INTRODUCTION GENERALE
Avant d'énoncer la profondeur des concepts qui seront
qui seront développé dans ce travail, nous essayons de donner aux
lecteurs un bref aperçu théoriques des concepts informatiques
suivants :
· FIABILISATION : veut dire ce qui
inspire de la confiance.
· INDEMNISATION : veut dire la
rémunération.
· ATOUT MAJEUR : les
éléments de chances.
· INFORMATIQUE : définit
comme la science de traitement automatique et rationnel des informations
à l'aide des appareils électronique.
Suite à la connaissance des administrations exigeant un
traitement rapide des données, une automatisation des taches manuelles
afin de réaliser des économies significatives en temps et en
cout, en suite le suivi réel de la production de l'entreprise, un
nouveau concept est né pour répondre à ces
différentes préoccupations, ainsi l'informatique vu le jour.
Dès les années 1960, les entreprises ainsi que
les administrations réalisèrent l'avantage du
développement d'une branche de l'informatique, cet état de chose
les amenèrent à embaucher dans les services informatiques
internes des nouvelles compétences telles que1(*) :
· LES ANALYSTES :
spécialiste chargé d'effectuer les opérations
intellectuelles de décomposition des éléments d'un
système, à l'essentiel afin de saisir des rapports et de
données des schémas d'ensemble.
· LES PROGRAMMEURS :
spécialiste dans l'écriture de programmes (suite d'instructions
composées de codes dans un langage de programmation) suivant un
algorithme dressé par l'analyste.
· LES OPERATEURS DE SAISIE :
personnel spécialisé dans les techniques de
saisie (dactylographe, encodeur) d'un ordinateur en remplacement dans la
machine à écrire.
L'informatique étant élément primordial
et de surcroit, l'essence même de l'informatique de gestion, elle
facilite et accélère les différents traitements tels que
la consultation, la recherche, l'interrogation, la modification, la suppression
etc.... pour réaliser ces différentes taches, il faut
créer une base de données : définit
comme un ensemble structuré de données enregistrés des
supports accessibles par l'ordinateur pour satisfaire simultanément
plusieurs utilisateurs de façon sélective et en temps
opportun.2(*)
I. CHOIX ET INTERET DU SUJET
1.1. Choix du sujet
La gestion des indemnisations des Agents victimes d'accidents
du travail constitue une fonction primordiale au sein de cette organisme, car
elle permet d'identifier tous les cas d'accidents du travail afin
d'établir de prévision à leurs égards.
1.2. Intérêt du sujet
L'étude que nous abordons nous offre un triple
intérêt :
· Le changement ou l'amélioration du
système manuel au système automatique
· Palier la théorie apprise par rapport à
la pratique
· OEuvre scientifique à la portée de tout
le monde.
II. PROBLEMATIQUE
Dans ce travail intitulé : « La
base de données comme atout majeur pour la fiabilisation des
résultats dans la gestion des indemnisations des Agents
déclarés Invalides », nous essayons de nous poser les
questions dont les solutions présentées demanderont à
réfléchir en vue de la réalisation du nouveau
système d'information informatisé à mettre en place dans
ce travail.
Les questions posées dans la problématique nous
permettront d'évoluer tout au long de ce travail avec des points de
références.
Notre problématique s'articule autour des questions
suivantes :
· Comment les Agents déclarés Invalides
sont ils indemnisés ?
· Quel mécanisme est-il mise en place pour prendre
en charge les Agents déclarés Invalides ?
· Y a-t-il moyen d'informatiser cette gestion pour
en fiabiliser les résultats ?
III. HYPOTHESE
Par définition, l'hypothèse est le fait de
prendre position en n'ayant aucune certitude.3(*) C'est aussi une réponse anticipative au
problème posé.
En effet, cette application permettra de concilier les
connaissances acquises à la fois en informatique et en gestion
basée sur la résolution des problèmes concrets et des
difficultés.
Toutes fois les questions posées ci-haut nous
amènent à opter pour l'outil informatique par
l'implémentation d'une base de données en vue de faciliter la
gestion d'indemnisation des Agents déclarés Invalides et de ce
fait acquérir de la rapidité dans le traitement des
données et l'élimination des erreurs.
IV. METHODES ET TECHNIQUES UTILISES
IV.1. METHODES UTILSEES.
Tout travail scientifique doit démontrer sa
crédibilité en suivant une logique qui consiste à mettre
en place une théorie explicative des opérations intellectuelles
en vue de la valider.
Etant donné que le but suivi consiste à
analyser un système d'information, tenant compte des données et
des traitements afin de décrire les différents modèles
d'opérations au nouveau système d'information automatisé,
notre choix de méthode porte sur
« MERISE »4(*).
La méthode MERISE est adaptée
à l'informatique de gestion, pour une petite histoire, cette
méthode est née dans les années 1970 et fait suite
à une consultation nationale lancée en 1977 par le
Ministère de l'Industrie dans le but de choisir des
sociétés de conseil en informatique afin de définir une
méthode de conception de système d'information.
Les deux principales sociétés ayant mis au
point celle méthode sont le CTI (Centre Technique
d'Informatique) chargé de gérer le projet et le CTE
(Centre d'Etudes Technique de l'Equipement) afin de mettre au
point une méthode de troisième génération de
conception, réalisation de système d'information.
La naissance de MERISE marque donc une date
importante dans l'histoire de traitement de l'information.
IV.2. TECHNIQUES UTILISEES
Pour mieux cerner l'environnement d'investigation
(système d'information), il nous est indispensable de nous renseigner
sur la structure de l'administration en disséquant les informations
reçues pour une vue claire, nous obligeant d'adopter des techniques
scientifiques que nous allons citer ci-dessous :
a. Interview et entretien
Interview : revêt des techniques
journalistiques consistant à interroger l'interviewé sur des
points afférents à l'étude ou la recherche
effectuée dans son champs d'application.
L'entretien : D'après
le Micro Robert, est l'action d'échanger des paroles avec un ou
plusieurs personnes.
b. Technique documentaire
Consistant à étayer par des preuves nos
recherches mais aussi de compléter par des différents
documents justificatifs présentés au sein de l'administration
dans le circuit d'information en place.
V. DELIMITATION DU SUJET
Notre sujet se limite dans le temps et dans l'espace.
Dans le temps, nous allons nous
intéressés du flux d'information allant de la période 2007
à nos jours.
Dans l'espace, notre étude va cerner la gestion des
indemnisations des Agents déclarés Invalides au sein du
département de risque professionnel.
VI. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Notre travail sera subdivisé en trois parties
Ière Partie : ETUDE D'OPPORTUNITE
CHAP I : ETUDE DE L'EXISTANT
CHAP II : CRITIQUE DE L'EXISTANT
CHAPITRE III : PROPOSITION ET CHOIX DE LA
MEILLEURE SOLUTION
IIème Partie : CONCEPTION D'UN NOUVEAU
SYSTEME D'INFORMATION
1er PHASE : CONCEPTION D'UN SYSTEME
D'INFORMATION
ORGANISATIONNEL (CSIO)
CHAPITRE I : ETAPE CONCEPTUELLE
CHAPITRE II : ETAPE ORGANISATIONNELLE
2ème PHASE : CONCEPTION D'UN SYSTEME
D'INFORMATION
INFORMATISE (C.S.I.I.)
CHAPITRE III : ETAPE LOGIQUE
CHAPITRE IV : ETAPE PHYSIQUE
IIIème Partie : REALISATION DE LA BASE
DE DONNEE
CHAPITRE I : IMPLATATION DE LA BASE DE DONNEES
CHAPITRE II : PROGRAMATION
VII. DIFFICULTES RENCONTREES
Certes, la récolte des données au sein de
l'Entreprise n'étaient pas faciles. Nous étions mal compris au
début auprès des Agents travaillant au Département
ciblé, grâce au cours de la déontologie professionnel
appris à l'Institut, nous étions à même de surmonter
et de dévier toutes les contraintes.
PREMIERE PARTIE : ETUDE PREALABLE
CHAPITRE I : ETUDE D'OPPORTUNITE
INTRODUCTION
Afin de mieux cerner l'environnement de recherche, les
principes, les objectifs, la gestion en place, il nous est indispensable de
recueillir et de diagnostiquer chaque information nous permettant de lister les
différents problèmes en vue de faciliter le passage de la
situation actuelle à la solution future qui doit être
résolu par un système d'information informatisé, c'est
ainsi qu'intervient la première partie de notre travail
appelée : « ETUDE D'OPPORTUNITE
».
SECTION 1 : ANALYSE DE L'EXISTANT
I .1. PRESENTATION DE L'ENTREPRISE
L'Institut National de Sécurité Social en sigle
INSS a son siège social et administratif de la Commune de la Gombe, au
N°85 sur Boulevard du 30 Juin entre le Bâtiment abritant le
Ministère du Travail et de la Prévoyance Sociale et l'ex Banque
de Commerce et de Développement.
I.1.1. HISTORIQUE DE L'ENTEPRISE
Elle existait en République Démocratique du
Congo et certains pays de Grands Lacs dont le Rwanda et le Burundi, des
Régions de sécurité sociale dont les unes étaient
destinées aux européens et les autres aux Congolais et aux
populations de colonies voisines.
Les régimes destinés aux européens
étaient mise en place les premiers et s'inspiraient de la
législation ci-après :
1. La Caisse Coloniale des Pensions pour les
Employés
2. Les Fonds Spéciales d'Allocation
3. Les Fonds Coloniales d'Allocation pour les
Employés
Chacun de ses trois organismes jouissaient d'une
personnalité civile et avait son propre statut. Les Congolais et les
populations des colonies voisines, les Régimes de pensions et
d'allocation était le 1er Janvier 1957 et les régimes
fut géré par un organisme autonome dénommé :
« Caisse des Pensions de Travailleurs placé sous le
contrôle et la garantit de l'Etat ». C'est à partir de
cette période qu'au cours du deuxième semestre de l'année
1960, le Gouvernement de l'époque préoccupé par la
réalisation d'une vaste réforme de la sécurité
sociale avait promulgué en date du 29 Juin 1961 placé sous la
garantit de l'Etat qui exerce sa tutelle par le Ministère du Travail et
de la Prévoyance Sociale (Tutelle financière).
L'Institut National de Sécurité Social a
succédé aux anciennes caisses de sécurité sociale
d'avant l'indépendance du pays à savoir : la Caisse des
Pensions de Travailleurs, la Caisse des Compensations des Allocations
Familiales et le Fonds Colonial des invalidités.
Il a pour but l'organisation et la gestion de réforme
Congolais de sécurité sociale comprenant trois branches à
savoir :
1. La Branche des pensions (Invalidités, Retraite
et décès)
2. La Branche des Risques Professionnels (accident de travaux
et maladies professionnelles)
3. La Branche des allocations familiales (charge familiale)
Actuellement, l'INSS s'efforce de remplir sa mission de
façon la plus économique et à la satisfaction des usagers
et des pouvoirs publics.
I.2. MISSION ET OBJECTIF DE L'ENTREPRISE
L'INSS a pour objectif de s'occuper de la gestion du
régime de sécurité en République
Démocratique du Congo.
I.2.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE
L'Institut se trouve dans la Commune de la Gombe au N°85
sur Boulevard du 30 Juin entre le Bâtiment abritant le Ministère
du Travail et de la Prévoyance Sociale et l'ex Banque de Commerce.
I.3 Organisation STRUCTURO FONCTIONNELLE
Source : DAS\D
I.3.2. ORGANIGRAMME SPECIFIQUE
Le Service de Prestation Sociale et Risque Professionnel est
composé d'un Chef de Service, de son Adjoint et de trois Sections dont
voici l'organigramme :
Source : AD & DPS
I.3.2.1. PRESENTATION DES POSTES
v Chef de service
v Adjoint
v Section des personnes
v Section de risque professionnel
v Section de prestation sociale
I.3.2.2. DESCRIPTION DES POSTES
1. . CHEF DE SERVICE : sert à
coordonner toutes les activités se déroulant au sein du
département.
2. ADJOINT : intervient qu'en cas
d'empêchement de celui-ci.
3. SECTION DES PERSONNES : s'occupe des
agents.
4. SECTION DE RISQUE PROFESSIONNEL :
s'occupe de tous les agents déclarés Invalides.
5. SECTION DE PRESTATION SOCIALE : sert
à payer les Agents.
SECTION 2 : ETUDE DES MOYENS
Dans ce paragraphe, nous allons évoqués trois
moyens de traitement des informations ; il s'agit de :
· MOYENS HUMAINS
· MOYENS MATERIELS
· MOYENS FINANCIERS
2.1. Moyens Humains
En ce qui concerne les moyens humains, le service comprend
à son sein 9 personnes réparties en 3 Sections dont voici les
postes, leurs niveaux d'études, anciennetés et fonctions.
