1
RIEN N'EST TARD
de devenir qui
L'ON VOUDRAIT
être
EPIGRAPHE
Elie MWEZ
2
DEDICACE
A tout seigneur, tout honneur !
Je tiens à présenter ma sincère gratitude
à vers l'Eternel tout puissant qui a voulu à ce que nous soyons
là et nous puissions ainsi accomplir et réaliser cette oeuvre
scientifique par sa grâce, son amour et sa miséricorde. Ceci
était d'une importance considérable pour notre
épanouissement.
A vous mes très chers responsables parents : END-NEND
DEMUIL CHIPENG et Mélanie CHILEMB A RUBUZ pour votre affection que vous
n'avez jamais cessé nous accordez, votre amour, conseil, effort
déployez pour notre émancipation, afin de se retrouver dans un
monde des intellectuels que le bon Dieu vous comble de ses
bénédictions et vous garde longuement sur cette terre.
Mes dédicaces s'adressent également à la
famille Baraka CHIPENG et Sarah KACHAK pour leur responsabilité et
soutien tenu à notre égard pour notre parcours académiques
effectué durant les trois ans d'études. Que le seigneur
Jésus-Christ vous assiste et accomplisse votre destin.
A mes petites soeurs et petits frères : KACHAK,
CHILEMB, KAJ, Myriam KAYIND, Paulin FAT, Trésor RUMBU, Amelia KAZADI,
CHECHE CHIPENG, Moise KAMWANGA, Aaron MUKENG MWEZ, KAYEMB, MWAMB...
A mes cousins et cousines : Ivonne MWANG, MAMU KALAY, CHIPENG
CHECHE, Alain MASHIND, MANYONG Joëlle, KACHAK JINETTE,
3
REMERCIEMENTS
Au terme de notre oeuvre scientifique résultant d'une
formation assimilée pendant trois ans d'études universitaires, il
nous est un réel plaisir d'exprimer notre profonde gratitude et
reconnaissance à l'égard de tous ceux qui ont contribué
à notre formation.
Nous exprimons d'abord notre profonde gratitude et nos
sincères remerciements à notre directeur C.T Léopold
MUKALENGE TSHIKENDA, qui malgré ses multiples occupations à bien
voulu suivre l'évolution du travail, sa direction avec attention
particulière d'une manière expéditive, ses orientations
pertinentes nous ont conduit à l'oeuvre ci-présent.
Je remercie également monsieur Albert pour sa
correction,
Ainsi je tiens sincèrement à remercier toute
personne ayant pris tout son temps pour nous prodiguez de conseils, encourager
et nous rendre fort dans la lutte contre les esprits mauvais.
A mes tantes et oncles dont : KET Kelly, Salvador NSONG,
NFUND, MWIK, Moise CHIBANDA, MUPANG, MBAY, KAZADI, ZENG
Vétérinaire, KALAY, RUBUZ, KAVUND.
A mes amis et connaissance : Jean Claude NGOY MWAMB, Justin
MATAND, Doudou KABWIK, Paul, Sylvie, Charles MULANG, Ghislain MATAND, KAMWANG
Presso, KAZAD Henry, Gilbert KAYEY, Francis KACHIL, CARDOSO MWAMBA,
KABAMB Fiston, DEMBU NGOY, Honoré KALUNDU, Jean CHIKUMB, Fabien
MUTOMBO
A mon maitre l'homme à son temps : Grace MWANGAL KAPEND
et son ami DJEBI NZUZU pour leur savoir-faire et bonne volonté de
partager leurs connaissances, que Dieu vous guide.
A mes compagnons de lutte : HELLIADA ABDALLAH, IMMAC KANTENGA,
MAGALI KON, FISTON NGOIE, KATUTA MULUNDA AIMEE, PRISCA MULEKA, GRACIA MUSAO,
TRINITH MWANGE, ALBERT MATANGA, NOËLLA BEYA, NICOLAS BEYA, GIRESSE
WALONGA, ALPHONSE NKULU, ALPHONSE KAFAND, SIMPLICE WA NSENGA, TURLOT
KAKUDJI.
A tous donc je les remercie ce travail.
4
I. INTRODUCTION
I.1 GENERALITES
Depuis l'apparition de l'outil informatique, un outil
permettant de traiter d'une manière systématique et rationnelle,
nous avons vu de nombreuses révolutions concernant l'informatique comme
une science qui n'exclut aucun domaine actuellement conduit le monde à
de très grands exploits.
Dans le cadre d'une gestion informatisée, nous nous
sommes intéressés à une société de transport
publique dite Société Nationale de Chemin de Fer du Congo (SNCC)
en sigle, que nous allons mettre en place une application informatique
où la gestion est manuelle. Parlant d'une gestion manuelle ou
sous-entend d'un traitement de l'information sans aucun outil informatique afin
de rendre automatique le traitement. Ce présent travail va nous pousser
à faire nos recherches pour aboutir à une solution informatique
en fonction de ce cas c'est-à-dire sur place.
I.2 INTERET DU SUJET
A. INTERET SOCIAL
L'intérêt social de notre sujet est d'aider
à la société aux problèmes liés à la
vente de billets de transport à bord d'un train en mettant une certaine
disposition c'est-à-dire une application informatique pour permettre un
meilleur suivi de la situation par les gestionnaires concernés.
B. INTERET SCIENTIFIQUE
Du point de vue scientifique, notre travail pourra être
utilisé comme un document par les chercheurs qui peuvent être
intéressés lorsqu'ils trouveront de meilleurs ou de
nécessaires.
C. INTERET PERSONNEL
Ce sujet a pour une utilité capitale dans la mesure
où en tant que futur informaticien, évoluant dans un milieu
scientifique, voulant à travers ce travail affronter une connaissance
théorique pendant 3 ans d'études à la
réalité.
I.3 ETAT DE LA QUESTION
L'état de la question signifie lire les
différents documents, mémoires ou TFC en rapport avec notre
sujet. Il consiste à examiner et critiquer les travaux
précédents tout en apportant une contribution essentielle sur le
constat fait.
5
En effet un ensemble de lettres raturés et de
publication fut traité bien avant nous. Alors nous ne pouvons pas donc
dire que nous sommes les premiers à pouvoir aborder ce sujet.
V' NKULU MAKONGA JOEL dans son travail de fin de cycle :
« mise au point d'une application de réservation de place dans une
compagnie de transport aérienne » cas de la société
KENYA AIRWAYS dont la problématique était la manque de
capacité à leurs informaticiens de signaler tous les
numéros de billets non enregistrer dans le SEAT MAPP11.
V' MUKUMBI BAHATI ANGEL dans son travail : « conception
d'un logiciel de réservation de billets de transport à bord d'un
train » cas de la SNCC. Dont sa problématique était
basée sur l'inexactitude et le non précision de nombres de
billets sans tenir compte de nombre de places d'un train22.
V' FALAY LUBEMBE FALLY dans son travail de fin de cycle
à aborder sur la question de : « Gestion informatisée de
réservation de places dans une agence de transport routier
»33 cas de FALCON TRANS il a évoqué la poursuite
d'une recherche de sa problématique comme suite : «comment
arrivé à réorganiser le service ? ».
V' Quant à nous, comme l'annonce le présent
sujet l'expertise sera de faire vivre dans le cadre de notre étude une
réalité même encore vécue qui sera de mettre en
place une application informatique permettant au système de donner
l'exactitude et la précision de nombres de billets en tenant compte du
nombre précis de place dans les différentes voitures d'un
train.
I.4 PROBLEMATIQUE
Selon différents auteurs et différents livres,
la problématique est définie de différentes
manières : La problématique selon le Dictionnaire Petit Robert
Larousse, « est l'ensemble des questions qu'une science ou une philosophie
se pose dans un domaine particulier44. Ceci correspond à la
mise en oeuvre d'une série des questions pouvant déboucher sur
une des hypothèses.
En faisant un entretien oral avec les agents de la
Société Nationale de Chemin de fer du Congo, nous avons retenu
que le service de réservation de billets est victime de
difficultés suivantes :
V' Perte de temps dans la vérification de place avant la
réservation ;
V' Répétition d'un seul numéro sur
différents billets ;
V' Le système existant manque la capacité de
fournir le nombre exact de billets en tenant compte de nombre précis de
places restantes dans les différentes voitures d'un train.
Par rapport aux difficultés (problèmes)
énumérés ci-haut notre problématique gravite autour
de la question fondamentale suivante : « Quelle est la meilleure solution
informatique pouvons-nous adapter de manière à résoudre
les problèmes cités ? »
I.5 HYPOTHESE
L'hypothèse est une réponse dans la recherche
qui a pour but la vérification de bien fondé ou le mal
fondé de la situation que l'on se pose.
1 NKULU MAKONGA JOEL, mise au point d'une application de
réservation de place dans une compagnie de transport aérienne,
tfc éd. 2013
2 MUKUMBI BAHATI ANGEL, conception d'un logiciel de
réservation de billets de transport à bord d'un train, tfc,
éd. 2014
3 FALAY LUBEMBE FALLY, Gestion informatisée de
réservation de places dans une agence de transport routier, tfc,
éd. 2015
4 Dictionnaire Petit Robert Larousse,
éd.2010
6
Elle est définie comme étant une proposition des
réponses, nous pouvons aussi définir selon MARCOUS comme une
idée que l'on veut défendre ou démontrer comme une
thèse tout au long du travail rapporté à la
problématique elle est la réponse directe à l'interjection
principale que traduit cette première partie de l'introduction
générale55.
Ainsi, nous répondons par rapport à la question,
que nous nous sommes posé en mettant en place une application capable de
bien faire le contrôle pour ce qui est de la réservation de
billets.
I.6 METHODE ET TECHNIQUE I.6.1 METHODE
Selon PINTO et GRAWITZ, la méthode est définie
comme étant un ensemble d'opérations intellectuelles par
lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités
qu'elle poursuit, les démontre, les vérifie66.
Dans le présent travail, nous allons utiliser la
méthode suivante :
? Méthode analytique par approche Merise : qui
va nous permettre de faire l'analyse du
métier, jusqu'à
construire nos différents modèles et elle est basée sur
deux caractéristiques qui sont :
? la séparation de données du traitement
? la représentation selon le degré d'invariance
Cette méthode propose une démarche
particulière simultanément selon trois axes pour
hiérarchiser par rapport à un projet informatique. Ainsi, la
démarche est utilisée par trois niveaux :
1. Niveau Conceptuel : qui est indépendant par rapport au
choix d'organisation des techniques.
2. Niveau Logique : qui est indépendant du choix
technique
3. Niveau Physique ou Opérationnel : ce niveau permet
de faire tous les choix techniques afin de déterminer totalement les
moyens informatiques.
I.6.2 TECHNIQUES
Une technique : est l'ensemble de moyens dont dispose une
science pour la recherche, afin de permettre la récolte de
données sur terrain et a les traitées d'une manière
nécessaire à l'élaboration d'un travail
scientifique77.
Pour notre travail, nous avions fait recours aux techniques
suivantes pour récolter les données :
? Technique documentaire
Elle nous a permis de consulter, d'analyser certains documents
existant afin de recueillir les informations qui conviennent à la
confection de ce travail.
5 MARCOUS, méthodologie de science sociale, éd.
1992
6 PINTO et GRAWITZ, méthode de science sociale, éd.
1992
7 Pierre Roger, méthodologie de science,
éd. 1993
7
? Technique d'interview
Cette technique consiste à organiser de communication
verbale entre enquêteur et enquêté pour permettre à
l'enquêteur de relever certaines informations de l'enquête
concernant un projet précis.
? Technique d'observation
Elle consiste de descendre sur terrain effectué les
opérations afin de voir comment se traite les informations
I.7 DELIMITATION DU SUJET
Délimiter un sujet, revient à déterminer
ses contours dans le temps et dans l'espace, pour mieux comprendre l'essentiel
du phénomène que l'on veut analyser pour le cas de ce travail.
