Conception et réalisation d'une base de données pour la gestion des malades cas de l'hôpital général de référence de Tshiamala( Télécharger le fichier original )par Marcel Mbuyi Université Morava - Graduat 2015 |
#Num consultat#Num pavillon CIM MCD VALIDE 1. LE MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS (MCT) Le modèle conceptuel des traitements (MCT) permet de représenter de façon schématique, l'activité d'un système d'information sans faire référence à des choix organisationnels ou des moyens d'exécution, c'est-à-dire qu'il permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quel moyen ni à quel endroit de l'organisation. Le MCT fait partie avec le modèle conceptuel des données des apports de la méthode MERISE, créée à la fin des années 1970. Son but est de décrire les traitements effectués par domaine (opération conceptuelle) et il permet de valider les messages du MCC (Modèle conceptuel de communication) et de décrire les conditions d'émission des messages résultats. Le formalisme du MCT est d'une adaptation des réseaux de pétri à une vision « métier », plus microscopique, au prix d'un alourdissement des représentations graphiques. Le MCT repose sur la notion d'événements et d'opérations, celle de processus et de la synchronisation en découle. a) Evénement : un événement est assimilable à un message porteur d'information donc potentiellement de données mémorisables. Il peut :
b) L'opération : une opération se déclenche uniquement par le stimulus d'un ou de plusieurs événements synchronisés. Elle est constituée d'un ensemble d'actions correspondant à des règles de gestion de niveau conceptuel, stables pour la durée de vie de la future application. Le déroulement d'une opération est interruptible, les actions à réaliser en cas d'exception, les événements résultats correspondant doivent être formellement décrits. c) Le processus ou résultat : un processus est une vue d'une MCT correspondant un enchaînement pertinent d'opération du point de vue de l'analyse. d) La synchronisation : C'est une représentation d'une pré-condition devant être satisfaite pour l'activation d'une opération à partir de plusieurs événements25(*). Ci-dessous le tableau des événements :
Arrivée du malade
Fiche de consultation EV3
Bon de labo EV5 EV2 et EV3
EV4 et EV5 Facture EV7 EV6 et EV7 Résultats EV9 EV8 et EV9 A CONSTRUCTION DU MCT EV1
Fiche de prescription EV11 EV10 et EV11 Facture EV13 EV12 et EV13
Produits EV15 EV14 et EV15
EV17 EV16 et EV17
B Guérison, décès, référence EV17 EV18 et EV19
Bon de sortie EV19 Sortie du malade 2. LE MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT) Le MOT « modèle organisationnel des traitements », décrit avec précision l'organisation à mettre en place pour réaliser une ou, le cas échéant, plusieurs opérations figurant dans le MCT. Il répond aux questions suivantes : qui ? quoi ? où ? quand ? Les notions introduites à ce niveau sont : le poste de travail, la phase, la tâche et la procédure. * Le poste de travail Le poste de travail décrit la localisation, les responsabilités, et les ressources nécessaires pour chaque profil d'utilisateur du système. * La phase La phase est un ensemble d'actions (cf. la notion d'opération pour le MCT) réalisées sur un même poste de travail. La phase peut être :
* La tâche La tâche est une description détaillée d'une phase automatisée interactive. Par exemple, elle correspond à la spécification de l'interface et du dialogue humain-machine, à la localisation et la nature des contrôles à effectuer, etc. * La procédure La procédure est un regroupement de phases. Elle équivaut sur le plan de l'organisation aux notions d'opérations et d'actions conceptuelles. La différence est que l'on considère ici ces dernières comme se déroulant sur une période de temps homogène. Des procédures d'origines non conceptuelles peuvent être ajoutées du fait des choix d'organisation effectués. PASSAGE DU MCT au MOT Le passage, pour ce qui concerne les traitements, du MCT au MOT