Nombre des
Postes
|
Nbre des
Personnes
|
Niveau d'études
|
Fonctions
|
Spécialité
|
Ancienneté
|
Section PP3
Rédacteur
Commis
Chef de Division
Section de Section
Rédacteur Principal
Section de Pension
Chef de Section
Calcul
Rédacteur
Rédacteur Principal
|
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
|
G3 Sciences
PP5
PP4
A6
A6
-
G2
-
P4
-
+3ans compt.
|
Chef de Section
Rédacteur
Commis
Chef de Division
Chef de Section
Rédacteur
|
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
|
26 ans
9 ans
28 ans
29 ans
25 ans
24 ans
-
17 ans
17 ans
31 ans
-
|
Il est à noter également que ce service à 4
femmes et 5 hommes qui assurent le bon fonctionnement du service.
2.2. MOYENS MATERIELS
Pour ce qui concerne les moyens matériels, le service
précité est doté d'une calculatrice de marque
TOSHIBA, BJ3901, 12 digital de l'année 2008, les
classeurs, fardes, papiers imprimés et les registres.
EQUIPEMENT
|
NOMBRE
|
Calculatrice
Classeurs
Fardes
Papiers
|
2
10
15
3 Rames
|
2.3. MOYENS FINANCIERS
L'INSS étant une institution étatique ou publique
dépend totalement du budget du Gouvernement, mais également des
différentes cotisations versées par les employeurs des
différentes sociétés affichées à l'INSS
SECTION 3 : ETUDE DES DOCUMENTS
3.1 PRESENTATIONS DES DOCUMENTS
Ce paragraphe consiste à étudier et à
inventorier tous les documents concernés par l'application.
Nous avons 5 documents concernés par l'application. Il
s'agit de :
1. Déclaration d'Accident du Travail (Model A1)
2. Certificat de première constatation (Model A2)
3. Certificat de prolongation d'incapacité (Model
A3)
4. Certificat de guérison, de décès de
consolidation de lésions (Model A4)
5. Bordereau d'assignation
3.2. Description de documents
1. Déclaration d'accident du
Travail
a. Rôle :
Connaître toutes les informations nécessaires de
l'accident survenu à l'Agent victime.
b. Description
Code
|
Désignation
|
Type
|
Taille
|
NUM DECL
NOM
POST
SEXE
LIEU NAIS
NOM PERE
NOM MERE
ADR PAIE
LOCALITE
COLLECTIVITE
ZONE
RUE
NUM
VILLE
NUM EMP
POST
RAISON ENT
ADRES
SIEGE
DATE ENT
DATE ACCI
NUM AFF EMP
|
Numéro déclaration
Nom du Travailleur
Post-nom du Travailleur
Sexe
Lieu de naissance
Nom du Père
Nom de la Mère
Adresse de paiement
Localité
Collectivité
Zone
Rue
Numéro d'immatriculation
Ville
Nom de l'employeur
Post-nom de l'employeur
Raison sociale de l'entreprise
Adresse de l'entreprise
Siège de l'exploitation
Date d'entrée en service victime
Date du jour de l'accident
Numéro d'affiliation de l'employeur
|
N
AN
AN
AN
AN
Date
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
Date
Date
N.
|
05
25
25
01
25
10
25
25
20
25
25
10
25
25
25
20
25
10
10
15
10
15
|
2. Certificat de première
constatation
a. Rôle
Connaître l'état de la victime et son taux
d'incapacité.
b. Description
Code
|
Désignation
|
Type
|
Taille
|
NOM
POST NOM
PRENOM
SURNOM
LIEU NAIS
DATE DE NAIS
NOM MERE
NOM MERE
ADRESSE PAIE
NUM IMM
NUM CARTE
DATE ACCI
NOM MEDECIN
RAISON
ADRESSE ENT
NOM MED TRAT
ADRESSE
INCAP. TOT
INCAP PART
|
Nom de la victime
Post de la victime
Prénom de la victime
Surnom de la victime
Lieu de naissance de la victime
Date de naissance de la victime
Nom du Père de la victime
Nom de la Mère de la victime
Adresse de paiement
Numéro d'Immatriculation
Numéro de Carte d'Identité
Date de l'accident
Nom du Médecin examinateur
Raison sociale de l'Entreprise
Adresse de l'Entreprise
Nom du Médecin Traitant
Adresse du Médecin Traitant
Incapacité totale
Incapacité partielle
|
AN
AN
AN
AN
AN
Date
AN
AN
AN
N
Date
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
25
25
15
10
15
10
25
25
25
10
10
25
30
25
25
15
10
10
|
3. Certificat de prolongation
d'incapacité
a. Rôle
Permet de connaître si l'Agent peut pour un temps
reprendre son travail ou s'il est déclaré invalide.
b. Description
Code
|
Désignation
|
Type
|
Taille
|
NOM
POST
PRENOM
SURNOM
SEXE
LIEU NAIS
DATE DE NAIS
NOM MERE
NOM MERE
ADRESSE PAIE
DATE ACC
NOM EMP
POST
RAISON SOCIALE
NOM MED EX
ADRESSE
DENOM HOP
INCAP. TOT
INCAP PART
|
Nom de la victime
Post de la victime
Prénom de la victime
Surnom de la victime
Sexe
Lieu de naissance
Date de naissance
Nom du Père de la victime
Nom de la Mère de la victime
Adresse en vue de paiement
Date de l'accident
Nom employeur
Post-nom employeur
Raison sociale
Nom du Médecin examinateur
Adresse du Médecin examinateur
Dénomination de l'hôpital
Incapacité totale
Incapacité partielle
|
AN
AN
AN
AN
AN
Date
AN
AN
AN
AN
Date
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
25
20
25
01
25
10
10
15
18
20
10
25
25
25
20
20
18
18
|
4. Certificat de guérison de
décès ou de consolidation des lésions
a. Rôle
Etablir la fixité du taux d'incapacité soit la
victime est guérie, soit décédés soit
consolidés.
b. Description
Code
|
Désignation
|
Type
|
Taille
|
NOM
POST
PRENOM
SURNOM
SEXE
LIEU NAIS
DATE DE NAIS
ADRESSE PAIE
DATE ACC
NOM EMP
POST EMP
PRENOM EMP
RAISON SOCIALE
ADRESSE
NOM MED TRAIT
ADRESSE
DATE GUER
TAUX INC
DUREE HOP
DUREE SOIN
SERVICE PRESTEE
|
Nom de la victime
Post de la victime
Prénom de la victime
Surnom de la victime
Sexe
Lieu de naissance
Date de naissance
Adresse en vue de paiement
Date de l'accident
Nom de l'employeur
Prénom de l'employeur
Raison sociale de l'Entreprise
Adresse de l'entreprise
Nom du Médecin Traitant
Adresse du Médecin Traitant
Date de guérison ou de
consolidation de lésion
Taux d'incapacité
Durée d'hospitalisation
Durée de soin
Service presté
|
AN
AN
AN
AN
AN
AN
Date
AN
Date
AN
AN
AN
AN
AN
AN
Date
Date
N
N
AN
AN
AN
|
25
25
15
25
01
20
10
15
10
20
20
20
25
20
20
10
10
15
15
15
20
|
SECTION 4 : ETUDE DES CIRCUITS DES
INFORMATIONS.
4.1. NARRATION
L'INSS considère un certain nombre de critère
avant de prendre toute décision relative à l'octroi d'une
indemnité en faveur de l'agent victime d'accident du travail.
En cas d'accident de travail, l'employeur est censé
informer l'INSS.
· Il se présente au Département de risque
professionnel et demande le formulaire de déclaration d'accident de
travail.
· Le Département l'enregistre sur un cahier
registre et lui donne le formulaire à remplir. Après avoir
rempli, on lui remet une copie et l'autre copie sera transmise au Directeur
Provincial.
· Le Directeur reçoit le dossier, le paraphe et
l'envoi auprès du Médecin légiste qui examine le dossier
et la victime.
· Il établit un certificat de première
constatation et un certificat de prolongation d'incapacité tout en
déterminant le taux d'incapacité et envoi le dossier au Chef de
Service.
· Le Chef de Service reçoit le dossier et observe
le taux d'incapacité déclaré par le Médecin tout en
se référant du taux du Barème d'incapacité et
décide le % qui doit être octroyé à la victime et
envoi le dossier à la constitution pour clôturer.
· La Section constitution classe le dossier aux archives
et transmet deux copies de Bordereaux d'assignation et la copie originale
à la section paiement.
· La Section paiement à son tour classe les deux
copies de Bordereaux chez lui et transmet l'originale de la grille à la
Direction Technique pour la mécanisation et l'établissement de
Bon de paiement et envoi le dossier à la Section prestation sociale.
· La Section prestation sociale reçoit le Bon de
paiement et paie la victime.
4.2. PRESENTATION DE SCHEMA DE CIRCULATION
4.3. DESCRIPTION DES TACHES
N°
|
Poste
|
Fiches
|
Commentaires
|
01
|
100
|
101
|
Présentation de l'employeur pour demander le formulaire
de Déclaration d'Accident de Travail.
|
|
|
102
|
Réception du formulaire et son remplissage
|
|
|
103
|
Réception du Bon de paiement et son archivage
|
02
|
200
|
201
|
Réception de l'Agent, expression de besoin et
enregistrement dans le Cahier Registre.
|
|
|
202
|
Réception de la copie du formulaire de
Déclaration d'Accident de Travail.
|
03
|
300
|
301
|
Réception du formulaire auprès du Directeur
Provincial et le paraphe puis envoi du formulaire chez le Médecin.
|
04
|
400
|
401
|
Réception du formulaire de la victime pour examen puis
établissement du Certificat de première constatation et de
prolongation d'incapacité.
|
05
|
500
|
501
|
Réception de tous les documents auprès du Chef
de Service, les paraphes et l'envoi à la Section Constitution.
|
|
|
502
|
Réception du Bordereau d'Assignation et
établissement du Bon de paiement.
|
06
|
600
|
601
|
La Section Constitution reçoit le dossier et le
classe.
|
|
|
602
|
La Section constitution établit le Bordereau
d'Assignation à deux exemplaires et la copie originale, on l'envoie
à la Section paiement.
|
07
|
700
|
701
|
La Section paiement reçoit le Bordereau d'Assignation,
le classe
|
08
|
800
|
801
|
La Section prestation sociale reçoit le Bon de paiement
et paie la victime.
|
4.4. LEGENDE ET ABREVIATION UTILISEES
A. Symboles utilisés
Document circulant Document permanent
Expression verbale
Classé
X
Document permanent à plusieurs
exemplaires Archivé
B. Abréviations utilisées
- FDAT : Formulaire de Déclaration d'Accident de
Travail
- C.P.C. : Certificat de Première Constatation
- C.R. : Cahier Registre
- C.P.I. : Certificat de Prolongation
d'Incapacité
- B.A. : Bordereau d'Assignation
- B.P. : Bon de Paiement
CHAPITRE 2 : CRITIQUE DE L'EXISTANT
Il revient à noter qu'une critique de l'existant est un
jugement objectif sur l'organisation qui vient d'être
présentée. Celle-ci permet de déceler les causes qui sont
à la base du disfonctionnement du sujet et de son alourdissement dans
l'exécution de ces taches.
Pour qu'on arrive à implanter une plus performant
et plus fiable. Il faudrait que cela se passe par une critique sans
complaisance.
2.1. Critique sur l'organisation
Pour ce qui concerne l'organisation, les données sont
mal conservées, entassées comme de colis dans les armoires,
dépourvus des portes au risque de défection rapide, vol,
perte.
La mauvaise installation des tables, prête souvent
confusion aux visiteurs qui ne savent pas à quel sein se vouer à
cause de la fusion des sections dans un local où il n'y pas même
les signaux indicatifs.
2.2. Critiques des moyens humains
Le niveau très bas des agents ou du personnel de
service rend l'encadrement des étudiants difficiles.
2.3. Critiques des moyens matériels
L'utilisation du cahier registre permet de tracer le parcours
des documents et facilite l'identification, il est bien fait et organisé
et à tel point que la lecture, la compréhension, le remplissage
sont très facile. Conséquence : gaspillage d'ancre et du
temps
2.4. Critiques des moyens financiers
L'INSS étant une institution étatique ou
publique dépend du Gouvernement qui finance l'Organisme en dépit
des différentes cotisations perçues des différentes
entreprises affiliées à l'INSS.
2.5. Critique du flux d'information
Le schéma de circulation des informations est trop
long entraînant comme conséquence la lourdeur administrative, des
réclamations permanentes et tapageuses des Agents car les
résultats sont tardifs
CHAPITRE 3 : PROPOSITION ET CHOIX DE LA MEILLEURE
SOLUTION
SECTION 1 : PROPOSITION DES SOLUTIONS
Après une étude détaillée de
l'organisation en place, traitée dans le chapitre
précédent, il nous est possible maintenant d'apporter des
solutions aux besoins des utilisateurs ou à l'amélioration des
failles rencontrées.
Une solution étant le résultat d'une
réflexion permettant de résoudre un problème, de venir
à but d'une difficulté, nous apporterons des solutions probables
aux différentes tâches en décortiquant les avantages et les
inconvénients.