Ainsi : Spécialement notre travail couvre la
période allant de 2015-2016.
Temporellement, notre champ d'investigation demeure à
la Société Nationale de Chemin de fer du Congo dans le domaine de
transport limité dans la gestion de réservation des billets.
I.8 SUBDIVISION DU SUJET
Hormis l'introduction générale et la conclusion,
notre travail est subdivisé en quatre chapitres à savoir :
I. Chapitre premier : considérations théorique et
conceptuelle
? Dans ce chapitre, nous définissons tous les concepts
en rapport avec notre étude.
II. Chapitre deuxième : analyse de l'existant
? Basé sur l'étude de la préoccupation
de la dite institut national de sécurité sociale ainsi que son
analyse.
III. Chapitre troisième : conception du système
informatique, basé sur la description conceptuelle de données et
de traitement ainsi que le modèle logique de données.
IV. Chapitre quatrième : Implémentation ? Une mise
en place d'une application informatique.
8
CHAPITRE I. DEFINITION DE CONCEPTS ET
CONSIDERATIONS THEORIQUES
I.1 INTRODUCTION
Pour bien comprendre le sujet qui est l'objet de notre
étude scientifique, il nous est important de commencer par l'explication
de quelques concepts de base qui constituent le corps de ce premier chapitre
dont l'analyse sera scindée en deux parties : la première sera
centrée sur l'explication de concepts du domaine d'étude ou
d'application et la deuxième sur la considération
théorique.
I.2 DEFINITION DE CONCEPTS
I.2.1 CONCEPTS DU SUJET
1. VENTE : l'échange de l'argent contre un billet de
voyage
2. RESERVATION : la société accepte la
proposition (demande) d'un client en lui réservant une place à
l'échange de l'argent contre un billet
3. BILLET : est un document qui montre qu'un client a droit
d'avoir nécessairement une place dans une voiture d'un train
4. TRAIN : ensemble des voitures remorquées par un
engin moteur
I.2.2 CONCEPTS DE L'INFORMATIQUE
A l'heure actuelle, avec l'évolution technologique de la
science informatique ; nul
n'est ignorant que l'un des facteurs qui contribuent au
développement ou à l'épanouissement d'un pays ou d'une
organisation quelconque est le système d'informatique.
Vu son importance, l'informatique intervient dans tous les
domaines de la vie. Ignore son apport et l'usage de l'outil informatique qui
est l'ordinateur par excellence ; cela serait considérer comme de
l'analphabétisme au siècle passé. Ainsi chaque
organisation cherchant à mieux planifier ; organisé,
contrôler se doit l'obligation d'informatiser son système afin de
la rendre fiable et performant.
Le terme informatique est un néologisme construit
à partir de deux mots : information et automatique. Elle utilise la
pense émise de l'homme ; ce sont des machines électroniques et
électriques qui effectuent les DATA PROCESSING (traitement des
données)
9
y' Informatique 8: l'informatique est le support
formel d'un élément de connaissance humaine ; susceptible
d'être représentée à l'aide de convention (codages)
afin d'être conservée ; traitée ou communiquée.
y' Automatique 99: c'est l'ensemble des sciences et
de techniques s'appliquant la conception et à l'utilisation de machines
qui fonctionnent sans intervention humaine.
I.3. CONCEPTS DE BASE DE LA METHODE MERISE
a. Propriété : une propriété
c'est le plus petit élément d'information c'est-à-dire une
information atomique (non décomposable) et qui répond à un
besoin de gestion dans l'organisation. Répondre à un
problème de gestion cela revient à son utilisation dans le
système. Signalons que la propriété est ainsi
appelé « attribution rubrique ». Ainsi elle doit avoir son nom
et une occurrence qui doit avoir dans le modèle ou il doit se
trouver10
b. Entité : une entité est un objet réel
ou abstrait, le concept que l'on veut décrire à l'aide d'un
ensemble de propriété, une entité doit être
autonome, c'est-à-dire elle doit avoir une existence propre, elle doit
répondre aussi à un besoin de gestion.11
C. Identifiant d'une entité : l'identifiant d'une
entité est le plus petit sous ensemble de propriété qui
identifie de façon unique et il est toujours souligné.
d. Occurrence : occurrence d'une entité
(réalisation ou instance d'un élément de
l'entité.12
f. Association : c'est une liaison qui a une signification
précise entre plusieurs entités. Elle n'a pas une existence
propre, donc son existence n'est pas autonome. Elle peut ou ne pas porter des
propriétés car son existence dépend des entités
qu'elle lie.
g. Attribut : c'est une propriété d'une
entité ou d'une association.13
h. Cardinalité : c'est le nombre minimum et maximum de
la participation d'une entité dans une relation.
i. Flux : peut-être définit comme un
échange d'information entre deux acteurs14
8 Dictionnaire Petit Robert Larousse, éd.2010,
p. 65
9 Dictionnaire Petit Robert Larousse, éd.2010,
p. 25
10
J. Acteur : un acteur est un intervenant (personne physique ou
service) dans le processus soit étant émetteur ou
récepteur d'un flux.
k. Evènement : on appelle évènement, un
fait dont l'apparition va déclencher une réaction au sein de
l'organisation, l'occurrence (la réalisation) de
l'évènement entraine le déroulement d'activités en
l'opération.
l. Opération : on appelle opération, toute
action (ensemble d'action) déclenchée pour réagir à
un évènement à plusieurs évènements. Une
opération produit un ou plusieurs résultats, l'opération
est identifiée par un nom.
m. Résultat : on appelle résultat, ce qui est
produit par l'exécution d'une opération.
n. Processus : un processus est un enchainement
d'opérations relatives à un même domaine
d'activités. Le processus constitue donc un sous ensemble de
l'organisation dont les limites sont indépendantes de choix de
l'organisation.
o. Emetteur : c'est un acteur qui crée
l'évènement, c'est lui qui émet le flux ou message.
p. Récepteur : c'est un acteur qui réagit
à l'évènement, en bref, c'est le consommateur de
l'évènement.
r. Synchronisation : on parle de synchronisation, lorsqu'une
opération est déclenchée par deux ou plusieurs
évènements et de fois un seul évènement peut
déclencher une synchronisation suivant les règles de gestion.
Elle peut se trouver dans trois phases suivantes :
V' Phase active : vrai l'opération
s'exécute.
V' Phase d'attente : si les évènements
sont réalisés de part et d'autres suivant un opérateur
logique V' Phase ergative : lorsqu'il n'y a pas eu synchronisation.
s. règle d'émission des résultats :
c'est une forme d'expression logique qui définit les conditions
auxquelles sont soumis plusieurs résultats par une opération.
C'est aussi une condition dans une opération pour produire plusieurs
résultats alternatifs.
I.2. CADRE THEORIQUE
La considération théorique consiste à
prendre quelque chose en tenant compte du domaine de la spécialisation
en rapport avec la réalité ou la pratique.
I.2.1 ETUDE PREALABLE
11
L'étude préalable est l'étude du
fonctionnement d'un système existant dans une organisation.
I.2.1.1. PRESENTATION DE L'ENTREPRISE
La présentation de l'entreprise est une exposition du
fonctionnement de l'entreprise en démontrant son organisation (politique
de gestion), son historique, sa situation géographique et ses
objectifs.
a. Historique : c'est l'histoire d'une organisation depuis sa
création jusqu'à nos jours (état actuel).
b. Situation géographique : c'est l'emplacement à
la position géographique d'une organisation.
c. Structure : c'est l'ensemble des moyens employés
pour diviser le travail en taches distinctes et pour assurer la coordination
nécessaire entre ces tâches.
d. Organisation : c'est une structure en regroupement
hiérarchisé.
I.2.1.2. ANALYSE PREALABLE
a. Description textuelle : la description textuelle est une
explication théorique du fonctionnement d'une organisation.
b. Etude des documents : c'est l'étude
(présentation) des documents utilisés dans l'organisation ou
domaine d'étude sur différents poste de travail.
c. Etude de poste de travail : c'est l'analyse
détaillé des activités réalisé sur le poste
de travail (moyens utilisé, temps, acteurs, etc.) à travers une
fiche appelé « fiche de station de poste ».
d. Model conceptuel de communication : a pour but de
représenter les flux d'information entre l'organisation et les acteurs
externes selon une représentation standard dans laquelle chaque objet
porte un nom.
f. Tableau de flux : c'est un tableau dans lequel est
expliqué l'échange de flux d'informations dont son origine et sa
destination (émetteur et récepteur).
e. Diagramme de circulation des informations : c'est un
graphique présenté dans un tableau, qui démontre comment
l'information circule entre différents postes de travail et le
traitement réalisé sur chacun de ces postes.
12
I.2.1.3. CRITIQUE DE L'EXISTANT
C'est une analyse qui a pour but de ressortir les failles, les
points positifs ainsi que de proposer des solutions sur base de ces
derniers.
a. Points forts : c'est le fait de ressortir
le côté positif de l'organisation dans le fonctionnement d'une
organisation.
b. Point négatifs : c'est
l'exposition des failles ressortis après analyse du fonctionnement d'une
organisation.
c. Proposition de la nouvelle solution :
c'est une supposition d'une solution conçu sur base des failles
ressortis dans l'organisation.
I.2.3. METHODE MERISE ET NOTATION
Selon Romain BARTDO, il définit la MERISE comme
méthode d'analyse et de conception d'un système d'information qui
vise à remplacer un système naturel d'une organisation par un
système automatisé du traitement de l'information.
Cette méthode a pour but dans un premier temps de
démontrer les éventuels problèmes du système en
place et dans un second temps d'apporter des améliorations au
système existant, les facteurs pris en compte dans l'étude, soit
le traitement, collecte, la saisie, la transmission et le stockage de
l'information à l'aide des schémas et graphique. Analyser et
concevoir la structure du stockage et la collecte avec le MCD (modèle
conceptuel de donnée) et le MLD (modèle logique de donnée)
en fin concevoir la saisie et le traitement de donnée avec le MCT
(Modèle conceptuel de traitement), la dernière partie consiste
à) mettre en oeuvre les résolutions de l'analyse en suivant le
MPD (modèle physique de donnée) et MPT modèle de
traitement).
Cette méthode tend à disparaitre car elle
démontre des signes de faiblesse, certains disent qu'elle est
remplacée par la méthode UML (Uniform Modeling Language), c'est
la raison pour laquelle on a recouru à la méthode MERISE qui peut
permet la conception, l'analyse te le traitement de données.
I.2.4. PRESENTATION GENERAL DE LA METHODE
MERISE
La méthode MERISE se caractérise par :
? Une approche systématique en ayant une vue de
l'entreprise interne de système ;
13
? Une séparation de données (le côté
statique) et de traitement (le côté dynamique) ; ? Une approche
par niveau ;
Pour la conception d'un système d'information
(SI), il est nécessaire de considérer quatre
niveaux d'études suivants :
V' Le niveau conceptuel ;
V' Le niveau organisationnel ;
V' Le niveau logique ; V' Le niveau physique.
I.2.4.1. LE NIVEAU CONCEPTUEL
Le niveau conceptuel consiste à concevoir le
système d'information (SI), en faisant abstraction de toutes les
contraintes techniques ou organisationnelle et cela tout au niveau de
données que de traitement, le niveau conceptuel répond à
la question quoi ? (le quoi faire, avec quelle
donnée). Le formalisme MERISE employé sera :
Le modèle conceptuel de données
(MCD) Le modèle conceptuel de traitement
(MCT).