correspond à la prise en compte de trois éléments nouveaux caractéristiques de l'organisation dans laquelle vont se dérouler les opérations. Seront étudiés le lieu où se passent les opérations (au travers de la notion d'acteur), le moment où celles-ci sont exécutées (au travers de la notion de temps) et la nature (manuelle, automatique) du processeur qui va mettre en oeuvre les traitements. Ceci revient à dire que le MOT consiste à représenter le modèle conceptuel des traitements dans un tableau dont les colonnes sont la durée, le lieu les responsables ainsi que le type de traitement26(*). CONSTRUCTION DU MOT
Arrivée du malade
Paiement de la fiche Rendez-vous Entrée du malade dans la salle R1 et EV1 R1 Manuel Paiement fiche
Bon de labo Repos Remise facture R2 et EV2 R2
Bon de labo
Remise de la facture Rendez-vous Facturier R3 et EV3 R3 A
Remise de la facture
Résultat Relevé examen Accès dans la salle de labo R4 et EV4 R4
Résultat
Fiche de prescription Facturier Relevé examen R5 et EV5 R5
Fiche de prescription
Facturier Rendez-vous Facturier R6 et EV6 R6 A
Facture
Produits Rendez-vous Fiche de prescription R7 et EV7 R7 Produits
Quittance Décès ou référence Ordonnance R8 et EV8 R8 Quittance
Remise du bon de sortie Continuité des soins Décès ou référé R9 et EV9 R9
A
Remise du bon
Sortie du malade Continuité des soins R10 et EV10 R10
B. NIVEAU LOGIQUE OU ORGANISATIONNEL A ce niveau, on intègre à l'analyse des critères liés à l'organisation. En termes de données, les entités et les relations suscitent la création des tables. La vue logique est nécessairement orientée vers une classe de solution. En terme de traitements, les événements décrits ne sont pas des événements temporels mais des événements à dominante spatiale. A ce niveau de préoccupation, les modèles conceptuels sont précisés et font l'objet de choix d'organisation. * Le Modèle logique des données (MLD), qui reprend le contenu du MCD précédent, mais précise la volumétrie, la structure et l'organisation des données telles qu'elles pourront être implémentées. A ce stade il est possible de connaître la liste des tables qui seront à créer dans la base de données relationnelle. * Le Modèle Logique des Traitements (MLT) qui précise les acteurs et les moyens qui seront mis en oeuvre. C'est ici que les traitements sont découpés en procédures fonctionnelles.
a) Règles de passage Pour passer du modèle conceptuel de données validé au modèle logique de données, nous devons observer les règles ci-contre :
N.B : par convention, les clés primaires sont soulignées et les clés étrangères sont précédées par un (#) dans la description de colonne d'une table. b) Règles de normalisation - La relation disparait mais le sens est gardé ; - La cardinalité 0,1 et 1,1 autrement dit fils hérite la clé de l'objet père à cardinalité 0,n et 1,n et cette clé est appelée clé étrangère ou secondaire. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES * Table malade (Num_malade (5), Nom_du_malade(15), Post_Nom(15), Age(5), Sexe(1), Nom_du_père(15), nom_de_la_mère(15), Adresse(20), Température(5), TA(5), Poids(5)). * Table réception (Num_Réception(5), Nom(15), Post_Nom(15), Sexe(1), Age(5), Matricule(8), Grade(15), Niveau_d'étude(10), Obervation(255), #Num_malade(5)). * Table consultation (Num_consultation(5), Nom_consultant(15), Post_Nom(15), Sexe(1), Age(5), Matricule(8), Grade(15), Niveau_d'étude(10), Observation(255) #Num_malade(5)). * Table perception (Num_perseption(5), Nom_perseptionniste(15), Post_Nom(15), Sexe(1), Age(5), Matricule(8), Grade(15), Niveau_d'étude(10), #Num_malade(5)). * Table laboratoire (Num_Laboratoire(5), Nom_laborantin(15), Post_Nom(15), Sexe(1), Age(5), Matricule(8), Grade(15), Niveau_d'étude(10), observation(255) #Num_malade(5)). * Table pharmacie (Num_pharmacie(5), Nom_pharmacien(15), Post_Nom(15), Sexe(1), Age(5), Matricule(8), Grade(15), Niveau_d'étude(10), observation(255), #Num_malade(5)). * Table pavillon (Num_Pavillonn(5), Nom_pavillon15), Num_chambre(5), Num_lit(5), #Num_malade(5)). * Table