1.1. Solution manuelle
La solution manuelle fait allusion à une
réorganisation du système en place où l'homme est au
centre de tout, c'est-à-dire que l'homme ne prend aucun soutient
matériel.
b. Avantage
· Continuité de travail même s'il y a
coupure de l'électricité ;
· Pas de fermeture spécifique.
b. Inconvénient
· Temps de réponse relativement longue ;
· Rendement de personnel selon leur humeur.
1.2. Solution informatique
La solution informatique consiste à automatiser les
tâches relatives, en élaborant un circuit d'information
informatisé utilisant comme premier atout des logiciels (Tableur,
Traitement de texte et de matériels informatiques, Unité central,
Scanner, Modem, etc.).
a. Avantage
· Rapidité dans le Traitement ;
· Simplification de l'organisation des informations
· L'amélioration de condition de travail ;
· Communication facile des rapports et de données
aux différents environnements de travail (Cas d'installation d'un
réseau).
b. Inconvénient
· Coût élevé d'acquisition des
matériels informatiques ainsi que leurs entretiens ;
· Formation permanente du personnel
SECTION 2 : CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION
Nous proposons aux responsables de l'INSS la solution
informatique pour un rendement plus efficace des indemnisations des Agents
déclarés Invalides mais aussi pour une sécurité des
données.
DEUXIEME PARTIE : CONCEPTION DU SYSTEME
D'INFORMATION
CHAPITRE 1. CONCEPTS THEORIQUES SUR LES BASES DE
DONNEES ET LES SYSTEMES
A. Base de données
Le terme base de donnés peut se
diviser en 2 mots clés base et données.
La notion de données nécessite une connaissance
préalable de celle d'information.
Une information est définie comme
étant un message, un renseignement ou encore un événement
susceptible d'être communiqué entre les hommes ; et suffisamment
explicite pour pouvoir déclencher une action ou une réaction
auprès du destinataire. A titre illustratif, un mandat provenant du
gouverneur de la ville pour affectation d'un agent.
Ainsi, On appelle donnée une suite de
caractères numériques, alphanumériques,
alphabétiques, des signaux lumineux, des ondes...représentant une
information et qui se prêtent à un traitement machinal. En
d'autres termes, une donnée est une information codée
envoyée à une machine et dont la réaction aboutie à
un traitement machinal.
B . Système.
Une notion très importante à maîtriser est
également celle de système. Voyez un
système comme un ensemble d'éléments
matériels ou immatériels (hommes, machines, méthodes,
règles,...) en interaction dynamique, évoluant dans un
environnement donné doté d'une structure et transformant par un
processus des éléments appelés « Entrées
» en d'autres appelé « Sortie » en vue de réaliser
des objectifs précis.
Il est subdivisé en trois systèmes :
ü Le système de gestion ou
système de pilotage qui dirige le système.
ü Le système opérant ou
système physique qui exécute les ordres venant
du système de pilotage en transformant les éléments
d'entrée (matières premières, informations, flux
financiers) en éléments de sortie (produits finis, informations,
flux financiers).
ü Le système d'information,
reçoit les décisions provenant du système de pilotage et
les émet vers le système opérant sous forme d'ordres ou
des commandes à exécuter. A son tour, il comporte de
sous-système tel que le système automatisé
d'informations. C'est un sous-système du système
d'informations dans lequel toutes les transformations significatives
d'informations sont effectuées par des ordinateurs.
A retenir qu'un système automatisé d'informations
est dit « intégré » si une information
saisie qu'une seule fois en un point du système est
répercutée automatiquement dans tous les fichiers lui concernant.
Cette intégration est rendue possible grâce à l'utilisation
des bases de données.
C Les bases des données
On appelle base de données (data base) un ensemble de
données, en interaction structurée, stockées dans des
mémoires accessibles à l'ordinateur. Une base de données
doit répondre à trois critères dont :
ü L'exhaustivité : exigeant
qu'une base de données contienne toutes les informations ayant trait
à l'application concernée.
ü La non redondance : qui implique que
dans une base de données, il ne doit pas y avoir
répétition d'une même information (données).
ü La structure : signifie qu'une base de
données doit être à mesure de supporter le volume de
données qu'exige l'application tout en tenant compte des logiciels qui
les exploiteront
Ces données sont stockées pour être
utilisé par des programmes et des utilisateurs différents. Ainsi,
la notion de base de données est généralement
couplée à celle de réseau afin de pouvoir mettre en commun
ces informations, d'où le nom de base.
Une base de données est utilisée pour conserver
une masse importance d'informations dont on envisage s'en servir
ultérieurement. Elle permet de mettre ces données à la
disposition d'utilisateurs pour une consultation, une saisie ou une mise
à jour.
Une base de données peut être locale,
c'est-à-dire utilisable sur une machine par un utilisateur, ou bien
répartie, c'est-à-dire que les informations sont stockées
sur des machines distantes et accessibles par réseau.
L'avantage majeur de l'utilisation de bases de données
est la possibilité de pouvoir être accédées par
plusieurs utilisateurs simultanément.
D. Gestion d'une base de données
Pour gérer une base de données, l'ordinateur se
sert d'un programme appelé Système de Gestion de Base de
Données : SGBD (Data Base Management
System : DBMS).
Par définition, un SGBD est un ensemble des logiciels
systèmes permettant, à l'aide d'un langage
spécialisé, de gérer une base de données. La
gestion d'une base de données sous-entend : la définition des
données, leurs stockages, leurs recherches ou leurs interrogations et
leurs mises à jour en mémoire.
Signalons également qu'il existe 5 types de bases de
données différenciées d'après leur structure ou
modèle d'organisation de données. On citera entre autre : le
modèle réseau, le modèle hiérarchique, le
modèle relationnel (le plus utilisé), le modèle
déductif, le modèle relationnel objet.
CHAPITRE II : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
ORGANISATIONNEL (CSIO)
La phase du système d'information organisationnel est
la première dans la conception du système d'information
SECTION1 : ETAPE CONCEPTUELLE
L'étape conceptuelle correspond à une
formalisation du système d'informations indépendamment de toute
contrainte d'organisation. Il faudrait y distinguer la formalisation des
données mémorisées dans la base d'information (aspect
statique) et celle des traitements réalisés par le processus
d'information (aspect dynamique).5(*)
La formalisation des données, au niveau conceptuel
constitue la modélisation conceptuelle des données du
système d'information. Celle des traitements constitue la
modélisation conceptuelle de traitement. A cette étape, le
concepteur tentera de répondre à la question
« QUOI ? » quel objet pour quel traitement ?
1.1. MODELISATION CONCEPTUELLE DES DONNEES (M.C.D).
La modélisation conceptuelle des données (MCD) a
pour but de modéliser les données mémorisées du
système d'information. Le MCD est élaboré grâce aux
concepts du formalisme individuel qui sont :
v Objet (Entité) ;
v Relation (Association) ;
v Propriété ;
v Contraintes ;
v Cardinalités ;
v Occurrence.
1.1.1. DEFINITION DES CONCEPTS DE BASE
v Modélisation : c'est la description d'un
système réel de façon formelle c'est-à-dire de
façon à pouvoir le manipuler par l'ordinateur.
v Objet (Entité) : c'est la représentation
dans le système d'information d'un objet matériel ou
immatériel ayant une existence propre et conforme aux choix de gestion
de l'entreprise. 6(*)
v Une relation : c'est une association ou lien existant
entre deux ou plusieurs objets.
v Propriété : c'est une donnée
élémentaire et indécomposable du système
d'information. Elle est aussi la petite quantité d'information
manipulée par le système d'information que l'on perçoit
sur une entité ou sur une relation entre entité.7(*)
v Une occurrence : une occurrence d'une entité ou
objet est un élément individualise appartenant a cette
entité tandis qu'une occurrence d'une relation est une relation
individualisée constituée d'une et d'une seule occurrence des
entités participant à la relation.8(*) C'est aussi chaque valeur prise par une
propriété.
v Un identifiant ; c'est une propriété
particulière de l'entité telle qu'à chaque valeur de la
propriété correspond une et une seule occurrence de
l'entité l'identifiant est soit souligné ou soit
précédé du signe.
v Une cardinalité ; elle permet de
caractériser le lier qui existe entre un objet et la relation à
quelle elle est reliée. elle s'exprime par deux nombres appelés
cardinalité minimale et maximale.
1.1.2. FORMALISME DE LA MODELISATION CONCEPTUELLE DES
DONNEES
Le formalisme est le respect scrupuleux des formes, des
formalités ; attachements excessif aux formes extérieures de
l'étiquettes.9(*) Le
formalisme nous facilite l'emploi de techniques de validation de
cohérence de différents éléments. Le modèle
conceptuel des données se fait en utilisant le formalisme
entité- relation normalisé en 1982.
Nom de l'entité 1
Propriété 1
Propriété2
Propriété3
Propriété4
Propriété n
Nom de l'entité 2
Propriété 1
Propriété2
Propriété3
Propriété4
Propriété n
Nom de la relation
(Min, max)
(Min, max)
1.2. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES OBJETS.
1.2.1 RECENSEMENT DES OBJETS
Dans le cadre de notre étude, nous avons recensé
les entités ci-après :
v Victime ;
v Déclaration ;
v Société ;
v Service ;
v Médecin ;
v Taux d'incapacité
v Agent ;
v Mois
1.2.2. DESCRIPTION DES OBJETS
N°
|
OBJET
|
PROPRIETE
|
CODE
|
IDENTIFIANT
|
1
|
Agent
|
Matricule agent
Nom de l'agent
Post nom de l'agent
Sexe
Adresse
Fonction
Date de naissance
Date d'engagement
Etat-civil
|
Matr
|
#
|
2
|
Service
|
Code service
Libellé service
|
Codser
|
#
|
3
|
Déclaration
|
Numéro de la déclaration
Date d'accident
Motif
|
Numdécl
|
#
|
4
|
Société
|
Numéro de la société
Numéro d'affiliation
Nom de la société
Adresse
|
Numsoc
|
#
|
5
|
Victime
|
Numéro d'immatriculation à la
sécurité sociale
Nom de la victime
Post nom de la victime
Date de naissance
Nom du père
Nom de la mère
Province
District
Adresse
|
N°imm
|
#
|
6
|
Médecin
|
Numéro d'ordre médecin
Nom du médecin
Post nom du médecin
Spécialité du médecin
Adresse du médecin
|
Num med
|
#
|
7
|
Taux d'incapacité
|
Code taux
Valeur taux
|
Cod taux
|
#
|
8
|
Mois
|
Code mois
Libellé mois
Montant cotisation
|
Cod mois
|
#
|
1.2.3. RECENSEMENT DES RELATIONS
Dans le cadre de notre étude, nous avons pu recenser
les relations suivantes :
v Solliciter ;
v Appartenir ;
v Travailler ;
v Déterminer ;
v Etablir ;
v Concerner.
1.2.4. DESCRIPTION DES RELATIONS
N°
|
RELATION
|
DIMENSION
|
OBJETS ASSOCIES
|
PROPRIETES
|
CARDINALITE
|
1
|
Appartenir
|
BINAIRE
|
Agent-Service
|
-----------
|
1, n 1, 1
|
2
|
Solliciter
|
BINAIRE
|
Victime-Déclaration
|
------------
|
1, 1 1, n
|
3
|
Travailler
|
BINAIRE
|
Victime-Société
|
-------------
|
1,1 1, n
|
4
|
Déterminer
|
TERNAIRE
|
Victime-Taux-Médecin
|
-------------
|
1, n 1, n
|
5
|
Etablir
|
BINAIRE
|
Déclaration-Agent
|
--------------
|
1, 1 1, n
|
6
|
Concerner
|
BINAIRE
|
Déclaration-Mois
|
--------------
|
1,1 1,n
|
1.2.5. REGLE DE GESTION
1.2.5.1. REGLES D'ACTIONS
Les règles d'action reflètent l'aspect dynamique
(action à accomplir) du réel perçu et sont dont
particulièrement liées aux traitements. Les règles
d'action de notre cas d'étude sont les suivantes :
RA1 : Un agent peut appartenir dans un
et un seul service ;
A un service peuvent appartenir un ou plusieurs agents.
RA2 : Un agent peut remplir une ou
plusieurs déclaration d'accident du travail ;
Une déclaration peut être remplie par un et un
seul agent.
RA3 : Une victime peut solliciter une ou
plusieurs déclarations ;
Une déclaration peut être sollicitée par
une ou plusieurs victimes.
RA4 : Une victime peut travailler dans
une et seule société ;
Dans une société peuvent travailler un ou
plusieurs victimes.
RA5 : Une victime peut détenir un
ou plusieurs éléments d'indemnités ;
Un élément d'indemnité peut être
détenu par une ou plusieurs victimes.