I.2.4.2. LE NIVEAU ORGANISATIONNEL
Le niveau organisationnel consiste à intégrer
dans l'analyse, les critères liés à l'organisation
étudiée. Et il fera préciser les notions de
temporalités, de chronologie des opérations, d'unité de
lien, enfin il définira les postes de travail et l'accès aux
bases de données. Les questions posées au niveau de traitement
sont : qui ?, ou ? Et quand. Le formalisme MERISE employé sera :
V' Le modèle organisationnel de données
(MOD) ; V' Le modèle organisationnel de traitement
(MOT).
1.2.4.3. LE NIVEAU LOGIQUE
Le niveau logique est indépendant du matériel
informatique, langage de programmation ou de gestion de données. C'est
la réponse à la question avec quoi ? Le formalisme employé
sera :
14
V' Le modèle logique de données (MLD) V' Le
modèle logique de traitement (MLT).
1.2.4.4 LE NIVEAU PHYSIQUE
Le niveau physique permet de définir l'organisation
réelle (physique) de données, il apporte les solutions techniques
par exemple sur la méthode de stockage et d'accès à
l'information. C'est la réponse du comment ? Le formalisme
employé sera :
V' Le modèle physique de données (MPD) ;
V' Le modèle opérationnel et physique de traitement
(MOPT).
1.2.5. NIVEAU CONCEPTUEL
Le modèle conceptuel des données est un
modèle abstrait qui représente la base d'information du
système d'information ; quant au MLT, il représente le processus
d'information au niveau conceptuel.
1.2.5.1. MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
Par sa définition, le modèle conceptuel des
données est un modèle abstrait de la méthode MERISE
permettant de représenter l'information d'une manière
compréhensible aux différents services de l'entreprise.
Il permet une description statique du système
d'information à l'aide d'entité et l'association pour
modéliser les données au niveau conceptuel ; deux
démarches sont possibles avec MERISE, il s'agit de la démarche de
la méthode descendante qui va du général au particulier et
de la démarche de la méthode ascendante qui procède du
particulier vers le général. Le choix est opérée
sur ce dernier car elle est algorithmique et permet de construire un bon
modèle fiable en passant par les étapes ci-après :
V' Dictionnaire de données : le dictionnaire de
données est un document qui permet de recenser, de Comprendre toutes les
informations (données) collecter lors des entretiens ou de
l'étude de documents, le dictionnaire de données peut être
plus ou moins élaboré selon le niveau de particularité
souhaité.
V' Matrice de dépendance fonctionnelle à source
simple : elle est une matrice à source simple si elle ne porte pas
plusieurs attribut (est une étape qui respect la première forme
normale).
15
V' Matrice de dépendance fonctionnelle à source
composée : elle est une matrice à source composée si elle
porte plusieurs attributs.
V' Matrice de clés : c'est un graphe qui
représente le lien existant entre les sources de dépendance
fonctionnelles à source composées à cette à source
simple aussi que les dépendances entre clés moyennant des
flèches qui porte des sources vers le but. Un graphe est un ensemble des
noeuds et des arts, les noeuds sont représenter par les sources et les
ares par les dépendances fonctionnelles.
V' Structure d'accès théorique (SAT) : pour
construire la structure d'accès théorique, on prend le graphe de
clés, matrice de clés, matrice de dépendance fonctionnelle
à source composées en cherchant la dépendance entre les
sources non utilisées et les propriétés non
utilisées pour construire cette structure et tout en utilisant la
règle de gestion et bon sens.
V' MCD : par définition, le modèle conceptuel de
données abstrait de la méthode de MERISE permettant de
présenter l'information d'une manière compréhensible aux
différents services de l'entreprise. Il permet une description statique
du système d'information à l'aide d'entités et association
pour modéliser les données au niveau conceptuel, deux
démarches sont possible avec MERISE, il s'agit de la démarches
indépendante qui procède du particulier vers le
général. Le choix est opéré sur ce dernier.
1.2.5.2. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT (MCT)
Le modèle conceptuel de traitement met en
lumière des traitements effectués sur les données
indépendamment de toute contrainte liée à l'organisation,
le modèle conceptuel des traitements répond à la question
« quoi ». Le modèle conceptuel de traitement ne répond
ni au comment, ni au quand, ni à qui, mais qui souhaite- t-on obtenir
?
V' Recensement des acteurs V' Recherche des flux
V' Les évènements
MCT est aussi appelé
modèle-évènement-résultat, l'arrivée d'un ou
de plusieurs évènement va générer une
opération qui va elle-même fournir un résultat selon leur
origine à distinguer les évènements externes et les
évènements internes générer par le système
d'information.
V' Tableau des actions induites V' Les opérations
16
Une opération est une suite d'action interruptible pour
trouver les opérations, on se sert du diagramme de flux conceptuel de
niveau le plus bas et on décompose les activités en un ensemble
d'opération élémentaires.
I.1.2.5.3. NIVEAU LOGIQUE ET ORGANISATIONNELLE
Au regard de l'analyse conceptuelle qui décrit les
règles et les contraintes à prendre en compte en construisant le
modèle conceptuel des données que de traitement, le niveau
logique et organisationnel représentent le choix du type de base de
données pour le système d'information et décrit les
contraintes dues à l'environnement.
Donc le niveau conceptuel décrit la statique et la
dynamique du système d'information en se préoccupant du point de
vue de gestionnaire, tandis que le niveau logique et organisationnel
décrit des ressources qui sont utilisées pour supporter ces
descriptions du système d'information. Partant toujours de la
démarche MERISE qui sépare les traitements et les données,
ce chapitre sera subdivisé en deux grandes parties :
V' La partie de données qui sera
représentée par l'analyse logique
V' Et la partie de traitements qui sera à son
tour représenté par l'analyse organisationnelle.
En effet, l'analyse logique va porter sur le modèle
logique de données dans le schéma conceptuel de données
sera transformé en schéma logique et l'analyse organisationnelle
sur le modèle organisationnelle de traitement dans lequel les
opérations conceptuelle seront transformées en phase (ou
procédures) et les postes seront transformées en phase (ou
procédure) et les postes seront définis en y associant les
ressources matérielles et humaines. C'est ainsi que dans cette phase,
nous aurons à construire le modèle logique de données en
abrégé MLD et le modèle organisationnel de traitement MOT
en abrégé.
1.2.5.4. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)
Vu que la représentation conceptuelle de données
ne peut directement manipulable et accepté par un système
informatique. Il est donc nécessaire et passer du niveau conceptuel au
niveau plus proche des capacités de système informatique qui est
le niveau logique. La représentation de données au niveau logique
aboutit à la construction de modèle logique de données qui
représente la base de données pour le système
d'information, il sera d'abord question de choisir le type de base de
données qui peut être mise en marche. Selon MATHIEU. Il existe
actuellement 5 grands types de base de données.
17
1.2.5.5. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT)
Le modèle organisationnel de traitement s'attache de
décrire les propriétés des traitements non traité
par le modèle conceptuel de traitement. Il intègre donc la notion
de temps, de durée, de ressources, de lieu et de la nature de
traitement. Il précise comment le facteur solution s'insèrera
dans l'organisation de l'entreprise en définissant ce que fera chaque
poste de travail, on se pose la question qui fait quoi P C'est-à-dire
pour chaque poste de travail, on va préciser le choix d'organisation qui
portera sur :
V' Le modèle de travail : centralisation,
spécialisation à l'automatisation V' La dureté de chaque
tâche
V' Et le lieu d'exécution de chaque tâche.
Par conséquent, le changement de niveau ou le passage
du MOT entraine également les éléments suivants :
V' L'agent d'information supplémentaire
V' La redéfinition éventuelle des
opérations. C'est-à-dire le redécoupage des
opérations
V' En phase ou procédure fonctionnelles
V' La prise en compte éventuelle des
évènements complémentaires appelé aussi les
évènements
organisationnels.
Ces évènements houent un rôle important
dans la démarche de la construction du MOT. Qui est articulé en 3
grandes étapes
La définition préliminaire de choix
d'organisation ; la construction du diagramme des procédures et la mise
au point du modèle organisationnel. Ainsi donc pour modéliser les
traitements au niveau organisationnel, il faut avoir construit :
V' Le diagramme de procédures ;
V' Le diagramme d'enchainement des procédures ;
V' Le diagramme de répartition de tache homme-machine
appelé ainsi diagramme des phases
18
1.2.5.6. LE NIVEAU PHYSIQUE
IMPLEMENTATION
L'implémentation consiste à rendre
opérationnel la base de données, disons de notre part qu'elle
permet de représenter la solution trouve une configuration
matériel. En tenant compte des contraintes physique et
opérationnelle.
Subséquence ment au niveau d'implémentation le
besoin des utilisateurs est rependu sans une forme accessible et ces derniers
peuvent directement utiliser les matériels (outils) proposés.
Cependant plusieurs critères de choix de solution entre en jeux pour
l'implémentation ; il s'agit de :
y' Système de gestion des bases de
données (SGBD) à utiliser ; y' Langage de
programmation à utiliser et le système d'exploitation.
Selon Georges Stéphane, un langage de programmation est
une forme de communication servant à exprimer des idées à
donner des instructions15. Le programme en informatique signifie une
suite d'instructions (ou ordre), à la lecture de qu'elle machine
effectue automatiquement une suite d'opérations. Les langages de
programmation se sont multiplier parmi lesquels nous citons à titre
illustratif :
y' Le langage pascal ;
y' Le langage Visual C# ;
y' Le langage Delphi (dérivé de
pascal) ;
y' Le langage Visual BASIC ;
y' Le langage Java ;
y' Le langage PHP
y' Le langage C et C++ etc.
LE SYSTEME DE GESTION DES BASES DONNEES
Pascal André, définie une donnée comme un
ensemble de structures de données enregistrées dans un ordinateur
et accessible de façon sélective par plusieurs
utilisateurs16. Un logiciel qui permet d'interagir avec la base de
données choisi au niveau logique le système de gestion des bases
de données correspondant est celui du type relationnel.
15 Georges Stéphane, outils du
développeur, éd. press 2010, pages 606
16 Pascal André, génie logiciel,
éd. Eclipses, paris 2002.
19
CHAPITRE II. ANALYSE DE L'EXISTANT
II.1 INTRODUCTION
Il s'agit dans ce chapitre de l'étude de
l'opportunité.
Elle constitue l'ensemble d'opérations
préliminaires qui a pour but de mettre à la disposition des
responsables toutes les données techniques afin de décider sur le
système d'information existant.
Nous parlerons de l'analyse de l'existant et de son
fonctionnement, afin de bien comprendre le problème à
résoudre, le formaliser à l'aide d'un formalisme communicable et
bien précis de mettre les critiques pour évaluer
l'intérêt d'une solution ou d'une modification.
Cependant, cette étude s'avère indispensable car
elle permet de connaitre l'organisation qui constitue notre domaine
d'étude ainsi que son environnement, elle met aussi en évidence
les aspects essentiels du domaine d'étude, savoir sur ses
informations.
II.2 PRESENTATION DOMAINE D'ETUDE
Le chemin de fer constitue un de moyens de transports
utilisé par l'homme pour mieux se déplacer d'un endroit à
un autre. La SNCC est une entreprise publique à caractère
industriel et commercial dotée de la personnalité juridique. Elle
a été créée par l'ordonnance-loi N° 074027 du
02/12/1974. Elle est dirigée par les dispositions
générales applicables N° 84-002 du 06 janvier 1978 portant
disposition générale de ces dites entreprises et par
ordonnance-loi N° 78207 du 05 MAI portant statut de la
société.
A. HISTORIQUE DE LA SNCC
La S.N.C.C est une société de transport, elle
est publique dotée d'une personnalité juridique, industrielle et
commerciale.
Chronologiquement les étapes importantes de la S.N.C.C
sont les suivantes : En
? En 1902 : la création de la compagnie de chemin de
fer du Katanga (CFK) en état indépendant du Congo aujourd'hui
république démocratique du Congo et son objectif était de
relier la frontière méridionale de SAKANIA de la province du
Katanga au port martine LOBITO en Angola.