administration (Num_Administration (5), Nom_administratif(15), Post_Nom(15), Sexe(1), Age(5), Matricule(8), Grade(15), Niveau_d'étude(10), #Num_malade(5), Num_pavillon(5)). * Table cab. Méd. Directeur (Num_cab(5), Nom_Médecin(15), Post_Nom(15), Sexe(1), Age(5), Matricule(8), Grade(15), Niveau_d'étude(10), Observation(250), #Num_malade(5)). * Table tour de salle (#Num_consultation(5), Num_pavillon(5),). C. NIVEAU PHYSIQUE (OPERATIONNEL ou TECHNIQUE) C'est une représentation des moyens qui vont effectivement être mis en oeuvre pour gérer les données ou activer les traitements. Le niveau physique apporte des solutions techniques. En terme de traitements, le modèle opérationnel de données décrit l'architecture qui active les différentes taches de l'ordinateur. Les réponses apportées à ce dernier niveau permettent d'établir la manière concrète dont le système sera mis en place. * Le modèle physique des données (ou MPD ou MPhD) permet de préciser les systèmes de stockage employés (implémentés du MLD dans le SGBD retenu). Le MPD est le dernier modèle que nous avons réalisé pour modéliser les données du système afin de prendre en compte les ressources physiques et logicielles (SGBD, matériels, support, ...) Ce modèle va nous permettre d'implanter en machine l'ensemble des données issues du modèle logique des données (MLD).
Le passage du MLD au MPD se fait en observant les règles suivantes : - Chaque relation du modèle logique devient une table ; - Chaque identifiant devient une clé primaire ; - Chaque propriété devient un enregistrement. CONSTRUCTION DU MPD
CHAPITRE QUATRIEME : DEVELOPPEMENT DE L'APPLICATION IV.1 LA PROGRAMMATIONIV.1.1 Généralités Dans le domaine de l'informatique, la programmation est l'ensemble des activités qui permettent l'écriture des programmes informatiques. C'est une étape importante du développement de logiciels (voire de matériel)28(*). Pour écrire un programme, on utilise un langage de programmation. La programmation représente ici la rédaction du (ou des) code source d'un logiciel. Un programme informatique est une succession d'instructions exécutables par l'ordinateur. Toutefois, l'ordinateur ne sait manipuler que du binaire, c'est-à-dire une succession de 0 et de 1. Il est donc nécessaire d'utiliser un langage de programmation pour écrire de façon lisible, c'est-à-dire avec des instructions compréhensibles par l'humain car proches de son langage, les instructions à exécuter par l'ordinateur. IV.1.2 Choix du langage de programmation Un premier point important est que le choix d'un langage, bien que déterminant, n'est ni absolu ni définitif. En d'autres termes, nous pouvons bien laisser tomber un langage pour en apprendre un autre. Après avoir testé plusieurs langages de programmation, nous avons fait le choix du langage VBA. IV.1.3 Choix et présentation des ordinateurs Au niveau des ordinateurs, on tient compte de deux aspects : physique et logique. Pour ce qui est de physique, nous proposons ce qui suit pour notre application : Ø Type d'ordinateur : HP Ø Type de processeur : Intel(R) Core(TM)i5-4200M Ø Capacité mémoire (RAM) : 6 Giga Octets Ø Capacité du disc dur : 700Go Ø Type de clavier : AZERTY de 102 touches Ø Type de réseau : LAN Ø Equipements : commutateur, routeur marque TP-LINK 3G. Concernant l'aspect logique, ici-bas notre proposition : Ø Type de système d'exploitation : Windows 8 Ø SGBDR : Access Ø Langage de programmation : VBA IV.2 CHOIX DU RESEAU INFORMATIQUE IV.2.2 Bref historique du réseau informatique Au début des années 1970, les premiers systèmes informatiques se composaient d'ordinateurs centraux, volumineux et fragiles, auxquels accèdent en temps partagé des terminaux passifs, c'est-à-dire des postes de travail avec clavier et écran mais sans puissance de calcul. Ces systèmes constituent en quelque sorte les premiers réseaux informatiques, mais les communications réalisées demeurent élémentaires. Au cours des années 1980, l'adoption en