs mondiaux. Les plus gros émetteurs de GES. Les accords de Paris, après une réflexion longue de plusieurs mois, ont étés signés le 22 avril 2016. Partie des clauses, les accords se doivent d'être renouvelés tous les ans, c'est alors que le 22 avril 2017, il a été re-signé pour une durée d'un an supplémentaire à New-York, par au total, 175 nations.

Ces 175 Nations représentent à elles-seules près de 56.75% du total des émissions de GES.

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Tout le monde le sait, ces derniers mois, information a été au centre de toute l'actualité, l'élection de Donald Trump. Le nouveau présentent de la 1ère puissance mondiale a annoncé récemment son retrait des accords de Paris, selon lui, un élément perturbateur quant à l'évolution économique de son pays et également responsable du taux de chômage au sein du pays.

L'information à retentie comme une bombe pour les nations Unies et toutes les autres puissances mondiales. Lorsque l'on sait que les Etats-Unis sont responsables de plus de 15% des émissions des GES dans le monde, les accords de Paris perdent tout de suite de leur crédibilité. La crainte est de voir alors plusieurs nations calquer le comportement du président Américain. Pourquoi leur nation ferait des efforts à financer le développement durable tandis que d'autres se permettent de se développer au détriment de l'environnement ? C'est une question que peuvent se poser les différents chefs d'Etats et mettre alors en échec les accords de Paris.

- La COP 22 à Marrakech en Décembre 2016 : La dernière conférence à avoir eu lieu n'a pas vraiment fait évoluée ni concrétisée les accords de Paris, elle n'a que fait préparer le prochain sommet, là où seront décidées les règles d'application des accords sur le climat édités à Paris l'an passé.

La COP 23 aura donc lieu à Bonn, au siège de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Lieux emblématique qui a déjà rassemblé plusieurs nations, jusqu'à 190 pour les plus gros évènements. Conférence qui est par ailleurs organisée par les Iles Fidji, ces derniers qui n'ont pas pu assurer l'évènement dans leurs locaux par soucis de logements.

Cette conférence va donc, si l'on en croit les engagements de la COP 22, décider de plusieurs actions concrètes à mettre en oeuvre afin de tenir les engagements des accords de Paris. Que ce soit pour le réchauffement climatique, les inégalités, le développement de l'énergie renouvelable ou le Fond Vert pour le Climat, la COP 23 est attendue à tenir ses promesses et à engager la majorité des nations quant au programme à venir.

Autre détail, qui n'est est pas un, il faudra trouver une solution avec les Etats-Unis afin de les réaligner sur les devoirs et engagements de chacune des Nations. Si l'organisation ne trouve pas de solution pour réintégrer les USA au coeur des préoccupations mondiale, cela risque de compromettre toutes les opérations à venir et donc, la non-atteinte des objectifs fixés.

Des évènements qui réunissent les grandes Nations, mais c'est aussi les normes, brevet et Labels qui contraignent les entreprises.

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De nombreux Labels ont vu le jour ces dernières années. A la demande de l'entreprise, un Label permet, sous réserve d'entrer dans le cahier des charges, d'être montré comme un véritable acteur pour l'environnement ou la qualité des produits. Chaque Label à son importance, sa signification, et ça crédibilité également. Certain Label n'hésitent pas, avec l'attrait du profit, à accorder le logo sans réel contrôle. Alors comment reconnaitre un bon label d'un mauvais ? On ne peut pas sans s'être soit même renseigné au préalable. Parmi eux, on en retrouvera de très célèbres, et gages sincères de qualité et d'engagements de par les chartes vérifiées et de réels contrôles.

 

Le Label PEFC : Utilisé par Ikéa entre autres, il permet d'identifier les entreprises qui utilisent au moins 70% de leur bois en autosuffisance. Quand on connaît l'exemple d'Ikéa, ce Label, pourtant réputé, fait preuve de laxisme sur l'affaire Ikéa, on peut cependant s'y fier dans sa généralité.

Ecolabel : Celui-ci est délivré en France par Afnor Certification, un grand organisme. Label Crée en 1992, il intègre une approche globale du développement durable dans tous ces aspects : sociaux, économiques et écologiques. C'est un label de qualité, très difficile à obtenir car très règlementé. Un réel argument de vente pour les entreprises.

 

L'agriculture biologique est au centre des tendances d'aujourd'hui. Réelle prise de conscience ou effet de mode ? Le bio se développe de plus en plus, parce que son succès se développe lui aussi. En Moins de 10ans, la consommation de produits Bio a triplé. Le Label agriculture biologique est le label le plus recherché du moment dans le secteur alimentaire. Il prouve un gage de qualité et respectueux de l'environnement.

Dernier exemple d'influenceur : Energy Star. Cet organisme contrôle majoritairement les appareils électriques comme nos ordinateurs. Il atteste d'une consommation moindre des produits pour une consommation d'énergie réduire et une préservation de l'environnement.

 

Aujourd'hui, des solutions sont en train d'être trouvées, grâce à l'innovation. Des solutions pour leur majorité, urbaines, qui se font par le biais d'installation. Ces innovations voient le jour par des startup innovantes, à la recherche d'un demain meilleur et plus connecté.