? En 1906 : la construction de la compagnie du chemin de fer
du Bas-Congo au Katanga(BCK) en sigle ;
? En 1927 : la création de la société des
chemins de fer Katanga -Dilolo-Léopoldville (KDL) ; ? En 1952 : la
fusion KDL et du CFK qui a constituer la compagnie des chemins de fer (KDL) ; ?
En 1961 : subdivision du BCK de droit belge en vue de la nouvelle compagnie BCK
de droit
congolais ;
20
+ En 1965 : création de l'office congolaise des chemins
de fer des grands lacs suite à la nationalisation du CFL par
l'état ;
+ En 1970 : la remise de toutes les activités de BCK
par KDL devenu la compagnie des chemins de fer Kinshasa -Dillo-Lubumbashi ;
+ En 1974 : par l'ordonnance loi N° 074-027 du 02
décembre 1974 portant création d'une entreprise publique
dénommée société nationale de chemin de fer du
zaïre S.N.C.Z issue de la fusion de KADL (Kinshasa-Dillo-Lubumbashi)
Compagnie de chemin de fer de grands-lacs et lacustres, CFL,
société de chemin de fer vicinaux du zaïre, CVZ et du chemin
de fer Matadi-Kinshasa .C.F.M.K ;
+ Le 03 avril 1991 : l'ordonnance loi N°91-036 du 03
avril 1989 portant modification de statut d'une entreprise publique
dénommée la SNCZ et sa dissolution :
- création des SNCZ holding et des filiales ;
- l'office des chemins de fer du Sud (OCS) ;
- la société des chemins de fer de l'Est (SFE) ;
- l'office des chemins de fer des UELLES (CFU)
Ces filiales étaient chapeautées par la
société nationale des chemins de fer zaïroise en sigle
SNCZ.
+ En juillet 1995 : les autorités gouvernementale
décidèrent de dissoudre la SNCZ holding ainsi que trois de ses
filiales par le décret N°005 du 07 novembre 1995 et
créèrent une nouvelle société privée de
droit zaïroise dénommer sociétés inter
régionale zaïroise de Rail, SIZARAIL en sigle ;
+ En 1997 : sur décision N° 001-97 du
février 1997 de l'alliance de forces démocratique pour la
libération du Congo (AFDEL) portant suppression des activités de
la SIZARAIL à Kalemie et changement du nom du pays ; république
du zaïre en république démocratique du Congo ; en sigle avec
comme conséquence le changement de la SNCZ (société
nationale des chemins de fer du zaïre) en société des
chemins de fer du Congo ; en sigle SNCC.
B. STRUCTURE DE LA SNCC
La SNCC est structuré de manière suivante :
V' Conseil d'administration
V' Comite de gestion
V' Direction générale
V' Direction technique
V' Département
V' Division et sous-division
1.5.1 CONSEIL D'ADMINISTRATION
Le conseil d'administration est l'organe des décisions .il
est composé d'un président du conseil et des membres.
21
1.5.2 COMITE DE GESTION
Le comité de gestion de la SNCC est nommé par
l'ordonnance présidentielle et assume les taches ci-après :
-Veiller à l'exécution des décisions du
conseil d'administration émanant du ministère de transport ;
-Assurer dans la limite du pouvoir les affaires courantes de la
société lui déléguer ; -Vieller à
l'élaboration du bilan de la société ;
-Diriger et contrôler l'ensemble des activités de la
SNCC ;
Le comité de gestion est composée de :
-L'Administrateur délégué
générale (ADG)
-L'Administrateur délégué
générale adjoint (ADGA) -L'Administrateur
délégué générale technique(ADT)
-L'Administrateur directeur financier (ADF)
Les directions ont pour tâche de prévoir,
coordonner, contrôler les activités des départements elles
exécutent les directives donné par la direction
générale.
Les départements organisent les moyens matériels,
financiers et humains pour atteindre les objectifs fixés par la
direction générale via leur directeur.
Les divisions repartissent les moyens de production mise à
leur disposition entre services, atelier et bureaux.
Les services exécutent les taches leur confier par la
hiérarchie coordonnent et leur font rapport.
1.5.3 LA DIRECTION GENERALE
La direction générale de la SNCC définit les
objectifs globaux, la politique et les stratégies à prendre pour
le bon fonctionnement de la société et la bonne gestion de tous
les moyens de productions (moyens humains, financiers et matériels).
1.5.4 LA DIRECTION
La direction quant à elle a pour rôle de :
V' participer à la spécification des objectifs,
à la définition de politique et stratégie à prendre
par
la société ;
V' diffuser les décisions prises par la direction
générale ;
V' contrôler et coordonner les activités de s toutes
les unités ;
V' déterminer les moyens et les repartir entre
différentes cellule ;
V' analyser le rapport périodique des cellules sous sa
direction et en faire part à la direction
générale.
22
1.5.5 LE DEPARTEMENT
Chaque département traduit les objectifs financiers et
humains nécessaires pour atteindre les objectifs. Il définit les
méthodes et les procédures à appliquer.
1.5.6 La division et le sous -divisions
La division et sous -division ont pour rôle :
V' Analyser les objectifs leurs assignes ;
V' Définir et planifier les actions à mener ;
V' Repartir les moyens mis leur disposition ;
V' Suivre l'application des procédures définie
par le département ;
V' Coordonner et contrôler l'exécution ;
V' Faire rapport de la gestion au département.
23
C. ORGANIGRAMME DE LA SNCC
DIRECTEUR GENERAL
DIRECTEUR D'EXPLOITATION
ADJ EXP
SCE OTVM
DPT TRP
DPT TRP
SCE TVM
DPT CO
SPT VM
BST AT
BHOR HCK
DPI
BRDC
BREM HV
DISLU
SCE
CONLT
CIREX
SCE CDPT
COND LBB
DIS LBB
DIS TAN
CONS KAN
SCE COMD
RN
SCE COKAN
SMT
CONS MTD
RO
SCE CI
CONS
DIS
ES
Source : Bureau central de réservation
24
LES OBJECTIFS DE LA SNCC La société a pour objectif
:
? Exploiter les ports dont la gestion lui est confier dont
l'objectif principal était de transporter les minerais de la GCM dans
les carrières vers les usines de traitements ;
? Assurer le transport ferre et maritime lui concéder des
biens et des personnes jusqu'à leur destination.
D. ORGANIGRAMME DU DOMAINE D'ETUDE
CHEF BUREAU CONSIGNE
CHEF BUREAU RECETTE
BUREAU CENTRAL DE RESERVATION
BUREAU TAXATION VOYAGE OU GUICHET
BUREAU ACCEPTATION OU OTVM
25
II.3 DESCRIPTION TEXTUELLE
Quand un train est programmé pour le voyage, les
clients viennent demander la réservation auprès du chef consigne
celui-ci vérifie la disponibilité de place et demande la
pièce d'identité au client pour remplir le manifeste de la
consigne, après cette opération le client doit devoir se
présenter au guichet pour effectuer le paiement et ce dernier
élabore le billet et le livre au client en fin le guichetier enregistre
tous les clients et envoi la liste au bureau de réservation.
II.4 DESCRIPTION DE DOCUMENTS
La description de documents sera basée sur trois documents
qui sont :
1. L'étude de documents
2. L'inventaire de rubriques
3. Le dictionnaire de données
II.4.1 ETUDE DE DOCUMENTS
Pour assurer la bonne réservation de place au sein de
la société nationale de chemin de fer du Congo, il nous sera
question de faire une étude des documents qui est une étape
d'analyse de tous les documents nécessaires et importants pour
l'utilisation dans l'étude de réservation de places à bord
d'un train voyageur.
Nous avons deux documents dont nous citons :
a. MANIFESTE CS : c'est un document établi par le chef
consigne, il constitue la formation de
voitures forment un train voyageur. Il a comme rubriques
suivants :
V' Nom chef train
V' Nombre places
V' Numéro place
V' Code voiture
V' Compartiment
V' Prix
V' Relation
V' Nombre de voyageur
b. BILLET : c'est un document qui montre qu'un client a droit
d'avoir nécessairement une place
dans une voiture d'un train. Ces rubriques sont les suivantes
:
V' Date réservation
V' Numéro train
V' Nom client
V' Numéro client
V' Prix
V' Montant à payer
V' Numéro place
V' Lieu de départ
V' Destination
26
II.4.2 INVENTAIRE DE RUBRIQUES
C'est un tableau permettant de recenser ou inventorier toutes
les rubriques (informations atomiques) qui sont utilisés pour
l'étude, ces rubriques peuvent être sur les documents
utilisés ou dans les dire des utilisateurs. Ce tableau d'inventaire des
rubriques a le nombre de colonnes correspondant au nombre de documents ou lot
d'information recenser et le nombre de lignes correspondant au nombre des
propriétés trouvées sur les différents documents ou
lot d'information.
N°
|
RUBRIQUES
|
MANIFESTE CONSIGNE
|
BILLET
|
1
|
AdresseClient
|
*
|
*
|
2
|
Nom Chef
|
*
|
*
|
3
|
CodeRendClasse
|
*
|
*
|
4
|
NbrePlaceDisp
|
*
|
|
5
|
NomClient
|
*
|
*
|
6
|
LieuDep
|
|
*
|
7
|
Obs
|
*
|
|
8
|
Dest
|
|
*
|
9
|
TelClient
|
*
|
*
|
10
|
NomMach
|
*
|
*
|
11
|
Comp
|
*
|
|
12
|
NumPlace
|
*
|
*
|
13
|
DescripClasse
|
*
|
|
14
|
CodeVoiture
|
*
|
|
15
|
Prix
|
|
*
|
16
|
DateDep
|
*
|
*
|
17
|
Gare
|
*
|
|
18
|
NumLoc
|
*
|
*
|
19
|
NumClient
|
|
*
|
20
|
HeureDep
|
*
|
*
|
21
|
Motif
|
*
|
*
|
22
|
NbreVoiture
|
*
|
|
23
|
TypeTrain
|
*
|
|
24
|
DateVoyage
|
*
|
|
27
II.4.3 DICTIONNAIRE DE DONNEES
C'est un tableau qui permet de repérer toutes les
données possibles qui sont utilisées dans la détermination
de la base de données, ainsi nous représentons notre dictionnaire
de données de la manière suivante :
N°
|
PROPRIETES
|
SIGNIFICATION
|
TYPE
|
DOMAINE ET TAILLE
|
REGLE DE
GESTION
|
1
|
AdresseClient
|
L'adresse du client
|
NC
|
AN_30
|
-
|
2
|
Nom Chef
|
Le nom du chef de train
|
NC
|
AN_20
|
-
|
3
|
CodeRendClasse
|
Le code attribué à une catégorie de
voiture
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
4
|
NbrePlaceDisp
|
Nombre de places
disponible d'une voiture
|
NC
|
N_6
|
-
|
5
|
NomClient
|
Le nom d'un client
|
NC
|
AN_20
|
-
|
6
|
LieuDep
|
Le lieu de départ
|
NC
|
AN_20
|
-
|
7
|
Obs
|
L'observation faite pour sur place
|
NC
|
AN_50
|
-
|
8
|
Dest
|
La destination d'un train
|
NC
|
AN_30
|
|
9
|
TelClient
|
Le numéro de téléphone d'un client
|
NC
|
AN_15
|
-
|
10
|
NomMach
|
Le nom du machiniste
|
NC
|
AN_25
|
-
|
11
|
Comp
|
Le compartiment d'une voiture
|
NC
|
AN_20
|
-
|
12
|
NumPlace
|
Le numéro attribué à une place d'assise du
client
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
13
|
DescripClasse
|
La Comp qu'appartient une voiture
|
NC
|
AN_50
|
-
|
14
|
CodeVoiture
|
Un code attribué à une voiture du train
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
15
|
Prix
|
Le prix fixé pour une
categorie de Comp de voiture
|
NC
|
N_5
|
-
|
16
|
DateDep
|
La date de départ du train
|
NC
|
Date(8)
|
-
|
17
|
Gare
|
La gare d'arrêt d'un train
|
NC
|
AN_20
|
-
|
18
|
NumLoc
|
Le numéro attribué à une locomotive
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
19
|
NumClient
|
Le numéro attribué à un client
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
20
|
HeureDep
|
Heure de départ du train
|
NC
|
Heure(6)
|
-
|
21
|
Motif
|
Le motif de paiement frais par un client
|
NC
|
AN_30
|
-
|
22
|
NbreVoiture
|
Le nombre de voiture attaché à un train
|
NC
|
N_5
|
-
|
23
|
TypeTrain
|
La date à laquelle un train doit voyager
|
NC
|
AN_30
|
-
|
24
|
DateVoyage
|
Le nom du conducteur
|
NC
|
Date (8)
|
Unique
|
28
II.5 RECENSEMENT DES ACTEURS
N °
|
ACTEUR
|
TYPE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
CHEF
CONSIGNE
|
INTERNE
|
La personne qui traite de la réservation de client et
remplir le manifeste de la consigne
|
2
|
Guichetier
|
Interne
|
Celui qui élabore le billet et le livre au client
|
3
|
Client
|
Externe
|
Celui qui vient faire la
réservation
|
29
I.6 GRAPHE DES F
II6 GRAPHE DES
FLUX
CLIENT
1
2
3 4
7
8
5
CHEF
CONSIGNE
GUICHETIE
9
6
LEGENDE :
1. Demande réservation
2. Place non disponible
3. Place disponible
4. Demande pièce d'identité
5. Pièce d'identité remise
6. Manifeste remplit transmis
7. Paiement et encaissement effectué
8. Billet livré
9. Carnet d'enregistrement client mise à jour et
transmis
CHEF CONSIGNE
CLIENT
GUICHET
30
II.7 DIAGRAMME DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
Il nous permet de présenter l'enchainement de
différents postes de travail
Frais exigés
Demande réservation
Pièce d'identité
REMPLISSAGE
VERIFICATION PLACE
Place non disponibl
Manifeste rempli
Place disponibl
LIVRAISON BILLET
PAIEENCAISSEMENT
ETABLISSEMENT
Paiement et encaissement
ff t é
Billet élaboré
Billet livré
TEMPS
10'
31
II.8 CRITIQUE ET PROPOSITION DES SOLUTIONS
A ce point, nous voulons donner les points positifs du
système existant ainsi que ses points négatifs.