masse de micro-ordinateurs et d'une manière plus générale, la démocratisation de la puissance de calcul bouleverse complètement le monde informatique. Les grands systèmes sont alors massivement décentralisés si bien que l'importance des réseaux informatiques s'en trouve multipliée, de par le nombre de machines connectées, les quantités de données échangées et la diversité de nature des communications. Aujourd'hui, ces réseaux sont d'un usage courant dans notre société, notamment grâce à la popularité du réseau télématique internet29(*). IV.2.3 Définition Le réseau informatique est un ensemble des moyens matériels et logiciels mis en oeuvre pour assurer les communications entre ordinateurs, stations de travail et terminaux informatiques30(*). C'est aussi un ensemble d'ordinateurs et de périphériques connectés les un aux autres. IV.2.4 Intérêts d'un réseau Un réseau informatique permet de : Ø Partager des ressources (fichiers, applications ou matériels, connexion à internet, etc) ; Ø Communiquer entre des personnes (courrier électronique, discussion instantané, etc.) ; Ø Communiquer entre les processus (entre des ordinateurs industriels par exemple) ; etc. IV.2.5 Types des réseaux La typologie de réseau se fonde par plusieurs critères : Ø Selon la technique de transmission ; Ø Selon le débit ; et Ø Selon la situation géographique31(*) ; a. Selon la technique de transmission On distingue exactement deux types de réseau : - Le réseau égal à égal (peer to peer) : dans ce type de réseau un serveur dédié n'existe pas, chaque ordinateur est à la fois client et serveur ; - Le réseau client/serveur : dans ce type de réseau, un (plusieurs) ordinateurs est qualifié de client envoie des requêtes ; l'autre qualifié de serveur y répond. b. Selon le débit On distingue : - Les réseaux à faible débit ; - Les réseaux à haut débit ; et - Les réseaux à très haut débit. c. Selon la situation géographique On distingue fondamental trois types de réseaux : - LAN (Local Area Network) ou Réseau Local d'Entreprise (RLE) dont l'étendue et limitée à une circonscription géographique réduite (bâtiment, parcelle, ...). Il est réalisé ou supervisé par une organisation de droit privé pour assurer l'interconnexion de ses propres moyens informatiques (PC) ; il correspond au réseau internet d'une entreprise. - MAN (Metropolitain Area Network) ou Réseau Metropolitain (RM), dont l'étendue est d'environ une dizaine de Km, il est utilisé pour assurer la desserte informatique de circonscription géographique importante (Un pays). Il interconnecte plusieurs sites à l'échelle d'une ville, chacun des sites pouvant être équipé d'un réseau local. - WAN (Wide Area Network) ou Réseau Etendu ou encore Réseau Longue Distance (RLD) ; ce réseau assure généralement le transport d'informations sur des grandes distances à l'échelle d'un pays. IV.2.6 Topologie des réseaux a. Définition La topologie d'un réseau décrit la disposition des ordinateurs, des câbles et des autres composants d'un réseau. Il s'agit d'une représentation graphique du réseau physique. Il faut distinguer la « topologie physique » ou apparente (celle que voit l'utilisateur lorsqu'il suit les chemins de câbles) et la « topologie logique » ou réelle (celle que voit le réseau lorsqu'il regarde les machines)32(*). 1. Topologie en bus Le bus est une variante de la liaison multipoint, l'info émise par une station est diffusée sur tout le réseau. Chaque station accède directement au réseau, il n'y a pas de hiérarchie d'où des problèmes de conflit d'accès (contentions ou collisions) qui nécessitent la définition d'un protocole d'accès plus élaboré que la simple relation maître / esclave des liaisons multipoints. La topologie en bus se compose d'un câble appelé segment ou câble coaxial (RJ45) auquel sont connectés tous les systèmes du réseau33(*). 