INTRODUCTION
Dans les années avenir, la lutte contre la pollution des
mers et la lutte contre le gaspillage et la pollution des eaux destinées
à la consommation humaine ses présenteront de plus en plus avec
beaucoup d'acuité.
Ces menaces biologiques pour la santé de l'homme ont
été abondamment médiatisées et sont ainsi bien
connues du grand public : par exemple les événements de
triste mémoire du RWANDA ont démontré l'importance de
l'eau en quantité et en qualité pour la santé publique. Le
rappel de ces menaces doit inciter la population à observer toutes les
mesures de prévention en ce qui concerne la pollution de l'eau et les
coûts de la lutte antipollution.
Que faut-il boire ? Théoriquement, la réponse
est facile. Elle nous est donnée par les règnes animal et
végétal tout entiers dont nous faisons partie intégrante,
et qui se contentent d'eau, le liquide de nos tissus, c'est de l'eau et non de
l'alcool. L'analyse microbiologique de l'eau n'est pas une notion nouvelle de
la définition des critères de potabilité de l'eau.
Plusieurs recherches ont été effectuées sur l'eau
d'adduction publique pour évaluer les paramètres microbiologiques
sur la potabilité de l'eau ; c'est le cas de Mr.NGOY
KONGOLO,qui a travaillersur le contrôle microbiologique des eaux de puits
du Quartier Gambela pendant et après la saison de pluie dont ces
conclusions révèlent que les eaux de puits sont plus
contaminées en saison de pluie beaucoup plus le matin par Pseudomonas
aergénosa ;E. coli qu'en saison sèche par Klebsiella
pneumoniae, Citrobacter brakii.
Le plus souvent, les analyses d'eau effectuées demeurent
muettes quant à l'identification de germes en cause. On se contente
seulement à présenter un tableau de critère
microbiologique de potabilité de l'eau sans pour autant procéder
à l'identification des germes et à l'étude de leur
pathogénicité une fois dans l'organisme humain. D'autres part, il
est impérieux de constater que la plus part de nos communes et
Quartiers,l'hygiène de l'eau n'est pas de stricte rigueur ; cas de
commune Kamalondo où l'épidémie de gastro -
entérite avait eu domicile en 2010 .Devant cette dernière,il
conviendrait de se demander :
· Quels sont les micro-organismes fréquemment
impliqués dans la contamination de l'eau de la REGIDESO ? (bassin
de captage de Kimbembe et Quartier CRAA)
· Quelle est la fréquence de germes pathogènes
responsables dans cette eau ?
· Quels sont les germes en cause ?
· Dans quelle catégorie de norme internationale
relative à la potabilité d'eau peut - on classer cette
eau ?
Eu égard au fait relaté ci-dessus, nous pensons que
l'eau de la REGIDESO peut être contaminée et cette contamination
pourrait être due à la perforation des tuyaux de canalisation,
soit à la mauvaise utilisation du désinfectant d'eau par la
REGIDESO. Ainsi les germes fréquemment isolé sont les coliformes
totaux ou fécaux, les streptocoques fécaux, les salmonelles ou
chigelles, les germes sulfito -réducteurs, sans oublier les
protozoaires, les helminthes, les virus et les champignons.
Notre article se propose d'évaluer
le niveau de pollution microbiologique de l'eau distribuée par la
REGIDESO à partir du bassin de captage de Kimbembe et de l'eau
consommée au Quartier CRAA de la commune de Lubumbashi, nous osons
croire que cet article sera une référence pour tous ceux dont la
mission consistera à préserver la santé humaine contre les
maladies d'origine hydriques.
II.MILIEUX, MATERIELS, METHODES
II.1.MILIEU
Les investigations ont été menées au deux
endroits de la ville de Lubumbashi précisément dans deux communes
c'est-à-dire commune de Lubumbashi et annexe.
Le bassin de captage d'eau de Kimbembe se trouve dans la commune
annexe, sur la route Likasi aux environs du camp kimbembe à 17km du
centre-ville de Lubumbashi. Tandis que le Quartier CRAA se trouve dans
l'ancienne concession du centre de recherche agro - alimentaire, en sigle CRAA
qui est localisé dans la commune de Lubumbashi au N0 1 de
l'avenue président ILEO, sur la route Likasi et à environ 10km du
centre-ville de Lubumbashi.