II.8.1 CRITIQUE DE L'EXISTANT
Partant des évènements vécu à la
société nationale de chemin de fer du Congo, voici notre critique
:
A. POINTS FORTS
V' Une bonne collaboration entre les agents
V' Un bon échange d'information entre les
différents postes de travail
V' La ponctualité et le dévouement des
agents qui assurent la bonne réservation.
B. POINTS FAIBLES
V' Encombrement des archives à la
réservation
V' Manque de précision concernant le nombre
précis des clients qui doivent voyagés
V' Perte de temps lors de la vérification de
places
V' Répétition d'un seul numéro
d'une place sur les différents billets.
C. PROPOSITION DE LA NOUVELLE SOLUTION
Nous pensons que le développement d'une application
informatique avec une base de données serait un atout pour mieux
sauvegarder et concerner les informations sur la vente de billets à la
société nationale de chemin de fer du Congo, une grande
nécessité pour pouvoir palier à la situation
soulevé dans la problématique conformément à ce que
nous avons déjà déclaré dans l'hypothèse.
32
CHAPITRE III. CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME
D'INFORMATION
III.1 INTRODUCTION
Ce chapitre porte sur l'analyse détaillée
c'est-à-dire conceptuel, logique et organisationnel. Il nous permettra
d'abord de comprendre le pourquoi de l'organisation actuelle et mettre en
évidence les fondements de l'activité.
Il consiste en la modélisation au niveau conceptuel
d'un système d'information. En suite ce chapitre a pour objectif
d'adapter le modèle logique de traitement dans le cadre d'une
architecture technique à plusieurs niveaux en affectant les sources aux
composants des fonctions logiques.
III.2 ANALYSE CONCEPTUEL DU NOUVEAU SYSTEME
III.2.1 DESCRIPTION DE DONNEES
La structure de données doit être construite
à partir d'un ensemble de disjonctions de base. Pendant la conception du
système d'information, il est indispensable de recenser toutes les
données (actuelles et futures) utilisées dans le domaine.
Chaque donnée sera :
V' Identifier par un nom de donnée ;
V' Définir par un type ;
V' Caractérisée par un domaine de définition
(numérique, alphanumérique,...) et
une taille ;
V' Associé à une règle de gestion.
III.2.1 REGLES DE GESTION
V' Une place est réservée pour un seul client
V' Une voiture appartient à une catégorie de
Comp
V' Une voiture peut être attachée à une
locomotive pour une période donnée
V' Dans une voiture on trouve plusieurs places
V' Une place est trouvée dans une voiture
V' Pour un voyage plusieurs voitures peuvent être
attachées à une locomotive
33
III.2.2 DICTIONNAIRE DE DONNEES
N°
|
PROPRIETES
|
SIGNIFICATION
|
TYPE
|
DOMAINE ET TAILLE
|
REGLE DE
GESTION
|
1
|
AdresseClient
|
L'adresse du client
|
NC
|
AN_30
|
-
|
2
|
Nom Chef
|
Le nom du chef de train
|
NC
|
AN_20
|
-
|
3
|
CodeRendClasse
|
Le code attribué à une catégorie de
voiture
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
4
|
NbrePlaceDisp
|
Nombre de places
disponible d'une voiture
|
NC
|
N_6
|
-
|
5
|
NomClient
|
Le nom d'un client
|
NC
|
AN_20
|
-
|
6
|
LieuDep
|
Le lieu de départ
|
NC
|
AN_20
|
-
|
7
|
Obs
|
L'observation faite pour sur place
|
NC
|
AN_50
|
-
|
8
|
Dest
|
La destination d'un train
|
NC
|
AN_30
|
|
9
|
TelClient
|
Le numéro de téléphone d'un client
|
NC
|
AN_15
|
-
|
10
|
NomMach
|
Le nom du machiniste
|
NC
|
AN_25
|
-
|
11
|
Comp
|
Le compartiment d'une voiture
|
NC
|
AN_20
|
-
|
12
|
NumPlace
|
Le numéro attribué à une place d'assise du
client
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
13
|
CodeRendClasse
|
La Comp qu'appartient une voiture
|
NC
|
AN_50
|
-
|
14
|
CodeVoiture
|
Un code attribué à une voiture du train
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
15
|
Prix
|
Le prix fixé pour une
categorie de Comp de voiture
|
NC
|
N_5
|
-
|
16
|
DateDep
|
La date de départ du train
|
NC
|
Date(8)
|
-
|
17
|
Gare
|
La gare d'arrêt d'un train
|
NC
|
AN_20
|
-
|
18
|
NumLoc
|
Le numéro attribué à une locomotive
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
19
|
NumClient
|
Le numéro attribué à un client
|
NC
|
AN_6
|
Unique
|
20
|
HeureDep
|
Heure de départ du train
|
NC
|
Heure(6)
|
-
|
21
|
Motif
|
Le motif de paiement frais par un client
|
NC
|
AN_30
|
-
|
22
|
NbreVoiture
|
Le nombre de voiture attaché à un train
|
NC
|
N_5
|
-
|
23
|
TypeTrain
|
La date à laquelle un train doit voyager
|
NC
|
AN_30
|
-
|
24
|
DateVoyage
|
Le nom du conducteur
|
NC
|
Date (8)
|
Unique
|
34
A. MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE
(MDFSS)
C'est un tableau dans lequel nous mettons toutes les
propriétés du type non calculé qui proviennent du
dictionnaire de données. Elle permet de déterminer le nombre
d'entités et leurs propriétés en dépendance
directes.
N°
|
PROPRIETES
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
7
|
8
|
9
|
10
|
11
|
12
|
13
|
14
|
15
|
16
|
17
|
18
|
19
|
20
|
21
|
22
|
23
|
24
|
1
|
AdresseClient
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
2
|
NomChef
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
3
|
CodeRendComp
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
4
|
NbrePlaceDisp
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
5
|
NomClient
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
6
|
LieuDep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
7
|
Obs
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
8
|
Dest
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
9
|
TelClient
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
10
|
NomMach
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
11
|
Comp
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
12
|
NumPlace
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
13
|
CodeRendClasse
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
14
|
CodeVoiture
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
35
15
|
Prix
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
16
|
DateDep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
17
|
Gare
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
18
|
NumLoc
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
19
|
NumClient
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
20
|
HeureDep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
21
|
Motif
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
22
|
NbreVoiture
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
23
|
TypeTrain
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
24
|
DateVoyage
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
36
B. MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE
COMPOSEE(MDFSC)
C'est un tableau utilisé pour donner la chance aux
éléments non touché dans la nature de dépendance
à source simple de répartition à la formation de base de
données globale. Dans cette matrice on trouve que les identifiants et
les propriétés non utilisées. Elle va nous renseigner les
relations non hiérarchiques.
N°
|
PROPRIETES
|
DF6
|
1
|
CodeRendClasse
|
|
2
|
CodeVoiture
|
G
|
3
|
NumLoc
|
G
|
4
|
NumClient
|
|
5
|
NumPlace
|
|
5
|
DateVoyage
|
G
|
6
|
NbreVoiture
|
D
|
C. MATRICE ENTRE IDENTIFIANTS
C'est une portion de la matrice de dépendance à
source simple. Dans cette on retrouve les relations entre identifiant afin
d'avoir une idée sur les relations hiérarchiques.
N°
|
Propriétés
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
1
|
CodeRendClasse
|
|
1
|
|
|
|
|
2
|
CodeVoiture
|
|
*
|
|
|
1
|
|
3
|
NumLoc
|
|
|
|
|
|
|
4
|
NumClient
|
|
|
|
|
1
|
|
5
|
NumPlace
|
|
|
|
|
*
|
|
6
|
DateVoyage
|
|
|
|
|
|
|
37
D. GRAPHE DE CLES
CodeVoiture, NumLoc, DateVoyage
DateVoyage
NumLoc
CodeVoiture
NumPlace
NumClient
CodeRendClasse
38
E. STRUCTURE D'ACCES THEORIQUE (SAT)
CodeVoiture, NumLoc, DateVoyage
-NbreVoiture
CodeVoiture -NbrePlaceDisp -Comp
CodeRendClasse
-DescripClasse -Prix
DateVoyage
NumLoc -NomChef -TypeTrain -NomMach -DateDep -HeureDep
-LieuDep -Dest
NumPlace -Obs
NumClient -NomClient -TelClient -Motif
AdresseClient
Elle est définie comme un graphe de dépendance
fonctionnelle établie en ajoutant du graphe des clés
différentes propriétés de la matrice à source
simple
39
F.