2. Topologie en étoile Tous les noeuds du réseau sont reliés à un noeud commun : le concentrateur. Tous les messages transitent par ce point central. Ce réseau correspond à la configuration d'un ensemble de n liaisons point à point (terminal / site central). C'est une topologie couramment employée dans les LAN où l'équipement central est généralement représenté par un répéteur concentrateur ou un hub ou par un commutateur. Sa configuration offre aussi l'avantage de la simplicité, une gestion et des ressources centralisées. 3. Topologie en anneau ou en boucle Dans ce type de configuration, chaque poste est connecté au suivant en point à point. L'info circule dans un seul sens, chaque station reçoit le message et le régénère. Si le message lui est destiné, la station le recopie au passage (au vol). La topologie en anneau ou «ring topology» connecte les systèmes sur une boucle de câble. Il n'y a pas de point central d'administration ni de redirection. La transmission sur le réseau est unidirectionnelle (simplex). AUTRES TOPOLOGIES *Les réseaux hiérarchisés ou arborescents *Les réseaux maillés IV.2.7 Structure des réseaux Nous trouvons : a. Le réseau poste à poste Dans un réseau à serveur non dédié, « poste à poste » ou encore «réseau égal à égal », en anglais « Peer to Peer » notée (P2P), toute machine est potentiellement aussi bien un serveur pour les autres machines qu'une station cliente. Chaque ordinateur dans un tel réseau joue à la fois le rôle de serveur et de client. Cela signifie notamment que chacun des ordinateurs du réseau est libre de partager ses ressources. b. Le réseau client/serveur Dans un réseau à serveur dédié, on distingue les machines « serveurs » et les « stations clientes ». De nombreuses applications fonctionnent selon un environnement client/serveur, cela signifie que des machines clientes (des machines faisant partie du réseau) contactent un serveur, une machine généralement très puissante en termes de capacités d'entrée-sortie, qui leur fournit des services. Ces services sont des programmes fournissant des données telles que l'heure, des fichiers, une authentification via annuaire, des bases de données, des applications, etc. IV.3 LE MODELE OSI Le modèle OSI (Open Systems Interconnexion) est un modèle de référence en ce qui concerne les réseaux, il est proposé par l'ISO (International Standards Organisation), il décrit les concepts et les démarches à suivre pour interconnecter des systèmes34(*). Il comprend sept (7) couches à savoir : 1. La couche physique ; 2. La couche liaison des données ; 3. La couche réseau ; 4. La couche transport ; 5. La couche session ; 6. La couche présentation ; 7. La couche application. Les 7 couches sont reparties en deux catégories qui sont : les couches bases (1, 2, 3 et 4) et les couches hautes (5, 6 et 7). Les couches basses sont nécessaires à l'acheminement des informations entre les extrémités concernées et dépendent du support physique. Les couches hautes sont responsables du traitement de l'information relative à la gestion des échanges entre systèmes informatiques35(*). PROCESSUS EMISSION PROCESSUS RECEPTION APPLICATION PRESENTATION SESSION TRANSPORT PHYSIQUE Canal de transmission des données RESEAU LIAISON DE DONNEES APPLICATION PRESENTATION SESSION TRANSPORT PHYSIQUE RESEAU LIAISON DE DONNEES * 25 Ass. Pathy, Techniques de base de données, cours Inédit, G3 Info de Gestion, UNIMOVA, 2014-2015 * 26 Commentcamarche.net, Encyclopédie informatique libre, version 2.0.6 * 27 Ass Sylvain DIKANKANYE, Notes de cours de SGBD, G2 , INFO, UNIMOVA, Mwene-Ditu , 2013-2014, inédit * 28 www.wikipedia.com/·programmation informatique/wikiversity * 29 « Historique des réseaux, In Microsoft, Etude 2007 (DVD), Microsoft Corporation, 2006 * 30 A. Romain MUKAMA, Cours des réseaux informatiques, G1 UNIMOVA, 2012-2013. * 31 A. Romai MUKAMA, Cours des réseaux informatiques, G1 UNIMOVA, 2012-2013. * 32 www.wikepedia.com/Topologie des réseaux/wikiversity. * 33 Idem. * 34 A. Romain MUKAMA, Notes de Cours des réseaux informatiques, G2 UNIMOVA, 2013-2014, inédit. * 35 36 A. Romain MUKAMA, Op.cit. |
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