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Quelques exemples de concept existant pour solutionner la diminution des GES :

- Depuis peu, Place d'Alésia, à Paris, les habitant et touristes ont pu observer cet été un

élément de décoration bien étrange. Ce dernier, c'est un Puit de Carbone. Au premier abord on pourrait penser à un Kiosque à journaux, et bien non ! Mis en place début Avril 2017, ce Puit, inventé par le groupe Suez, permettrait de remplacer en absorbions de CO2, l'équivalent d'un bosquet de 100 arbres. Le tout grâce aux algues à l'intérieur et à la photosynthèse.

- E-tree : C'est le nom de l'arbre du futur. Présenté lors de la COP 21 à Paris, cet arbre

multifonction est l'innovation urbaine par excellence. Plusieurs utilisations sont possibles avec cet arbre : Recharger son smartphone, son vélo, c'est aussi un point d'eau et accès Wi-Fi. Super connecté, il reste 100% écologique puisqu'il est autosuffisant en ce qui concerne l'électricité et en redistribue même à la ville. Des géants de l'industrie tels que Jean-Claude Decaux ou encore Google sont intéressés par l'innovation. Il se pourrait donc que l'on voit « pousser » de plus en plus de ces arbres dans nos villes.

- Innovation connue de tous, et qui séduit de plus en plus de collectivités : le Tramway.

Le Tramway est une bonne alternative au réchauffement climatique. La pollution dans les grandes villes augmente, le Traffic aussi, et donc les problèmes de circulations augmentent à leur tour. Innovation obligatoire, mais qui sait concilier l'écologie, le Tramway est instauré dans plus de plus de villes, c'est aujourd'hui près de 15% du transport en commun en ville. Ce qui en fait une vraie success-story. Suivent les petites navettes électriques. Dans les villes plus petites, où le développement d'un tramway n'est pas justifié, les communautés de communes adoptent une stratégie différente. Les Eco-bus, ou encore Libé-bus, à chaque ville son nom, mais une même utilisé, limiter les transports individuels au profit des collectifs.

Du mobilier urbain ludique, permettant de sensibiliser directement la population, voit aussi le jour. Un exemple, le vélo qui recharge votre smartphone. Branché à une dynamo, il permet à l'utilisateur de recharger son téléphone tout en faisant un effort physique. Une bonne manière pour sensibiliser aux économies d'énergies et pour l'habituer à faire du vélo !

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II.C Pour les Consommateurs :

L'ensemble de ces mesures, de ces innovations, nouvelles normes, développement de start-up... Tous ces aspects visent une personne, nous. C'est le bien-être de population mondiale qui est visée avant tout. Nous sommes le premier acteur pour l'environnement.

C'est à nous de réagir et accepter les changements qui s'offrent à nous. Beaucoup l'on comprit, à l'image par exemple de Blablacar, site et application mobile de co-voiturage. Le co-voiturage, une notion qui pouvait paraitre totalement invraisemblable il y a quelques années de ça. Aujourd'hui, Blablacar c'est près de 6 millions d'inscrits en France, 95% des annonces de co-voiturage, et plus de 20 millions d'abonnés au travers de 19 pays, pour une entreprise qui à vue le jour il y a 4ans.

Le co-voiturage est un concept récent que nous avons dû apprendre à intégrer dans nos vies quotidiennes. Nous sommes sollicités a mainte reprises sur l'importance du co-voiturage et le consommateur en est aujourd'hui très sensible.

D'autres décisions en rapport direct avec la COP 21 qui on eut une influence, les circulations. C'est surtout en région Parisienne que la contrainte apparaissait. Une contrainte énorme qui obligeait l'utilisateur à prendre, ou non, son véhicule au sein des portes de Paris en fonction de son numéro d'immatriculation. Législation très peu crédible puisque qu'un véhicule électrique peut être contraint à rouler tandis que la grosse cylindrée y sera autorisée.

Bordeaux, exemple de la ville moderne. Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a longtemps oeuvré au dynamisme et à l'innovation au sein de sa commune. Il a fait du transport son cheval de bataille et c'est ce qui fait de Bordeaux l'une des villes les plus agréables de France.

Les Cubs : Que ce soit les vélos, baptisés V-Cub, ou encore les Voitures, les éco-Cub, la ville à totalement restructurée son sens des transports. Avec ces innovations, liées au métro, tramway et navette, c'est près de 60% de la population Bordelaise qui ne se déplace pas en véhicule individuel la semaine.

Les collectivités doivent s'allier aux populations locales pour diriger des opérations d'urbanisation telles que le développement de vélo ou autres moyen de transports en partage. Un tel projet a également été testé pour la ville d'Aix en Provence. Malheureusement, aucune concertation avec les populations, le projet n'a absolument pas été un succès. Plusieurs facteurs jouaient contre ce dernier. Premièrement, le manque d'intérêt porté aux habitants, le projet a été fait à leur encontre. Puis, grosse erreur de la ville, le projet n'était pas viable au départ puisqu'Aix en Provence n'est pas une ville plate. Il est donc extrêmement compliqué d'avoir un flux constant de vélos à chaque endroits de stockage prévus. Seule solution : les vélos à assistance électrique aurait été une solution

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plus viable pour les utilisateurs, cela ne garantirait en aucun cas sa réussite mais en augmenterais les probabilités.