PLACE
NumPlace Obs
1,1
1, N
Avoir
0,1
1,1
Réserver
CIF
CLIENT
-NumClient -Motif -TelClient -NomClient -AdresseClient
1, N 1, N
Attacher
NbreVoiture
VOITURE
-CodeVoiture -Comp
-NbrePlaceDisp
1, N
1, 1
Trouver CIF
1, N
LOCOMOTIVE
NumLoc -NomChef -TypeTrain -NomMach -DateDep -HeureDep
-LieuDep -Dest
CLASSE
CodeRendClasse -Descrip
-Prix
VOYAGE
DateVoyage
REGLES DE PASSAGE DU MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES
Nous avons trois règles de passage de la structure
d'accès théorique vers le modèle conceptuel de
données
y' A une source mono propriété correspond une
entité
y' A une source multipropriétés correspond une
association non hiérarchique c'est-à-dire porteuse de
propriétés
y' A une dépendance fonctionnelle entre source correspond
une association hiérarchique c'est-à-dire non porteuse de
propriétés dite CIF
G. MODELE CONCEPTUELLE DE DONNEES (MCD)
40
H. TABLEAU DE CARDINALITES
N°
|
ASSOCIATION
|
ENTITES
|
CARDINALITES
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Attacher
|
VOITURE
|
(1, N)
|
Une voiture est attachée à une seule pour une date
donnée
|
LOCOMOTIVE
|
(1, N)
|
Une locomotive peut être attachée à
plusieurs voitures à une période d'un voyage donné
|
VOYAGE
|
(1, N)
|
Pour un voyage donné
plusieurs voitures peuvent être attachées
à une locomotive
|
2
|
Réserver
|
CLIENT
|
(1, 1)
|
Un client demande de lui qu'il seul place
|
PLACE
|
(0, 1)
|
Une place est réserver tout au plus à un seul
client
|
3
|
Avoir
|
VOITURE
|
(1, 1)
|
Une voiture a une seule
catégorie de classe qu'elle appartienne
|
COMP
|
(1, N)
|
Une catégorie de classe a au moins une voiture
|
4
|
Trouver
|
PLACE
|
(1, 1)
|
Une place est trouvée
dans au moins une voiture
|
VOITURE
|
(1, N)
|
Dans une voiture on trouve
|
III.2.4 TRANSFORMATION DU MCD EN MLDR A. REGELES DE
TRANSFORMATION
41
Le passage du modèle conceptuel au modèle logique
de données se fait en fonction des règles ci-après :
V' TRANSFORMATION DES ENTITES
Chaque entité du M.C.D devient une table ou une
relation dans le modèle logique des données. L'identifiant de
l'entité devient la clé primaire de la table ou de la relation.
Chaque propriété devient un attribut de la table ou de la
relation.
V' TRANSFORMATION DES ASSOCIATIONS NON-HIERARCHIQUES (NON
C.I.F)
Chaque association non-hiérarchique devient une table
ou une relation. La clé primaire de la table ou de la relation sera
constituée par la concaténation des identifiants des
entités participant dans l'association.
V' TRANSFORMATION DES ASSOCIATIONS HIERARCHIQUES (C.I.F)
Dans le cas d'une association hiérarchique ou C.I.F,
liant deux (2) entités, on ajoute dans la table correspondant à
l'entité qui a la cardinalité maximale égale à
1((1,1) ou
(0,1) l'entité «FILS») un attribut ou des
attributs correspondant à l'identifiant de l'entité «PERE
». L'attribut ainsi ajouté joue le rôle de la clé
étrangère.
B. CHOIX DU TYPE DU MODELE LOGIQUE DE
DONNEES
En ce qui concerne le choix de type de base de données
pour notre travail, nous choisissons la base de données DU TYPE
RELATIONNELLE, dans cette base de données, l'information est
organisée dans des tableaux a deux dimensions appelés des
relations, les lignes de ce relations sont appelés de n-tuples ou
enregistrement. Les noms de colonnes sont appelés des champs.
Les logiciels qui permettent de créer, utiliser, et
maintenir des bases de données relationnelles sont des systèmes
de gestion de base de données relationnelle, pour notre travail nous
prendrons MySQL. Ce système relationnelle est beaucoup plus
utilisés aujourd'hui parce qu'elles utilisent le langage SQL pour
interroger les bases des données. Ce langage permet de demander des
opérations D'ALGEBRE RELATIONNELLE telles que L'INTERROGATION, LA
SELECTION, LA JOINTURE.
C. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES
CIBLE
C.1 MODELE LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNEL
1. CLIENT (NumClient, NomClient, Motif, AdresseClient,
TelClient)
42
2. LOCOMOTIVE (NumLoc, NomChef, NomMach, TypeTrain,
DateDep, Heuredep, LieuDep, Dest)
3. COMP (CodeRendClasse, Descrip, Prix)
4. VOITURE (CodeVoiture, NbrePlace, CodeRendClasse #)
5. PLACE (NumPlace, Obs, NumClient#, CodeVoiture#)
6. VOYAGE (DateVoyage)
7. ATTACHER (CodeVoiture#, NumLoc#, DateVoyage#,
NbreVoiture)
C.2 MODELE LOGIQUE DE DONNEES SOUS FORME
TABULAIRE
1,1
0,1
1,1
1, N
PLACE
NumPlace Obs
NumClient#
CLIENT
-NumClient -Motif -TelClient -NomClient -AdresseClient
VOITURE
-CodeVoiture -Comp -NbrePlaceDisp -CodeRendClasse#
CLASSE
CodeRendClasse -Descrip
-Prix
1, 1
1, 1 1, N
III.3 DESCRIPTION DE TRAITEMENT
1, N
1,1
ATTACHER
NumLoc#, CodeVoiture#, DateVoyage#
NbreVoiture
1, N
VOYAGE
DateVoyage
LOCOMOTIVE
NumLoc -NomChef -TypeTrain -NomMach -DateDep -HeureDep
-LieuDep -Dest
|
43
A. TABLEAU DES ACTEURS
Un acteur est un intervenant qui participe dans le domaine
étudié, il peut être une personne morale ou physique, les
deux types d'acteurs sont :
V' Acteur interne : celui qui fait partir du domaine
d'étude
V' Acteur externe : qui est en dehors du domaine
d'étude c'est-à-dire qui vient de l'extérieur.
N °
|
ACTEUR
|
TYPE
|
SIGNIFICATION
|
1
|
CHEF
CONSIGNE
|
INTERNE
|
La personne qui traite de la réservation de client et
remplir le manifeste de la consigne
|
2
|
Guichetier
|
Interne
|
Celui qui établit le billet de voyage et le livre au
client
|
3
|
Client
|
Externe
|
Celui qui vient faire la
demande de réservation de place
|
44
B. GRAPHE DES FLUX
1.
3
CHEF
CONSIGNE
1
2
4
6
5
CLIENT
9
8
7
GUICHET
LEGENDE :
Demande réservation
2. Place non disponible
3. Place disponible
4. Demande pièce d'identité
5. Pièce d'identité remise
6. Manifeste remplit transmis
7. Paiement effectué
8. Billet livré
9. Carnet d'enregistrement client mise à jour
et transmis
C. TABLEAU DE FLUX
N°
|
NOM FLUX
|
EMETTEUR
|
RECEPTEUR
|
PROPRIETES
|
SIGNIFICATION
|
45
1
|
Demande réservation
|
CLIENT
|
CHEF
CONSIGNE
|
-CodeVoiture -NumPlace -DateVoyage
|
Le client vient faire la réservation
|
2
|
Place non
disponible
|
Chef consigne
|
client
|
-CodeVoiture -NumPlace -DateVoyage
|
Le chef informe au
client du non disponibilité de place
|
3
|
Place
disponible
|
CHEF
CONSIGNE
|
Chef consigne
|
-NumPlace -CodeVoiture
|
Le chef informe au
client de la
disponibilité de place
|
4
|
Demande
pièce d'identité
|
CHEF
CONSIGNE
|
CLIENT
|
-NumClient -Motif -TelClient -NomClient -AdresseClient
|
Le chef demande au client sa pièce d'identité
|
5
|
Pièce d'identité remise
|
CLIENT
|
CHEF
CONSIGNE
|
-NumClient -Motif -TelClient -NomClient -AdresseClient
|
Le client remet la
pièce d'identité
demandé par le chef
|
6
|
Manifeste rempli transmis
|
CHEF
CONSIGNE
|
CLIENT
|
-NumClient -Motif -TelClient -NomClient -AdresseClient
|
Le chef rempli le
manifeste et le transmet
|
7
|
Paiement et
encaissement effectué
|
CLIENT
|
GUICHETIER
|
-Prix -NumClient -Motif -TelClient -NomClient -AdresseClient
|
Le client passe au guichet pour payer le frais fixé
|
8
|
Livraison billet
|
GUICHETIER
|
CLIENT
|
-NumPlace NumClient -NomClient -AdresseClient
|
Le guichet livre le billet au client
|
9
|
Enregistrement
client de
clients ayant
réservé de
places
|
GUICHETIER
|
CHEF
CONSIGNE
|
NumLoc -NumPlace NumClient -NomClient
|
Le guichet procédé
à l'enregistrement de tous les clients
ayant passés la commande
|
46
D. TABLEAU DES EVENEMENTS
N°
|
NOM
EVENEMENT
|
TYPE
|
EMETTEUR
|
RECEPTEUR
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Demande réservation
|
EXTERNE
|
CLIENT
|
CHEF
CONSIGNE
|
Le client vient faire la réservation
|
2
|
Place
disponible
|
INTERNE
|
CHEF
CONSIGNE
|
CHEF
CONSIGNE
|
Le chef consigne
procède au
remplissage du
manifeste
|
3
|
Pièce d'identité remise
|
EXTERNE
|
CLIENT
|
CHEF
CONSIGNE
|
Le client remet la
pièce d'identité
demandé par le chef
|
4
|
Manifeste remplit
|
EXTERNE
|
CLIENT
|
Chef cosigne
|
Le client passe au guichet pour payer le frais fixé
|
5
|
Frais exigés
|
Externe
|
Client
|
CHEF
CONSIGNE
|
Le client se
présente au guichet pour payer le frais
|
6
|
Paiement et
encaissement effectué
|
Interne
|
Guichetier
|
Guichetier
|
Le guichet procédé
à l'enregistrement de tous les clients
ayant passés la commande
|
7
|
Billet établit
|
Interne
|
Guichetier
|
Client
|
Le guichetier
établit le billet pour le client
|
47
E. TABLEAU DES ACTIONS INDUITES
N°
|
NOM
EVENEMENT
|
ACTIONS INDUITES
|
RECEPTEUR
|
RESULTATS
|
SIGNIFICATION
|
1
|
Demande réservation
|
Vérifier Informer
|
CHEF
CONSIGNE
|
-Place disponible
-Place non
disponible
|
Le client vient faire
la réservation d'une place
|
2
|
Place
disponible
|
Remplir
|
Chef consigne
|
Manifeste remplit
|
|
3
|
Pièce d'identité remise
|
Remettre Demander
|
CHEF
CONSIGNE
|
Remplir manifeste
|
Le client remet la
pièce d'identité
demandé par le chef
|
4
|
Paiement et
encaissement effectué
|
Payer Encaisser
|
GUICHET
|
Etablissement billet
|
Le client passe au guichet pour payer le frais fixé
|
5
|
Billet établit
|
Enregistrer Actualiser
|
CHEF
CONSIGNE
|
Transmettre
la liste des clients
enregistrés
|
Le guichet procède
à l'enregistrement de tous les clients
ayant passés la commande
|
48
F. TABLEAU DES OPERATIONS
N°
|
NOM
OPERATION
|
ACTIONS
|
NOM
EVENEMENT
|
RESULTATS
|
SIGNIFICATION
|
1
|
VERIFICATION
|
Vérifier Informer
|
Demande réservation
|
Place
disponible
Place non
disponible
|
Le client vient faire la réservation
|
2
|
REMPLISSAGE
|
Remettre Remplir
|
-Pièce d'identité remise
-Place disponible
|
Manifeste remplit
|
Le client remet la
pièce d'identité
demandé par le chef
|
3
|
ENCAISSEMENT
|
Payer Encaisser
|
-Frais exigés
-Manifeste rempli
|
Paiement et
Encaissement frais effectué
|
Le client passe au guichet pour payer le frais fixé
|
4
|
ETABLISSEMENT
|
Etablir Enregistrer
|
Paiement et
Encaissement frais effectué
|
Etablissement
billet de voyage
|
Le guichetier
établit le billet pour le client
|
5
|
MISE A JOUR
|
Enregistrer Actualiser
|
Etablissement billet de voyage
|
La liste des
clients enregistrés
|
Le guichet procède
à l'enregistrement de tous les clients
ayant passés la commande
|
G. TABLEAU DE SYNCHRONISATIONS
49
N°
|
NOM
SYNCHRONISATION
|
OPERATION
|
SYNCHRO
|
EVENEMENTS
|
SIGNIFICATION
|
1
|
S1
|
REMPLISSEMENT
|
A et B
|
A : Pièce
d'identité
B : place
disponible
|
Exécuter la
vérification lorsque
la place est disponible et la pièce
d'identité est présente
|
2
|
S2
|
ENCAISSEMENT
|
C ET D
|
C : Frais exigés
D : manifeste
remplit transmis
|
Effectué l'encaissement lorsque le manifeste remplit est
transmis et le frais exigés est présenté
|
H. TABLEAU DE REGLES D'EMISSION DE RESULTATS
N °
|
NOM R.E.R
|
OPERATION
|
R.E.R
|
RESULTATS
|
SIGNIFICATION
|
1
|
R1
|
VERIFICATI ON DISPONIBILI TE PLACE
|
La voiture d'un
train doit
contenir au
moins une place non réservé
|
Vrai : PLACE
DISPONIBLE
Faux : PLACE NON
DISPONIBLE
|
L'opération Vérification
disponibilité place
présente le résultat
VRAI lorsque la
condition est vérifiée sinon elle
présente le résultat FAUX.