5.2. Règle de calcul
Cotisation des 3 derniers Mois avant la victime ait
rencontrée l'accident
1er Mois retenu INSS
2ème Mois retenu INSS
3ème Mois retenu INSS
RMM = ? Mois (Retenus INSS) x 30/90
Total :
%
Taux d'incapacité
Montant Mensuel (MM)
MM = ? Mois (Retenus INSS) x 85% x Taux
d'incapacité %
Montant Trimestriel (MTR)
MTR = MM x 3
Montant Annuel (MAN)
MAN = MM x 12
5.3. DEFINITION DES CONTRAINTES
5.3.1. CONTRAINTE DE CARDINALITE
La cardinalité d'une entité par rapport à
une relation est représentée par un couple de nombres et signifie
le nombre de fois possible qu'une occurrence de cette entité peut
participer à la relation. Ce couple de nombres est composé d'une
cardinalité minimale et d'une cardinalité maximale.
La cardinalité minimale égale
généralement à 0 ou 1, elle est le nombre de fois qu'une
occurrence d'une entité participe à une relation.
La cardinalité maximale est généralement
égale à 0 ou n, correspond au nombre maximum de fois qu'une
occurrence participe aux occurrences de la relation.
A. CONTRAINTES D'INTEGRITE FONCTIONNELLE
(C.I.F)
Une contrainte d'intégrité fonctionnelle
traduit la détermination complète d'un objet à partir d'un
autre. Un CIF sur deux objets participant tous à une relation
donnée exprime que l'un des deux objets (objet fils) est totalement
déterminer par la connaissance de l'autre objet (objet père).
Une sorte de dépendance fonctionnelle est alors traduite par l'objet
« fils » de cardinalité (0,1) ou (1, n) qui pointe
ainsi l'objet « père » de cardinalité (0, n)
ou (1, n).
Cardinalité de l'objet 2
Nom de l'entité 1
Propriété 1
Propriété2
Propriété3
Propriété4
Propriété n
Nom de l'entité 2
Propriété 1
Propriété2
Propriété3
Propriété4
Propriété n
Nom de la relation
(min2, max2) (min1,
max1)
Cardinalité de l'objet 1
5.4. PRESENTATION DE MODELISATION CONCEPTUELLE DE DONNEES
(MCD).
Le modèle conceptuel de données (MCD) a pour but de
modéliser les données mémorisées par un
système d'information sans tenir compte des aspects techniques,
économiques, ni des problèmes de stockage d'information et de
condition d'utilisation.
VICTIME
#num immatr
Nom
Post nom
Prénom
Sexe
Province
District
Adresse
Téléphone
DECLARATION
#num declar
Motif
Date déclar
Date accident
SOCIETE
#Cod ser
Libellé service
AGENT
#matr ag
Nom ag
Post nom ag
Sexe
Fonction
Grade
Adresse
Téléphone
*
MOIS
# Cod mois
Libelle mois
Montant cotisation
MEDECIN
# num d'ordre med
Nom med
Post nom med
Specialité
Téléphone
TAUX D'INCAPACITE
#Cod taux
Val taux
SERVICE
#Cod ser
Libellé serv
Solliciter
Concerner
Etablir
Appartenir
Déterminer
Travailler
1, 1
1, n
1, n
1, 1
1, n
1, n
1, 1
1, n
1, n
1, 1
1, n
1, 1
1, n
1.3. MODELISATION CONCEPTUELLE DE TRAITEMENT (MCT).
1.3.1. Définition des concepts de Base
v Evénement : Constitue
l'élément déclencheur par l'exécution dans un
processus
v Opération : Une
opération est constituée d'un ensemble d'action à
accomplir par le système d'information qui est exécutable sans
interruption en réalisation d'un ou plusieurs
éléments.
v Synchronisation : Est
représentée par le concept « et » et
« ou », permettant de définir les conditions
d'exécution de l'opération.
v Processus : Un processus constitue un
sous ensemble de l'activité de l'entreprise dont les points
d'entrée et de sortie sont stables et surtout indépendant des
choix organisationnel10(*).
1.3.2. FORMALISME
1.3.3. PRESENTATION DE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT
(MCT).
Arrivée de la victime
ACCUEIL
TOULOURS
Victime accueillie
Présence de l'agent
ET
DECLARATION
OK KO
TOULOURS
Déclaration effectuée
Déclaration non effectuée
ENREGISTREMENT
TOULOURS
Enregistrement effectué
Présence du médecin
ET
FIXATION DU TAUX
OK KO
Taux d'incapacité fixé
Taux d'incapacité non fixé
A
CALCUL
TOULOURS
Victime indemnisée
SECTION 2 : ETAPE ORGANISATIONNELLE
L'objet de cette étape est de mettre en évidence
l'organisation à mettre en place pour que le système
d'information atteigne son objectif. La démarche consistera à
déterminer :
v La répartition des traitements entre l'homme et la
machine ;
v Le mode de fonctionnement (temps réel ou temps
différé ;
v L'affectation des données et de traitements par site
organisationnel et par poste de travail.
A ce niveau, les modèles qui y sont associés
sont :
v Pour les données, le modèle organisationnel des
données (MOD) qui représente l'ensemble des données par
site organisationnel. son formalisme est celui de MCD ;
Pour les traitements, le modèle organisationnel des
traitements (MOT) qui permet de représenter par procédure les
phases et les taches exécutées par chaque poste de travail. Son
formalisme est celui de MCT.
2.1. MODELISATION ORGANISATIONNEL DE DONNEES (MOD).
2.1.1. BUT DE MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES
DONNEES
La modélisation organisationnelle de données
permettra de prendre en compte en compte des éléments relevant de
l'utilisant des ressources de mémorisation.
· Le choix des informatisations à mémoriser
informatiquement ;
· La quantification (ou volume) et la durée de la
vie des informations à mémoriser ;
· La répartition de données
informatisées entre unités organisationnelles.
· L'accès aux données informatisées
pour chaque unité organisationnelle.
Ces différentes préoccupations nous conduisent
à définir deux niveaux de modélisation organisationnelle
des données : le MOD GLOBAL, directement
dérivé du MCD et les MOD
LOCAUX, spécifiques chacun à une unité
organisationnelle. Les MOD LOCAUX seront dérivés
du MOD GLOBAL en prenant en compte des choix
d'organisation.
2.1.2. REGLES DE PASSAGE DU MCD AU MOD GLOBAL.
Le modèle organisationnel des données ainsi
obtenu est de niveau global et ne prend pas en compte les choix d'utilisation
repartie. Les règles de passage du modèle conceptuel des
données au modèle organisationnel des données sont les
suivantes ;
· Supprimer des éléments (entités,
relations, propriétés) qui ne seront pas
mémorisés informatiquement ;
· Modifier certains éléments
(entités, relations, propriétés, cardinalités,....)
compte tenu du choix de mémorisation informatisé ;
· Ajouter de nouvelles informations pour permettre de
faire le lien entre les données mémoriser et les données
restées manuelles ; par exemple la références des
fiches, des dossiers, etc. mais aussi pour mémoriser des états du
système d'information consécutif au déroulement des
traitements dans le modèle organisationnel de traitement.
Si le modèle conceptuel de données contient des
informations qui sont toutes mémorisables informatiquement, alors ce
modèle devient organisationnel de données globales.
2.1.3. PRESENTATION DU MODELE ORGANISATIONNEL DES
DONNEES GLOBAL (MOD GLOBAL).
VICTIME
#num immatr
Nom
Post nom
Prénom
Sexe
Province
District
Adresse
Téléphone
DECLARATION
#num declar
Motif
Date déclar
Date accident
SOCIETE
#num soc
Lib soc
adress
AGENT
#matr ag
Nom ag
Post nom ag
Sexe
Fonction
Grade
Adresse
Téléphone
*
MOIS
# Cod mois
Libelle mois
Montant cotisation
MEDECIN
# num d'ordre med
Nom med
Post nom med
Specialité
Téléphone
TAUX D'INCAPACITE
#Cod taux
Val taux
SERVICE
#Cod ser
Libellé serv
Solliciter
Concerner
Etablir
Appartenir
Déterminer
Travailler
1, 1
1, n
1, n
1, 1
1, n
1, n
1, 1
1, n
1, n
1, 1
1, n
1, 1
1, n
2.2. QUANTIFICATION DES PROPRIETES
A ce stage, nous allons faire connaitre la taille des
propriétés en termes des nombres de caractères. En suite,
nous allons calculer la taille de chaque objet et de chaque relation à
partir des tailles des propriétés. Certes cette
évaluation est discutable car,..... Suivant la technique des
mémorisations retenue aux niveaux logique et physique, l'occupation en
octets peut être très variable. De plus, selon certains
systèmes, le choix du mode de représentation informatique peut
être un paramètre d'optimisation.11(*)
2.2.1. TABLEAU DE QUANTIFICATION DES PROPRIETES DES
OBJETS.
OBJET
|
CODE
|
TYPE
|
TAILLE
|
TAILLE OBJET
|
Agent
|
MATR
NOM
PST NOM
SEXE
FONCT
GRADE
ADRES
|
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
10
15
15
01
05
05
25
|
71
|
Service
|
CODSER
LIBSER
|
AN
AN
|
05
25
|
30
|
Déclaration
|
NUM DECL
MOTIF
DATE D'ACC
DATE DECL
|
AN
AN
DATE
DATE
|
10
25
10
10
|
|
Société
|
NUM SOC
NOM
ADRESS
|
AN
AN
AN
|
05
05
25
|
35
|
Victime
|
NUM MMATR
NOM
PST NOM
SEXE
VILLE
PROVINCE
DISTRIC
ADRES
|
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
08
10
15
01
12
11
30
25
|
86
|
Taux d'incapacité
|
Code taux
Val taux
|
AN
AN
|
05
25
|
30
|
Médecin
|
Numéro d'ordre m
Nom
Post nom
Spécial
Adress
|
AN
AN
AN
AN
AN
|
05
10
15
10
25
|
50
|
Mois
|
Code mois
Libellé mois
Montant cotisation
|
AN
AN
AN
|
05
25
15
|
45
|
2.2.2. QUANTIFICATION DU VOLUME DU MOD GLOBAL
La quantification du modèle organisationnel des
données s'effectue essentiellement au niveau du modèle
organisationnel des données global. Elle permettra entre autres le
mieux évaluer les possibilités de répartition
organisationnel des données et en conséquence de dériver
les MOD locaux. Cette quantification permet essentiellement de
déterminer approximativement le volume des données à
mémoriser.
OBJETS
|
NOMBRES D'OCCURENCES
|
Agent
|
200
|
Service
|
12
|
Déclaration
|
80
|
Société
|
250
|
Victime
|
150
|
Taux d'incapacité
|
75
|
Médecin
|
10
|
Mois
|
12
|
2.2.3. QUANTIFICATION DE LA MULTIPLICITE
Le calcul du volume implique la connaissance du nombre maximum
d'occurrence. Comme nous l'avons dit un peu plus haut, ce dénombrement
s'effectue à partir du nombre d'occurrence d'un objet de sa collection
et de la quantification de la cardinalité de la patte. Il faudra alors
procéder à la quantification des cardinalités multiples et
trouver les cardinalités moyennes par la formule :
CM= [(min+2mo+max)/4]* P
Avec :
· Cm : cardinalité moyenne ;
· Min : Cardinalité minimale de l'objet (0
exclu) ;
· Mo : Valeur modale ;
· Max : Cardinalité maximale (nombre
d'occurrences maximum) ;
· P : Taux de participation ; notons que P
appartient toujours à l'intervalle fermé [0,1].
P=effectif présent/effectif total=Mo/Max
Si les valeurs ne sont pas connues avec précision, le
taux de participation conseillé est celui de 95% c'est-à-dire
que l'effectif présent devrait représenter les 95% d l'effectif
total. Et c'est cet effectif qui peut être considérer comme la
valeur modale.
Etant donné que la cardinalité moyenne ne
s'opère que pour des relations du type autre que père et fils,
pour notre application, nous avons pu recenser qu'une seule relation du type et
fils : c'est la relation DETERMINER
VICTIME
MAX=3000
MO=3000
TAUX D'INC
MAX=100
MO=80
DETERMINER
1, n 1, n
MEDECIN
MAX=50
MO=30
La cardinalité moyenne se présente comme
suit :
P= 3000/3000= 1
Cm= [(1+2*3000+3000)/4] * 1 = () * 1
Cm=2. 250,25 2,250
D'où le nombre d'occurrence par la relation
DETERMINER
= 100 x 22,50
= 20.500
2.2.4. CALCUL DU VOLUME DES OBJETS
Après avoir dégagé la taille ainsi que le
nombre maximum d'occurrences de chaque, nous pouvons trouver le volume
de chaque objet grâce à la formule suivante :
Vo=To*No
- Vo : Volume de l'objet
- To : Taille de l'objet
- No : Nombre maximum d'occurrences de l'objet
OBJET
|
TAILLE OBJET
|
NOMBRE D'OCCURENCE
|
VOLUME OBJET
|
Agent
|
71
|
200
|
14200
|
Service
|
30
|
12
|
360
|
Déclaration
|
55
|
80
|
4400
|
Société
Victime
Médecin
|
63
86
50
|
250
150
10
|
15750
12900
500
|
Taux d'incapacité
|
30
|
75
|
2250
|
Mois
|
45
|
12
|
540
|
? VOLUME DES OBJETS
50900
|
2.2.5. CALCUL DU VOLUME THEORIQUE DU MOD
En final, le volume théorique du modèle conceptuel
des données s'obtient comme suit :
Volume utile = (? volume objets + ?
volume relations)*coefficient de sécurité
Pour notre cas, le volume de relation est égal à 0,
d'où la somme est aussi 0.