Certain vont pour les populations, d'autres à leur encontre. Malheureusement, c'est un aspect tellement important que les politiques se servent énormément de l'écologie, et certain extrémistes pro-environnement ne sont aussi pas assez pondérés.

Quand le développement et le progrès rencontre les protectionnistes, cela donne l'exemple du barrage de Sivens. Pas de dialogue, deux camps opposés, et une issue dramatique.

L'affaire du barrage de Sivens est l'un des évènements marquant pour l'environnement, de ces dernières années. On rappellera le dérapage policier envers l'un des manifestants qui protégeait le site de construction du futur barrage.

Alors dans ce cas, quelle solution choisir ? Dénaturer le paysage et produire une énergie tout de même plus propre. Cette solution va à l'encontre des principes de développement durable mais permettent cependant de remonter un peu la pente en matière d'énergie propre.

A la suite du drame, le projet du barrage de Sivens a finalement été abandonné par arrêté préfectoral le 7 décembre 2015. On ressent depuis cette affaire une certaine tension entre deux partis : les pro-écologistes et les pro-nucléaires.

La politique à toujours divisée, lorsque l'écologie et l'environnement devrait tous nous rassembler. Hors ça n'est pas du tout le cas, c'est encore aujourd'hui un sujet controversé.

C'est alors qu'interviennent l'état, les médias et les collectivités pour nous sensibiliser sur l'intégralité de notre mode de vie. Des conseils de la vie quotidienne, qu'il faudrait que chacun de nous respecte au mieux pour réduire ses GES. Tous cela dans la limite du raisonnable bien sûr, le but étant de réduire ses émissions. L'intérêt n'est pas de baisser son confort, il est juste de fournir des efforts supplémentaires.

Parmi eux, on retrouvera :

- Bien sûr, on mettra en première position le tri sélectif. Nous connaissons tous ces logo par

coeurs, la poubelle jaune, la verte, la bleue. Alors que toutes les entreprises produisent du recyclé, il serait très simple de faire une boucle parfaite entre déchets recyclés et retransformés par les industriels. Simple sur le papier, mais pas dans sa réalisation. Un déchet recyclé est plus cher à obtenir en moyenne qu'un plastique produit de toutes pièces. Une raison simple : des coûts logistiques énormes. Avant que la bouteille d'eau utilisée ne soit retransformée, elle doit subir un nombre d'étapes très important, trop important

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aujourd'hui pour être rentable. La principale, isoler uniquement la matière première à recyclée en évinçant l'intégralité des corps étrangés. Et c'est à ce moment-là que l'erreur de la population ressort. Le tri en interne des déchets recyclables est un coût énorme pour les collectivités et entreprises privées en charge. Ce qui est le plus dommage, c'est qu'en faisant plus l'effort du recyclage, nous optimiserons également notre redevance pour l'Etat. Les collectivités nous fournissent aujourd'hui assez de moyens pour mieux gérer nos déchets, à nous maintenant de prendre conscience de l'importance des enjeux en arrière-plan. Lorsque l'on sait qu'un morceau de verre met plus de 5000ans à être absorbé par dame nature, ou encore un sac plastique qui lui, mettra 450 ans en moyenne à disparaitre. Nous produisons près de 1,4kg de déchets par jour et par personne, l'importance de jeter ses déchets, dans un premier temps, est primordiale. Si nous pouvions bien les jeter, le monde ne s'en sortirais que plus beau.

- Le co-voiturage et transports en commun : Ils vous feront faire des économies en plus des rencontres. De plus en plus de moyen de mobilité s'offrent aux citoyens, encore plus dans les grandes villes. Même en région rurale, on voit les transports en commun se développer de plus en plus. Le transport et la mobilité est l'une des grandes lignes du programme de chaque communauté de commune. Tout simplement parce que c'est aujourd'hui un facteur d'installation pour des familles avec enfants et en plus, ça protège l'environnement. Une solution qui n'a que de points positifs. Il faut maintenant convaincre la majorité des personnes qui peuvent passer au transport en commun. Bien sûr, il y a toujours des exceptions et tout le monde ne peux pas avoir cette alternative, je pense à nos amis les commerciaux ou encore les itinérants du marché par exemple. Mais accordons nous sur le fait qu'un réel effort de tous peut être fait en ce qui concerne l'utilisation des transports en commun. Ce qu'il manque, c'est de la motivation !