II.2.MATERIELS ET REACTIFS
Ø Erlenmeyer de 250ml ;
Ø Microscope binoculaire ;
Ø Centrifugeuse électrique ;
Ø Source de chaleur (plaque chauffante) ;
Ø Tube à essai ;
Ø Comptes -gouttes stérile (pipette
pasteur) ;
Ø Pissette de 200ml ;
Ø Lame porte objet ;
Ø Lamelle ;
Ø Violet gentiane ;
Ø Lugol ;
Ø Alcool - acétone ;
Ø Fuchsine au 1/10em ;
Ø Eau distillée ;
Ø Mac conkey agar ;
Ø SS Agar ;
Ø Mannitol Salt Agar (M.S.A.) ;
Ø Gélose au sang
Ø Etuve réglé à 37oC ;
Ø Galerie API20E ;
Ø Micros tubes ;
Ø Tableau de caractère biochimique et
d'identification ;
Ø Catalogue analytique ou logiciel d'identification.
II .3.METHODES
1. PRELEVEMENT D'ECHANTILLON D'EAU
Tout commence par le prélèvement des
échantillons d'eau aux robinets de la REGIDESO le matin et
l'après-midi à l'aide des erlenmeyer de 250ml stérile dans
différentes avenues du Quartier CRAA de la commune Lubumbashi ; et
aussi à la station de captage et de distribution de L'UNILU au Quartier
Kimbembe de la commune annexe.
2. EXAMENS A L'ETAT FRAIS ET APRES COLORATION
- EXAMEN A L'ETAT FRAIS
· Nous identifions les lames porte - objet et les tubes
à essai
· Agiter doucement l'erlenmeyer pour mettre les
sédiments en suspension homogène ;
· Remplir aussitôt au ¾ un tube à essai
à centrifuger;
· Centrifuger pendant 5minuutes à 1500 tours/minute
ou à l'aide d'une centrifugeuse à main ;
· Rejeter le surnageant en retournant le tube à essai
d'un coup sec ;
· Avec le compte-goutte capillaire, aspirer et refouler
trois fois le culot du fond du tube à essai pour rendre
homogène ;
· Prélever quelques gouttes
culot « homogénéisés » ;
· Déposer une goutte d'eau du culot à l'aide
d'une pipette pasteur stérile sur la lame porte objet.
· Couvrir la préparation d'une lamelle couvre
objet ;
· Examiner au microscope entre lame et lamelle à
l'objectif 10X et 40X.
- EXAMEN APRES COLORATION DE GRAM
Principe :
Le violet de gentiane qui colore toutes les bactéries en bleu
violet ;
Le lugol fixe plus au moins fort le violet de gentianes dans les
bactéries ;
L'alcool acétone qui décolore certaines
bactéries où le violet est peu fixé par le lugol ;
La Fuchsine recolore les bactéries qui ont
été décoloré par l'alcool -acétone en rouge
rose et n'agit pas sur les bactéries qui ont été
coloré en bleu violet et restée intacte.
Mode
opératoire :
Préparer un frottis mince et laisser sécher
à l'air libre, puis fixer en faisant passer la lame sur la
flamme ;
Couvrir la préparation avec le violet de gentiane pendant
30sécondes, puis laver ;
Mordancer pendant 30sécondes le frottis par la solution
de Lugol ;
Laver la préparation à l'eau distillée au
moyen d'une pissette ou de robinet.
Décolorer la lame à l'aide de l'alcool
acétone jusqu'à la disparition complète du colorant
Laver à l'eau comme précédemment
Appliquer la fuchsine pendant 30sécondes
Rincer à l'eau de robinet ou distillée
Sécher la lame
Observer au microscope à l'objectif à immersion
(100X).
Résultat
Les bactéries gram + (positif) sont colorées en
bleu -violet et Gram-(négatif) en rouge rose.
3. MISE EN CULTURE
En homogénéisant un millilitre
prélevé dans l'échantillon d'eau dans 9ml d'eau
physiologique stérile, le nombre de micro-organisme par millilitre est
réduit à un dixième(facteur de dilution 10).
A l'aide d'une pipette stérile ensemencer 1ml de chaque
dilution (càd10 à10) sur le milieu Mac conkey, SS agar, le
mannitol Salt agar et sur gélose au sang cuit, respectivement. En suite
étuver à 370C pendant 24Heures. Après culture
pratiquer l'identification par le système API20E comporte 20 micros
tubes inoculé avec une suspension bactérienne qui reconstitue le
milieu.
Le résultat s'observe après une
période d'incubation qui se traduit par des réactions qui
produisent le virage de couleur spontané.
Ces réactions s'interprètent à l'aide d'un
tableau de caractères biochimiques et l'identification de germes est
obtenue à l'aide d'un catalogue analytique ou d'un logiciel
d'identification.