Coefficient de sécurité variant entre 1,5 et 3
selon les technologies avec :
Volume utile = (50900 + 0)*3
Volume= 50900 *3
Volume utile =152700 CARACTERES.
2.3. DERIVATION DES MOD LOCAUX A PARTIR DU MOD GLOBAL
Cette étape nous permet de créer une gestion
distribuée en réseaux et permettant la répartition des
données et des traitements entre les clients (ordinateur qui accordent
aux ressources partagées à un ou plusieurs serveurs) et serveur
(ordinateur fournissant des ressources partagées aux utilisateurs) par
un serveur de réseau.
Ainsi le MOD global logé dans un serveur sera
interrogé par des clients possédant une partie du MOD Global
appelée MOD Local ou site (Site1, Site2............Site) regroupant un
type d'acteur, tous limités par un droit d'accès tel que la
consultation, mise à jour (MAJ). Le site est un ensemble de type
d'acteurs regroupé sur un critère organisationnel et/ou
fonctionnel. (Ex. Service, payement, facturation).
2.3.1. PRISE EN COMPTE DE LA SECURITE DES DONNEES.
L'un des points forts d'une gestion d'information
informatisée est la sécurité de la base de données,
de ce fait, il est indispensable de définir des restrictions
d'accès aux différentes
données mémorisées en vue de l'utilisation des
catégories d'acteurs regroupés dans des sites.
Il existe 4 paramètres de restriction qui sont :
lecture ou consultation (L), création (C), Modification (M), suppression
(S).
La sécurité d'accès passe par la
définition de catégories ou de profils d'utilisateurs. Pour
chaque profil, on précise les éventuelles restrictions
d'accès envisagées. L'application de la répartition des
informations informatisées en unités organisationnelles ainsi que
leurs accessibilités et sécurités à notre cas
d'étude se trouve présentée sur les différents
schémas suivants ;
SITE1 : DECLARATION D'ACCIDENT DU TRAVAIL
AGENT
C
L
M
SERVICE
L
VICTIME
C
L
M
S
DECLARATION
C
L
M
APPARTENIR
REMPLIR
APPARTENIR
SITE2 : FIXATION DE TAUX D'INCAPACITE
VICTIME
L
C
M
S
ELEMENT D'INDEM
L
C
M
S
SOCIETE
L
DETENIR
TRAVAILLER
2.4. . MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS
(MOT)
Le MOT est une dynamique de traitement qui permet, de
décrire les contraints dues à l'environnement (organisationnel,
spatial et temporel). Il répond à trois questions
notamment :
1. Quand
2. Comment
3. Ou
La 1ère question Quand :
Détermine le moment, la fréquence, la
périodicité
La 2ème question Comment : Ici la
question pousse à réfléchir de quelle manière es
fera, le travail, défunt la nature du tâche
· Par l'homme : Tâche exécutée
manuellement TM
· Par Machine : Tâche exécutée
informatiquement T.I ou T.A
· Par l'homme et Machine : Tâche
exécutée en temps réelle TR
· La 3ème question ou indique le poste
de travail (environnement de travail)12(*).
Règle de passage
Il est à noter que le passage de MCT en MOT se fait de
la manière suivante
On ramène fidèlement le MCT tels qu'il est, on
ajoute trois colonnes :
1ère Colonne : Quand
2ème Colonne : Comment
3ème Colonne : OU
2.4.1. Formalisme
Le formalisme de MOT est identique au MCT sauf il y a ajout de
3 colonnes :
· Quand
· Comment
· Où
Quand
|
Procédure
|
Comment
|
Où
|
Opération
Règle
Résultat
Événement
|
Type tâche
TR-UI
TM-UI
TA-LD
|
Poste
Concerne
|
|
2.4.2. PRESENTATION DU MODELISATION ORGANISATIONNELLE
DE TRAITEMENT (MOT)
Arrivée de la victime
ACCUEIL
TOULOURS
Victime accueillie
Présence de l'agent
ET
DECLARATION
OK KO KO
TOULOURS
Déclaration effectuée
Déclaration non effectuée
ENREGISTREMENT
TOULOURS
Enregistrement effectué
Présence du médecin
ET
FIXATION DU TAUX
OK KO
Taux d'incapacité fixé
Taux d'incapacité non fixé
A
TEMPS PROCEDURE
FONCTIONNELLE NATURE POSTES
8H00
TM-UI RECEPTION
TM-UI RECEPTION
TR-UI
DEP RISQ
TM-UI
CENTRE HOSP
CALCUL
TOULOURS
Victime indemnisée
17H
TR-UI
RISQ
CHAPITRE III : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
INFORMATISE (SII)
Contrairement à la phase qui est celle de la conception
du système d'information organisationnelle, la présente phase
prend en compte les contraintes techniques de l'information. L'implication de
ces contraintes est telle que le vocabulaire jusque là employé
sera affecté par des termes informatiques. Il s'agira, pour nous, de
répondre à la question « comment ? » qui
demande de démontrer la manière et les procédures qui
seront mises en oeuvre pour parvenir à mettre sur pied un logiciel de
gestion d'indemnisation des agents déclarés invalides, mais tout
en compte des éléments définis au niveau organisationnel.
Bref, la détermination du matériel (hard ware)
et du logiciel (soft ware) à utiliser ainsi que ceux de
différents niveaux de réalisation de notre logiciel et les
considérations inhérentes à sa concrétisation
doivent être notre préoccupation.
Cette phase comporte deux étapes de description qui
sont :
· L'étape logique ;
· L'étape physique.
SECTION 1 : SCENARION DE MISE EN OEUVRE
1.1. PRESENTATION DU HARD WARE
Etant donné que l'institut national de
sécurité ne possède pas de matériel informatique
précisément au département de risque professionnel qui est
notre service concerné ou spécifique, nous nous sommes permis de
présenter le cahier de charge suivant en rapport avec un
ordinateur ;
· Processeur (CPU) : 2.5GHz (PENTUIM IV)
· Disque dur : 80 Giga-octets
· Mémoire RAM : 512 Megaoctets
· Lecteur optique : Lecteur/Graveur DVD
· Lecteur disquette : 3 ½ pouces (HD
1,44 Mb)
· Moniteur : SVGA 17 pouces
· Clavier USB : Azerty
· Souris USB
Et :
· Un ondulaire (1000 Va)
· Une imprimante lazer.
1.2. Présentation software
· Système d'exploitation : Windows XP service
page 2
· Logiciels d'application : Microsoft office 2007,
Visual basic 6.0, Antivirus Avast.
· Estimation du cout de
réalisation
Les moyens financiers à engager dans la
réalisation de ce projet avoisinent un cout global d'au moins
2.000 dollars américains, incluant l'achat d'un
ordinateur, des logiciels appropriés précités pour son
bon fonctionnement ainsi que pour la formation informatique des agents du
service du département du risque professionnel qui auront à
utiliser l'application qui fait de l'aboutissement de notre travail de fin
cycle.
SECTION 2 : SCENARIO DE DEVELOPPEMENT
2.1. Système de gestion de base de données
(SGBD)
Un SGBD être perçu comme un
ensemble de logiciels systèmes permettant aux utilisateurs
d'insérer, de modifier et de rechercher efficacement des données
spécifiques dans une grande masse d'informations (pouvant atteindre
quelques milliards d'octets) et parfois partagée par ces multiples
utilisateurs13(*). C'est
aussi un logiciel de haut niveau qui permet de manipuler les informations
stockées dans une base de données.
L'avantage qu'il ya à utiliser un SGBD relationnel ou
SGBDR réside dans le fait que ce type de SGBD ;
· Permet l'économie d'espace disque en
réduisant au maximum les redondances ;
· Permet une répartition de la base de
données en tables tout en créant des connexions ou relation entre
elles ;
· Permet de rechercher d'information pat des
requêtes en langage simple (SQL) ;
· Dispose d'une indépendance physique car on peut
modifier le niveau physique indépendamment du niveau
conceptuel ;
· Permet la capacité d'accès aux
données ;
· Permet de partager les données.
Parmi les fonctionnalités reconnues aux SGBDR, citons
principalement ;
· La description de la structure de la base de
données ;
· La manipulation des données au moyen des
requêtes écrites généralement en SQL ;
· La sécurisation des données qui se
résume en sauvegarde des données (Back Up) et à
restauration des données (RESTORE) ;
· La confidentialité en résumant par la
restriction d'accès aux différents utilisateurs et par le
cryptage des données.
CHOIX DU SGBD
Le choix d'un SGBD doit généralement être
bien réfléchi car on doit tenir compte des aspects de
performance technique du volume de la base de données et du nombre
d'utilisateurs dans le système.
Nos portons notre choix sur SGBDR Access pour les raisons
suivantes :
· Il permet le stockage de données dans les tables
à deux dimensions c'est-à-dire sur des lignes et des
colonnes ;
· Il permet à partir de sa version2002, de stocker
un peu plus de 2Go de maximum ;
· Chaque table peut comporter deux millions
d'enregistrements au maximum ;
· Il peut servir de 5 à 10 utilisateurs
simultanément ;
· Il est totalement relationnel, permettant ainsi de
vérifier :
ü Le critère d'intégrité
d'entité (toute table doit posséder une clé primaire dont
la valeur ne doit pas être nulle) ;
ü Le critère d'intégrité de
référence (les données d'une table doivent être
cohérentes entre elles, de plus lorsque les éléments font
références à d'autres, ces derniers doivent être
présents) :
ü Le critère d'un langage d'interrogation ayant la
puissance algébrique : la sélection, la projection et la
jointure.
2.2. LANGAGE DE PROGRAMMATION
Les premiers langages de programmation étaient
généralement constitués d'une suite d'instructions
s'exécutant de façon linéaire. Dans ce contexte, le
lancement d'un programme détaillant débutait par
l'exécution de la première instruction du fichier source et se
poursuivait ligne après ligne jusqu'à la dernière
instruction du programme, « ........ Cette approche
linéaire, bien que simple à mettre en oeuvre, a très
rapidement montré ses limites ». En effet, les programmes
monolithiques ne se prêtent guère à l'écriture de
grosses applications et ne favorisent pas la réutilisation du code.
En conséquence, d'autres langages qui proposaient une
approche radicalement différente sont apparus ; l'approche
procédurale. Cette approche dite aussi modulaire consistait à
découper le programme en une série de fonctions ou
procédures ou contenant des instructions ayant pour but d'accomplir une
tache bien déterminée.
Ainsi, dans cette approche, un programme était un
assemblage de plusieurs fonctions s'appelant entre elle, les
inconvénients de cette approche procédurale est que, d'une part
elle a tendance à dissocier les données des fonctions qui les
traitent, et d'autres part, elle n'offre pas des techniques permettant de
favoriser la spécialisation des fonctions existantes.
Dès le début des années 80, une nouvelle
technologie a été créée afin d'améliorer ce
mode de fonctionnement : la programmation orientée objet(POO).
Cette technique est destinée à améliorer la
réutilisation des outils existants et favoriser la spécialisation
de ces mêmes outils. Dans ce même contexte, une nouvelle
entité a été créée pour regrouper les
fonctions et les données ; l'objet. Les objets sont devenus des
acteurs incontournables de développement informatique
professionnel.14(*)
CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION
En ce qui concerne, le langage de programmation, notre choix
s'est porté sur Microsoft Visual Basic 6.0 qui est une
plate forme de développement des applications Windows utilisant le Basic
comme langage de programmation. Cette plate forme utilise l'approche
orientée objet, conçu pour faciliter le
d développement, VISUAL BASIC offre les
possibilités de développement graphiques ou des objets
(contrôles) réagissent à des événements
(actions sur ces objet) déclenchée que par
l'événement pour le quel elles ont été
destinées.
2.3. PRISE EN COMPTE DES BESOINS DES UTILISATEURS
Les besoins des utilisateurs sont la finalité
même de notre démarche car, le système à mettre en
place doit être capable de les remplir. Ainsi, les besoins des
utilisateurs du futur système s'exprime en terme de :
- Liste des victimes indemnisées
- Liste des victimes indemnisées par provinces
- Listes des agents déclarés Invalides.