- La réduction de consommation d'eau et d'électricité :

On connait plusieurs réflexes pour économiser l'eau, encore une fois, c'est une question d'efforts. Tous l'ensemble de la population se doit d'être impliqué. Il n'y a pas de petite économies en argent, il n'y en a pas non plus lorsque l'on parle d'eau ou d'électricité. Fermer le robinet lorsque l'on se brosse les temps, prendre une douche rapide plutôt qu'un bain. Toutes ces habitudes ne sont pas contraignantes et ne participent pas à une régression de notre confort. Elles ont par contre une

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influence certaine sur notre mode de consommation des ressources qui nous sont mises à disposition. Débrancher son chargeur lorsque le téléphone est éteint, débrancher les téléviseurs et ordinateurs en veille, ne pas ouvrir constamment le frigo sans raison.. Un ensemble de réflexes à pouvoir adopter de manière simple si l'on s'y met tous. On estime à une réduction de notre consommation globale de 5% si l'on adopte l'ensemble de ses réflexes. 5% et pourtant des gestes simples, une habitude de consommation à changer.

L'état permet aussi aux citoyens d'optimiser leurs logements. Le crédit d'impôt sur le changement des menuiseries et le renouvellement de l'isolation thermique. Des aides reversées pour dans un même temps, dynamisé le secteur des menuiseries isolation et chauffage. Lorsque le site officiel du Vaucluse annonce par exemple qu'une chaudière à condensation permet de réduire de 40% les combustibles ou encore, passer à un chauffage centralisé permet d'économiser 10% sur sa facture, les arguments sont tout donnés. De réels arguments tout de même, car prendre de tel mesure est prouvé, il permet une moindre consommation d'énergie.

Les panneaux solaires, les éoliennes, rénovations de la maison, ce sont des investissements pour le climat mais là, ça n'est pas le cas des habitudes de consommation ou de vie, c'est une réelle dépense pour le consommateur, des aides supplémentaires de l'Etat sont attendues et on étés citées dans le programme du nouveau président de la République Française pour que les habitations prennent elles aussi le virage écologique. Il y a presque maintenant 70ans, notre mode de vie était aux antipodes de ce que nous vivons aujourd'hui.

Notre mode de vie, en plus d'évoluer, a complètement changé au fils des années. Nous allons voir par la suite la comparaison de plusieurs études sociologiques accompagné de raisonnement personnel, les changements qui ont, et qui vont opérés.

III. NOTRE CULPABILITÉ ?

III.A Notre mode de vie en 1950 :

Il y a presque maintenant 70ans, notre mode de vie était aux antipodes de ce que nous vivons aujourd'hui. La période d'après-guerre est une période de renouveau économique pour toutes les nations. Il faut reconstruire, c'est à ce moment-là que nous sommes en pleine 30 glorieuses. Dans un contexte de guerre froide, ensuite, les enjeux se modifient. C'est la course à l'innovation, qui arrivera

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à intégrer les satellites les plus performants, on voit qu'à ce moment, la guerre n'est plus physique, mais entièrement numériques. On parle d'ailleurs à cette époque de « Rideau de Fer », une évidence lorsque l'on sait que l'objectif était de ne laisser passer aucune informations.

La relation que nous avions avec notre environnement était lui aussi totalement différent. Nous commencions l'aire du numérique, mais il n'appartenait à ce moment, qu'a l'élite, et n'était pas accessible à l'ensemble de la population. Il n'y avait donc pas de freins quant à la communication et au partage. Les hommes étaient plus enclins à travailler la terre plutôt que de faire construire des lignes de productions.

En moins de 70ans, nous avons triplé de population avec 2,5 Milliard d'habitants en 1950. Les besoins ne sont donc pas les mêmes. L'explosion de la population est liée à la fécondité, de 5 en 1950, elle passe en dessous des 2.5 en 2017, une évolution qui va donc augmenter mais de façon moins significative.

En 1950, le citoyen lambda travaille à proximité de chez lui. Dans les grandes villes, l'on trouve des métros, des voitures, et des transports en commun.

La ligne de conduite est la course à l'innovation. Pas insensibles, mais pas sensibilisés à l'environnement, l'homme se développe en ne pensant qu'au profit et la course à l'innovation.

Personne ne se préoccupe de la déforestation, des énergies fossiles et de la pollution ambiante de l'air.

Ils n'avaient pas à s'en soucier car de par la population mondiale, la Terre était suffisamment capable d'encaisser l'impact de l'homme sur elle-même.

C'est en 1986 que la première sonnette d'alarme est lancée. En effet, c'est à cette date que la Terre à commencer à vivre à crédit.. Le 31 décembre de son année. (Pour rappel, l'année 2017 est au 2 aout ce que le 31 décembre est à 1986.)

La population évolue d'année en année, elle augmente pour passer la barre des 3 milliards en 1960, puis 4 milliard 15ans plus tard, en 1975, pour attendre les significatifs 5 milliard en 1986, année qui marquera le seuil de population que pourrait supporter la terre avec de telles habitudes de consommation.

J'ai lu dans un ouvrage très intéressant : « Etat de la protection de la Nature dans le Monde » en rapport avec le Concours Financier de l'Unesco à une conférence de Bruxelles en 1951. Le rapport demande à chacune des nations, 186 présentes au total, de présenter leurs état environnementaux d'un point de vue sociologique, faune, flore, l'état de l'eau, des sols, ou encore des législations mises en places pour protéger des zones géographique, pour finir par les ONG travaillant en relation avec le climat sous forme de contrôles internes.