IV. PRESENTATION DE RESULTATS
Nos résultats d'étude après contrôle
microbiologique des échantillons d'eau prélevé
simultanément au quartier CRAA et à la station de captage UNILU
sont repris dans les tableaux I, II, III, IV, V ci-dessous
Tableau I. Résultats globaux d'analyse microbiologique
selon les sites
|
DATE DE PRELEV
|
NUMERO ECH
|
NOMBRE D'ECH
|
EXAMEN A FRAIS
|
COLORATO
DE GRAM
|
CULTURE
A 370C
|
STATION DE CAPTAGE UNILU
|
AVANT MIDI
|
06/08/13
|
1
|
1
|
RAS
|
0
|
PGI
|
07/08/2013
|
7
8
|
2
|
RAS
RAS
|
0
0
|
PGI
PGI
|
08/08/2013
|
17
18
|
2
|
RAS
RAS
|
0
0
|
PGI
PGI
|
09/08/2013
|
27
|
1
|
RAS
|
0
|
PGI
|
APRES MIDI
|
06/08/13
|
4
|
1
|
RAS
|
0
|
PGI
|
07/08/2013
|
12
|
2
|
RAS
|
0
|
PGI
|
07/08/2013
|
13
|
|
RAS
|
0
|
PGI
|
08/08/2013
|
22
23
|
2
|
RAS
RAS
|
0
0
|
PGI
PGI
|
09/08/2013
|
30
|
1
|
RAS
|
0
|
PGI
|
QUARTIER CRAA
|
AVANT MIDI
|
06/08/13
|
2
3
|
2
|
RAS
RAS
|
0
0
|
K.pneum
PGI
|
07/08/2013
|
9
10
11
|
3
|
RAS
RAS
RAS
|
0
0
0
|
PGI
K.pneum
E.coli
|
08/08/2013
|
19
20
21
|
3
|
RAS
RAS
RAS
|
0
0
0
|
PGI
E.coli
PGI
|
09/08/2013
|
28
29
|
2
|
RAS
RAS
|
0
0
|
PGI
PGI
|
APRES MIDI
|
06/08/13
|
5
6
|
2
|
RAS
RAS
|
0
0
|
PGI
PGI
|
07/08/2013
|
14
15
16
|
3
|
RAS
RAS
RAS
|
0
0
0
|
PGI
PGI
PGI
|
08/08/2013
|
24
25
26
|
3
|
RAS
RAS
RAS
|
0
0
0
|
PGI
PGI
K.pneumo
|
09/08/2013
|
31
32
|
2
|
RAS
RAS
|
0
0
|
E.coli
PGI
|
Tableau II. Répartition des échantillons
après contrôle microbiologique
ECHANTILLONS
|
NOMBRE
|
POURCENTAGE(%)
|
TOTAL
|
POSITIFS
|
6
|
18 ,7
|
6
|
NEGATIF
|
36
|
81,2
|
26
|
32
|
Tableau III. Répartition des souches
bactériennes isolées
GERME ISOLE
SITE
|
KLEBSIELLA PNEUMONIAE
|
ESCHERICHA COLI
|
POURCENTAGE (%)
|
TOTAL
|
STATION DE CAPTAGE UNILU
|
0
|
0
|
0
|
0
|
QUARTIER CRAA
|
3
|
3
|
50
|
6
|
6
|
Tableau IV. Répartition des souches bactériennes
isolées selon le temps de prélèvement
TEMPS ET No ECHAN
CULTURE
NOMBRE DE CAS ET %
|
AVANT MIDI
|
APRES MIDI
|
ECH.2
|
ECH.10
|
ECH.11
|
ECH.26
|
ECH.31
|
CULTURE DES ECHANT.A 37oC
|
Klebsiellapneumoniae
|
Klebsiellapneumoniae
|
Escherichia coli
|
Klebsiellapneumoniae
|
Escherichia coli
|
NOMBRE DE CAS
|
4
|
2
|
POURCENTAGE DE CAS
|
66,6
|
33,3
|
TOTAL GENE DE CAS
|
6 ou 99,9%
|
Tableau V. Dénombrement des germes par millilitre
isolées selon les dilutions
DILUTION
ECH.
PLUS ESPE
BACTERIENNE
|
101
|
102
|
103
|
104
|
105
|
106
|
107
|
108
|
ECH.2
|
Klebsiellapneumoniae
|
+
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
ECH.10
|
Klebsiellapneumoniae
|
+
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
ECH.11
|
Escherichia coli
|
+
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
ECH.26
|
Klebsiellapneumoniae
|
+
|
+
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
ECH.31
|
Escherichia coli
|
+
|
0
|
0
|
0
|
|
0
|
0
|
0
|
Légende sur les abréviations utilisées :
v CRAA : centre de recherche agro - alimentaire
v UNILU : université de Lubumbashi
v RAS : Rien à signaler
v O : Pas de germes observés
v PGI : Pas de germes isolés
v ECH ou ECHANT : Echantillon
v G(-) : Germes à gram négatif
v G(+): Germes à gram positif
v M.S.A. : Mannitol Salt Agar;
v SS Agar : Salmonella Shigella Agar
v Càd : C'est- à- dire
V.DISCUSION
A l'issu des examens microbiologiques effectués sur les
32 échantillons d'eau prélevés dans les deux sites
d'investigation que nous citons le Quartier CRAA et la station de captage d'eau
de l'UNILU(Kimbembe), il en découle ce qui suit :Le tableau
I,
Nous renseigne que les 12échantillons d'eau
prélevés à la station de captage d'eau de
l'UNILU ; aucun de ces échantillons n'a manifesté la
présence de germes indicateurs de la pollution fécale
(Escherichia coli qui est le chef de fil de germes coliformes fécaux),
ni même la présence des germes pathogènes. Tandis que sur
les 20 échantillons d'eau prélevés au quartier CRAA, 14
échantillons de ces 20 n'ont pas aussi manifesté la
présence de la flore bactérienne mais 6 échantillons de
ces 20 ont accusé la présence en grand nombre de germes
indicateurs de la pollution fécale (Escherichia coli) et de germes
pathogènes (Klebsiellapneumoniae) qui sont toutes de Gram
négatif. Ces 20 échantillons prélevés aux Quartiers
CRAA manifestent une forte pollution les avant- midi (4échantillons) que
les après-midi (2 échantillons)
Le tableau II,Nous fixes que le nombre total
des échantillons d'eau est subdivisé en fonction de pourcentage
c'est-à-dire 6 cas de germes isolés que nous disons positifs sont
rencontrés au Quartier CRAAqui représente un pourcentage de 18,7
et 26 cas de culture que nous considérons négatifs soit reparties
au deux sites d'investigations citez ci - haut que nous répartissons
de deux manières: 12 cas de culture négatifs pour la station de
captage d'eau UNILU dont le pourcentage est 37,5 et 14 autres cas
négatifs au Quartier CRAA dont le pourcentage est exprimé
à 43,7. Ceux qui nous amène à s'exprimé que selon
le pourcentage mentionné ci - haut le 43,7% du quartier CRAA de cas
négatifs est deux fois plus supérieur que 18,7% de cas positifs
toujours pour le Quartier CRAA ;
Le tableau III, Nous démontré que
la station de captage d'eau UNILU sa répartition en souches
bactériennes est quasiment inexistante du fait que en terme de
pourcentage ça donne zéro. Tandis que le Quartier CRAA sa
répartition en souches bactériennes indicatrice de la pollution
fécale et pathogène est équitable ce qui nous donne en
terme de pourcentage 50 ;
Le tableau IV Nous renseigne après
incubation à 370C de culture des échantillons d'eau
inoculés de deux sites lors de la lecture que la station de captage
d'eau UNILU tous les échantillons(12) prélevés avant midi
et après midi sont négatifs càd rien à signaler.
Par contre le Quartier CRAA de tous les échantillons d'eau
prélevés aux robinets avant - midi (10) 4 environ 66,6% sont
positif et après -midi(10) 2 environ 33,3% sont aussi positifs.
Le tableau VNous fait voir les
différentes dilutions décimales qui nous rapprochent avec
degré de potabilité (norme) selon lesquelles une eau est potable
lorsqu'elle contient un nombre inférieur ou égal à
200colonies/ml d'E. coli. Nos dilutions sur ces différents
échantillons prélevés et misent en culture nous donne
100colonies/ml d'E. coli au Quartier CRAA et 0 colonie/ml d'E. coli à
la station de captage d'eau de l'UNILU. Nous laisse à croire qu'il
s'agit d'une eau généralement bonne selon JEAN RODIER.
VI.CONCLUSION
A la lumière des résultats d'analyses
microbiologiques obtenus sur les 32 échantillons prélevés
au Quartier CRAA et à la station de captage UNILU, nous concluons de la
manière ci - après :
ü L'eau de captage UNILU est potable du fait, elle ne
renferme aucune présence de la flore bactérienne
indésirable.
ü Par contre, l'eau des robinets du Quartier CRAA nous donne
deux aspects de la règlementation internationale sur la
potabilité. C'est-à-dire les données statistiques qu'on
observe dans le tableau III font que une partie de l'eau prélevée
est potable et l'autre partie est strictement non potable parce qu'elle
contient une présence considérable de germes indicateurs de la
pollution et aussi les germes pathogènes qui sont indispensable à
la santé humaine. Nous ne pensons que cette eau insalubre que la
population du dit Quartier consomme à l'origine de plusieurs maladies
hydriques.
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