SECTION 3 : ETAPE LOGIQUE
Les modèles conceptuels et organisationnels ont permis
de présenter un système technologique nous intéressent et
nous guident .notons quand même qu'une indépendance logique
(possibilité de modifier un schéma externe sans mettre en cause
le modèle conceptuel) assure l'indépendance entre le
différent utilisateur en permettant à chacun de manipuler une
partie de la base de données par une structuration propre.
3.1. MODELISATION LOGIQUE DES DONNEES
3.1.1 BUT DE LA MODELISATION LOGIQUE DES
DONNEES
La modélisation logique des données est une
représentation des données, issue de la modélisation
conceptuelle puis organisationnelle des données. Elle est
exprimée dans un formalisme général et compatible avec
l'état de l'art technique et tient compte des aspects couts/performances
lieu aux traitements. La modélisation logique des données
conduire aux opérations suivantes :
· Transformation du MOD, exprimé en formalisme
entité-relation, en un MLD exprimé dans un formalisme logique
adapté au SGBD envisagé.
· Quantification en volume du modèle logique.
· Valorisation de l'activité
générée par les modèles logique.
· Traitement (taches du MOT).
· Optimisation générale.
Le modèle relationnel a été défini
par E.F CODD en 1970.le modèles relationnel présente deux aspects
fondamentaux : une algèbre permettant de manipuler des tables ou
relations et une démarche de conception permettant de définir une
collection de relations.
3.1.2 REGLES DE PASSEGE DU MOD AU MLD BRUT
- Pour les entités :
ü les entités ou objets deviennent des
tables ;
ü les propriétés des entités
deviennent leurs attributs ;
ü les identifiants deviennent des clés primaires
des tables.
-La relation du type « père - fils
» de cardinalité (0, N)-(1 ,1) : ou (1, N)-(1 ,1)
ü elles disparaissent ;
ü le père envoie sa clé au fils qui le
pointe et, celle-ci devient une clé étrangère ;
ü si la relation possédait des attributs, ceux-ci
émigrent dans la tale « fils ».
ILLUSTRATION
OBJET FILS
TABLE FILS
TABLE PERE
OBJET PERE
LIAISON
E1
#P1
P2
P3
E1
#P1'
P2
P3
T1
#P1
#P1'
P2
P3
T2
#P1
P2'
P3'
R1
Règle de passage
RELATION
· les relations du type autre que « père
-fils » de cardinalité (0, N)-(1, N) ou (1, N)-(1, N)
ü iles se transforment en tables dont la clé est
une concaténation des clés tables participant à la
relation,
ü la table ainsi créée pointe les tables
d'où elle tire ses clés ;
ü si la relation portait des propriétés,
celle-ci deviennent ses attributs.
ILLUSTRATION
E1
#P1
P2
P3
E2
#P2'
P2'
P3'
T1
#P1
P2
P3
T1
#P1
#P2'
P1''
T2
#P2'
P2'
P3'
Règle de passage
R1
P1''
RELATION
· Cap particuliers
ü (0,1)-(1,1) et (1,1) -(0,1) : considérer
l'objet ayant 0,1 pour cardinalité comme objet père
et appliquer la règle pour la relation du type « père
-fils » ;
ü (0,1)-(0,1) : faite le choix entre les deux objets
pour designer l'objet père et appliquer la règle pour la relation
du type « père -fils » ;
ü Pour des relation d'une dimension supérieure
à deux ,quelles que soient les cardinalité ,elle se transforment
en tables dont la clé est une concaténation des clés
appartenant à toutes les tables participant à la
relation .si la relation porte une propriété ,celle -ci
devient un attribut ;
ü Pour des relations unaires :
-solution 1 : la relation devient une
tables avec pour clé la duplication de la clé de l'objet
participant à la relation tout en la changeant d'appellation.
-solution 2 : la relation disparait,
mais la table est modifiée et on procède à la
multiplication de la clé tout en changeant d'appellation.
Le MLD découlant de l'appellation de toutes ces
règles est un MLD Bru
3.1.3. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DES DONNEES BRUT
(MLD BRUT)
VICTIME
#NUM IMMATR
#NUM DECLAR
#COD PROV
#COD DISTR
#NUM SOC
NOM
POST NOM
...............
DECLARATION
#NUM DECLAR
#COD MOIS
#MATR AG
MOTIF
DAT DECLAR
DAT ACC
PROVINCE
#COD PROV
LIB PROV
DISTRICT
#COD DISTR
LIB DISTR
DETERMINATION
#NUM IMMATR
#NUM D'ORD M
#COD TAUX
SOCIETE
#NUM SOC
NOM
NUM AFF
ADRESSE
AGENT
#MATR AG
#COD SER
NOM AG
PST NOM AG
SEXE
FONCTION
GRADE
ADRESSE
TELEPHONE
SERVICE
#COD SER
LIB SER
MEDECIN
#NUM D'ORD M
NOM MED
PST NOM MED
SPECIALITE
TELEPHONE
TAUX D'INCAPACITE
#COD TAUX
VAL TAUX
MOIS
#COD MOIS
LIB MOIS
3.1.4. VERIFICATION ET NORMALISATION DES TABLES
Définition
La normalisation est une opération intellectuelle
permettant de valider le MLD brut en supprimant les dernières
redondances qui pourrait encore persister.
- PRINCIPE DE LA NORMALISATION
On part d'une table universelle dont le schéma se compose
de la totalité des attributs (dictionnaire de données), sur
laquelle on applique un algorithme de normalisation.
La Normalisation se présente alors comme une
décomposition de cette table de départ en plusieurs tables
normalisées.
Codd a proposé trois formes normales, auxquelles ont
été ultérieurement été ajoutée
d'autres formes normales comme les 4e, 5e formes normales
ou la forme de Boyce-Codd.
La première décomposition s'effectue sur la
notion de dépendance fonctionnelle.
Un attribut B d'une table T est fonctionnellement
dépendant d'un autre attribut A de T, si, à tout instant,
chaque valeur de A n'a qu'une valeur associée de B : on note A
B
La 0eme forme normale impose que
chaque table soit identifiée par une clé primaire et que tous les
autres attributs de la table soit en dépendance fonctionnelle avec la
clé primaire.
La 1ere forme normale a pour objet
d'éliminer les groupes répétitifs dans une table. La
démarche est la suivante
Sortir le groupe répétitif de la table initial.
Transformer le groupe répétitif en table, trouver
sa clé et rajouter dans la clé de cette nouvelle table la
clé primaire de la table initiale.
La 2eme forme normale concerne les
tables à clé primaire composée (composée de
plusieurs attributs). La règle impose que les attributs non-clé
primaire dépendent de la totalité de la clé primaire. Tout
attribut qui ne dépendrait que d'une partie de la clé primaire
doit être exclu de la table. Le processus est le suivant.
Regrouper dans une table les attributs dépendant de la
totalité de la clé, et conserver cette clé pour cette
table.
Regrouper dans une autre table les attributs dépendant
d'une partie de la clé, et faire de cette partie de clé la
clé primaire de la nouvelle table.
La 3eme forme normale a pour objet
l'élimination des dépendances transitives au sein d'une table.
(Rappel : La transitivité A B, B C alors A C). La démarche
est
Conserver dans la table initiale les attributs dépendant
directement de la clé
Regrouper dans une table les attributs dépendant
transitivement; l'attribut de transition reste dupliqué dans la table
initiale, et devient la clé primaire de la nouvelle table.
La forme normale de Boyce-Codd (BCNF) permet
d'éviter des redondances dues à l'existence de dépendances
fonctionnelles autres que celles de la clé vers des attributs non
clés.
Soit un exemple dans lequel un employé est affecté
(un certain nombre d'heures) à un certain nombre de projets
effectués dans un certain nombre d'unités de fabrication (Une
unité de fabrication ne traite qu'un projet donné).15(*)
3.1.5. PRESENTATION DE MODELE LOGIQUE DE DONNEES
VALIDE (MLD VALIDE)
VICTIME
#NUM IMMATR
#NUM DECLAR
#COD PROV
#COD DISTR
#NUM SOC
NOM
POST NOM
...............
DECLARATION
#NUM DECLAR
#COD MOIS
#MATR AG
MOTIF
DAT DECLAR
DAT ACC
PROVINCE
#COD PROV
LIB PROV
DISTRICT
#COD DISTR
LIB DISTR
DETERMINATION
#NUM IMMATR
#NUM D'ORD M
#COD TAUX
SOCIETE
#NUM SOC
NOM
NUM AFF
ADRESSE
AGENT
#MATR AG
#COD SER
NOM AG
PST NOM AG
SEXE
#COD GRADE
#COD FONC
ADRESSE
TELEPHONE
SERVICE
#COD SER
LIB SER
MEDECIN
#NUM D'ORD M
NOM MED
PST NOM MED
#COD SPEC
TELEPHONE
TAUX D'INCAPACITE
#COD TAUX
VAL TAUX
MOIS
#COD MOIS
LIB MOIS
GRADE
#COD GRADE
LIB GRADE
FONCTION
#COD FONC
LIB FONC
SPECIALITE
#COD SPEC
LIB SPEC
3.1.6. SCHEMAS RELATIONNELS DU MODELE LOGIQUE DE
DONNEES
Les schémas relationnels associés au
modèle logique de données sont les schémas des
différentes tables constituant notre modèle logique de
données validé.
Il est constitué du nom de la table suivi de la liste
de ses attributs avec leurs domaines des valeurs.
Les schémas relationnels associés au
modèle logique de données sont les suivants :
1. VICTIME : {#Num victim : texte
(08), #Num décl. texte(05),#Cod prov : texte (05),#Cod dist :
texte(05),#Num soc : texte(05), Nom : texte(10), Post nom :
texte(15), sexe : texte(02), Tél : Numérique (14)}
2. PROVINCE : {#Cod prov :
texte(05), lib prov : texte (25)}
3. DISTRICT : {#Cod distr : texte
(05), lib distr : texte (25)}
4. FONCTION : {#Cod fonc : texte
(05), libfonc : (25)}
5. GRADE : {# Cod grad : texte
(05), lib grad : texte (25)}
6. SPECIALITE : {#Cod spec : texte
(05), lib spec : texte (25)}
7. SERVICE : {# Cod ser :
texte (05), # lib ser : texte (25)}
8. SOCIETE : {# Num soc: texte (05), Num
aff : texte (05), Adresse : texte (25}.