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Ce rapport indique premièrement que, pour la plupart des pays, y compris en Europe, peu d'endroit sont répertoriés comme étant protégés. Aucun parc naturel en Hongrie ou en Pologne, aucune réserve naturelle dans la majorité de l'Afrique ou sur la partie Est Asiatique. Une absence de législation envers l'environnement annoncée que trop tardivement par les autorités qui a permis une déforestation massive avant qu'une action puisse être menée.

On y note pour la majorité une grande diversité de Faune comme de Flore, et ce observé au travers les 186 différents rapports de chaque nations à l'oeuvre. C'est une bio-diversité riche qui en est présentée, avec de nombreuses battues observées en Europe et Amérique pour réduire certaines populations, en surnombre. Une chasse et une pêche déjà contrôlée dans sa majorité. On comprend alors que c'est les pêches et chasses abusives mais c'est principalement la main de l'homme dans sa généralité qui à impacter l'environnement année après année qui à causer les plus grosses parties des disparitions animales et végétales que nous vivons à l'heure actuelle.

Le principal problème, c'est qu'en 1986, l'homme possède toujours le même rapport face à la nature.

Toujours les mêmes combats, toujours les mêmes courses au profit et l'innovation. Mais aucunes prises de conscience envers l'environnement.

L'homme a dans sa généralité tardé à évoquer la préoccupation écologique. La croissante était telle que personne n'a voulu endiguer cette prospérité économique.

Dans sa consommation, le citoyen du monde est tout de même raisonné en 1950. Il y a une certaine importance liée à la consommation en termes d'alimentation par exemple. L'on y consomme tout de même énormément de pain, près de 120kg contre la moitié aujourd'hui. Mais on se rattrape par les fruits, la consommation de fruit n'as cessée d'augmenter jusqu'en 1990 pour diminuer ensuite. On y mange également de plus en plus de viandes et poissons, une alimentation de plus en plus variée, on délaisse le pain pour des denrées plus nutritive et diversifiée. Un réel progrès dans notre confort comme sur la santé, mais quel en serait les conséquences sur l'environnement ?

L'impact sur l'environnement, entre 1950 et 1990 a été très important. Durant ces années, on enregistre un appauvrissement des sols d'environ 20% durant cette période, et une « masse verte » le nombre de surface arborée, qui à diminuée elle aussi de façon significative, 17% au total. L'équivalent des trois quarts de la forêt amazonienne. Forêt amazonienne qui diminue de 2.27% chaque année. Concrètement si nous ne faisons rien aujourd'hui, elle tend à disparaitre avant la fin de notre centenaire.

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Si l'on revient à l'alimentation au court des années 50 jusqu'en 90, on enregistre peu de gaspillage et beaucoup de producteurs locaux. Une alimentation variée mais aussi un besoin de consommation locale. C'est les grandes importations en sucres, épices, coton et autres matières premières qui ont eu, au fil de ces décennies, un impact confirmée et irréversible sur l'environnement.

Particulièrement touchés, les pays d'Asie du Sud. Si l'on prend l'exemple de l'huile de palme, l'une des denrées principalement utilisée dans l'alimentaire à 80% par le monde entier. L'huile de palme est l'un des premiers facteurs de déforestation dans certaines régions. 27% des forêts Indonésiennes ont déjà disparues pour laisser place à des palmeraies géantes. Autre victime, la Malaisie, qui voit-elle 80% de sa surface verte délaissée au profit de l'huile de palme et de l'économie. Les normes en matière d'agricultures sur ces pays ce sont durcies maintenant mais la situation ne s'arrange pas beaucoup. On estime à 2022 la disparition des Orang-Outan Indonésien si aucune solution drastique n'est pas trouvée très rapidement.

III.B De nos jours :

A l'heure actuelle, nous sommes arrosés à longueur de journée d'information sur le développement durable, le respect de l'environnement et l'écologie. Lorsque qu'en 1980 la mode était aux hippies, elle est en 2017 celles du manger sain, de la communion avec la nature. Nouvelle tendance, le végétarisme, ou encore le vegan. Ce mode de vie moderne qui consiste à ne se fournir que de denrées issues de la Terre, rien en rapport avec l'animal.

C'est nouvelle façon de consommer modifie totalement l'économie mondiale. De nouveau centre d'intérêts, plus rapproché de la source et moins perturbée par l'argent et la recherche du progrès voient le jour.

En effet on y trouve d'ailleurs un désintéressement grandissant de la part des jeunes populations à vouloir le rêves utopique de la vie des années 50 jusqu'à 90 : un travail stable, un logement et une vie de famille bien rangée.

Si l'on en croît plusieurs études sociologiques menée il y a quelques moins, on apprend que 52% des jeunes ne seraient pas enjoués à l'idée d'obtenir un contrat de travail stable.

Alors comment convaincre cette nouvelle jeunesse ? Cette nouvelle génération à vue le jour avec un accès illimité et gratuit à l'information. La disposition d'ordinateur, et maintenant de smartphone. L'information pour tout, partout et pour tous.