|
50
I. GRAPHE D'ORDONNANCEMENT DES EVENEMENTS
Demande de réservation
Place disponible Place non disponible
Pièce d'identité
Frais exigés Manifeste remplit
Paiement et encaissement effectué
Billet établit
Liste des clients enregistrés
51
Liste des clients enregistrés et transmis
J. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS
VERIFICATION
Place disponible
Place non
disponible
Pièce d'identité
Demande de réservation
REMPLISSAGE
Frais exigés
Manifeste remplit
ENCAISSEMNT
Paiement et
encaissement effectué
ETABLISSEMENT
Billet établit
MISE A JOUR
52
III.3.2 TRANSFORMATION DU MCT EN MOT
REGLES DE TRANSFORMATION y' Contenu du modèle
organisationnel
Au niveau conceptuel nous avons expliqué seulement
« Quoi faire », tandis qu'à ce niveau organisationnel, il nous
est opportun de poser les questions suivantes : « Qui fait ? »,
« Quand on le fait ? » et « Comment on le fait ? », pour
arriver à intégrer dans ce modèle :
- L'affectation des taches ;
- La désignation du milieu (ou lieu) ;
- La chronologie d'exécution ;
- Le mode opératoire.
y' Nature de transformation
A partir du modèle conceptuel des traitements, on
formule le choix d'organisation qui se base sur les orientations de l'analyse
préalable. Ce choix lorsqu'il est explicité puis
détaillé aboutisse à la définition des postes de
travail. C'est ainsi qu'à partir de ces postes de travail on construit
une procédure.
y' Conséquences sur le modèle
Le changement de niveau produit trois (3) conséquences
principales qu'il sied de signaler :
- L'ajout d'informations complémentaires : le M.O.T
précise comment la future solution s'insère dans l'organisation
;
- La redéfinition des procédures : chaque
opération du modèle conceptuel des traitements se trouve donc
subdivisé, ici, en procédures fonctionnelles (P.F). certains
auteurs remplacent « Procédures fonctionnelles » par le terme
« Phase », le cas d'Yves TABOURIER17
- L'ajout d'éventuels éléments : le M.C.T
retient la notion d'évènements significatifs au niveau des
principes de gestion. Le passage au niveau organisationnel peut justifier
l'ajout des évènements supplémentaires imposés par
les contraintes d'organisation que nous trouvons.
TABLEAU DE CHOIX D'ORGANISATION
Le découpage organisationnel de l'entreprise
définit les postes de travail ou les unités d'organisation «
QUI ? », poste de travail est défini avant de déterminer
« Qui fait Quoi ? ». Un poste de travail est une
responsabilité au sein de l'entreprise.18
Vu ce qui est dit précédemment, certaines
opérations trouvées dans le Modèle Conceptuel des
traitements, seront divisées en phase. Chaque phase représentant
une action déclenchée par l'opération. Nous
décrirons encore ici le type de traitement (Manuel, Conversationnel ou
Automatique) retenu, le degré de formalisation et d'urgence ainsi que le
volume et répétitivité pour chaque phase retenue.
17 Yves TABOURIER, De l'Autre côté de
MERISE, Ed. D'Organisation, Paris 1986, P. 209
18 Michel DIVINE, Parlez-Vous MERISE, Ed. Du
Phénomène, Paris 2008, P.100
53
Les phases sont en d'autres mots les actions induites par un
événement. Le tableau des choix d'organisation se présente
de la manière ci-après :
N°
|
OPERATION
|
PHASE
|
DEGRE DE
FORMALISAT ION
|
VOLUME ET REPETIT IVITE
|
DEGRE D'URGE NCE
|
TYPE DE TRAITEM ENT RETENU
|
1
|
Vérification
|
Vérifier disponi bilité place
|
Formalisable
|
-Volume variable
-Peu répétitif
|
Urgent
|
Interactif
|
2
|
REMPLISSAGE
|
Remplir
|
Peu
formalisable
|
-Volume variable
-Peu répétitif
|
Peu Urgent
|
Interactif
|
3
|
ENCAISSEMEN T
|
Encaisse r
Payer
|
Peu
Formalisable
|
-Volume variable
-Peu répétitif
|
Peu Urgent
|
Manuel
|
4
|
ETABLISSEME NT
|
Etablir
Enregist rer
|
Formalisable
|
-Volume variable
-Peu répétitif
|
Urgent
|
Interactif
|
5
|
MISE A JOUR
|
Enregist rer
Transfé rer
|
Formalisable
|
-Volume variable
-Peu répétitif
|
Urgent
|
Interactif
|
54
A. DIAGRAMME D'ENCHAINEMENT DES PROCEDURES
N °
|
Temps
|
Traitement/ phase
|
Nature
|
Poste de travail
|
1
|
Début : à
l'arrivée du client
Durée : VARIABLE
|
Demande réservation
|
Interactif
|
Poste :
Bureau de réservation Ressource : AGENT VERIFICATEUR
PC
BDD
|
|
PHASE 1
|
|
|
VERIFICATION
|
|
|
R1 R1
|
|
Place non Place
disponible disponible
|
|
2
|
Début : lorsque la place est disponible et la pièce
d'identité est remise
Durée : Variable
|
Place
Pièce
disponible d'idi
|
Interactif
|
Poste :
BUREAU DE RESERVATION Ressources Manifeste consigne
Pièce identité
stylo
Base de données PC
|
|
|
Et
|
|
|
PHASE 2
|
|
|
REMPLISSAGE
|
|
|
Manifeste remplit
|
3
|
D2BUT : après avoir rempli le manifeste et frais
présentés
Durée : variable
|
Manifest Frais
e remplit exigés
|
MANUEL
|
Poste : GUICHET Ressources Détecteur Monnaie Stylos
|
|
Et
|
|
PHASE 3
|
|
|
ENCAISSEMENT
|
|
Paiement et encaissement effectué
|
|
55
4
|
DEBUT : à la réception du manifeste
Durée : variable
|
|
Interactif
|
Poste : GUICHET Ressources Agent Etablisseur PC
BDD
Imprimante Papiers
|
Paiement et
encaissement effectué
|
|
|
PHASE 4
|
|
|
ETABLISSEMENT
|
|
|
BILLET VOYAGE ETABLIT
|
5
|
Début : BILLET ETABLIT
Durée : 8'
|
Billet voyage établit
|
Interactif
|
Poste : GUICHET Ressources CARNET BILLET PC
BDD PAPIERS
|
PHASE 5
|
|
MISE A JOUR
|
|
|
Carnet mise à jour et liste clients établit
|
56
B. DIAGRAMME PHASE-POSTE
N°
|
TACHES
|
HOMME
|
MACHINE
|
1
|
VERIFICATION
|
-Saisir : NumLoc, CodeVoiture
|
|
- cliquer sur bouton vérifier
|
Rechercher: les informations dans la base de données dont
les informations se trouvent dans la table voiture et Place
|
|
|
|
|
Oui
Voulez-vous vérifier pour un
autre client ?
|
Oui Non
Si
NbrePlaceDisp=0
|
|
Non
|
MSG : place non disponible
|
|
MSG : place non disponible
|
|
|
|
Afficher le formulaire de
|
|
|
remplissage du manifeste
|
|
|
|
|
2
|
REMPLISSAGE
|
|
|
|
-Saisir : NumLoc, CodeVoiture, NumPlace, LieuDep, HeureDep, Dest,
NumClient, NomClient, AdresseClient, motif, montant, telClient
- cliquer sur bouton Remplir
|
Remplir les informations saisies dans la base de
données
|
|
Oui
Voulez-vous remplir pour un autre client ?
|
|
|
Non
|
Fermer le formulaire retour menu
|
|
|
principal
|
|
|
|
57
|
|
|
|
3
|
ETABLISSEMENT
|
|
|
- Saisir: : NumLoc, CodeVoiture,
|
|
NumPlace, LieuDep, HeureDep, Dest, NumClient, NomClient,
|
|
|
AdresseClient, motif, montant, telClient
Cliquer sur le bouton imprimer
|
Enregistre le client dont l'on a saisi les coordonnées
dans la base de données
|
|
Oui
|
-imprimer billet
|
|
Voulez-vous
|
|
|
|
établir autre
|
un billet ?
|
|
|
Non
|
|
|
Fermeture du formulaire Retour au menu principal.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
4
|
MISE A JOUR
|
|
|
|
- Saisir: : NumLoc, CodeVoiture,
|
|
|
NumPlace, LieuDep, HeureDep, Dest, NumClient, NomClient,
|
|
|
AdresseClient, motif, montant, telClient
Cliquer sur le bouton imprimer
|
|
Enregistre le client dont l'on a saisi les coordonnées
dans la base de données
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
CLIQUER SUR LE BOUTON VERIFIATION CLIENTS ENREGISTRES
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Affiche le nombre total de clients
|
|
|
|
enregistrés
|
|
|
|
|
|
Fermeture du formulaire Retour au menu principal.
|
|
|
58
CHAPITRE
IV. LA REALISATION DE LA SOLUTION
IV.1. INTRODUCTION
Pour mieux programmer ou concevoir une application,
l'informaticien ou le programmeur a besoin de deux outils principaux :
? Un langage de programmation adopté pour la conception
de l'application et
? Un système de gestion des bases de
données(S.G.B.D) pour le stockage des informations dans une base de
données.19
Ce quatrième chapitre sera consacré à la
réalisation de l'application ou du logiciel de gestion du calcul des
allocations familiales
Nous présenterons dans cette partie :
- Le choix du langage de programmation et du système de
gestion des bases de données adoptés ; - Une brève
étude sur les algorithmes ;
- Présenter les interfaces et quelques codes de notre
application.
IV.2. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION ET DU SYSTEME DE
GESTION DES BASES DE DONNEES
IV.2.1. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION
La programmation est le fait d'écrire des instructions
compréhensibles par l'ordinateur en vue d'obtenir des résultats
à partir des données, d'entrée.20
L'ordinateur étant une machine, ne connaissant pas notre
langage (le langage humain). Ainsi, pour mieux communiquer avec lui, il faut un
langage par lequel nous lui donnerons des instructions.