9. TAUX : {#Cod taux : texte(05),
val taux : texte(30)}
10. DETERMINATION : {#Num Immatr :
texte(08),#num ord m : texte(05),#Cod taux :
texte(05)}
11. DECLARATION {#Num declar :
texte(05),#Cod mois : texte(05),#Matr ag : texte(08), motif :
texte(30), date : date(10)}
12. MOIS {#Cod mois : texte(05),
lib mois : texte(30)}
13. AGENT {#Matr ag : texte(08),
#Cod ser : texte(05),#Cod grade : texte(05),#Cod fonc :
texte(05), adresse : texte(25), tel : Numérique :(14)}
3.1.7. DICTIONNAIRE DE DONNEES
ATTRIBUT
|
TYPE
|
VICTIME
|
PROVINCE
|
DISTRICT
|
FONCTION
|
MOIS
|
SPECIALITE
|
GRADE
|
SERVICE
|
SOCIETE
|
TAUX D'INCA
|
DETERMINATION
|
DECLARATION
|
AGENT
|
MEDECIN
|
#MATR AG
|
Texte
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
X
|
|
#COD SER
|
Texte
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
|
|
|
X
|
|
#NUM IMM
|
Texte
|
X
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
|
|
#COD PROV
|
Texte
|
X
|
X
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|
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|
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|
|
|
|
|
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|
#COD DISTR
|
Texte
|
X
|
|
X
|
|
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|
|
|
|
|
|
|
#COD MOIS
|
Texte
|
|
|
|
|
X
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|
|
|
|
|
|
X
|
X
|
|
#COD GRADE
|
Texte
|
X
|
|
|
|
|
|
x
|
|
|
|
|
|
X
|
|
#COD FONC
|
Texte
|
X
|
|
|
X
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
#NUM SOC
|
Texte
|
X
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
|
|
|
|
#COD TAUX
|
Texte
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
X
|
|
|
|
#NUM DECL
|
Texte
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
|
#COD SPEC
|
Texte
|
|
|
|
|
|
X
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|
|
|
|
|
|
|
|
#NUM O M
|
Texte
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
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|
|
X
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NOM
|
Texte
|
X
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|
|
|
|
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|
|
|
|
|
X
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X
|
PST NOM
|
Texte
|
X
|
|
|
|
|
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|
|
|
|
|
|
X
|
X
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SEXE
|
Texte
|
X
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
|
|
X
|
X
|
ADRESS
|
Texte
|
X
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
X
|
TELEPHONE
|
Texte
|
X
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
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X
|
MOTIF
|
Texte
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
|
LIB GRADE
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Texte
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|
|
X
|
|
|
|
|
|
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LIB FONC
|
Texte
|
|
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X
|
|
X
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|
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LIB DISTR
|
Texte
|
|
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X
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|
|
|
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|
|
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LIB SER
|
|
|
|
|
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|
X
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LIB SPEC
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Texte
|
|
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|
|
X
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X
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VAL TAUX
|
Texte
|
|
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|
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|
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|
X
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|
DATE
|
Date
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
X
|
|
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LIB MOIS
|
Texte
|
|
|
|
|
X
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3.2 CALCUL DU VOLUME DE LA BASE DE DONNEES
a. Calcul du volume des tables
TABLE
|
TAILLE
|
NOMBRE D'OCCURENCES
|
VOLUMES
|
VICTIME
|
69
|
100
|
6900
|
PROVINCE
|
30
|
11
|
330
|
DISTRICT
|
30
|
53
|
1590
|
FONCTION
|
30
|
80
|
2400
|
MOIS
|
30
|
12
|
360
|
SPECIALITE
|
30
|
50
|
150
|
GRADE
|
30
|
20
|
150
|
SERVICE
|
30
|
80
|
2400
|
SOCIETE
|
45
|
250
|
12250
|
TAUX D'INCAPACITE
|
35
|
50
|
1750
|
DETERMINATION
|
18
|
100
|
1800
|
DECLARATION
|
68
|
100
|
6800
|
AGENT
|
62
|
80
|
4960
|
Total
volume des tables = 41140
|
b. Volume des Index
TABLE
|
CLE INDEX
|
TAILLE
|
NOMBRE D'OCCURRENCE
|
VOLUME
|
VICTIME
|
#num immatr
#num declar
#cod prov
#num soc
|
08
05
05
05
|
100
|
2300
|
PROVINCE
|
#cod prov
|
05
|
11
|
55
|
DISTRICT
|
#cod distr
|
05
|
53
|
265
|
FONCTION
|
#cod fonc
|
05
|
80
|
400
|
MOIS
|
#cod mois
|
05
|
12
|
60
|
SPECIALITE
|
#cod spec
|
05
|
50
|
250
|
GRADE
|
#cod grade
|
05
|
20
|
100
|
SERVICE
|
#cod ser
|
05
|
80
|
400
|
SOCIETE
|
#num soc
|
05
|
250
|
1250
|
TAUX D'INCAPACITE
|
#cod taux
|
05
|
50
|
250
|
DETERMINATION
|
#num immatr
#num ord med
#cod taux
|
08
05
05
|
100
|
1800
|
DECLARATION
|
#num declar
#cod mois
#matr ag
|
05
05
08
|
100
|
1800
|
AGENT
|
#matr ag
#cod ser
#cod grade
#cod fonc
|
08
05
05
05
|
80
|
1840
|
Volume total des
Index = 10770
|
c. Volume de la base de données
La sommation des volumes des tables et celles des volumes des
index étant dégagées, nous pouvons maintenant calculer
sans difficulté le volume utile du MLD VALIDE ou MLD
NORMALISE :
Volume Global = (Volume MLD N + Volume des Index) *
coefficient
Volume Global = (41140 + 10770) * 2,5
Volume Global = 51910 octets.
3.3. Modèle logique des traitements
3.3.1. But du modèle logique des traitements
Le modèle logique des traitements se préoccupe
d'une vision interne des moyens que l'informaticien va utiliser pour construire
le logiciel correspondant aux activités informatisées
définies dans le modèle organisationnel des traitements. On
parlera d'enchaînement de transactions, de découpage en module, de
répartition des données et traitements informatisés.
L'informaticien se posera la question : comment vais-je concevoir mon
logiciel par rapport aux fonctions demandées ?
En résumé, la problématique de la
modalisation logique des traitements c'est comment informatiser les
activités prescrites dans la modélisation organisationnelle es
traitements compte tenu :
ü Des ressources et contraintes logicielles et
matérielles ;
ü Des principes généraux d'ergonomie.
3.3.2. Définition des concepts de base du
modèle logique des données
3.3.3. La machine
logique
Une machine logique type est définie comme un ensemble
de ressources informatiques (matériel et logiciel) capables
d'exécuter des traitements informatiques de façon autonome. Une
machine logique n'est pas à confondre avec une machine physique qui est
un ensemble de matériels permettant d'assurer les fonctions de base de
l'informatique (exécution de logiciel, mémorisation, en
entrée/sortie).
Une machine logique peut alors être
représentée par :
ü Une machine physique (un ordinateur autonome ou un
serveur en réseau) ;
ü Plusieurs machines physiques (des ordinateurs clients
en réseau) ;
ü Une partie d'une machine physique (exemple, une machine
virtuelle).
ü 3.3.4.
L'événement/résultat-message
Contrairement à la signification portée dans le
formalisme général de la méthode Merise aux niveaux
conceptuel et organisationnel dans le SIO (échange de stimuli et des
réponses par rapport au système d'information),
événements et résultats ont une signification autre
signification dans le SII. Ici ils expriment les échanges entre le SIO
(c'est-à-dire les utilisateurs) et le SII.
En conséquence, bien que reconduisant la symbolisation
graphique précédemment utilisée, les
événements et résultats du niveau logique pourront
représenter :
ü Des apports ou production d'informations entre le SIO
et le SII, où l'on retrouvera certains événements ou
résultats du SIO ;
ü Des échanges entre des machines logiques ou des
unités logiques de traitements ;
ü Le lancement ou la fin des traitements
informatisés déclenchés à l'initiative de
l'utilisateur dans le cadre de ses tâches ; nous utilisons ainsi
fréquemment l'événement « début
procédure GEST IND » et « fin procédure GEST
IND ».
3.3.5. Présentation de modèle logique des
traitements
ULT 03
MENU GENERAL
Créer
VICTIME
MEDECIN
AGENT
PROVINCE
DISTRICT
ELEMENT D'INDEMNITE
SOCIETE
DECLARATION
MOIS
SERVICE
GRADE
FONCTION
DETERMINATION
TAUX D'INCAPACITE
Listes
ULT 04
ULT 05
ULT 06
ULT 07
ULT 08
ULT 09
ULT 10
ULT 11
ULT 12
ULT 14
ULT 15
ULT 16
ULT 17
ULT 18
Début PL Freight-man
*Affichage logo
*Message d'accueil
ULTO1
Logo d'accueil
CONNEXION
ULT 02
Nom utilisateur :
Mot de passe :
OU
Message d'erreur
Fin PL GEST IND
ULT 13
Quitter
Quitter
Valider
3.3.6. L'unité
logique de traitement (ULT)
L'unité logique de traitement type (ULT)
modélise un ensemble de traitements informatiques perçus comme
homogènes en termes de finalités. Une ULT se définie
également par rapport à la cohérence des données du
système d'information informatisé. Avant son lancement, les
données doivent être cohérentes (c'est-à-dire
respecter toutes les contraintes définies dans la base de
données) ; durant son déroulement, les différentes
actions sur les données envisagées peuvent enfreindre
provisoirement cette cohérence ; à l'issue de son
exécution, quelles que soient les conditions de sortie
modélisée, l'ensemble de données mémorisées
doit retrouver sa cohérence.
Une ULT peut modéliser par exemple :
ü Une transaction dans un système
transactionnel ;
ü Une boîte de dialogue ;
ü Une édition ;
ü Un module dans une chaîne batch.
Pour sa description, une ULT devra contenir les
éléments suivants :
a. La
présentation
La présentation associé à sa logique de
dialogue, constitue l'interface homme / machine. Cette composante d'une ULT est
d'une importance capitale car elle est le point de contact
privilégié entre l'utilisateur et la partie informatisée
de son système d'information. La présentation est la partie
externe et visible à l'utilisateur et peut se concrétiser
par :
Un écran utilisant des objets alphanumériques
activables par l'intermédiaire d'un clavier.
Une fenêtre utilisant des objets alphanumériques
ou graphiques activables par l'intermédiaire d'un clavier ou d'une
souris.
D'une édition sous forme d'état ou de
formulaire.
b. La logique de
dialogue
La logique de dialogue comprend l'ensemble des règles
de gestion et de contrôle associées à la
présentation. Les algorithmes et les accès aux données ne
sont pas pris en compte. Les règles de gestion de l'interface
expriment :
Des actions sur le clavier ;
Des actions sur des objets graphiques ;
La dynamique de la présentation.
Les règles de contrôle de l'interface
correspondent à :
ü Des contrôles sur les données de la
présentation (sans faire d'accès aux données de la
base) ;
ü Des calculs élémentaires sur les
données de la présentation.
c. La logique
fonctionnelle
Elle représente l'algorithmique générale
de l'ensemble des traitements à effectuer et constitue le pilier d'une
ULT. Elle articule les différentes fonctionnalités d'une ULT et
permet d'assurer les échanges :
ü Avec la partie logique de dialogue (appel, transfert
des données) ;
ü Avec la partie accès aux données
(demande, récupération) ;
ü Avec la partie enchaînement (appel d'autres ULT,
retour d'ULT appelée) ;
ü Avec les règles de calcul (lancement,
récupération).
d. Les enchaînements
Les enchaînements assurent les liaisons entre les
différents ULT d'un MLT. Ils représentent :
ü Les origines des appels de l'ULT
(événements logiques) ;
ü Les liaisons conditionnelles vers d'autres ULT
(résultats logiques).
3.3.7. Procédure logique
La procédure logique est l'enchaînement des ULT
réalisant l'informatisation d'une tâche ou phase du modèle
organisationnel. Le début d'une procédure logique
représente l'appel par l'utilisateur du menu ou de la fonction de
l'application correspondant à la tâche. La fin de la
procédure correspond-elle au retour au menu de l'application permettant
le lancement d'une autre procédure.
La présentation de la procédure logique n'a
pratiquement pas d'intérêt que dans le cas d'enchaînements
suffisamment complexes d'ULT. Dans le cas où la procédure se
réduit à une ou deux ULT, sa formalisation est superflue ;
on se satisfait alors de la description du contenu de chaque ULT.
3.3.8. Description des unités logique des
traitements
1. ULT O1 : Logo d'accueil
a. présentation
Bienvenu au
GEST IND
b. Dialogue Homme/Machine
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Double clic sur l'icône et attente de 10 secondes
|
Chargement du formulaire de connexion
|
Affichage du formulaire connexion
|
c. Enchainement des boutons
Bouton
|
Action
|
Résultat
|
Aucun
|
Attente pendant 10 secondes
|
Affichage connexion
|
2. ULT 02 : Connexion
a. Présentation
CONNEXION
ULT 02
Nom utilisateur :
Mot de passe :
Quitter
Valider
b. Dialogue Homme/Machine
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Saisie le mot de passe et le nom utilisateur puis cliquer sur
Valider
|
Vérifier la validité des informations saisies
|
Vérification et observation du compte utilisateur
|
Clique sur Quitter
|
Mettre fin au programme
|
Ferme le logiciel
|
c. Enchainement des boutons
Bouton
|
Action
|
Résultat
|
Valider
|
Clic
|
Vérification du compte si c'est valide,
déchargement du l'ULT 02 et chargement du l'ULT 03
|
Quitter
|
Clic
|
Décharge l'ULT 02 et ferme l'application.
|
3. ULT 03 : Menu
général
a. Présentation
MENU GENERAL
QUITTER
ACCEDEZ AUX FORMULAIRES
ACCEDEZ AUX EDITIONS
b. Dialogue Homme/Machine
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Click sur accédez aux formulaires
|
Affiche tous les formulaires
|
Liste choix de formulaires
|
Click sur accédez aux éditions
|
Affiche les listes
|
|
c. Enchainement boutons
Bouton
|
Action
|
Résultat
|
ACCEDEZ AUX FORMULAIRES
|
Click
|
Affiche les formulaires
|
ACCEDEZ AUX EDITIONS
|
Click
|
Affiche les éditions
|
QUITTER
|
Click
|
Quitte l'Application
|
4. ULT O4 : VICTIME
a. Présentation
SAISIE DE VICTIME
Numéro de la victime :
Nom de la victime :
Numéro de la déclaration :
Post nom de la victime :
Code province :
sexe :
Code district :
Téléphone :
Imprimer
Annuler
Rechercher
Enregistrer
Retour au Menu
b. Dialogue Homme/Machine
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Click sur l'enregistrement
|
Envoie les données dans la base
|
|
Click sur l'annuler
|
Nettoie les champs du formulaire
|
|
Click sur fermer
|
Décharge ULT04
|
|
Click sur rechercher
|
Rechercher l'information
|
|
Click sur imprimer
|
Imprime la liste en cours
|
|
c. Enchainement boutons
Bouton
|
Action
|
Résultat
|
Enregistrer
|
Clic
|
Enregistrement des données dans la base de
données
|
Annuler
|
Clic
|
Annuler l'opération en cours
|
Fermer
|
Clic
|
Décharge ULT04
|
Rechercher
|
Clic
|
Recherche les données dans la base de données
|
Imprimer
|
Clic
|
Imprime la liste des victimes
|
Section 4. Niveau physique
L'étape physique permet de mettre en évidence
les moyens qui vont effectivement être mis en oeuvre pour gérer
les données et réaliser les traitements. Elle permet de faire une
description des solution techniques retenues pour prendre en compte les aspects
de performance, les conditions d'accès aux données, le mode de
traitement et d'nregistrement , le matériel et logiciel choisi.cette
étape repont aussi à la question
« comment ? ».
1.1. Modèle physique des données
1.1.1. But du modèle physique des
données
Le modèle physique de données est la traduction
du modèle logique de données dans un langage de description de
données spécifique au système de gestion de base de
données (SGBD), voire au système de gestion de fichiers (SGF)
retenu pour la réalisation du système d'information. Etant
donné la spécificité de chaque SGBD (voire SGF),
modulé par les particularités d'implantation sur tel ou tel
matériel, il est exclu de présenter les règles
précises de transformation pour tout système.
Il n'existe pratiquement pas aujourd'hui une approche
normalisée pour la description et la présentation du niveau
physique des données. Ce niveau est étroitement lié aux
choix techniques informatiques en rapport avec le système de gestion des
bases de données.
Cependant, afin d'achever le cycle d'abstraction, nous
proposons seulement une introduction très générale aux
SGBD relationnels ainsi que quelques considérations liées au
passage du MLD au MPD. Nous renvoyons le lecteur aux documentations techniques
associées aux différents produits SGBD commercialisés,
ainsi qu'à des ouvrages spécialisés traitant de ces
systèmes.
1.1.2. Passage du MLDR validé au MPD
Le passage du MLD relationnel au MPD associé à
un SGBD relationnel ne présente pas de difficulté majeure. Il
s'agit de créer simplement le schéma relationnel de la base par
des requêtes de création en langage SQL, en tirant profit au
maximum des fonctionnalités offertes par le SGBD en matière
d'organisations, de chemins d'accès et de contraintes
d'intégrité, comme nous l'avons vu dans la partie
consacrée aux contrainte lors de l'étude du modèle logique
des données.
1.1.3. Présentation du MPD
1. TABLE : VICTIME
2. TABLE : PROVINCE
3. TABLE : DISTRICT
4. TABLE : SOCIETE
5. TABLE : DECLARATION
6. TABLE : DETERMINATION
7. TABLE : TAUX D'INCAPACITE
8. TABLE : MEDECIN
9. TABLE : SPECIALITE
10. TABLE : FONCTION
11. TABLE : GRADE
12. TABLE : MOIS
13. TABLE : SERVICE
14. TABLE : AGENT
4.2. MODELE PHYSIQUE DES TRAITEMENTS «
MPT »
Le modèle physique des traitements représente la
structure du programme sous forme d'une arborescence logique.
4.2.1. PRESENTATION DU MODELE PHYSIQUE DES TRAITEMENTS
« MPT »
LOGO
CONNEXION
MENU PRINCIPAL
QUITTER
ACCEDEZ AUX EDITIONS
ACCEDEZ AUX FORMULAIRES
VICTIME
LISTE DES VICTIMES INDEMNISEES
PROVNCE
LISTE DES AGENTS DE L'INSS AU DEPARTEMENT
CIBLE
DISTRICT
SOCIETE
DECLARATION
TAUX D'INC
MEDECIN
SPECIALITE
FONCTION
GRADE
MOIS
AGENT
SERVICE
TROISIEME PARTIE : REALISATION DE LA BASE DE
DONNEES
CHAPITRE I : IMPLANTATION DE LA BASE DE
DONNEES
I.1. Lancement de Microsoft Access
Il suffit de cliquer sur la barre de tâche
Windows,
· Menu Démarrer,
· Tous les programmes
· Microsoft office
· Microsoft Access 2007
I.2. Création de la base de données
La base de données sera créée
comme pré cité ci-haut dans Microsoft Access, la base de
données en Access comme dans d'autre SGBD, peut être
définie comme un grand fichier contenant d'autre appelé des
« TABLES ».
Une base de données doit avoir un nom, le notre est
appelé « GEST INDEM ». Une base de
données créée en Microsoft Access a pour extension mdb
(Microsoft Data Base).
I.3. Processus de la création de la base de
données
· Cliquez sur Menu Démarrer de la barre de
tâche Windows ;
· Sélectionnez le menu programmes ;
· Rechercher dans la liste déroulante Microsoft
office ;
· Cliquez sur Microsoft Access 2007 ;
· Au démarrage de l'application Microsoft Access
2007, dans la feuille d'accueil ;
· Cliquez sur Nouvelle Base de données, puis dans
nom de fichier, saisissez GEST INDEM et cliquez sur
Créer
I.4. Création des tables
Une table est un objet fondamental du SGBD, elle est
le résultat des passages des différentes étapes de MERISE
selon différentes modélisations. Elle correspond au modèle
logique de données validé (MLD Validé).
Une table est définie en Access comme un
fichier contenant les données de la base de données relié
par un lien entre eux.
1.5. Présentation des tables
CHAPITRE II : PROGRAMMATION
Définition :
La programmation c'est le fait d'écrire les
instructions par la traduction des algorithmes en langage approprié ou
compréhensible par l'ordinateur en vue d'obtenir un
r résultat meilleur.
Tandis qu'un programme est une liste d'instructions indiquant
à un ordinateur ce qu'il doit faire. Il se présente sous la
forme de courtes séquences d'instructions appelées fonctions
comportant souvent des données de base, chaque séquence devant
être exécutée dans l'ordre par un processeur.16(*)
II.1.CHOIX DE METHODE DE PROGRAMMATION
Pour concrétiser la solution informatique
conçue, nous avons recouru au langage de programmation qu'intègre
MICROSOFT ACCESS, plus précisément Microsoft
Visual basic for application.
II.2.CHOIX DU LANGAGE
Dans le choix du langage informatique, nous avons six
générations de programmation. Hélas nous allons porter
notre choix au langage de programmation que nous offre Microsoft Access
c'est-à-dire VISUAL BASIC FOR APPLICATION (VBA)
:17(*)
II.3. CREATION DES INTERFACES
Cette étapes est la
concrétisation physique de l'étape logique plus
précisément du modèle logique de traitement
« MLT ». Les interfaces correspondant aux écrans
définis.
II.3. Création des codes
Le code en Visual Basic est défini dans une
procédure appelée procédure de traitement. Ecrit par le
programmeur ou le développeur, il est défini pour chaque
événement et permet l'encapsulation (restreindre l'utilisateur
l'accès au code source) de l'application
Option Explicit
A. LOGO
Private Sub Form Timer ()
Me.Pro.Value = Pro.Value + 1
Me.C.Caption = Pro.Value & "" & "%"
If Pro.Value = 100 Then
DoCmd.Close
DoCmd.OpenForm "CONNEXION"
End If
End Sub
B. IDENTIFICATION
Private Sub CMD_VALIDER_Click ()
If nomut = "EFEMIYA" And mot = "LONGOLONGO" Then
DoCmd.Close
DoCmd.OpenForm "MENU PRINCIPAL"
Else
MsgBox "nom ou mot de passe Invalide", vbCritical, "saisir un
autre"
nomut = ""
mot = ""
nomut.SetFocus
End If
End Sub
Private Sub cmd_enregistrer_Click ()
Set LONGOLONGO = DBEngine.Workspaces (0).Databases (0)
Set EFEMIYA= LONGOLONGOE.OpenRecordset ("VICTIME",
DB_OPEN_TABLE)
EFEMIYA.Index = "num immatr"
EFEMIYA. Seek "=", Znum immatr
If EFEMIYA.NoMatch Then
EFEMIYA.AddNew
EFEMIYA! Num immatr = znum immatr
EFEMIYA! Num declar = znum declar
EFEMIYA! Cod prov = zCod prov
EFEMIYA! Cod distr = zCod distr
EFEMIYA! Num soc = znum soc
EFEMIYA! Nom = zNom
EFEMIYA! Pst nom = zPst nom
EFEMIYA! Adresss = zAdress
EFEMIYA! Tel = zTel
EFEMIYA.Update
MsgBox " L'ENREGISTREMENT EFFECTUE AVEC SUCCES DANS LA BASE DE
DONNEES ", vbExclamation, "FELLICITATION"
Znum immatr= ""
Znum declar= ""
ZCod prov= ""
Zcod distr= ""
Znum soc=""
Z Nom= ""
Z Pst nom = ""
ZAdresse = ""
Znum immatr.SetFocus
Else
MsgBox " CE NUMERO D'IMMATRICULATION EXISTE DEJA DANS LA BASE DE
DONNEES", vbInformation, "VUEILLEZ SAISIR UN NOUVEAU NUMERO
D'IMMATRICULATION"
Znum immatr= ""
Znum declar= ""
ZCod prov= ""
Zcod distr= ""
Znum soc=""
Z Nom= ""
Z Pst nom = ""
ZAdresse = ""
Znum immatr.SetFocus
End If
End Sub
CONCLUSION
Nous voici au terme de Notre étude qui a porté
sur la base de données comme atout majeure pour la fiabilisation
des résultats dans la gestion d'indemnisations des agents
déclarés Invalides. Cas de l'institut national de
sécurité sociale en sigle INSS.
Diverses préoccupations nous ont été
présentées par les responsables de l'Institut National de
Sécurité en sigle INSS, préoccupations
qui se sont globalement résumées en vue d'une mise en place d'un
système de Gestion d'indemnisations des Agents
déclarés Invalides capable de prendre en compte
l'historisation des différents enregistrements et service y
découlant effectués par les agents de l'INSS.
Dans le souci de concrétiser la chose, nous nous sommes
appuyés sur les opportunités que nous offrons la
Méthode Merise pour concevoir un système
d'information informatisé et proposer une répartition des
données homogènes sur les différents sites.
Ainsi l'informatique et la Technologie étant en
perpétuelle évolution, la solution que venons d'élaborer
reste ouverte à toute amélioration. Le but étant celui
d'obtenir la solution la plus satisfaisante possible qui ne sont pas en grand
déphasage par rapport aux Technologies informatiques en vogue et aux
possibilités financières de l'INSS.
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES
1. Cyril Gruau SQL Serveur 2000, Analysis et DTS, 208 pages
2. Jean Patrick, Comprendre Merise, Outil Conceptuels et
Organisationnel, Eyrolles, 315 pages
3. Ludwig Picquart, Méthologie des Système
d'information (Merise ULM), Cnam 108 pages
4. Michel Pellet in, Visual Basic 6.0, Campus press 383
pages
5. Analyse et Conception d'une application Informatique de
gestion: support de cours en France: Jean-Marie Ottelé, LTECG
Luxembourg : 540 pages
6. Support de cours de programmation en vb 6.0,
Prof.Dr.Ir ; Jeanpy Mbikayi : 48 pages.
COURS
1. Jeanpy Mbikayi, cours de séminaire informatique
2. Madame Nzinga, cours d'informatique
générale
3. philomème, Cours de méthode d'analyse
informatique G3info 2009-1010
4. Mabuaka veve Joseph ; cours de Technique de Base de
données G3info 2009-2010
TRAVAUX SCIENTIFIQUES.
1. PANDE MWABA TOTO, Conception et Réalisation d'une base
de données pour la gestion d'indemnisation des agents victimes
d'accidents du Travail, Travail de fin de cycle ISS/KIN 2008-2009
WEBOGRAPHIE
1. www.comment ça marche.fr
2. www.developper.com
3. www.Microsoft.fr
* 1 Support de cours
d'informatique général, Prof. KASORO, ISS/KIN 2011_2012
* 2 Support de cours d'Access
,Willy Mpwate, G3INFO, ISS/KIN 2011_2012
* 3 Support de cours
d'initiation à la recherche scientifique, Ass. MOMINDO, ISS/KIN,
2010_2011
* 4 Cours de Merise G3INFO.
ISS/Kin-Ass. PHILOMENE MBALA, 2011_2012
* 5 Support de cours de merise,.
PHILOMENE MBALA 2011-2012
* 6 Cours de MERISE, PHILOMENE
MBALA, ISS/KIN page 18 2011- 2012
* 7 Idem
* 8 PANDE MWABA, conception et
réalisation d'une base de données pour la gestion des
indemnisations, TFC
* 9 Cours de merise, PHILOMENE,
ISS/KIN 2011-2012
* 10 Ludwig Picquart ;
Méthodologie de système d'information (Merise, ULM) Cnam, 2000,
2001, P27
* 11 D.DANCI et ESPINASSE, op
cit , page 510
* 12 Mabwaka Veve Joseph,
support de cours de technique de base de données, ISS/Kin 2009-2010
* 13 Eric NYAMBU KATANGA,
L'essentiel sur Access, cours inédit, ISS/KIN 2005-2006 page 2
* 14 Stéphane DUPHIN, le
langage C++, campus press, 75010 paris, 2003 page 5-6
* 15 Htp//www.comment.
Ça marche.com
* 16
http://fr.wikipedia.org/wiki/programme_informatique
* 17 Willy Mpuate, cours
inédit, cours Microsoft Access, Iss-kin2009-2010
|