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Les marques s'organisent avec des communications sur les valeurs, sur les bons engagements envers l'environnement. Ce qui est recherché avant tout en 2017, c'est la qualité des produits. On observe chez les Français et qui peux se calquer aux autres populations, un retour au « made in France ». Un retour aux sources, tout le monde à le souhait de se rapprocher de ce qui est vraiment essentiel à nos besoins.

On reprendra alors la pyramide de Maslow qui traduit parfaitement la vision du second millénaire et qui permet de réaliser une parfaite comparaison avec les années qui ont suivies les années 1950. Les années 1950 démontraient très clairement un besoin de réalisation, un besoin d'accomplissement personnel qui se résumait à devenir riche et réussir socialement pour la majorité des populations. Aujourd'hui, bien que cette idéologie soit encore bien présente dans certain esprits, on retient que plus en plus de personne ne se représente pas plus haut que le besoin en amour,

appartenance, pour délaisser l'intégralité des notions qui pourrait emmener l'homme à une certaine folie. Une attitude quelque peu je m'en foutiste qui cette fois n'est pas à l'égard de l'environnement qui nous entoure, mais qu'il l'est pour celui de l'accomplissement personnel par la réussite professionnelle ou la stabilité.

La motivation des jeunes aujourd'hui est d'accomplir son besoin de connaissance, d'expérience, de valeurs, la nouvelles génération vis moins par le matériel et accorde des moments intangibles, à l'état de souvenir ou de photos.

Cette approche est très paradoxale de par la multitude d'enfants qui sont littéralement née avec une tablette entre les mains, mais c'est parce que libre accès à l'information dès le plus jeune âge qu'il y a cette prise de conscience précoce envers notre rôle à jouer pour l'écologie.

Dans une interview poignant de Thomas Pesquet, astronaute revenu depuis peu de la station spatiale internationale, il revient sur quelques mauvais spectacles dont il a dû faire face.

- « Les villes totalement couvertes par la pollution, impossible même à prendre en photo », à l'exemple de Taiwan ou Pékin. Ces villes sont à la limite du viable avec des pics de pollution très inquiétant enregistrés ces derniers mois. Même constat pour Paris qui à enregistrer ses derniers pics de pollution les deux dernières années. C'est de cet évènement qu'est survenue d'ailleurs la circulation alternée dans la capitale. Des solutions plus contraignantes encore doivent être trouvée notamment pour les villes les plus grandes et polluées.

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- « L'image des fleuves qui charrient énormément de déchets ». le traitement des déchets se fait de plus en plus difficilement. Avec une population grandissante, les déchets se retrouvent indéniablement plus nombreux eux aussi. Le recyclage est trop peu important et ne permet pas l'amoncellement de nos déchets au 4 coin de la planète. 3 exemples poignant, l'un au Madagascar, l'autre au Ghana et le dernier en Inde, 3 pays défavorisés qui reçoivent tous déchets en tout genre sur leur terre contre indemnité financière.

MADAGASCAR GHANA INDE

Ces 3 pays sont seulement une « vitrine » des pays les moins développés. Car c'est majoritairement les pays les moins développés qui se doivent de récolter les déchets des pays les plus riches. C'est là que la notion de développement durable revient. Egalité sociales, à l'intérieur et à l'extérieure des frontières. Il y a là très clairement un gouffre entre les 2 modes de vies.

Nous avons d'un côté une société de surconsommation en clin au gaspillage énergétique et alimentaire. De l'autre, nous avons la partie de la population la plus défavorisée vivant dans les pays les moins développés. Dans ces lieux, les droits de l'homme sont très loin de la réalité. Des enfants qui ramassent des déchets sans protections ni chaussures pour certain afin de gagner l'équivalent de 50 centimes d'euros par jour. Ce sont pour nous occidentaux des scénarios impossibles à imaginer. Nous sommes habitués à un certain confort et notre erreur est ici, c'est que nous ne voulons absolument pas quitter notre confort et sommes en quête de toujours plus. Toujours plus de simplicité, toujours plus d'automatismes.

Un vrai contraste lorsque l'on voit les conditions de vie dans lesquelles la moitié de la population mondiale vis.

Malgré un arrangement de la situation si l'on compare les chiffres de 1990, il y a tout de même des chiffres poignants sur les inégalités dans le monde, en voici quelques-unes :

- Près de 50% des citoyens Africains vivent en dessous du seuil de pauvreté.

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- 32% des Indiens ont également un niveau de vie nettement inférieur aux autres.

- Au sud-est de l'Asie, notamment en Chine et dans la baie Indonésienne, le niveau de vie à tout de même augmenté dans sa globalité, passant de 51% en 1990 à « seulement » 12% en 2015. Un redressement social du au fort dynamisme économique de la Chine et ses pays frontaliers. Avec un développement du tourisme encore plus fort, ce sont des pays qui restent tout de même fragiles quant à leur stabilité.