C'est ainsi, pour arriver à la conception de notre
application, nous avons choisi le langage de programmation C#. Notre choix a
porté sur le langage C# non seulement parce qu'il est un langage que
nous maitrisons mieux mais aussi :
- Il est l'un des langages évolués ;
- Il permet une facilité de programmation ;
- Une bonne présentation des interfaces graphiques ;
- Une facilité de connexion à la base de
données ;
Bref, un langage de programmation orienté objet avec son
concept « COMP »
qui est en fait une abstraction pour formaliser notre application
sous le SGBD souhaité.
19 EON Patrice - FREMONT Rudy - PARE Lydie - SAUTEJEAU
Xavier, IHM Interface Homme-Machine, Ed. DESS QUASSI, Angers 2002, P.24
20 SAUTEJEAU Xavier, L'art de programmer, Ed. DESS
QUASSI, Angers 2002, P.34
59
IV.2.2. CHOIX DU SYSTEME DE GESTION DES BASES DE
DONNEES
Un système de gestion des bases de données(SGBD)
est un ensemble logiciels/matériels permettant de gérer et
manipuler une base de données (Confère chapitre
1er).
Notre choix a été porté sur le
système de gestion des bases de données MySQL dans sa version 2.1
vu les avantages qu'il offre : facile à avoir, une meilleure
conservation, manipulation et mise à jour de données, un
système de gestion des bases de données relationnel.
MySQL, comme son nom l'indique, est une suite. Il suffit donc
d'installer MySQL.
VI.3 PRESENTATION DE L'APPLICATION
VI.1 BASE DE DONNEES
VI.2 INTERFACES GRAPHIQUES
60
CONCLUSION GENERALE
Nous voici au terme de notre travail portant sur la gestion
informatisée de paiement des allocations familiales.
En fait, l'objet de ce travail était d'élaborer
un dossier d'analyse complexe sur le développement d'une application de
vente de billet et réservation de place dans un train de mettre en place
un système d'information informatisé qui permettra de pallier les
difficultés rencontrées.
Cependant pour réaliser ce travail nous avons fait
recours à une approche méthodologique analytique en utilisant
MERISE et aux techniques Documentaire, d'Interview et d'Observation.
Dans le premier chapitre, nous avons donné les
définitions des concepts de l'informatique, les considérations
théoriques et les documents d'étude.
Dans le deuxième chapitre nous avons fait l'analyse de
l'existant et présenté le domaine de notre étude qui est
la société nationale de chemin de fer du Congo ; son historique,
son organisation ainsi que la description du domaine de notre étude
à savoir, la communication intérieur et avec l'extérieur,
l'analyse des documents et des opérations effectuées sur ces
documents ou juste l'analyse des données ainsi que des traitements et en
fin la critique de l'existant et proposition de solution.
Le troisième chapitre a étalé sur la
conception du système d'information, la transformation de deux
modèles (Modèle Conceptuel de Données et Modèle
Conceptuel de traitements présenté au deuxième chapitre)
en se basant sur les règles de transformation de la méthode
MERISE. Nous avons aussi construit le modèle logique de données
et le modèle organisationnel de traitement tout en considérant
les matérielles informatiques. Les outils, les ressources, les postes,
les lieux, le types de base de données, le temps ont été
défini. Disons que le moyen à mettre en oeuvre pour
présenter la solution était déterminé au niveau de
ce chapitre.
Le dernier chapitre qui est la réalisation de
l'application, ce chapitre a soutenu les chapitres ci-hauts, dans lequel nous
avons rendu opérationnelle notre solution sur une configuration
matérielle directement accessible par les utilisateurs. Ce chapitre a
contenu un logiciel de base conçu à partir du dossier de
l'analyse de ce travail qui a permis de répondre presque aux
difficultés rencontrées que nous avons évoquées
dans l'introduction.
Il est utile de rappeler que notre problématique
était celui de savoir s'il était possible de mettre en place un
système d'information qui permettra d'avoir à l'heure les
informations sur la situation de paiement afin de remédier aux
problèmes ci-dessous :
V' Perte de temps dans la vérification de place
avant la réservation ; V' Répétition d'un seul
numéro sur différents billets ;
61
? Le système existant manque la capacité de
fournir le nombre exact de billets en tenant compte de nombre précis de
places restantes dans les différentes voitures d'un train.
Par rapport aux difficultés (problèmes)
énumérés ci-haut notre problématique gravite autour
de la question fondamentale suivante : « Quelle est la meilleure
solution informatique pouvons-nous adapter de manière à
résoudre les problèmes cités ? »
Eu égard à la démonstration faite au
troisième chapitre relatif à l'analyse logique et
organisationnelle ainsi qu'au dernier chapitre, il est nécessaire de
valider nos hypothèse ainsi que la proposition de solution faite
à l'analyse conceptuelle. La mise en place d'un système
d'information permettant à l'institution d'intégrer les taches et
le processus de gestion paiement et la conception d'une application permettant
de faire sortir la situation de calcul et paiement.
Une fois informatisé, la conception d'un système
d'information pour la gestion de vente de billet et réservation de
places permet à l'utilisateur d'optimiser le temps dans
l'exécution du travail ou dans le traitement d'informations,
écarter les erreurs et l'abondance des archives, de recenser toutes les
informations concernant la gestion de paie et calcul, protéger et
sécuriser les données , ... Et quant au responsable du service
des allocations familiales, en particulier, de faire face aux problèmes
de compression des agents dans certains postes de travail, d'être en
possession d'un système d'information performant,...
En fin, nous n'avons nullement pas la prétention
d'avoir épuiser tous les problèmes de pour la gestion de vente de
billet et de la réservation de places dans un train, la piste venant
d'être ouverte à tout le monde, ainsi, d'autres chercheurs
pourront exploiter ce sujet et l'orienter soit à d'autres types de
solutions soit à d'autres types de langages de programmation.
C'est ainsi que nous nous réjouissons d'avoir pu
contribuer avec le peu, d'une manière ou d'une autre, à la
science. Tous vos critiques, suggestions et recommandations seront les
bienvenues et contribueront à la bonne marche de cette oeuvre.
62
BIBLIOGRAPHIE
· OUVRAGE :
· COURS :
· Sites internet :
V'
www.developper.com
V'
www.commentcamarche.com
V'
www.wikipedia.fr
V'
www.edition-eni.com
V'
www.edition-eclipses.com
63
Table des matières
EPIGRAPHE 1
DEDICACE 2
REMERCIEMENTS 3
I. INTRODUCTION 4
I.1 GENERALITES 4
I.2 INTERET DU SUJET 4
A. INTERET SOCIAL 4
B. INTERET SCIENTIFIQUE 4
C. INTERET PERSONNEL 4
I.3 ETAT DE LA QUESTION 4
I.4 PROBLEMATIQUE 5
I.5 HYPOTHESE 5
I.6 METHODE ET TECHNIQUE 6
I.6.1 METHODE 6
I.6.2 TECHNIQUES 6
I.7 DELIMITATION DU SUJET 7
I.8 SUBDIVISION DU SUJET 7
CHAPITRE I. DEFINITION DE CONCEPTS ET CONSIDERATIONS
THEORIQUES 8
I.1 INTRODUCTION 8
I.2 DEFINITION DE CONCEPTS 8
I.2.1 CONCEPTS DU SUJET 8
I.2.2 CONCEPTS DE L'INFORMATIQUE 8
I.3. CONCEPTS DE BASE DE LA METHODE MERISE 9
I.2. CADRE THEORIQUE 10
I.2.1.1. PRESENTATION DE L'ENTREPRISE 11
I.2.1.2. ANALYSE PREALABLE 11
I.2.1.3. CRITIQUE DE L'EXISTANT 12
I.2.3. METHODE MERISE ET NOTATION 12
I.2.4. PRESENTATION GENERAL DE LA METHODE MERISE 12
I.2.4.1. LE NIVEAU CONCEPTUEL 13
I.2.4.2. LE NIVEAU ORGANISATIONNEL 13
CHAPITRE II. ANALYSE DE L'EXISTANT 19
II.1 INTRODUCTION 19
II.2 PRESENTATION DOMAINE D'ETUDE 19
A. HISTORIQUE DE LA SNCC 19
64
B. STRUCTURE DE LA SNCC 20
1.5.1 CONSEIL D'ADMINISTRATION 20
1.5.2 COMITE DE GESTION 21
1.5.3 LA DIRECTION GENERALE 21
1.5.4 LA DIRECTION 21
1.5.5 LE DEPARTEMENT 22
C. ORGANIGRAMME DE LA SNCC Erreur !
Signet non défini.
LES OBJECTIFS DE LA SNCC 24
II.3 DESCRIPTION TEXTUELLE 25
II.4 DESCRIPTION DE DOCUMENTS 25
II.4.1 ETUDE DE DOCUMENTS 25
II.4.2 INVENTAIRE DE RUBRIQUES 26
II.4.3 DICTIONNAIRE DE DONNEES 27
II.5 RECENSEMENT DES ACTEURS 28
II.7 DIAGRAMME DE CIRCULATION DES INFORMATIONS 30
II.8 CRITIQUE ET PROPOSITION DES SOLUTIONS 31
CHAPITRE III. CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME D'INFORMATION
32
III.1 INTRODUCTION 32
III.2 ANALYSE CONCEPTUEL DU NOUVEAU SYSTEME 32
III.2.1 DESCRIPTION DE DONNEES 32
III.2.2 DICTIONNAIRE DE DONNEES 33
A. MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE SIMPLE
(MDFSS) 34
B. MATRICE DE DEPENDANCE FONCTIONNELLE A SOURCE
COMPOSEE(MDFSC) 36
C. MATRICE ENTRE IDENTIFIANTS 36
D. GRAPHE DE CLES 37
E. STRUCTURE D'ACCES THEORIQUE (SAT) 38
F. REGLES DE PASSAGE DU MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES 39
G. MODELE CONCEPTUELLE DE DONNEES (MCD) 39
H. TABLEAU DE CARDINALITES 40
III.2.4 TRANSFORMATION DU MCD EN MLDR 40
B. CHOIX DU TYPE DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES 41
C. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES CIBLE 41
C.1 MODELE LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNEL 41
C.2 MODELE LOGIQUE DE DONNEES SOUS FORME TABULAIRE 42
III.3 DESCRIPTION DE TRAITEMENT 42
A. TABLEAU DES ACTEURS 43
65
B. GRAPHE DES FLUX 44
C. TABLEAU DE FLUX 44
D. TABLEAU DES EVENEMENTS 46
E. TABLEAU DES ACTIONS INDUITES 47
F. TABLEAU DES OPERATIONS 48
G. TABLEAU DE SYNCHRONISATIONS 48
H. TABLEAU DE RER 49
I. GRAPHE D'ORDONNANCEMENT DES EVENEMENTS 50
J. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS 51
III.3.2 TRANSFORMATION DU MCT EN MOT 52
REGLES DE TRANSFORMATION 52
V' Contenu du modèle organisationnel 52
V' Nature de transformation 52
V' Conséquences sur le modèle 52
TABLEAU DE CHOIX D'ORGANISATION 52
A. DIAGRAMME D'ENCHAINEMENT DES PROCEDURES 54
B. DIAGRAMME PHASE-POSTE 56
CHAPITRE
IV. LA REALISATION DE LA SOLUTION 58
IV.1. INTRODUCTION 58
IV.2. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION ET DU SYSTEME DE
GESTION DES
BASES DE DONNEES 58
IV.2.1. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION 58
IV.2.2. CHOIX DU SYSTEME DE GESTION DES BASES DE DONNEES 59
VI.3 PRESENTATION DE L'APPLICATION 59
VI.1 BASE DE DONNEES 59
CONCLUSION GENERALE 60
BIBLIOGRAPHIE 62