- 2.2 Milliard n'ont pas accès à l'eau. L'eau, le combat principal du développement durable. Un

enfant meure toutes les 90 secondes par manque d'eau, une chose qui ne devrait jamais avoir lieu en 2017. Quelques fois, pas moins de 6 heures de marche sont nécessaire pour atteindre l'eau, une corvée surhumaine qui favorise forcement les isolements et donc le manque d'accès à l'éducation. Le manque d'eau apporte d'autres manques, d'autres préoccupations. La richesse et le confort n'empêche pas un bon agissement et bon rythme de vie. Par contre, le manque d'eau et l'impossibilité d'assouvir les besoins physiologiques que l'on retrouvera tout en bas de la pyramide de Maslow (Cf page 34) est lui dramatique. Si les individus ne peuvent pas subvenir à des besoins simples, ils sont là contraints de se focaliser sur les tâches normalement pour nous occidentaux, simple, qui se réduire à boire et se nourrir. Ces manques entrainent forcément des manque et donc des inégalités au sein des nations.

Beaucoup de mesures pour les populations les plus défavorisées sont à mettre en action. Beaucoup d'actions sont déjà menée sur le terrain bien sûr, mais les disparités sont tellement forte que remettre la balance à l'équilibre prendra énormément de temps, si elle doit le faire un jour.

Les plans de financement pour réduire les inégalités sont toujours d'actualité. Ceux-ci ont été revotés lors de la conférence sur le climat de Paris, des actes qui sont donc toujours là pour essayer de réduire ces inégalités, entraves au développement durable.

III.C Notre devenir :

Nous l'avons vu, si de futurs changements ne prennent pas effet dans les prochaines années, notre planète atteindra un point de non-retour. Encore un peu laxiste dans les actes, mais moins sur la théorie.

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Plusieurs scénarios en fonction de nos actions futures, sont envisageables.

- Nous reprendrons tout d'abord un scénario des spécialistes du GIEC pour dénoncer que, si aucun effort concret n'est fait d'ici la prochaine cinquantaine d'année, notre futur en sera très fortement compromis. Les générations futures en tout cas verront la terre se détériorer de plus en plus, une couche d'ozone percée, des eaux polluées, une finalité dramatique.

- Second scénario probable : un retour aux sources serait possible, une forte communion avec

la nature et un délaissement du progrès. Un scénario qui parait inenvisageable dans un monde régie par les lobbyings ou l'avancée de la course à la technologie et à l'innovation.

- Le scénario ayant le plus de probabilité de réussite sera celui de la continuité. Continuer à

concilier le progrès mais en parallèle, développer l'énergie durable, la protection de l'écologie sans aller au détriment de l'économie. Pratiquer une économie dite « durable ». Telle est la clé du succès pour la réussite de l'humanité. Nous vivons à l'heure actuelle un tournant historique et visons la catastrophe écologique du millénaire. C'est-à-dire que si nous ne faisons rien maintenant, nous sommes voués à la perte.

Le défi d'annonce difficile, les programmes environnementaux des nations sont plus ou moins efficaces et engagés. A l'heure du retrait des Etats-Unis dans le cadre des accords de Paris pour le climat, c'est une conférence délicate qui va avoir lieu d'ici la fin de l'année 2017. Beaucoup d'enjeux d'ordres sociétaux, économiques et environnementaux doivent être mis en places et appliqués de manières concrètes pour stopper la menace.

Le progrès doit mettre en place une énergie durable. Bien que l'énergie nucléaire soit la seule aujourd'hui à pouvoir assurer nos dépenses énergétiques, il faut trouver des solutions afin de pouvoir la supprimer sans conséquences économiques majeures et sans impacts pour les populations comme l'environnement.

Nous l'avons vu avec les différentes catastrophes naturelles, dernièrement, c'était le site de Fukushima qui a été défaillant et entrainé la mort de plusieurs milliers de Japonais, sans compter sur les retombée à long terme que c'est drames on comme conséquences. Appauvrissement des sols, air pollué, et des tonnes d'uranium 238 totalement irradiés qui sont un réel risque pour l'ensemble de notre écosystème. A savoir que le coeur de l'ancienne centrale mettra près de 4.5 milliards d'années à devenir inoffensif, froid et absorbé par la nature. Autrement dit, il sera toujours là alors que la planète se sera surement plus.

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Le nucléaire aujourd'hui, c'est près de 445 centrales encore en activité éparpillées autour de 35 pays. La France, grande mauvaise élève qui réunit à elle seule 58 centrale pour une production qui atteint près de 70% de la production globale d'énergie. Les Etats-Unis eux en compte 98, et sont par ailleurs moins motivés à abandonnés l'idée si l'on entend le président Trump.

Quel constat retenir de ces drames, Fukushima, Tchernobyl, des évènements marquants qui devraient faire réagir le monde entier quant à l'utilisation d'énergies propres et

renouvelables.

Heureusement, des alternatives pour l'énergie sont en étude, de nombreux projets sont en cours afin de délaisser et les énergies fossiles, et l'énergie nucléaire. Plusieurs solutions s'offrent à nous :

- Le projet ITER : Projet à dimension internationale, ITER a pour but de préparer le monde à une nouvelle méthode de production de l'énergie : la Fusion.

La fusion est annoncée comme étant près de 1000 mois plus rentable d'un point de vue énergétique de la Fission, elle apparait comme une source d'énergie stable et durable.

Stable ? Oui, nous n'allons pas rentrer dans des détails largement trop scientifiques et techniques mais de par la plus petite taille du Noyau d'uranium, celui-ci en fait un matériau plus stable et moins dangereux qui éviterait les instabilités que l'on trouve avec la Fission.

La Fusion, c'est le projet d'ITER, un projet qui se déroule notamment à côté du site nucléaire Cadarache ou l'on reproduit uniquement un système miniature !

Le mot miniature est étonnant à croire lorsque l'on sait que le diamètre de la chambre du noyau fait déjà une 40aine de mètres. Vulgairement, ITER c'est la fusion,

pour pouvoir fusionner des atomes, il faut une température environ égale à celle du soleil, à savoir 15 000 000 de degrés Celsius, rien que ça.

Le défi d'ITER est donc là, arrivé à confiner ces 15 millions de degrés et les utiliser pour la création d'énergie.

C'est en 2030 que les premiers tests devraient avoir lieux afin de nous approcher de la réponse concrète qui sera de produire de l'énergie ou non par la fusion et non plus la fission.

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Il faut donc continuer dans la lancée de l'énergie propre. On estime à 2030 la disparition du pétrole. Des alternatives pour les moyens de locomotions se développement de plus en plus. Elon Musk, l'homme à l'initiative de la Tesla, à marquer un virage dans le transport individuel. Les voitures électriques se démocratisent de plus en plus, les aides de l'Etat pour le renouvellement de véhicule polluants se font, elles, de plus en plus présentes.

L'objectif final de ce scénario, du programme que nous sommes en train de vivre, serait de nous recentrer vers les aspects qui comptent vraiment. Le local reprend une priorité au travers de chaque citoyen.

Tous on l'envie de consommer juste, et moins. Les voitures électriques, le RE-développement de l'agriculture parcellaire et non plus de l'agriculture massive. On délaisse peu à peu les multinationales pour revenir vers le producteur local.

Les transports en commun les les moyen de locomotion écologiques (Tram, vélo, voiture electrique..) commencent de plus en plus à prendre l'ascendant sur notre moyen de locomotion principal aujourd'hui : la voiture individuelle.

Je reprendrais une phrase de notre directeur général dans l'automobile lors de la réunion annuelle du groupe : « D'ici une dizaine d'année, notre métier tend à disparaitre », l'automobile individuelle n'est plus l'avenir et l'avenir, c'est celui des transports en commun et celui de la non-propriété.

L'on trouve de plus en plus de site de vente pour produits de seconde main, que ce soit « Le Bon Coin » ou d'autres plateforme de partage, d'objets comme de savoirs, le produit seconde main est en train de prendre de plus en plus de place dans les marchés.

« Nos seuls client seront des Taxis ou VTC » Seuls les métiers du transport en seront équipés. Alors bien sûr il faut relativiser, que dans 10 ans ce changement opère, il est très peu probable. En revanche, que l'on voit disparaitre la majorité des véhicules individuels d'ici une cinquantaine d'année n'est pas une fausse idée. Seul le temps et les avancée technologiques en matière de transports nous le diront.

Toutes ces habitudes qui modifient très clairement notre mode de vie et notre consommation définissent la ligne de conduite à adopter pour les prochaines années afin de contrer ce réchauffement climatique et cette pollution ambiante. Parfois il faut laisser le temps au temps.

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CONCLUSION

Avec des pics de pollution enregistrés de plus en plus nombreux ces dernières années, la santé de la Terre est au centre de toutes les conversations. Le climat, le réchauffement, la fonte des neiges, la déforestation, des sècheresses à répétition, une dérégulation des saisons, une couche d'ozone qui s'amincie, l'eau potable qui manque ; une nature qui reprend le dessus, très récemment, le cyclone Harvey, avant lui, Katarina, les tsunamis, tremblement de terres...

Beaucoup de réalités qui inquiètent, sans forcément susciter de réelles prises de conscience. Qu'attendons-nous ? Les entreprises nous vendent leurs bonnes actions au milieu d'une obsolescence programmées, d'une politique de surconsommation et de gaspillage alimentaire. Les collectivités et nations ont un rôle capital à jouer dans le changement.

Au travers de ce mémoire, nous avons pu voir l'ensemble des aspects du développement durable ainsi que notre évolution années après années. Notre mode de vie à clairement été modifié si l'on regarde 70ans derrière.

La prochaine conférence sur le climat organisée par les Iles Fidji devra être déterminent quant à la mise en oeuvre d'action concrète pour endiguer ce réchauffement climatique et ces inégalités qui perdurent.

Beaucoup d'enjeux suivant directement la conférence de Paris sont à défendre, nous obtiendrons plus de réponses sur notre avenir à Bonn à la fin de cette année si des décisions arrivent à découler de cette réunion des nations pour le climat.

Quel avenir pour l'humanité ? Entre les conflits armés, le terrorisme, la Corée du Sud développant dernièrement la bombe H, et une pollution grandissante. Seul l'avenir et les années passées nous le diront, mais ce que l'on sait tous, c'est qu'il faut réagir ou nous courrons tous à notre perte.






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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery